Caractérisé par le manque de précipitations, ce mois de janvier a connu de grandes vagues de froid, notamment dans les régions intérieures du pays. Pour ce mercredi, Météo Algérie lance une alerte de grand froid et de chutes de neige sur des wilayas de l’ouest.
Dans un bulletin météo spécial, les services de l’Office national de météorologie ont annoncé des chutes de neige qui affecteront les reliefs de l’ouest atteignant ou dépassant 1.100 mètres d’altitude à partir de la matinée de ce mercredi.
Sur sa carte de vigilance, l’ONM a placé les wilayas de Naâma et le sud de Tlemcen en vigilance de niveau orange « neige et verglas ». La validité du bulletin s’étalera du mercredi 26 janvier à 06 h 00 à demain jeudi à 06 h 00, alors que l’épaisseur de la neige est estimée entre 10 et 15 cm.
La wilaya d’El Bayadh a été également placée en vigilance jaune « grand froid », selon la même source. Durant cette même journée, trois wilayas du sud-ouest du pays seront au rendez-vous avec de fortes pluies.
Il s’agit des wilayas de Béchar, Béni Abbés et Tindouf, placées en vigilance orange « pluie ». Les quantités de pluie attendues varieront entre 20 et 30 mm, et ce, jusqu’au début de soirée de ce mercredi à 18 h 00, précise l’ONM.
Prévisions météo de ce mercrediMétéo Algérie prévoit des formations de gelées matinales sur les reliefs de l’intérieur, les hauts plateaux et les Aurès. Sur les régions du centre et de l’est du pays, excepté quelques bancs de brume locaux dans les vallées en début de matinée, le ciel sera dégagé à peu nuageux durant l’après-midi.
Au sud du pays, le ciel sera souvent voilé sur le nord Sahara et les oasis et dégagé à partiellement voilé sur les autres régions sahariennes.
Concernant les températures maximales attendues pour ce mercredi, Météo Algérie prévoit entre 14 et 18 degrés sur les régions côtières, entre 06 et 17 degrés sur les régions intérieures et entre 06 et 27 degrés sur les régions sahariennes.
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Par Anissa Zenoune Zouani
Amel avait vingt-deux ans quand elle fut arrachée à la vie par les partisans de l’état théocratique et était sauvagement assassinée, le 26 janvier 1997 à Sidi Moussa. Cette banlieue algéroise était une « zone libérée » par les islamistes armés : un pouvoir parallèle était mis en place où était appliqué leur projet, des lois négatrices des principes de tolérance, de liberté et d’égalité des sexes. En fait, un ennemi déclaré de la démocratie et adversaire des droits de l’homme. Cette violence armée visait, d’une part, à affaiblir les assisses institutionnelles du pays et, d’autre part, à semer la terreur pour conquérir psychologiquement la population algérienne afin de s’emparer du pouvoir.
Amel était une étudiante en droit et fut d’une beauté enveloppée aux grands yeux noirs brillants et envahis de lumières algérienne. Elle fut le symbole de la résistance féminine contre la théocratie et la martyre qui s’était sacrifiée, corps et âme, pour sauvegarder l’Etat-National. Elle manifestait une ferveur progressiste dont l’intensité et l’enthousiasme se sont accrus quand l’Algérie était en danger. Sa résistance était nourrie par une culture active, mobilisatrice et stimulante. Sa force et sa cohérence dérivaient d’une longue tradition familiale progressiste : ce n’était pas une simple réaction à l’islamisme politique.
Pour elle, il fallait séculariser notre état, le démocratiser et associer notre société et la faire évoluer dans le sens de l’universalité tout en l’en enraciner dans notre histoire et en se reconnaissant dans nos racines. Le passage à l’état moderne devait se comprendre comme une participation à l’universel en tant que patrimoine commun dans l’humanité des autres.
Les fondamentalistes islamistes, considéraient ses visions suspectes, provocatrices et donc intolérables. Elle devait disparaitre pour servir d’exemple et terroriser ainsi toutes les femmes qui, en Algérie, faisaient barrage et élevaient une digue infranchissable sur la voie de l’intégrisme salafistes, géniteur de la régression mentale et irrationnelle.
Hommage à Amel Zenoune Zouani
Amel Zenoune Zouani était disposée à répondre au rendez-vous que lui avait imposé l’histoire, devant ses bourreaux qui lui avaient intimé l’ordre de descendre du bus, elle s’était exécutée avec courage et s’était présentée devant eux calmement, dignement et était inébranlable. Son esprit était particulièrement accaparé par le devenir de l’Algérie, celui de la terre de ses ancêtres. Elle savait pertinemment que l’islamisme politique avait chassé la réflexion et la pensée, lui concéder l’Algérie, c’était accepter les conséquences de la théocratie : les divisions ethniques, religieuses et politiques imposées par l’islamisme lui-même et c’était principalement la disparition de l’Etat-National acquis aux prix d’innombrables sacrifices des meilleurs enfants du pays. Pour Amel, il y avait désormais deux Algérie en lutte et qui s’affrontaient, l’une tournée résolument vers l’universalité et la modernité et l’autre se laissant entrainée dans les abimes du fondamentalisme islamiste : elle était passée au fil de l’épée sous le regard tétanisé des autres passagers. L’arme blanche était l’instrument le plus usité par les terroristes islamistes et la violence exhibée était pensée comme une punition infligée, un châtiment terrible et terrifiant à ceux et celles qui s’opposaient à cette route qui menait à l’Etat théocratique.
Si l’atteinte à la femme demeure toujours hautement symbolique, son assassinat par les hordes intégristes en tant que militante progressiste obéissait d’abord à la logique politique et idéologique. Et l’on sait comment, depuis l’indépendance, jusqu’à nos jours, les femmes algériennes furent systématiquement, purement et simplement marginalisées, avec la bénédiction, voire l’instigation des forces conservatrices et islamistes rétrograde. On sait aussi que les cibles privilégiées des maquis islamistes ont été les inlassables propagateurs de la culture nationale, qui furent les opinions publiques éclairées et qui ont apporté des contributions les plus décisives au mouvement progressiste Algérien au cours du siècle passé. Voilà, pourquoi aujourd’hui, il nous faut partir à la recherche du glorieux passé de notre peuple, de notre élite moderniste, de notre histoire, de notre authenticité, de notre vérité, par nos moyens, sans complexe et décortiquer objectivement les textes et les documents fondateurs des précurseurs de la pensée progressiste Algérienne. Mais cela ne peut se produire que si les hommes et les femmes ont la volonté de projeter le pays dans la voix de la modernité, du progrès et d’imaginer enfin une communauté nationale émancipatrice.
