Balkans Occidentaux

Scène d'épouvante à Gradačac. Un homme a tué son ancienne compagne, diffusant le meurtre en direct sur Instagram. Il a ensuite tué et blessé plusieurs autres personnes avant de se suicider. La municipalité a déclaré trois jours de deuil, des manifestations spontanées dénoncent le climat de violence et la responsabilité des autorités.

C'est le pays de l'UE qui a le moins investi dans les technologies vertes et l'un des plus gros émetteurs de CO2. La Bulgarie est régulièrement pointée du doigt pour l'inaction climatique et environnementale des autorités, mais la société civile commence à se mobiliser.

La Croatie manque de main d'œuvre et fait appel à des travailleurs asiatiques. Au premier semestre, 27 000 permis ont été accordés à de ressortissants du Népal, du Bangladesh, d'Inde et des Philippines. Des conditions de vie indignes les attendent souvent, et beaucoup partent vers d'autres pays de l'UE.

La Croatie manque de main d'œuvre et fait appel à des travailleurs asiatiques. Au premier semestre, 27 000 permis ont été accordés à de ressortissants du Népal, du Bangladesh, d'Inde et des Philippines. Des conditions de vie indignes les attendent souvent, et beaucoup partent vers d'autres pays de l'UE.

Les armes, le plus souvent illégales, prolifèrent depuis longtemps dans les Balkans. On les sort pour faire la fête, un jeu risqué, mais aussi pour tuer. Sa femme, ses proches ou ses voisins, le plus souvent. Les tueries du printemps dernier en Serbie vont-elles faire évoluer les consciences ?

Les armes, le plus souvent illégales, prolifèrent depuis longtemps dans les Balkans. On les sort pour faire la fête, un jeu risqué, mais aussi pour tuer. Sa femme, ses proches ou ses voisins, le plus souvent. Les tueries du printemps dernier en Serbie vont-elles faire évoluer les consciences ?

Les armes, le plus souvent illégales, prolifèrent depuis longtemps dans les Balkans. On les sort pour faire la fête, un jeu risqué, mais aussi pour tuer. Sa femme, ses proches ou ses voisins, le plus souvent. Les tueries du printemps dernier en Serbie vont-elles faire évoluer les consciences ?

Les armes, le plus souvent illégales, prolifèrent depuis longtemps dans les Balkans. On les sort pour faire la fête, un jeu risqué, mais aussi pour tuer. Sa femme, ses proches ou ses voisins, le plus souvent. Les tueries du printemps dernier en Serbie vont-elles faire évoluer les consciences ?

Les armes, le plus souvent illégales, prolifèrent depuis longtemps dans les Balkans. On les sort pour faire la fête, un jeu risqué, mais aussi pour tuer. Sa femme, ses proches ou ses voisins, le plus souvent. Les tueries du printemps dernier en Serbie vont-elles faire évoluer les consciences ?

Les armes, le plus souvent illégales, prolifèrent depuis longtemps dans les Balkans. On les sort pour faire la fête, un jeu risqué, mais aussi pour tuer. Sa femme, ses proches ou ses voisins, le plus souvent. Les tueries du printemps dernier en Serbie vont-elles faire évoluer les consciences ?

Les armes, le plus souvent illégales, prolifèrent depuis longtemps dans les Balkans. On les sort pour faire la fête, un jeu risqué, mais aussi pour tuer. Sa femme, ses proches ou ses voisins, le plus souvent. Les tueries du printemps dernier en Serbie vont-elles faire évoluer les consciences ?

En Fédération de Bosnie-Herzégovine, la société civile se mobilise. Beaucoup de patients atteints de maladies graves sont privés de soins à cause d'une santé publique exsangue, laminée par des décennies de coupes budgétaires.

Durant sa campagne électorale de juin, le mouvement l'Europe maintenant a promis monts et merveilles. Or, deux mois plus tard, personne n'est en mesure d'expliquer le financement des hausses prévues des salaires et des retraites. À moins de tout privatiser ?

Ils avaient torturé à mort Marigona Osmani, une jeune femme de 18 ans, à l'été 2021 à Ferizaj. Le meurtrier à été condamné à la perpétuité, son complice à quinze ans de prison. Les associations féministes saluent un verdict « historique », en espérant une décision en appel encore plus sévère.

C'est à Prijedor, une ville symbole du nettoyage ethnique commis par les forces serbes durant la guerre de Bosnie-Herzégovine, qu'Aleksandar Vučić et Milorad Dodik ont choisi de commémorer l'exode des Serbes de Croatie durant l'opération Oluja, début août 1995.

C'est à Prijedor, une ville symbole du nettoyage ethnique commis par les forces serbes durant la guerre de Bosnie-Herzégovine, qu'Aleksandar Vučić et Milorad Dodik ont choisi de commémorer l'exode des Serbes de Croatie durant l'opération Oluja, début août 1995.

C'est à Prijedor, une ville symbole du nettoyage ethnique commis par les forces serbes durant la guerre de Bosnie-Herzégovine, qu'Aleksandar Vučić et Milorad Dodik ont choisi de commémorer l'exode des Serbes de Croatie durant l'opération Oluja, début août 1995.