Souvent, on sort de la maison en faisant attention à nous-même pour éviter toute éventuelle mésaventure. On oublie que notre foyer ne peut être épargné du mal. C’est le cas des familles qui se font cambriolées, retrouvant leurs biens dans des états déplorables. Volées, elles sont impuissantes face au cambriolage de leur cocon.
Jeudi passé à Zofingue, une commune suisse du canton d’Argovie, un cambriolage a eu lieu dans la nuit. Les habitants de la maison en question sont rentrés chez eux, ne s’attendant pas à des scènes pareilles, ils ont trouvé leur foyer saccagé après avoir remarqué que la porte-fenêtre a été forcée. Plus de doute, des voleurs ont pénétré à l’intérieur de la maison.
La famille, sous le choque, a alerté les services de la police. Ces derniers cherchaient des suspects dans les environs, ils sont tombés sur deux piétons qui ont par la suite été interpellés. Selon Aargauer Zeitung, un quotidien suisse de langue allemande, il s’agissait de deux hommes algériens.
« Butin » pas loin de la scène du crimeIls se sont fait remarquer dans la rue parmi tant d’autres passants par une patrouille, puisque l’un d’eux trimbalait une valise pendant que l’autre traînait un grand sac. Les services de police les ont rapidement arrêté, pour découvrir que le butin des deux voleurs étaient effectivement cachés dans le sac et la valise, les objets volés ont été retrouvés.
Les deux hommes algériens, âgés de 34 et 37 ans, sont en détention provisoire en attendant la fin de l’enquête dont les premiers éléments ont déjà révélé que l’un des cambrioleurs est interdit d’entrée dans le pays.
L’article Suisse : deux Algériens impliqués dans un « drôle » de cambriolage est apparu en premier sur .
Dans un rapport publié récemment par la Banque Mondiale, cette dernière s’est penchée sur la pauvreté en Algérie. Bien que cette institution internationale ait souligné qu’il y a eu une nette baisse du taux de pauvreté entre 2013 et 2019, elle a également démontré que cela varie considérablement selon les régions du pays, et entre les zones rurales et urbaines.
Quand la Banque Mondiale parle de pauvreté dans son dernier rapport sur le suivi de la situation économique de l’Algérie, elle s’adosse sur son « indicateur de la pauvreté multidimensionnelle (IPM), qui est une approche non monétaire permettant de mesurer le niveau de privation en se concentrant sur trois grandes dimensions : la santé, l’éducation et les conditions de vie ».
Cet indicateur varie de 0 à 100, « où 100 représente le dénuement le plus total », fait savoir le rapport. « Une personne est considérée comme « multi-dimensionnellement pauvre » si son niveau de privation dépasse 33. Les personnes dont l’indicateur va de 20 à 33 sont considérées comme vulnérables à la pauvreté multidimensionnelle », précise la BM.
Quelles sont les régions les plus pauvres en Algérie ?Pour la Banque Mondiale, « le pourcentage de personnes vulnérables à la pauvreté multidimensionnelle a baissé de 5,8 à 3,6 %. Le taux de pauvreté multidimensionnelle de l’Algérie — 1,4 % — est meilleur que celui de ses voisins régionaux, l’Égypte (5,2 %), l’Irak (8,6 %) et le Maroc (6,1 %), mais plus bas que le taux de pauvreté comparativement faible de la Tunisie (0,8 %) ».
Cependant, le même rapport explique que sur un plan national, des « différences importantes » subsistent entre les régions. « Les régions du Nord-Centre et du Nord-Est sont confrontées à des niveaux de privation inférieurs à ceux du reste du pays, tandis que la région des Hauts Plateaux Centre est confrontée à un niveau de privation plus élevé », indique le rapport.
Et d’ajouter que « les Hauts plateaux-Centre, les Hauts plateaux-Ouest et la région Sud, avec des taux de pauvreté récents de 4,4 %, 2,6 % et 2,3 % respectivement, ont enregistré une réduction significative de la pauvreté, mais ils restent à la traîne par rapport aux quatre autres régions algériennes ».
