C’est depuis 2014 que les Algériens attendent la reprise de l’importation des véhicules neufs et la baisse des prix des voitures d’occasions. Les dernières déclarations du ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, ont enterré les espérances des plus optimistes.
Le ministre a clairement fait savoir, dans une déclaration accordée à l’APS, que le retour de l’importation des véhicules « doit aller de paire avec la relance d’une véritable industrie mécanique orientée, au début, vers le marché national avant d’explorer d’autres voies d’exportation une fois maîtrisée ». Le ministre, qui ne dit pas que l’industrie nationale de l’automobile est au point zéro, laisse entendre de ce fait que le retour de l’importation est encore loin.
L’autre point que le ministre a évoqué est celui de l’écologie. Ahmed Zeghdar a déclaré que “la nouvelle stratégie tracée pour l’industrie automobile tient en compte la fabrication de véhicules électriques et hybrides, au diapason de l’évolution des voitures à moyen et à long terme, et ce, pour cadrer avec les objectifs de la transition énergétique adoptée dans plusieurs pays à travers le monde”.
Importation de véhicules : Zeghdar veut-il gagner du temps ?Pour Zeghdar, l’importation des véhicules, « est principalement à l’origine de l’hémorragie de devises ». Cette déclaration intervient au moment où les prix du pétrole ont atteint leur plus haut niveau depuis 2014, l’année ou l’importation des véhicules a été suspendue.
Il est à rappeler que le même responsable a affirmé que le nouveau cahier de charges sera prêt la fin du mois de janvier écoulé. Zeghdar rectifie son tir et assure cette fois que le cahier des charges a été révisé “en application des instructions du président de la République”, sans s’aventurer cette fois à donner une échéance quant à sa publication.
Le dossier du retour de l’importation de véhicules traine depuis plus de deux ans. Les concessionnaires, qui s’attendaient à du nouveau lors de ce début d’année 2022, ont été frappés par la dernière sortie du ministre. Ils dénoncent «l’absence d’une volonté d’accorder les agréments, et ce, malgré les instructions du président».
Les concessionnaires ont, dans une énième lettre formulée par le groupement des concessionnaires automobiles, en guise de réponse au ministre de l’Industrie, exprimé leurs «inquiétudes quant aux mesures qui vont à l’encontre des instructions du président de la République qui avait insisté, en décembre dernier, sur la nécessité d’accélérer la délivrance des agréments».
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Les remplaçants des fonctionnaires de douane Aéroport-Cotonou mis en examen dans l'affaire trafic de devises et d'or sont connus. Le Directeur général des Douanes, Alain Hinkati a procédé à la nomination du Chef de brigade de l'Aéroport de Cotonou et de son adjoint à travers une décision en date du 09 février 2022.
Arsène Dahgninou Winsavi est le nouveau chef de brigade de l'aéroport de Cotonou. Le nouveau chef brigade adjoint est Malick Boukari Biao. Les deux agents des douanes ont été nommés le 09 février 2022 par le Directeur général des Douanes, Alain Hinkati. Arsène Dahgninou Winsavi, chef brigade à l'aéroport de Cotonou et Malick Boukari Biao, chef brigade adjoint à l'aéroport de Cotonou remplacent respectivement Roméo Kounonzo et Sabi Assouman. Soupçonnés de complicité à la suite de l'arrestation de deux voyageurs béninois interpellés à l'aéroport d'Abidjan avec près de 84 kg d'or, 2 millions d'euros et plus de 250 000 livres sterling, l'ex chef de brigade Cotonou aéroport Roméo Kounonzo, et son ex-adjoint Sabi Assoumane sont en détention depuis le 27 janvier 2022.
Marc MENSAH
Les femmes sont de plus en plus courageuses pour dénoncer les agressions et les menaces. Cette dénonciation est souvent le détail qui les sauvent de la violence, de l’insécurité et de la mort.
Le 5 janvier dernier, Ahmed Kahlouche, un Algérien en situation irrégulière âgé de 27 ans a commis un acte odieux et irréversible, une scène choquante que la police a du voir et que sa femme et son bébé ont du vivre. En effet, les policiers se sont présentés chez la maman à Lille, où ils l’ont trouvé figée avec un bébé dans les bras avec des vêtements gorgés d’essence. Elle tente tant bien que mal de leur raconter ce qui s’est passé, son conjoint l’a menacé elle et son enfant d’immolation.
Elle raconte difficilement les moments d’horreur qu’elle a vécus, son mari avait un bidon d’essence qu’il versait sur elle. Ahmed Kahlouche, son époux, avait sorti son briquet, l’a allumé et ne cessait de lui répéter « je te brûle », il est sorti à cause des pleurs de son bébé. Les policiers partent à la recherche d’Ahmed et le trouvent grâce à la géolocalisation de son téléphone.
