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La directrice générale du média en ligne Eventsrdc.com, Glody Ndaya, a totalisé deux jours de détention, ce mercredi 6 août. Interpellée brutalement lundi dernier aux abords du cimetière de la Gombe dans la ville de Kinshasa, elle a passé une nuit au commissariat provincial de la police de Kinshasa ; avant d’être transférée au cachot du parquet du Tribunal de grande instance (TGI) de Kinshasa/Gombe.
The E-9A supports air-to-air weapon systems evaluation at Tyndall AFB providing range clearance, telemetry support and data relay. The U.S. Air Force’s E-9A Widget firing range safety and surveillance aircraft completed its first strip and paint job in over a decade during a series of scheduled upgrades and maintenance, announced on Jul. 31, 2025 the […]
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Le ministre en charge de la communication, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo, a réceptionné officiellement ce mercredi 6 août 2025 les murs de clôture reconstruits de la Radiodiffusion-Télévision du Burkina de la région du Guiriko (Hauts-Bassins). Ce geste est l'œuvre du citoyen burkinabè, Cheick Béranger Ouattara, entrepreneur dans le génie civil et l'industrie. Ce joyau vient ainsi améliorer le cadre et les conditions de travail des agents et « rehausser l'image de la RTB dans son ensemble », selon le directeur général de la RTB, Atéridar Galip Somé.
L'on se souviendra que le 9 juin 2024, des intempéries violentes avaient ravagé la ville de Bobo-Dioulasso, causant d'importants dégâts matériels dont l'effondrement d'une partie du mur d'enceinte de la RTB2 Hauts-Bassins. Cet incident a laissé l'infrastructure vulnérable, exposée à des risques sécuritaires majeurs, ravivant l'inquiétude au sein du personnel. Aujourd'hui, ce souvenir semble avoir cédé la place à la sérénité et à l'espoir.
Les officiels présents à la cérémonie de réception de l'ouvrage à la RTB2 Hauts-BassinsGrâce à l'engagement citoyen de Cheick Béranger Ouattara, entrepreneur dans le génie civil et l'industrie, président directeur de la société Africaine du génie civil et de l'industrie, les murs de clôture de la RTB2 ont été entièrement reconstruits. « Ce geste, accompli sans fanfare, dans une discrétion admirable, symbolise un profond patriotisme et une solidarité exemplaire. En effet, M. Ouattara et son entreprise ont investi d'énormes ressources pour permettre à la RTB2 de retrouver sa dignité et cette fière allure », a salué le ministre Gilbert Ouédraogo.
Le donateur rassurant que la conception des ouvrages ainsi que le suivi des travaux ont été assurés par les techniciens du ministère en charge de l'urbanismeTout en exprimant ainsi sa reconnaissance, celle du gouvernement et du peuple burkinabè au donateur qu'il qualifie « d'école d'humilité et de générosité ». L'ouvrage qui a été réceptionné aujourd'hui est donc composé d'une clôture renforcée avec des poteaux en forme trapézoïdal ancrés sur des semelles isolées en béton armé, avec des chaînages intermédiaires en béton armé dans la maçonnerie et d'un couronnement en béton armé, assurant ainsi une résistance optimale aux forces venant de l'extérieur.
La visite de l'ouvrage par les officiels de la cérémonieIl est également composé d'une guérite avec plancher haut en dalle ; une boutique RTB pour les ventes ; un portique à l'entrée ; des enseignes lumineuses ; des barbelés de sécurité ; la reprise des pavés le long de la clôture ; l'aménagement d'espaces verts ainsi que le curage des caniveaux périphériques. A en croire le donateur, la conception de ces ouvrages ainsi que le suivi des travaux ont été assurés par les techniciens du ministère en charge de l'urbanisme.
