Les services de sécurité de la wilaya de Aïn-Témouchent ont organisé, hier, au niveau de l’unité principale, des journées portes ouvertes en vue d’informer le citoyen et le rapprocher un peu plus du corps de la police, et ce, à l’occasion de la journée arabe de la police.
la cellule de communication a concocté un riche programme pour marquer l’évènement en commençant par une exposition de photos et des statistiques afin de faire connaître les différents services de ce corps. La soirée a été consacrée à honorer certains agents du même corps. Dans le même registre, et dans un bilan dressé par la police, la brigade de recherche et d’investigation a traité 46 affaires depuis le début de l’année en cours comprenant, entre autres, le trafic de voitures, la commercialisation des stupéfiants et trouble à l’ordre public, 79 personnes sont impliquées dans ces affaires ; 28 d’entre elles ont bénéficié de la liberté provisoire, 8 ont fait l’objet d’une citation directe et 3 du contrôle judiciaire alors que deux personnes sont en fuite. ces affaires concernent un trafic international de voitures, vente et commercialisation de boissons alcoolisées sans autorisation par les services concernés. Dans un bilan des services de la lutte contre la drogue, il ressort que les éléments de la lutte contre les stupéfiants ont saisi une quantité de 52 quintaux et 88 grammes de kif traité et 1 334 comprimés psychotropes dans lesquels sont impliqués 193 individus18 ; d’entre eux sont en fuite alors que 93 autres ont fait l’objet de détention provisoire. Concernant la brigade de l’urbanisme et la protection de l’environnement, 49 affaires ont été traitées dont la plus importante concerne la gêne de circulation et étalement de la marchandise sur la voie publique.
Près de deux quintaux de kif traité ont été saisis dimanche par des Gardes-frontières à Tlemcen, indique lundi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des Gardes-frontières ont saisi à Tlemcen/2ème RM, le 18 décembre 2016, une quantité de kif traité s’élevant à 195 kilogrammes, tandis que des éléments de la Gendarmerie nationale ont intercepté, à El Oued/4ème RM, un contrebandier à bord d’un camion chargé de 52 quintaux de tabac », précise la même source.
A In Guezzam/6ème RM, un détachement combiné de l’Armée nationale populaire (ANP) et des éléments des Douanes ont arrêté sept (07) immigrants clandestins et saisi dix 10 tracteurs et 355,3 tonnes de denrées alimentaires », ajoute le communiqué du MDN.
La facture d’importation de lait a reculé à 798,6 millions de dollars (usd) sur les dix premiers mois de 2016, contre 1,07 milliard usd à la même période de 2015, soit une baisse de 25,45%, a appris l’APS auprès des Douanes.
De janvier à octobre, les quantités importées de ce produit (lait en poudre, crèmes de lait et matières grasses laitières utilisées comme intrants) ont également reculé pour s’établir à 324.206 tonnes contre 364.531 tonnes, soit une réduction de près de 11,06% entre les deux périodes de comparaison, indique le Centre national de l’informatique et des statistiques des douanes (CNIS).
Cette réduction de la facture d’importation s’explique non seulement par le recul des quantités importées mais aussi par la chute des prix à l’importation par l’Algérie de cette denrée alimentaire.
Durant les huit premiers mois 2016, le prix moyen à l’importation par l’Algérie des poudres de lait s’est établi 2.302 usd/t contre 2.921 usd/t sur la même période de 2015, en baisse de plus de 21%.
Même tendance baissière pour les matières grasses de lait dont le prix moyen à l’importation s’est réduit à 3.786 usd/t contre 4.011 usd/t (-5,6%).
En 2015, la facture d’importation du lait en poudre, crèmes de lait et matières grasses laitières, avait déjà reculé à 1,04 milliard de dollars (372.252 tonnes) contre 1,91 milliard usd en 2014 (395.898 tonnes).
Afin de réduire les importations de ce produit subventionné et de promouvoir la filière lait, des mesures avaient été décidées par le gouvernement en faveur des éleveurs et des opérateurs de ce secteur en augmentant la subvention du lait cru et en encourageant l’investissement, avec l’objectif de baisser les importations de la poudre de lait de 50% à l’horizon 2019.
