Les Reflets du Temps, site Internet qui consacre une large place aux questions internationales, a publié lundi 24 août 2015 un nouvel article mettant à l’honneur le numéro d’été (2/2015) de Politique étrangère. Martine L. Petauton s’attache dans celui-ci à la question du djihadisme, et s’appuie pour cela sur les articles de Myriam Benraad « Défaire Daech : une guerre tant financière que militaire », de Marc-Antoine Pérouse de Montclos « Boko Haram, une exception dans la mouvance djihadiste ? » et de Lars Erslev Andersen « Terrorisme et contre-radicalisation : le modèle danois ».
« Je reviens cette semaine encore sur la revue Politique étrangère de l’Ifri de cet été, particulièrement riche. Sur – non pas un dossier, cette fois ci, mais trois articles majeurs, dont la teneur est de nature à nourrir nos réflexions de rentrée, sur un sujet – « le » sujet – de tout premier plan : le Djihadisme et le terrorisme.
Myriam Benraad – une des meilleures spécialistes de l’Irak en France – démontre que « défaire Daech (est) une guerre tant financière que militaire ». […] Marc-Antoine Pérouse de Montclos, braque son projecteur, quant à lui, sur un groupe djihadiste qui terrorise l’Afrique, « Boko Haram, une exception dans la mouvance islamiste ? ». […] Enfin, en dernier point de ce triptyque djihadiste/Ifri, l’article de Lars Erslev Andersen « Terrorisme et contre-radicalisation ; le modèle danois », ajoutons… et ses failles, ouvre des fenêtres intéressantes. […]
La revue Ifri/Politique étrangère donne ici, avec ces articles, de quoi ajuster notre regard, pourtant si – trop ? – alimenté sur ce sujet, hélas, toujours phare, de notre rentrée en géopolitique. »
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Martine L. Petauton, rédactrice en chef du site Internet Reflets du Temps, a consacré le 15 août 2015 une recension au dossier sur la Russie présenté dans le numéro d’été (2/2015) de Politique étrangère.
« Une fois passée la période – derniers feux de la Guerre Froide éteints – où la « super puissance américaine » Bushienne 1 et 2 flamboyait dans tous les médias, c’est du côté de l’ancien partenaire soviétique, que tous les regards se sont peu à peu tournés. 1991, éclatement du bloc de l’Est. Russie et ses satellites plus ou moins bougeants. Quid de la Russie ; quid surtout de la réalité de sa puissance ? Actuellement, il n’est guère question que d’elle, ses hydrocarbures, sa crise économique, ses mugissements sur la scène Ukrainienne, et son chef – Poutine, le rusé, Poutine, le craint, à tout le moins, le redouté.
La problématique de la toujours remarquable revue de l’Ifri, est, de ce fait, posée pile dans l’axe : Russie, une grande puissance, certes, mais peut-être faible. »
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