Vous êtes ici

Afrique

Fifa: enquête préliminaire sur la célébration d'Aurier

Slateafrique - jeu, 13/10/2016 - 21:01

Une "enquête préliminaire" de la Fifa a été lancée sur le geste mimant un égorgement effectué par le défenseur du PSG Serge Aurier lors du match Côte d'Ivoire-Mali (3-1) samed

read more

Catégories: Afrique

Quatre soldats maliens tués dans l’explosion de mines

Maliactu - jeu, 13/10/2016 - 20:08

Quatre militaires maliens ont été tués jeudi dans le centre du Mali lorsque leurs véhicules ont sauté sur des mines, a-t-on appris de sources militaires.

 

« Entre les localités de Diabaly et de Nampala (centre), quatre militaires maliens ont trouvé la mort quand leurs véhicules ont sauté sur des mines », a déclaré à l’AFP un gradé de haut rang de l’armée malienne.

 

L’information a été confirmée par un officier de l’armée malienne en poste à Ségou, une des principales villes de la région, précisant que l’attaque s’était produite « dans le village de N’Goma Coura ».

 

« Deux véhicules de l’armée ont été calcinés après l’explosion de trois mines », selon cette source, qui fait également état de plusieurs soldats blessés et de l’envoi de renforts de l’armée sur les lieux.

 

Deux soldats maliens avaient été tués et deux grièvement blessés le 5 octobre près de Tombouctou, dans le nord-ouest du pays, par l’explosion d’une mine au passage de leur véhicule, selon des sources militaires.

 

Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l’armée face à la rébellion à dominante touareg, d’abord alliée à ces groupes qui l’ont ensuite évincée.

 

Ces groupes en ont été en grande partie chassés à la suite du lancement en 2013, à l’initiative de la France, d’une intervention militaire internationale, qui se poursuit actuellement.

 

Mais des zones entières échappent encore au contrôle des forces maliennes et étrangères, malgré la signature en mai-juin 2015 d’un accord de paix censé isoler définitivement les jihadistes, dont l’application accumule les retards.

 

Longtemps concentrées dans le Nord, les attaques jihadistes se sont étendues à partir de 2015 vers le centre, puis le sud du pays.

 

Catégories: Afrique

Nigeria: 21 lycéennes de Chibok libérées par Boko Haram

Maliactu - jeu, 13/10/2016 - 20:04

Vingt-et-une lycéennes de Chibok, enlevées par Boko Haram il y a plus de deux ans, ont été libérées par leurs ravisseurs jeudi après des négociations entre le gouvernement et le groupe jihadiste nigérian facilitées par la Suisse et le Comité international de la Croix-Rouge.

Qualifiant cette libération « d’importante », les autorités espèrent que cette nouvelle étape aidera à retrouver les 197 autres jeunes filles toujours entre les mains de Boko Haram depuis avril 2014.

« Ce n’est qu’une première étape, et nous pensons que cela nous conduira à libération de toutes les filles », a déclaré le ministre de l’Information, Lai Mohammed à Abuja.

« Cela ne veut pas dire que nous mettons fin aux opérations militaires, mais cela pourrait être une autre manière de conduire les contre-offensive dans cette guerre contre la terreur », a-t-il ajouté, alors que l’armée nigériane n’a toujours fait aucune déclaration publique.

La présidence a affirmé dans un communiqué que cette libération avait eu lieu après des négociations entre Boko Haram et le gouvernement nigérian, facilitées par le Comité International de la Croix-Rouge (CICR) et le gouvernement suisse.

« A la demande du gouvernement nigérian, la Suisse a facilité les contacts entre les autorités et les intermédiaires de Boko Haram (…).

La Suisse s’y est engagée sur des bases humanitaires », a déclaré Pierre-Alain Eltschinger, porte-parole du département fédéral suisse des Affaires étrangères.

Les lycéennes ont été échangées contre quatre combattants de Boko Haram dans la ville de Banki, à la frontière du Cameroun, selon des sources locales.