Le gouvernement a ainsi décidé que le prix de référence du litre de lait cru de vache soit fixé à 50 DA (contre 46 DA auparavant), se répartissant entre 36 DA le prix de cession du lait cru aux laiteries et 14 DA de subvention de l’Etat, contre, respectivement, 34 DA et 12 DA auparavant.
En réponse à la préoccupation des éleveurs relative à l’accès à l’aliment de bétail et à la régulation du marché de ce produit, il a été décidé d’approvisionner directement les éleveurs en matière de son (résidu de mouture de blé).
D’autres mesures de facilitation à moyen terme ont été prises par le gouvernement afin d’asseoir une stratégie de relance de la filière lait.
Il s’agit notamment de l’accès des professionnels de la filière lait au foncier agricole pour leur permettre d’investir en amont de cette filière et concourir au développement des grandes cultures (céréales et fourrages).
Les pouvoirs publics ambitionnent, dans ce cadre, de promouvoir la création de fermes modernes intégrées pour l’élevage bovin laitier et la production de céréales et de fourrages dans le cadre de contrats-programmes.
Il s’agit aussi d’encourager l’utilisation du crédit de campagne « R’fig » pour investir dans la production des fourrages, tandis que les coopératives des éleveurs seront incitées à recourir à l’exploitation des périmètres irrigués, notamment dans les Hauts-Plateaux et le Sud.
Des centaines de véhicules étaient bloqués ce lundi soir sur la RN5, entre Boudouaou et Corso, dans la wilaya de Boumerdès, à cause de pluie torrentielles et d’inondations, a-t-on constaté.
La circulation est quasiment à l’arrêt depuis 18h30, les troupes de la protection civile ont été mobilisées pour porter secours aux automobilistes bloqués.
Le ministère de la Défense nationale (MDN) a annoncé la neutralisation de 350 terroristes en 2016 : 125 abattus et 225 arrêtés.
Dans son numéro de décembre 2016, la revue El-Djeich a indiqué que « L’ANP poursuit sa mission en toute détermination et rigueur, en réalisant durant cette année des résultats sur le terrain, couronnés par l’élimination d’un nombre conséquent de terroristes et de criminels ainsi que la récupération d’importantes quantités d’armes de guerre, de munitions et différents autres effets ».
La revue n’a pas manqué de rappeler « les opérations de sécurisation des frontières et de lutte contre la contrebande».D’après la même source, pas moins de 2.615 contrebandiers, 6.103 immigrants clandestins et 414 narcotrafiquants ont été arrêtés au cours de l’année 2016.
En outre, 1.8 million de litres de carburants et 2.556 kg de produits chimiques pour fabrication d’explosifs ont été saisis.
S’agissant des moyens roulants, 447 véhicules tout-terrain, 258 camions, 340 véhicules et 112 motos ont été interceptés durant la même année.
Les forces antiterroristes ont réussi également à saisir d’importantes quantités de munitions, entre autres dix-sept (17) roquettes 57 mm hélicoptère, dix (10) ceintures explosives, (1244) chargeurs de munitions, (735) kilogrammes de substances explosives, (653 kg) de dynamite.
L’attentat qui a mis fin au jour de l’ambassadeur russe en Turquie est survenu au moment ou les relations turco-russes se réchauffent depuis plusieurs mois, après une grave crise diplomatique née de la destruction en novembre 2015 par l’aviation turque d’un avion militaire russe au –dessus de la frontière syro-turque.