Un déni sans pareilLe journal La voix du nord raconte comment s’est déroulé la garde à vue de l’Algérien. Il a évoqué « une histoire virtuelle » pour démentir sa femme, il nie totalement toute acte de violence et explique l’odeur envahissante de l’essence par son travail, il est mécanicien.
Comme de coutume, les agresseurs passent rarement aux aveux, ils nient jusqu’au bout. Sauf que leur innocence est vite estompé par les preuves, dans ce cas là les messages adressés à sa femme du genre «je te tue pour ce que tu fais», « t’es morte ! », « je te jure je vais te tuer ! ». Devant les enquêteurs, il continue à se dédouaner expliquant que les messages n’étaient que du second degré. Avec sa défense douteuse, il passe à une autre technique, le silence.
La procureure réclame une peine sévère afin de le sanctionner de façon aussi grave que les faits. Ahmed Kahlouche est donc condamné à 8 ans de prison avec maintien en détention, il perd l’autorité parentale totale sur sa fille et il est interdit définitivement du territoire français.
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Le secrétaire général adjoint du gouvernement et porte-parole du gouvernement, Wilfried Léandre Houngbédji a donné des précisions sur la situation réelle du Complexe Textile du Bénin (Coteb), société détenue majoritairement par l'Etat béninois.
Le Complexe Textile du Bénin (Coteb) était une entreprise moribonde. « Coteb ne vivait plus depuis longtemps et jusqu'en 2017 était déjà sous administration déléguée. Depuis au moins 2015, l'Etat du Bénin a cherché à vendre Coteb pour lui donner une nouvelle vie et il n'y a jamais eu de repreneur », a rappelé le porte-parole du gouvernement, vendredi 11 février 2021 face aux journalistes. En plus du désintérêt lié à son « état délabré et sans perspectives », le Coteb faisait face à des vols de son patrimoine. Le Syndic du Coteb a saisi alors le tribunal pour demander la mise à prix de la société textile. « La stratégie a donc été d'offrir aux repreneurs potentiels la possibilité de faire leur mise à prix », mais il n'y avait toujours pas de repreneur pour le Coteb, selon les explications de Wilfried Léandre Houngbédji. « (…) Et je mets au défi ceux qui ont pu dire qu'un groupe nigérian a proposé 14 milliards d'avoir à prouver qu'il y a eu effectivement une telle offre que nous avons refusé », a martelé le porte-parole du gouvernement au sujet d'informations diffusées sur les réseaux sociaux sur le Coteb faisant état de ce qu'un repreneur a été privilégié au profit d'autres. « (…) Seule la SODECO a fait une offre de reprise à hauteur de 2 milliards de FCFA et il n'y a pas eu d'autres offres. Il n'y en a pas bien que l'avis ait été public. (…) Cela conforte bien l'idée que l'entreprise était dans un tel état de délabrement, de déliquescence que ne voyant pas de perspectives, les gens n'osaient pas s'y engager », a précisé le secrétaire général adjoint du gouvernement. A en croire le porte-parole du gouvernement, il n'y a pas de péril en la demeure si une « société moribonde » (Coteb) est reprise par une entreprise (SODECO) qui intervient dans le coton depuis des années. C'est pour donner une nouvelle vie au Coteb conformément aux ambitions du gouvernement du président Patrice Talon pour le secteur industriel au Bénin. L'objectif de l'Etat est de « faire en sorte qu'une partie de nos productions agricoles soient transformée sur place pour leur donner un peu plus de valeur et créer de valeurs ajoutée », a expliqué Wilfried Houngbédji.
Le Complexe Textile du Bénin (Coteb) est une société textile d'économie mixte (patrimoine détenu à 54% par l'Etat béninois, le reste par d'autres acteurs dont la SODECO) implantée à Parakou. Englué dans des difficultés, le complexe a été placé sous liquidation. Quant à la SODECO (Société pour le Développement du Coton), une société privée avec à sa tête le fils du chef de l'Etat Lionel, elle est spécialisée dans les fonctions de la chaîne cotonnière.
Marc MENSAH
À l’approche du mois sacré, les Algériens commencent déjà à sentir les flambées des prix. À l’exemple des viandes, les prix ont connu ces derniers jours des hausses exorbitantes. En prévision du mois de Ramadhan, l’Algérienne des viandes promet un seuil.
Intervenant ce lundi sur les ondes de la Radio nationale, Président-Directeur général de l’Algérienne des viandes rouges (ALVIAR) Lamine Derradji affirme que son organisation compte mettre au point un dispositif spécial pour le mois de Ramadhan.
En effet, en prévision des pics de consommation de ce produit durant le mois sacré, la filiale du Groupe public agro-logistique (AGROLOG), compte renforcer son réseau commercial à travers le pays. Et ce à travers « l’ouverture de 150 points de vente dans plusieurs wilayas ».