Le ministre Gilbert Ouédraogo exprimant sa reconnaissance au donateur pour le geste« Le coût des ouvrages n'est pas seulement financier. Il est l'expression de notre engagement patriotique, de notre sens du devoir citoyen et de notre fidélité à la parole donnée. Nous sommes convaincus qu'aucun développement durable ne saurait se faire sans l'engagement des acteurs nationaux. En ce sens, nul ne viendra bâtir le Burkina Faso à notre place. L'AGCl, bien qu'étant une jeune entreprise aux moyens modestes, a su mobiliser volonté, engagement et compétence pour accompagner l'Etat burkinabè », a expliqué le donateur.
Avant de rappeler que l'Africaine du génie civil et de l'industrie (AGCI) est une jeune entreprise spécialisée dans le domaine du BTP, basée à Bobo-Dioulasso et Ouagadougou.
Un mur, bien plus qu'un ouvrage en béton
C'est dans un esprit de renouveau que le directeur général de la RTB a salué ce jour comme « une célébration de la joie retrouvée » pour les agents de la maison. Selon lui, cette clôture reconstruite représente bien plus qu'une simple barrière physique. Elle est un « mur solide de protection contre l'adversité ». Il n'a pas manqué de souligner la fierté des agents de la RTB2 Hauts-Bassins qui bénéficient désormais d'un cadre de travail sécurisé et amélioré contribuant ainsi à « rehausser l'image de l'institution ».
La discrétion de M. Ouattara, qui a volontairement tu le montant de l'investissement, a été vivement saluée. Pour les autorités présentes, cela traduit « une humilité qui doit inspirer », à l'image d'un homme qui agit beaucoup mais parle peu. Pour le ministre Gilbert Ouédraogo, ce geste s'inscrit dans l'esprit de patriotisme prôné par le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré. La cérémonie s'est achevée sur des mots de gratitude et un appel à continuer d'investir dans les médias d'Etat, pour garantir une information de qualité au bénéfice des populations.
La résilience du personnel de la RTB2 saluée par le directeur général Atéridar Galip SoméAu-delà de la reconstruction physique des murs, c'est aussi la résilience du personnel de la RTB2 qui a été mise en lumière. « Malgré les conditions difficiles après le sinistre, les agents ont poursuivi sans relâche leur mission de service public. La RTB2, renforcée et revigorée, entend désormais jouer pleinement son rôle dans l'édification d'un Burkina Faso résilient et solidaire », a laissé entendre le directeur régional, Ollo Poda.
La présence du ministre a été perçue comme un message de motivation pour les agents, encouragés à poursuivre leur mission d'information avec abnégation et rigueur, dans un contexte sécuritaire exigeant. La remise officielle des murs reconstruits marque une nouvelle ère pour la RTB/Guiriko. Elle ouvre la voie à une ambition partagée : bâtir une RTB plus résiliente, plus moderne et plus sécurisée, à l'image du peuple burkinabè, résilient, solidaire et engagé. Au cours de la cérémonie, le ministre a remis symboliquement du matériel de travail au personnel de la RTB2.
Romuald Dofini
Lefaso.net
Découvrez la révolution mobile avec la toute nouvelle série Tecno Spark 40 ! Ces smartphones promettent une expérience utilisateur inégalée, alliant performance exceptionnelle, design élégant et fonctionnalités innovantes. Préparez-vous à être étonné par ce que ces mobiles peuvent offrir pour transformer votre manière de vivre le numérique. Plongez dans notre article pour tout savoir et ne rien manquer sur ces bijoux de technologie.
Les modèles époustouflants de la série
La série Tecno Spark 40 se compose de plusieurs modèles, incluant le Spark 40 standard, le Spark 40 Pro et le Spark 40 Pro+. Chacun de ces mobiles a été conçu pour répondre à des besoins spécifiques. Le Spark 40 Pro+ est particulièrement fin, il ne mesure que 6,5 mm d'épaisseur. Les différentes versions offrent des caractéristiques distinctes, garantissant un choix adapté à chaque utilisateur. Les améliorations progressives entre les modèles sont notables.
