À l’occasion de la journée internationale des droits de l’Homme, Bouzid Lazhari, président du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), a prononcé aujourd’hui, le 21 décembre 2021, un discours dans lequel il a lancé un défi à tous ceux qui affirment qu’il y a des violations des droits de l’homme en Algérie.
« L’État Algérien est un cœur clément et vaste », déclare le président du CNDH aujourd’hui, à l’occasion de la journée internationale des droits s de l’homme.
Il ajoute que l’Algérie respecte « toutes les différences du peuple Algérien avec ses opinions politique ». Lazhari précise « qu’ils sont tous les bienvenus, naturellement dans le cadre du respect des principes en commun, et loin du discours de la haine ».
M. Lazhari a notamment indiqué qu’une grâce présidentielle a été accordée à plus de 15.000 prisonniers cette année, dont ceux qui « sont appelés par certains, des détenus d’opinion ».
Violations des droits de l’homme : Lazhari veut des preuvesToujours lors du même discours, Lazhari a indiqué que le CNDH est un organe constitutionnel, et c’est dans ce contexte qu’il « invite tous les défenseurs des droits de l’Homme et toutes les associations activant dans le domaine de la défense des droits de l’Homme, ainsi que toutes les ONG nationales et internationales, à collaborer, à coordonner et à discuter sur tout ce qui concerne les droits de l’Homme ».
« On ne veut pas seulement entendre les opinions qui ne nous dérangent pas, mais on veut également écouter celles qui ne nous plaisent pas », a indiqué le président du CNDH. Il ajoute ensuite que les ONG « sont invités à nous faire part de toutes les soi-disant violations des droits de l’Homme en Algérie« .
Il y a cependant une condition, précise Lazhari, c’est que ces allégations « soient dotées de preuves solides qui attestent de la véracité de tels crimes ». « C’est cela la politique du conseil qui est tirée elle mène de la politique de l’État », confie le président du CNDH qui ajoute que le ce conseil noue des liens solides avec les institutions « onusiennes, régionales, africaines et arabes », concernant la défense des droits de l’Homme.
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Chaque année des milliers de jeunes migrants bravent la mer et le désert fuyant la situation socio-économique de leur pays, la misère et la pauvreté à la quête d’une vie meilleure sous d’autres cieux. Ils se jettent alors à bord des embarcations de fortune conscients tout de même du risque entrepris. Malheureusement des centaines d’entre eux périssent sans jamais atteindre cet objectif tant attendu.
Aujourd’hui encore, une embarcation a été interceptée par les gardes côtes espagnoles près d’une plage de la commune de Calpe (Alicante) avec sur son bord neuf harragas algériens, selon certains médias espagnols. Les migrants se trouvent actuellement dans un état de santé relativement bon, selon la même source.
Une fois identifiés, les 9 harragas ont été ensuite transférés au port d’Alicante pour être pris en charge par la Croix-Rouge et ainsi subir des tests PCR pour détecter une éventuelle contamination à la Covid-19.
14 000 harragas ont rejoint l’Espagne cette annéele 6 décembre dernier, l’Ambassadeur et chef de la délégation de l’Union européenne (UE) en Algérie, Thomas Eckert, avait fourni un chiffre effarant de l’immigration clandestine en provenance d’Algérie et du Maroc. En effet, ils sont 14 000 harragas ayant rejoint, à partir de la côte ouest algérienne et du Maroc, l’Espagne durant les neufs premiers mois de l’année en cours.
Selon le chef de la délegation UE, les Algériens occupent la première place des migrants clandestins en provenance du Maghreb durant la période allant de janvier à septembre 2021. En mois de septembre dernier, ils étaient plus de 2 200 Algériens ayant débarqué sur les côtes espagnoles à bord de près de 150 embarcations de fortune.
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Le tribunal de Sidi M’hamed à Alger a ouvert hier le procès le procès de l’ancien ministre de l’Industrie, Youcef Yousfi. Il s’agit de l’affaire d’une affaire de montage des tracteurs agricoles impliquant le groupe industriel des quatre frères Kharbouche.
Accusé d’abus de fonction et de dilapidation de deniers publics, l’ancien ministre de l’Industrie a rejeté toutes les accusations portées à son encore, niant avoir octroyé d’indus avantages à des sociétés pour le montage de tracteurs agricoles.