L’ALVIAR compte également proposer « des prix étudiés, qui ne dépasseraient pas 1.300 Da pour la viande ovine et 1.200 Da pour la viande bovine ». D’ailleurs, l’intervenant a fait savoir que la filiale du groupe agro-logistique a importé « 4.000 bovins dédiés à l’abattage spécialement pour le mois de Ramadhan ».
Flambées des prix de la viande : l’explication de l’ALVIARRevenant sur les dernières flambées des prix des viandes rouges ces derniers jours, l’invité de la Radio estime que cela revient à « la sécheresse enregistrée, et qui a fortement réduit les espaces de pâturages et les zones de parcours »,
En outre, et dans le souci de lutter contre la spéculation, l’Algérienne des viandes suggère aux éleveurs « des conventions triangulaires avec l’OAIC, ce qui permet de leur assurer un approvisionnement en orge subventionné ».
Ces derniers doivent, en contrepartie destiner « la totalité de leur production à l’ALVIAR, qui s’assure, à travers son réseau commercial, que la viande soit vendue au consommateur final à un prix plus accessible, conforme à la subvention accordée par l’État ».
À ce propos, Lamine Derradji indique que « ce nouveau dispositif de convention triangulaire a déjà attiré quelque 200 éleveurs adhérents, ce qui représente un cheptel de plus de 20 000 têtes ».
Par ailleurs, il explique que « le marché est perturbé par les éleveurs saisonniers, qui ne disposent pas d’un cheptel permanent ». Ces derniers optent pour l’achat « des têtes à l’approche des périodes de forte demande, telles que Ramadan et l’Aïd », a-t-il souligné.
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Auteur d’une très haute performance lors de chaque rencontre disputée, avec son club professionnel comme avec sa sélection nationale, le talentueux défenseur des Verts, Ramy Bensebaini, ne cesse d’être sous le feu des projecteurs.
En effet, l’international algérien du club allemand Borussia Möchengladbach continue toujours de briller et de susciter l’intérêt de grands clubs étrangers, notamment européens.
Bensebaini brille avec Borussia MöchengladbachCe dernier, a fait preuve d’une excellente performance lors du dernier match avec son club face à Augsbourg en Bundesliga. Titulaire lors de ladite rencontre, le natif de Constantine s’est montré décisif dès les premières minutes du jeu, où il a fait une magnifique passe décisive à son coéquipier Hoffmann, qui s’est soldée par un joli but.
En outre, Ramy Bensebaini n’a pas manqué d’inscrire un incroyable but dans les filets de l’équipe adverse, et ce, quelques minutes seulement après sa passe décisive.
Le Fennec séduit Manchester UnitedCe grand potentiel a mis le défenseur des Fennecs dans le viseur du grand club anglais, Manchester United, c’est en tout cas ce que révèle plusieurs sources, dont le site espagnol spécialisé Fichajes.net.
Selon la même source, l’ancien joueur du Stade Rennais séduit Manchester United. Le club anglais aurait fait de Ramy Bensebaini pour le prochain mercato estival, notamment après avoir été délaissé sur son flanc gauche par un Luke Shaw et un Alex Telles en difficultés.
Ledit club n’a trouvé mieux donc que de se lancer sur la piste menant à l’Algérien, surtout que le footballeur ne cesse de performer et d’impressionner les observateurs du football européen, mais aussi mondial.
Titulaire indiscutable en Allemagne comme avec les Fennecs, Bensebaini serait la solution pour pallier aux problèmes défensifs de Manchester United. Sachant que le Borussia Möchengladbach estime son talentueux joueur à 25 millions d’euros.
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Depuis la nuit des temps, certains actes et incidents ont obligé les musulmans à se faire tout petits. Suite aux attentats en France, victimes de généralisation, ils ont longtemps étaient pointés du doigts.
Alors qu’ils ne voulaient que pratiquer leur religion et vivre le plus normalement possible, il y a toujours eu ce sentiment de malaise qui leur faisait savoir qu’ils ne sont pas les bienvenus. Bien qu’ils soient français de souche, on leur a fait croire qu’ils n’appartenaient pas à la France, qu’ils étaient étrangers chez eux et qu’ils n’étaient pas « conformes » à l’identité de la « République ».
Ne cherchant que la paix, ils se font de plus en plus petits, ils se recroquevillent sur eux-mêmes contre leur gré, sans pouvoir s’en défendre et en faisant leur vie dans leur « coin ». Avec la montée des idées de l’extrême droite et la haine y afférente, ils se sentent de plus en plus mal, ils ont mal à leur France.
Ce sont les regards du voisin, les débats télévisés au tour du voile et des mosquées, les agressions sur les boucheries Halal et les chuchotements dans les restaurants, si avant on insinuait, maintenant on leur dit haut et fort, oyez musulmans, vous n’avez plus votre place à l’Hexagone.