Le design global de la série est un mélange de modernité et de raffinement. Les couleurs proposées sont variées et attrayantes. On retrouve le Noir Encre, le Gris Titane, le Blanc Voile et le Bleu Mirage. Ces teintes confèrent aux téléphones une apparence sophistiquée. Leurs finitions mates empêchent les traces de doigts. Le poids léger des téléphones assure une excellente prise en main au quotidien.
Performances déchaînées et autonomie record
Au cœur de la série Tecno Spark 40 bat un processeur MediaTek puissant. Le Spark 40 intègre le Helio G81, tandis que le Spark 40 Pro+ est équipé du Helio G200. Ces puces garantissent une fluidité remarquable pour toutes les applications. Vous pourrez naviguer, jouer et travailler sans aucun ralentissement. La performance est un atout majeur de cette gamme.
L'autonomie est un point fort incontestable avec une batterie de 5200 mAh. Cette capacité impressionnante vous assure une utilisation prolongée. Vous n'aurez plus besoin de recharger constamment votre smartphone. La technologie Super Charge de 45W permet une recharge ultra-rapide. Le téléphone atteint 100% en seulement 55 minutes. Certains modèles Pro+ bénéficient même de la charge sans fil 30W.
Écran immersif et photographie de pointe
Les modèles de la série Spark 40 sont dotés d'un écran généreux de 6,67 pouces. Celui-ci offre un taux de rafraîchissement de 120 Hz. Cette caractéristique assure une fluidité visuelle exceptionnelle. La résolution de 720×1600 pixels (HD+) garantit des images nettes. L'affichage est lumineux même en plein soleil. Idéal pour les jeux et le visionnage de vidéos.
La photographie est mise à l'honneur avec un capteur principal arrière de 50 MP. Il capture des clichés détaillés et lumineux. Le double flash arrière améliore la qualité des photos nocturnes. La caméra frontale de 8 MP est accompagnée d'un double flash. Elle est parfaite pour des selfies réussis et des appels vidéo clairs. La fonction FlashSnap optimise les clichés de sujets en mouvement rapide.
Connectivité avancée et fonctionnalités intelligentes
La connectivité est complète avec le GPS, le WiFi, le Bluetooth et la radio FM. La présence de l'OTG facilite le transfert de données. Un capteur d'empreintes digitales latéral assure un déverrouillage rapide. La commande infrarouge à distance transforme votre téléphone en télécommande universelle. Ces fonctionnalités augmentent votre confort quotidien. La série supporte la 2G, 3G et 4G pour une couverture réseau étendue.
Les téléphones intègrent des fonctionnalités intelligentes. Le FreeLink permet des appels gratuits hors réseau, très utile en aventure. L'accélérateur extérieur optimise les performances en extérieur. Les doubles haut-parleurs avec son DTS garantissent une expérience audio immersive. Le système d'exploitation Android 15 avec HIOS 15 offre une interface intuitive. La durabilité est assurée par une certification IP64. Les mobiles résistent à l'eau et à la poussière. Ils supportent même des chutes jusqu'à 1,5 mètre.
L'intégration révolutionnaire de l'ia
La série Tecno Spark 40 intègre des capacités d'intelligence artificielle avancées. La fonction « Ask Ella » permet des requêtes directes sur l'écran. Elle peut traduire des appels en temps réel. Elle aide aussi à résumer des textes longs. L'écriture IA génère et corrige vos contenus. Ces outils sont parfaits pour les emails et les réseaux sociaux. La traduction IA supporte plus de 136 langues. Elle facilite la communication interculturelle. Ces fonctionnalités rendent le téléphone très productif.
La série Tecno Spark 40, un choix judicieux !