Hommage à Amel Zenoune Zouani durant le Hirak
C’était dans le cours même de la lutte pour édifier des structures qui seront plus favorables à la communauté nationale émancipatrice et moderne que fut ciblée et puis assassinée Amel. Elle était restée fidèle à l’engagement d’un Etat républicain conforme aux aspirations des pères fondateurs de la glorieuse Guerre de libération nationale. Son parcours fut une conscience historique particulièrement sensible au devenir de la nation Algérienne.
Comment s’étonner, dans ces conditions, que son nom continu de s’écrire dans le présent et dans le futur ? Revenir sur son histoire individuelle et le récit de son engagement, c’est saisir la dynamique d’engagement de la femme progressiste algérienne et l’évoquer constitue une manière d’ultime hommage rendu à une patriote Algérienne, à une anti-intégriste ardente et à une jeune qui avait très tôt choisie les rangs du progressisme et de la modernité. Elles n’étaient pas nombreuses les femmes d’un tel combat !
Des années après les crimes atroces qui demeurent rattachés à l’islamisme politique, les modernistes algériens croient naïvement pouvoir pactiser avec l’islamisme, s’en faire un allié par le biais des « modérés », dans l’espoir de le domestiquer plus tard. Désormais fréquentables, les mêmes hommes qui de plein gré, avaient détournés la fonction proprement spirituelle de l’islam vers une fonction idéologique et ont servis hier de matrice intellectuelle à ces crimes, redressent aujourd’hui leur tête, sans battre leur coulpe, effrontés, insolents et ils posent encore leurs exigences, et veulent profiter à notre détriment des libertés démocratiques. Et partout aujourd’hui, ces acteurs idéologiques font encore partie de la classe politique et se recrutent y compris dans la mouvance moderniste. Les progressistes algériens subissent une crise profonde, crise de l’idée de progrès et crise de conscience !
recueillement sur la tombe d’Amel Zenoune Zouani
Nous nous ne répéterons jamais assez que la violence islamiste ne pouvait être circonscrite à une réaction légitime après l’arrêt du processus électoral de janvier 1992. Elle était une vision fondamentale de l’islamisme et que le recours aux armes n’était que le stade ultime. Le Front islamique du salut (FIS) n’était, en fait, qu’un cadre légal pour la préparation matérielle et morale de l’action armée dont l’objectif était l’instauration de l’état théocratique. La diversification des lignes politiques de l’islamisme ne doit pas faire perdre de vue l’existence d’une plate-forme intellectuelle et culturelle commune à tous les esprits qui ont contribué à l’élaboration de la pensée islamo- fasciste.
Depuis l’égorgement de ma sœur par les hordes intégristes, notre famille ne cesse de revendiquer un lieu de fondation, qui est, en fait, l’expression d’une aspiration à instituer un lieu de mémoire. Pour nous, la mémoire de la douleur est nécessaire, mais sans partage, la vie collective présente et future reste compromise et sans mesures adéquates symboliques, il ne peut y avoir de cicatrisation. Cette évocation s’inscrit justement dans la longue histoire des efforts que nous entreprenons pour combattre l’amnésie et l’oubli et pour faire avancer la cause de la justice et de la vérité. C’est pour cela qu’il faut rendre visibles leurs causes et leurs effets, comprendre les degrés de leur enracinement et les implications de leurs persistances.
Après l’assassinat de ma sœur, mes parents, furent un couple pas comme les autres, ils ont fait le serment de dédier leur vie à un combat : Plaider pour un Nuremberg contre l’islamisme politique pour démasquer ainsi le véritable visage de la nébuleuse islamiste fondamentaliste. Leurs engagement me rappelle particulièrement le combat singulier du couple Beate et Serge Klarsfeld qui ont consacré leur vie à traquer les Nazis après la seconde guerre mondiale.
Quelques heures avant que son cœur ne l’a trahissait, ma mère, était alors allongée sur le lit de l’hôpital et était entourée de notre famille, s’était adressée à nous inexorablement et d’une voix à peine audible : « mes enfants, nous avons payer cher le prix de la démocratie, de la liberté et de la modernité….. Quoiqu’il advienne, comportez-vous toujours dignement et défendez inlassablement la mémoire de votre sœur Amel ».
L’histoire Algérienne retiendra qu’Amel Zenoune Zouani qui, par sa lucidité, son courage, sa pugnacité et son sacrifice a contribué à dresser un barrage de protection contre l’accès au pouvoir des partisans de la théocratie et libérer ainsi le pays de l’emprise de la déferlante islamiste et de la puissance destructrice du torrent intégriste. Ce barrage ne s’était édifié que par la résistance héroïque de la société algérienne dans ses différentes strates et par le sacrifice suprême de ses meilleurs enfants: les membres de l’ANP, les services de sécurité et les patriotes, les hommes et les femmes de la pensée moderne. Leurs sacrifices consenti n’est pas vain, nous devons nous inspirer de leurs lutte et nous prémunir, en faisant preuve d’esprit nationaliste, de responsabilité et d’engagement au moment ou le pays est à nouveau la cible des forces anti-nationales et anti-républicaines, qui caressent encore le rêve de faire basculer l’Algérie dans un Etat théocratique.
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Depuis l’élimination de l’Algérie à la coupe d’Afrique (CAN 2022), les problèmes au sein de l’équipe nationale sont de plus en plus mis à nu.
Le dernier problème remonte à hier mardi lorsque Amine Labdi, l’un des bras de droit de Djamel Belmadi, a annoncé sa démission de son poste de Manager général de l’équipe nationale.
Selon nos sources, la démission de Labdi n’est que la partie visible de l’iceberg. En effet, les tensions au sein des verts ont commencé au moment du « parachutage » de Charaf-Eddine Amara à la tête de la Fédération algérienne de football.
Depuis l’élection controversée d’Amara, le coach national Djamel Belmadi s’est tourné vers son entourage restreint, dont Amine Labdi, puisque le courant ne passait pas avec le patron de la FAF.
Face à un Amara isolé ; Labdi, devenu le bras droit de Belmadi, a commencé à avoir plus de responsabilités, dont certaines dépassaient ses prérogatives. Et c’est là où le staff des verts s’est divisé en deux, à savoir le Clan Labdi et le cercle du patron de la FAF.
Labdi provoque un séisme, Mahrez calme le jeuAvant le premier faux pas des verts, les choses allaient bien (à moitié). Face au manque de complicité avec Belmadi, Amara s’était partiellement retiré de la gestion de l’EN en laissant le terrain au clan Labdi, dont la gestion a été mise à nu par l’élimination de l’Algérie à la CAN. (Dérapage médiatique, manque de cohérences des déclarations entre les membres du staff, etc.)
