Le réseau BéSyP (Bénin Synergie Plus)* a organisé du 22 novembre au 1er décembre 2021, une campagne de dépistage du VIH et des hépatites. L'activité s'inscrit dans le cadre de la 2e édition de la semaine internationale de dépistage de la Coalition Internationale Plus. Elle précède par ailleurs la commémoration le 1er décembre de la journée mondiale de lutte contre le SIDA. Le communiqué ci-dessous a sanctionné les activités.
Communiqué de presse
Cotonou, le 1er décembre 2021
En prélude à la commémoration de la Journée Mondiale de lutte contre le Sida, le réseau BéSyP (Bénin Synergie Plus) a participé à la 2ème édition de la semaine internationale du dépistage, à l'initiative de Coalition PLUS, union internationale de lutte contre le VIH et les hépatites virales. A cette occasion, le réseau BéSyP a intensifié ses actions d'information, de sensibilisation et de dépistage du VIH, des hépatites virales et des IST. Ce faisant, elle s'est associée à la mobilisation mondiale pour la reconnaissance effective du statut des agents de santé communautaires.
Cette campagne que BéSyP (Bénin Synergie Plus) a organisé pour la deuxième année consécutive a eu lieu du 22 novembre au 1er décembre 2021 au Bénin.
Durant toute la Semaine, l'association a proposé des actions d'information, de sensibilisation et de dépistage du VIH, des hépatites virales B et C et des infections sexuellement transmissibles (IST), sans jugement, en toute confidentialité et sécurité.
Elle a également organisé le 3O novembre 2021 une table ronde qui a réuni les populations bénéficiaires et des partenaires techniques et financiers.
“C'est une grande fierté pour nous de prendre part à cette initiative mondiale, lancée en 2020 par Coalition PLUS dont nous sommes partenaires”, déclare Monsieur Axel A, porte-parole politique de AGCS PLUS et président BéSyP. “A travers cette initiative, nous contribuons pleinement à l'atteinte des objectifs internationaux de lutte contre le VIH que sont les 03 x 95 de l'ONUSIDA, mais aussi à la riposte nationale contre l'épidémie.”
Bénin Synergie Plus fait partie de la cinquantaine d'organisations de la société civile qui a pris part à l'opération dans le monde.
“Nous avons lancé la Semaine internationale du dépistage pour affirmer la place centrale des communautés les plus touchées par le VIH et les hépatites virales dans la riposte à ces épidémies”, précise Hakima Himmich, présidente de Coalition PLUS. “C'est un coup de projecteur sur le dépistage par les pairs-es, qui a depuis longtemps montré sa pertinence dans la lutte contre le sida, en particulier dans le cadre d'actions menées par et pour les personnes vivant avec le VIH, les hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes, les personnes transgenres, les travailleuses et travailleurs du sexe, les personnes qui s'injectent des drogues ou encore les personnes migrantes et détenues”.
En effet, ces personnes possèdent une fine connaissance des codes, pratiques et lieux de vie de leurs communautés, souvent éloignées des systèmes de santé classiques en raison de la stigmatisation, des discriminations, voire de la répression qu'elles subissent.
Dès lors qu'ils et elles sont formés-es aux tâches biomédicales requises, ces agents de santé communautaires sont ainsi les mieux placés-es pour dépister leurs pairs-es, mais aussi pour leur offrir un accompagnement adapté vers la prévention et le soin, en lien avec les structures de santé. Pourtant, dans de nombreux pays, ces précieux-euses auxiliaires de la lutte contre les épidémies restent confrontés-es à d'importantes barrières, statutaires, légales et financières.
“Alors que nous avons suffisamment démontré au fil des ans notre rôle pour faciliter la détection de nouveaux cas de VIH, accompagner les personnes séropositives à bien suivre leur traitement ou encore aider nos pairs victimes de rejet et de discriminations, nous nous heurtons hélas encore et toujours à un manque de reconnaissance des financeurs comme du personnel de santé” s'indigne Mr Morel D point focal PFAO. “C'est paradoxal : même si l'efficacité de nos interventions est citée en modèle depuis longtemps par les instances internationales, notre travail demeure souvent précaire, risqué peu valorisé et sous-financé. Partout dans le monde, nous demandons la reconnaissance effective du rôle et du statut des agents de santé communautaire, y compris des pairs-es éducateurs-rices !”
Chute des dépistages en 2020 en raison de la pandémie de COVID-19
La reconnaissance du statut des agents de santé communautaire est d'autant plus cruciale que la COVID-19 a fortement perturbé les services de prévention et de dépistage du VIH dans le monde. Ainsi, selon le Fonds mondial, le nombre de dépistages du VIH a chuté de 22% en 2020 par rapport à l'année précédente. Un recul inédit, qui fait craindre une recrudescence de l'épidémie. Dans ce contexte, les agents de santé communautaire ont indéniablement un rôle majeur à jouer pour rattraper le temps perdu vers l'élimination du VIH.
« Nous sommes très souvent la porte d'entrée pour l'accès à la prévention et aux soins, car nous évoluons au plus près des communautés », rappelle Mr Morel D point focal PFAO. « Les pairs-es éducateur-trices sauvent des vies ! »
Faits et chiffres sur le dépistage communautaire
· Une méta-analyse publiée dans PLOS Medicine en 2013 montre que la mise en place du dépistage communautaire, en renforcement des dispositifs médicalisés, multiplie par 7 le taux de connaissance du statut sérologique au sein de la population.