L’immigration, le sujet de la présidentielle française de 2022A l’approche de la présidentielle, tous les candidats évoquent le sujet de l’immigration qu’ils soient de gauche ou de droite, de quoi créer un malaise qui démange les immigrants et les musulmans français. Le journal américain The New York Times a dédié un papier à ce sujet intitulé « le départ silencieux des musulmans de France » soulignant les compagnes anti-immigration que les principaux concurrents du président Emmanuel Macron mènent aux portes des élections d’avril.
Le thème de l’immigration étant au cœur des programmes des candidats, soulève une question dont on connait la réponse, la France reçoit-elle le plus d’immigration en Europe ? Pour les estimations des professionnels, 10% sont musulmans, un pourcentage qui ne peut justifier l’engouement au tour d’eux notamment dans le débat politique.
La France a-t-elle instillé une culpabilité aux musulmans ?L’article de NY Times raconte l’histoire d’un Algérien musulman, Sabri Louatah qui s’est vu contraint de quitter la France pour les Etats-Unis après les attentats de 2015. “C’est vraiment les attentats de 2015 qui m’ont fait partir — j’ai compris qu’on n’allait pas nous pardonner » a-t-il confié, se remémorant les moments douloureux où on l’a traité de sale arabe et on lui a craché dessus.
Ou encore l’histoire de Amar Mekrous qui a également quitté le pays de Molière à cause de la suspicion pesante sur les Français musulmans après les attentats de 2015, il s’est installé en Angleterre, « il n’y a qu’à l’étranger que je suis français » déplore Amar.
Sachant que les actes anti-musulmans étaient en hausse de 52 % en 2020 par rapport à l’année précédente et que la montée de haine ne fait que s’accentuer, les musulmans français vont-ils partir afin de fuir la haine ?
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Pour rappel, le dollar ne valait pas plus de 80 dinars algériens en 2014. Aujourd’hui, en 2022, soit moins de 10 ans après, la monnaie étasunienne s’échange à la banque d’Algérie contre pas moins de 140 dinars algériens. Depuis le crash des prix du pétrole, le dinar poursuit à vive allure sa descente aux enfers.
En 2014, l’Euro valait 102 dinars, aujourd’hui, il est cédé à 160. Il s’agit bien entendu des cours officiels, car si l’on se penche du côté du marché noir, les choses deviennent plus volatiles, et les flambées confirment de plus en plus leur gravité. Un dollar américain est cédé au Square Port-Saïd contre 192 dinars, et l’Euro contre 217 dinars.
Au-delà du crash pétrolier, il est légitime de se demander pourquoi cette rapide dépréciation ? La réponse nous fait obligatoirement remonter à l’ère du président Chadli, quand les déboires de la monnaie nationale ont commencé. C’est en 1989 que l’Algérie a eu recours pour la première fois au FMI. Le Fonds Monétaire International a accordé un financement à l’Algérie sans aucune condition.
En 1991, l’Algérie se rapproche une deuxième fois du FMI, cette dernière exige des conditions dont la première est la dévaluation de la monnaie nationale, pour qu’elle accorde un nouveau financement. Selon le FMI, cette condition aiderait les économies titubantes à se remettre sur pied. Lors de cette période, un dollar valait 4,83 DA en 1987, En 1992 il flambe à 21,87 DA, puis à 36 dinars en mars 1994, avant d’atteindre 41 dinars fin septembre 1994.
Pourquoi laisser le dinar se déprécier ?À l’arrivée de Bouteflika au pouvoir, et après son installation, un dollar valait environ 75 dinars (l’an 2000). C’est à ce moment-là que l’économie algérienne a commencé à cueillir les fruits d’un régime de change flexible. Toujours selon le FMI, cette politique, qui consiste à laisser la monnaie nationale se déprécier davantage, favorise la diversification de l’économie et protége le pays de la volatilité des prix des hydrocarbures.
Entre l’an 2000 et l’an 2013, un dollar s’échangeait contre une marge étroite allant entre 75,25 et 77,55 DA. En 2014, le crash survient, et le dinar algérien qui était déjà au fond du trou commence à creuser. En effet, pour faire face à la baisse soudaine des prix des hydrocarbures, l’Algérie décide de poursuivre la politique du FMI qui consiste en la dévaluation et la dépréciation du dinar.
«Le gouvernement a été conseillé de déprécier la monnaie pour faire face à la masse monétaire qui se rétrécit ainsi qu’au déficit budgétaire, mais aussi pour préserver le niveau des réserves de change», indique Nemouchi Farouk, docteur en finances, à nos confrères d’El Watan. « La baisse de la valeur de la monnaie nationale, c’est la solution de facilité. La Banque d’Algérie en cherchant à régler par la dépréciation du dinar les problèmes complexes qui perdurent ne résout rien », estime pour sa part Badreddine Nouioua , Ancien gouverneur de la BCA.
