Interdiction à Abib Ahandessi de se présenter à l'Université d'Abomey-Calavi (UAC). La décision a été prise par le Recteur de l'UAC Félicien Avlessi à travers une note de service en date du 02 décembre 2021.
Selon la note de service, Abib Ahandessi appelé "Le révolutionnaire" est interdit d'accès aux différents campus de l'Université d'Abomey-Calavi. Sa présence, justifie le recteur, occasionne des troubles sur le campus d'Abomey-Calavi. La décision a été prise dans le but de maintenir l'ordre et la sécurité des personnes et des biens.
Le Recteur ajoute que les forces de sécurité sont mises à contribution pour la mise en application de la mesure.
A.A.A
Face au nouveau variant du coronavirus qui guette l’Algérie, les interrogations quant à de nouvelles mesures restrictives se font déjà. Le ministre de la Santé s’est exprimé ce samedi sur ce point ainsi que sur le risque lié au variant Omicron.
S’exprimant sur la situation épidémiologique, Abderrahmane Benbouzid a indiqué que le retour aux mesures du confinement total n’est pas abordé actuellement, soulignant qu’une telle démarche ne sera entreprise qu’en cas « d’une catastrophe ».
À propos du variant Omicron, il affirme les appréhensions lors de l’apparition d’un nouveau variant sont tout à fait compréhensibles. Or « à l’heure actuelle, ce qui se dit sur le variant Omicron n’est pas encore prouvé ».
Concernant le taux de vaccination contre le coronavirus en Algérie, le premier responsable du secteur sanitaire a expliqué « qu’il est très faible par rapport à d’autres pays. Ainsi, il a réitéré son appel à la population à se faire vacciner massivement contre le Covid-19.
Aucun décès pour l’heure selon l’OMSIl convient de noter que l’OMS ne n’a confirmé aucune victime concernant le nouveau variant qui inquiète le monde. Selon son porte-parole, l’Organisation n’a pour l’heure pas d’information sur un éventuel décès lié au nouveau variant Omicron du virus donnant le Covid-19.
Lors d’un point de presse tenu hier à Genève, Christian Lindmeier déclare : « Je n’ai vu aucune information rapportant des décès liés à Omicron ».
Or, il précise que, comme plus de pays font des tests pour tenter de détecter le nouveau variant, « nous aurons plus de cas, plus d’informations, et – bien que j’espère que non – possiblement des morts ».
Pour rappel, le variant Omicron, classé inquiétant par l’OMS, a été détecté d’abord en Afrique australe, mais depuis que les autorités sanitaires sud-africaines ont alerté l’OMS le 24 novembre, des infections avec Omicron ont été constatées dans une trentaine de pays sur tous les continents.
L’article Variant Omicron et retour au confinement : Benbouzid se prononce est apparu en premier sur .
Les Algériens en situation irrégulière en Europe notamment dans l’Hexagone sont souvent mis à nu par leurs conjointes à cause des violences conjugales. Comme c’est le cas ce jeune algérien, placé sous mandat de dépôt en octobre dernier et jugé ce jeudi 2 décembre par le tribunal de Cusset pour violences conjugales.
C’est le quotidien français La Montagne qui a rapporté le vendredi 3 décembre, ce fait divers. En effet, tout a commencé lorsque des policiers sont intervenus au foyer Adoma, à Vichy pour sauver une maman et ses deux enfants réfugiés dans une salle de bain.
La victime avait trouvé refuge chez un ami hébergé dans la résidence pour fuir la violence de son compagnon. Lors de son audition au commissariat, « la jeune femme présente des ecchymoses au visage. Sa belle-sœur rapporte aux policiers qu’elle lui aurait confié avoir subi, à plusieurs reprises, des coups de la part de son compagnon », rapporte le quotidien français.
La victime donne une autre version devant le jugeSelon le média susmentionné, le prévenu est un Algérien âgé de 24 ans, arrivé en France en 2018 et travaille sur les chantiers de façon non déclarée. Malgré les violences qu’il fait subir à la jeune femme, cette dernière l’a bizarrement défendu devant les juges du tribunal judiciaire de Cusset.
« Il n’a jamais levé la main sur moi », a-t-elle lâché. Celle qui refuse de se porter partie civile a précisé que « les ecchymoses au visage proviennent d’une bagarre avec une inconnue dans la rue ». La victime ne s’arrête pas là, elle ajoute également que sa belle-sœur qui a témoigné en sa faveur au commissariat est sa pire ennemi.
« On a un conflit familial avec ma belle-sœur. Elle a tout inventé » a-t-elle confié aux juges. Face à cette situation, le procureur de la République a recouru aux images tirées du système de vidéo du foyer, qui ont mis à nu la contradiction entre les propos de la victime et la réalité qu’elle vit.
Poursuivi également pour ne pas avoir respecté les termes de son assignation à résidence, le prévenu a été condamné à une peine de 8 mois de prison avec maintien en détention, ainsi qu’à une interdiction du territoire français pendant 5 ans
L’article France : un sans papier algérien condamné pour violences conjugales est apparu en premier sur .
