La France s'apprête à reconnaître officiellement l'État de Palestine lors de la prochaine Assemblée générale des Nations unies, rejoignant ainsi plus d'une centaine de pays. Paris pourrait entraîner dans sa démarche quelques poids lourds diplomatiques du monde occidental. Cette décision symbolique mais lourde de conséquences intervient dans un contexte de guerre ouverte à Gaza et de blocage persistant du processus de paix. Elle pourrait relancer la dynamique en faveur de la solution à deux États, tout en bouleversant les équilibres diplomatiques au Proche-Orient.
Courant juillet, le président français Emmanuel Macron a annoncé, dans un message publié sur X (anciennement Twitter), la décision de reconnaître officiellement l'État de Palestine lors de la prochaine Assemblée générale des Nations unies à New York régulièrement tenue en septembre.
Bien que cette reconnaissance ne soit pas une première sur la scène internationale, elle intervient à un moment crucial de l'histoire du peuple palestinien. Cette annonce, qui ne manquera pas de susciter le mécontentement d'Israël, pourrait constituer un petit tsunami diplomatique, notamment en Europe de l'Ouest et dans le monde occidental, historiquement allié indéfectible d'Israël.
La reconnaissance par la France, puissance influente au sein de l'Union européenne et membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, pourrait entraîner une dynamique similaire chez certains de ses alliés et voisins d'Europe de l'Ouest. Une telle évolution entraînerait des conséquences diplomatiques majeures au Proche-Orient, une région marquée par un conflit long de plusieurs décennies, depuis la proclamation de l'État d'Israël en 1948 et sa reconnaissance par les Nations unies.
Reconnaissance de l'Etat de Palestine, une décision historique ?
Depuis plus de sept décennies, le Proche-Orient oscille entre de brèves accalmies et la résurgence de crises ouvertes entre l'État hébreu et la Palestine. Soixante-dix-sept ans de tensions, où chaque nouvelle flambée de violence, notamment dans la bande de Gaza épicentre de crispations sécuritaires et humanitaires, éloigne un peu plus l'espoir d'une pacification durable.
Depuis l'attaque du Hamas sur le territoire israélien, le 7 octobre, suivie d'une riposte jugée démesurée par une grande partie de la communauté internationale, la perspective d'une résolution pacifique du conflit israélo-palestinien ressemble davantage à un mirage, voire à un vœu pieux. Les tentatives pour faire cesser les offensives israéliennes dans la bande de Gaza sont restées vaines, et l'enclave demeure plongée dans une crise sécuritaire et humanitaire sans précédent.
La solution à deux États, en apparence simple, se révèle dans les faits extrêmement complexe et politiquement sensible. En annonçant sa volonté de reconnaître officiellement l'État de Palestine, la France s'aligne désormais sur la position de plus de 140 pays à travers le monde, dont le Burkina Faso, qui ont déjà franchi ce pas. Toutefois, jusqu'à présent, cette reconnaissance, souvent portée par des acteurs éloignés du cœur du conflit et dont l'influence géopolitique est limitée, n'a pas permis de modifier significativement la réalité sur le terrain.
Partenaire et allié historique de la France, le Royaume-Uni adopte quant à lui une position plus nuancée. Londres exerce une pression croissante sur Israël et affirme que, si certaines conditions ne sont pas remplies, il pourrait à son tour reconnaître l'État de Palestine. Le Premier ministre Keir Starmer a notamment souligné que cette reconnaissance pourrait ne pas se concrétiser si Israël prenait des « mesures substantielles pour mettre fin à la situation épouvantable à Gaza », rapporte Le Courrier International. Il a également insisté sur la nécessité pour Tel-Aviv de renoncer à toute tentative d'annexion de la Cisjordanie. Le Canada, de son côté, a lui aussi exprimé son intention de reconnaître l'État de Palestine en septembre prochain.