· Depuis 2015, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande officiellement le recours à des prestataires communautaires pour le dépistage du VIH.
· En 2020, BéSyP (Bénin Synegie Plus), membre partenaire de Coalition PLUS, a réalisé 7110 tests VIH à l'endroit de 6227 HSH et 883 transgenres. Parmi elles, 19 HSH et 02 transgenres ont été dépistés positifs au VIH et sont mis sous traitement ARV.
A propos de BéSyP (Bénin Synergie Plus) : Premier Réseau national des personnes LGBT créé au Bénin en 2010, BéSyP regroupe à ce jour vingt (20) associations identitaires réparties sur l'ensemble du territoire national. Il est actuellement présidé par Monsieur Axel A.
Quant à Coalition Internationale PLUS, ellz est une union internationale d'ONG communautaires de lutte contre le sida et les hépatites virales fondée en 2008. Coalition Internationale PLUS intervient dans 52 pays et auprès d'une centaine d'organisations de la société civile. A travers le principe de gouvernance partagée qui la régit, notre union implique 16 organisations adhérentes et plus de 100 associations partenaires dans 52 pays du Nord et du Sud, dans la prise de décision. Elle est actuellement présidée par la Pr Hakima Himmich.
Organisée avec le soutien de l'Agence Française du Développement (AFD), de L'Initiative d'Expertise France, du Robert Carr Fund et de Aidsfonds, la deuxième édition de cette initiative mondiale a eu lieu dans 40 pays sur 5 continents et ce au cours de la dernière semaine du mois de novembre précédent le 1er décembre, date de commémoration de la journée mondiale de lutte contre le sida
L’Algérie a battu ce samedi 4 décembre le pays des cèdres (2-0) lors de la deuxième journée du groupe D de la Coupe Arabe. Une victoire difficilement arrachée grâce à deux buts marquée respectivement par Yacine Brahimi et Tayeb Meziani.
Il s’agit en effet du second match des fennecs disputé cet après-midi (14 h) au stade d’Al-Wakra au Qatar. La rencontre opposant l’Algérie au Liban était caractérisé par la participation des vedettes de l’équipe de Djamel Belmadi, notamment le duo Belaili et Bounedjah.
Le onze du sélectionneur national Madjid Bougherra était également composé de Zeghba, Benayada, Tahrat, Cheti, Soudani, Meziani et Brahimi. Ce dernier a été l’auteur d’un pénalty obtenu par son coéquipier Youcef Belaïli à la 68ᵉ minute de jeu. Sans plus tarder, Tayeb Meziani s’est imposé avec un deuxième but (90’+3).
Houssem Mrezigue et Kassem El Zein ont été exclus en fin de match, les deux équipes terminant à dix. Avec cette victoire, les hommes de Bougherra se qualifient pour les quarts de finale de la Coupe Arabe. Ainsi, l’Algérie prend seule les commandes, avec six points, devant l’Égypte (3 pts).
Le message de Yacine BrahimiAvant le match Algérie-Liban, le Coach de la sélection algérienne A’ a tenu une conférence de presse en compagnie de l’un des meilleurs joueurs de son équipe, en l’occurrence Yacine Brahimi. C’était l’occasion pour ce dernier de s’exprimer sur ses aspirations à revenir en sélection A.
« Je représente mon pays lors de cette compétition avec la même détermination. Mon focus, maintenant, c’est la Coupe arabe, mais je reste un compétiteur je ne ferme la porte à rien. Je travaille en club et je reste disponible, même si je n’ai pas été appelé ces derniers temps en sélection.”, a confié le joueur d’Al-Rayyan au Qatar.
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La situation épidémiologique liée au coronavirus en Algérie reste toujours préoccupante du point de vue des spécialistes et responsables du secteur sanitaire. Du côté du suivi quotidien de l’épidémie, les bilans restent toujours en dessus des 150 cas confirmés.
Dans son dernier bilan rendu public en cette fin de journée de samedi, le ministère de la Santé a fait état de 185 nouveaux cas confirmés de Covid-19. Durant la journée d’hier, le pays avait connu 191 nouvelles contaminations.
Concernant les cas rétablis de la maladie, le bilan d’aujourd’hui a indiqué que 145 nouveaux cas sont guéris, contre 156 cas de guérison recensés dans le bilan d’hier. Par ailleurs, 15 patients sont actuellement en soins intensifs, ajoute la même source.
Pour ce qui est des victimes de l’épidémie du coronavirus, le bilan établis sur les dernières 24 heures par le ministère de la Santé a fait état de 7 nouveaux décès. Hier, 6 décès ont été déplorés.
Le bilan total de l’épidémieAvec ces nouveaux chiffres, le total des cas confirmés s’élève ainsi à 211 297, celui des décès à 6.096 cas, alors que le nombre de patients guéris est passé à 145 054 cas, peut-on encore lire dans le communiqué du ministère de la Santé.
Par ailleurs, le ministère rappelle, par la même occasion, que la situation épidémiologique actuelle exige de tout citoyen vigilance et respect des règles d’hygiène et de distanciation physique, tout en insistant sur le respect du port du masque.
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L’Algérie compte élargir son champ d’action concernant la lutte contre la corruption et la récupération des fonds dilapidés détournés vers l’étranger. Il s’agit d’une proposition qui sera présentée lors du conseil des ministres arabes de la Justice.