Les zones rurales plus pauvres que les zones urbaines« Le taux de pauvreté est quatre fois plus important dans les zones rurales que dans les zones urbaines en 2019 », affirme le rapport de la Banque Mondiale.
La même source affirme qu’en Algérie « les lacunes en matière d’éducation contribuent pour près de la moitié à la pauvreté multidimensionnelle globale en 2019 (+2,2 points de pourcentage par rapport à 2013), tandis que le dénuement sur le plan sanitaire contribue à 30 % (+1,3 pp) et de mauvaises conditions de vie de base à 20 % (–3,7 pp) ».
Concernant les différences entre les deux sexes, la Banque Mondiale soutient qu’il « n’y a pas de différence significative entre les hommes et les femmes en termes de taux de pauvreté entre les deux cycles d’enquête ».
Qui est touché par la pauvreté en Algérie ?À titre d’exemple, la Banque Mondiale explique que « la mortalité infantile dans la région Sud est bien supérieure au niveau national ». Le problème est donc, et avant tout, selon ce rapport, lié à l’inégalité entre les régions du pays.
« Les pauvres se concentrent dans la région pauvre des Hauts plateaux Centre (32 % d’entre eux), mais aussi dans les régions moins pauvres du Nord-Centre et Nord-Ouest », affirme le rapport de la BM qui explique aussi que ces pauvres « vivent principalement dans les zones rurales et ont souvent des familles plus nombreuses que les Algériens plus aisés ».
Le même rapport poursuit et dévoile que « le niveau d’éducation d’un chef de ménage pauvre est probablement très faible, voire nul. Les pauvres n’ont toujours pas accès à Internet et manquent de biens importants, tels qu’une voiture ».
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Pour avoir maltraité et défiguré sa domestique âgée de 9 ans, une femme a été présentée, lundi 27 décembre 2021, au procureur de Cotonou.
Dame M. M. est en garde à vue. Elle a été interpellée, vendredi 24 décembre 2021, par l'Office central de protection des mineurs, de la famille et de la répression de la traite des êtres humains (OCPM). Elle aurait violenté et défiguré sa petite domestique de 9 ans à Cococodji, commune d'Abomey-Calavi. La fillette a été conduite au centre de santé pour les premiers soins.
L'accusée a été présentée au parquet de Cotonou ce lundi. En attendant des enquêtes complémentaires la dame est toujours en garde à vue. Sa prochaine audition est prévue pour jeudi 30 décembre 2021. Le dossier pourrait être renvoyé devant le tribunal d'Abomey-Calavi.
A.A.A
Les ministres de l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) se sont félicités de la consolidation de la reprise de l'activité économique au troisième trimestre 2021. C'était lors de la quatrième session ordinaire tenue, le 17 décembre 2021, par visioconférence à partir des locaux de la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO).
La session s'est déroulée sous la présidence du ministre de l'Economie et des Finances de la République Togolaise, M. Sani Yaya, son Président en exercice.
Au titre de la BCEAO, les ministres ont examiné l'évolution récente des économies de l'Union. Ils se sont félicités de la consolidation de la reprise de l'activité économique au troisième trimestre 2021. Le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) réel est ressorti à 6,7%, en glissement annuel, après 7,7% le trimestre précédent, et une réalisation de 1,4% un an plus tôt.
Selon le communiqué de presse de la session ordinaire du Conseil des ministres, « cette bonne évolution a été soutenue par un raffermissement progressif de la demande intérieure ».
Les Ministres ont relevé une accélération des prix dans la zone. Le taux d'inflation est ressorti à 3,8% au troisième trimestre 2021, après 3,3% un trimestre plus tôt.
La même source informe que « cette hausse des prix est imputable essentiellement au renchérissement des produits alimentaires, du fait de la baisse de la production céréalière dans certains pays, des difficultés d'approvisionnement induites par les crises sanitaire et sécuritaire dans d'autres pays, ainsi qu'à la hausse de l'inflation importée ». L'inflation devrait revenir « en dessous de 3,0%, dans le courant de l'année 2022, à la faveur de l'atténuation progressive des tensions sur les prix des produits importés ».
Le Conseil des Ministres a également souligné « le creusement du déficit public global, base engagements, dons compris, qui est ressorti à 4.492,8 milliards à fin septembre 2021 contre 4.388,4 milliards un an plus tôt ».