russe,Recep Tayyip Erdogan et Vladimir Poutine ont affirmé conjointement que les relations diplomatiques entre les deux pays ne seront pas ébranlées par l’assassinat de l’ambassadeur russe. Ils se sont prononcés d’une seule voix. Après l’assassinat de l’ambassadeur de Russie en Turquie, lundi 19 décembre, les présidents Recep Tayyip Erdogan et Vladimir Poutine, dans des déclarations séparées, ont tous deux qualifié l’acte de « provocation » visant à torpiller la normalisation entre les deux pays, entamée en août après une grave crise diplomatique. «Le crime qui a été commis est sans aucun doute une provocation destinée à perturber la normalisation des relations russo-turques et le processus de paix en Syrie auquel contribuent activement la Russie, la Turquie et l’Iran », a déclaré Vladimir Poutine à la télévision russe. « Il peut y avoir seulement une réponse à cela : intensifier la lutte contre le terrorisme et les bandits le sentiront passer », a-t-il ajouté. «Nous savons qu’il s’agit d’une provocation visant à (…) nuire au processus de normalisation des relations entre la Turquie et la Russie », a affirmé de son côté Recep Tayyip Erdogan lors d’une allocution télévisée, assurant que celles-ci étaient vitales pour la région.Classé à la 7e place de notre classement des 50 meilleurs joueurs de l’année 2016, le milieu de Leicester a vécu une année qu’il n’oubliera jamais.
La star de Leicester City, Riyad Mahrez, est récompensée de son éblouissante saison en étant le milieu de terrain le mieux classé dans le Goal 50 2016.
L’ancien joueur du Havre a été un élément clé dans l’incroyable succès de Leicester qui a conduit les Foxes au titre de Premier League.
Et nos journalistes estiment qu’il est le meilleur milieu de terrain de l’année 2016 – et le septième meilleur joueur au classement général. Mahrez avait d’ailleurs été élu joueur PFA de l’année en Angleterre.
Derrière Mahrez, on retrouve son ancien coéquipier N’Golo Kante (13e du classement), qui a quitté Leicester pour Chelsea l’été dernier. Le milieu de West Ham United, Dimitri Payet (14e), complète un podium de joueurs qui évoluent tous en Premier League. Le trio est suivi par le joueur le plus cher de l’histoire, Paul Pogba (15e) et Arturo Vidal du Bayern Munich (17e).
Pouvait-il en être autrement ? Comment ce Ballon d’Or 2016 pouvait échapper au maître incontesté de la saison, Cristiano Ronaldo ? Après la Ligue des champions et l’Euro, le Portugais a clos son exceptionnel exercice en remportant la plus prestigieuse des récompenses individuelles.
Le Portugais a signé « la meilleure année de (s)a carrière« , selon ses propres mots confiés sur l’Equipe 21. Seul au-dessus du commun des mortels, dans une galaxie très très lointaine, Ronaldo s’est imposé comme une évidence au fil des compétitions qu’il a marquées de son empreinte pour décrocher son troisième Ballon d’Or en quatre ans.
Ronaldo pèse désormais quatre Ballons d’Or. Il devance les immenses Marco van Basten, Michel Platini et Johan Cruyff (3). Un trio de légendes qui donne toute la mesure de la trace laissée par Ronaldo dans l’histoire du jeu. Désormais, seul Lionel Messi (5) fait mieux que lui.
Mais, cette année, même l’Argentin a dû s’incliner. Messi paie sa sortie de route précoce en Ligue des champions (quart de finale) et sa défaite en finale de la Copa America. Il aura manqué un titre majeur à Antoine Griezmann, meilleur buteur de l’Euro et autre favori à ce Ballon d’Or 2016. Le Français a buté en finale de la C1 et du Championnat d’Europe face au Real et au Portugal… de Ronaldo.
Réussite individuelle et collectiveCette saison, et pour la première fois de sa carrière, CR7 a conjugué son exceptionnelle réussite individuelle avec celles de son club et de sa sélection. Si ses précédents sacres portaient avant tout la marque de ses exploits avec Manchester United et le Real Madrid, celui-ci est particulier puisqu’il couronne sa capacité à entraîner avec lui le collectif.
Notamment celui du Portugal qui a conquis son premier titre majeur en juillet dans le sillage de son capitaine. Ce Ballon d’Or, décerné par un collège de 173 journalistes choisis par France Football, est absolument indiscutable.
Avec 51 buts et 17 passes décisives en 55 matches, ses statistiques restent à des hauteurs prodigieuses. Mais le meilleur buteur de la dernière C1 (16) a surtout fait basculer le destin de ses équipes. Il s’est notamment offert un triplé en quart de finale de la Ligue des champions face à Wolfsburg alors que le Real était tout proche de la sortie.