La décision française a été chaleureusement saluée par plusieurs pays, notamment l'Arabie saoudite, traditionnellement proche de la cause palestinienne. Riyad a qualifié cette initiative de "décision historique", soulignant qu'elle pourrait représenter un tournant symbolique fort en faveur d'une paix durable.
Lors d'un débat public du Conseil de sécurité des Nations unies consacré au Moyen-Orient, le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a appelé à passer de la parole aux actes en avançant concrètement vers une solution à deux États. Il a réitéré l'urgence de parvenir à une solution définitive pour une paix durable dans la région. « Le monde ne peut pas se permettre de voir la solution à deux États s'évanouir », a-t-il affirmé.
Ce projet de reconnaissance de l'État palestinien par la France et certains de ses alliés d'Europe de l'Ouest n'enchante guère le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou. Cette annonce a été très mal accueillie par l'État d'Israël, qui y voit une provocation directe et un affaiblissement de sa position diplomatique. Tel-Aviv redoute que cette reconnaissance, si elle fait boule de neige, n'encourage une internationalisation du conflit sur le plan politique et diplomatique, avec pour corollaire des pressions croissantes contre Israël.
Donald Trump, quant à lui, juge que cette annonce d'Emmanuel Macron est sans effet. Les États-Unis demeurent un allié fidèle de l'État hébreu, et pour l'ancien président américain, il n'est pas question de se désolidariser de Benjamin Netanyahou. Selon lui, la reconnaissance officielle de l'État palestinien ne changerait rien à la situation actuelle. La Porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt estime qu'une telle décision reviendrait à « récompenser le Hamas, à un moment où le Hamas est le véritable obstacle à un cessez-le-feu et à la libération de tous les otages », rapporte l'Opinion.
Cette position pourrait évoluer, car les relations diplomatiques ne sont jamais figées. Un changement d'attitude reste envisageable si certaines conditions, notamment sécuritaires et politiques, venaient à être réunies.
La portée réelle d'une reconnaissance
La solution à deux États implique, in fine, la reconnaissance pleine et entière de la souveraineté territoriale et politique de la Palestine. Cela signifie que les pays qui reconnaissent l'État palestinien reconnaissent également son droit inaliénable à exister, à s'administrer librement, à gérer ses frontières, et à garantir la sécurité de son territoire et de sa population.
Une telle reconnaissance va donc au-delà du symbole diplomatique : elle suppose un engagement de principe à soutenir l'établissement d'institutions palestiniennes stables, légitimes et fonctionnelles. Elle soulève également la question de la protection de la Palestine contre toute forme d'agression extérieure, notamment dans un contexte où le droit international humanitaire est régulièrement mis à l'épreuve.
Ainsi, reconnaître l'État de Palestine, c'est aussi affirmer que ce dernier a le droit d'être traité comme un acteur à part entière sur la scène internationale, avec tous les attributs que cela implique à savoir la possibilité d'avoir des représentations diplomatiques, le droit à l'autodéfense, le droit de signer des accords bilatéraux ou multilatéraux, et accès aux institutions internationales telles que la Cour pénale internationale ou l'ONU en tant que membre à part entière.
Ainsi donc, les pays en reconnaissant l'État de Palestine affirment la légitimité de ce peuple à vivre libre et en sécurité. Cela peut leur donner une responsabilité morale accrue de soutenir ce peuple qui fait face à des défis humanitaire et sécuritaire croissant ou de violations graves des droits humains.
Certains pays pourraient intensifier leur solidarité diplomatique ce qui pourrait se traduire par des discours de soutien à l'autodétermination, à la paix et à la justice ou prendre des sanctions ou mettre des pressions contre tout acteurs troublant la quiétude du peuple palestinien.
Si Israël rejette catégoriquement cette reconnaissance officielle, plusieurs conséquences concrètes pourraient en découler. L'État hébreu pourrait intensifier sa politique d'annexion, notamment en Cisjordanie, consolidant ainsi son contrôle territorial au mépris du droit international. Cette fuite en avant territoriale viserait à rendre toute perspective d'un État palestinien viable encore plus illusoire.