Selon le Conseil, « cette situation reflète l'accélération des investissements publics dans le cadre des plans de relance mis en œuvre par les Etats membres ».
Les perspectives de croissance économique de l'Union demeurent aussi favorables. « La croissance devrait s'établir à 6,4% en 2022 après 6,1% en 2021. Cette performance résulte de la poursuite de la mise en œuvre des plans de relance des Etats membres ainsi que du retour à la normale de l'activité dans les sous-secteurs du transport, du tourisme et des loisirs, à la faveur de l'atténuation de la crise sanitaire due à la Covid-19 », précise le Conseil.
Le Conseil des Ministres a approuvé le renouvellement du mandat du représentant du Bénin, Yaovi Clément Aziagnikouda, au sein du Comité de Politique Monétaire de la BCEAO, pour un second mandat de cinq (05) ans, à compter du 1er janvier 2022. Les ministres ont émis un avis favorable sur les propositions soumises par la BCEAO en vue du renforcement de l'efficacité du Dispositif de soutien au financement des PME/PMI de l'UEMOA lancé en 2018. A cet égard, les différentes parties prenantes au Dispositif ont été encouragées à s'impliquer davantage en vue de sa pleine opérationnalisation.
Lors de la session, le Conseil a approuvé les perspectives financières actualisées 2022-2026 de la BOAD.
Les ministres de l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) se sont félicités de la consolidation de la reprise de l'activité économique au troisième trimestre 2021. C'était lors de la quatrième session ordinaire tenue, le 17 décembre 2021, par visioconférence à partir des locaux de la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO).
La session s'est déroulée sous la présidence du ministre de l'Economie et des Finances de la République Togolaise, M. Sani Yaya, son Président en exercice.
Au titre de la BCEAO, les ministres ont examiné l'évolution récente des économies de l'Union. Ils se sont félicités de la consolidation de la reprise de l'activité économique au troisième trimestre 2021. Le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) réel est ressorti à 6,7%, en glissement annuel, après 7,7% le trimestre précédent, et une réalisation de 1,4% un an plus tôt.
Selon le communiqué de presse de la session ordinaire du Conseil des ministres, « cette bonne évolution a été soutenue par un raffermissement progressif de la demande intérieure ».
Les Ministres ont relevé une accélération des prix dans la zone. Le taux d'inflation est ressorti à 3,8% au troisième trimestre 2021, après 3,3% un trimestre plus tôt.
La même source informe que « cette hausse des prix est imputable essentiellement au renchérissement des produits alimentaires, du fait de la baisse de la production céréalière dans certains pays, des difficultés d'approvisionnement induites par les crises sanitaire et sécuritaire dans d'autres pays, ainsi qu'à la hausse de l'inflation importée ». L'inflation devrait revenir « en dessous de 3,0%, dans le courant de l'année 2022, à la faveur de l'atténuation progressive des tensions sur les prix des produits importés ».
Le Conseil des Ministres a également souligné « le creusement du déficit public global, base engagements, dons compris, qui est ressorti à 4.492,8 milliards à fin septembre 2021 contre 4.388,4 milliards un an plus tôt ».
Selon le Conseil, « cette situation reflète l'accélération des investissements publics dans le cadre des plans de relance mis en œuvre par les Etats membres ».
Les perspectives de croissance économique de l'Union demeurent aussi favorables. « La croissance devrait s'établir à 6,4% en 2022 après 6,1% en 2021. Cette performance résulte de la poursuite de la mise en œuvre des plans de relance des Etats membres ainsi que du retour à la normale de l'activité dans les sous-secteurs du transport, du tourisme et des loisirs, à la faveur de l'atténuation de la crise sanitaire due à la Covid-19 », précise le Conseil.
Le Conseil des Ministres a approuvé le renouvellement du mandat du représentant du Bénin, Yaovi Clément Aziagnikouda, au sein du Comité de Politique Monétaire de la BCEAO, pour un second mandat de cinq (05) ans, à compter du 1er janvier 2022. Les ministres ont émis un avis favorable sur les propositions soumises par la BCEAO en vue du renforcement de l'efficacité du Dispositif de soutien au financement des PME/PMI de l'UEMOA lancé en 2018. A cet égard, les différentes parties prenantes au Dispositif ont été encouragées à s'impliquer davantage en vue de sa pleine opérationnalisation.