A l’Euro, c’est encore lui qui a mené le Portugal en finale en ouvrant le score en demie face au Pays de Galles (2-0) au prix d’une détente surhumaine.
S’il fallait encore enfoncer le clou et mettre à distance une concurrence réduite aux places d’honneur, Cristiano Ronaldo a rappelé qu’il était le meilleur cette année en claquant un triplé retentissant fin novembre en championnat face à l’Atlético de Griezmann et clore la parenthèse d’un automne mitigé.
Cette année était définitivement la sienne. De janvier à décembre. Ce 61e Ballon d’Or ne pouvait pas lui échapper.
Selon les services de la protection civile de la wilaya de Tissemsilt, un jeune ouvrier originaire de la localité de Amrouna, âgé de 28 ans, a été enseveli sous les décombres d’un mur.
L’effondrement de ce mur, ajoute la même source, s’est produit, jeudi dans l’après-midi pendant l’exécution des travaux de réaménagement d’une annexe communale au lieu-dit Amrouna, relevant de la commune de Theniet El Had dans la wilaya de Tissemsilt.
La même source a précisé que le malheureux ouvrier procédait normalement à des travaux de maçonnerie quand le mur s’est soudainement effondré causant l’ensevelissement de la victime sous les débris, elle est décédée sur les lieux avant même son transfert à l’hôpital de Theniet El Had.
Une enquête a été ouverte par la Gendarmerie nationale pour élucider les circonstances exactes de ce drame.
Des interrogations ne cessent de se poser parmi la population locale toutes couches confondues sur la présence massive des pétards à travers l’ensemble des wilayas du pays, notamment à chaque célébration de la naissance de notre prophète Mohammed que le Salut de Dieu soit sur lui.
Ces produits pyrotechniques causent des préjudices sur la santé des citoyens notamment celle des enfants par des brûlures simples et de haute gravité menant parfois au handicap sans oublier les dangers et les ennuis des citoyens particulièrement des personnes âgées, celles des personnes atteintes de maladies chroniques, entre-autres les hypertendus, les diabétiques etc.
Malgré les efforts consentis au plan local tendant à mettre un terme à la vente des produits pyrotechniques, il a été constaté ces jours-ci, coïncidant avec la célébration du « Mawlid Ennabaoui », la présence des pétards d’une manière sporadique à travers les différentes villes et villages de la wilaya d’Ain-Témouchent, où il a été procédé à la saisie de grandes quantités de ces produits.
La responsabilité des parents soit grand-père, grand-mère, père, mère, frère, sœur etc. est toujours mise à l’index, car, ce sont eux qui, bien qu’ils connaissent parfaitement les éventualités préjudiciables que causent ces produits pyrotechniques à la santé de leur progéniture, se permettent d’en acheter avec des prix exorbitants en plein public pour soit disant fêter le ‘’Mawlid Ennabaoui’’.
Ce, bien que ce procédé soit loin de cette fête religieuse et est très distant des conseils de notre prophète messager du Dieu Mohamed (QSSSL) venu pour semer la paix, la justice, l’entraide, en épargnant tout acte ou action provoquant toute nuisance morale, physique, matérielle, financière aux musulmans et à toute l’humanité sans aucune distinction.
L’opinion publique locale responsabilise clairement la personne ou l’autorité en question qui délivre l’importation de ces produits pyrotechniques dangereux et mortels, sans épargner nullement celle des importateurs.
Selon des informations recueillies, la facture de ces produits pyrotechniques coûte à l’Etat Algérien un montant estimé à 300 millions de dollars au détriment de l’économie nationale et la santé publique avec des répercussions déplorables sur l’environnement.
Les éléments de la brigade de police judiciaire relevant de la première Sûreté urbaine de Sig ont réussi à neutraliser une bande de malfaiteurs composée de trois individus, dont un mineur, âgés entre 17 et 20 ans, impliqués dans l’agression d’un citoyen dans la ville de Sig suivie de dégradation de biens d’autrui, et ce, suite à une plainte déposée par la victime auprès de la brigade de police judiciaire après avoir subi des violences de la part des suspects qui ont en outre procédé à la dégradation des fenêtres de son domicile familial par jet de pierres.