En effet, le ministre de la Justice Abderrachid Tabi prendra part demain dimanche 5 décembre aux travaux de la 68e réunion du Conseil des ministres arabes de la Justice, qui se tiendront au siège de la Ligue arabe sis au Caire.
Selon un communiqué du ministère de la Justice, rendu public ce samedi, le garde des Sceaux devra également présider le lendemain, soit le lundi 6 décembre 2021, la 37e session du Conseil des ministres arabes de la Justice.
« L’ordre du jour de cette session comprend dix-sept (17) points, qui comprennent plusieurs sujets d’intérêt arabe commun, dont la lutte contre le terrorisme, le renforcement de la coopération arabe et internationale, le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme et la cybercriminalité », indique le communiqué.
Un protocole arabe pour la récupération des fonds détournésLa 37e session du Conseil des ministres arabes de la Justice devra également aborder « la criminalisation du paiement de la rançon », qui est une proposition formulée par l’Algérie, indique-t-on encore.
Le ministère de la Justice a également fait savoir que l’Algérie, à travers sa présidence de cette session, formulera plusieurs autres propositions, notamment en ce qui concerne le recouvrement des fonds détournés et transférés vers l’étranger.
Ainsi, l’Algérie devra proposer « l’élaboration d’une convention arabe pour la protection des données à caractère personnel et d’un protocole arabe pour la récupération des fonds dilapidés transférés à l’étranger », lit-on encore dans le communiqué.
Dans le même sillage, le Conseil abordera les résultats concrétisés lors « la Conférence de concernant la Convention arabe contre la corruption, ainsi que la Convention arabe sur le statut des réfugiés dans les pays arabes ».
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Le nouveau variant « Omicron » poursuit sa propagation après avoir gagné la France, mais aussi notre voisin de l’est, la Tunisie. Lors de son intervention ce samedi 4 décembre sur la chaine de télévision Ennahar TV, le directeur général de l’Institut Pasteur d’Algérie, Fawzi Derrar est revenu avec de nouvelles déclarations.
Selon l’intervenant, l’Algérie a enregistré trois cas suspects de variant « Omicron ». Cependant, les résultats obtenus sont négatifs. D’autres cas suspects sont soumis actuellement au test de dépistage. En cas de confirmation, le ministre de la Santé annoncerait les résultats.
Comme il l’a déjà souligné, Fawzi Derrar rappelle que la présence du nouveau variant en Algérie n’est pas à écarter. « Ce n’est qu’une question de temps », avait-il estimé il y a deux jours de cela. Par ailleurs, il considère le refus de se faire vacciner comme étant une forme de suicide.
Benbouzid se prononce sur le nouveau variantDésormais, c’est Omicron qui préoccupe l’ensemble des spécialistes et responsables du secteur sanitaire. Pour le ministre de la Santé, il est tout à fait normal de s’inquiéter au début de l’apparition de nouveaux variants, comme c’était le cas avec le Delta qui fait des ravages lors de la 3ᵉ vague.
D’un autre côté, Abderrahmane Benbouzid a déclaré que pour le moment il n’y a pas de retour aux mesures de confinement et de fermeture des frontières. Cela n’arriverait que si une catastrophe se produit.
Rappelons en conclusion, que certains pays avec lesquels l’Algérie effectuent plusieurs dessertes aériennes, comptent des cas testés positifs au nouveau variants. Il s’agit de la Tunisie qui a enregistré hier son 1er cas, ainsi que l’Hexagone qui a recensé 9 cas au total.
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Interdiction à Abib Ahandessi de se présenter à l'Université d'Abomey-Calavi (UAC). La décision a été prise par le Recteur de l'UAC Félicien Avlessi à travers une note de service en date du 02 décembre 2021.
Selon la note de service, Abib Ahandessi appelé "Le révolutionnaire" est interdit d'accès aux différents campus de l'Université d'Abomey-Calavi. Sa présence, justifie le recteur, occasionne des troubles sur le campus d'Abomey-Calavi. La décision a été prise dans le but de maintenir l'ordre et la sécurité des personnes et des biens.
Le Recteur ajoute que les forces de sécurité sont mises à contribution pour la mise en application de la mesure.
A.A.A
Face au nouveau variant du coronavirus qui guette l’Algérie, les interrogations quant à de nouvelles mesures restrictives se font déjà. Le ministre de la Santé s’est exprimé ce samedi sur ce point ainsi que sur le risque lié au variant Omicron.
S’exprimant sur la situation épidémiologique, Abderrahmane Benbouzid a indiqué que le retour aux mesures du confinement total n’est pas abordé actuellement, soulignant qu’une telle démarche ne sera entreprise qu’en cas « d’une catastrophe ».
À propos du variant Omicron, il affirme les appréhensions lors de l’apparition d’un nouveau variant sont tout à fait compréhensibles. Or « à l’heure actuelle, ce qui se dit sur le variant Omicron n’est pas encore prouvé ».
Concernant le taux de vaccination contre le coronavirus en Algérie, le premier responsable du secteur sanitaire a expliqué « qu’il est très faible par rapport à d’autres pays. Ainsi, il a réitéré son appel à la population à se faire vacciner massivement contre le Covid-19.
Aucun décès pour l’heure selon l’OMSIl convient de noter que l’OMS ne n’a confirmé aucune victime concernant le nouveau variant qui inquiète le monde. Selon son porte-parole, l’Organisation n’a pour l’heure pas d’information sur un éventuel décès lié au nouveau variant Omicron du virus donnant le Covid-19.