Durant l’audience, dont le déroulement est rapporté ce mardi par le quotidien El Watan, le principal mis en cause a d’emblée affirmé d’un ton haut : « Je n’ai aucun lien avec ce dossier ». En effet, le prévenu a rejeté rejette tous les griefs portés contre lui, dont la « dilapidation de deniers », « abus de fonction » et « octroi d’indus avantages ».
Cependant, le juge lui a signifié qu’il avait « transmis une liste additionnelle de dix sociétés, dont Agro-Industrie, pour le montage de tracteurs », sans que cette dernière soit éligible à cette activité, précise encore le même journal.
« Aucune autorisation ne peut être donnée sans l’accord du Premier ministre »En effet, le juge a précisé à l’adresse du prévenu qu’elle n’est ni agréée ni concessionnaire et qu’elle ne détient même un contrat de partenariat avec un étranger. En réponse à la requête du juge, Youcef Yousfi a chargé l’ancien premier ministre Ahmed Ouyahia.
« Le Premier ministre m’a saisi en me demandant pourquoi avoir agréé Agro-Industrie », a déclaré le prévenu. Ensuite, il ajoute qu’il lui avait « répondu par un courrier en date du 25 novembre 2018 en précisant qu’il ne l’a ni autorisé ni agréé », rapporte la même source.
Ainsi, l’ancien ministre de l’Industrie continue alors qu’il avait été « inculpé sur la base du courrier du Premier ministre, sans prendre en compte ma réponse, qui n’a pas été jointe au dossier ». Dans sa plaidoirie, il ajoute « n’avoir même pas donné l’arrêté technique à Agro-Industrie ».
Soulignant « l’importation des tracteurs était interdite » à l’époque, le prévenu précise « qu’aucune autorisation ne peut être donnée sans l’accord du Premier ministre ».
Les réquisitoires du procureur contre les accusésÀ l’issue de l’audience dans le cadre de ce procès, le procureur de la République près le tribunal de Sidi M’hamed a requis, ce mardi, une peine de 5 ans de prison ferme à l’encontre de Youcef Yousfi.
Pour ce qui est des 4 frères Kharbouche, le parquet a requis une peine de 8 ans de prison assortie d’une amende d’un million de dinars contre chacun. La même peine a été également prononcée contre le Directeur de l’industrie et du développement au ministère de l’Industrie, Mustapha Abdelkrim.
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Après les grands matchs joués et la grande performance présentée lors de la Coupe Arabe 2021 au Qatar, soldée par le couronnement des Verts, on ne peut que constater le haut niveau de nos jeunes et talentueux joueurs de l’équipe nationale A’.
Parmi ces derniers, figure clairement le défenseur Mohamed Amine Tougai, ayant joué un rôle important et remarquable lors de ce tournoi Arabe. « Dieu merci, nous avons joué la Coupe Arabe et l’avons couronné pour le peuple, pas pour nous », a-t-il déclaré.
En effet, ledit footballeur a confirmé qu’il continuerait à travailler pour arracher une place dans l’équipe A de Djamel Belmadi. « Je suis encore jeune. Je vais continuer à travailler dur pour rejoindre l’équipe nationale A», a fait savoir le défenseur central de l’Espérance sportive de Tunis.
Tougai exprime son espoir d’intégrer l’équipe premièreLe natif d’Alger a conclu : « ce qui est certain, est que le sélectionneur national Djamel Belmadi me convoquera dès qu’il jugera que je suis prêt et capable d’intégrer son équipe ».
Par ailleurs, il convient de rappeler que les Fennecs ont été couronnés, samedi dernier au Qatar, du prestigieux trophée de la Coupe Arabe de la FIFA, et ce, après avoir vaincu la Tunisie en match de finale avec 2-0, inscrits par Amir Sayoud et Yacine Brahimi.
Sachant que les hommes de Madjid Bougherra ont été, tout au long de leur parcours durant cette compétition, invaincus. Ils ont réalisé cinq victoires, face respectivement, au Soudan, Liban, Maroc, Qatar et pour finir la Tunisie, ainsi qu’un match nul contre l’équipe égyptienne.