Une enquête a été ouverte dans l’affaire, à travers laquelle les recherches ont été intensifiées aboutissant à l’arrestation des suspects. Une procédure judiciaire a été instruite à leur encontre, en vertu de laquelle ils ont été présentés devant le parquet du tribunal de Sig qui a placé deux d’entre eux en détention alors que le mineur a été placé au niveau de l’établissement de réhabilitation.
Dans le cadre de leurs efforts en matière de lutte contre le commerce illicite de boissons alcoolisées, les éléments de la brigade de police judiciaire relevant de la Sûreté de daïra de Sig sont parvenus à saisir une quantité de 336 unités de boissons alcoolisées destinées à être revendues de façon illicite, et ce après exploitation de renseignements au sujet de l’activité frauduleuse d’un quinquagénaire utilisant son domicile familial comme local pour se livrer à ce trafic.
Le domicile en question a été perquisitionné, ce qui a permis de mettre la main sur 336 unités, transportées au siège de la Sûreté de daïra. Le suspect demeure en état de fuite dans l’attente de son arrestation et sa présentation devant la justice.
Un accident mortel s’est produit à Yennaro, ce dimanche après-midi à 15 heures sur la RN90 reliant la wilaya de Mostaganem à celle de Relizane, quelques minutes avant le passage du cortège de monsieur le wali qui était de retour de la commune de Souaflia où il avait présidé la cérémonie de la fête du mawlid ennabaoui echarif.
Ce drame a eu lieu sur les hauteurs du chemin de Yenarou à quelques 20 kilomètres de Mostaganem centre, quand un véhicule de marque ‘’FAW noire’’, a perdu le contrôle, en percutant un arbre : bilan trois morts et un blessé grave, selon le communiqué de la protection civile, rendu public, hier.
Une enquête a été ouverte par les services compétents pour déterminer les circonstances exactes de cet accident qui aurait été provoqué par l’excès de vitesse et le dépassement dangereux.
Les causes probables de cet échec.
Les causes sont multiples et variées, mais visibles. N’importe quel algérien nous dira les tares du système éducatif algérien : c’est des classes surpeuplées, des moyens didactiques limités, des enseignants sans formation pédagogique adéquate, des grèves á répétition et des moyens financiers largement en deçà des besoins des élèves. L’Algérie manque cruellement de stratégies quant à son investissement humain dans l’éducation. Donc il est nul besoin d’être étonné de ce piètre résultat. Les pays asiatiques ont longtemps compris le placement des priorités, et le centre de la carte du monde ne sera plus l’Europe comme il est le cas actuellement mais bien le continent asiatique. Prenons l’exemple du Vietnam, une ancienne colonie française, qui a eu son indépendance bien après l’Algérie et n’a réalisé sa réunification qu’en 1976 après une guerre terriblement meurtrière contre les américains, son système éducatif est classé 8ieme sur 72 pays, dépassant largement la France et les Etats-Unis classés respectivement 26ieme et 25ieme. Les pays asiatiques ont su prioriser les besoins: l’investissement dans le citoyen est pour eux la priorité des priorités. A l’opposé, l’Algérie a investit ou plutôt gaspillé son argent dans le bêton et construction des édifices administratifs non productifs (wilayas, dairas, mairies, agences routières…etc.). La crise est là, elle est douloureuse. L’incompétence aussi ; elle fait des ravages. Qui prendra la relève pour y remédier. Rien ! La matière grise a été sciemment négligée et nous en payons les conséquences.Y a-t-il des remèdes á notre système malade ?