Lors d’un point de presse tenu hier à Genève, Christian Lindmeier déclare : « Je n’ai vu aucune information rapportant des décès liés à Omicron ».
Or, il précise que, comme plus de pays font des tests pour tenter de détecter le nouveau variant, « nous aurons plus de cas, plus d’informations, et – bien que j’espère que non – possiblement des morts ».
Pour rappel, le variant Omicron, classé inquiétant par l’OMS, a été détecté d’abord en Afrique australe, mais depuis que les autorités sanitaires sud-africaines ont alerté l’OMS le 24 novembre, des infections avec Omicron ont été constatées dans une trentaine de pays sur tous les continents.
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Les Algériens en situation irrégulière en Europe notamment dans l’Hexagone sont souvent mis à nu par leurs conjointes à cause des violences conjugales. Comme c’est le cas ce jeune algérien, placé sous mandat de dépôt en octobre dernier et jugé ce jeudi 2 décembre par le tribunal de Cusset pour violences conjugales.
C’est le quotidien français La Montagne qui a rapporté le vendredi 3 décembre, ce fait divers. En effet, tout a commencé lorsque des policiers sont intervenus au foyer Adoma, à Vichy pour sauver une maman et ses deux enfants réfugiés dans une salle de bain.
La victime avait trouvé refuge chez un ami hébergé dans la résidence pour fuir la violence de son compagnon. Lors de son audition au commissariat, « la jeune femme présente des ecchymoses au visage. Sa belle-sœur rapporte aux policiers qu’elle lui aurait confié avoir subi, à plusieurs reprises, des coups de la part de son compagnon », rapporte le quotidien français.
La victime donne une autre version devant le jugeSelon le média susmentionné, le prévenu est un Algérien âgé de 24 ans, arrivé en France en 2018 et travaille sur les chantiers de façon non déclarée. Malgré les violences qu’il fait subir à la jeune femme, cette dernière l’a bizarrement défendu devant les juges du tribunal judiciaire de Cusset.
« Il n’a jamais levé la main sur moi », a-t-elle lâché. Celle qui refuse de se porter partie civile a précisé que « les ecchymoses au visage proviennent d’une bagarre avec une inconnue dans la rue ». La victime ne s’arrête pas là, elle ajoute également que sa belle-sœur qui a témoigné en sa faveur au commissariat est sa pire ennemi.
« On a un conflit familial avec ma belle-sœur. Elle a tout inventé » a-t-elle confié aux juges. Face à cette situation, le procureur de la République a recouru aux images tirées du système de vidéo du foyer, qui ont mis à nu la contradiction entre les propos de la victime et la réalité qu’elle vit.
Poursuivi également pour ne pas avoir respecté les termes de son assignation à résidence, le prévenu a été condamné à une peine de 8 mois de prison avec maintien en détention, ainsi qu’à une interdiction du territoire français pendant 5 ans
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La problématique de l’octroi du foncier industriel et son exploitation constitue un sérieux obstacle à plusieurs niveaux. Ce samedi, le président de la République a annoncé de nouvelles mesures permettant une gestion « transparente ».
Lors d’un discours prononcé à l’occasion de l’ouverture des travaux de la conférence nationale sur la relance industrielle, qui se tiendra au Palais des nations à Alger, Tebboune a annoncé la création de l’Agence nationale du foncier industriel.
Cette agence qui sera mise en place dès l’année prochaine, aura pour mission l’octroi et la distribution du foncier agricole d’une manière transparente, a indiqué le chef de l’État. Cette démarche vise à « fournir le foncier industriel aux investisseurs dans les meilleurs délais ».
Il a ajouté : « J’ai décidé de créer une institution spéciale pour le foncier industriel afin de l’octroyer en toute transparence », a-t-il, en effet déclaré soulignant que les zones industrielles resteront sous la tutelle du ministère de l’Industrie et de cette nouvelle Agence.
Levée du gel sur 581 dossiers ANDILors de son allocution, le président de la République a également confirmé que le gouvernement œuvre à lever les restrictions sur les projets suspendus avant la fin de ce mois. Le financement nécessaire à l’avancement de tous les projets industriels sera fourni, a-t-il encore précisé.
En outre, il a annoncé la levée du gel sur pas moins de 581 dossiers dans le cadre de l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI). Cela devra permettre, selon lui, la création de 75 000 nouveaux emplois.
Ce samedi matin, Tebboune a procédé à l’ouverture des travaux de la conférence nationale sur la relance industrielle organisée par le ministère de l’Industrie.
À noter que les travaux de cette conférence se déroulent au Palais des nations (pour ce qui est de l’ouverture et des allocutions) et au Centre international des conférences (pour ce qui est des ateliers et des débats), du 4 au 6 décembre, sous le thème « Ensemble pour relever le défi ».
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La première édition de l'Africa Digital Economy Forum, organisée par La Tribune Afrique en partenariat avec Huawei, s'est tenue en ligne le jeudi 2 décembre 2021.
Le Forum de l'Africa Digital Economy Forum a été organisé afin de mettre l'économie numérique au cœur des enjeux de l'Afrique et d'aboutir à des actions concrètes, tant en matière d'investissements qu'au niveau de la règlementation du secteur numérique. « Je salue l'initiative qu'est l'Africa Digital Economy Forum, visant à promouvoir l'économie numérique en Afrique autour des problématiques telles que la stratégie et la formation digitale, la formation des talents, les infrastructures réseaux et l'innovation », a affirmé le Président de la République du Sénégal, Monsieur Macky Sall.
