La Commission de discipline de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) a rendu sa décision dans l'après-midi de ce vendredi 03 décembre 2021, sur le recours introduit par le Bénin contre la République Démocratique du Congo dans le cadre du match comptant pour les éliminatoires à la Coupe du Monde de football, Qatar 2022.
La réclamation déposée par le Bénin a été déclarée irrecevable par la FIFA. Selon la Commission de Discipline de la FIFA, la réclamation ne remplissait pas les conditions prévues à l'art. 46 du Code disciplinaire de la FIFA et art. 14 du Règlement de la compétition préliminaire de la Coupe du Monde de la FIFA 2022. Selon l'article 14 du Règlement des éliminatoires de la Coupe du monde 2022, « toute réclamation doit être présentée par écrit au commissaire de match de la FIFA dans les deux heures suivant la fin du match, et être suivie d'un rapport écrit complet à envoyer par mail au secrétariat général de la FIFA dans les 24 heures ».
La commission de discipline précise que sa « décision est susceptible d'appel ».
La réclamation du Bénin portait sur le nombre de remplacement autorisés dans les temps réglementaires. Lors du match Bénin-RDC comptant pour les éliminatoires à la Coupe du Monde de football, Qatar 2022, le sélectionneur de la RDC, Hector Cuper, avait procédé à quatre remplacements dans quatre séquences différentes du match au lieu des trois prévus.
M. M.
Les éléments de la brigade de lutte contre le trafic de stupéfiants relevant du service de wilaya de la police judiciaire de la sûreté de wilaya d’Oran ont réussi à démanteler un réseau international spécialisé dans le trafic de drogue dure et douce (cocaïne-crack).
En effet l’opération menée hier, jeudi 2 décembre, a permis de saisir une importante quantité de drogue estimée à dix (10) kilogrammes et soixante (60) grammes de cocaïnes ainsi que plus de soixante dix (70) de kif traité (canabis), selon les informations relayées par les médias nationaux. Cette opération intervient suite à des recherches intensifiées ainsi que des efforts colossaux menés par les autorités compétentes.
Pour le moment, sept (7) personnes impliquées ont été arrêtés, parmi elles, figurent le Président du club Widad Amel Mostaganem, Sofiane Benamar dit « Guenfouda ». Élu en 2019 comme premier responsable du club mostaganémois, il est aussi l’un des actionnaires du Mouloudia d’Oran (MCO), le club phare de l’Ouest algérien.
Les personnalités de foot local de plus en plus impliquéesEn juillet dernier, un dangereux réseau international de trafic de drogue a été démantelé par les services de sécurité dans l’ouest du pays. Une opération qui a permis de procéder à l’arrestation de plusieurs personnes, dont un ancien footballeur de clubs locaux.
Il s’agit de Sadek Baraja, un ancien joueur du MC d’Oran et de plusieurs autres clubs de Foot en Algérie. Ce dernier a été arrêté en compagnie de six autres personnes. La quantité saisie par les éléments de la police a été estimé à 7 kilos de cocaïne et 18 kilos de kif traité.
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Triste et affligeant pour cette famille algérienne endeuillée. Alors qu’elle trépignait d’impatience pour recevoir la dépouille de leur proche décédée en France, cette famille découvre qu’une erreur vient d’en remettre une couche à leur peine.
En effet, la famille de la défunte découvre, dès que la dépouille leur a été remise, que le corps n’est pas celui de leur proche, mais celui d’une ressortissante marocaine. Cette dernière devait être transférée à Agadir (Maroc).
Une gaffe peu commune !L’erreur n’a pas été constaté dès le début. Une maladresse qui a tout même fortement importuné cette famille. En effet, Il a fallu que les responsables de la société des pompes funèbres s’en rendre compte pour que les choses soient révélées.
Les membres de la famille de la ressortissante algérienne s’aperçoivent, importunément, que le dépouille qu’ils attendaient, était celle d’une ressortissante marocaine décédée, elle aussi, en France.
Le cercueil de la défunte, a été transféré vers l’aéroport international Mohamed de Casablanca. De là, elle sera rapatriée en Algérie mais via un aéroport européen, puisque les frontières entre l’Algérie et le Maroc sont fermées au vu de la relation tendue entre les deux pays depuis l’été dernier.