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L’évolution de la pandémie du coronavirus force les spécialistes à réagir un peu partout à travers le monde, afin de trouver des sorties de crise. En Algérie, bien que les cas de contamination ne dépassent pas 300 par jour ; pour le moment, elles poussent déjà à recourir à des mesures plus extrêmes, comme la vaccination des enfants et des femmes enceintes.
Concernant le variant Omicron, le Pr Djenouhat dresse un bilan assez positif. Bien qu’il affirme que ce nouveau variant se propage 70 fois plus vite que les anciennes souches, le spécialiste souligne que « les dernières études, qui nous viennent ces trois derniers jours d’Hong Kong, démontrent que ce variant n’entre pas dans les poumons, mais reste dans les branches, c’est pour cela que sa propagation est rapide tandis que ses symptômes sont légers ».
Variant Omicron : la fin du Delta ?Un autre point positif souligné par le Pr Djenouhat, c’est que le variant Omicron est en voie d’éradiquer les autres variants. Le professeur a déclaré aujourd’hui, lors de son passage dans une émission d’Echourouk TV, que « le variant Omicron ne peut pas cohabiter avec les autres souches de la covid-19, on peut dire qu’il s’agit éventuellement d’un point positif, car avec le temps, il se peut que la souche Delta disparaisse, ainsi que les autres souches, en faveur du variant Omicron ».
Le spécialiste indique cependant que « l’efficacité des vaccins a baissé » contre le variant Omicron. Bien que « les deux doses peuvent protéger contre le nouveau variant », le Pr Djenouhat rappelle que le vrai danger demeure pour le moment le variant Delta.
« Il est impossible », assure le spécialiste, « d’empêcher omicron de dominer dans n’importe quel pays ». Concernant l’Algérie, le Pr Kamel Djenouhat indique que ce nouveau variant pourrait dominer « d’ici à deux ou trois mois ». « Notre objectif, ajoute le même intervenant, est de ne pas avoir beaucoup de patient dans un temps très court ».
Le Coronavirus « s’est transformé de la forme pandémique à la forme endémique », affirme le Pr Djenouhat, qui explique que « qu’il est possible avec la souche Omicron que la covid-19 devienne comme les virus causant le rhume ou la grippe ».
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Les Fennecs d’Algérie ont impressionné le monde entier avec leur excellente performance présentée lors de tous les matchs de la Coupe Arabe 2021 qui s’est déroulée au Qatar. Cette dernière s’est soldée par le couronnement de ces derniers avec le prestigieux trophée de cette compétition.
À cet effet, les autorités du pays, ainsi que le peuple et les supporters algériens ont préparé un accueil aux Champions de la coupe Arabe. Le sélectionneur de l’équipe nationale A’, Madjid Bougherra, s’est exprimé à ce propos et a remercié lesdits supporters qui ont assisté par centaines, voire par milliers à Alger, afin d’accueillir la délégation des Verts de retour du Qatar, en lançant : « nous sommes heureux quand nous voyons la joie des fans ». « Nous jouons pour le peuple algérien ! », a-t-il lancé.
Ainsi, le Magic a fait l’éloge de ses joueurs et de leur haut niveau présenté lors de ce tournoi arabe. « Je félicite les joueurs qui étaient à la hauteur des attentes pendant ce tournoi. Ce sont des champions parce que ce sont eux qui ont participé aux matchs et qui ont eu cette victoire », a-t-il ajouté.
« J’ai beaucoup appris de Belmadi » (Bougherra)« Heureusement, j’avais des joueurs professionnels, matures et expérimentés, ce qui m’a facilité le travail (…) La présence de certains joueurs de l’équipe première tels que Yacine Brahimi et Baghdad Bounedjah a été un grand plus, car ils ont aidé le reste des joueurs à s’intégrer dans le groupe », a poursuivi Bougherra.
Par ailleurs, Bougherra a tenu à remercier le sélectionneur national de l’équipe A, Djamel Belmadi, qui a travaillé avec lui en tant qu’assistant et a confirmé qu’il avait beaucoup appris de lui. « Je remercie beaucoup Djamel Belmadi, parce que j’ai beaucoup appris de lui », a fait savoir le coach, ajoutant : « ce que nous avons accompli pendant la coupe arabe est une continuité des succès de l’équipe nationale ».