L'événement a débuté avec deux discours tenus respectivement par Delphine CHENE, Présidente de La Tribune Afrique et Catherine CHEN, Vice-Présidente et Directrice du conseil d'administration de Huawei. Soulignant les liens qui unissent le Groupe au continent africain, Catherine Chen a rappelé les ambitions de Huawei en matière de responsabilité sociale.
« Nous assumons notre responsabilité sociale à travers des investissements de taille partout dans le monde, et plus spécifiquement en Afrique. Nous nous positionnons par exemple au Sénégal à travers l'accompagnement de 60 écoles, tout comme nous contribuons à la construction d'infrastructures novatrices en Éthiopie. Ainsi, sur le continent africain, Huawei se veut être un partenaire de développement, apte à accompagner le continent dans l'expression de son potentiel plein et entier », a-t-elle affirmé.
S'en sont suivis des débats animés par des intervenants prestigieux, parmi lesquels Roger ADOM - Ministre de l'Economie Numérique, des Télécommunications et de l'Innovation de la République de Côte d'Ivoire, Yankhoba DIATTARA, Ministre de l'Économie Numérique et des Télécommunications du Sénégal, Papa Amadou SARR, Ministre-Délégué Général à l'Entrepreneuriat Rapide des Femmes et des Jeunes à la Présidence de la République du Sénégal, Alpha BARRY Président Directeur Général d'Atos Afrique, Cristina DUARTE, Conseillère Spéciale des Nations Unies pour l'Afrique, Catherine CHEN, Vice-Présidente et Directrice du Conseil d'Administration de Huawei, Colin HU, Président Cloud & AI de Huawei Northern Africa, Mohamed BEN AMOR - Secrétaire Général AICTO, Mohammed Tawfik MOULINE, Directeur Général de l'Institut Royal des Études Stratégiques, Huria ALI MAHDI, Ministre Ethiopien de la Technologie et de l'Innovation, Lacina KONÉ, Directeur Général de Smart Africa, Élisabeth MEDOU-BADANG, Directrice de Zone et Porte-parole pour Orange en Afrique et au Moyen-Orient, Malek KOCHLEF, Directeur Général de la Coopération Internationale du Ministère de l'Enseignement Supérieur de la Tunisie, Amane DANNOUNI, Directeur Général & Partenaire au BCG, Didier ACOUETEY, Président de AfricSearch, Omar SEGHROUCHNI, Président du CNDP mais aussi Aboubacar KARIM, CEO et co-fondateur de Investiv Group.
Échanges sur les problématiques de l'économie numérique
L'Africa Digital Economy Forum a notamment a été marqué par la tenue de plusieurs tables rondes, keynotes et autres prises de paroles structurantes, mettant en avant les principales problématiques de l'économie numérique telles que l'accélération du développement de l'infrastructure numérique en Afrique, les perspectives de l'économie digitale, ou encore la formation des talents nécessaire au développement numérique du continent.
Selon Colin HU, Président Cloud & AI de Huawei Northern Africa :« la digitalisation est un voyage : pour la ville, elle a une valeur sociale, tandis que pour les entreprises, elle a une valeur commerciale. En ce sens, Huawei s'engage à la promouvoir à travers des investissements, mais aussi des études approfondies. Nos rapports - à l'image de « Intelligent World 2030 » - peuvent servir de référence en la matière : ils ont vocation à guider, ou tout au mieux à inspirer les organisations publiques comme privées dans leur stratégie ».
Roger ADOM, Ministre de l'Economie Numérique, des Télécommunications et de l'Innovation de la République de Côte d'Ivoire a quant à lui tenu à rappeler l'importance de la coopération entre états africains mais aussi entre secteurs privé et public, dans le développement des écosystèmes numériques sur le continent : « Le renforcement de l'économie numérique en Afrique nécessitera une forte collaboration inter-état. Des initiatives prometteuses et d'ampleur sont déjà mises en place, à l'image de Smart Africa. A travers ce projet, les états partagent les meilleures pratiques, dans une approche partenariale. Une étroite collaboration entre les secteurs publics et privés est aussi de mise, pour susciter des investissements durables, et accélérer le développement de l'Afrique ».
Cependant, malgré la transformation digitale véritable que connaît le continent depuis une quinzaine d'années, le taux de pénétration d'internet ne s'y élève qu'à 39,8%. Yankhoba DIATTARA, Ministre de l'Économie Numérique et des Télécommunications du Sénégal, a ainsi souligné l'importance de l'inclusion dans le développement des écosystèmes digitaux en Afrique :« Partout sur le continent, le taux de pénétration d'internet est de 39,8%, de la même manière que 30% de la population issue du continent vit dans une zone de connectivité sans pour autant y avoir accès - en raison notamment des coûts trop élevés. Nous sommes persuadés ainsi que la connectivité doit s'accompagner d'une « abordabilité ». Si nous remportons ce défi, l'Afrique pourra atteindre les 70% de connectivité. Plus que la qualité des infrastructures, la mise à disposition de leur accès pour toutes les strates des sociétés africaines doit être prise en compte ».
