Les chauffeurs de taxi inter-wilaya sont en colère suite à la décision de la direction des Transports de la wilaya d’Oran de délivrer de nouveaux agréments d’exploitation de lignes desservant les autres wilayas.
Les délégués des trois syndicats représentant les chauffeurs de taxis en l’occurrence le SNTT, l’ONTA et l’UGCAA, ont tenu hier un point de presse où ils ont tenu à contester l’injection de nouveaux chauffeurs de taxis dans des lignes «saturées». Le SG du SNTT a estimé que cette décision de la DTWO est contraire aux directives du ministère de tutelle qui s’est engagée avec les délégués des transporteurs à geler les nouveaux agréments des taxis inter-wilaya et du transport en commun en raison de la saturation des lignes inter-wilaya et le recul du trafic. La direction des Transports aurait expliqué cette décision par le nombre croissant des demandes déposées par les chauffeurs de taxis urbain. Les délégués des chauffeurs de taxis inter-wilaya promettent de durcir le mouvement de contestation dans les jours à venir. Ils menacent de tenir un sit-in devant le siège de la DTWO pour appuyer leur revendication. Il est à rappeler que le secteur des Transports par taxis urbain est au bord de la saturation à Oran. Ils sont plus de 10.000 taxis à marauder à longueur de journée dans les artères de la ville. Certes, la demande existe en raison de l’explosion démographique et urbaine de la ville, mais l’attribution de nouvelles autorisations d’exploitations risquerait de déstabiliser à jamais l’équilibre fragile entre l’offre et la demande.
Une hausse des frais administratifs exigés pour présenter une demande de citoyenneté au Canada aurait entraîné une baisse significative du nombre d’immigrants présentant une telle demande, selon des avocats spécialisés en immigration.
Au cours des neuf premiers mois de 2016, le gouvernement a reçu 56 446 demandes de citoyenneté, soit une chute de près de 50 %, par rapport aux 111 993 demandes faites au cours de la même période l’année précédente.
Les frais de traitement ont bondi de 100 $ à 530 $ en 2014-2015, un montant qui passe même à 630 $ une fois que les frais additionnels de « droit de citoyenneté » de 100 $ sont ajoutés.
Les données sont issues d’un rapport de l’ancien directeur général de l’Immigration et de la Citoyenneté, Andrew Griffith, préparé pour le Comité sénatorial des affaires sociales, des sciences et de la technologie. Le comité sénatorial amorce cette semaine des audiences sur le projet de loi C-6 qui doit modifier la Loi sur la citoyenneté.
M. Griffith y voit une tendance qu’il qualifie d’« alarmante » et qui pourrait être directement liée à l’augmentation des frais exigés pour la demande de citoyenneté. « Si vous êtes un professionnel qui réussit assez bien, vous n’aimerez peut-être pas [la hausse], mais vous la paierez, avance M. Griffith à CBC News. « Mais si vous êtes un immigrant ou un réfugié en difficulté [un montant de] 630 $ peut devenir prohibitif, a fortiori si vous parlez d’une famille de quatre personnes ou plus. »
Outre les coûts associés au frais de citoyenneté, les immigrants doivent faire face à ceux reliés aux tests linguistiques, poursuit M. Griffith qui propose de réduire les frais de traitement des demandes de citoyenneté à 300 $, d’abolir les frais de 100 $ liés au « droit de citoyenneté » et d’envisager une exemption de frais pour les réfugiés et les immigrants à faibles revenus.
M. Griffith prévient Ottawa que l’augmentation des coûts liés à la citoyenneté pourrait s’avérer un frein à l’intégration des nouveaux arrivants et conduire à leur marginalisation.
« Nous nous sommes toujours félicités d’avoir un modèle où nous encourageons non seulement l’immigration, mais nous encourageons les immigrants à devenir citoyens pour qu’ils participent pleinement à la société. Ils peuvent ainsi participer aux discussions politiques, voter et faire tout ce qui est lié à la citoyenneté », a-t-il dit.