Lors de la session, le Conseil a approuvé les perspectives financières actualisées 2022-2026 de la BOAD.
Lors de la quatrième session ordinaire tenue, le 17 décembre 2021, par visioconférence, le Conseil des Ministres a examiné et adopté le budget des Organes de l'Union, au titre de l'exercice 2022.
Le budget 2022 est arrêté en recettes et en dépenses à la somme de 123,2 milliards FCFA contre des prévisions révisées de 2020 et 2021 respectivement de 141,5 milliards et de 125,6 milliards, soit respectivement des baisses de 18,3 milliards et 2,4 milliards correspondant à des taux relatifs de 12,9 % et 1,9 %. Le budget intègre les activités de la première année de mise en œuvre du Cadre d'Actions Prioritaires (CAP 2025), feuille de route du nouveau collège des Commissaires, pour la période 2021-2025.
Les ministres ont également adopté le Règlement portant budget des Organes de l'Union, au titre de l'exercice 2022, et les projets de Décisions subséquents. « Examinant le rapport semestriel d'exécution de la surveillance multilatérale de décembre 2021, le Conseil des Ministres se félicite de la reprise économique enregistrée dans tous les Etats membres de l'Union en 2021, après le ralentissement observé en 2020. Toutefois, le Conseil a relevé la recrudescence des tensions inflationnistes observées dans la plupart des Etats membres et les encourage à poursuivre les efforts pour limiter les effets de la hausse des prix des produits alimentaires », informe le communiqué de presse de la session ordinaire
Le Conseil note que « le déficit budgétaire et le taux d'endettement ont augmenté en liaison avec l'incidence des mesures budgétaires prises pour faire face à la pandémie, à la situation sécuritaire et aux dépenses liées à la relance économique ».
Les ministres ont salué les perspectives à moyen terme de l'Union qui indiquent une consolidation de la situation économique et financière dans tous les Etats membres.
Pour assurer la viabilité macroéconomique de l'Union et créer plus d'espace budgétaire en vue de la mise en œuvre efficace des plans de développement, le Conseil a exhorté les Etats membres à poursuivre les efforts d'amélioration des recouvrements des recettes internes et de mobilisation des ressources concessionnelles.
Le Conseil invite également les Etats membres à prendre les dispositions en vue d'accélérer la vaccination contre la maladie à Coronavirus. Le Conseil a, en conséquence, adopté la Recommandation relative aux perspectives économiques et financières des Etats membres de l'Union au titre de la période 2022-2026.
Source : communiqué de presse de la session ordinaire
Lors de la quatrième session ordinaire tenue, le 17 décembre 2021, par visioconférence, le Conseil des Ministres a examiné et adopté le budget des Organes de l'Union, au titre de l'exercice 2022.
Le budget 2022 est arrêté en recettes et en dépenses à la somme de 123,2 milliards FCFA contre des prévisions révisées de 2020 et 2021 respectivement de 141,5 milliards et de 125,6 milliards, soit respectivement des baisses de 18,3 milliards et 2,4 milliards correspondant à des taux relatifs de 12,9 % et 1,9 %. Le budget intègre les activités de la première année de mise en œuvre du Cadre d'Actions Prioritaires (CAP 2025), feuille de route du nouveau collège des Commissaires, pour la période 2021-2025.
Les ministres ont également adopté le Règlement portant budget des Organes de l'Union, au titre de l'exercice 2022, et les projets de Décisions subséquents. « Examinant le rapport semestriel d'exécution de la surveillance multilatérale de décembre 2021, le Conseil des Ministres se félicite de la reprise économique enregistrée dans tous les Etats membres de l'Union en 2021, après le ralentissement observé en 2020. Toutefois, le Conseil a relevé la recrudescence des tensions inflationnistes observées dans la plupart des Etats membres et les encourage à poursuivre les efforts pour limiter les effets de la hausse des prix des produits alimentaires », informe le communiqué de presse de la session ordinaire
Le Conseil note que « le déficit budgétaire et le taux d'endettement ont augmenté en liaison avec l'incidence des mesures budgétaires prises pour faire face à la pandémie, à la situation sécuritaire et aux dépenses liées à la relance économique ».