Transformation digitale africaine inclusive
Papa Amadou SARR, Ministre-Délégué Général à l'Entrepreneuriat Rapide des Femmes et des Jeunes à la Présidence de la République du Sénégal, a lui aussi défendu l'idée d'une transformation digitale africaine inclusive et portée par la jeunesse : « Le continent africain est conscient du fait qu'il faut former sa jeunesse – soit 60% de la population totale - afin de répondre aux exigences croissantes du marché du travail, chaque jour plus professionnalisant. Pour ce faire, il convient de mettre l'accent sur les politiques de formation, tout en privilégiant l'enseignement des compétences liées aux nouvelles technologies ».
Les infrastructures restent néanmoins l'une des clés du développement de l'économie numérique en Afrique. En ce sens, Elisabeth MEDOU BADANG, Directrice de Zone et Porte-parole pour Orange en Afrique et au Moyen-Orient, a déclaré :« La construction et le renforcement des infrastructures numériques en Afrique constitue l'un des enjeux les plus importants pour le développement du continent. Ainsi, partout en Afrique, les états se doivent d'assurer un cadre stable, au sein duquel peut éclore une économie numérique inclusive et rentable ».
Lacina KONE, Directeur Général de Smart Africa, appuie ce positionnement, en ajoutant : « Partout sur le continent, une véritable volonté politique a émergé au niveau des chefs d'État, pour saisir le train de ce qu'on appelle déjà la 4ème révolution industrielle. Une dynamique bienvenue : nous sommes convaincus que la gouvernance au sein de la transformation numérique doit être au centre du développement socio-économique de toutes les nations africaines. Plus que jamais, il faut que les instances de décision basent leurs stratégies sur l'économie numérique ».
Enfin, si les bouleversements occasionnés par la pandémie du Covid-19 ont fragilisé une partie des économies du continent, force est de constater que cette crise, en y accélérant la transformation digitale de manière considérable, a rapproché l'Afrique de son destin. Cristina DUARTE, Conseillère Spéciale des Nations Unies pour l'Afrique, a conclu la conférence à travers ces mots :« La pandémie de la Covid-19 est une épreuve créatrice d'opportunités : elle a planté les germes d'une nouvelle imagination de la structure économique africaine à grande échelle, en accélérant des tendances telles que la numérisation. Le changement est en marche partout en Afrique : le continent doit se saisir de la transformation digitale en cours pour accéder au développement qui lui est promis ».
A propos de Huawei
Fondée en 1987, Huawei est l'un des principaux fournisseurs mondiaux d'infrastructures de technologies de l'information et des communications (TIC) et d'appareils intelligents. Nous comptons plus de 197 000 employés, et nous opérons dans plus de 170 pays et régions, au service de plus de trois milliards de personnes dans le monde.
Notre vision et notre mission consistent à apporter le numérique à chaque personne, foyer et organisation pour un monde intelligent et entièrement connecté. À cette fin, nous allons favoriser la connectivité omniprésente et promouvoir l'égalité d'accès aux réseaux ; apporter le cloud et l'intelligence artificielle aux quatre coins du monde pour fournir une puissance informatique supérieure là où vous en avez besoin, quand vous en avez besoin ; construire des plateformes numériques pour aider toutes les industries et organisations à devenir plus agiles, efficaces et dynamiques ; redéfinir l'expérience utilisateur avec l'IA, en la rendant plus personnalisée pour les individus dans tous les aspects de leur vie, qu'ils soient à la maison, au bureau ou en déplacement.
Les prêtres de Fâ ont rendu publiques les prévisions de l'année 2022 ce samedi 04 décembre 2021.
Le principal signe de l'année 2022 est « Winlin Ko Tché », selon les prévisions du Fâ. Ce signe est suivi de « Di Tula » et « Abla ». Selon l'interprétation des prêtres de Fâ, ces signes annoncent une année 2022 prospère et fructueuse. Cependant, la maladie va sévir notamment les maux ventre. L'oracle exhorte à éviter l'entêtement, les bavardages inutiles et l'indiscrétion au cours de l'année 2022.
M. M.
Le président de la République Abdelmadjid Tebboune a procédé ce samedi à l’ouverture des travaux de la conférence nationale sur la relance industrielle, qui se tiendra du 4 au 6 décembre 2021 au Centre international des conférences à Alger.
Lors d’une allocution prononcée en cette occasion, le chef de l’État est revenu sur la situation actuelle du secteur industriel évoquant les obstacles ayant conduit au blocage de plusieurs projets. D’emblée, il a indiqué que la situation que vit le secteur industriel en Algérie « n’est pas une fatalité », car « nous sommes en mesure de la corriger … malgré que certains aspects sont difficiles à contrôler ».
Ainsi, il affirme que certes, « certains aspects sont difficiles à contrôler, mais la situation peut être corrigée rapidement », et ce, en « éliminant progressivement les causes de ce recul et en purifiant le secteur des résidus de la corruption et de dilapidation des deniers publics ».
Dans le même sillage, Tebboune a indiqué que le secteur industriel est passé par plusieurs étapes, dont « l’industrialisation exagérée, notamment en sidérurgique, textile … ». Après la période de prospérité financière, ajoute le président, « la fausse l’industrie est venue ».
Cette étape a été caractérisée, rappelle encore l’intervenant, par « le gonflage des pneus et le transfert illégal des capitaux vers l’étranger, et ce, sous diverses nominations et à travers une industrie de montage au lieu de fabrication ».