Avec un Amara qui fuit les responsabilités et un Labdi qui jette l’éponge, les « Hommes de l’ombre » font appel à Mahrez pour calmer le jeu, mais surtout rassurer les supporters des verts. D’où son message lancé, via les réseaux, ce mardi soir aux Algériens.
Face l’approche des matchs barrages de la coupe du monde et la persistance de la crise de l’EN, les autorités vont-ils réagir pour prendre les choses en main ? Vont-ils pousser Amara à la porte de sortie ? Vont-ils faire appel à Raouraoua (De récents bruits de couloir parlent de son retour) ?
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Le Cap, en Afrique du Sud, a de nouveau été sélectionné comme hôte de la très attendue Semaine africaine de l'énergie (AEW), qui se déroulera du 18 au 21 octobre 2022. AEW 2022 réunira à nouveau les leaders africains de l'énergie et les parties prenantes mondiales pour une semaine de dialogue intense sur le secteur énergétique africain.
La conférence et ses organisateurs restent pleinement engagés envers le continent, ses habitants et son potentiel, avec plus de 5000 participants, plus de 175 conférenciers internationaux et plus de 21 ministres de toute l'Afrique et du monde venant au Cap.
Au cours de l'édition de cette année, les délégués et les conférenciers peuvent s'attendre à une solide programmation de tables rondes, de forums d'investisseurs, de fonctions de réseautage et de cérémonies de signature d'accords couvrant l'ensemble du secteur et de la chaîne de valeur de l'énergie en Afrique. S'étendant sur les récits exprimés lors de l'édition 2021 de la conférence, l'AEW 2022 reste entièrement axée sur l'éradication de la pauvreté énergétique d'ici 2030. Avec plus de 600 millions de personnes toujours sans accès à l'électricité, le continent a besoin d'une action immédiate s'il veut réaliser ses objectifs de développement socio-économique.
Dans la poursuite d'une économie électrifiée, AEW 2022 présentera des sujets critiques qui couvrent l'ensemble de la chaîne de valeur énergétique. En ce qui concerne le secteur en amont, l'accent sera mis sur l'exploration, les cycles de licences et la concurrence restante pour les investissements en 2022 et au-delà. Alors que les marchés frontières émergents tels que la Somalie, le Kenya, la Namibie, l'Ouganda et la Côte d'Ivoire attirent de plus en plus l'attention des acteurs régionaux et internationaux, AEW 2022 mettra l'accent sur les opportunités potentielles et actuelles sur les marchés en amont émergents et matures d'Afrique. Sur le front intermédiaire, AEW 2022 offrira un aperçu critique des projets nouveaux et existants - tels que le projet de pipeline de la Renaissance africaine de 6 milliards de dollars et le projet de gazoduc Tanzanie-Ouganda de 1 800 km proposé - offrant des opportunités lucratives aux investisseurs. Enfin, avec l'intensification de la construction de raffineries en cours sur tout le continent, la conférence s'est engagée à accroître les investissements et à améliorer la production sur les principaux marchés africains. En discutant des défis et des opportunités présents dans le secteur en aval, les parties prenantes africaines discuteront en collaboration de l'avenir de l'industrie énergétique africaine.
"En 2021, ils ont dit que cela ne pouvait pas se faire au Cap et que nous devions tous aller à Dubaï. Avec le soutien massif de la ville du Cap, du gouvernement d'Afrique du Sud, des compagnies pétrolières internationals, des compagnies pétrolières nationales et des sociétés d'énergie alternative, nous avons démontré que l'Afrique est prête et capable d'organiser un événement énergétique à l'échelle du continent en Afrique et nous avons organisé le plus grand événement sur le continent. Même durant la pandémie, AEW a eu lieu, démarrant une nouvelle ère d'événements sauf, accessibles et axés sur l'industrie. Cette année sera énorme pour l'industrie énergétique africaine. Nous nous attendons à ce qu'une série d'investissements soient réalisés et que des développements décollent qui stimuleront le progrès économique du continent », a déclaré NJ Ayuk, président exécutif de La Chambre africaine de l'énergie.
L'énergie, un catalyseur pour le progrès économique durable
« Au cours de l'édition de cette année d'AEW, l'accent sera mis sur la finance, le gaz naturel, l'électrification, l'hydrogène, l'amont et une transition juste, car nous pensons que ces secteurs ont un rôle spécifique à jouer en Afrique. En développant nos ressources gazières, l'Afrique peut répondre à la demande croissante d'énergie tout en réduisant les émissions. À partir de l'AEW 2022, nous nous rendrons à la COP27 pour rencontrer des dirigeants mondiaux et discuter de l'énergie africaine - du Cap au Caire », note Ayuk.
Pendant ce temps, l'énergie représentant un catalyseur pour le progrès économique durable, AEW 2022 vise à conduire le continent dans une nouvelle ère de croissance accrue de l'industrie en fournissant la meilleure plate-forme pour la signature d'accords et la formation de relations qui amélioreront l'investissement et le développement. Alors que le continent continue de faire face à une réduction du financement des projets d'hydrocarbures, AEW 2022 offrira de nouvelles perspectives sur la manière dont les projets pétroliers et gaziers africains peuvent lever des capitaux dans un contexte de transition énergétique post-COVID-19. En conséquence, les tables rondes et les forums d'investisseurs mettront l'accent sur le financement, les environnements propices et le rôle que les banques africaines joueront dans le financement de l'avenir de l'industrie. En initiant les acteurs africains à la levée de capitaux innovante, AEW 2022 s'engage pour la croissance du pétrole et du gaz africains.
Concernant le gaz, l'Afrique n'est pas seulement riche en ressources mais aussi en opportunités. Des marchés tels que le Nigeria, le Mozambique, la Mauritanie, le Sénégal, la Tanzanie, la Guinée équatoriale, la République du Congo et le Ghana disposent d'importantes ressources inexploitées. Déjà, il y a eu un afflux d'investissements et de développement dans le secteur du gaz, et pourtant il reste une gamme d'opportunités, en particulier dans le domaine de la conversion du gaz en électricité et du gaz naturel liquéfié. L'AEW 2022 a donc mis l'accent sur le rôle que jouera le gaz dans l'électrification de l'Afrique, moteur de la croissance socio-économique et de l'industrialisation pour les années à venir. En présentant des profils de projets, en mettant en évidence les découvertes clés et en soulignant comment le gaz favorisera une transition juste en Afrique, AEW 2022 a placé le gaz au centre de son programme.