Par ailleurs, la campagne militaire israélienne dans la bande de Gaza pourrait se poursuivre sans relâche, avec pour objectif affiché la neutralisation totale du Hamas, mais aussi de toute force armée perçue comme une menace à long terme pour la sécurité d'Israël ou comme un obstacle à ses ambitions géostratégiques.
Un rejet ferme de la reconnaissance palestinienne pourrait radicaliser davantage le discours politique en Israël, en renforçant les courants les plus hostiles à toute concession territoriale. Cela risquerait de saper les maigres espoirs de négociation sur la base de la solution à deux États.
Enjeux politiques intérieurs de la Palestine
La Palestine est aujourd'hui considérée, de facto, comme un proto-État avec un gouvernement, un territoire partiel, mais une souveraineté limitée. Elle ne bénéficie pas encore du statut de membre à part entière de l'Organisation des Nations unies, mais elle y siège depuis 2012 en tant que membre observateur, en attendant qu'un vote décisif puisse entériner sa reconnaissance officielle en tant qu'État souverain. Ce vote, ardemment attendu par une partie de la communauté internationale, ne saurait toutefois masquer les divisions internes et les défis politiques majeurs auxquels le peuple palestinien est confronté.
En effet, la fracture entre les deux principales forces palestiniennes, l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) et le Hamas, affaiblit la légitimité de leurs actions et divise la représentation politique du peuple palestinien sur la scène internationale. D'un côté, l'OLP (Fatah et alliés) du légendaire Yasser Arafat, à laquelle a succédé Mahmoud Abbas à la tête de l'Autorité palestinienne, incarne une stratégie diplomatique. De l'autre, le Hamas, considéré comme une organisation terroriste par plusieurs puissances occidentales, dont les États-Unis et l'Union européenne, persiste dans une logique de lutte armée, avec pour objectif déclaré la disparition de l'État d'Israël.
Si les deux formations poursuivent un objectif commun : la reconnaissance et la souveraineté d'un État palestinien indépendant, leurs méthodes divergent profondément. L'OLP, fondée le 28 mai 1964 à Jérusalem, fut à l'origine une organisation politico-militaire, mais a progressivement abandonné la lutte armée au profit d'une stratégie diplomatique, notamment à partir des accords d'Oslo en 1993. Le Hamas, en revanche, n'a jamais renoncé à la voie militaire, et ses actions en particulier ses attaques contre Israël fragilisent la position de la cause palestinienne sur la scène internationale.
Cette divergence stratégique a mené à des affrontements fratricides, notamment après la victoire du Hamas aux élections législatives de 2006 dans la bande de Gaza, une victoire contestée par le Fatah, principal parti membre de l'OLP. Depuis lors, les deux entités se livrent une guerre politique et parfois armée, divisant le territoire palestinien entre la Cisjordanie (sous contrôle de l'Autorité palestinienne) et la bande de Gaza (dirigée par le Hamas).
Pourtant, l'annonce récente de la France de reconnaître officiellement l'État de Palestine, suivie par d'autres pays occidentaux comme le Royaume-Uni, pourrait rebattre les cartes et ouvrir une nouvelle configuration politico-diplomatique. Cette dynamique, si elle se confirme, pourrait encourager un rapprochement entre les deux factions palestiniennes dans l'optique de défendre un objectif commun renforcé par une légitimité internationale croissante.
Toutefois, pour qu'une telle réconciliation soit crédible et durable, l'OLP devra convaincre le Hamas d'abandonner son objectif d'anéantissement de l'État d'Israël, un principe fondamentalement incompatible avec la solution à deux États. Une réorientation stratégique du Hamas vers une logique diplomatique, aussi difficile soit-elle, serait essentielle pour restaurer une unité politique palestinienne capable de négocier d'égal à égal sur la scène internationale.