Les ministres ont salué les perspectives à moyen terme de l'Union qui indiquent une consolidation de la situation économique et financière dans tous les Etats membres.
Pour assurer la viabilité macroéconomique de l'Union et créer plus d'espace budgétaire en vue de la mise en œuvre efficace des plans de développement, le Conseil a exhorté les Etats membres à poursuivre les efforts d'amélioration des recouvrements des recettes internes et de mobilisation des ressources concessionnelles.
Le Conseil invite également les Etats membres à prendre les dispositions en vue d'accélérer la vaccination contre la maladie à Coronavirus. Le Conseil a, en conséquence, adopté la Recommandation relative aux perspectives économiques et financières des Etats membres de l'Union au titre de la période 2022-2026.
Source : communiqué de presse de la session ordinaire
Le Conseil des ministres de l'Union économique monétaire ouest africaine (Uemoa) a tenu, au titre de l'année 2021, sa quatrième session ordinaire, le 17 décembre 2021, par visioconférence à partir des locaux de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Bceao), sous la présidence de Sani Yaya, ministre de l'Economie et des Finances de la République togolaise, son président en exercice. Lire le communiqué de presse de la session ordinaire.
Le Conseil des ministres de l'Union économique monétaire ouest africaine (Uemoa) a tenu, au titre de l'année 2021, sa quatrième session ordinaire, le 17 décembre 2021, par visioconférence à partir des locaux de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Bceao), sous la présidence de Sani Yaya, ministre de l'Economie et des Finances de la République togolaise, son président en exercice. Lire le communiqué de presse de la session ordinaire.
Deux autres arrestations après celle du président de l'Union Nationale des Scolaires et Étudiante du Bénin (UNSEB).
Le premier Vice-Président (VP), Alexandre Hounyo et le Secrétaire Général Alexis Hounyo de l'Union Nationale des Scolaires et Étudiante du Bénin (UNSEB) ont été interpellés, ce mardi 28 décembre 2021. Ces arrestations font suite à la violente bagarre survenue le 14 décembre 2021 à l'Université d'Abomey-Calavi entre les membres de l'UNSEB et ceux de la Fédération Nationale des Étudiants du Bénin (FNEB).
La bagarre avait provoqué une douzaine de blessés. Le président de l'UNSEB, Julien Affovoh, a été interpellé le mardi dernier. L'arrestation du VP et du SG intervient à la suite d'une plainte déposée par les responsables de la FNEB. Les trois responsables sont actuellement devant le Procureur près le tribunal d'Abomey-Calavi.
M. M.
Deux autres arrestations après celle du président de l'Union Nationale des Scolaires et Étudiante du Bénin (UNSEB).
Le premier Vice-Président (VP), Alexandre Hounyo et le Secrétaire Général Alexis Hounyo de l'Union Nationale des Scolaires et Étudiante du Bénin (UNSEB) ont été interpellés, ce mardi 28 décembre 2021. Ces arrestations font suite à la violente bagarre survenue le 14 décembre 2021 à l'Université d'Abomey-Calavi entre les membres de l'UNSEB et ceux de la Fédération Nationale des Étudiants du Bénin (FNEB).
La bagarre avait provoqué une douzaine de blessés. Le président de l'UNSEB, Julien Affovoh, a été interpellé le mardi dernier. L'arrestation du VP et du SG intervient à la suite d'une plainte déposée par les responsables de la FNEB. Les trois responsables sont actuellement devant le Procureur près le tribunal d'Abomey-Calavi.
M. M.
À l’approche du coup d’envoi de la fameuse 33e édition de la Coupe d’Afrique des Nations 2022 au Cameroun, les mauvaises nouvelles ne cessent de s’enchainer contre le sélectionneur national Djamel Belmadi et ses hommes.