La série Tecno Spark 40 se positionne clairement comme une option très attractive sur le marché des smartphones de milieu de gamme. Que vous optiez pour le Spark 40 standard, le Pro ou le Pro+, vous bénéficierez d'une combinaison réussie de performances solides, d'une autonomie impressionnante et de fonctionnalités intelligentes dopées à l'IA. Avec leur design soigné, leurs écrans immersifs et leurs capacités photographiques améliorées, ces smartphones sont conçus pour répondre aux exigences du quotidien moderne. Ils représentent un excellent rapport qualité-prix. Le Tecno Spark 40 est un véritable compagnon numérique qui saura vous accompagner efficacement dans toutes vos activités.
Le sélectionneur national des Léopards A’, Otis Ngoma, croit trouver des solutions pour permettre à la RDC d'enregistrer ses trois premiers points au Championnat d’Afrique des nations (CHAN) contre la Zambie ce jeudi 7 août. Ce match compte pour le compte de la deuxième journée du groupe A de cette compétition, qui se déroule au Kenya, en Tanzanie et en Ouganda.
When the European Union (EU) published its 2021 Trade Policy Review, a new buzz phrase took over policy and academia on EU trade policy: ‘open strategic autonomy’ (OSA). This was followed in 2023 by the Economic Security strategy, furthering a shift that brought Europe in line with the global trends towards the ‘geopoliticisation’ and ‘securitisation’ of trade and investment. This global trend has materialised with the spread of multiple trade defence instruments around the world, famously foreign direct investment (FDI) screening mechanisms. Since the Trade Policy Review, the EU has aimed to catch up and has enacted itself an array of new trade defence instruments to complement the traditional ones of anti-subsidies, anti-dumping and safeguards, that now take a key role to implement its economic security goals, as discussed in my newly published JCMS article.
The dragon in the room
These instruments – particularly the FDI screening regulation, the anti-coercion instrument, the international procurement instrument, the foreign subsidies regulation, and the 5G cybersecurity toolbox, amongst others like the Carbon Border Adjustment Mechanism or the Trade Enforcement Regulation – have the aim of ensuring the EU’s economic security and resilience going forward, as well as its strategic autonomy, aiming to strike a new balance between security and competitiveness.
Several factors have been associated with the need for their enactment, among them the supply chain disruptions triggered by the COVID-19 pandemic and the Ukraine war, and the protectionist policies adopted by the Trump and Biden administrations in the United States. Yet, in my article, I demonstrate that an analysis of the EU’s communicative strategy around those instruments, both at the political level (i.e. by EU institutions) and at the media level, indicates that these reforms are mainly associated with concerns about an assertive China. These findings are based on an software-powered text analysis of a dataset of 810 documents published between 2010 and April 2024 by the three main EU institutions – Council, Commission and Parliament –, and the five most influential outlets in Europe at least since 2020: Politico, The Economist, Financial Times, Reuters and Euractiv. The aim was to identify the main narratives used to justify the instruments and how they were linked to China.
This is not incompatible with their application being country-agnostic or horizontal. Yet, both EU institutions and the main pan-EU media outlets have employed a heterogeneous set of China-related narratives to legitimise these instruments, to shape a specific perception of China amongst the European public.
Indeed, China has been instrumentalised in both media and policy discourse, albeit in different ways by both these actors, as a means to justify the necessity and existence of these instruments. This instrumentalization of China has been more comprehensive, strategic and targeted than references to the United States or Russia, who are only mentioned in the context of great-power competition.
Overall, Chinese investment in Europe, especially in strategic sectors like 5G networks, has been framed by the three main EU institutions as a security threat, whilst trade with China in the areas of procurement and subsidies has been depicted as unfair, thereby justifying the introduction of instruments aimed at addressing these imbalances.
Interestingly, my JCMS article illustrates that the framing of China with respect to each of the instruments is targeted to adapt to the heterogeneity of the instruments and their purpose. Media, in particular, have promoted two distinct narratives regarding China: one portraying it as a threat in the context of investment, and another framing it as a source of unfairness in trade. This dual portrayal reinforces the perception of China as a competitor and political rival rather than an economic partner, fostering a vision of China as a ‘threatening other.’ This aligns with the broader trend towards the ‘securitisation’ of Chinese investment in Europe.