La problématique de l’octroi du foncier industriel et son exploitation constitue un sérieux obstacle à plusieurs niveaux. Ce samedi, le président de la République a annoncé de nouvelles mesures permettant une gestion « transparente ».
Lors d’un discours prononcé à l’occasion de l’ouverture des travaux de la conférence nationale sur la relance industrielle, qui se tiendra au Palais des nations à Alger, Tebboune a annoncé la création de l’Agence nationale du foncier industriel.
Cette agence qui sera mise en place dès l’année prochaine, aura pour mission l’octroi et la distribution du foncier agricole d’une manière transparente, a indiqué le chef de l’État. Cette démarche vise à « fournir le foncier industriel aux investisseurs dans les meilleurs délais ».
Il a ajouté : « J’ai décidé de créer une institution spéciale pour le foncier industriel afin de l’octroyer en toute transparence », a-t-il, en effet déclaré soulignant que les zones industrielles resteront sous la tutelle du ministère de l’Industrie et de cette nouvelle Agence.
Levée du gel sur 581 dossiers ANDILors de son allocution, le président de la République a également confirmé que le gouvernement œuvre à lever les restrictions sur les projets suspendus avant la fin de ce mois. Le financement nécessaire à l’avancement de tous les projets industriels sera fourni, a-t-il encore précisé.
En outre, il a annoncé la levée du gel sur pas moins de 581 dossiers dans le cadre de l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI). Cela devra permettre, selon lui, la création de 75 000 nouveaux emplois.
Ce samedi matin, Tebboune a procédé à l’ouverture des travaux de la conférence nationale sur la relance industrielle organisée par le ministère de l’Industrie.
À noter que les travaux de cette conférence se déroulent au Palais des nations (pour ce qui est de l’ouverture et des allocutions) et au Centre international des conférences (pour ce qui est des ateliers et des débats), du 4 au 6 décembre, sous le thème « Ensemble pour relever le défi ».
L’article Gestion du foncier industriel : Tebboune annonce de nouvelles mesures est apparu en premier sur .
La première édition de l'Africa Digital Economy Forum, organisée par La Tribune Afrique en partenariat avec Huawei, s'est tenue en ligne le jeudi 2 décembre 2021.
Le Forum de l'Africa Digital Economy Forum a été organisé afin de mettre l'économie numérique au cœur des enjeux de l'Afrique et d'aboutir à des actions concrètes, tant en matière d'investissements qu'au niveau de la règlementation du secteur numérique. « Je salue l'initiative qu'est l'Africa Digital Economy Forum, visant à promouvoir l'économie numérique en Afrique autour des problématiques telles que la stratégie et la formation digitale, la formation des talents, les infrastructures réseaux et l'innovation », a affirmé le Président de la République du Sénégal, Monsieur Macky Sall.
L'événement a débuté avec deux discours tenus respectivement par Delphine CHENE, Présidente de La Tribune Afrique et Catherine CHEN, Vice-Présidente et Directrice du conseil d'administration de Huawei. Soulignant les liens qui unissent le Groupe au continent africain, Catherine Chen a rappelé les ambitions de Huawei en matière de responsabilité sociale.
« Nous assumons notre responsabilité sociale à travers des investissements de taille partout dans le monde, et plus spécifiquement en Afrique. Nous nous positionnons par exemple au Sénégal à travers l'accompagnement de 60 écoles, tout comme nous contribuons à la construction d'infrastructures novatrices en Éthiopie. Ainsi, sur le continent africain, Huawei se veut être un partenaire de développement, apte à accompagner le continent dans l'expression de son potentiel plein et entier », a-t-elle affirmé.
S'en sont suivis des débats animés par des intervenants prestigieux, parmi lesquels Roger ADOM - Ministre de l'Economie Numérique, des Télécommunications et de l'Innovation de la République de Côte d'Ivoire, Yankhoba DIATTARA, Ministre de l'Économie Numérique et des Télécommunications du Sénégal, Papa Amadou SARR, Ministre-Délégué Général à l'Entrepreneuriat Rapide des Femmes et des Jeunes à la Présidence de la République du Sénégal, Alpha BARRY Président Directeur Général d'Atos Afrique, Cristina DUARTE, Conseillère Spéciale des Nations Unies pour l'Afrique, Catherine CHEN, Vice-Présidente et Directrice du Conseil d'Administration de Huawei, Colin HU, Président Cloud & AI de Huawei Northern Africa, Mohamed BEN AMOR - Secrétaire Général AICTO, Mohammed Tawfik MOULINE, Directeur Général de l'Institut Royal des Études Stratégiques, Huria ALI MAHDI, Ministre Ethiopien de la Technologie et de l'Innovation, Lacina KONÉ, Directeur Général de Smart Africa, Élisabeth MEDOU-BADANG, Directrice de Zone et Porte-parole pour Orange en Afrique et au Moyen-Orient, Malek KOCHLEF, Directeur Général de la Coopération Internationale du Ministère de l'Enseignement Supérieur de la Tunisie, Amane DANNOUNI, Directeur Général & Partenaire au BCG, Didier ACOUETEY, Président de AfricSearch, Omar SEGHROUCHNI, Président du CNDP mais aussi Aboubacar KARIM, CEO et co-fondateur de Investiv Group.