Reconnaissance symbolique, réalités complexes
Il serait illusoire de croire que la simple reconnaissance de la Palestine par l'ONU suffira à instaurer une paix durable au Proche-Orient. Si cette décision marque un pas symbolique important vers une solution politique, elle demeure insuffisante pour résoudre un conflit aussi ancien et complexe. Une déclaration solennelle et des votes internationaux ne remplaceront jamais des négociations de fond, douloureuses mais nécessaires, entre les deux parties.
Les exigences respectives des protagonistes restent difficiles à concilier. Du côté palestinien, l'une des revendications majeures porte sur l'établissement d'un État dans les frontières de 1967, incluant la Cisjordanie, Jérusalem-Est et Gaza. Une demande qui se heurte à la réalité du terrain : l'État hébreu a poursuivi, année après année, une politique active d'annexion, notamment en Cisjordanie.
En mars 2025, le gouvernement israélien a ainsi annoncé la création d'une vingtaine de nouvelles colonies en Cisjordanie, une mesure qui va à l'encontre des engagements pris dans le cadre des accords d'Oslo. Le journal Les Echos rapporte que cette décision a provoqué une vague d'indignation, y compris au sein de certaines ONG israéliennes. L'organisation « La Paix », très active sur ces questions, a estimé que ces nouvelles colonies vont « remodeler de façon spectaculaire la Cisjordanie et renforcer encore l'occupation ». Le Royaume-Uni avait alors réagi en condamnant cette annonce, qu'il considère comme un « obstacle délibéré » à la création d'un État palestinien.
Pour Nabil Abou Roudeineh, porte-parole du président palestinien Mahmoud Abbas, cette annonce constitue une « escalade dangereuse », comme le souligne le quotidien Les Échos. L'Autorité palestinienne reste donc inflexible sur son exigence d'un retour aux frontières de 1967, un point de crispation central dans les négociations. Mais au vu de l'accélération de la politique de colonisation menée par Tel-Aviv, cet objectif paraît de plus en plus hors de portée. Ce retour aux frontières de 1967 s'appuie sur la Résolution 242 (1967) du Conseil de sécurité qui a formulé les principes d'une paix juste et durable, notamment le retrait d'Israël des territoires occupés lors du conflit, un règlement juste du problème des réfugiés, ainsi que la fin de toutes les revendications ou situations de belligérance.
De son côté, Israël pourrait conditionner toute avancée vers la paix à la libération complète des otages israéliens toujours détenus par le Hamas depuis les attaques du 7 octobre 2023. L'État hébreu pourrait également exiger la démilitarisation totale du mouvement islamiste, ainsi que l'arrêt définitif de ses attaques contre le territoire israélien.
Le retour aux frontières de 1967, cœur du contentieux, demeure donc un nœud gordien dans la résolution de ce conflit. Tant que ce point ne fait pas l'objet d'un consensus ou au moins d'un compromis acceptable pour les deux camps, la perspective d'une paix durable restera une équation à plusieurs inconnues.
Si la reconnaissance de la Palestine par des puissances comme la France, le Canada et potentiellement la Grande Bretagne ne suffira pas, à elle seule, à faire bouger les lignes sur le terrain, elle marque néanmoins un tournant diplomatique important pour le Proche Orient. Reste à savoir si cette dynamique pourra s'accompagner d'un sursaut collectif pour forcer le retour à la table des négociations et non simplement d'une escalade des postures.