Le projet de loi C-6 annule des réformes introduites par le précédent gouvernement conservateur et prend des mesures pour rationaliser et renforcer l’intégrité du processus de citoyenneté. Le projet de loi prévoit notamment la réduction du temps que les résidents permanents doivent vivre, travailler ou étudier au Canada afin de devenir admissibles à la citoyenneté.
Le gouvernement ne semble toutefois pas prêt à revenir sur la hausse des frais imposés par les conservateurs, qui demeurent nettement inférieurs à ceux d’autres pays comparables comme les États-Unis, l’Australie ou la Nouvelle-Zélande, selon le ministre de l’Immigration, Ahmed Hussen.
L’extension du métro d’Alger à partir d’El Harrach jusqu’à l’aéroport international Houari Boumediene sera fin prête en début 2020, a indiqué lundi 13 février le ministre des Travaux publics et des transports, Boudjmaa Talai.
La nouvelle aérogare d’Alger et la ligne ferroviaire qui devrait la relier à Bab Ezzouar seront réceptionnées en juillet 2018, a également rappelé le même responsable lors de sa visite d’inspection aux chantiers de ces infrastructures, accompagné par le directeur général de l’aéroport international d’Alger, Tahar Allache, et les représentants des entreprises de réalisation.
M. Talai a inspecté les travaux d’extension du métro d’Alger reliant El Harrach-centre à l’aéroport international d’Alger, dont la réalisation est prise en charge par l’entreprise publique Cosider.
S’étendant sur un tronçon de 9,5 kms et composée de 9 stations et de 10 puits de ventilation, ce tronçon a vu un taux d’avancement des travaux de 35% depuis son lancement il y a 14 mois.
A ce propos, le chef de projet, Issad Mahieddine, a indiqué que la méthode de travail a changé en passant à la technique « top-down » qui a aidé à réduire les délais et les coûts en économisant financièrement 1,2 milliard de DA sur les travaux au niveau de 7 stations, mais que cette méthode n’a pu être appliquée sur les deux autres stations.
Selon lui, ce projet devrait être réceptionné fin 2019 ou début 2020 au maximum.
En outre, le ministre a inspecté les travaux de la nouvelle ligne ferroviaire reliant Bab Ezzouar à l’aéroport international d’Alger, qui s’étend sur un tronçon de 3 kms (dont 1,4 km en tunnel) et d’un coût de 9 milliards de DA.
Confié à 5 entreprises algériennes, ce projet devrait être réceptionné en juillet 2018.
La nouvelle aérogare: 56% de taux d’avancement
Au niveau du chantier de la nouvelle aérogare d’Alger, une extension de l’aéroport international de la capitale, M. Allache a indiqué que le taux d’avancement des travaux avait atteint plus de 56% jusqu’à janvier dernier.
Selon lui, le coût global de cette nouvelle zone du terminal passagers est estimé à 74 milliards de DA et s’étale sur une superficie de 20 hectares.
Elle sera dotée d’un parking véhicules de 4.500 places, de 3 parkings avions et voies de circulation d’une superficie de plus de 424.000 m2, de 120 points d’enregistrement, de 84 guichets de contrôle et de 9 tapis roulants, a fait savoir le même responsable.
Selon le ministre, le financement de ce méga projet sera assuré par l’Entreprise de gestion des aéroports d’Alger à hauteur de 45 milliards de DA tandis que le reste sera financé par le Trésor public.
Cette nouvelle aérogare, dont les travaux de réalisation ont été confiés à la société chinoise CSCEC, assurera un trafic de 10 millions de passagers/an et gérera 1.800 bagages/heure.
NOUAKCHOTT – Le président sahraoui, Secrétaire général du Front Polisario, Brahim Ghali a appelé l’ONU à assumer ses responsabilités et à mettre un terme aux ‘‘provocations marocaines dans la région de Guerguerat’‘
Dans une interview accordée à l’Agence de presse indépendante mauritanienne ‘‘El-Akhbar’‘, le président sahraoui a indiqué que ‘‘l’ONU et son Conseil de sécurité sont appelés à assumer leur responsabilité et à faire pression sur le Maroc pour l’amener à se conformer aux décisions et résolutions de l’ONU, lesquelles stipulent l’organisation d’un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui’‘.