La métastase a tellement fait des dégâts dans tous les parties du corps de l’éducation, qu’il serait difficile á n’importe quel expert de dresser un protocole thérapeutique efficace. Allons-nous donc croiser les bras et regarder notre génération mourir á petit feu ? Bien sûr que non diront les conscients, les optimistes, les éducateurs crédibles, les parents et les élèves eux-mêmes. D’autres nations, en particulier la Chine, la Corée, le Vietnam, le Cambodge, La Malaisie, qui hier, fermaient la liste se trouvent actuellement leaders en matière d’éducation. Il n y a pas une recette miracle mais cela n’empêche pas de faire des suggestions. Tout d’abord il faut : -que nos experts aillent faire un tour chez ces pays et voir ce qui marche chez eux et ce qui ne marche pas chez nous afin de faire des ajustements nécessaires ; -que le budget de l’éducation soit revu à la hausse en le plaçant à la première priorité des investissements de l’Etat ; crise ou pas, il y a urgence ; – que les curriculums ou les programmes soient revus et adaptés aux exigences scientifiques modernes en introduisant des équipements didactiques adéquats; -que la formation des enseignants en pédagogique soit le top des priorités pour assurer un enseignement de qualité ; -que l’approche pédagogique soit plus axée sur la réflexion, le raisonnement, et la résolution des problèmes que sur l’absorbation des connaissances que les étudiants doivent vomir lors des examens ; -que les classes soient allégées pour réduire le surpeuplement. Le nombre de 25 élèves par classe serait l’idéal pour transmettre le savoir dans des conditions convenables à la fois pour l’élève et pour l’enseignant; -que les salaires des enseignants soient revus à la hausse pour booster la motivation des enseignants et réduire l’absentéisme. Un pays qui paye bien ses enseignants génère une éducation de qualité. Un enseignant á Singapour, en Allemagne, au Canada, en Suisse en Finlande est payé autant qu’un ingénieur en aéronautique même dans les périodes de vaches maigres. En contrepartie, la direction de l’éducation sera plus exigeante en termes de rendement ; -que le système scolaire soit plus équitable. Les élèves en difficultés scolaires (troubles d’apprentissage, troubles de développement, l’hyperactivité, autisme, défiance á l’autorité, troubles de langage…etc) ont besoin d’être pris en charge en développant des programmes spéciaux et individualisés selon le type de difficulté en y associant des psychopédagogues bien formés et des éducateurs de la petite enfance spécialisés; – que le curriculum au niveau secondaire soit organisé suivant le model anglo-saxon ; c’est-à-dire en modules comme á l’université et non en programmes comme le cas actuellement. Ainsi l’étudiant aura le choix des cours selon ses points forts et ses intérêts professionnels dans le cursus postsecondaire. La transition secondaire-université sera plus facile et moins problématique pour l’étudiant de première année universitaire. -que le mode d’examen du baccalauréat soit reformé en le replaçant par des examens finaux dont les résultats seront cumulés avec ceux des examens de contrôle continu. Il est aberrant d’évaluer un élève sur ce qu’il produit en 5 jours en négligeant tout l’effort qui l’aurait produit durant toute l’année. Cela serait plus juste et réduirait en conséquence le niveau de stress, de l’anxiété, et la dépression qui a causé pas mal de suicides après l’annonce des résultats de baccalauréat. Enfin voila quelques suggestions tirées de ma modeste expérience professionnelle dans le domaine car les raisons d’un échec sont nombreuses et les méthodes de redressement aussi. Mais il y a une chose qu’il faut savoir : un peuple sans éducation est un peuple condamné á vivre dans le sous-développement. Le peuple algérien ne mérite pas ça.Huit (08) personnes sont mortes et quatre autres ont été blessées, dans 6 accidents de la route, durant deux jours, à travers le territoire national, selon un bilan de la Protection civile rendu public dimanche.
Le bilan le plus lourd a été enregistré au niveau de la wilaya de Blida, avec 4 personnes décédées et une autre blessée, suite à trois accidents de la circulation, a précisé la même source.
Le premier accident a eu lieu sur la RN n°01, dans la commune de Chiffa (daïra de Mouzaïa), suite à une collision entre un véhicule léger et un camion faisant deux morts et le 2ème accident a lieu sur la RN n°01, dans la commune et daïra de Boufarik, suite à un dérapage d’une motocyclette, percutant une camionnette, qui a causé le décès d’une (01) personne et une autre blessée.
Le 3ème accident a eu lieu sur la RN n°08 au lieudit Tabarent, dans la commune et daïra de Larbaâ, causant la mort d’une personne, heurtée par un véhicule léger.