Toutefois, et selon la Loi de finances 2022, la dépréciation va se poursuivre, au moins jusqu’en 2024. Le taux de change du dinar sera de 149,3 dinars pour 1 dollar américain en 2022, de 156,8 dinars pour un dollar en 2023 et de 164,6 dinars pour un Dollar US en 2024. Ce sont des perspectives sombres de la chute, que rien ne semble pouvoir arrêter, de la monnaie nationale.
Outre le problème du chômage, l’on constate de plus en plus que même ceux qui travaillent n’arrivent plus à joindre les deux bouts, à cause de la dégradation sans précédent du pouvoir d’achat.
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Avec un montant d'investissement estimé à sept (7) milliards de FCFA soit environ dix (10) millions d'euros, HRD Industries, une entreprise spécialisée dans la transformation de produits agricoles, devient la vingt cinquième (25ème) société à investir dans la Zone Industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ).
La société HRD Industries est l'une des entités de la multinationale HRD GROUP, présente à Dubaï, à Mumbai et au Nigéria. Elle installe dans la GDIZ, une unité de production d'huile et de bio charbon à base de coques de noix de cajou. Cette unité à une capacité annuelle de production de cinquante mille (50.000) litres d'huile et de quarante-cinq mille (45.000) tonnes de bio charbon.
Le démarrage des activités de HRD Industries est prévu pour septembre 2022 sur une superficie de trois (3) hectares et permettra à la GDIZ de devenir une zone avec zéro déchet issue de la transformation des noix de cajou. Dix-sept mille (17 000) emplois directs et quinze mille (15 000) emplois indirects sont prévus d'ici décembre 2023 dans le cadre de la mise en œuvre de ce projet d'investissement.
Ce nouvel investissement dans la zone vient confirmer la confiance que les investisseurs locaux et étrangers portent à la GDIZ, qui compte désormais vingt-cinq (25) investisseurs.
“Notre ambition est de faire de la GDIZ, un écosystème respectueux des normes environnementales et sociales les plus élevées. La politique de la GDIZ s'inscrit dans une démarche de développement durable, et ceci n'est possible qu'en limitant notre impact sur l'environnement et en réduisant les déchets produits au sein de la zone. Avec HRD Industries, la GDIZ devient une zone zéro déchet pour la transformation des noix de cajou,” a souligné Monsieur Létondji BEHETON, Directeur Général de SIPI-BENIN.
À propos de GDIZ
Glo-Djigbé Industrial Zone (GDIZ), développée par la Société d'Investissement et de Promotion de L'Industrie – BENIN (SIPI BENIN SA), est une joint-venture entre Arise Integrated Industrial Platforms (IIP) et la République du Bénin.
Avec l’approche des matchs barrages pour les qualifications à la Coupe du Monde 2022 au Qatar, les hommes de Djamel Belmadi s’apprêtent, avec détermination et beaucoup de motivation, pour ces confrontations décisives, dans le but de participer à ce grand événement footballistique planétaire.
Djamel Belmai devrait bien préparer ses jeunes joueurs pour lesdites rencontres, prévues à la fin du mois de mars de l’année en cours, contre l’équipe camerounaise.
Le cauchemar des blessures poursuit les VertsLes Verts sont appelés donc, à faire preuve d’une bonne performance et de montrer un haut niveau lors du jeu, dans l’espoir de surmonter la déception de la Coupe d’Afrique 2021 au Cameroun, où l’Algérie a quitté la compétition lors du tout premier tour de ce tournoi.
En fait, l’élimination précoce des Fennecs de ladite CAN est intervenue à la suite d’une performance faible, voire catastrophique. Ces derniers n’ont réussi à obtenir qu’un seul point lors de trois rencontres. Ils ont fait d’abord un nul face à la Sierra Leone, pour être vaincus par la suite, par la Guinée équatoriale et la Côte d’Ivoire, respectivement.
Cependant, le cauchemar des blessures ne cesse de poursuivre les stars de l’équipe nationale. En effet, le talentueux Fennec Adam Ounas, a été victime d’une anomalie cardiaque lors de la précédente CAN, l’empêchant ainsi à participer avec ses coéquipiers.
Ounas retrouve enfin la compétition !À la grande satisfaction de son entraîneur Djamel Belmadi, le milieu offensif des Verts a enfin pu rejoindre les entrainements avec son club italien de Naples. Une nouvelle qui pourra certainement rassurer le « Ministre du Bonheur », notamment avec l’approche des matchs barrages.
En fait, l’international algérien du Napoli, vient de retrouver les terrains de Série A, ce samedi 12 février, pour la réception de l’Inter Milan. L’Algérien a participé au match lors des dernières minutes de la rencontre, remplaçant son coéquipier Lorenzo Insigne.