De plus, la récente décision de l'Union européenne d'étiqueter certains projets gaziers comme verts est susceptible d'inaugurer une nouvelle vague d'investissements en Afrique et l'AEW 2022 sera le lieu où des transactions dans ce domaine seront conclues. L'Afrique est au milieu d'une transition énergétique dans laquelle des niveaux d'investissement importants sont nécessaires si le continent veut atteindre ses objectifs environnementaux. Le développement de ressources telles que le gaz, l'hydrogène et les énergies renouvelables garantira que l'Afrique adhère aux objectifs mondiaux d'atténuation du changement climatique tout en stimulant la croissance économique.
En mettant l'accent sur l'énergie verte, AEW 2022 organisera le Sommet transformateur de l'énergie verte en Afrique - une plate-forme pour une discussion inclusive sur le secteur de l'énergie verte en Afrique. Au cours du Sommet, les conférenciers souligneront les principales opportunités dans l'espace des énergies renouvelables en Afrique, donnant un aperçu des marchés à fort potentiels tels que le Congo, le Mozambique, la Gambie, le Kenya, l'Angola et la Libye, tous riches en ressources renouvelables. En outre, le Sommet mettra l'accent sur le rôle que l'hydrogène jouera en Afrique en détaillant les marchés et projets à fort potentiel tels que l'usine d'ammoniac vert de Hive Hydrogen en Afrique du Sud et le projet d'hydrogène vert de 9,4 milliards de dollars en Namibie.
A propos de AEW 2022
AEW 2022 est la conférence annuelle, l'exposition et l'événement de réseautage de La Chambre africaine de l'énergie. AEW 2022 réunit les acteurs africains de l'énergie avec des investisseurs et des partenaires internationaux pour stimuler la croissance et le développement de l'industrie et promouvoir l'Afrique en tant que destination des investissements énergétiques.
Source : African Energy Chamber
Hier lundi, le ministère de l’Intérieur a annoncé l’annulation des procédures de suspension et de retrait du permis de conduire à compter du 1er février.
La décision de la « fin du retrait permis de conduire » a fait réagir, ce mardi 25 janvier, les services de la Gendarmerie nationale qui ont lancé un appel aux Algériens.
Tous les permis de conduire peuvent être récupérésDans un communiqué rendu public aujourd’hui, la gendarmerie nationale (GN) a appelé les conducteurs dont les permis de conduire ont été retenus par les unités compétentes, en raison d’infractions au code de la route, à payer les amendes et à récupérer leur permis.
« Les citoyens dont les permis de conduire ont été retenus par les unités de la gendarmerie nationale, suite à des infractions au code de la route, sont appelés à se rapprocher de nos unités après s’être acquitté du montant de l’amende forfaitaire afin de récupérer leur permis », lit-on dans le communiqué.
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Abdelmadjid Tebboune termine sa visite de « travail » et de « fraternité » en Égypte. Les présidents algériens et égyptiens ont évoqué, lors de leurs entretiens, plusieurs dossiers dont celui du prochain sommet arabe prévu en Algérie.
Accompagné d’une délégation ministérielle, le président Tebboune est arrivé hier matin en Égypte. Après avoir été « chaleureusement accueilli » à l’aéroport international du Caire, le chef de l’État a eu plusieurs entretiens avec Abdel Fattah al-Sissi.
Lors de ces entretiens, les deux dirigeants ont examiné les voies et moyens de renforcement de la coopération algéro-égyptienne et la coordination et la concertation autour des questions d’intérêts communs.
Tebboune rencontre la DiasporaAprès s’être entretenu avec son homologue égyptien, le président Tebboune a rencontré, au siège de sa résidence au Caire, des représentants de la diaspora algérienne en Égypte.
Durant cette rencontre, le chef de l’État a écouté les préoccupations de la diaspora, mais il a aussi donné des instructions pour leur prise en charge.
Les représentants de la diaspora, de leur côté, ont salué la prise en charge de leurs préoccupations à travers « des démarches pratiques et concrètes ».
L’Algérie et l’Égypte veulent préserver leur rôle pionnier en AfriqueAu deuxième jour de sa visite, le président Tebboune a eu des entretiens en tête-à-tête avec al-Sissi, et ce, avant la conférence de presse conjointe animée par les deux dirigeants.
À l’occasion de cette conférence, le chef de l’Etat a souligné avec son homologue égyptien la nécessité d »‘œuvrer ensemble à la préservation du rôle pionnier de l’Algérie et de l’Égypte en Afrique »
« Il faut également préserver le rôle historique et géostratégique de l’Égypte dans l’établissement de ponts de coopération pour nos frères arabes dans le continent asiatique », a ajouté le président Tebboune.
Le sommet arabe au MenuLors de la même conférence, le président Tebboune a aussi évoqué le contenu de ses discussions avec Al-Sissi, notamment le volet du sommet arabe.
« Les entretiens ont porté sur l’ensemble des questions qui se posent dans les régions arabe et africaine, ainsi que sur les défis auxquels nous sommes confrontés aux niveaux régional et international », a-t-il dit.
« Ces discussions ont permis d’aboutir à une convergence de points de vue et de souligner l’impératif de poursuivre et d’élargir les concertations, en prévision du sommet arabe qu’abritera l’Algérie », a ajouté le chef de l’Etat.
Après cette conférence, le président Tebboune a enchainé avec un dernier déplacement à l’aéroport international du Caire où il a pris l’avion présidentiel vers Alger. À son départ, il a été salué par Al-Sissi.
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Une maison construite en matériaux précaires a été complètement détruite ce mardi 25 janvier 2022 dans un incendie à Ouédo-Adjagbo, commune d'Abomey-Calavi.
Des chambres d'une maison ont été entièrement consumées dans un incendie. Le drame s'est produit ce mardi dans le village Kpanssoun, situé à Ouèdo-Adjagbo. C'est une mauvaise manipulation du gaz domestique qui a occasionné l'incendie. Les soldats du feu ont réussi à maîtriser la propagation des flammes. Il n'y a pas eu de morts, ni de blessés. Les dégâts matériels enregistrés dans cet incendie sont énormes.
A.Ayosso
La situation sanitaire connait ces derniers jours des chiffres de contaminations records que l’on n’a pas connu lors de la 3ᵉ vague. Face à une telle situation, plusieurs secteurs publics ont pris des mesures pour lutter contre la propagation du coronavirus.