« Les filles ont été amenées à Kumshe, à 15 km de Banki (…), vers 3 heures du matin. Les quatre combattants de Boko Haram sont arrivés à Banki depuis Maiduguri dans un hélicoptère de l’armée et ont été conduits à Kumshe dans des véhicules du CICR », a rapporté une source proche du dossier à l’AFP.

La présidence avait révélé le mois dernier que de précédentes négociations avec Boko Haram avaient échoué, notamment à cause des récentes divisions à la tête du groupe islamiste ou parce que le gouvernement était réticent à accéder aux demandes du groupe.

Le ministre de l’Information a été catégorique: « Ce n’était pas un échange ».

– Signe encourageant –

Parmi les 276 lycéennes enlevées par Boko Haram le 14 avril 2014, 57 avaient réussi à s’échapper juste après le rapt, et l’une d’entre elles a été retrouvée par l’armée au mois de mai, avec son mari, un combattant, et leur enfant âgé de 4 mois.

Relayé par les médias du monde entier, ce kidnapping de masse a provoqué une vague d’indignation massive, notamment sur Twitter sous le hashtag #Brinbackourgirls (« Ramenez-nous nos filles »), relayé jusqu’à la Maison Blanche par la première dame, Michelle Obama.

Le retour des « filles de Chibok » avait été l’un des points forts de la campagne du candidat Muhammadu Buhari, finalement élu en mai 2015. Le président a depuis lors essuyé les critiques pour n’avoir pas réussi à les retrouver.

Il s’est dit heureux de la libération de 21 lycéennes, jeudi, avant de s’envoler vers l’Allemagne, notamment pour demander un soutien financier et logistique, alors que le Nord-Est est totalement détruit par la guerre et que la situation humanitaire est catastrophique.

Les lycéennes libérées sont attendues à Abuja, où elles recevront un suivi médical et psychologique, mais où leur identité devra être confirmée par leur famille avant d’être dévoilée à la presse.

Même si cette annonce est un signe encourageant, les experts soulignent que Boko Haram est toujours une force relativement importante et divisée en plusieurs factions ennemies qui se déchirent pour le contrôle de la région.

Mercredi, une bombe a fait huit morts dans une gare routière de la capitale du Borno, Maiduguri.

« C’est effectivement une avancée positive, mais je pense que nous devons rester réalistes », explique à l’AFP Omar Mahmood, chercheur pour l’Institute for Security Studies.

« Ils sont toujours en mesure de conduire des attaques, nous l’avons vu à Maiduguri », hier (mercredi).

L’insurrection de Boko Haram a fait plus de 20.000 morts et 2,6 millions de déplacés depuis 2009.

Catégories: Afrique

Guerre contre l'UPC au Cameroun : le rôle de la France en question

France24 / Afrique - jeu, 13/10/2016 - 18:58
Dans les années 1950 et 60 l'armée française a combattu au Cameroun les membres de l'UPC, un parti d'opposition. Une guerre qui a fait plusieurs dizaines de milliers de morts selon les historiens. France 24 a interviewé un témoin capital.
Catégories: Afrique

RD Congo: Greenpeace « salue » l’annulation de contrats forestiers illégaux

Maliactu - jeu, 13/10/2016 - 18:54

L’organisation environnementaliste Greenpeace a salué jeudi l’annulation en République démocratique du Congo de trois licences d’exploitations forestières délivrées illégalement en 2015 mais a exhorté les autorités congolaises à prendre des mesures complémentaires pour punir les coupables.

Greenpeace Afrique « salue l’annulation formelle » de ces trois contrats accordés en violation d’un moratoire sur l’attribution de nouvelles concessions d’exploitation forestière industrielle datant de 2002, écrit l’ONG dans un communiqué.

Cette étape « était une priorité mais il faut aller plus loin, étant donnée l’implication d’officiels au plus haut niveau dans la dissimulation de ces violations du moratoire », ajoute le texte.