Sachant que c’est son tout premier match de l’année sous le maillot de Naples, et il a disputé sa dernière rencontre le 5 janvier de l’année en cours sous le maillot des Verts, lors du match amical de préparation pour la CAN 2021 au Cameroun contre le Ghana, qui s’est soldé par la victoire des Fennecs, avec 3 buts contre 0.
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La coopération entre le Bénin et ses partenaires, les réformes du gouvernement, l'appropriation du Programme d'Action du Gouvernement (PAG 2021-2026) étaient au centre des sujets débattus par le ministre des Affaires étrangères et de la coopération et les membres du Corps diplomatique accrédité au Bénin vendredi 11 février 2022.
De séances d'appropriation du Programme d'Actions du Gouvernement ont été organisées à l'intention des Cadres des ministères et Directeurs des Agences et Institutions, des députés, maires et du secteur privé.
« Des dispositions sont en cours en vue d'organiser une séance d'appropriation du PAG 2021-2026 » au profit du corps diplomatique, a annoncé le ministre des Affaires étrangères et de la coopération aux membres du corps diplomatique accrédité au Bénin, vendredi 11 février 2022, lors d'un cocktail dînatoire. Le gouvernement du Bénin entend donner un nouvel élan à sa coopération avec les différents pays partenaires, selon le ministre. « S'agissant de la diplomatie, le PAG prévoit le renforcement de l'action diplomatique et le rayonnement du Bénin à l'étranger, la promotion d'une diplomatie de bon voisinage et le renforcement de la diplomatie économique et culturelle », a indiqué Aurélien Agbénonci.
« Nous continuons de suivre avec un intérêt particulier, les réformes initiées dans votre département ministériel, notre ministère de tutelle pour lequel, nous avons un profond respect. Ces réformes voulues par le président de la République et que vous avez la lourde et exaltante mission de conduire à bon port. Ce que rapporte la diplomatie économique du Bénin, c'est ce que nous recevons en scrutant les possibilités qui existent de par le monde. Ce n'est pas seulement le ministère des Affaires étrangères, c'est le ministère du Plan, des Finances mais avant tout le président de la République, qui non seulement examine favorablement les propositions faites mais aussi scrute lui-même les possibilités qui existent », a indiqué Sandi Sahadi Abdou, ambassadeur extraordinaire plénipotentiaire de la République du Niger près le Bénin et doyenne d'âge du corps diplomatique.
Marc MENSAH
L’ancien coordinateur des services de renseignement et de la sécurité, le général-major à la retraite Bachir Tartag, devra comparaitre en compagne de 4 autres anciens officiers, le 21 février prochain devant le tribunal militaire de Blida.
Le nouveau procès qui s’ouvrira incessamment auprès de la même juridiction concerne l’affaire « de corruption et de fraude lors des élections législatives de 2017 » et l’affaire « de la prétendue fille de l’ancien président Zoulikha Nechnech alias madame Maya », rapporte le quotidien arabophone Echorouk.
Selon des sources citées par le même journal, le général-major à la retraite devra comparaitre le 21 février en compagnie d’autres officiers dont le général B.A, deux colonels et un commandant. Le frère de l’ancien président, Saïd Bouteflika devra également comparaitre, mais en tant que témoin.
Les mis en cause font face à de lourdes accusations dont « l’abus de fonction et non-respect des procédures judiciaires dans les enquêtes ». Les faits concernent, en effet, le non-respect de la voie légale par la police judiciaire lors des enquêtes et leur transfert au procureur de la République du tribunal militaire territorialement compétent.
Le juge instructeur militaire avait, début de l’année 2021, jumelé l’affaire « de corruption et de fraude lors des élections législatives de 2017 » avec celle « de la Zoulikha Nechnech ».
Retour sur les deux affaires et l’audition de TartagLa première affaire concerne les conditions dans lesquelles les fonds et les bijoux de la prétendue fille secrète du Président déchu, Mme Maya, ont été saisis lors d’une perquisition effectuée en 2017, par les officiers de la Sécurité intérieure, dans sa villa de Moretti.
La deuxième affaire est liée à El Wafi Ould Abbès, le fils de l’ex-secrétaire général du FLN, qui avait été arrêté en situation de flagrant délit, sur dénonciation du député Baha Eddine Tliba, pour avoir « monnayé » les places sur la liste des candidatures à la députation.
Lors de son audition en juin de l’année dernière concernant l’affaire madame Maya, le général Tartag avait affirmé qu’il avait appliqué les instructions du président transmises par Saïd Bouteflika, qui servait d’intermédiaire pour toute décision.
« Après avoir demandé une enquête, il m’a instruit de gérer le dossier de manière discrète, parce qu’il s’agit d’une affaire qui concerne le Président », avait-il témoigné. Et d’ajouter que « lors des perquisitions, des sommes importantes en dinar et en devise ont été saisies. Elles ne devaient pas rester à la caserne. Elles ont été déposées à la Banque d’Algérie et les documents afférents à ses dépôts existent ».