Pour lutter contre la propagation du virus, plusieurs mesures ont été prises par le département de Benbouzid, mais aussi par le premier ministère et plusieurs autres départements ministériels. Cependant, plusieurs manquements sont dénoncés par les citoyens, notamment concernant les tests de dépistage.
Outre le faits qu’ils soient chers, aller faire un test au moment du pic, c’est prendre le risque de revenir à la maison sûr d’être contaminé, ou d’avoir contaminé les autres. C’est pour cette raison que la Tutelle a fini par donner le feu vert aux pharmacies de procéder au dépistage du covid.
Covid-19 : se faire tester dans les pharmacies est désormais possibleLes citoyens peuvent désormais effectuer leur test antigénique au niveau des officines, suite au feu vert donné par le ministère de la Santé, hier le 24 janvier.
La nouvelle décision ministérielle va permettre de rapprocher ce service du citoyen et ainsi atténuer la pression qui pèse sur les laboratoires d’analyses, une chose qui va sans doute baisser le risque de contamination.
Les prix pratiqués seront à partir de 1000 dinars, alors que la cherté des tests reste dissuasive pour la majorité des Algériens surtout si plusieurs membres de la même famille affichent des symptômes de la Covid-19. La décision du ministère donne droit au pharmacien de délivrer un document qui statue sur l’infection ou pas du patient.
Par ailleurs, le Dr Bitam, a fait savoir aujourd’hui que plus de 10.000 cas quotidiens surviennent chaque jour en Algérie alors que seuls 2.000 sont annoncés. Le spécialiste des maladies transmissibles et pathologies tropicales émergentes a notamment dénoncé les laboratoires privés.
Il a affirmé, dans un entretien accordé à nos confrères de Liberté, que « les chiffres annoncés chaque jour par le gouvernement ne concernent que les prélèvements de la PCR » et que « 50% des laboratoires privés ne déclarent pas leurs chiffres, ce qui n’est pas normal ! ».
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Growatt, leader mondial des onduleurs photovoltaïques et des systèmes de stockage d'énergie, ajoute le système de batterie AXE LV à sa gamme de produits énergétiques intelligents, élargissant ainsi la portée du marché pour répondre à la demande croissante de systèmes résidentiels de stockage de batteries au lithium hors réseau.
« Le nouveau système de batterie AXE LV couvre une large gamme de capacités allant de 5 kWh à 400 kWh, ce qui répond aux besoins différenciés des ménages quotidiens aux grands scénarios commerciaux et industriels », a déclaré Lisa Zhang, directrice marketing chez Growatt.
La modularité du système de batterie AXE LV facilite l'installation avec des prises internes, ne nécessitant aucune connexion par câble supplémentaire, tandis qu'avec tous les câbles externes intégrés sur une seule prise, sa connexion à l'onduleur est bien plus simplifiée. En bref, cette conception unique réduit considérablement la difficulté et le temps d'installation.
En termes de sécurité, ce système bénéficie de protections multi-niveaux de l'onduleur et du système de gestion de la batterie (BMS), telles que la surveillance de la sécurité des cellules et l'équilibrage. En revanche, en tant que batterie LFP sans cobalt, elle se démarque par sa résistance aux hautes températures, sa sécurité et sa stabilité élevées ainsi que par ses performances allant jusqu'à 5 000 cycles de charge. Il a également une durée de vie plus longue de plus de 10 ans, tandis que les batteries au plomb-acide traditionnelles ne peuvent durer que 2-3 ans. Globalement, il présente plus d'avantages en termes de TCO (coût total de possession) pour les clients.
En ce qui concerne la compatibilité, le système de batterie AXE LV peut être utilisé avec tous les onduleurs SPF hors réseau de Growatt. De plus, il fonctionne parfaitement avec les onduleurs de stockage des séries SPH et SPA.
Growatt offre des services à guichet unique pour garantir une meilleure expérience client. La société fournit un support technique lors de l'installation pour une exécution plus rapide. Pour une utilisation et une maintenance quotidiennes, il fournit une garantie complète du système, y compris le système de batterie et les onduleurs de stockage. Tout problème au niveau du système, s'il se produit, peut être rapidement localisé et résolu plus efficacement. En outre, Growatt permet aux installateurs de mettre à niveau le micrologiciel du système de batterie à distance, ce qui peut aider à réduire les coûts d'exploitation et d'entretien et à améliorer l'efficacité du service.
À propos de Growatt
Fondé en 2010, Growatt est un leader mondial des solutions énergétiques intelligentes. Selon IHS Markit et Wood Mackenzie, la société est le premier fournisseur d'onduleurs résidentiels au monde et se classe également parmi les cinq premiers fournisseurs mondiaux d'onduleurs commerciaux. Selon Wood Mackenzie, Growatt est le deuxième fournisseur mondial d'onduleurs de stockage hybrides.b v
Source : Growatt
Les députés de la 8ème législature pourraient quitter le palais des gouverneurs et rejoindre le nouveau siège de l'Assemblée nationale, ou tout au moins, intégrer le nouvel hémicycle avant fin décembre 2022. Ce souhait maintes fois réitéré des parlementaires peut se réaliser au regard du calendrier réaménagé de l'entreprise en charge de l'ouvrage.
Comme souhaité, le président de l'Assemblée nationale, Louis Vlavonou et ses collègues députés pourraient inaugurer avant la fin de leur mandat en mai 2023, le nouveau siège du parlement. L'entreprise chinoise en charge des travaux prévoit l'achèvement du bâtiment de l'hémicycle pour fin décembre 2022. Elle est appelée à y concentrer ses efforts ; et il ne restera que les autres bâtiments dont les bureaux du secrétariat général administratif et autres travaux confortatifs à réaliser.
En attendant la réception provisoire du bâtiment de l'hémicycle, les travaux vont bon train. Le président Vlavonou et les membres de son bureau ont déjà effectué plusieurs visites pour s'enquérir du niveau d'avancement de travaux.
La construction du nouveau siège de l'Assemblée nationale a été lancé le 1er avril 2021 pour une durée de 30 mois. Le président de l'Assemblée nationale, avait plaidé, lors du lancement que l'ouvrage soit livré dans un délai de 24 mois au lieu de 30 afin que la 8ème législature puisse y faire sa rentrée parlementaire en avril 2023. Ce plaidoyer de l'autorité parlementaire a encore prospéré au regard de la nouvelle date.
Si ces projections se réalisent, Patrice Talon pourrait délivrer son prochain message sur l'état de la nation dans le nouveau siège de l'Assemblée nationale. Le chef du parlement béninois avait évoqué la question lors de son dernier passage le 29 décembre dernier.