Échanges sur les problématiques de l'économie numérique
L'Africa Digital Economy Forum a notamment a été marqué par la tenue de plusieurs tables rondes, keynotes et autres prises de paroles structurantes, mettant en avant les principales problématiques de l'économie numérique telles que l'accélération du développement de l'infrastructure numérique en Afrique, les perspectives de l'économie digitale, ou encore la formation des talents nécessaire au développement numérique du continent.
Selon Colin HU, Président Cloud & AI de Huawei Northern Africa :« la digitalisation est un voyage : pour la ville, elle a une valeur sociale, tandis que pour les entreprises, elle a une valeur commerciale. En ce sens, Huawei s'engage à la promouvoir à travers des investissements, mais aussi des études approfondies. Nos rapports - à l'image de « Intelligent World 2030 » - peuvent servir de référence en la matière : ils ont vocation à guider, ou tout au mieux à inspirer les organisations publiques comme privées dans leur stratégie ».
Roger ADOM, Ministre de l'Economie Numérique, des Télécommunications et de l'Innovation de la République de Côte d'Ivoire a quant à lui tenu à rappeler l'importance de la coopération entre états africains mais aussi entre secteurs privé et public, dans le développement des écosystèmes numériques sur le continent : « Le renforcement de l'économie numérique en Afrique nécessitera une forte collaboration inter-état. Des initiatives prometteuses et d'ampleur sont déjà mises en place, à l'image de Smart Africa. A travers ce projet, les états partagent les meilleures pratiques, dans une approche partenariale. Une étroite collaboration entre les secteurs publics et privés est aussi de mise, pour susciter des investissements durables, et accélérer le développement de l'Afrique ».
Cependant, malgré la transformation digitale véritable que connaît le continent depuis une quinzaine d'années, le taux de pénétration d'internet ne s'y élève qu'à 39,8%. Yankhoba DIATTARA, Ministre de l'Économie Numérique et des Télécommunications du Sénégal, a ainsi souligné l'importance de l'inclusion dans le développement des écosystèmes digitaux en Afrique :« Partout sur le continent, le taux de pénétration d'internet est de 39,8%, de la même manière que 30% de la population issue du continent vit dans une zone de connectivité sans pour autant y avoir accès - en raison notamment des coûts trop élevés. Nous sommes persuadés ainsi que la connectivité doit s'accompagner d'une « abordabilité ». Si nous remportons ce défi, l'Afrique pourra atteindre les 70% de connectivité. Plus que la qualité des infrastructures, la mise à disposition de leur accès pour toutes les strates des sociétés africaines doit être prise en compte ».
Transformation digitale africaine inclusive
Papa Amadou SARR, Ministre-Délégué Général à l'Entrepreneuriat Rapide des Femmes et des Jeunes à la Présidence de la République du Sénégal, a lui aussi défendu l'idée d'une transformation digitale africaine inclusive et portée par la jeunesse : « Le continent africain est conscient du fait qu'il faut former sa jeunesse – soit 60% de la population totale - afin de répondre aux exigences croissantes du marché du travail, chaque jour plus professionnalisant. Pour ce faire, il convient de mettre l'accent sur les politiques de formation, tout en privilégiant l'enseignement des compétences liées aux nouvelles technologies ».
Les infrastructures restent néanmoins l'une des clés du développement de l'économie numérique en Afrique. En ce sens, Elisabeth MEDOU BADANG, Directrice de Zone et Porte-parole pour Orange en Afrique et au Moyen-Orient, a déclaré :« La construction et le renforcement des infrastructures numériques en Afrique constitue l'un des enjeux les plus importants pour le développement du continent. Ainsi, partout en Afrique, les états se doivent d'assurer un cadre stable, au sein duquel peut éclore une économie numérique inclusive et rentable ».
Lacina KONE, Directeur Général de Smart Africa, appuie ce positionnement, en ajoutant : « Partout sur le continent, une véritable volonté politique a émergé au niveau des chefs d'État, pour saisir le train de ce qu'on appelle déjà la 4ème révolution industrielle. Une dynamique bienvenue : nous sommes convaincus que la gouvernance au sein de la transformation numérique doit être au centre du développement socio-économique de toutes les nations africaines. Plus que jamais, il faut que les instances de décision basent leurs stratégies sur l'économie numérique ».
