Afrique

Le plan de restructuration de la compagnie aérienne nationale commence à montrer ses grands axes. En difficulté, Air Algérie, a appelé le gouvernement à l’aide au début de l’année 2021, un appel auquel a répondu le ministère du Transport.

La tutelle vient d’ailleurs d’achever la première étape du plan de restructuration, fait savoir le journal arabophone Echourouk, qui précise que la compagnie aérienne va se doter de 30 nouveaux appareils d’ici à l’année 2024.

Il s’agit, toujours selon la même source, d’un projet de renouvellement de la flotte, qui va couter pas moins de 250 milliards de dinars, soit un prêt de 2 milliards de dollars.

Actuellement, la flotte de la compagnie aérienne nationale est constituée de 50 avions, dont 8 grands Airbus A-330, 25 Boeing 730/800, 2 Boeing 737/700, 15 ATR, ainsi qu’un Hercule 100/30 qui est un avion-cargo. Ces avions jouissent de capacités qui varient entre 66 et 263 passagers.

Le nouveau plan de restructuration fixe l’année 2024 comme dernier délai au renouvellement de la flotte d’Air Algérie, projet pour lequel sont alloués environs 2 milliards de dollars américains, soit 250 milliards de dinars algériens. Ce projet va être couronné par l’acquisition de 30 nouveaux avions, dont la capacité et la marque n’ont pas encore été communiquées.

Outre le renouvellement de sa Flotte, le nouveau plan de restructuration prévoit pour Air Algérie des changements majeurs, comme le projet de création d’une filiale de maintenance technique des avions et de la rendre autonome de la maison mère, ou encore, la réduction des charges d’exploitation et la réorganisation du réseau de liaisons internes et internationales.

Le plan prévoit également de revoir le réseau de distribution d’Air Algérie à l’étranger, en réduisant le nombre d’agences et le personnel qui y travaille. Une autre démarche prévue dans le cadre de ce plan est celle visant à mettre en place une nouvelle échelle des salaires au sein de l’entreprise.

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De nouveaux détails viennent d’être dévoilés concernant les mesures de l’octroi de l’allocation chômage et la révision du point indiciaire. Il s’agit de deux points abordés dans la loi des Finances 2022, mais qui attendent toujours les textes et les modalités d’application.

La loi des finances 2022, entrée en vigueur dès le 1er janvier, prévoit effectivement « une allocation chômage au profit des chômeurs primo demandeurs d’emploi inscrits auprès des services de l’agence nationale de l’emploi ». Or, sa mise en œuvre reste tributaire de textes d’application.

Intervenant sur la chaine Ennahar TV, le Directeur du budget au ministère des Finances Abdelaziz Fayed a dévoilé de nouveaux détails concernant l’allocation chômage. Selon lui, une commission interministérielle est en train d’étudier un décret d’organisation pour la mise en œuvre de cette allocation.

L’intervenant a souligné qu’une fois entrée en vigueur, l’allocation chômage sera répartie en trois régions : le sud, les hauts plateaux et le nord, précisant que l’allocation la plus importante sera allouée au profit des chômeurs des wilayas du sud.

Pour ce qui est du montant de l’allocation, le Directeur du budget indique qu’il n’est pas encore fixé et qu’il est toujours en phase de l’étude. En revanche, il précise qu’une enveloppe de 142 milliards de dinars est allouée pour l’allocation.

Abordant la question de la révision du point indiciaire, également abordée dans la loi des finances 2022, le Directeur du budget au Ministère des Finances dévoile que 2 720 000 employés de la fonction publique sont concernés par cette mesure.

Une enveloppe de 240 millions de dinars est allouée pour l’augmentation des salaires à travers la révision du point indiciaire, indique encore le même responsable. Selon lui, « la révision du point indiciaire concernera également d’autres points outre le point indiciaire ».

Pour rappel, le Premier ministre Aymen Benabderrahmane a indiqué jeudi dernier, lors d’une conférence de presse au Palais du gouvernement, que le gouvernement révisera le point indiciaire des salaires à partir du deuxième semestre 2022.

« Nous allons procéder à la révision du point indiciaire à partir du deuxième semestre 2022 », a-t-il déclaré avant de souligner que le gouvernement avait introduit plusieurs mécanismes dans la Loi de finances 2022 pour la révision du point indiciaire.

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Plusieurs wilayas du nord du pays, notamment de l’est et du centre, seront au rendez-vous ce mardi 4 janvier avec des rafales de « vents violents », indique une alerte de l’Office National de Météorologie (ONM).