Caractéristiques du nouveau siège du parlement
Le nouveau siège de l'Assemblée nationale est érigé sur le site de l'ex-direction générale de la Gendarmerie à Porto-Novo, sur une superficie de 9ha pour un coût global de près de 28 milliards FCFA. Il est composé d'un bâtiment principal de type R+4 ayant la forme d'un arbre, symbole de l'arbre à palabre, lieu ancestral de rassemblement, à l'ombre duquel on se réunit pour discuter des décisions importantes à prendre pour l'avenir de la communauté.
Ce bâtiment principal comporte :
– Un rez-de-chaussée de 12 500 m² qui abrite l'hémicycle de 150 sièges extensibles à 300 sièges, 06 salles de conférence de 80 places chacune, 02 salons d'honneur, 01 grande salle polyvalente de 448 places et 01 restaurant du personnel ;
– Un 1er étage de 4000 m² abritant le cabinet du président de l'Assemblée nationale et les bureaux des présidents des commissions et des groupes parlementaires, soit un total de 83 bureaux et 05 grandes salles de réunion de 30 places chacune ;
Un 2ème étage de 4000 m² qui comporte 96 bureaux de députés, 4 salles d'attente et 4 salles de réunion de 30 places chacune ;
Un 3ème étage de 4000 m² qui abrite le Secrétariat administratif comportant 74 bureaux individuels et paysagers, 4 salles de réunion de 30 places chacune et enfin,
– Un 4ème étage de 4000 m² qui abrite 01 restaurant panoramique de 120 places, 2 grandes zones de locaux techniques et 01 couverture en panneaux solaires.
A cela s'ajoutent des bâtiments annexes composés de : la questure qui comprend un ensemble de 93 bureaux ; 2 grandes salles de réunion ; 01 restaurant du personnel de 120 places ; 01 service infirmerie, crèche, gymnase et de guichets de banques ; 01 caserne militaire composée de 14 bureaux, 01 dortoir, 01 salle de réunion et 01 salle d'instruction ; 01 parking de 250 places et 01 grand jardin public.
En termes de nombre de contaminations, la pandémie de la covid-19, après plus de deux ans de son apparition, est plus forte que jamais. Cependant, et avec le règne qui s’annonce du variant Omicron, beaucoup pensent que l’on arrive au clap de fin.
Aujourd’hui pourtant, l’Algérie recense 2521 nouveaux cas de contamination à la covid-19 contre 2215 qui ont été enregistrées par le bilan d’hier.
En outre, le même bilan communiqué par le ministère de la Santé a fait état de 8 nouveaux décès ces dernières 24 heures, ainsi que de 44 admissions aux services de réanimation et de 1055 nouvelles guérisons.
Ces chiffres dévoilés ce mardi font grimper le bilan total des contaminations à plus de 241.406 cas depuis le début de la pandémie en mars 2020 en Algérie. Le nombre de décès quant à lui a atteint les 6.516 cas, toujours selon les chiffres du département de Benbouzid.
Les chiffres officiels sont loin de la réalitéSelon le Dr Bitam, « dans deux semaines on nous annoncera officiellement 10 000 à 12 000 cas par jour ». Ces chiffres seront, encore selon le même intervenant, loin de la réalité qui sera « bien plus grave, avec 20 000 cas, voire plus, de contaminations ».
Le même spécialiste explique que « les chiffres annoncés chaque jour par le gouvernement ne concernent que les prélèvements de la PCR » et « 50% des laboratoires privés ne déclarent pas leurs chiffres », chose qui « n’est pas normal ! », dénonce-t-il.
L’article Covid-19 : le bilan fait un nouveau bond ce 25 janvier est apparu en premier sur .
Aucun ne s’attendait à ce que la série d’invincibilités de la sélection algérienne ne s’arrête aussi brusquement au Cameroun, lors de la CAN 2022. Comme si cela n’était pas assez dur pour Belmadi et ses protégés, par-ci par-là, sortaient des spécialistes autoproclamés qui se sont fait une joie de tirer sur les efforts des joueurs et de l’entraineur.
Étant l’un des artisans de la réussite de l’équipe nationale, Ryad Mahrez est sorti de son silence aujourd’hui pour passer un message aux supporters de l’équipe nationale, mais aussi à ses détracteurs.
Sur sa page Facebook, l’international algérien, star de Manchester City, a écrit : « Salam à tous, j’ai attendu quelque jours avant de poster sur les réseaux, mais je pense que c’est important que vous ayez notre ressenti par rapport à cette grosse désillusion et notre déception ».
« Je lis beaucoup de messages négatifs »Mahrez, lucide, mais vraisemblablement déçu, indique qu’« on ne va pas se chercher d’excuses malgré les conditions : on a tout simplement pas été au niveau, moi le premier ». La star de l’équipe nationale ne cache pas sa déception après que les Verts soient sortis par la petite lucarne de la CAN 2022.
Il ajoute toutefois que « quand tout se passait bien, que nous gagnions et qu’on était en haut, tout le monde était derrière nous et encore beaucoup de nos frères, fans, compatriotes sont derrière nous aujourd’hui.. mais je lis beaucoup de messages négatifs, et ça montre encore une fois que le foot va très vite dans les 2 sens ».
Loin de vouloir abandonner la partie, Mahrez assure que « cette compétition nous aura servi de rappel, et on reviendra plus forts que cela soyez en sûrs. On rendra le peuple fier encore dans les matchs importants qui arrivent pour pouvoir aller à la coupe du monde in sha Allah. Merci à tout ceux qui nous soutiennent dans les bons comme dans les moments difficiles ». « Tahia Djazair’forever », termine-t-il.
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Alors que les relations diplomatiques entre l’Algérie et la France semblent retrouver petit à petit leurs cours normaux, le président français Emmanuel Macron compte aller de l’avant concernant le dossier de la mémoire. Or, cette fois-ci, il s’agit d’un geste de « reconnaissance envers les rapatriés d’Algérie (pieds-noirs) ».
Macron compte, en effet, faire un geste mémoriel demain mercredi « envers les rapatriés d’Algérie » qui portera sur « la fusillade de la rue d’Isly à Alger, dans laquelle des dizaines de partisans de l’Algérie française furent tués par l’armée en mars 1962 ».
Selon la présidence française, Macron devra porter « une parole de reconnaissance » lors d’une rencontre qui se tiendra demain avec des associations de rapatriés d’Algérie, communément appelés les « pieds-noirs », à l’Élysée.
Dans son communiqué publié ce mardi 25 janvier, l’Élysée a précisé que « l’un des points saillants du propos du président de la République tournera autour de ce qui s’est passé le 26 mars à Alger, rue d’Isly ».