Oumar ZOMBRE
Journaliste, écrivain,
consultant en relations internationales et spécialiste en communication
Patrice Tiemtoré dit le « Gaucher magique » est un joueur que l'on ne présente plus dans le milieu de la pétanque. Sociétaire du club Sountong nooma, il est parmi la crème de l'heure dans le milieu des boulistes. Il est champion national 2021, et tout récemment lauréat des awards 2025 du ministère en charge des sports et des loisirs. Pour ses 20 ans de carrière, Tiemtoré s'est mis dans la peau de promoteur en déposant une coupe pour célébrer l'événement. La coupe s'est déroulée le 2 août 2025 au sein de son quartier Gounghin, et a rassemblé 104 équipes de triplettes, soit 312 joueurs. La finale a opposé le club Nebnoma 14 à Espoir pétanque club de Gounghin. Le premier cité l'a remporté par 11 – 4, s'adjugeant du même coup le premier trophée du « Gaucher magique » de la pétanque.
Le quartier Gounghin a connu une ambiance particulière toute la journée du 2 août. Sur les différentes aires de jeu, les amoureux de la pétanque suivaient les éliminatoires. Les 104 équipes de triplettes nourrissaient chacune l'espoir d'être finaliste, voire remporter le trophée. Au fil des jeux, des équipes tombaient, au final c'est les clubs Nebnoma 14 et Espoir pétanque club de Gounghin qui vont se hisser en final. Nebnoma 14 était conduit par l'international Théodore Zangré dit capitaine « Carreaux », Abdoul Aziz Compaoré, Rasmané Nikiéma. La triplette d'Espoir de Gounghin était conduite par le président du club en personne Sylvain Sawadogo, avec ses poulains Bilal Congo et Saidou Nikiéma.
Le club Nebnoma 14 inaugure le socle de la coupe du Gaucher magique de la pétanqueLa finale a été âprement disputée à 11 points sous les yeux du promoteur-joueur Patrice Tiemtoré le Gaucher magique, qui était entouré du patron de la cérémonie, Stéphane Gounabou, du parrain Jérémy Zabsonré, des co-parrains, des invités de marque et un public des grands jours. La cérémonie a été rehaussée par la présence du président de la Fédération burkinabè de pétanque, Isidore Kientéga, venu soutenir le promoteur-joueur. Il a fallu huit mènes pour déterminer le vainqueur. Nebnoma 14 prend deux points d'entrée jeu, mais à la deuxième mène, Espoir réplique avec 3 points. L'on croyait donc que le jeu allait être serré, mais le président Sylvain et ses poulains vont marquer le pas, laissant Nebnoma 14 prendre le large en prenant même 5 points au troisième jeu, aidé par l'expérience de Théodore Zangré dit capitaine « Carreaux », score finale 11-4.
Espoir club n'a pas pu entretenir son succès de la deuxième mèneNebnoma 14 et ses joueurs se congratulent, leurs supporters poussent des cris de joie, ça y est le trophée est à eux. Dans le camp d'Espoir club, on fait grise mine, c'était un jour sans. Le vainqueur s'empare du trophée et 125 000 FCFA, Espoir club se console avec 70 000 FCFA, les clubs Teega Wendé et une autre équipe de Espoir club respectivement 3e et 4e gagnent chacun 30 000 FCFA, les quatre premiers ont reçu des médailles. Les clubs classés 5e à 16e ont également été primés, de même que la gent féminine. C'est une première édition qui s'est déroulée à la satisfaction du promoteur, « A l'occasion de mes vingt ans de carrière, avec des soutiens des officiels, d'amis, j'ai voulu déposer cette coupe, pour inviter les joueurs à se donner à fond dans le jeu, tout s'est bien passé, avec un nombre satisfaisant de104 triplettes, la grande mobilisation, je remercie tous ceux-là qui m'ont soutenu dans l'organisation », se réjouit Patrice Tiemtoré.
Espoir pétanque club de Gounghin finaliste malheureux était conduit par son président Sylvain Sawadogo à l'extrême gaucheIl poursuit en laissant entendre qu'au vu du succès de cette première, et si Dieu lui donne la santé, il y aura une deuxième édition. Le parrain de la coupe, Jérémy Zabsonré, a loué l'initiative de Patrice, la coupe a rassemblé beaucoup de joueurs et du monde, il y a eu de la communion, du brassage, de la cohésion sociale et il le remercie pour le choix de sa modeste personne pour le parrainage.