Par ailleurs, les autorités algériennes vont procéder au transfert de la dépouille de la ressortissante marocaine vers son pays. Comme pour la ressortissante algérienne, celle-ci devra « faire une escale dans un aéroport européen avant son transfert vers le Maroc », ajoute le même site.
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La commission de discipline de la FIFA a débouté le Bénin dans sa requête contre la RDC comptant pour les éliminatoires de la Coupe du Monde Qatar 2022. Selon la FIFA, la cause du Bénin ne peut être abordée à cause d'une méconnaissance de certaines dispositions élémentaires des statutaires qui régissent cette compétition.
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« La menace est à nos portes », disait le Dr Derar, au début de cette semaine, concernant le nouveau variant de la covid-19, baptisé Omicron, et détecté pour la première fois en Afrique du Sud. La situation sanitaire a finalement donné raison à ce spécialiste.
En effet, un premier cas de ce nouveau variant du coronavirus, doté de 32 mutations, contre seulement 2 dans le cas du variant Delta, a été découvert aujourd’hui en Tunisie. L’information a été confirmée par le ministre tunisien de la Santé, Ali Mrabet.
Selon le premier responsable du secteur de la Santé chez notre voisin de l’est, un premier cas de contamination au variant Omicron vient d’être détecté, a-t-il annoncé dans la soirée d’aujourd’hui vendredi, le 03 décembre 2021.
Un Congolais en provenance d’IstanbulToujours selon le même responsable, le patient contaminé au nouveau variant de la covid-19, est un Congolais âgé de 23 ans, qui a été testé positif au niveau de l’aéroport de Carthage, ou il avait atterri en provenance de Turquie.
« Dès son arrivée à l’Aéroport Tunis-Carthage, le passager a été soumis à un test rapide qui s’est révélé positif », a précisé le ministre de la Santé, ajoutant que le séquençage, qui a été effectué par la suite, a permis de savoir qu’il s’agit bel et bien de la première contamination enregistrée par la Tunisie du Variant Omicron.
Ceci dit, de nombreuses voix s’élèvent, afin de dédramatiser la situation, dont celle de l’OMS qui a « exhorté les pays à ne pas paniquer, mais à se préparer à sa probable propagation ». S’exprimant à Genève, le porte-parole de l’OMS, Christian Lindmeier, a souligné que « les données suggérant qu’Omicron était hautement transmissible n’étaient que préliminaires ».
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La diplomatie algérienne est particulièrement active depuis quelques mois. Dans le cadre de ses efforts pour se repositionner sur la scène internationale, l’Algérie vise à reconquérir son titre d’alliée des opprimés, et de protectrice des droits des peuples.
Cette lancée diplomatique survient toutefois à l’ombre d’une escalade avec le voisin marocain. Une nouvelle crise qui n’est pas proche de son dénouement, notamment avec la confirmation faite par Israël qu’elle fera désormais partie du jeu.
Si le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, s’est exprimé à maintes reprises, depuis aout dernier, à propos de la crise algéro-marocaine, il est rare d’entendre, outre Amar Belani, d’autres diplomates s’aventurer sur ce terrain.
Aujourd’hui cependant, lors d’un discours prononcé à la 28e réunion du Conseil des ministres de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) à Stockholm en Suède, Faouzia Mebarki, ambassadrice d’Algérie en Autriche et représentante permanente auprès de l’OSCE, a fustigé l’alliance entre le Maroc et Israël.
L’intervenante a fortement dénoncé « les violations des droits de l’homme et des libertés fondamentales en Palestine et au Sahara Occidental, où les droits des peuples palestinien et sahraoui sont bafoués, violés, foulés au pied, par les États occupants, respectivement Israël et le Maroc ».
Menace de destruction contre la méditerranéeLa diplomate n’a pas manqué de souligner que « la région Scandinave a tant milité pour la Paix et la Sécurité internationales et spécifiquement en méditerranée », hélas déplore-t-elle, le pourtour méditerranéen risque d’être négativement impacté par la crise entre Israël et la Palestine d’un côté, et entre le Maroc et le Sahara occidental de l’autre.
En effet, L’ambassadrice de l’Algérie en Autriche a affirmé qu’il est « urgent » d’ouvrir un dialogue entre palestiniens et israéliens et entre Sahraouis et Marocains. Ne rien faire, estime-t-elle, revient à « laisser les situations pourrir et la guerre se poursuivre entre les protagonistes » ce qui va finir « par déstabiliser, voire détruire directement ou indirectement toute la méditerranée ».