L’ONU ‘‘doit également amener l’occupation marocaine à respecter l’accord de cessez-le-feu et à permettre à la MINURSO de reprendre immédiatement ses fonctions’‘, a précisé le président sahraoui qui a dénoncé, par la même, la ‘‘complicité éhontée’‘ de la France, membre permanent du Conseil de sécurité, ‘‘à travers son soutien à la position intransigeante du Maroc qui refuse de se conformer à la légalité internationale’‘.
‘‘Les provocations marocaines dans la région de Guerguerat et sa violation du cessez-le-feu’‘ ont également été pointés du doigt par le président Ghali qui a tenu à préciser que ‘‘les positions des deux armées, sahraouie et marocaine, sont toujours les mêmes’‘.
Après une période marquée par son manquement à la charte de l’organisation de l’unité africaine (actuelle UA) et son refus de respecter les principes et objectifs des statuts constitutifs de l’Union africaine (UA), la décision du Maroc d’adhérer à cette dernière aux côtés de la République Sahraoui qui est membre fondateur de l’UA , constitue ‘‘ une victoire de la Légalité internationale en faveur du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination’‘, a estimé le président sahraoui.
‘‘L’application des dispositions de la Légalité internationale concernant le conflit au Sahara Occidental demeure l’objectif stratégique des Sahraouis au niveau africain, sur la base des chartes et résolutions des Nations unies, afin de permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit à l’autodétermination et de consacrer sa souveraineté sur l’ensemble du territoire sahraoui’‘, a soutenu M. Ghali, soulignant ‘‘qu’il s’agit d’une vérité immuable, que le Maroc soit membre ou non de l’UA’‘.
Le président de la RASD a qualifié d’‘‘excellentes’‘ les relations saharo-mauritaniennes ‘‘basées sur le respect mutuel, la coopération et la coordination, notamment sur la lutte contre les phénomènes qui menacent la sécurité et la stabilité des deux peuples frères, à l’instar du crime transfrontalier, de la drogue et du terrorisme.
VIENNE – La production mondiale de pétrole a fortement reculé en janvier après la mise en œuvre des accords de limitation de la production par les membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et d’autres pays producteurs, indique lundi l’OPEP dans son rapport mensuel.
Le mois dernier, la production de pétrole s’est élevée à 95,8 millions de barils par jour (mbj), soit une baisse de 1,3 mbj par rapport à décembre et de 0,46 mbj sur un an, a précisé l’organisation qui regroupe 14 pays producteurs de pétrole dont l’Algérie.
A elle seule, l’OPEP a pompé 890.000 barils par jour de moins à 32,14 mbj en moyenne, a-t-elle détaillé en citant des sources secondaires.
Les membres de l’OPEP s’étaient accordés en novembre pour réduire leur production de 1,2 mbj à partir du 1er janvier pour une période de six mois renouvelable.
En décembre, des producteurs non membres de l’organisation, dont la Russie, avaient décidé de faire de même à un niveau de 558.000 barils par jour.
Ces réductions visent à permettre à un marché inondé d’or noir depuis mi-2014 de se rééquilibrer et à des cours déprimés de se redresser. Ils se situent autour de 55 dollars le baril actuellement.
En revanche, cette remontée des prix devrait stimuler l’extraction d’or noir dans d’autres pays non liés par ces accords, comme les Etats-Unis.
« Les ajustements de production de l’OPEP et certains producteurs non-OPEP ont soutenu le marché, mais ces gains ont été en partie absorbés par une recrudescence de l’activité de forage aux Etats-Unis », a indiqué l’OPEP.
« Les investissements dans (les hydrocarbures) de schiste devraient reprendre en 2017, avec une hausse projetée de plus de 35% », a-t-elle estimé.
Selon le rapport, la production américaine de pétrole de schiste devrait croître de 100.000 barils par jour à 4,35 mbj.
Au total, la production des pays non-OPEP devrait augmenter de 0,24 mbj à 57,44 mbj cette année, après une contraction de 0,66 mbj à 57,20 mbj en 2016, toutefois moins importante que prévu précédemment par l’organisation pétrolière.