« Pour rétablir sa crédibilité le gouvernement aurait dû envoyer un signal clair qu’il ne tolérerait pas que les auteurs de ces actes criminels restent impunis et qu’il renforcerait son contrôle sur le moratoire », écrit l’ONG.

Greenpeace regrette que les autorités n’aient pas institué une commission d’enquête indépendante, dont les résultats auraient permis de « prendre les sanctions appropriées » contre les responsables de « ces actes criminels ».

Dans un rapport publié en juillet, l’organisation écologiste avait accusé l’ex-ministre de l’Environnement congolais Bienvenu Liyota Ndjoli d’avoir attribué mi-août 2015, trois concessions forestières à deux sociétés chinoises.

Greenpeace avait également reproché à l’actuel ministre de l’Environnement congolais, Robert Bopolo, d’avoir « signé des ordres de mission dans les concessions illégalement attribuées ».

Après ces révélations, M. Bopolo avait annoncé à l’AFP qu’il allait annuler ces permis. Greenpeace note que c’est chose faite depuis la parution d’un arrêté ministériel au Journal officiel en septembre.

En mars, M. Bopolo avait déclaré que les autorités congolaises envisageaient de mettre fin à ce moratoire décidé sur la fin de la deuxième guerre du Congo (1998-2003).

Il avait avancé qu’il en allait de l’intérêt financier de la RDC, qui fait face à l’effondrement de ses recettes provenant de l’exportation des minerais.

La RDC abrite plus de 60% des forêts denses du Bassin du Congo, deuxième massif forestier tropical de la planète après l’Amazonie, avec une biodiversité très riche.

Le pays possède ainsi la deuxième forêt tropicale primaire de la planète, avec 86 millions d’hectares dont près de 60 potentiellement exploitables.

Plusieurs ONG de défense de l’environnement s’inquiètent de l’accélération du rythme de la déforestation en RDC depuis quelques années, due essentiellement aux coupes artisanales (exploitation illégale de charbon de bois, agriculture sur brûlis).

Catégories: Afrique

Burkina: cinq tués lors de l’attaque à la frontière malienne mercredi (nouveau bilan)

Maliactu - jeu, 13/10/2016 - 18:38
L’attaque mercredi dans le nord du Burkina à Intangom, poste frontalier situé à cinq kilomètres du Mali et également proche de la frontière avec le Niger, a finalement fait 5 morts, 3 millitaires et deux civils alors qu’un militaire est porté disparu, selon un nouveau bilan de l’armée jeudi.

La veille l’armée avait donné un bilan de trois militaires et deux assaillants tués.

Les deux civils, le deuxième conseiller municipal d’Intagom et son fils, sont des « victimes collatérales » de l’attaque, a indiqué une source militaire à l’AFP jeudi, précisant qu’un soldat était « porté disparu ».

Selon le communiqué de mercredi, tôt mercredi matin, « des individus non identifiés ont attaqué le poste avancé de Intangom à cinq kilomètres de la frontière malienne et à une vingtaine de kilomètres de Tin-Akoff (frontière du Niger) ».

« On pense que ce sont des éléments jihadistes. Le renfort est parti appuyé par un hélicoptère. Nous espérons les localiser », avait déclaré mercredi à l’AFP un haut responsable de l’armée burkinabè sans autre précision.

« Les assaillants sont arrivés vers 04h00 du matin » et étaient armés de « kalachnikovs », a indiqué à l’AFP un haut responsable administratif joint au téléphone à Gorom-Gorom, chef lieu de la province de l’Oudalan dont dépend Intangom.

« Ils ont récupéré un véhicule pick-up armé et d’autres armes qu’ils ont abandonnés dans la brousse du côté du Mali où ils sont repartis », a ajouté ce responsable.

Le détachement de l’armée burkinabè occupait depuis peu un poste de police qui avait été l’objet d’une attaque le 1er juin, au cours de laquelle trois policiers avaient été tués.