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Dans l’hexagone, un homme qui crie « Allah Akbar » est systématiquement interpelé peu importe le contexte. C’est ce qui s’est produit en juin dernier dans un hypermarché de Saint-Etienne où un quinquagénaire avait crié à pleins poumons « Allah Akbar » plongeant les clients dans une panique générale. Interpellé, il est aujourd’hui condamné à 8 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel.
Le mis en cause était accompagné d’un autre homme âgé de 38 ans au moment de l’incident. Tous deux sont poursuivis « pour violence en réunion avec préméditation ». La scène qui avait provoqué un mouvement de panique a coûté au quinquagénaire une peine de 8 mois de prison assorti d’une amande de 750 euros avec deux années d’inéligibilité. Quant à son comparse, celui-ci a été relaxé.
« J’étais en extase ! »Dimanche 7 juin en fin de matinée, les deux individus dont le plus âgé avait visiblement l’intention de créer une panique générale, déambulaient depuis une trentaine de minutes dans un hypermarché, lorsqu’il s’est agenouillé dans une allée, récitant des versets du coran en levant les bras et criant à trois reprises «Allah Akbar », selon Le Figaro.
La scène avait provoqué un tel mouvement de panique qu’un client s’était fracturé l’épaule en chutant lors de l’évacuation du magasin. Lors de leur comparution, en novembre dernier, le plus âgé avait soutenu qu’il s’était réjoui « que des églises du nord de la France rouvrent leurs portes » après les restrictions sanitaires liées au Covid-19 et que sa prière dans le magasin était « une réaction émotionnelle qui venait du cœur ». « J’étais en extase, c’était une invocation pas un cri de guerre », avait-il ajouté.
Par ailleurs, il semble que le quinquagénaire est un coutumier de fait. En décembre 2016, ce dernier avait provoqué une panique générale lors d’une cérémonie d’obsèques ayant entrainé l’évacuation d’une église à Lyon.
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Le ministère de l’Agriculture en collaboration avec le ministère du Commerce s’apprête à effectuer une nouvelle révision de la liste des produits agricoles importés. Cette démarche vise à préserver la production locale.
Intervenant lors d’une conférence le cadre de la Foire de la production nationale, le ministre de l’Agriculture Abdelhafidh Henni a annoncé que son département compte réviser la liste des produits agricoles importés pour la préservation de la production nationale.
Soulignant que cette démarche devra être réalisée en collaboration avec le ministère du Commerce, le ministre a précisé qu’il s’agit d’une démarche qui vise à protéger et à promouvoir ce qui est produit localement.
Sans ce sens, le ministre explique que « certaines filières agricoles ont besoin d’une protection contre les produits importés, d’où la nécessité de revoir la liste des produits agricoles importés ».
Quels sont les produits concernés ?Pour la mise en œuvre de cette démarche, le département ministériel en charge du secteur agricole compte proposer au ministère du Commerce l’interdiction d’octroyer les licences d’importation pour plusieurs produits agricoles.
Il s’agit selon le même responsable des produits agricoles de luxe, produits en quantité suffisante localement dont les amandes et le miel.
L’intervenant ajoute dans le même sillage que « la politique de développement du secteur s’appuie principalement sur l’encouragement de la production locale en la soutenant face au produit importé » insisté.
À côté de cela, l’interdiction de nouveaux produits à l’importation permettra également de réduire considérablement la facture d’importation des produits alimentaires, ajoute-t-il.
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La mesure du gel des dérogations sanitaires nécessaires pour l’importation du lait en poudre, dénoncée la semaine dernière par les producteurs, aura en fin le dénouement escompté. Le ministre de l’Agriculture en a fait des annonces.
En effet, le premier responsable du secteur agricole Mohamed Abdelhafidh Henni a annoncé hier lundi à Alger la levée du gel des dérogations sanitaires pour l’importation de la poudre de lait à partir de demain mercredi.
Intervenant lors d’une conférence dans le cadre des activités de la Foire de la production nationale, le ministre a souligné que son département « accordera les dérogations sanitaires pour l’importation de la poudre de lait à tous les opérateurs de la filière à compter du 22 décembre ».
Par ailleurs, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural a appelé « l’ensemble des laiteries à intégrer progressivement le lait frais produit localement dans la fabrication des produits laitiers pour réduire la facture d’importation de la poudre de lait ».