Enfin, si les bouleversements occasionnés par la pandémie du Covid-19 ont fragilisé une partie des économies du continent, force est de constater que cette crise, en y accélérant la transformation digitale de manière considérable, a rapproché l'Afrique de son destin. Cristina DUARTE, Conseillère Spéciale des Nations Unies pour l'Afrique, a conclu la conférence à travers ces mots :« La pandémie de la Covid-19 est une épreuve créatrice d'opportunités : elle a planté les germes d'une nouvelle imagination de la structure économique africaine à grande échelle, en accélérant des tendances telles que la numérisation. Le changement est en marche partout en Afrique : le continent doit se saisir de la transformation digitale en cours pour accéder au développement qui lui est promis ».
A propos de Huawei
Fondée en 1987, Huawei est l'un des principaux fournisseurs mondiaux d'infrastructures de technologies de l'information et des communications (TIC) et d'appareils intelligents. Nous comptons plus de 197 000 employés, et nous opérons dans plus de 170 pays et régions, au service de plus de trois milliards de personnes dans le monde.
Notre vision et notre mission consistent à apporter le numérique à chaque personne, foyer et organisation pour un monde intelligent et entièrement connecté. À cette fin, nous allons favoriser la connectivité omniprésente et promouvoir l'égalité d'accès aux réseaux ; apporter le cloud et l'intelligence artificielle aux quatre coins du monde pour fournir une puissance informatique supérieure là où vous en avez besoin, quand vous en avez besoin ; construire des plateformes numériques pour aider toutes les industries et organisations à devenir plus agiles, efficaces et dynamiques ; redéfinir l'expérience utilisateur avec l'IA, en la rendant plus personnalisée pour les individus dans tous les aspects de leur vie, qu'ils soient à la maison, au bureau ou en déplacement.
Les prêtres de Fâ ont rendu publiques les prévisions de l'année 2022 ce samedi 04 décembre 2021.
Le principal signe de l'année 2022 est « Winlin Ko Tché », selon les prévisions du Fâ. Ce signe est suivi de « Di Tula » et « Abla ». Selon l'interprétation des prêtres de Fâ, ces signes annoncent une année 2022 prospère et fructueuse. Cependant, la maladie va sévir notamment les maux ventre. L'oracle exhorte à éviter l'entêtement, les bavardages inutiles et l'indiscrétion au cours de l'année 2022.
M. M.
Le président de la République Abdelmadjid Tebboune a procédé ce samedi à l’ouverture des travaux de la conférence nationale sur la relance industrielle, qui se tiendra du 4 au 6 décembre 2021 au Centre international des conférences à Alger.
Lors d’une allocution prononcée en cette occasion, le chef de l’État est revenu sur la situation actuelle du secteur industriel évoquant les obstacles ayant conduit au blocage de plusieurs projets. D’emblée, il a indiqué que la situation que vit le secteur industriel en Algérie « n’est pas une fatalité », car « nous sommes en mesure de la corriger … malgré que certains aspects sont difficiles à contrôler ».
Ainsi, il affirme que certes, « certains aspects sont difficiles à contrôler, mais la situation peut être corrigée rapidement », et ce, en « éliminant progressivement les causes de ce recul et en purifiant le secteur des résidus de la corruption et de dilapidation des deniers publics ».
Dans le même sillage, Tebboune a indiqué que le secteur industriel est passé par plusieurs étapes, dont « l’industrialisation exagérée, notamment en sidérurgique, textile … ». Après la période de prospérité financière, ajoute le président, « la fausse l’industrie est venue ».
Cette étape a été caractérisée, rappelle encore l’intervenant, par « le gonflage des pneus et le transfert illégal des capitaux vers l’étranger, et ce, sous diverses nominations et à travers une industrie de montage au lieu de fabrication ».
Tebboune met en garde contre les obstacles bureaucratiquesEn outre, le président de la République a appelé à « lever les obstacles devant les unités industrielles existantes » tout en procédant « à mener à terme les projets en cours ou suspendus ».
À ce propos, il indique que conformément à des instructions qu’il avait données afin de lever les restrictions sur 402 sociétés, « ces dernières ont été levées sur 57 d’entre elles en très peu de temps ». Pour ce qui est des raisons de ces blocages, le chef de l’État a indiqué que la plupart des projets sont bloqués pour des raisons futiles et par la bureaucratie.
Dans ce sens, il s’est interrogé : « Comment l’entrée d’une usine en production peut-elle être entravée pour des raisons futiles et bureaucratiques, telles que le refus d’accorder des permis de construire ? ». Pour lui, « ces justifications sont un crime contre l’économie nationale et une obstruction délibérée et claire à la relance économique ».
Tout en mettant en garde contre ces obstacles bureaucratiques, il a lancé un appel aux investisseurs « victimes d’injustice de se rapprocher des médiateurs de la République » afin de se plaindre de sa situation.
L’article Relance industrielle : Tebboune fait le point sur la situation est apparu en premier sur .