Le prix des droits de l’Homme de la Commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l’Homme (CNCPPDH) a été décerné cette année au diplomate algérien Lakhdar Brahimi.
Cette distinction intervient dans le cadre de la célébration du 68ème anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’Homme qui coïncide avec l’année africaine des droits de l’Homme qui dure tout au long de l’année 2016.
Sur ce sujet, Lakhdar Brahimi a affirmé que la situation des droits de l’Homme en Algérie était « en amélioration constante », mais « insuffisante », ajoutant qu’aucun pays dans le monde ne peut prétendre la perfection en matière des droits de l’Homme.
« Je ne pense pas qu’il y ait en Algérie quelqu’un pour prétendre que la situation des droits de l’Homme est exemplaire, mais force est de constater qu’elle est en amélioration constante et il faut poursuivre les efforts pour parvenir à cet objectif », a déclaré M. Brahimi en marge de sa distinction par la Commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l’Homme (CNCPPDH) qui lui a remis le Prix des droits de l’Homme dans sa troisième édition.
« Ce qui a été réalisé en Algérie depuis l’indépendance est une fierté pour tous les Algériens, mais l’Etat tout aussi que le citoyen doivent œuvrer à la promotion de ce volet « , a ajouté M. Brahimi. Reprenant une citation du président cubain Raoul Kastro affirmant que la garantie des droits de l’Homme nécessite pas moins de 62 critères, il a indiqué qu' »aucun pays dans le monde ne réunit toutes ces conditions ».
Evoquant l’action de la Cour pénale internationale (CPI), dont il a déploré le rôle réduit, M. Brahimi a réitéré sa foi en la justice internationale et rappelé son enthousiasme lors de la création de cette instance en 1992, ajoutant qu’aujourd’hui, il doute fortement en sa viabilité. Ce constat, il l’explique par le retrait de grands pays comme la Chine, l’Inde, les Etats unis et la Russie.
La Cour d’Alger examinera, le 15 janvier prochain, l’appel relatif à l’affaire du baron de la drogue, dit « Oussama Escobar », poursuivi pour « évasion de la prison d’El Harrach et d’autres affaires liées au trafic de drogue », a-t-on appris dimanche auprès de la Cour d’Alger.
Le tribunal de Première Instance d’El-Harrach avait prononcé en octobre dernier des peines allant de l’acquittement à 5 ans de prison ferme, à l’encontre du baron de la drogue évadé et de 18 autres inculpés dont son avocate. Les accusés sont poursuivis notamment pour les chefs d’inculpation de « constitution d’association de malfaiteurs, complicité et assistance à un détenu dans son évasion et corruption ».
Le principal accusé, H. Oussama, âgé de 27 ans, avait été condamné à 5 ans de prison ferme assortie d’une amende de 100.000 dinars pour association de malfaiteurs et évasion de prison. Le tribunal avait condamné également son avocate » Zahira accusée de complicité d’évasion à 5 ans de prison ferme. Lors de son procès, le baron de la drogue avait donné tous les détails sur l’opération de son évasion, avec la complicité de son ami Ferhat, de son avocate et de gardiens de la prison.
L’Agence de régulation des hydrocarbures (Alnaft) a été chargée par le ministère de l’Energie d’appliquer la décision de réduction de la production pétrolière du pays dans le cadre de la mise en oeuvre de l’accord d’Alger de limitation de la production Opep, apprend-on auprès de ce ministère.
« Par instruction du 11 décembre 2016, le ministre de l’Energie a instruit l’Agence de régulation des hydrocarbures (Alnaft) de faire procéder par les contractants de gisements d’hydrocarbures liquides à une réduction totale de leur production d’hydrocarbures liquides de 50.000 barils par jour à répartir équitablement entre tous les contractants, et ce, à compter du 1er janvier 2017 pour une première période de 6 mois. Cette période pourrait être reconductible », indique lundi le ministère de l’Energie.
Pour rappel, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) avait décidé, le 30 novembre dernier à Vienne, de réduire sa production de pétrole d’environ 1,2 million de barils par jour (mbj) à 32,5 mbj à partir du 1er janvier 2017, en approbation de la proposition algérienne pour mettre en oeuvre l’accord d’Alger.