Les producteurs ont-ils eu gain de cause ?Pour rappel, les producteurs ont dénoncé à maintes reprises le gel des dérogations sanitaires d’importation (DSI) de lait en poudre. Durant la semaine dernière, le président de la Confédération des industriels et des producteurs algériens (CIPA) est revenu à la charge tout en lançant un appel à la tutelle.
Intervenant lors d’une rencontre avec les producteurs du lait, adhérents de la CIPA, Abdelouahab Ziani avait précisé que les dérogations sanitaires étaient gelées depuis 9 septembre dernier. Face à cette situation, les laiteries étaient confrontées à des problèmes d’approvisionnement.
L’intervenant a expliqué que les laiteries seront contraintes de cesser leurs activités si les autorités ne lèvent pas le gel des dérogations sanitaires, nécessaire pour l’importation de lait en poudre. Ainsi, force est de constater que la nouvelle décision débloquera sans doute la situation.
Cependant, il convient de noter que ce n’étaient pas les décisions de la tutelle qui manquaient, puisque le président de la CIPA avait souligné qu’en dépit de l’annonce faite par le premier responsable du secteur concernant la levée du gel de la dérogation sanitaire à partir de la semaine passée, « les services concernés par l’application affirment ne pas avoir reçu des instructions dans ce sens ».
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Depuis plusieurs jours, les fortes précipitations ayant caractérisé le début de ce mois ont laissé place à des journées ensoleillées sur l’ensemble du territoire national. Ce mardi 21 décembre, aucune vigilance particulière n’a été signalée par Météo Algérie.
Pour les prévisions de cette même journée sur les régions nord du pays, hormis quelques bancs de brume et de brouillard avec des nuages bas locaux en début de matinée notamment dans les vallées, le ciel dégagé à partiellement voilé.
Sur les régions sahariennes, le ciel sera souvent voilé à nuageux sur le sud-ouest et le Sahara central avec possibilité de faibles pluies par endroits. Sur l’extrême sud vers le Hoggar et le Tassili, le temps sera souvent voilé par des nuages élevés.
Le Temps sera également généralement dégagé sur les autres régions sahariennes, précise encore Météo Algérie dans ses prévisions.
Froideur intense sur les hauts plateauxSur les régions intérieures et les hauts plateaux, l’ONM prévoit une froideur intense, notamment sur les hauts plateaux de l’est et les Aurès avec des formations de gelée durant la matinée de ce mardi.
Pour ce qui est des températures maximales attendues pour cette même journée, Météo Algérie prévoit entre 17 et 20 degrés sur les régions côtières, entre 14 et 21 degrés sur les régions intérieures et entre 15 et 26 degrés sur les régions sahariennes.
Par ailleurs, il convient de rappeler que ce mardi 21 décembre 2021 est la date du jour le plus court et de la nuit la plus longue de l’année. Cette date marque également le début officiel de la saison hivernale.
Ainsi, et à partir de là, les journées se rallongeront peu à peu jusqu’à faire la même durée que celle de la nuit à l’équinoxe du printemps. La durée maximale du jour sera atteinte au solstice d’été prévu pour le 21 juin.
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Les cours de l’euro et du dollar face au dinar algérien sur le marché parallèle de change restent toujours à leurs niveaux élevés en cette fin d’année. Dans les cotations officielles, ces deux monnaies ont connu une stabilité ce mardi 21 décembre.
Dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie, un euro s’échange contre 156,62 dinars à l’achat et 156,65 dinars à la vente. Hier, l’unité de cette monnaie s’échangeait contre 157,14 dinars à l’achat et 157,19 dinars à la vente.
Le dollar américain s’échange ce mardi à la Banque d’Algérie contre 139,09 dinars à l’achat et 139,10 dinars à la vente. Hier, la monnaie étasunienne s’échangeait également contre ces mêmes niveaux à l’achat et à la vente.
Le taux de change de la livre sterling à la Banque centrale d’Algérie affiche quant à lui 183,64 dinars à l’achat et 183,71 dinars à la vente. Avant, cette même monnaie était à 184,79 dinars à l’achat et 184,83 dinars à la vente.
Pour ce qui est du dollar canadien, il s’échange dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie contre 107,62 dinars à l’achat et 107,67 dinars à la vente. L’on note également une baisse par rapport à hier ; 108,48 dinars à l’achat et 110,52 dinars à la vente.