C’est la première fois que des militaires burkinabè sont tués sur leur sol par des présumés jihadistes. Des douaniers et des policiers ont déjà été tués dans des attaques similaires.

L’armée burkinabè dispose depuis 2012 d’un bataillon anti-terroriste au nord, déployé le long de la frontière avec le Mali.

Le nord du Burkina Faso, frontalier du Niger et du Mali, est l’objet d’attaques fréquentes.

Selon un décompte de l’AFP, c’est la huitième attaque perpétrée dans la seule province de l’Oudalan depuis 2015, faisant d’elle la province la plus exposée, mais aucun auteur n’a jusqu’ici été appréhendé.

Début septembre, deux personnes dont un douanier ont été « abattues » dans l’attaque du poste de douane de Markoye, située à 45 km à l’est de Gorom-Gorom.

Longtemps préservé, le Burkina Faso, pays sahélien pauvre d’Afrique, est entré depuis 2015 dans un cycle d’enlèvements et d’attaques terroristes surtout dans sa région septentrionale.

Début avril 2015, un agent de sécurité roumain d’une mine de manganèse avait été kidnappé à Tambao, et en janvier 2016, un couple de médecins australiens – dont l’épouse a depuis été libérée – avait été enlevé à Djibo.

Le 15 janvier 2016, un commando de trois assaillants a tué 30 personnes et fait 71 blessés dans le centre de Ouagadougou.

Catégories: Afrique

Fifa: enquête préliminaire sur la célébration d’Aurier

Maliactu - jeu, 13/10/2016 - 18:11

Une « enquête préliminaire » de la Fifa a été lancée sur le geste mimant un égorgement effectué par le défenseur du PSG Serge Aurier lors du match Côte d’Ivoire-Mali (3-1) samedi en qualifications au Mondial-2018, a-t-on appris jeudi après de l’instance mondiale du football.

« Une enquête préliminaire est actuellement en cours », a simplement indiqué la Fifa à l’AFP.

Autour de la demi-heure de jeu samedi soir à Bouaké, l’arrière droit a centré et provoqué un but contre son camp d’un Malien, donnant l’avantage aux Ivoiriens (2-1 à ce moment là). Il l’a alors célébré en se frappant la poitrine du bras droit puis en mimant un égorgement, en direction des tribunes.

Le geste du joueur parisien avait agité les réseaux sociaux, suscitant sarcasmes ou messages de défiance à l’égard des médias.

Aurier (23 ans) a plusieurs fois défrayé la chronique ces derniers mois. Fin septembre, il a été condamné à deux mois de prison ferme après une altercation avec des policiers à Paris. En février, il avait insulté et moqué son entraîneur du PSG d’alors, Laurent Blanc, et certains de ses coéquipiers, sur l’application Periscope.

Lors de ce même match de samedi dernier, Aurier avait aussi eu un geste secourable: il avait évité à un joueur d’avaler sa langue après un choc dans un duel, comme l’avait raconté le sélectionneur du Mali, Alain Giresse, mercredi sur RMC.

« Aurier a eu un réflexe énorme. Je lui en ai parlé après et je l’ai même remercié d’avoir eu ce sang-froid », a ajouté l’ex-membre du carré magique des Bleus des années 1980.

Catégories: Afrique

Les enjeux de la formation supérieure en Afrique de l’Ouest

LeMonde / Afrique - jeu, 13/10/2016 - 18:10
Le Monde Afrique organise deux journées de débats les 27 et 28 octobre au théâtre national de Dakar
Catégories: Afrique

Fifa: enquête préliminaire sur la célébration d’Aurier

Maliactu - jeu, 13/10/2016 - 17:59

Une « enquête préliminaire » de la Fifa a été lancée sur le geste mimant un égorgement effectué par le défenseur du PSG Serge Aurier lors du match Côte d’Ivoire-Mali (3-1) samedi en qualifications au Mondial-2018, a-t-on appris jeudi après de l’instance mondiale du football.