(Par Roger Gbégnonvi)
Une rumeur. Mais si c'est une information, elle est passée, plus filante que l'étoile du même nom, pour aller sombrer dans le silence des media grands et petits, pas candidats à être accusés de vendre du rêve en bleu. Car en insistant pour des retrouvailles à l'Elysée au sujet des trésors royaux d'Abomey, le Chef de l'Etat, pragmatique, semblait seulement dire : « Il y en a plus que 26. Les autres aussi nous intéressent. Nous reviendrons les chercher. » Il n'avait pas envisagé que, remués au tréfonds d'eux-mêmes par l'imprévu du geste, de la geste Talon-Macron, 156 Français, descendants d'esclaves noirs, décideraient de retourner sur la terre des ancêtres dans le sillage des 26 œuvres et entameraient, déjà, les démarches administratives idoines en direction de l'Etat béninois. Rêve ou fantasme ou rumeur ?
Mais il importe peu que l'information entraperçue soit trop belle pour être vraie puisque, dit l'adage, « ce qui de la maison est parti à la maison retournera », puisque le désir « d'un retour au pays natal » habite depuis toujours l'ADN meurtri des descendants de ceux qu'on a poussés à coups de lanière vers « La Porte du non-Retour », puisque, face à la porte de Caïn, le 18 janvier 1998, derrière le prof Honorat Aguessy pour la première « Marche et Cérémonie du Repentir », des Béninois de toute provenance et de toute obédience ont prié : « Et vous, sœurs et frères…,/ Vous descendants de ceux-là qui furent vendus à l'encan / Vous tous dispersés et disséminés dans le monde entier / Accédez à notre demande de pardon / Et laissez couler toutes les eaux amères et fétides / Pardonnez / Et partageons ensemble en ce jour consacré au Repentir / Partageons l'eau de la Réconciliation » (Samson Dossoumon).
Et voici qu'adviendraient au Dahomey-Bénin, au travers de 156 femmes et hommes précurseurs, les retrouvailles toujours déjà désirées. 156 femmes et hommes précédés, annoncés par la famille Jah, revenue seule et délibérément depuis un quart de siècle et domiciliée au lieudit Ganhatin non loin d'Ahozon, dans la banlieue de Ouidah.
Les retrouvailles n'effacent pas, n'effaceront pas « La Route de l'Esclave », domaine aimé de Caïn, qui aima très fort les trains à bestiaux emplis de Juifs promis à l'extermination, qui aima très fort les marais rwandais emplis de Tutsis promis à l'extermination. Ô Abel, partout crucifié par Caïn ! « La Route de l'Esclave » et ses stations à la cynique résonance. « Place des Enchères », pour la mise à prix et la vente : les invendus sont jetés. « Arbre de l'Oubli », pour que les vendus oublient le pays qui sait le mal qu'il leur a fait. « Arbre du Retour », pour qu'à leur mort l'esprit des vendus retourne au pays. Etc. De tels stigmates dans l'inconscient collectif peuvent fracturer les retrouvailles, les rendre problématiques. La Guadeloupéenne Maryse Condé l'a éprouvé. En 2018, elle confie : « Je n'avais jamais imaginé que l'Afrique pouvait être une terre hostile, et pourtant j'y ai connu douze années de souffrance et de galère. » Dans la même interview, l'écrivaine ajoute que, vue du Sénégal au temps de sa jeunesse, l'Afrique est un « milieu de hontes et de mensonges ». Sa tentative de vivre sur la terre de ses ancêtres vendus tourna au cauchemar. Elle s'en retourna.
Les retrouvailles en train d'advenir portent donc en filigrane le syndrome Maryse Condé. On devra l'exorciser en semant et multipliant partout au Bénin des places et des arbres nouveaux pour désenvouter les mémoires et les cœurs, mettre en déroute « La Route de l'esclave », désamorcer à tout jamais rancœurs et rivalités d'antan, faire plier la Bête. « Car c'est de l'homme qu'il s'agit, et de son renouement… Je t'ignore, litige. Et mon avis est que l'on vive ! » (Saint-John Perse). Et si les 156 femmes et hommes à revenir dans le sillage des 26 trésors royaux revenus étaient 182 appels à faire resplendir le côté jour de l'homme ?
Oui, ils sont bel et bien 182 appels pressants à resplendissement de l'homme.
La direction générale des Impôts a mis en place une nouvelle plateforme destinée à la mise à jour et à la délivrance de l'Identifiant Fiscal Unique (IFU). L'information a été rendue publique à travers un communiqué signé du directeur général Nicolas Yenoussi.
Dans le but de moderniser et de rendre plus performant les services rendus par l'administration fiscale, la DGI a mis en ligne une nouvelle plateforme (ifu.impôts.bj). Elle est destinée à la mise à jour et à la délivrance de l'Identifiant Fiscal Unique (IFU).
Pour soumettre désormais une demande d'immatriculation sur la nouvelle plateforme, il suffit de saisir le Numéro Personnel d'Identification (NPI) et suivre le processus. Le NPI est attribué par l'Agence Nationale d'identification des Personnes (ANIP) à l'occasion de la formulation de toute demande d'actes.