Concernant la seconde affaire, il avait affirmé avoir exécuté « les instructions du président Bouteflika, qui était le président d’honneur du FLN, et qui m’ont été transmises par son frère et conseiller Saïd. Djamel Ould Abbès, dont les deux fils ont fait l’objet d’arrestation, était le secrétaire général du FLN. Je n’ai fait qu’exécuter les ordres ».
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Selon les médias français, un franco-algérien, âgé de 75 ans répondant au nom d’Ali Saidi a disparu depuis 10 jours à Valenciennes dans le nord de la France. Le septuagénaire a été vu la dernière fois dans le tramway, portant un gilet à capuche, un polaire, un pantalon en jeans et des chaussures de sport grises et noires.
Décrit comme un homme sympathique et adorable, Ali Saidi est très respecté par ses voisins. Suite à sa disparition, sa famille a alerté le commissariat de Valenciennes qui a lancé un avis de recherche ce samedi. En signe de solidarité, une trentaine de personnes se sont lancés à sa recherche dans la commune voisine, où le disparu avait été repéré pour la dernière fois.
La famille du vieil homme disparu a exprimé sa profonde inquiétude, d’autant plus qu’il souffre de troubles mentaux. Selon Farhat Saidi, son neveu, c’est la première fois qu’il part seul ainsi.
Suicide par le feu en coïncidence avec la disparition de l’AlgérienLa disparition du vieil homme est survenue après que ses proches aient constaté un étrange changement de comportement chez lui. D’ailleurs le neveu d’Ali a déclaré : “Mon oncle s’est rendu en Kabylie (Algérie) à la fin de cette année pour fêter le réveillon. Le 31 décembre, il est rentré à Valenciennes. Mais, depuis son retour, ses troubles mentaux semblaient s’accentuaient. Il ne voulait pas retourner chez lui, il s’imaginait que des personnes viendraient le ligoter et le kidnapper.”
En plus des troubles mentaux dont souffre le septuagénaire, un drame survenu ce vendredi et coïncidant inquiète sa famille. En effet, un homme s’est suicidé par le feu à Anzin, à proximité du parc de Dampierre vers 11h30 du matin.
Craignant que ce soit lui, des proches se sont rendus dans les magasins pour vérifier s’il avait acheté du liquide inflammable le jour de sa disparition, mais, aucune conclusion n’a été tirée jusqu’à ce jour.
À rappeler que deux autres algériens ont été portés disparus l’année dernière en France, il s’agit de la jeune femme Karima disparue le 15 août 2021 et de l’octogénaire Maamar Belghali, disparue le 11 février 2021.
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Récemment, plusieurs polémiques tournent autour des étrangers en France, particulièrement les Maghrébins. On constate l’émergence de questions qu’on ne se posait pas auparavant, ont-ils leur place ici ? faut-il diminuer ou carrément arrêter l’immigration ? plusieurs questionnement pour une seule réalité, l’Hexagone ne peut se passer des immigrants.
Le podium des polémiques a été occupé par l’exode des médecins. Tout le monde en parle, les statistiques ont fait couler beaucoup d’encre et ont fait l’objet de multiples débats politiques. En effet, cela partait d’une interrogation et sa réponse, lorsque le candidat à la présidentielle française Eric Zemmour s’est prononcé sur le sujet des médecins étrangers. Sur BFM TV dans l’émission La France dans les yeux, avec 1200 médecins algériens acceptés sur un total de 2000 places disponibles, le polémiste s’est montré clairement défavorable.
Contre les médecins étrangers pour le bien des Français ?Avec 15 000 médecins algériens déjà installés en France et les nouveaux qui arrivent en masse, le journaliste politique s’est interrogé sur la place que l’on laisse pour les médecins français, » Je veux y mettre fin » avait-il déclaré. Néanmoins, Zemmour ne s’est jamais montré contre l’accueil de l’élite et des intellectuels étrangers, s’il s’y oppose cette fois-ci, c’est plutôt pour souligner les réformes que nécessite le secteur médical en France.
Zemmour développe en expliquant « depuis 30 ans, on a empêché les jeunes français de faire médecine pour un quart de point, pour un demi point. Tout ça pour aller chercher ensuite des médecins algériens, tunisiens ou marocains qu’on enlève à leurs pays, et en plus, on les paye moins. C’est un double scandale« .
Les médecins algériens « volent » la place des français ?Le Parisien a abordé ce sujet avec les témoignages et les opinions des médecins français, à l’instar de Patrick Pelloux, un praticien hospitalier qui explique qu’un grand problème de démographie médicale persiste en France, en plus d’une concurrence entre le secteur privé et le public.