Quant à la consommation mondiale de pétrole, elle devrait croître de 1,32 mbj à 94,62 mbj en 2016 puis de 1,19 mbj à 95,81 mbj en 2017, soutenue par une économie mondiale plus dynamique, un hiver froid, les ventes de véhicules en Europe et le secteur pétrochimique, a estimé l’OPEP qui a légèrement relevé ses prévisions.
ALGER – La nouvelle aérogare d’Alger et la ligne ferroviaire qui devrait la relier à Bab Ezzouar seront réceptionnées en juillet 2018, tandis que l’extension du métro à partir d’El Harrach à cet aéroport sera fin prête en début 2020, a indiqué lundi le ministre des Travaux publics et des transports, Boudjmaa Talai.
Lors de sa visite d’inspection aux chantiers de ces infrastructures, accompagné par le directeur général de l’aéroport international d’Alger, Tahar Allache, et les représentants des entreprises de réalisation, le ministre a insisté sur le respect des délais de réalisation.
Au niveau du chantier de la nouvelle aérogare d’Alger, une extension de l’aéroport international de la capitale, M. Allache a indiqué que le taux d’avancement des travaux avait atteint plus de 56% jusqu’à janvier dernier.
Selon lui, le coût global de cette nouvelle zone du terminal passagers est estimé à 74 milliards de DA et s’étale sur une superficie de 20 hectares.
Elle sera dotée d’un parking véhicules de 4.500 places, de 3 parkings avions et voies de circulation d’une superficie de plus de 424.000 m2, de 120 points d’enregistrement, de 84 guichets de contrôle et de 9 tapis roulants, a fait savoir le même responsable.
Selon le ministre, le financement de ce méga projet sera assuré par l’Entreprise de gestion des aéroports d’Alger à hauteur de 45 milliards de DA tandis que le reste sera financé par le Trésor public.
Cette nouvelle aérogare, dont les travaux de réalisation ont été confiés à la société chinoise CSCEC, assurera un trafic de 10 millions de passagers/an et gérera 1.800 bagages/heure.
Extension du métro d’Alger
Le ministre a également inspecté les travaux d’extension du métro d’Alger reliant El Harrach-centre à l’aéroport international d’Alger, dont la réalisation est prise en charge par l’entreprise publique Cosider.
S’étendant sur un tronçon de 9,5 kms et composée de 9 stations et de 10 puits de ventilation, ce tronçon a vu un taux d’avancement des travaux de 35% depuis son lancement il y a 14 mois.
A ce propos, le chef de projet, Issad Mahieddine, a indiqué que la méthode de travail a changé en passant à la technique « top-down » qui a aidé à réduire les délais et les coûts en économisant financièrement 1,2 milliard de DA sur les travaux au niveau de 7 stations, mais que cette méthode n’a pu être appliquée sur les deux autres stations.
Selon lui, ce projet devrait être réceptionné fin 2019 ou début 2020 au maximum.
En outre, le ministre a inspecté les travaux de la nouvelle ligne ferroviaire reliant Bab Ezzouar à l’aéroport international d’Alger, qui s’étend sur un tronçon de 3 kms (dont 1,4 km en tunnel) et d’un coût de 9 milliards de DA.
Confié à 5 entreprises algériennes, ce projet devrait être réceptionné en juillet 2018.
La situation du gouvernement libyen d’union nationale, seul exécutif reconnu par les Nations unies et la communauté internationale (du moins, officiellement), se complique chaque jour davantage. Contesté par les autorités établies à Tobrouk, et donc par le maréchal Khalifa Haftar, il doit aussi faire face à la fronde de l’ancien gouvernement à dominante islamiste, auquel […]
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L’Italie tient un place importante dans le programme d’avion de combat F-35 (ou Joint Strike Fighter, JSF) ou F-35 puisque, avec les Pays-Bas, elle fait partie des partenaires dits de niveau 2 de ce projet conduit par le groupe américaine Lockheed-Martin. Ainsi, plusieurs entreprises transalpines, emmenées par Leonardo (ex-Finmeccanica), fournissent des composants destinés à équiper […]
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