A.A.A
L’insécurité, la violence par armes à feu et la criminalité font de plus en plus de victimes parmi les jeunes. Au Canada, plus précisément à Montréal, un jeune homme, d’origine algérienne, a perdu la vie, jeudi 2 décembre, lors d’une fusillade ayant semé la commotion dans la région.
Il s’appelle Hani Ouahdi, âgée de 20 ans et d’origine algérienne. Il était passionné par la musique et connu en tant que rappeur sous le nom de Dzairy. Jeudi soir, Hani a été retrouvé blessé dans un véhicule garé dans un cul-de-sac, place Cointerel.
Selon les médias canadiens, les services de police de la Ville de Montréal (SPVM), ont été alerté vers 19 h 15 suite à des coups de feu qui ont éclaté dans l’arrondissement Anjou, plus exactement sur la place Cointerel, près de l’angle de la rue de la Roseraie.
Transporté à l’hôpital, la victime a succombé à ses blessures, dans la nuit de jeudi à vendredi. Hani Ouahdi lâchement assassiné devant sa résidence de Laval, n’avait pas d’antécédents judiciaires et n’était pas connu des milieux policiers, rapporte Le journal de Montréal.
Par ailleurs, la victime était accompagnée d’un adolescent de 17 ans, qui a également été blessé au haut du corps. Ce dernier qui a survécu à l’attentat est cependant connu des services policiers et collabore à l’enquête, précise radio Canada.
Les témoignages du père de la victimeMustapha Ouahdi, le père de Hani, profondément abattu et endeuillé, n’a pas manqué à souligner l’ampleur de la violence liée au gang de rue à Montréal. « Aujourd’hui, c’est mon fils. Demain, peut-être que ce sera votre frère », a-t-il tristement dit au journal de Montréal.
La victime qui s’apprêtait à intégrer l’Université du Québec à Montréal en janvier, n’avait pas de mauvaise fréquentation. « À part quelques contraventions de la route, il n’avait rien. Il voulait chanter, vivre, mais rien de mal », a confié son père, avant d’ajouter : « J’espère que le SPVM fera le nécessaire ».
Quant à l’adolescent qui accompagnait son fils au moment des faits, monsieur Ouahdi a fait savoir qu’il ne le connait pas. Il est venu chercher son fils chez lui, jeudi. Il ne sait cependant pas exactement où le duo se dirigeait, indique le média suscité.
« Il fait partie d’un groupe de rap. Le site où ils répétaient et préparaient leurs chansons, c’était dans ce secteur-là. Je ne sais pas. Je ne l’ai pas suivi », a dit le père du défunt. En conclusion, il n’a pas manqué à exprimer la fierté et l’amour qu’il portait pour son fils.
« J’étais toujours été fier de mon fils. Il adorait travailler. Quand il embarquait dans un truc, il fallait qu’il le fasse bien. Il adorait le sport. Il avait des valeurs et vivait sa vie comme un jeune ». Il ne m’a jamais déçu. Il mérite bien que je sois debout pour lui »
L’article Canada : meurtre tragique d’un jeune algérien à Montréal est apparu en premier sur .
La compagnie aérienne nationale Air Algérie annonce ce samedi 4 décembre de nouvelles conditions pour les passagers à destination de la France. Cette nouvelle mesure concerne les passagers vaccinés et non-vaccinés.
Dans un communiqué rendu public ce samedi matin sur sa page Facebook, Air Algérie a indiqué que les passagers à destination de la France devront présenter un test PCR négatif ou un test antigénique négatif de 48 heures.
Selon la même source, cette mesure qui entrera en vigueur à compter d’aujourd’hui 4 décembre 2021, concerne les passagers vaccinés et les non-vaccinés. Il s’agit des passagers âgés de plus de douze ans.
« À compter du 04/12/2021, le test PCR négatif ou test Antigénique négatif de 48 heures pour les passagers vaccinés et non vaccinés de plus de douze (12) ans est obligatoire », lit-on dans le communiqué de la compagnie aérienne.
Prolongation de la validité des billets : les précisions d’Air AlgérieDurant la semaine dernière, Air Algérie a annoncé que la validité des billets d’avion et avoirs de ses clients, arrivant à expiration, est prolongée au 31 décembre 2022.
« Pour vous permettre d’organiser vos prochains déplacements, Air Algérie a le plaisir de vous offrir la prolongation de validité au 31 décembre 2022 de tous vos billets et avoirs (EMD Voucher) arrivant à expiration », a indiqué la compagnie aérienne.
En outre, les anciens billets de et vers Montréal, Dubai, Londres et Rome/Milan émis pour des voyages avant le 20 octobre 2021 « sont modifiables sans différences tarifaires ni frais supplémentaires », ajoute la même source.
L’article Vols vers la France : Air Algérie annonce une nouvelle condition est apparu en premier sur .
Depuis quelques années déjà, la valeur du dinar algérien ne cesse de baisser. Face aux principales devises, il parait tout faible. Sur le marché officiel, mais aussi sur le marché noir, on assiste à une dégringolade sans précédent.