Samedi dernier à Vienne, onze pays producteurs non-membres de l’Opep se sont également engagés, lors d’une réunion avec les membres de cette organisation, à réduire leur production d’environ 558.000 barils/jour à compter du 1er janvier 2017.
L’Opep et les onze producteurs non membres ont ainsi conclu un accord, le premier du genre depuis une quinzaine d’années, pour agir ensemble en réduisant leur production d’un total avoisinant 1,8 mbj à partir de janvier 2017.
Les onze pays hors-Opep qui se sont engagés à cette décision sont l’Azerbaïdjan, Brunei, Bahreïn, Guinée équatoriale, Kazakhstan, Malaisie, Mexique, Oman, Russie, Soudan et Sud Soudan.
Un Comité ministériel de suivi de l’accord du 30 novembre se dotera bientôt d’un mode de fonctionnement et de mécanismes pour suivre la mise en oeuvre de l’accord.
Composé de représentants de l’Algérie, du Koweït et du Venezuela et de deux représentants de pays non-Opep (Russie et Oman), ce Comité se réunira dans les jours à venir pour finaliser les modalités de son fonctionnement.
Les services de la Protection civile de la wilaya d’Alger ont enregistré dans la nuit de dimanche 18h à lundi 8h, six incendies dans différentes communes d’Alger causés par les produits pyrotechniques utilisés à l’occasion du Mawlid Ennabaoui, a indiqué le chargé d’information auprès de ces services, le lieutenant Khaled Benkhalfallah.
Le lieutenant Khaled Benkhalfallah a précisé à l’APS que « ces incendies causés par les produits pyrotechniques ont éclaté au niveau de certains balcons et cours de maisons dans différentes communes de la capitale (Birtouta, Belfort (El Harrach), Bab El Oued) et dans un hangar de fabrication de poteries aux Eucalyptus », a-t-il indiqué précisant « que ces derniers n’ont fait aucune victime ».
Dans la commune de Staoueli, un enfant de 11 ans blessé par ces produits dangereux a été évacué par les services de la Protection civile à l’hôpital de Beni Messous.
Concernant les accidents de la route, les mêmes services ont enregistré dimanche soir (22h 8mn) un accident de la circulation au niveau de l’autoroute Alger est-Dar El Beida, « qui a coûté la vie à un passant (Bouasla Hocine Benbachir) ».
L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) a rapporté qu’une attaque au gaz avait vraisemblablement eu lieu lundi dans un secteur tenu par les djihadistes de l’Etat islamique près de la ville de Palmyre, sur fond d’intenses bombardements aériens de cette zone qui ont fait au moins 34 morts.
Citant des sources proches du site de l’attaque, dans la province orientale de Hama, au nord-ouest de Palmyre, l’OSDH a parlé de cas de suffocation et de dizaines de blessés lors d’intenses tirs de roquettes visant ce secteur.
Ces sources ont indiqué avoir vu des corps sans blessures apparentes, ajoute l’OSDH.
Cette attaque au gaz, menée par voie aérienne, a eu lieu près de la localité d’Oukaïrabat, qui se trouve sur un grand axe menant vers le sud et la ville de Palmyre, écrit l’Observatoire, sans dire qui a pu lancer l’attaque.
Amaq, l’organe de propagande du groupe Etat islamique, a déclaré dans un communiqué que 20 personnes étaient mortes et que 200 autres avaient été victimes de problèmes respiratoires « du fait d’une attaque aérienne russe au gaz sarin ».
Les combattants de l’EI ont reconquis dimanche Palmyre, connu pour son site antique, malgré les dizaines de raids aériens menés par les Russes pour les repousser. L’EI avait été chassé de la ville en mars dernier.
L’armée syrienne comme l’armée russe démentent utiliser des armes chimiques. Cette année, une enquête menée par les Nations unies a abouti à la conclusion que l’armée syrienne avait utilisé du gaz chloré lors d’attaques contre les insurgés, et que l’EI avait eu lui aussi recours à des armes chimiques au cours de certaines attaques. Damas a rejeté les conclusions de l’enquête.