Taux de change du dinar sur le marché parallèleAu niveau du marché parallèle de change, l’euro s’établit aux environs de 251 dinars à la vente et 249 dinars à l’achat. Au début du mois en cours, l’unité de la monnaie européenne ne dépassait pas les 218 dinars à l’achat et 216 dinars à la vente.
Le dollar américain enregistre, quant à lui, une nouvelle hausse. Il est cédé aujourd’hui à 194 dinars à l’achat et 192 dinars à la vente. La livre sterling s’échange ce mercredi contre 248 dinars à l’achat et 251 dinars à la vente.
Le dollar canadien sur le marché noir des devises est cédé contre 143 dinars à l’achat et 146 dinars à la vente.
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La Fondation MTN a procédé au lancement ce lundi 20 décembre, de l'édition 2021 du « Mois de la solidarité ». La cérémonie de lancement a eu lieu à l'EPP de Koguede, une localité de la commune de Za-Kpota, en présence du directeur régional, Franck Yabi, du député Boniface Yehouetomey, et élus locaux.
Donner de la joie aux couches vulnérables en période des fêtes de fin d'année est une priorité pour la Fondation MTN. Dans le cadre du « Mois de solidarité », la fondation a initié cette année, un projet dénommé, « Y'ello Christmas in schools ».
Selon Franck Yabi, directeur régional Zou de MTN, plusieurs actions ont été définies au cours de ce mois à l'endroit des communautés. Une dizaine d'écoles primaires publiques ont été sélectionnées pour bénéficier d'une campagne de distribution de dons sous forme de coffrets dans lesquels se trouvent des vivres, des jouets, a-t-il expliqué. Mieux que les coffrets, les 3 meilleures filles de chaque établissement seront récompensées avec des livres, a ajouté Franck Yabi. Cerise sur le gâteau, le Père Noël egayera la journée des enfants à travers la distribution des cadeaux dans les différentes écoles sélectionnées, a confié le directeur régional.
« MTN a choisi un secteur clé, le secteur de l'éducation, socle du développement », a souligné le député Boniface Yehouetomey. Il a par la suite remercié la Fondation MTN pour ses nombreuses actions au profit des populations de Za-Kpota. A en croire le député, c'est des dizaines de millions de francs CFA que MTN engage chaque année pour donner de la joie aux enfants.
Par ce geste, la Fondation MTN donne l'exemple à d'autres citoyens (acteurs politiques ou économiques), d'avoir la générosité de partager, a fait savoir l'élu du peuple.
Le porte-parole des élèves, Jonas Lissanon, après avoir remercié la Fondation MTN, a prié Dieu que ses activités prospèrent afin qu'elle pense aux élèves de Koguede les années à venir.
Les directeurs des deux groupes ont remercié la Fondation MTN pour le don offert aux enfants. Profitant de l'occasion, ils évoqué quelques difficultés d'eau potable et d'électricité auxquelles les apprenants sont confrontés.
Quelques images de la cérémonie
Fabrice A. AHEHEHINNOU
Le grand banditisme transfrontalier que certains appellent abusivement terrorisme, sévit partout où règne le commerce de l'essence frelatée et les trafics de tout genre. Une situation qui impacte le dispositif sécuritaire de plusieurs pays en Afrique au Sud du Sahara, où l'Etat a perdu sa souveraineté sur plusieurs kilomètres carrés de son territoire.
Judicael ZOHOUN
Faux médicaments, trafic de drogues, d'êtres humains et d'essence frelatée règnent dans plusieurs régions enclavées dans bon nombre de pays au Sud du Sahara, où l'Etat a renoncé à ses fonctions régaliennes.
Comment les bandes armées peuvent-elles contrôler d'immenses territoires au point de menacer l'Etat central ? De quelles ressources disposent ces organisations ?
Une analyse approfondie du circuit du carburant frelatée en Afrique permet de se rendre à l'évidence. Les bandes armées qu'on appellent terroristes tirent une bonne partie de leurs ressources du trafic de l'essence frelatée. Cameroun, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Niger, Tchad, Nord Nigeria et Nord Cameroun, le diagnostic est le même.