Selon les cotations officielles de ce samedi 4 décembre 2021, un seul euro s’échange au prix de 157.04 dinars algériens à l’achat et 157.07 dinars algériens à la vente. Le dollar quant à lui, a également connu une hausse.
L’unité de cette monnaie s’échange à la banque d’Algérie contre pas moins de 138.81 dinars algériens à l’achat et contre 138.83 dinars algériens à la vente. Le dollar canadien s’est stabilisé par ailleurs, au prix de 108.61 dinars algériens à l’achat et contre 108.65 dinars algériens à la vente.
La livre sterling enfin ne perd jamais sa valeur. Au niveau des guichets de la banque d’Algérie, un seul pound est cédé ce samedi 4 décembre 2021, contre pas moins de 184.37 dinars algériens à l’achat et contre 184.41 dinars algériens à la vente.
Le marché parallèleAu niveau du Square Port-Saïd dans la capitale Alger, les prix des devises ont flambée. Une hausse qui s’explique notamment par la réouverture des frontières et l’intensification des dessertes. Sur le marché noir, un seul euro s’échange contre 214 dinars algériens à l’achat et contre 216 dinars algériens à la vente.
D’un autre côté, le dollar connait aussi une augmentation considérable. Il est cédé contre 191 dinars algériens à l’achat et contre 194 dinars algériens à la vente. Le dollar canadien, s’échange quant à lui, contre pas moins de 143 dinars algériens à l’achat et 146 dinars algériens à la vente.
Les cambistes au Square Port-Saïd proposent par ailleurs un seul pound contre 248 dinars algérien à l’achat et 251 dinars algériens à la vente.
L’article Taux de change du Dinar face aux principales devises ce 4 décembre est apparu en premier sur .
Depuis quelques jours, l’Algérie connait une vague de froid inhabituel. Après les fortes pluie automnales, l’hiver fait son entrée. Les montagnes de certaines wilayas ont été couvertes de neiges dont l’épaisseur avait atteint jusqu’à 15 cm.
Aujourd’hui, samedi 4 décembre, les wilayas du pays seront au rendez-vous avec des vents violents ainsi qu’une mer agitée sur l’ensemble des zones côtières, indique météo Algérie. En effet, l’office national de météorologie a mis en garde ce samedi contre des ventes violents dont la vitesse est estimé à 60 km/h.
Par conséquent, la mer sera agitée et la hauteur des vagues atteindre les trois (3) mètres, et ce, à partir de l’après midi de ce samedi jusqu’au lendemain, dimanche 5 décembre. Les zones côtières concernées par ce BMS sont : Marsa Ben M’Hidi, Ghazaouet, Béni Saf, Oran, Arzew, Mostaganem, Ténès. Ainsi que Béjaia, Alger, Azzefoun, Dellys, Jijel, Skikda, Annaba, Collo.
Routes fermées à cause de la neigeLes chutes de neige qui se sont abbatu hier, vendredi 3 décembre, ont provoqué la fermeture de plusieurs routes notamment dans les wilayas de Tizi-Ouzou et Bouira. Selon la protection civile, huit routes ont été fermées à la circulation dans ces wilayas.
Il s’agit entre autre de la RN 33, reliant Bouira à Tizi Ouzou, au niveau de Tikjda dans la commune de Lasnam et la RN 30, reliant Bouira à Tizi Ouzou, au niveau du tronçon reliant la Commune de Sahridj à la commune de Ouacif (Tizi Ouzou).
À cela s’ajoute, la RN 15, au niveau du Tirourda, à Ifferhounen et La RN 72, reliant Sidi Namane à Makouda, au niveau de Zaouia. À chelf, la neige a provoqué un glissement de terrain sur la route wilayale n°44 reliant Talaassa et Sidi Abderrahmane, au niveau de l’endroit appelé El Djorf Lazrag. À Mostaganem, une montée des eaux du côté de la RW° 30 reliant la commune de Sidi Attar à la RN° 11, a été enregistré
L’article Météo : vents violents sur plusieurs zones côtières est apparu en premier sur .
Le ministre de l'intérieur et de la sécurité publique, Alassane Seidou, a entamé une tournée à la suite de l'attaque contre les forces armées béninoises dans le nord du pays.
Le jeudi 02 décembre 2021, le préfet du département de l'Atacora, les maires des neuf communes de l'Atacora, les chefs d'arrondissement et les directeurs départementaux de la Police républicaine ont eu une séance de travail avec le ministre de l'intérieur et de la sécurité publique à Natitingou. « Aucun développement n'est possible sans des conditions de sécurité optimales », a indiqué Alassane Seidou à l'entame de la séance.
Le préfet du département de l'Atacora Déré Lydie Chabi Nah a pris la parole pour souhaiter la bienvenue au ministre et à sa délégation.
La délégation s'est rendue à Djougou dans la soirée.