En prévision de l’entame de leur stage à Doha, au Qatar, pour la préparation de la CAN, la délégation de l’équipe nationale, conduite par le manager général Amine Labdi s’est rendue hier soir sur les lieux.
Selon un communiqué rendu public de la Fédération algérienne de football (FAF), seulement onze joueurs étaient présents. La même source a également indiqué que quatre autres joueurs, à savoir Ramy Bensebaini, Youcef Atal, Adam Zorgane et Ismael Bennacer se joindront, la soirée de ce mardi 28 décembre, à leurs coéquipiers.
En plus de Benayada et Tougai, Belaili est testé positif à la Covid-19 !Toutefois, une mauvaise nouvelle s’est annoncée, qui pourrait perturber le programme du coach Belmadi lors de son séjour au Qatar. En effet, trois de ses brillants joueurs sont désormais testés positifs à la Covid-19. Il s’agit du défenseur Mohamed Amine Tougai, Houcine Benayada, mais aussi le milieu de terrain Youcef Belaili.
» Trois joueurs, affectés par la COVID-19, devront, pour leur part, observer la période de quarantaine exigée par le protocole sanitaire avant de rallier le regroupement de la sélection, à savoir Mohamed Amine Tougai, Houcine Benayada, restés en Algérie, et Youcef Belaili « , détaille le communiqué de la FAF.
Cette situation risque de perturber le travail du sélectionneur national Djamel Belmadi, notamment que les footballeurs testés positifs à la Covid-19 ne pourront pas participer aux rencontres du premier tour, contre respectivement, la Sierra Leone, la Guinée équatoriale et la Côte d’Ivoire.
Par ailleurs, la FAF a également fait savoir que le reste des joueurs rejoindront leurs coéquipiers au Qatar au fur et à mesure : » Pour le reste, les joueurs arriveront en stage au fur et à mesure, du fait de la Circulaire de la FIFA qui a donné aux clubs la possibilité de garder leurs éléments jusqu’au 3 janvier 2022 pour prendre part aux rencontres de leurs équipes « .
L’article Équipe d’Algérie : la FAF annonce 3 contamnations à la Covid-19 est apparu en premier sur .
L’inquiétude monte, et les cas d’hospitalisation aussi. La pandémie progresse en Algérie, et ce, au moment où la vaccination continue de stagner. Les spécialistes, à force de s’égosiller à coups d’appels à la vaccination, sont de moins en moins audibles par la population.
Les cas de contamination demeurent pour le moment sous contrôle. C’est en tout cas ce qu’affichent les bilans consécutifs du ministère de la Santé.
Aujourd’hui, le département de Benbouzid a fait état de 335 nouvelles contaminations à la covid-19 en Algérie ces dernières 24 heures, contre 293 recensées par le bilan d’hier.
Outre les cas de contamination, le communiqué officiel indique également que le pays a enregistré 8 décès survenus à cause de complications liées au virus, 27 nouvelles admissions en services de réanimation, ainsi que 219 nouvelles guérisons.
Ces chiffres font grimper le bilan total des infections à la covid-19 en Algérie à plus de 217.265 cas depuis le début de la pandémie en mars 2020. Le nombre de décès quant à lui dépasse les 6.254 cas, toujours selon les chiffres officiels.
Benbouzid ne veut pas « refaire les erreurs du passé »Alors que la 4e vague est déjà là, et que le variant Omicron menace de faire exploser les chiffres d’un moment à un autre, le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, veut « regagner la confiance du citoyen ».
Pour cela, le premier homme dans le secteur de la Santé en Algérie affirme ne pas vouloir « refaire les erreurs du passé », faisant ainsi allusion à la catastrophe sanitaire qui a dévasté le pays lors de la troisième vague, l’été dernier. Pour ce faire, le ministre mise sur plusieurs directives.
L’article Covid-19 : nouvelle hausse dans le bilan de ce 28 décembre est apparu en premier sur .
Le 9 janvier 2022, la date que tous les amoureux du ballon rond dans le continent africain attendent avec impatience. En effet, ladite date indique le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations au Cameroun, qui a été reportée en 2021 à cause de la pandémie de la Covid-19.
À cet effet, le sélectionneur national Djamel Belmadi et ses protégés se sont rendus à Doha, au Qatar, ce lundi 27 décembre, afin d’entamer les entrainements.