L’ambassadrice indique qu’il ne s’agit pas d’un discours alarmiste, vu que « l’escalade récente dans notre région montre que, sous couvert de normalisation, Israël et le Maroc entendent s’appuyer mutuellement pour continuer à piétiner le droit international ».
Pour étayer ses accusations, la diplomate déclare qu’elle ne citera que quatre « actes d’hostilité et d’agression caractérisées menés par le Maroc contre l’Algérie », les « plus récents », précise-t-elle. Il s’agit notamment de l’affaire Pegasus, l’assassinat de 3 routiers algériens au Sahara Occidental, « l’appui politique, diplomatique, logistique et financier à des organisations visant la sécession et déclarées terroristes en Algérie », et enfin, l’achat par le Maroc de drones kamikazes israéliens.
« Choisir l’agression est une preuve de faiblesse et d’impuissance. Construire la Paix, la vraie exige la bravoure, le courage et le sens des respirations de l’histoire », a affirmé enfin la diplomate algérienne.
Accords d’Abraham : cimetière de l’Initiative arabe de paixLa diplomate algérienne n’est pas allée par quatre chemins. Selon elle, le rapprochement entre le Maroc et Israël est loin d’être une chose qui puisse être dans l’intérêt du peuple palestinien. Faouzia Mebarki indique que les accords d’Abraham « enterrent définitivement l’Initiative arabe de paix « .
Cette initiative, rappelle la même intervenante « offrait la reconnaissance d’Israël par tous les États arabes, en même temps, contre la solution à deux États séparés, vivant côte à côte en paix et en sécurité ». Chose qui a été finalement « dédaigneusement rejetée par Israël ».
Un refus qui a été suivi par la « la conclusion d’accords séparés » afin de « semer la division au sein de la Nation arabe », analyse l’ambassadrice d’Algérie en Autriche.
La diplomate explique qu’à cette sournoiserie diplomatique israélienne, s’ajoute sa barbarie militaire. Elle rappelle notamment que « des enfants (palestiniens) sont jugés par un tribunal militaire et condamnés à de lourdes peines ».
C’est pour toutes ces raisons que « l’Algérie ne reconnait pas l’État d’Israël » et qu’elle est « contre le sionisme ». Il s’agit, estime Mme Mebarki, « d’une conception du monde fondée sur l’expansionnisme et sur l’apartheid au mépris du Droit International ».
L’Algérie n’est ni raciste ni antisémite !La diplomate algérienne, qui a mené la délégation algérienne à cette rencontre, n’a pas manqué de répondre à ceux qui traitent l’Algérie d’un état anti-sémite. Elle affirme qu’il s’agit de « médias assujettis à des financements lobbyistes » qui tentent de faire croire que l’Algérie serait « contre la religion juive », et que les Algériens seraient donc « antisémites », « racistes », voire « haineux ».
Selon cette ambassadrice, il faut « mettre es points sur les « i » en rappelant que l’antisionisme n’est pas synonyme d’antisémitisme ». Elle rappelle que « les Algériens, en tant que peuple arabo-berbère, sont sémites ». Elle ajoute que « tous les descendants de Sem sont sémites qu’ils soient juifs, chrétiens, musulmans ou même athées ».
« C’est l’Algérie qui a exclu le régime d’apartheid de l’enceinte des Nations Unies », rappelé encore la diplomate qui affirme avoir été présente au démantèlement du Comité spécial des Nations Unies contre l’apartheid en 1990, après que Nelson Mandela fut libéré.
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Les élections locales organisées il y a une semaine en Algérie pour le renouvellement des assemblées populaires communales et de wilayas ne sont pas passées inaperçu dans certaines wilayas.
Du directeur d’un centre de vote qui a tenté de fuir avec les Procès-verbaux à Oran aux individus qui ont détruit des urnes à Bouira, le scrutin a connu en effet deux incidents marquants. La justice vient par ailleurs de trancher sur la deuxième affaire.
Selon le quotidien Echorouk, les services de la gendarmerie national ont procédé ce vendredi, 3 décembre 2021, à l’arrestation de 13 personnes ayant entravé le bon déroulement des opérations de vote lors du scrutin passé.