Manifestation des partisans de l’Algérie française le 26 mars 1962Pour rappel, l’évènement en question remonte au 26 mars 1962, soit une semaine après la signature des Accords d’Évian et le cessez-le-feu (19 mars 1962). En ce jour, une manifestation des partisans de l’Algérie française a eu lieu à Alger.
Alors qu’ils tentaient de forcer le passage vers le quartier de Bab El-Oued, dans le centre d’Alger, ces manifestants étaient mitraillés à un barrage tenu par l’armée française. Lors de cette manifestation qui a duré plus d’un quart d’heure, au moins une cinquantaine de morts ont été recensés.
Après les Harkis, Macron entreprend un autre geste envers « pieds-noirs »Ce nouveau geste intervient dans le cadre de la série des démarches entreprises par le président français concernant le dossier de la mémoire. Cela s’ajoute donc à sa reconnaissance de certains faits liés aux « crimes » commis par la France durant la guerre d’Algérie, mais aussi à sa demande de « pardon » aux harkis, supplétifs algériens de l’armée française, qui furent « abandonnés » par la France.
À ce propos, il convient de rappeler qu’un projet de loi, actant ce « pardon » et tentant de « réparer » les préjudices subis, est en cours d’examen en Parlement.
Dans le cadre de ces démarches, rappelons que Macron avait également reconnu, « au nom de la République française », que le jeune mathématicien communiste Maurice Audin avait été « torturé à mort ou torturé puis exécuté par l’armée française » en 1957.
Il avait aussi reconnu que l’avocat nationaliste Ali Boumendjel avait été « torturé et assassiné » le 23 mars 1957 par l’armée française. Tout comme il a dénoncé des « crimes inexcusables pour la République » pour les 60 ans du massacre de manifestants algériens, le 17 octobre 1961 à Paris.
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La série d’invincibilités de l’équipe nationale a apparemment fait taire plus d’un pendant trop longtemps. La défaite des Verts face à la Guinée Équatoriale, avant de sortir par la petite lucarne de la Coupe d’Afrique des Nations après son match contre la Côte d’Ivoire, a redonné du fil à retordre à ceux qui estiment qu’il est temps de « repartir sur de bonnes bases ».
Juste après le retour de la sélection nationale de Football, une première tête tombe. Il s’agit du désormais ex-manager de l’équipe nationale, Amine Labdi. C’est d’ailleurs à lui que s’en prend l’ancien international algérien Mohamed Chaïb.
Invité par la chaine TV Ennahar, Mohamed Chaïb, n’a pas mâché ses mots. Vraisemblablement irrité par la sort inattendu auquel les Fennecs ont eu droit lors de la CAN qui se poursuit sans l’Algérie au Cameroun, l’ancien international qui a fait les beaux jours du RC Kouba, a dézingué l’ex-manager des Verts.
Chaïb qualifie Labdi de « personne souffrant de troubles »Au lendemain de l’élimination de l’Algérie de la Coupe d’Afrique des Nations, suivie par la démission du manager des Verts, Amine Labdi, l’ancien international algérien déclare lors de son passage à une émission télévisée que « ce qui n’est pas construit sur de bonnes bases ne peut pas durer ».
Concernant la démission du désormais ex-manager, la star de l’équipe national lors des années 80 a déclaré que « des personnes qualifiées auraient dû être placées à de tels postes ». Il ajoute que « le manager de l’équipe nationale doit être une personne avec un certain niveau d’éducation et de compétence. Non des personnes qui souffrent de troubles ».
“Aujourd’hui, on ne connaît pas la valeur de certains postes. Le manager de l’équipe d’Algérie doit être choisi suivant des critères et non des amitiés”, ajoute Chaïb.
L’article EN : quand un ex-international s’en prend à Labdi après sa démission est apparu en premier sur .
Beaucoup se réjouissent en Algérie et à travers le monde de la fin de la pandémie du coronavirus, qui paralyse le globe depuis plus de deux ans. Avec l’apparition du variant Omicron, l’espoir d’une immunité collective pousse certains à affirmer qu’il s’agit du bout du tunnel.
« Le scientifique que je suis ne peut pas se permettre un telle affirmation », lâche le Dr Idir Bitam spécialiste en maladies transmissibles et pathologies tropicales émergentes, concernant la fin de la pandémie suite à la propagation du variant Omicron.
Lors d’un entretien accordé au quotidien Liberté, le spécialiste s’est penché sur la double vague qui dévaste l’Algérie, sur le nombre réel des contaminations, et sur la situation qui est attendue lors des prochaines jours et prochaines semaines.
« On nous annoncera 12.000 cas par jour »Le bilan des contaminations à la Covid-19 fait état ces derniers jours de plus de 2.000 cas quotidien. Selon le Dr Bitam, « dans deux semaines on nous annoncera officiellement 10 000 à 12 000 cas par jour ». Ces chiffres seront, toujours selon le même intervenant, loin de la réalité qui sera « bien plus grave, avec 20 000 cas, voire plus, de contaminations ».
L’Algérie connait aujourd’hui plus de 10.000 cas quotidien alors que seuls 2.000 sont annoncés, indique le spécialiste qui explique que « les chiffres annoncés chaque jour par le gouvernement ne concernent que les prélèvements de la PCR » et « 50% des laboratoires privés ne déclarent pas leurs chiffres », chose qui « n’est pas normal ! », s’insurge le docteur.
Le Dr Bitam affirme que nous vivons une situation de 50/50 entre le Delta et l’Omicron, chose qui va changer d’ici à deux semaine, ou le deuxième variant finira par dominer. Le spécialiste assure toutefois que « 100% des cas de décès en réanimation sont causés par le variant Delta » et rappelle que « 100% de décès sont des personnes non vaccinées ».
Immunité collective en févrierSelon le Dr Bitam, Omicron « ne présente pas de sévérité particulière, sinon nulle ». Il rappelle que ce variant n’a causé depuis son apparition qu’un seul décès au Royaume-Uni, « et encore, à ce jour nous ne savons si c’est lié directement ». Le spécialiste précise qu’il a « demandé personnellement à consulter le dossier de cette personne. J’attends la réception, sous peu, de ce dossier ».
Le Dr Bitam affirme que « l’on peut espérer atteindre… une immunité collective à hauteur de 70% entre la première et la deuxième semaine du mois de février », à condition, tient-il à préciser « d’accélérer et de généraliser les campagnes de vaccination ».
Bien que le spécialiste s’attend à une immunité collective contre la Covid à partir du mois de février, il indique qu’il ne peut assurer qu’il s’agit de la fin de la pandémie. « Nous allons certainement vivre encore, pendant quelques années, avec le coronavirus », estime le spécialiste.