En effet, dans les zones reculées de ces pays d'Afrique subsaharienne, le code d'identification des points de vente de l'essence frelatée est identique. Le plus souvent, c'est une bouteille, une dame-jeanne ou un bidon disposés sur le côté de la route, comme des objets abandonnés. Parfois, c'est une longue perche au sommet duquel un entonnoir ou un bidon est fixé. Ces signes indiquent aux motocyclistes et automobilistes, les lieux où on peut se ravitailler en carburant, dans des zones dépourvues de stations-services.
Une activité génératrice de revenus pour les populations, mais qui est détenue par de puissantes organisations qui font feu de tout bois pour maintenir leur position.
Un trafic transfrontalier
Au Burkina Faso où elle est appelée "essence par terre", le trafic du carburant frelaté demeure une pratique courante. A Fada, une zone enclavée où sévissent les bandes armées, l'essentiel du carburant provient du Bénin.
La Côte d'Ivoire n'échappe guère à ce phénomène. Selon des témoignages, le pays est approvisionné par voies maritime et fluviale depuis des pays voisins, à travers des circuits frauduleux, surtout à bord d'embarcations artisanales.
Un lieu de stockage du carburant frelaté en Côte d'Ivoire – Crédit Photo : SDN .La partie septentrionale du Cameroun connaît aussi cette pénétration de carburant frelaté, appelé "zoua-zoua", à partir de pays voisins, en particulier le Nigeria. Ce trafic est également alimenté par des groupes armés.
Tout comme le Cameroun, une partie du Tchad est touchée par le phénomène.
S'il est vrai que le Nigeria est le principal fournisseur de l'essence de contrebande en Afrique l'ouest, il faut reconnaître que ses Etats limitrophes comme le Bénin, le Cameroun, le Niger et le Tchad, constituent la base d'approvisionnement des bandes armées.
De ce fait, la question se pose alors de savoir si la lutte contre le terrorisme ne suppose-t-elle pas la lutte contre le trafic l'essence frelatée ? Bien évidemment, il faut différencier le trafic transfrontalier du trafic domestique du carburant
Le grand banditisme transfrontalier que certains appellent abusivement terrorisme, sévit partout où règne le commerce de l'essence frelatée et les trafics de tout genre. Une situation qui impacte le dispositif sécuritaire de plusieurs pays en Afrique au Sud du Sahara, où l'Etat a perdu sa souveraineté sur plusieurs kilomètres carrés de son territoire.
Judicael ZOHOUN
Faux médicaments, trafic de drogues, d'êtres humains et d'essence frelatée règnent dans plusieurs régions enclavées dans bon nombre de pays au Sud du Sahara, où l'Etat a renoncé à ses fonctions régaliennes.
Comment les bandes armées peuvent-elles contrôler d'immenses territoires au point de menacer l'Etat central ? De quelles ressources disposent ces organisations ?
Une analyse approfondie du circuit du carburant frelatée en Afrique permet de se rendre à l'évidence. Les bandes armées qu'on appellent terroristes tirent une bonne partie de leurs ressources du trafic de l'essence frelatée. Cameroun, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Niger, Tchad, Nord Nigeria et Nord Cameroun, le diagnostic est le même.
En effet, dans les zones reculées de ces pays d'Afrique subsaharienne, le code d'identification des points de vente de l'essence frelatée est identique. Le plus souvent, c'est une bouteille, une dame-jeanne ou un bidon disposés sur le côté de la route, comme des objets abandonnés. Parfois, c'est une longue perche au sommet duquel un entonnoir ou un bidon est fixé. Ces signes indiquent aux motocyclistes et automobilistes, les lieux où on peut se ravitailler en carburant, dans des zones dépourvues de stations-services.
Une activité génératrice de revenus pour les populations, mais qui est détenue par de puissantes organisations qui font feu de tout bois pour maintenir leur position.
Un trafic transfrontalier
Au Burkina Faso où elle est appelée "essence par terre", le trafic du carburant frelaté demeure une pratique courante. A Fada, une zone enclavée où sévissent les bandes armées, l'essentiel du carburant provient du Bénin.
La Côte d'Ivoire n'échappe guère à ce phénomène. Selon des témoignages, le pays est approvisionné par voies maritime et fluviale depuis des pays voisins, à travers des circuits frauduleux, surtout à bord d'embarcations artisanales.