Six d’entre eux ont été jetés en prison, quatre sont soumis à une surveillance juridique, tandis que le reste (3) a été relâché. Selon le communiqué de la gendarmerie nationale, cette arrestation intervient suite aux perturbations et destructions des listes électorales et des urnes, enregistrés dans la wilaya de Bouira. L’enquête a montré, selon la même source que ces individus ont été poussés à exécuter cette opération.
Retour sur les faitsRappelons que la semaine passé, soit le samedi 27 novembre 2021, des urnes ainsi qu’une partie des listes électorales ont été détruites par des opposants aux élections locales dans les trois centres de vote, dans la commune d’Ath Lakser au sud-est du chef-lieu de wilaya de Bouira.
Ainsi, la ville a connu des affrontements opposant des manifestants anti-élections aux policiers dans la ville de Haizer au nord de Bouira. Les forces de l’ordre ont usé du gaz lacrymogène afin de disperser les manifestants qui se dirigeaient vers 10 h du matin aux bureaux de vote pour empêcher le déroulement du scrutin.
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Le consul honoraire du Liban à Cotonou sera inhumé, ce samedi 04 décembre 2021, à Miziara, sa ville natale au Liban.
M. Tony Hanna Chagoury est décédé, le 1er décembre 2021, des suites d'une courte maladie dans sa 63e année à Beyrouth au Liban. Consul honoraire du Liban à Cotonou, le défunt est administrateur du groupe Chagoury et Frères Holding.
A.A.A
La covid-19 est loin d’être une infection banale aux symptômes similaires à la grippe saisonnière. Il s’agit d’une maladie dont les séquelles peuvent s’avérer dangereuses sur la santé physique et mental du patient. C’est ce que prouvent les différentes études menées entre 2019 et 2021.
Le site spécialisé, pourquoi Docteur, a publié hier, jeudi 2 décembre 2021, une récente étude menée par des chercheurs de la Radiological Society of North America dans l’objectif de déterminer l’impact et les conséquences de la COVID-19 sur le cerveau.
Sachant que des recherches antérieures avaient recensé plusieurs types de complications cérébrales liés au virulent virus tels que : des méningites, des encéphalites, des signes de confusion ou d’agitation ou encore des maux de têtes, des vertiges et des accidents vasculaires cérébraux. Les scientifiques sont déterminés à prouver l’extrême virulence de la covid.
C’est le cas notamment de Scott H. Faro, professeur de radiologie au sein de l’université Thomas Jefferson de Philadelphie, aux USA. Le chercheur avait constaté que la majorité des recherches traitaient particulièrement des complications pulmonaires liées à la covid, ce qui l’a amené à s’intéresser à d’autres organes, notamment le cerveau.
« Beaucoup de choses ont été écrites sur les problèmes pulmonaires globaux liés à la COVID-19, mais nous ne parlons pas souvent des autres organes qui peuvent être affectés. » a-t-il constaté.
Une étude réalisée sur un grand échantillonPour appuyer son étude et lui donner plus de fiabilité, professeur Scott H. Faro et son équipe ont décidé d’étudier un échantillon de près de 40 000 cas de patients hospitalisés positifs à la Covid-19 dans sept hôpitaux universitaires américains et quatre situés en Europe occidentale.
Selon la source susmentionnée, ce groupe de patient avait été admis entre septembre 2019 et juin 2020 et l’âge moyen était de 66 ans. Ainsi, il y avait deux fois plus d’hommes que de femmes.
En effet, la plupart d’entre eux ont été hospitalisés à cause d’une confusion et altération de l’état mental, ainsi qu’une fièvre. Certaines souffraient en outre de comorbidités comme l’hypertension, une maladie cardiaque ou le diabète.
Quel impact sur le système nerveux ?« De tous les patients hospitalisés qui ont subi une imagerie du cerveau, l’examen était positif dans environ 10 % des cas. L’incidence de 1,2% signifie qu’un peu plus d’un patient sur 100 admis à l’hôpital, positif à la COVID-19, va avoir un problème cérébral. » a indiqué l’auteur de l’étude.
Parmi les complications cérébrales induites par l’infection, citons : l’accident vasculaire cérébral, suivi par l’hémorragie intracrânienne et l’encéphalite. Il s’agit des complications les plus fréquentes pouvant causer un décès aux patients atteints.
Selon Dr Faro, il est fortement recommander de prescrire des IRM afin de « de connaître l’incidence précise de toutes les complications majeures du système nerveux central« .