« Une enquête préliminaire est actuellement en cours », a simplement indiqué la Fifa à l’AFP.

Autour de la demi-heure de jeu samedi soir à Bouaké, l’arrière droit a centré et provoqué un but contre son camp d’un Malien, donnant l’avantage aux Ivoiriens (2-1 à ce moment là). Il l’a alors célébré en se frappant la poitrine du bras droit puis en mimant un égorgement, en direction des tribunes.

Le geste du joueur parisien avait agité les réseaux sociaux, suscitant sarcasmes ou messages de défiance à l’égard des médias.

Aurier (23 ans) a plusieurs fois défrayé la chronique ces derniers mois. Fin septembre, il a été condamné à deux mois de prison ferme après une altercation avec des policiers à Paris. En février, il avait insulté et moqué son entraîneur du PSG d’alors, Laurent Blanc, et certains de ses coéquipiers, sur l’application Periscope.

Lors de ce même match de samedi dernier, Aurier avait aussi eu un geste secourable: il avait évité à un joueur d’avaler sa langue après un choc dans un duel, comme l’avait raconté le sélectionneur du Mali, Alain Giresse, mercredi sur RMC.

« Aurier a eu un réflexe énorme. Je lui en ai parlé après et je l’ai même remercié d’avoir eu ce sang-froid », a ajouté l’ex-membre du carré magique des Bleus des années 1980.

Catégories: Afrique

Fifa: enquête préliminaire sur la célébration d’Aurier

Maliactu - jeu, 13/10/2016 - 17:58

Une « enquête préliminaire » de la Fifa a été lancée sur le geste mimant un égorgement effectué par le défenseur du PSG Serge Aurier lors du match Côte d’Ivoire-Mali (3-1) samedi en qualifications au Mondial-2018, a-t-on appris jeudi après de l’instance mondiale du football.

« Une enquête préliminaire est actuellement en cours », a simplement indiqué la Fifa à l’AFP.

Autour de la demi-heure de jeu samedi soir à Bouaké, l’arrière droit a centré et provoqué un but contre son camp d’un Malien, donnant l’avantage aux Ivoiriens (2-1 à ce moment là). Il l’a alors célébré en se frappant la poitrine du bras droit puis en mimant un égorgement, en direction des tribunes.

Le geste du joueur parisien avait agité les réseaux sociaux, suscitant sarcasmes ou messages de défiance à l’égard des médias.

Aurier (23 ans) a plusieurs fois défrayé la chronique ces derniers mois. Fin septembre, il a été condamné à deux mois de prison ferme après une altercation avec des policiers à Paris. En février, il avait insulté et moqué son entraîneur du PSG d’alors, Laurent Blanc, et certains de ses coéquipiers, sur l’application Periscope.

Lors de ce même match de samedi dernier, Aurier avait aussi eu un geste secourable: il avait évité à un joueur d’avaler sa langue après un choc dans un duel, comme l’avait raconté le sélectionneur du Mali, Alain Giresse, mercredi sur RMC.

« Aurier a eu un réflexe énorme. Je lui en ai parlé après et je l’ai même remercié d’avoir eu ce sang-froid », a ajouté l’ex-membre du carré magique des Bleus des années 1980.

Catégories: Afrique

La libération de 21 lycéennes de Chibok en annonce t-elle d'autres?

Slateafrique - jeu, 13/10/2016 - 17:47

Pendant plus de deux ans, le Nigeria n'a eu aucune nouvelle des 219 lycéennes – 276 avaient été initialement kidnappées mais 57 avaient réussi à fuir dans les heures suivantes – enlevées dans leur lycée à Chibok par Boko Haram dans la nuit du 14 au 15 avril 2014. Puis, le 17 mai 2016, une des jeunes filles était retrouvée vivante dans la forêt de Sambisa, fief du groupe terroriste. 

read more

Catégories: Afrique

La Russie prête à fournir des armes au Mali et à assurer la formation des militaires maliens (communiqué malien)

Maliactu - jeu, 13/10/2016 - 17:35
La Russie est prête à fournir des armes au Mali pour lutter contre le terrorisme et à assurer la formation des militaires maliens, annonce un communiqué du ministère malien des Affaires étrangères.