D’autres partagent son avis comme Jérôme Marty, médecin et président de l’Union française pour une médecine libre qui a fait savoir que les étrangers n’occupent que 30% des emplois, et qu’ils ne prennent en aucun cas les places des français, notamment à cause d’un quota limité de 8% pour les étrangers. Il déclare dans le même contexte que l’Hexagone ne peut se passer des médecins étrangers, cela engendrera la fermeture des hôpitaux.
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Le porte-conteneurs Imedghassen de la compagnie algérienne Global maritime Algérie (GMA), qui était sous saisie conservatoire à Sète en France depuis le 9 novembre 2021, a accosté hier dans le port d’Alger. C’est le procureur général près la Cour d’Alger, Mourad Sid Ahmed qui a annoncé, hier dimanche, la récupération du navire « Imedghassen ».
Selon le procureur, le navire « Imedghassen » a été détourné à l’étranger au moment où il faisait l’objet d’une saisie judiciaire dans le cadre d’une enquête de corruption. Suite à cette « récupération », un mandat de dépôt a été prononcé contre l’accusé principal tandis qu’un autre mis en cause a été mis sous contrôle judiciaire.
Il s’agit d’une affaire de « récupération de biens et avoirs issus des affaires de corruption », a déclaré le procureur hier dimanche lors d’une conférence de presse tenue dans la capitale Alger. Mourad Sid Ahmed assure que « cette affaire largement relayée sur les réseaux sociaux fait l’objet de suivi par les hautes autorités du pays ».
Un navire de 18 millions de dollarsLe même intervenant a fait savoir, lors de cette même conférence de presse, que « la valeur du navire Imedghassen est de 18 millions de dollars et faisait l’objet de saisie suite à une enquête judiciaire dans une affaire de corruption ». C’est suite à cette enquête que « que l’affréteur le détourne vers l’étranger, d’où sa saisie dans un port étranger », accuse le procureur.
Le principal accusé qui n’est qu’un « directeur d’une société privée », confie le procureur, qui précise que le mise en cause « a été placé en détention provisoire » suite à une enquête sur l’affaire lancée le 23 janvier 2022. Un autre accusé a été mis sous contrôle judiciaire.
Les responsables de ce détournement font face à plusieurs chefs d’inculpations liés au « recel d’avoirs criminels issus des affaires de corruption et du blanchiment d’argent », explique le procureur prés la cour d’Alger.
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Par décision numéro 0073/MEF/DGD/CAB en date du 09 février 2022, le directeur général des douanes a procédé à la nomination du receveur Cotonou- Aeroport, du brigadier chef ainsi que son adjoint
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Les matchs barrages Zone Afrique pour les qualifications à la Coupe du Monde 2022 au Qatar s’annoncent bientôt. Il s’agit, en effet, d’une double confrontation aller-retour, qualifiée de « décisive », qui déterminera les cinq sélections africaines, parmi dix, pour jouer au grand tournoi footballistique du monde entier.
Sur ce, le tirage au sort a révélé que la sélection camerounaise sera l’adversaire de l’équipe nationale pour ces matchs en question. Une rencontre qui s’annonce déjà enflammée, regroupant deux grandes sélections du continent africain.
Le stage des Verts dans un pays voisin du Cameroun ?Pour la date des matchs barrages, ces derniers sont prévus la fin du mois de mars de l’année en cours. Les hommes de Djamel Belmadi vont tout d’abord se déplacer au Cameroun pour la rencontre aller, avant de rejoindre le territoire national pour le match retour, prévu au Stade de Blida, Mustapha Tchaker.
À cet effet, l’APS a révélé que les protégés de Djamel Belmadi devraient organiser leur stage d’acclimatation dans un pays limitrophe du Cameroun, à partir du 21 mars en Guinée équatoriale, au Gabon ou au Congo.
Selon la même source, cette décision est prise par le sélectionneur national Djamel Belmadi dans le but de permettre à ses joueurs de s’acclimater avec le temps chaud et humide de l’Afrique centrale.
Bouhanika critique la décision de BelmadiToutefois, cette décision ne semblrait pas être au goût d’un présentateur d’une émission sur la chaine arabophone El Heddaf. Il s’agit bel et bien de Redouane Bouhanika.
Dans une émission sur la chaine sportive en question, ledit présentateur a fortement montré son opposition à l’égard de la stratégie du « Ministre du Bonheur ». Ce dernier juge, en fait, que le stage des Fennecs dans un pays limitrophe des Lions Indomptables sera impossible en raison du manque de temps.
« On parle ici d’un stage au Nigeria, au Gabon ou autre. Les joueurs arrivent le 21 et jouent le 24. Comment peut-on faire le stage dans un pays limitrophe ? C’est impossible. Les joueurs n’ont que 48 heures. », affirme Bouhanika, qui estime que le temps est très serré pour programmer un stage dans un pays voisin du Cameroun et commencer les entraînements, pour revenir par la suite, au pays des Lions Indomptables.
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