Tebboune met en garde contre les obstacles bureaucratiquesEn outre, le président de la République a appelé à « lever les obstacles devant les unités industrielles existantes » tout en procédant « à mener à terme les projets en cours ou suspendus ».
À ce propos, il indique que conformément à des instructions qu’il avait données afin de lever les restrictions sur 402 sociétés, « ces dernières ont été levées sur 57 d’entre elles en très peu de temps ». Pour ce qui est des raisons de ces blocages, le chef de l’État a indiqué que la plupart des projets sont bloqués pour des raisons futiles et par la bureaucratie.
Dans ce sens, il s’est interrogé : « Comment l’entrée d’une usine en production peut-elle être entravée pour des raisons futiles et bureaucratiques, telles que le refus d’accorder des permis de construire ? ». Pour lui, « ces justifications sont un crime contre l’économie nationale et une obstruction délibérée et claire à la relance économique ».
Tout en mettant en garde contre ces obstacles bureaucratiques, il a lancé un appel aux investisseurs « victimes d’injustice de se rapprocher des médiateurs de la République » afin de se plaindre de sa situation.
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(Par Roger Gbégnonvi)
Une rumeur. Mais si c'est une information, elle est passée, plus filante que l'étoile du même nom, pour aller sombrer dans le silence des media grands et petits, pas candidats à être accusés de vendre du rêve en bleu. Car en insistant pour des retrouvailles à l'Elysée au sujet des trésors royaux d'Abomey, le Chef de l'Etat, pragmatique, semblait seulement dire : « Il y en a plus que 26. Les autres aussi nous intéressent. Nous reviendrons les chercher. » Il n'avait pas envisagé que, remués au tréfonds d'eux-mêmes par l'imprévu du geste, de la geste Talon-Macron, 156 Français, descendants d'esclaves noirs, décideraient de retourner sur la terre des ancêtres dans le sillage des 26 œuvres et entameraient, déjà, les démarches administratives idoines en direction de l'Etat béninois. Rêve ou fantasme ou rumeur ?
Mais il importe peu que l'information entraperçue soit trop belle pour être vraie puisque, dit l'adage, « ce qui de la maison est parti à la maison retournera », puisque le désir « d'un retour au pays natal » habite depuis toujours l'ADN meurtri des descendants de ceux qu'on a poussés à coups de lanière vers « La Porte du non-Retour », puisque, face à la porte de Caïn, le 18 janvier 1998, derrière le prof Honorat Aguessy pour la première « Marche et Cérémonie du Repentir », des Béninois de toute provenance et de toute obédience ont prié : « Et vous, sœurs et frères…,/ Vous descendants de ceux-là qui furent vendus à l'encan / Vous tous dispersés et disséminés dans le monde entier / Accédez à notre demande de pardon / Et laissez couler toutes les eaux amères et fétides / Pardonnez / Et partageons ensemble en ce jour consacré au Repentir / Partageons l'eau de la Réconciliation » (Samson Dossoumon).
Et voici qu'adviendraient au Dahomey-Bénin, au travers de 156 femmes et hommes précurseurs, les retrouvailles toujours déjà désirées. 156 femmes et hommes précédés, annoncés par la famille Jah, revenue seule et délibérément depuis un quart de siècle et domiciliée au lieudit Ganhatin non loin d'Ahozon, dans la banlieue de Ouidah.
Les retrouvailles n'effacent pas, n'effaceront pas « La Route de l'Esclave », domaine aimé de Caïn, qui aima très fort les trains à bestiaux emplis de Juifs promis à l'extermination, qui aima très fort les marais rwandais emplis de Tutsis promis à l'extermination. Ô Abel, partout crucifié par Caïn ! « La Route de l'Esclave » et ses stations à la cynique résonance. « Place des Enchères », pour la mise à prix et la vente : les invendus sont jetés. « Arbre de l'Oubli », pour que les vendus oublient le pays qui sait le mal qu'il leur a fait. « Arbre du Retour », pour qu'à leur mort l'esprit des vendus retourne au pays. Etc. De tels stigmates dans l'inconscient collectif peuvent fracturer les retrouvailles, les rendre problématiques. La Guadeloupéenne Maryse Condé l'a éprouvé. En 2018, elle confie : « Je n'avais jamais imaginé que l'Afrique pouvait être une terre hostile, et pourtant j'y ai connu douze années de souffrance et de galère. » Dans la même interview, l'écrivaine ajoute que, vue du Sénégal au temps de sa jeunesse, l'Afrique est un « milieu de hontes et de mensonges ». Sa tentative de vivre sur la terre de ses ancêtres vendus tourna au cauchemar. Elle s'en retourna.
Les retrouvailles en train d'advenir portent donc en filigrane le syndrome Maryse Condé. On devra l'exorciser en semant et multipliant partout au Bénin des places et des arbres nouveaux pour désenvouter les mémoires et les cœurs, mettre en déroute « La Route de l'esclave », désamorcer à tout jamais rancœurs et rivalités d'antan, faire plier la Bête. « Car c'est de l'homme qu'il s'agit, et de son renouement… Je t'ignore, litige. Et mon avis est que l'on vive ! » (Saint-John Perse). Et si les 156 femmes et hommes à revenir dans le sillage des 26 trésors royaux revenus étaient 182 appels à faire resplendir le côté jour de l'homme ?
Oui, ils sont bel et bien 182 appels pressants à resplendissement de l'homme.