L’annonce a été faite par M. Mikhaïl Bogdanov, vice-ministre des Affaires étrangères et représentant spécial du président russe Vladimir Poutine pour le Moyen-Orient et l’Afrique, en visite au Mali depuis mercredi.

A la tête d’une forte délégation, M. Bogdanov a renouvelé le même engagement au président Ibrahim Boubacar Kéita qui l’a reçu en audience mercredi.

Au cours d’une séance de travail, précise le communiqué, les parties malienne et russe ont affiché leur volonté de renforcer la coopération bilatérale, en intégrant d’autres domaines comme le développement du partenariat entre opérateurs économiques, notamment la création de sociétés privées mixtes dans les secteurs des équipements, du transport aérien, des mines, de l’énergie renouvelable.

Profitant de l’occasion, M. Mikhaïl Bogdanov Il n’a pas manqué également de réaffirmer « l’attachement de la Russie à l’unité et à l’intégrité territoriale du Mali ».

« La Russie est disposée à aider le Mali à lutter contre le terrorisme et à assurer son développement économique… Nous suivons de très près tous les événements qui se passent au Mali et autour du Mali. En tant que membre du Conseil de sécurité de l’ONU, la Russie pense que les problèmes africains doivent être résolus par les Africains », a-t-il indiqué.

Sur le plan militaire, M. Bogdanov a déclaré que depuis de nombreuses années son pays participe à la formation des militaires maliens et que sa visite au Mali va contribuer à « la redynamisation de cette formation de militaires maliens ».

Quant au ministre malien des Affaires étrangères, M. Abdoulaye Diop, il a déclaré que « la Russie reste un partenaire stratégique pour le Mali pour la défense de sa souveraineté. Le Mali est fier de ses nombreux cadres formés en Russieé, a ajouté M. Diop tout en sollicitant l’accompagnement de la Russie pour la stabilisation de son pays.

« Il y a eu des avancées, mais il y a aussi des difficultés… Pour relever les défis, le Mali a besoin du partenariat avec la Russie… », a conclu le chef de la diplomatie malienne.

Le Mali et la Russie ont fêté, l’année dernière, les 55 ans de leur coopération. F

Source: Agence de presse Xinhua
Catégories: Afrique

Centrafrique: au moins 30 morts dans les violences de mercredi

Maliactu - jeu, 13/10/2016 - 17:32

Les violences de mercredi en Centrafrique ont fait 30 morts et 57 blessés, a annoncé jeudi la Mission des Nations unies pour la Centrafrique (Minusca) qui révèle que ses Casques bleus ont tué douze assaillants.

« La Minusca déplore que cette violence ait provoqué la mort de 30 personnes, à ce jour, et 57 blessés, dont la majorité reçoit des soins appropriés dans ses structures médicales », selon un communiqué publié au lendemain des affrontements à Kaga-Bandoro (centre).

Les violences ont commencé après la mort d’un milicien ex-séléka qui tentait avec trois autres de voler le groupe électrogène d’une radio locale.

« Il s’en est suivi une réaction disproportionnée d’éléments ex-seleka. Ces derniers s’en sont pris aux populations civiles, y compris les déplacés internes retranchés à l’évêché. Les violences ont également visé les autorités préfectorales, et donné lieu à des pillages contre des ONG et des agents des Nations unies », accuse la Minusca, qui est forte d’environ 12.000 hommes.

« Les Casques bleus ont immédiatement réagi pour repousser les assaillants, entrainant la mort de douze d’entre eux », ajoute la Minusca.