Les 9 wilayas placées en vigilance jaune « vent violent » sur la carte de vigilance de Météo Algérie sont Alger, Tipasa, Tizi Ouzou, Boumerdès, Chlef, Mostaganem, Ain Temouchent, Tlemcen et Oran.

Les rafales attendues peuvent atteindre ou dépasser les 60 km/h, et ce, à partir de 21 h 00 de ce mardi jusqu’à l’aube de demain mercredi, précise la même source.

Le brouillard qui a caractérisé les régions du nord et de l’intérieur du pays devra persister ce mardi. Dans ses prévisions, Météo Algérie prévoit pour cette matinée des bancs de brume et de brouillard locaux près des régions côtières et dans les vallées de l’intérieur.

Le ciel sera ensuite dégagé à partiellement voilé sur l’ensemble de ces régions. Cependant, l’ONM indique que quelques bancs de brume et de brouillard peuvent persister localement près des régions côtières durant l’après-midi.

Sur les régions sahariennes, excepté quelques bancs de brume locaux en début de matinée sur le sud des oasis, le temps sera généralement dégagé durant l’après-midi.

Concernant les températures maximales attendues pour ce lundi, Météo Algérie prévoit un temps presque printanier avec 15 et 22 degrés sur les régions côtières, 14 à 24 degrés sur les régions intérieures et entre 19 et 27 degrés sur les régions sahariennes.

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Le taux de change du dinar algérien face aux principales monnaies n’affiche toujours pas de grands changements, et ce, depuis le début de l’année 2022. L’euro et le dollar s’échangent contre presque les mêmes niveaux qu’hier, ce mardi 4 janvier.

Dans les cotations commerciales d’ouverture du 3 au 5 janvier au niveau de la Banque d’Algérie, un euro affiche 157,21 dinars à l’achat et 157,28 dinars à la vente. Hier, il s’échangeait contre 165,97 dinars à l’achat et 157,03 dinars à la vente.

Le cours du dollar américain affiche dans les cotations officielles de ce mardi 138,68 dinars à l’achat et 138,66 dinars à la vente, alors qu’hier, il était à 138,83 dinars à l’achat et 138,85 dinars à la vente.

Le taux de change de la livre sterling à la Banque centrale d’Algérie a légèrement baissé pour finir à 187,25 dinars à l’achat et 187,35 dinars à la vente. Hier, il était 187,50 dinars à l’achat et 187,52 dinars à la vente.

Le dollar canadien s’échange ce mardi au niveau des guichets de la Banque d’Algérie contre 109,38 dinars à l’achat et 109,42 dinars à la vente. Hier, l’unité de cette monnaie était à 109,01 dinars à l’achat et 109,06 dinars à la vente.

La situation sur le marché parallèle est également restée la même qu’hier. La monnaie européenne s’échange toujours dans les environs de 215 dinars à l’achat et 217 dinars à la vente, soit 21.500 dinars pour 100 euros à l’achat et 21.700 dinars à la vente.

Pour ce qui est de la monnaie étasunienne, un dollar s’échange contre environ 192 dinars à l’achat et 195 dinars à la vente. La livre sterling s’échange contre 248 dinars à l’achat et 250 dinars à la vente.

Concernant le taux de change du dollar canadien au niveau du marché noir des devises, son unité est cédée ce mardi contre 143 dinars à l’achat et 146 dinars à la vente.

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Le bureau d'arrondissement de Biro dans la commune de Nikki, a été cambriolé dans la nuit du samedi 1er au dimanche 02 janvier 2022. Plusieurs objets ont été emportés.
Une télévision écran plasma, des décodeurs Canal+ et autres objets emportés au bureau d'arrondissement de Biro, commune de Nikki. Des individus non encore identifiés ont cambriolé le bureau d'arrondissement dans la nuit du samedi 1er au dimanche 02 janvier 2022. La police a ouvert une enquête. Dans ce cadre, le Chef d'arrondissement de Biro, Souley Moucouré, invite les populations à collaborer avec la police pour l'arrestation des présumés cambrioleurs.
M. M.

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L'Ordre national des pharmaciens du Bénin a publié la liste des pharmacies de garde dans les communes de Cotonou, Abomey-Calavi, Porto-Novo et autres de la semaine du 03 au 09 janvier 2021.