Un lieu de stockage du carburant frelaté en Côte d'Ivoire – Crédit Photo : SDN .La partie septentrionale du Cameroun connaît aussi cette pénétration de carburant frelaté, appelé "zoua-zoua", à partir de pays voisins, en particulier le Nigeria. Ce trafic est également alimenté par des groupes armés.
Tout comme le Cameroun, une partie du Tchad est touchée par le phénomène.
S'il est vrai que le Nigeria est le principal fournisseur de l'essence de contrebande en Afrique l'ouest, il faut reconnaître que ses Etats limitrophes comme le Bénin, le Cameroun, le Niger et le Tchad, constituent la base d'approvisionnement des bandes armées.
De ce fait, la question se pose alors de savoir si la lutte contre le terrorisme ne suppose-t-elle pas la lutte contre le trafic l'essence frelatée ? Bien évidemment, il faut différencier le trafic transfrontalier du trafic domestique du carburant
TotalEnergies Lubrifiants Algérie participe pour la première fois à la 29e édition de la Foire de la Production Algérienne, au Palais des Expositions d’Alger du 13 au 26 décembre 2021.
La 15e usine de production de lubrifiants de TotalEnergies en Afrique à l’honneur
Cette participation est l’occasion pour TotalEnergies Lubrifiants Algérie de présenter sur son stand aux nouvelles couleurs de la Compagnie, l’usine de production de lubrifiants de dernière génération située à Bethioua dans la wilaya d’Oran. Première du genre en Algérie, cette plateforme industrielle est dotée d’une capacité de production annuelle de 40 000 tonnes, avec une possibilité d’extension à 100 000 tonnes.
Le stand présente également un laboratoire de diagnostic unique, dénommé Anac, intégré à l’usine de production qui permet d’optimiser la performance et la longévité des véhicules et des équipements industriels grâce à une maintenance préventive et corrective.
« Nous sommes très heureux de participer à cet évènement qui nous offre la possibilité de présenter au public notre nouvelle usine à Bethioua. Cette usine de production de lubrifiantscontribue au développement de la filière industrielle algérienne et à l’emploi dans le pays via la création de 150 emplois. Ce projet permet à la fois la production en Algérie de lubrifiants haut de gamme, dont la performance est reconnue à l’international mais également de nous rapprocher de nos clients industriels algériens et partenaires en leur offrant des services à forte valeur ajoutée comme la solution Anac, jusque-là inédite sur le marché », a déclaré Stéphane Talleneau, directeur général de TotalEnergies Lubrifiants Algérie.
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Programmée du 9 janvier au 6 février 2022, la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2022 aura bien lieu à temps. C’est ce qu’a confirmé ce lundi le patron du football africain.
Pendant que la FIFA presse pour le report de la CAN 2022 ; le président de la CAF, lui, enchaine les déplacements en Afrique, dont son dernier a été aujourd’hui au Cameroun, pays organisateur de la compétition tant attendu par les Algériens, mais aussi par les supporters des pays participants.
Ce qu’a dit le patron de la CAFLors de son déplacement au Cameroun ; le patron de la CAF, Patrice Motsepe, a profité de son voyage au Cameroun pour écarter le report de la compétition.
« Nous sommes très clairs en termes d’engagement de faire de la CAN au Cameroun un succès. Je suis convaincu qu’après nos rencontres d’aujourd’hui et demain, nous pourrons venir vers vous et donner à l’Afrique et au monde la confiance que nous avons à travers l’engagement envers notre peuple, au Cameroun, et l’engagement pour le développement du football en Afrique », a déclaré le président de la CAF.
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L'utilisation de la crypto monnaie et des machines à sous est interdite dans la commune de Dassa-Zoumè, département des Collines, selon un arrêté du maire Nicaise Fagnon.
« Il est interdit sur l'étendue du territoire de la commune de Dassa-Zoumè, l'exercice de toute activité liée aux crypto-monnaies et aux machines à sous », indique un arrêté du maire Nicaise Fagnon en date du 15 décembre 2021.
Le maire a instruit les commissaires de la police, les Chefs d'Arrondissement et de village pour l'application de la décision. Le non-respect de la décision « expose tout contrevenant au paiement d'une amende de deux cents mille (200 000) FCFA » et à la saisie des matériels, met en garde le maire de Dassa-Zoumè.
M. M.