Moreover, since 2023, the analysis of the communicative discourse around these instruments by EU institutions shows that the TDIs have become increasingly integrated into broader strategic frameworks, moving beyond their original focus on ‘strategic autonomy’, and towards achieving broader geopolitical and economic security aims. This is coherent with the integration of those strategies with the EU’s trade policy across the board.
What might this mean going forward?
Is the Commission actually targeting China with those instruments? The short answer is that we don’t know yet. While these instruments have arguably been designed to be country-agnostic and thus apply to any country equally who violates the trade rules and standards that each of the instrument deals with, the truth is that China has been overly targeted and framed in the communicative discourse around the justification for the legitimacy and necessity of these instruments. We will need to pay attention, as the first investigations and screenings unfold, to the impact that this has on inward Chinese investment to the EU, even though much of this data is often confidential and the instruments will probably have a deterrence effect that can hardly be quantified.
Additionally, these findings raise the question of how these instruments, and the broader ‘Open Strategic Autonomy’ and Economic Security strategies will impact the EU’s identity as ‘Normative Power Europe’. This means how far the EU can continue employing selectively protectionist measures before its normative identity as a liberal, normative power is fundamentally challenged. While several scholars have argued that the EU continues to advocate for economic openness and positions itself as a defender of multilateralism, the use of unilateral trade instruments signals a significant shift towards a more assertive and less open trade policy.
Moving towards this new paradigm of selective openness and increased assertiveness to protect Europe’s interests, in this new world increasingly marked by tit-for-tat strategies and divide-and-rule tactics, the EU has, in effect, adopted more protectionist measures to prevent coercion and exploitation. This raises important questions about the EU’s evolving identity: Is the emergence of a ‘Geopolitical’ or ‘Geoeconomic Power Europe’ replacing ‘Normative Power Europe’? Or can the two coexist and potentially reinforce one another, rather than being in conflict?
Last but not least, a concern that became ever more relevant since the last European elections in June 2024, where Europe saw a sharp increase in extremist and populist forces in the European Parliament, the EU needs to acknowledge that there are concerns that the OSA instruments could be co-opted for purely protectionist purposes, or at the very least, that they might dangerously shift the EU’s focus from trade openness towards trade defence. This could lead to an increasingly bifurcated trade regime, with continued openness towards allies but heightened assertiveness and greater reliance on autonomous tools against perceived rivals.
In short, even though the current focus of the OSA instruments is to defend multilateralism and the Liberal International Order, they have broader systemic and normative implications that the European Commission still needs to wrap its head around. When it comes to China, it is clear that those instruments were aimed to address the multifaceted concerns that the EU has related to China’s international role and domestic economic policy. But as we move towards their implementation, we will see what the actual impact on an EU-China trade and investment relationship will be, as the last High Level Summit that took place in Beijing on the 24th of July demonstrated, is already fraught with misunderstanding and tensions.
Laia Comerma is a postdoctoral researcher at the Centre for Security, Diplomacy and Strategy of the Brussels School of Governance (BSoG-VUB) under the ERC project ‘Europe in US-China rivalry’ (SINATRA). She completed her PhD at the Pompeu Fabra University (UPF) and the Barcelona Institute for International Studies (IBEI). Her doctoral dissertation, “The politics of EU-China economic relations: Normative and regulatory disputes in the reconfiguration of global economic governance”, analyses the norms, rules and institutions structuring the foreign policy relation between China and the EU, and how they are being reformed due to their interaction in the fields of investment, trade, and development infrastructure. Her research fields of interest are foreign policy analysis, Chinese and EU foreign policy, and EU–China relations. She holds a MSc in International relations from the London School of Economics (LSE) and a BA in Philosophy, Politics and Economics from UPF-UAM-UC3M.
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Le président Emmanuel Macron a demandé au gouvernement français de revoir en profondeur les facilités accordées à l’Algérie en matière de visas diplomatiques. Dans une […]
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