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Dans un contexte toujours marqué par une hausse des cas de contamination à la covid-19, un nouveau variant a fait son apparition et a créé une crainte au sein de plusieurs pays du monde. En Algérie, le bilan quotidien des infections est repassé aujourd’hui au-dessus de la barre des 200 cas.
Aujourd’hui, le 03 décembre 2021, le communiqué du ministère de la Santé a fait état de … nouvelles contaminations à la covid-19 en Algérie ces dernières 24 heures contre 198 recensées par le bilan d’hier. Il s’agit d’une hausse légère, mais dont la symbolique confirme l’approche du pic d’une quatrième vague.
Outre le nombre de contaminations, le bilan de ce vendredi a également annoncé … nouveaux décès dus à des complications liées au coronavirus, …. nouveaux patients admis aux soins intensifs, et enfin …. nouvelles guérisons.
Ces derniers chiffres font que le bilan total des contaminations atteigne les 210.915 cas depuis le début de la pandémie en mars 2020 en Algérie. Le nombre de décès enregistrés lors de la même période est de 6.084 cas, selon les chiffres officiels.
Omicron déjà présent en AlgérieLe variant Omicron, qui a semé la panique chez les pays européens, serait déjà arrivé en Algérie. C’est loin d’être improbable d’après le Dr Melhag. Ce virologue a indiqué aujourd’hui qu’il était « fort possible » que le variant Omicron de la Covid-19 « soit déjà présent en Algérie« .
Cette déclaration ne vise nullement à semer la panique, indique le même intervenant, qui souligne que ce variant n’a causé aucun cas grave ni aucun décès d’après les études provisoires. Selon le Dr Melhag, il vaut mieux se concentrer sur le variant Delta qui lui constitue une véritable menace au moment où 80 % des Algériens ne sont pas vaccinés.
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L'Ambassade des Etats-Unis près le Bénin a rendu publique une déclaration à la suite de l'attaque contre des positions de l'armée béninoise.
« J'exprime mes condoléances les plus attristées aux familles des soldats tués dans l'attaque intervenue à l'aube du 2 Décembre contre les forces militaires béninoises près de Porga », a exprimé Patricia Mahoney, l'ambassadeur des Etats-Unis près le Bénin. Selon la déclaration rendue publique le 03 Décembre 2021, les Etats-Unis condamnent cette violence. « Nous nous engageons à soutenir le Gouvernement du Bénin dans ses efforts de promotion de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme, notamment à travers une assistance aux Forces Armées Béninoises dans le but de mieux sécuriser les frontières du pays. Nous sommes également engagés aux côtés du gouvernement et de la société civile pour empêcher l'insécurité de prendre racine, notamment à travers la prestation de services de santé, le développement économique et les programmes de résilience communautaire », indique la déclaration des USA.
M. M.
Le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Aurélien Agbénonci, a reçu ce jeudi 02 décembre 2021, les copies figurées des lettres de créance de 05 nouveaux ambassadeurs. Ces diplomates représentent respectivement la Libye, la Guinée équatoriale, Israël, l'Arabie saoudite et l'Australie.
De nouveaux ambassadeurs au Bénin. Omar Abdel Hadi Al-Fargany de la Lybie a ouvert le bal au cabinet du ministre des Affaires étrangères et de la coopération. C'est un pilote de formation. Il entend donner un nouveau souffle et une nouvelle orientation à la coopération entre le Bénin et la Lybie. Très heureux d'être à Cotonou, il a rassuré de travailler pour le rayonnement de la coopération entre les deux pays.
Francisco Edú Ngua Mangue est le nouvel ambassadeur de la Guinée équatoriale près le Bénin, avec résidence à Abuja. Celui-ci ambitionne au cours de son séjour à Cotonou, dynamiser la coopération entre le Bénin et la Guinée équatoriale dans plusieurs secteurs. Le nouvel ambassadeur est né le 7 janvier 1962. Il est titulaire d'un Master industriel d'automobile. Francisco Edú Ngua Mangue a représenté son pays en Afrique du Sud avec juridiction sur plusieurs pays.