Ces derniers sont motivés et déterminés comme jamais, afin de remporter le trophée prestigieux de cette 33e édition de la CAN, prévue entre le 9 janvier et le 6 février de l’année prochaine.
Cependant, les 28 joueurs sélectionnés par le coach Belmadi sont loin d’être complets. Après l’absence du capitaine Riyad Mahrez et le talentueux Said Benrahma, à cause de la récente décision de la FIFA, portant sur l’obligation des joueurs africains à rester dans leurs clubs jusqu’au 3 janvier, ladite décision affecte également le défenseur de l’équipe nationale Aissa Mandi.
Mandi pourrait jouer le match amical contre le GhanaD’après la presse espagnole, ledit footballeur pourrait manquer les entrainements avec ses coéquipiers à Doha, au Qatar, en prévision de la CAN 2022, et ce, à cause de son club espagnol Villarreal CF qui a pris la décision de garder ses joueurs africains, dont Aissa Mandi, jusqu’au dernier jour fixé par la FIFA, le 3 janvier prochain.
Le Fennec pourrait donc participer à la confrontation de son club face à Levante UD, ce lundi 3 janvier 2022, et il rejoindra par la suite les Verts à Doha, où il pourrait jouer le match amical contre le Ghana, prévu le 5 janvier.
L’article Préparation de l’EN pour la CAN 2022 : Mandi sera-t-il de la partie ? est apparu en premier sur .
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Date limite de dépôt des dossiers : 30 décembre 2021 à 18 Heures
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Le variant Omicron a connu une propagation fulgurante dans le monde. Pour éviter qu’un autre drame sanitaire se produise, plusieurs pays décident alors de durcir les conditions d’accès à leur territoire, d’autres n’ont eu d’autres choix que de fermer leurs frontières.
Ainsi, avec l’évolution de l’épidémie, certains pays redéfinissent leur protocole notamment à l’approche des grands événements qui connaissent un afflux considérable de touristes.
Ce mardi, la Tunisie a encore une fois réajusté les conditions d’accès à son territoire. En effet, la compagnie aérienne, Tunisair, a mis en exergue 4 mesures de voyage pour se prémunir contre le nouveau variant « Omicron ».
Une batterie de mesures pour les voyageurs !L’accès en Tunisie est désormais soumis à une batterie de mesures. La vaccination est obligatoire pour tous les voyageurs étrangers non-résidents en Tunisie et âgés de plus de 18 ans. Ces derniers sont donc sommés de présenter un passeport ou certificat de vaccination contre le Covid-19. Une condition sine qua none « pour l’acceptation de ces passagers à bord des vols à destination de la Tunisie ».
Il est également obligatoire pour les Tunisiens ou les étrangers résidant en Tunisie de présenter un passeport de vaccination ou un certificat prouvant l’achèvement du schéma vaccinal contre le virus.
Pour ce qui est des passagers non vaccinés ou n’ayant pas achevé le schéma vaccinal, ces derniers doivent se soumettre au confinement obligatoire d’une période de dix jours à partir de la date de l’arrivée.
PCR, dépistage et fiche sanitaire, les mesures se multiplient !Outre le passeport vaccinal, les voyageurs étrangers doivent réaliser un test RT-PCR le dernier jour de leur confinement « obligatoire ». Si le résulta est négatif, le voyageur est alors autorisé à quitter le centre de confinement. Dans le cas contraire, le passager concerné sera transféré au centre d’isolement pour les porteurs du virus, aux frais du concerné.
Par ailleurs, tous les passagers de plus de 6 ans doivent présenter à l’enregistrement du vol un « certificat du test PCR négatif » datant de moins de 48 heures au départ.
Les voyageurs, à leur arrivée en Tunisie, ils sont systématiquement soumis à un test rapide ou à un test PCR.
Enfin, une fiche sanitaire est également exigée à tous les passagers qui devront la remplir et la présenter à l’enregistrement avant le départ.
L’article Tunisie: énième durcissement des conditions d’accès pour les voyageurs est apparu en premier sur .