Alors que le bilan de coronavirus poursuite sa hausse avec de nouveaux cas d’Omicron ; le premier responsable du secteur de la santé en Algérie lance une mise en garde aux directeurs des hôpitaux.

En effet, le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid a réuni en visioconférence, ce lundi 3 janvier, les directeurs des établissements hospitaliers ; avec lesquels il a évoqué plusieurs points dont celui, du refus d’accueil des malades.

Pour éviter la saturation des hôpitaux, Pr Benbouzid a donné des instructions pour libérer les lits non vacants au niveau des établissements hospitaliers de manière progressive et en fonction de la situation épidémiologique de chaque wilaya.

Il a aussi insisté sur le bon fonctionnement de certains services médicaux de grande importance, à l’instar de la gynécologie et l’obstétrique, la réanimation, la chirurgie générale, les urgences et la pédiatrie.

Lors de la même réunion, le ministre de la santé a critiqué une nouvelle fois le refus de certains établissements hospitaliers d’accueillir des patients sous prétexte d’indisponibilité de places.

« Des mesures nécessaires seront prises à l’encontre de ceux dont la responsabilité est établie », a-t-il mis en garde ; ajoutant : « Ces directeurs doivent, dans des cas exceptionnels, prendre attache avec d’autres hôpitaux pour assurer un lit pour le patient concerné, tout en prenant en charge son transport en ambulance ».

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Une fête a tourné au drame dans un bar à Banikoara dans la nuit du 2 au 3 janvier 2022.
Une jeune fille âgée de 20 ans décède dans un bar dancing de Banikoara, département de l'Alibori. Plusieurs autres personnes ont été blessées. Selon Radio-Banikoara, le drame est survenu dans la nuit du dimanche 2 au lundi 3 janvier 2021 à la suite d'une bousculade. C'est à l'occasion d'une fête au cours de laquelle des invités auraient bu trop d'alcool, ont précisé des témoins. Une enquête a été ouverte.
M. M.

Bonne nouvelle pour les Algériens résidant en Tunisie. Le ministère des Transports vient d’annoncer un nouveau programme de vols entre Alger et Tunis.

Dans un communiqué rendu public ce lundi 3 janvier ; le département de Aïssa Bekkai a annoncé l’augmentation du nombre de vols entre l’Algérie et la Tunisie.

En effet, à partir du dimanche 9 janvier 2022, le nombre de vols entre Alger et Tunis passeront de 6 à 14 vols hebdomadaires, dont 7 pour Air Algérie.

« À partir de dimanche prochain, le nombre de vols entre l’Algérie et la Tunisie sera porté à un vol quotidien au lieu de trois (03) vols par semaine (…) Dans le cadre de la réciprocité, la partie tunisienne (Tunisair) bénéficiera du même nombre de vols entre les deux pays, soit un vol par jour », lit-on dans le communiqué du ministère.

Depuis l’apparition du variant Omicron, la Tunisie a revu légèrement ses conditions d’entrée. En effet, la vaccination est obligatoire pour tous les voyageurs étrangers âgés de plus de 18 ans.

De ce fait, tous les Algériens désirant de s’envoler vers Tunis doivent présenter un certificat de vaccination prouvant le respect du schéma vaccinal complet. Pas que, ils doivent présenter également un test PCR négatif de moins de 48 heures. À noter que tous les vaccins sont acceptés.

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Les deux premières années du mandat du président Tebboune n’ont pas été marquées par beaucoup des visites à l’extérieur. En décembre dernier pourtant, le chef de l’État s’est rendu en Tunisie dans le cadre d’une visite d’État qui a duré trois jours, ou il a été reçu par le président Tunisien Kais Saied.

Prés d’un mois après, voilà que des informations rapportées par des médias égyptiens affirment qu’une visite du président Tebboune est attendue pour ce mois de janvier, en Égypte. Les mêmes sources précisent que, depuis décembre dernier, les diplomaties des deux pays s’attellent à organiser le déplacement du chef de l’État au Caire.

Cette visite intervient à l’approche du Sommet Arabe que va abriter Alger au mois de mars prochain. Le président Tebboune démontre, via cette démarche, l’importance que l’Algérie accorde à la position de l’Égypte dans beaucoup de dossiers qui seront traités lors de ce sommet, surtout qu’Alger veut faire de cet événement une occasion de rassembler « les pays arabes » autours de décisions communes.