L'Israélien Leo Vinovezky est le 3ème diplomate reçu par le chef de la diplomatie béninoise. Avant sa nomination au Bénin, il a occupé depuis 2017, le poste de directeur des Relations extérieures et de la collaboration internationale de l'Agence spatiale israélienne puis coordonnateur du Mashav. De 2003 à 2016, il fut successivement vice-ambassadeur d'Israël en Uruguay, vice-consul général en Philadelphie, vice-directeur des communautés juives, puis directeur adjoint Amérique centrale et Caraïbes, vice-ambassadeur au Brésil, en Ethiopie, au Rwanda et au Burundi. Il a sa résidence à Abidjan.
Faisal Ebrahim Alajrafi Alghamdi est très déterminé à faire bouger les lignes entre le Bénin et l'Arabie saoudite. Depuis 2018, il a occupé le poste de directeur de l'Administration des pays arabes africains. Le nouvel ambassadeur de l'Arabie saoudite est titulaire d'un Master en relations internationales. La 2ème session de la grande commission mixte entre le Bénin et son pays qui se tiendra du 18 au 20 janvier 2022, est le premier chantier sur lequel il va travailler.
John Gerard Donnelly de l'Australie a fermé la marche des ambassadeurs. Il est titulaire d'une Licence professionnelle obtenue en 1987 à l'Université de Sydney et d'une Maîtrise en administration publique de l'Université nationale australienne en 2012. Il a exercé les fonctions de directeur de la section Engagement international (commerce de services) au ministère australien des Affaires étrangères.
F. A. A.
En lisant les médias français, notamment la presse régionale qui s’intéresse aux faits divers, on retrouve souvent les histoires d’Algériens d’Algériennes établit un peu partout à l’Hexagone.
C’est le cas par exemple de ce quotidien régional qui a rapporté hier, jeudi 2 décembre 2021, une information faisant état du décès d’un Algérien à Périgueux (Dordogne), une commune située dans le sud-ouest de la France.
En effet, le journal français Sud Ouest a rapporté qu’un Algérien a été retrouvé samedi 27 novembre mort sur le bitume à Périgueux (Dordogne), rue Saint-Gervais. Alertés par les riverains vers les coups de 19 h 30, les policiers ont trouvé le corps sans vie de l’homme dans une mare de sang.
Suite de quoi, une enquête a été lancée mardi 30 novembre par la brigade de la sûreté urbaine du commissariat de Périgueux, sous l’autorité du parquet, afin de déterminer les circonstances ainsi que la cause du décès.
S’agit-il d’un homicide volontaire ou d’un accident de voiture ? Selon les résultats de l’autopsie, des lésions au thorax ont été constatées par le médecin légiste, en particulier des polyfractures costales. Raison pour laquelle le parquet a indiqué qu’il s’agit plutôt d’un décès d’origine accidentelle.
L’autopsie révèle un autre élémentPuisqu’aucun élément n’a montré qu’il y avait une intention de tuer, les fait ont été qualifiés d’homicide involontaire aggravé (la circonstance aggravante étant le délit de fuite), rapporte le média Sud Ouest. Par ailleurs, un autre élément déterminant a été révélé par l’autopsie. Il s’agit d’une quantité d’alcool détecté dans le sang de la victime. De ce fait, d’autres questions se posent.
Sachant que l’enquête se poursuit, l’Algérien qui était alcoolisé au moment des faits, aurait-il fait un malaise qui a provoqué sa chute et l’a exposé au risque d’être percuté ? Ou bien s’agit-il d’un piéton tout simplement percuté dans la nuit ? Conclut le média français.
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L’entrée d’Israël dans les données constituant le conflit entre l’Algérie et le Maroc est loin d’arranger les choses. Alors que les rapprochements entre Rabat et Tel Aviv se multiplient, Alger réaffirme ses positions ouvertement anti-sionistes.
Le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, a qualifié aujourd’hui, le vendredi 03 décembre 2021, dans une déclaration faite au média Crésus, l’alliance entre le Maroc et Israël, d’une « jonction de deux expansionnismes territoriaux ».
Lamamra a assuré qu’il n’y a pas lieu à comparer entre les diplomaties des deux pays. Selon lui, au moment où la « monodiplomatie marocaine » est « figée sur le Sahara Occidental et fixée sur l’Algérie », celle de l’Algérie, « multidimensionnelle et multifonctionnelle » est « au service d’objectifs nobles multiples ».
Le ministre s’est d’ailleurs exprimé en marge des travaux du 8e Séminaire de Haut Niveau sur la Paix et la Sécurité qui se tient à Oran et dont le thème est «Aider les nouveaux membres africains du Conseil de Sécurité de l’ONU à se préparer à traiter les questions de paix et de sécurité sur le contient ».