Il explique que le coronavirus jouit d’une mutation très rapide. « Depuis le début de la pandémie, en 2019, ce virus a muté plus de 7300 fois, tous variants confondus. Parmi ces variants, il existe 4 “mutants” qui présentent un danger sur la santé publique (Alpha, Bêta, Delta et Omicron) », déclare le spécialiste qui ajoute qu’« avec l’immunité collective, on peut espérer que la mortalité liée au coronavirus va baisser considérablement et les hôpitaux totalement désengorgés ».
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ARISE IIP, le développeur et opérateur panafricain de parcs industriels de classe mondiale, annonce avoir rejoint la Fédération internationale des fabricants de textiles (ITMF) en tant que membre "Corporate". (Lire le communiqué)
COMMUNIQUÉ DE PRESSE24 janvier 2022 - ARISE IIP, le développeur et opérateur panafricain de parcs industriels de classe mondiale, a rejoint la Fédération internationale des fabricants de textiles (ITMF) en tant que membre "Corporate".
Arise IIP identifie les lacunes industrielles dans les pays africains afin de libérer de la valeur et créer de nouvelles industries. L'objectif est d'industrialiser les secteurs clés en créant une transformation locale, en maximisant la production, l'efficacité et les coûts, ce qui génère à son tour une valeur ajoutée locale.
Arise IIP cherche à stimuler les exportations, à permettre la transformation locale des matières premières et à promouvoir le commerce en créant des zones économiques spéciales sur mesure au Gabon, au Bénin et au Togo. Au Bénin et au Togo, Arise IIP se concentre sur la création de chaînes de valeur pour l'industrie textile - de l'approvisionnement en matières premières à la transformation des ressources en passant par la fabrication, jusqu'à l'exportation de produits finis.
En devenant membre "Corporate" de l'ITMF, Arise IIP bénéficiera d'un réseau international unique, de l'expertise de l'ITMF et d'une plateforme globale pour la chaîne de valeur textile où les tendances mondiales sont discutées.
"En rejoignant l'ITMF, nous avons accès à tous les principaux acteurs de la chaîne de valeur mondiale du textile et de l'habillement. Le monde est de plus en plus intégré. Par conséquent, la coopération le long de la chaîne de valeur textile mondiale et la compréhension de sa complexité et de sa dynamique sont primordiales", a déclaré M. Rajaguru Raja, PDG de la division textile d'Arise IIP.
"En devenant membre de l'ITMF, Arise IIP enrichit notre organisation d'une expertise précieuse sur la chaîne de valeur du textile en Afrique de l'Ouest, une région qui va jouer un rôle croissant dans notre industrie dans les années à venir. De même, Arise IIP bénéficiera d'un réseau international unique, de l'expertise de l'ITMF et d'une plateforme internationale où les tendances internationales sont discutées", a déclaré Christian Schindler, directeur général de l'ITMF.
À propos de ARISE IIPLa quatrième vague du coronavirus que traverse l’Algérie a connu le chevauchement de deux variants ; le Delta, responsable de la 3e vague et l’Omicron, le nouveau variant apparu en Afrique du Sud. Or, du point de vue des spécialistes, le Delta compte désormais ses jours en Algérie.
S’exprimant sur cette question, le Directeur général de l’Institut Pasteur d’Algérie, le Dr Fawzi Derrar affirme que le variant Delta, considéré comme le principal responsable de la vague précédente, devra connaître sa fin très prochainement en Algérie.
Dans son pronostic livré dans une déclaration au quotidien arabophone Echaab, le responsable assure que le variant Delta sera définitivement éteint en Algérie d’ici au mois de février prochain.
Selon lui, cela interviendra en raison de la terrible vitesse de propagation du variant Omicron. D’ailleurs, il estime dans ce sens, qu’aucun cas du variant Delta ne sera enregistré à partir du mois de février prochain.
Omicron est responsable de 50 à 60% des contaminations actuellesAlors que tout le monde s’attendait à ce que le variant Delta soit le prédominant lors de la 4e vague, explique le docteur, le variant Omicron survient pour totalement changer la donne. Concernant la propagation de ce dernier, l’intervenant affirme qu’il est actuellement responsable de 50% des contaminations. Or, il atteindra 80% après deux ou trois jours.
Expliquant les raisons derrière la vitesse phénoménale caractérisant ce variant, le DG de l’IPA indique que si, la personne atteinte du variant Delta peut le transmettre à 8 autres personnes de son entourage, celle contaminée au variant Omicron peut le transmettre à 18 autres personnes.
Ce mardi matin, le ministre de la Santé a indiqué que la propagation du nouveau variant Omicron a atteint les 60% des nouvelles contaminations au coronavirus. Ainsi, il n’a pas manqué de souligner que la situation épidémiologique en Algérie « est dangereuse à l’instar des autres pays dans le monde ».
Selon lui, le nombre de contaminations le plus élevé est enregistré dans les wilayas d’Alger, Béjaia, Tizi Ouzou et Sétif. Cependant, il affirme que « son secteur maîtrise la situation à travers les établissements hospitaliers ».
L’article Fin du variant Delta en Algérie : Dr Derrar livre son pronostic est apparu en premier sur .
Une société de la place lance un appel à candidature aux fins de pourvoir aux postes ci-après :
POSTE 1 : CHEF DIVISION SEGMENTS
Lieu de travail : Cotonou
1.- Missions
Assurer le Développement de tous les Segments Voix et SMS.
2.- Activités principales
Participer à l'élaboration des politiques marketings et de communication pour l'ensemble du marché
Assurer la gestion du cycle de vie des offres
Assurer la gestion du système de distribution des offres pour chaque segment
Préparer et animer des réunions de contrôle et faire des remontées
Participer à la gestion des projets transversaux tels que Loyalty Program, le Customer value Management, Business Intelligence, etc.
Lire la suite ci-après
DOSSIERS DE CANDIDATURE
Les personnes intéressées par le présent avis sont invitées à déposer au siège de 24HEURES AU BÉNIN (rue de la station face mairie 9ème arrondissement de Cotonou ) au plus tard le lundi 31 janvier 2022 à 15 heures, un dossier de candidature comprenant :
N.B. :
Une lettre de motivation manuscrite + une photo
Un curriculum vitae précisant l'expérience professionnelle acquise ;
Copies non légalisées des diplômes et attestations.
L'indication d'un contact téléphonique est obligatoire sous peine de rejet de dossier et seuls les candidats présélectionnés seront convoqués.