Si le président Tebboune prévoit de visiter son homologue Égyptien au cours de ce mois de janvier, c’est qu’il y a des dossiers en commun qui lient les deux pays africains et qui ont besoins d’être traités. L’Algérie, qui est sur le point d’abriter le sommet arabe, tient à ne pas rater son coup.

Dans une déclaration accordée au quotidien Edoustour, le diplomate Égyptien, Rakha Ahmed Hassan, affirme que la visite du président Tebboune vient, afin que les deux chefs de l’État, égyptien et algérien, puissent discuter avant la tenue du prochain sommet arabe.

Le diplomate confie que le président Tebboune tient à ce que le Sommet Arabe soit à la hauteur des présidents qui y seront conviés. L’Algérie, toujours selon le diplomate, ne veut pas voir se répéter ce qui s’est passé il y a quelques années lorsque la Mauritanie a accueilli le sommet ; deux ou trois présidents ont été présents, le reste des pays étaient représentés par des ministres des Affaires étrangères ou des chefs de gouvernement.

En outre, les consultations qui auront lieu entre les présidents Sissi et Tebboune aborderont de nombreux dossiers relatifs au « monde arabe », estime M. Rakha, qui ajoute que « lors du prochain sommet, l’Algérie vise à « réaliser un exploit politique en réunifiant les positions arabes sur certaines questions, notamment la question palestinienne ».

Outre la Palestine, la question Libyenne sera également sur la table lors de cette visite que le président Tebboune va effectuer en Égypte, ajoute le diplomate. Il rappelle que l’Égypte, tout comme l’Algérie, possèdent des frontières en commun avec le voisin Libyen. Les deux pays vont faire pression afin de trouver un solution au conflit qui dure depuis 2011.

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Chaque continent est représenté par des stars dans le domaine des sports notamment le football. Pour le continent africain, ce n’est pas ce qui manque. Plusieurs joueurs brillent dans des championnats prestigieux en évoluant à l’étranger, comme c’est le cas pour le chouchou des Algériens, Riyad Mahrez.

Après la fin de l’année 2021, une rétrospective s’impose et un podium virtuel se met en place pour féliciter ceux qui ont fait parler d’eux, comme l’a fait le journal français Le Monde avec les joueurs africains. Ce dernier a fait un article sur « six joueurs africains qui ont brillé en 2021 ».

Sur la liste, des joueurs de plusieurs nationalité qui n’évoluent pas forcément en Europe à savoir Aaron Boupendza d’Al-Arabi de Doha, Franck Kessié du Milan AC, Achraf Hakimi du PSG, Mohamed Sherif d’Al-Ahly du Caire, Issiaka Samaké de l’Horoya AC et Mohamed Ali Ben Romdhane de l’Espérance de Tunis.

En effet, beaucoup d’internautes ont montré leur incompréhension, par le manque de deux grands joueurs africains, des pointures dans le football, il s’agit de l’international algérien Riyad Mahrez qui joue au Manchester City et du fameux Mo Salah l’international égyptien, ailier droit du Liverpool FC. Pourtant, les deux ont eu des performances de qualité en 2021.

Cette absence est tellement incomprise que le journal s’est exprimé dans l’article avant même de recevoir quelconque réaction.

« Non, Sadio Mané, Mohamed Salah, Edouard Mendy ou Riyad Mahrez ne figurent pas sur la liste. Ces grands noms du football mondial ont assurément brillé en club ou en sélection cette année, mais d’autres joueurs africains, moins médiatisés, sont également sortis du rang » lit-on dans l’article susmentionné.

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La crise sanitaire menace de se transformer en un véritable tsunami de cas de contamination, en Algérie, avec l’arrivée du variant Omicron du Covid-19. Les spécialistes redoublent leurs appels à respecter les mesures barrières et exhortent les citoyens à aller se faire vacciner, avant le pic épidémiologique prévu d’ici à 3 ou 4 semaines.

Aujourd’hui, le 03 janvier 2022, l’Algérie a recensé 373 nouveaux cas de contamination à la covid-19 ces dernières 24 heures, contre 341 enregistrés par le bilan d’hier. Le même communiqué du ministère de la Santé fait également fait état de 7 nouveaux cas de décès, 34 nouvelles admissions aux services de soins intensifs ainsi que de 274 nouvelles contaminations.

Ces derniers chiffres communiqués par le département de Benbouzid font monter le total des contaminations au coronavirus en Algérie à plus de 219.532 cas depuis le début de la crise sanitaire en mars 2020. Le nombre décès quant à lui, toujours d’après les indications des instances officielles, dépasse les 6.298 cas.