« Chaque pas que le Maroc fait l’éloigne de l’Algérie »Le ministre n’a pas manqué de préciser que le moteur de cette alliance entre le Maroc et Israël est « la négation de l’existence même de leurs victimes spoliées de leurs droits nationaux inaliénables », a déclaré Lamamra en faisant allusion aux deux peuples Sahraoui et Palestinien.
La décision du Maroc d’aller au bout de sa normalisation avec Israël fait que sa relation avec l’Algérie, qui ne tenait déjà qu’à un fil, s’est dangereusement détérioré. Selon Lamamra, « chaque pas que les autorités marocaines font dans cette alliance militaire malsaine, les éloigne d’autant de l’Algérie et de son peuple ».
Pour le ministre des Affaires étrangères et de la communauté nationale à l’étranger, Israël n’est pas un allié comme les autres. Il estime que « l’égarement des autorités marocaines met en évidence une poussée sans précédent d’un hégémonisme israélien rampant ».
Pour rappel, Ramtane Lamamra a annoncé fin aout dernier la rupture des relations diplomatiques entre l’Algérie et le Maroc. Le ministre a également affirmé que « Rabat est allé trop loin dans ses attaques et ses complots contre l’Algérie ».
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Le Parti du Renouveau Démocratique (PRD) présidé par l'ancien président de l'Assemblée Nationale Me Adrien Houngbédji est en Congrès le 19 décembre 2021. L'information a été rendue publique, jeudi 02 décembre 2021, à l'issue de la réunion de la Direction Exécutive Nationale (DEN) du PRD.
Le 5è Congrès du Parti du Renouveau Démocratique (PRD) se tiendra par visioconférence au siège national du parti à Porto-Novo et sur des sites régionaux sur toute l'étendue du territoire national. Ainsi en a décidé la Direction Exécutive Nationale (DEN) du PRD lors d'une réunion tenue le 02 décembre 2021 à Porto-Novo sous la présidence de Me Adrien Houngbédji.
Les participants ont opté pour l'organisation du 5è Congrès en visioconférence en raison du contexte sanitaire marqué par la pandémie de la Covid-19 et en respect aux directives des autorités gouvernementales pour en limiter la propagation. Il a également été décidé de reconduire le comité d'organisation de l'édition 2021 de l'Université de vacances tenue le 30 octobre dernier pour l'organisation du 5è Congrès ordinaire. « L'équipe technique mise en place pour la gestion de la composante technique, sous la supervision du Délégué général chargé des technologies de l'information de la communication et du Numérique, sera renforcée. Il est demandé aux présidents des comités d'organisation, scientifique et technique de préparer leurs rapports d'étapes avec les propositions budgétaires subséquentes à soumettre à l'appréciation de la DEN. La DEN a exhorté toutes les personnes impliquées dans l'organisation à donner le meilleur d'elles-mêmes afin d'assurer le succès desdites assises », indique le communiqué final signé du Secrétaire Général Falilou Akadiri. « Enfin, la DEN renouvelle la recommandation faite à tous les militants PRD de se faire vacciner contre la Covid-9 et rappelle, une fois encore, que l'observance de cette recommandation, et à défaut la production d'un résultat de test PCR négatif réalisé 72 heures avant l'évènement, seront déterminantes », précise le communiqué.
M. M.
Des précisions sur le convoi accidenté du ministre de la Défense nationale
En route pour s'enquérir de la situation des militaires attaqués au nord du pays, le convoi du ministre de la défense nationale Fortunet Nouatin a fait un accident mortel à hauteur de Parakou, jeudi 02 novembre 2021. On en sait un plus sur les causes du drame ainsi que l'identité des victimes. De source militaire, c'est l'un des pneus arrière gauche du véhicule en tête du convoi qui a éclaté sur la route RNIE2 à hauteur du village Tamarou. L'éclatement du pneu a provoqué le déséquilibre du véhicule éclaireur qui a fait plusieurs tonneaux. Bilan de l'accident : un (01) mort et cinq (05) blessés. Toutes les victimes sont en service au Ministère de la Défense nationale. La principale victime est le corporal Edidi Bertrand. Les cinq blessés actuellement aux soins sont : Capitaine H. E., Sergent- Chef A. G., Sergent A., Cch S. S. et Sgt H. T.
M. M.