La direction générale des Impôts a mis en place une nouvelle plateforme destinée à la mise à jour et à la délivrance de l'Identifiant Fiscal Unique (IFU). L'information a été rendue publique à travers un communiqué signé du directeur général Nicolas Yenoussi.
Dans le but de moderniser et de rendre plus performant les services rendus par l'administration fiscale, la DGI a mis en ligne une nouvelle plateforme (ifu.impôts.bj). Elle est destinée à la mise à jour et à la délivrance de l'Identifiant Fiscal Unique (IFU).
Pour soumettre désormais une demande d'immatriculation sur la nouvelle plateforme, il suffit de saisir le Numéro Personnel d'Identification (NPI) et suivre le processus. Le NPI est attribué par l'Agence Nationale d'identification des Personnes (ANIP) à l'occasion de la formulation de toute demande d'actes.
A.A.A
L’insécurité, la violence par armes à feu et la criminalité font de plus en plus de victimes parmi les jeunes. Au Canada, plus précisément à Montréal, un jeune homme, d’origine algérienne, a perdu la vie, jeudi 2 décembre, lors d’une fusillade ayant semé la commotion dans la région.
Il s’appelle Hani Ouahdi, âgée de 20 ans et d’origine algérienne. Il était passionné par la musique et connu en tant que rappeur sous le nom de Dzairy. Jeudi soir, Hani a été retrouvé blessé dans un véhicule garé dans un cul-de-sac, place Cointerel.
Selon les médias canadiens, les services de police de la Ville de Montréal (SPVM), ont été alerté vers 19 h 15 suite à des coups de feu qui ont éclaté dans l’arrondissement Anjou, plus exactement sur la place Cointerel, près de l’angle de la rue de la Roseraie.
Transporté à l’hôpital, la victime a succombé à ses blessures, dans la nuit de jeudi à vendredi. Hani Ouahdi lâchement assassiné devant sa résidence de Laval, n’avait pas d’antécédents judiciaires et n’était pas connu des milieux policiers, rapporte Le journal de Montréal.
Par ailleurs, la victime était accompagnée d’un adolescent de 17 ans, qui a également été blessé au haut du corps. Ce dernier qui a survécu à l’attentat est cependant connu des services policiers et collabore à l’enquête, précise radio Canada.
Les témoignages du père de la victimeMustapha Ouahdi, le père de Hani, profondément abattu et endeuillé, n’a pas manqué à souligner l’ampleur de la violence liée au gang de rue à Montréal. « Aujourd’hui, c’est mon fils. Demain, peut-être que ce sera votre frère », a-t-il tristement dit au journal de Montréal.
La victime qui s’apprêtait à intégrer l’Université du Québec à Montréal en janvier, n’avait pas de mauvaise fréquentation. « À part quelques contraventions de la route, il n’avait rien. Il voulait chanter, vivre, mais rien de mal », a confié son père, avant d’ajouter : « J’espère que le SPVM fera le nécessaire ».
Quant à l’adolescent qui accompagnait son fils au moment des faits, monsieur Ouahdi a fait savoir qu’il ne le connait pas. Il est venu chercher son fils chez lui, jeudi. Il ne sait cependant pas exactement où le duo se dirigeait, indique le média suscité.
« Il fait partie d’un groupe de rap. Le site où ils répétaient et préparaient leurs chansons, c’était dans ce secteur-là. Je ne sais pas. Je ne l’ai pas suivi », a dit le père du défunt. En conclusion, il n’a pas manqué à exprimer la fierté et l’amour qu’il portait pour son fils.
« J’étais toujours été fier de mon fils. Il adorait travailler. Quand il embarquait dans un truc, il fallait qu’il le fasse bien. Il adorait le sport. Il avait des valeurs et vivait sa vie comme un jeune ». Il ne m’a jamais déçu. Il mérite bien que je sois debout pour lui »
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La compagnie aérienne nationale Air Algérie annonce ce samedi 4 décembre de nouvelles conditions pour les passagers à destination de la France. Cette nouvelle mesure concerne les passagers vaccinés et non-vaccinés.
Dans un communiqué rendu public ce samedi matin sur sa page Facebook, Air Algérie a indiqué que les passagers à destination de la France devront présenter un test PCR négatif ou un test antigénique négatif de 48 heures.
Selon la même source, cette mesure qui entrera en vigueur à compter d’aujourd’hui 4 décembre 2021, concerne les passagers vaccinés et les non-vaccinés. Il s’agit des passagers âgés de plus de douze ans.
« À compter du 04/12/2021, le test PCR négatif ou test Antigénique négatif de 48 heures pour les passagers vaccinés et non vaccinés de plus de douze (12) ans est obligatoire », lit-on dans le communiqué de la compagnie aérienne.
Prolongation de la validité des billets : les précisions d’Air AlgérieDurant la semaine dernière, Air Algérie a annoncé que la validité des billets d’avion et avoirs de ses clients, arrivant à expiration, est prolongée au 31 décembre 2022.
« Pour vous permettre d’organiser vos prochains déplacements, Air Algérie a le plaisir de vous offrir la prolongation de validité au 31 décembre 2022 de tous vos billets et avoirs (EMD Voucher) arrivant à expiration », a indiqué la compagnie aérienne.
En outre, les anciens billets de et vers Montréal, Dubai, Londres et Rome/Milan émis pour des voyages avant le 20 octobre 2021 « sont modifiables sans différences tarifaires ni frais supplémentaires », ajoute la même source.
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