M. M.
La Commission de discipline de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) a rendu sa décision dans l'après-midi de ce vendredi 03 décembre 2021, sur le recours introduit par le Bénin contre la République Démocratique du Congo dans le cadre du match comptant pour les éliminatoires à la Coupe du Monde de football, Qatar 2022.
La réclamation déposée par le Bénin a été déclarée irrecevable par la FIFA. Selon la Commission de Discipline de la FIFA, la réclamation ne remplissait pas les conditions prévues à l'art. 46 du Code disciplinaire de la FIFA et art. 14 du Règlement de la compétition préliminaire de la Coupe du Monde de la FIFA 2022. Selon l'article 14 du Règlement des éliminatoires de la Coupe du monde 2022, « toute réclamation doit être présentée par écrit au commissaire de match de la FIFA dans les deux heures suivant la fin du match, et être suivie d'un rapport écrit complet à envoyer par mail au secrétariat général de la FIFA dans les 24 heures ».
La commission de discipline précise que sa « décision est susceptible d'appel ».
La réclamation du Bénin portait sur le nombre de remplacement autorisés dans les temps réglementaires. Lors du match Bénin-RDC comptant pour les éliminatoires à la Coupe du Monde de football, Qatar 2022, le sélectionneur de la RDC, Hector Cuper, avait procédé à quatre remplacements dans quatre séquences différentes du match au lieu des trois prévus.
M. M.
Les éléments de la brigade de lutte contre le trafic de stupéfiants relevant du service de wilaya de la police judiciaire de la sûreté de wilaya d’Oran ont réussi à démanteler un réseau international spécialisé dans le trafic de drogue dure et douce (cocaïne-crack).
En effet l’opération menée hier, jeudi 2 décembre, a permis de saisir une importante quantité de drogue estimée à dix (10) kilogrammes et soixante (60) grammes de cocaïnes ainsi que plus de soixante dix (70) de kif traité (canabis), selon les informations relayées par les médias nationaux. Cette opération intervient suite à des recherches intensifiées ainsi que des efforts colossaux menés par les autorités compétentes.
Pour le moment, sept (7) personnes impliquées ont été arrêtés, parmi elles, figurent le Président du club Widad Amel Mostaganem, Sofiane Benamar dit « Guenfouda ». Élu en 2019 comme premier responsable du club mostaganémois, il est aussi l’un des actionnaires du Mouloudia d’Oran (MCO), le club phare de l’Ouest algérien.
Les personnalités de foot local de plus en plus impliquéesEn juillet dernier, un dangereux réseau international de trafic de drogue a été démantelé par les services de sécurité dans l’ouest du pays. Une opération qui a permis de procéder à l’arrestation de plusieurs personnes, dont un ancien footballeur de clubs locaux.
Il s’agit de Sadek Baraja, un ancien joueur du MC d’Oran et de plusieurs autres clubs de Foot en Algérie. Ce dernier a été arrêté en compagnie de six autres personnes. La quantité saisie par les éléments de la police a été estimé à 7 kilos de cocaïne et 18 kilos de kif traité.
L’article Le président d’un club arrêté en possession de 10 kg de cocaïne est apparu en premier sur .
Triste et affligeant pour cette famille algérienne endeuillée. Alors qu’elle trépignait d’impatience pour recevoir la dépouille de leur proche décédée en France, cette famille découvre qu’une erreur vient d’en remettre une couche à leur peine.
En effet, la famille de la défunte découvre, dès que la dépouille leur a été remise, que le corps n’est pas celui de leur proche, mais celui d’une ressortissante marocaine. Cette dernière devait être transférée à Agadir (Maroc).
Une gaffe peu commune !L’erreur n’a pas été constaté dès le début. Une maladresse qui a tout même fortement importuné cette famille. En effet, Il a fallu que les responsables de la société des pompes funèbres s’en rendre compte pour que les choses soient révélées.
Les membres de la famille de la ressortissante algérienne s’aperçoivent, importunément, que le dépouille qu’ils attendaient, était celle d’une ressortissante marocaine décédée, elle aussi, en France.
Le cercueil de la défunte, a été transféré vers l’aéroport international Mohamed de Casablanca. De là, elle sera rapatriée en Algérie mais via un aéroport européen, puisque les frontières entre l’Algérie et le Maroc sont fermées au vu de la relation tendue entre les deux pays depuis l’été dernier.
Par ailleurs, les autorités algériennes vont procéder au transfert de la dépouille de la ressortissante marocaine vers son pays. Comme pour la ressortissante algérienne, celle-ci devra « faire une escale dans un aéroport européen avant son transfert vers le Maroc », ajoute le même site.
L’article France : la dépouille d’une Algérienne atterrit au Maroc est apparu en premier sur .
La commission de discipline de la FIFA a débouté le Bénin dans sa requête contre la RDC comptant pour les éliminatoires de la Coupe du Monde Qatar 2022. Selon la FIFA, la cause du Bénin ne peut être abordée à cause d'une méconnaissance de certaines dispositions élémentaires des statutaires qui régissent cette compétition.
Votre journal publie ici la décision