Barthélemy Kaboré
(Collaborateur)
Le Bitcoin représente bien plus qu'une simple monnaie numérique : il s'agit d'une révolution technologique qui a transformé notre conception de l'argent et des échanges financiers. Retour sur l'histoire fascinante de cette cryptomonnaie qui a ouvert la voie à tout un écosystème numérique.
Les origines mystérieuses (2008-2009)
L'histoire du Bitcoin débute en octobre 2008, en pleine crise financière mondiale, lorsqu'une personne ou un groupe sous le pseudonyme de Satoshi Nakamoto publie un document technique révolutionnaire : le "Bitcoin White Paper", ou “Livre blanc du Bitcoin”. Ce document de neuf pages décrit un système de paiement électronique peer-to-peer, permettant les transactions directes entre parties sans passer par une institution financière.
Le 3 janvier 2009, Satoshi Nakamoto génère le premier bloc de la blockchain Bitcoin, appelé le "bloc Genesis". Cette date marque officiellement la naissance du réseau Bitcoin. Les premières transactions sont effectuées entre Satoshi et d'autres développeurs pionniers, notamment Hal Finney qui reçoit la première transaction Bitcoin de l'histoire le 12 janvier 2009.
Les premières années d'adoption (2010-2012)
L'année 2010 marque un tournant crucial avec la première transaction commerciale utilisant Bitcoin. Le 22 mai 2010, Laszlo Hanyecz achète deux pizzas pour 10 000 bitcoins, établissant ainsi la première valeur économique tangible de la cryptomonnaie. Cette date est désormais célébrée comme le "Bitcoin Pizza Day".
Durant cette période, les premiers échanges Bitcoin voient le jour. Mt. Gox, initialement une plateforme d'échange de cartes de jeu, se reconvertit et devient rapidement la principale place de marché Bitcoin, gérant à son apogée plus de 70% des transactions mondiales.
L'expansion et la reconnaissance (2013-2017)
L'année 2013 constitue une période d'expansion significative pour Bitcoin. La cryptomonnaie attire l'attention des médias grand public et des investisseurs institutionnels. Plusieurs pays commencent à élaborer des réglementations spécifiques, tandis que de nombreuses entreprises intègrent Bitcoin comme moyen de paiement.
Cette période voit également l'émergence d'autres cryptomonnaies, mais Bitcoin conserve sa position dominante. Les plateformes d'échange se multiplient, permettant aux utilisateurs de consulter les prix des cryptos sur Kraken et d'autres places de marché avec plus de facilité et de sécurité.
L'institutionnalisation (2017-présent)
À partir de 2017, Bitcoin entre dans une nouvelle phase de maturité. Les institutions financières traditionnelles commencent à s'intéresser sérieusement à la cryptomonnaie.
L'année 2021 marque un tournant historique avec l'adoption du Bitcoin comme monnaie légale au Salvador, faisant de ce pays le premier à reconnaître officiellement Bitcoin au même titre que sa monnaie nationale. Cette décision ouvre la voie à d'autres pays explorant des initiatives similaires.
Les défis et évolutions technologiques
Tout au long de son histoire, Bitcoin a dû faire face à de nombreux défis techniques et réglementaires. Les questions de scalabilité ont donné naissance à des solutions comme le Lightning Network, permettant des transactions plus rapides et moins coûteuses.
Les préoccupations environnementales liées au minage ont également poussé la communauté à explorer des solutions plus durables, tandis que les régulateurs du monde entier travaillent à établir des cadres juridiques appropriés.
Un héritage durable
Aujourd'hui, Bitcoin continue d'évoluer et d'influencer l'ensemble de l'écosystème des cryptomonnaies. Il a atteint une valeur telle que sa réputation n'est plus à faire : il est même devenu un actif central pour tout investisseur qui souhaite parier sur le long-terme ou se protéger des aléas d'autres marchés. Les investisseurs et les curieux peuvent, de nos jours, facilement surveiller le cours du Bitcoin pour suivre son évolution en temps réel et faire ainsi des arbitrages sur leur investissement.