Les responsables humanitaires et la ministre des Affaires sociales, Virginie Baïkoua, ont condamné à l’unisson dans des communiqués « les attaques contre les déplacés et les actes de représailles envers les populations civiles ».

« A Kaga-Bandoro seul, la réduction de l’espace humanitaire a privé au moins 200 000 personnes d’assistance. Dans la région, l’insécurité alimentaire affecte 120.000 personnes et 73.206 personnes sont toujours déplacées », s’alarme dans un communiqué le bureau des Nations unies pour la coordination des Affaires humanitaires.

La Centrafrique peine à se relever du chaos de la guerre civile provoquée en 2013 par le renversement de l’ex-président François Bozizé par des rebelles séléka (« coalition » en sango) majoritairement musulmans, entraînant une contre-offensive des milices antibalaka majoritairement chrétiennes.

Catégories: Afrique

Afrique du Sud: Zuma veut interdire la sortie d’un rapport sur la corruption

Maliactu - jeu, 13/10/2016 - 17:28

Le président sud-africain Jacob Zuma a saisi jeudi la justice pour empêcher en urgence la publication d’un rapport potentiellement explosif sur ses pratiques à la tête de l’Etat, de plus en plus controversées y compris dans son propre camp.

Très attendu, ce document doit résumer l’enquête menée par la médiatrice de la République, Thuli Madonsela, sur la famille Gupta, une puissante fratrie d’hommes d’affaires d’origine indienne soupçonnée d’influencer les décisions du chef de l’Etat.

Il devait être publié vendredi, au dernier jour du mandat de sept ans de Mme Madonsela, dont la détermination à lutter contre la corruption au sommet de l’Etat en a fait la bête noire de M. Zuma.

Le porte-parole de la présidence, Bongani Ngqulunga, a indiqué à l’AFP qu’un recours avait été déposé devant la justice pour en interdire la publication.

Selon le porte-parole de la médiatrice, cette requête devrait être examiné mardi par un tribunal. « Nous n’avons pas décidé de la façon de la traiter », a affirmé Oupa Segwale à l’AFP, entretenant le doute sur la publication ou pas du rapport vendredi.

Les allégations sur le rôle des Gupta empoisonnent le chef de l’Etat depuis des mois.

La sulfureuse famille, dont l’empire s’étend du secteur minier aux médias en passant par l’immobilier et l’ingénierie, est accusée d’avoir imposé au président la nomination de ministres ou de dirigeants d’entreprises publiques.

M. Zuma a reconnu être proche d’eux, mais a assuré avoir été le seul à décider de l’attribution des portefeuilles ministériels.

Sa décision de tout faire pour retarder la publication de l’enquête de la médiatrice traduit son inquiétude, ont relevé les analystes.

« On peut penser que le président Zuma a conclu que ce rapport ne lui serait pas très favorable et qu’il contiendrait des éléments explosifs (…) contre lui. Il veut gagner du temps », estime Richard Calland, professeur à l’université du Cap (sud).

« Cela suggère qu’il doit être au courant de la présence de preuves accablantes contre lui », a insisté auprès de l’AFP Ralph Mathegka, analyste indépendant. « Il veut essayer d’enterrer le rapport avant même qu’il voit le jour ».

Cette semaine, la famille Gupta et le président ont été interrogés par Mme Madonsela.

– Embûches –

« Tout rapport publié ne peut être de bonne foi et n’est qu’une tentative de publicité pour l’opinion de Mme Madonsela », a fait savoir la famille dans un communiqué.

De son côté, le président, qui avait refusé d’évoquer le fond de l’affaire lors de son interrogatoire, par la médiatrice la semaine dernière, a demandé à être confronté aux autres témoins de l’affaire avant de lui répondre.

Le chef de l’Etat garde un cuisant souvenir de ses rapports.

En 2014, elle l’avait accusé d’avoir « indûment bénéficié » de l’argent public pour financer des travaux de rénovation de sa résidence privée, dont le total s’élevait à 216 millions de rands (environ 20 millions d’euros de l’époque).