Plus de douze cas d’infection au variant Omicron ont été recensés en Algérie. Ce nombre est appelé à augmenter dans les prochains jours, avant de se multiplier dans les prochaines semaines. Bien que moins dangereux que ces prédécesseurs, le variant Omicron est aussi plus contagieux.

Le Dr Nekkaa Toufik, confie, que pour le moment, la majorité des cas de contamination à la Covid-19 recensés en Algérie concernent le variant Delta. Médecin spécialiste en épidémiologie et médecine préventive de l’hôpital Saroub Khathir d’El-Eulma à Sétif, le même intervenant affirme que « selon les expériences des trois précédentes vagues, l’entrée du variant Omicron est prévue d’ici à 3 ou 4 semaines ».

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Une affaire de malversation financière éclabousse l'Agence pour la construction des infrastructures du secteur de l'éducation (ACISE). Le directeur de ladite agence aurait saisit la Brigade économique et financière (BEF), et les mis en cause interpellés.

Environ 06 personnes seraient impliquées dans un dossier de détournement de deniers publics à l'ACISE. De sources concordantes, la personne responsable des marchés publics, les responsables des opérations, et des chefs de projets seraient épinglés. 04 parmi eux sont placés sous mandat de dépôt après audition à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).

F. A. A.

Entre l’Algérie et la France, une longue histoire marquée par la colonisation et le combat pour la libération s’est écrite. Un passé houleux, qui continue de hanter les esprits aussi bien en Algérie qu’en France. Ce passif historique est toutefois, et de plus en plus, instrumentalisé par certains politiciens des deux rives afin de satisfaire leurs agendas électoraux.

C’est notamment le cas en France, ou les élections présidentielles ont été une occasion qui n’a pas été ratée pour user de l’Algérie comme d’un sujet permettant de monter dans les sondages. La droite française ne s’est pas gênée pour faire du peu de gestes d’apaisement entrepris par Macron envers l’Algérie, un aveu de faiblesse dans le meilleur des cas, et au pire, un signe « déracinement ».

Après le controversé Eric Zemmour, qui a qualifié Macron d’« adolescent incomplet », voilà qu’un autre candidat à la présidentielle s’y met encore. Il s’agit de Valérie Pécresse, la candidate LR, qui a vivement critiqué la politique de l’actuel président Français envers l’Algérie.

Selon cette candidate à l’Élysée, et actuelle présidente de la région Ile-de-France, « Emmanuel Macron a un problème avec l’histoire de France ». Elle explique « il est allé dire en Algérie que nous avions commis des crimes contre l’humanité », ce qui est selon elle loin d’être le cas.

Pourtant, elle avoue qu’« en Algérie, il y a eu effectivement des exactions » et qu’« il y a eu des pages sombres de l’histoire de France qui ont été écrites ». Cela ne l’empêche pas toutefois de répéter que l’on ne « peut pas parler de crimes contre l’humanité ».

« Crimes contre l’humanité, c’est ce qu’on reproche aux nazis et à Hitler », tempête Pécresse pour qui l’histoire de la France coloniale n’est pas si horrible que cela. En effet, la candidate du parti Les Républicain souhaite que les « mythes » d’une France coloniale civilisatrice soient gardées.

« Je ne crois pas qu’il faille déconstruire l’histoire de France, je pense que tous les pays ont besoin de mythes, tous les pays ont besoin d’être fiers de leurs héros », a-t-elle déclaré. Pécresse rappelle que Macron lui est « est allé dans un média anglo-saxon dire qu’il voulait déconstruire l’histoire de France ».

Revenant enfin sur les déclaration d’Eric Ciotti qui a qualifié Macron de « président déraciné«  qui « n’aime pas la France », Pécresse estime que son ancien adversaire « a ressenti cela comme ça et s’il l’a ressenti comme ça, eh bien il l’a dit avec ses mots ».

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Ces derniers jours, les polémiques autour des pénuries et des prix de deux produits de base ont refait surface. Il s’agit de l’huile de table et de la hausse du prix du pain subventionné par l’État. À la suite de quoi, le ministre du Commerce est intervenu.

Lors d’une réunion de coordination tenue par visioconférence avec les Directeurs locaux et de wilayas, le ministre du Commerce Kamel Rezig a donné plusieurs instructions concernant ces deux produits de base, indique un communiqué du département.