L'histoire du Bitcoin démontre comment une innovation technologique peut transformer un secteur entier et créer de nouvelles possibilités économiques. De ses origines mystérieuses à son adoption institutionnelle actuelle, Bitcoin a parcouru un chemin remarquable qui continue toujours de s'écrire.
Les vives critiques allemandes concernant la proposition de budget européen illustrent une détérioration visible des relations entre le chancelier Friedrich Merz et la Commission d'Ursula von der Leyen.
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Cela fait maintenant quelques années que l’Espagne s’intéresse discrètement au chasseur-bombardier F-35 de Lockheed Martin, dont la version STOVL [à décollage court et à atterrissage vertical] est la seule qui puisse remplacer les EAV-8B Harrier II [ou « Matador] mis en œuvre par la 9e « Escuadrilla de aeronaves » depuis le navire d’assaut amphibie Juan Carlos I....
Cet article L’Espagne n’achètera pas d’avions de combat F-35B pour remplacer les EAV-8 Harrier II de son aéronavale est apparu en premier sur Zone Militaire.
The U.S. Mission in Ouagadougou, Burkina Faso is seeking eligible and qualified applicants for the position of Bodyguard in the Regional Security Office (RSO).
Opening Date : August 07, 2025
Closing Date : August 14, 2025
Open to : All Interested Applicants/All Sources
Work Schedule : Full-time (40 hours/week)
SALARY : *Ordinarily Resident (OR) : CFA 8,000,374 p.a. (Starting Salary/Full-Time)
(Position Bodyguard : FSN-05)
ALL ORDINARILY RESIDENT (OR) APPLICANTS MUST HAVE THE REQUIRED WORK AND/OR RESIDENCY PERMITS TO BE ELIGIBLE FOR CONSIDERATION.
BASIC FUNCTION OF POSITION :
This position is in the Regional Security Office. Incumbent serves as a Bodyguard in the execution of protective security operations for the U.S. Ambassador/Chief of Mission (COM), and other designated or visiting U.S. government officials as directed. The position is under the direct supervision of the Bodyguard Supervisor and managed by the Regional Security Officer (RSO) of US Embassy Ouagadougou, to protect designated officials from harm and embarrassment.
QUALIFICATIONS REQUIRED :
1. EDUCATION : High/Secondary school diploma (BAC) is required. Host government Driver's License to operate up to Sport Utility Vehicle is required.
2. EXPERIENCE : A minimum of three years' experience as a commercial bodyguard, civilian or host government police or military is required.
3. LANGUAGE : English-Limited knowledge, reading/speaking/writing is required. This may be tested.
French- Fluency, speaking, reading and writing is required. This may be tested.
4. SKILLS AND ABILITIES : Must have initiative and resourcefulness in accomplishing tasks. Must be able to deal effectively with people of other cultures to obtain cooperation and reach common goals. Possesses good leadership and interpersonal skills. Must have a valid driver license. Must be able to demonstrate judgment and basic safe driving skills in both oral and practical examinations. Must be able to operate an armored vehicle (if available) and pass the defensive driving training. Good working computer skills are required. Must be able to work variable shifts, 24 hour on-call schedule, and able to travel outside the capital city on and as needed basis. Proficient in first aid and use of an Automated External defibrillator (AED). Must be alert, have fast reflexes, active thinking, excellent observational skills, adaptation, take decisive actions, stay calm in dangerous situations, teamwork, communication skills, etc. and can communicate effectively orally and in writing. Possess skills in the use of a firearm. Must be physically fit and be able to endure frequent travel, long working hours, and a stressful working environment while maintaining the above standards.