C’est un triste incident qui est survenu aujourd’hui, à la mi-journée. Au moins dix citoyens ont été blessés dans l’effondrement de la dalle d’une mosquée en cours de construction dans la wilaya de Tipaza. Les éléments de la protection civile, aussitôt alertés, se sont rendus en urgence sur les lieux du drame.
La catastrophe aurait pu être pire, vu que pour le moment, le bilan de la protection civile n’ait fait état d’aucun cas de décès. Ceci dit, cet incident relance le débat sur le non-respect des normes de sécurités dans le domaine de la construction.
10 blessés dans l’effondrement d’une mosquéeL’incident est survenu au Douar Ben Aouda, dans la wilaya de Tipaza. Sous la dalle en béton de la mosquée encore en chantier, 10 personnes ont failli perdre la vie aujourd’hui.
Le bilan de la protection civile, qui ne précise pas s’il s’agit ou pas d’ouvriers, a toutefois affirmé que leurs blessures ont nécessité qu’ils soient transportés en urgence vers les établissements hospitaliers les plus proches.
Les éléments de la protection civile sont « intervenus aux environ de midi », affirme le communiqué de ladite institution. La même source confirme qu’il s’agit de dix personnes, qui souffrent de « différentes blessures » et qui ont été secourus et transférés à l’hôpital de Tipaza.
Cet incident, qui n’est pas le premier qui survient sur un chantier en Algérie, rappelle que les mesures de protection sont rarement respectées, et que le contrôle est quasi inexistant. Rares sont les ouvriers qui portent des casques, mais rare est aussi la volonté de faire respecter le règlement.
L’article Tipaza : des blessés dans l’effondrement d’une mosquée en chantier est apparu en premier sur .
Les voyages n’ont pas toujours été une partie de plaisir, les mésaventures s’y immiscent souvent pour des histoires de bagages, de réservations ou encore de procédures douanières. En temps de pandémie, les mésaventures se multiplient et changent de scénario.
Dans ce contexte, un dilemme cornélien s’impose. « Etre ou ne pas être » a cédé sa place à « se faire vacciner ou ne pas se faire vacciner » parmi tant d’autres choix nous laissant assujettis devant le changement incessant du protocole sanitaire. Certaines plus draconiennes que d’autres, de quoi nous faire vivre dans une confusion sans pareil. Alors que nous sommes déjà éreintés par plus deux ans de situation pandémique compliquée, nous acquiesçons, expectatifs, en apprenant à vivre avec le Coronavirus.
Même si l’on souhaite appliquer au pied de la lettre cette myriade de mesures, on se retrouve tout de même à être recalé à l’aéroport après multitude de test et de documents, appuyant l’inanité de nos efforts et procédures.
Tristes mésaventures et conditions confusesAlors qu’en Algérie le pass vaccinal est désormais exigé pour l’entrée ou la sortie du territoire national, ailleurs, un test PCR négatif suffit. En France, le député de l’émigration Abdelouahab Yagoubi a vu de ses propres yeux cette réalité déplorable où les voyageurs se faisaient « recalés » contre leur gré et sans pouvoir s’en défendre.
« De nombreux citoyens se sont vu refuser l’embarquement sous de faux prétextes, par exemple du manque de la troisième dose -exigée par la France -, et d’autres arguments infondés (…) imaginez l’extrême injustice qui afflige toute une famille au départ, qui se trouve privée de force de voyager, et revenir d’où elle est venue à des milliers de kilomètres après avoir perdu des places durement réservées. » témoigne le député.
Il dénonce « à l’aéroport d’Alger, les formalités de départ sont stressantes sous le contrôle strict des documents. Des entraves graves à la liberté de circulation des passagers sont courantes » ajoutant pour faire la comparaison entre l’incurie incessante dans les aéroports algériens et la limpidité des aéroports à l’étranger « à l’aéroport de Paris Orly, en revanche, les formalités d’arrivée étaient très rapides et simples, car il n’y avait même pas besoin de fournir de justificatif de vaccination, seul un test PCR négatif suffisait« .
Par quelle main tenir le vent ? telle est la question dominante au sujet des transports en Algérie, un domaine déjà avachi par l’incivilité et la corruption.
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