Concernant la pénurie de l’huile de Table, Rezig a instruit les Directeurs de wilayas de coordonner avec les producteurs afin d’augmenter les quantités de production. Dans ce sens, il a abordé « les mécanismes de régulation du marché concernant certains produits de base, dont l’huile de table ».

En effet, le premier responsable du secteur a donné « des instructions fermes portant sur la nécessité de coordination avec les producteurs afin d’augmenter les quantités de production de l’huile de table pour couvrir la demande », indique le communiqué.

En outre, le ministre a ordonné « d’intensifier les sorties sur le terrain en collaboration avec les services de sécurité pour inspecter les entrepôts et les lieux de stockage, notamment ceux qui ne sont pas déclarés ».

D’ailleurs, Kamel Rezig a indiqué que « les perturbations enregistrées dans certaines régions du pays sont dues à la spéculation, d’autant plus que les quantités de production de l’huile sont suffisantes pour couvrir les besoins du marché national ».

Par ailleurs, le ministre a déclaré que toutes les mesures ont été prises pour toute tentative concernant les rumeurs visant à augmenter le prix du pain réglementé et subventionné par l’État », a conclu le communiqué.

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C’est l’incroyable histoire d’une condamnation algéro-française. Amine Meslem, un jeune qui a été condamné en Algérie pour des violences conjugales qu’il a commises en France. Il a de nouveau été arrêté mais il ne s’agit pas d’une récidive, il est encore une fois condamné pour les mêmes faits, cette fois-ci, Amine doit purger une peine de 17 ans.

A Toulouse, selon les informations de France bleu, Amine avait violenté sa femme allant même jusqu’à la frapper par des coups de couteau.  Après la plainte de son épouse, il a pris ses jambes à son cou direction l’Algérie, sans savoir que quelques mois plus tard il allait être incarcéré sous un mandat d’arrêt international. Le dossier dans son intégralité a été transmis, permettant à la justice algérienne d’avoir tous les éléments nécessaires. Suite à quoi, Amine a été condamné à 18 mois en 2016.

Malgré la condamnation exécutée en Algérie, il est de nouveau jugée par la cour d’Assises de Toulouse et la cour d’appel du Tarn, qui ont décidé de 17 ans de réclusion criminelle pour tentative d’assassinat.

La justice française et algérienne ont eu deux approches différentes vis à vis du même dossier, 18 mois et 17 ans, une grande différence qui a pris de court Amine et sa famille, qui, continue à se battre contre « une injustice inouïe » alors que leur fils est en prison de puis 7 ans.

Au nom du droit international, la famille de Amine se bat tant bien que mal pour le libérer, leur argument ? Il ne peut être condamné deux fois pour les mêmes faits.

« On est en colère parce qu’il a été jugé et condamné en Algérie, il a purgé sa peine. En rentrant, il a été de nouveau mis en examen, mais cette fois-ci, c’est un acharnement. Il a été condamné à 17 ans de prison. Vous vous rendez compte ? » a confié la famille du condamné.

La famille, accompagné d’un avocat, défende leur fils et évoque « une injustice inouïe », expliquant « la justice est souveraine. C’est une convention votée par la France et l’Algérie. La justice française ne devait pas le rejuger, elle avait transmis tous les documents à la justice algérienne et elle était d’accord pour qu’il soit jugé en Algérie ! ».

Leur avocat explique que la France trouve la peine prononcée en Algérie insuffisante « le dossier est un dossier de violence. La justice française a estimé qu’il y avait une volonté de tuer, il a donc été poursuivi pour tentative de meurtre. Et la justice algérienne, de façon plus restrictive, a estimé qu’à aucun moment, il n’y avait des éléments qui permettaient de caractériser une tentative de meurtre » précise Me Luc Abratkiewicz.

Un sentiment d’incompréhension et de frustration chagrine la famille et laisse leur avocat perplexe, puisque dans une affaire similaire il a réussi à libérer son client.

L’article Condamné en France et en Algérie, l’histoire « insolite » de Amine est apparu en premier sur .

Le vœu cher au chef de l'Etat Patrice Talon de relier toutes les soixante-dix-sept communes du Bénin entre elles par des routes bitumées se concrétise. Le ministère des infrastructures et des transports vient de lancer un important avis de passation des marchés. La liste des routes à bitumer, à réhabiliter ainsi que les divers ouvrages à réaliser sur la période 2021-2026 s'y trouvent.
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