5. JOB KNOWLEDGE : A thorough knowledge of defense measures to be used in the event of a personal or terrorist attack, such as that learned in the military or law enforcement training. Knowledge of medical, fire, hostile attack, defensive and emergency driving procedures. Must be familiar with Burkinabé police, gendarmerie, military, security and other government offices to ensure effective liaison and to facilitate effective protective operations including advance and motorcade operations.
HOW TO APPLY : Applicants must complete the following application process to be considered :
• Create an account on the Electronic Recruitment Application (ERA) Website at https://erajobs.state.gov/dos-era/bfa/vacancysearch/searchVacancies.hms
• Choose Announcement Number Ouaga-2025-006 Bodyguard FSN-05 and complete the online application.
• Upload any additional documentation that supports or addresses the requirements listed above (e.g. Copies of Attestations/Certificates of Work, degrees certificates, work permits & SF 50 if applicable) into the Electronic Recruitment Application system. click on the "Apply to This Vacancy" to submit your application.
For more information on how to apply, visit the Mission internet site : https://bf.usembassy.gov/jobs/
Required Documents : Please provide the required documentation listed below with your application :
• High/Secondary school diploma (BAC) is required. Host government Driver's License to operate up to Sport Utility Vehicle is required.
• Residency and/or Work Permit (If applicable)
• DD-214 - Member Copy 4, Letter from Veterans' Affairs, or other supporting documentation (if applicable)
• SF-50 (if applicable)
• Relevant Work attestations and Certificates.
• Others
What to Expect Next : Applicants who are invited to take a language or skills test or who are selected for an interview will be contacted via telephone call and email.
FOR FURTHER INFORMATION : Contact the Human Resources Office on 25 49 53 00.
Note :
• applications received after the deadline will not be considered.
• All applications must be for an open/advertised position.
• Only shortlisted applicants will be contacted.
EQUAL EMPLOYMENT OPPORTUNITY : The U.S. Mission provides equal opportunity and fair and equitable treatment in employment to all people without regard to race, color, religion, sex, national origin, age, disability, political affiliation, marital status, or sexual orientation. The Department of State also strives to achieve equal employment opportunities in all personnel operations through continuing diversity enhancement programs. The EEO complaint procedure is not available to individuals who believe they have been denied equal opportunity based upon marital status or political affiliation. Individuals with such complaints should avail themselves of the appropriate grievance procedures, remedies for prohibited personnel practices, and/or courts for relief.
La Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ), est une entreprise de coopération internationale pour le développement durable opérant sur tous les continents. Elle propose des solutions d'avenir pour le développement politique, économique, écologique et social dans un monde globalisé.
Dans des conditions parfois difficiles, la GIZ soutient des processus complexes de changement et de réforme. Son objectif principal est d'améliorer durablement les conditions de vie des populations dans les pays d'intervention.
La GIZ, à travers son département des Ressources Humaines, conformément à sa mission d'acquisition des ressources humaines compétentes, souhaite recourir à un cabinet de placement du personnel temporaire.
La participation à la concurrence est ouverte à égalité de conditions à toutes les structures remplissant les conditions énumérées dans le Dossier d'Appel d'Offres et régulièrement installé au Burkina Faso.
Les prestataires intéressés peuvent obtenir le dossier d'Appel d'Offres en envoyant une demande à l'adresse BF_Inquiry@giz.de avec en objet « Dossier N° 83495167_ Sélection d'un cabinet de placement de personnel ».
La date limite de soumission est fixée au 28.08.2025 à 16h30mn dépôt physique de l'offre.
Les conducteurs de motos-taxis de la ville de Beni, dans la province du Nord-Kivu, ont exprimé leur mécontentement face à la multiplication des taxes et aux tracasseries administratives et sécuritaires dont ils se disent victimes.
Le président de l’Association nationale des parents d’élèves du Congo (ANAPECO), Steve Diatezua, a exprimé sa satisfaction mardi 5 août, suite à la publication anticipée des résultats de la 58ᵉ édition de l’Examen d’État.