Après une longue bataille juridique, le chef de l’Etat a fini par rembourser en septembre 7,8 millions de rands (480.000 euros).

Sept ans après son arrivée au pouvoir, Jacob Zuma traverse une passe difficile, marquée par plusieurs scandales de corruption qui suscitent des critiques au sein même de son Congrès national africain (ANC), au pouvoir depuis la fin de l’apartheid en 1994.

Ses fidèles partisans s’y opposent ouvertement à une aile « réformiste », incarnée par le ministre des Finances Pravin Gordhan.

Ce dernier, nommé en décembre 2015, a fait de la bonne gestion de l’argent du contribuable et particulièrement des entreprises publiques une de ses priorités.

Hasard du calendrier ou conséquence de ces tensions, M. Gordhan a été convoqué par la justice le 2 novembre pour des accusations de fraude, que le ministre a qualifié de « harcèlement » politique.

Les tensions autour du rapport de Thuli Madonsela interviennent alors qu’elle doit être remplacée à son poste ce samedi par Busisiwe Mkhwebane, une avocate en poste au ministère de la sécurité de l’Etat.

Elle a laissé entendre que la corruption à la tête de l’Etat ne serait pas sa priorité, suscitant l’inquiétude de l’opposition.

Le deuxième et ultime mandat de Jacob Zuma expire en 2019.

Catégories: Afrique

Mali : Un militaire tué et trois autres blessés dans une attaque à Goma-Coura

Maliactu - jeu, 13/10/2016 - 17:27

[Brève] – Les forces armées du Mali ont été les cibles d’une attaque à l’engin explosif dans la matinée du jeudi, 13 octobre, à Goma-Coura, une localité située à environ 75 km de Niono, dans la région de Ségou. Un véhicule de l’armée a explosé en roulant sur une mine placée sur son passage. Selon un bilan provisoire communiqué par l’armée, l’attaque a fait un mort et blessé trois militaires.

La rédaction / © maliactu.net

Catégories: Afrique

Centrafrique: au moins 30 morts dans les violences de mercredi

Maliactu - jeu, 13/10/2016 - 17:24

Les violences de mercredi en Centrafrique ont fait 30 morts et 57 blessés, a annoncé jeudi la Mission des Nations unies pour la Centrafrique (Minusca).

« La Minusca déplore que cette violence ait provoqué la mort de 30 personnes, à ce jour, et 57 blessés, dont la majorité reçoit des soins appropriés dans ses structures médicales », selon un communiqué publié au lendemain des affrontements à Kaga-Bandoro (centre).

Catégories: Afrique

Mali: les députés du SADI d'Oumar Mariko quittent la majorité présidentielle

RFI /Afrique - jeu, 13/10/2016 - 17:03
Nouveau coup dur pour la majorité présidentielle au Mali. Le SADI d'Oumar Mariko qui apportait jusqu'à présent son soutien, à l'Assemblée nationale, au RPM - le parti majoritaire - depuis l'élection à la tête de l'Etat, d'Ibrahim Boubacar Keita, claque la porte et crée, avec d'autres députés un nouveau bloc d'opposition.
Catégories: Afrique

Nigeria: les grandes dates depuis l'enlèvement des lycéennes de Chibok

Slateafrique - jeu, 13/10/2016 - 17:01

Principaux développements dep

read more

Catégories: Afrique

Afrique du Sud: Zuma veut interdire la sortie d'un rapport sur la corruption

Slateafrique - jeu, 13/10/2016 - 17:01

Le président sud-africain Jacob Zuma a déposé un recours en justice pour empêcher la sortie d'un rapport d'enquête de la médiatrice de la République sur l'influence présumée de familles d'affaires sur le chef de l'Etat, a annoncé jeudi à l'AFP son porte-parole.

read more

Catégories: Afrique

Pages