La rencontre Gouvernement-Walis, entamée hier samedi en présence du chef de l’État, a vu aujourd’hui le premier ministre donner quelques directives aux responsables des 58 wilayas. Aimene Benabderrahmane s’est en effet penché sur plusieurs questions importantes, dont celles portant sur les pouvoirs des élus locaux.
Dans un discours prononcé aujourd’hui, le 26 septembre 2021, le premier ministre a abordé devant les 58 walis plusieurs affaires qui revêtent une grande importance. Le premier ministre a notamment donner trois nouvelles directives.
Recensement, APC et bureaucratieAimene Benabderahmane a fait savoir que plus de pouvoir vont être accordés aux APC, et donc aux élus locaux. Une demande qui a été faite par Youcef Aouchiche dernièrement, le premier homme au FFS. Le premier ministre, toujours dans ce contexte, a invité à créer des cellules d’écoute pour être plus proches des préoccupations des citoyens.
Lors de son dernier discours Aiemene benabderrahmane a également indiqué que son gouvernement va procéder à un recensement général de la population et de l’habitat. Il a aussi indiqué qu’une enquête statistique municipale complète va se faire pour réduire les inégalités et booster le développement.
La troisième directive du premier ministre concerne la bureaucratie. Devant les walis, il a notamment souligné la nécessité de simplifier les procédures administratives et l’importance de lutter contre la bureaucratie afin d’améliorer le service public, et de contenir les jeunes énergies porteuses de projets et d’idées créatives.
Pour conclure, Benabderahmane a également rappelé que les zones de l’ombre restent un problème d’actualité, et ce, malgré les « avancées » qui ont été enregistrées ces derniers mois.
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Un sujet qui a toujours fait polémique en Algérie refait surface cette année avec des critères tantôt compréhensibles et justifiables tantôt saugrenus et abusés. On parle bien de la tenue vestimentaire dans les établissements scolaires.
Les lycées algériens sortent instruction après instruction, chacun fixe des règles concernant la tenue correcte exigée pour les filles et les garçons, et ce, hormis la blouse obligatoire pour tous, dès la rentrée scolaire. C’est le cas du lycée Houari Boumediene d’El Achir de la Wilaya de Bordj Bou Arreridj, publiant une instruction qui dicte, selon son règlement intérieur, les critères de cette tenue.
De l’interdiction de “coupes bizarres qui vont à l’encontre de l’éthique de l’éducation et de l’enseignement”, les pantalons déchirés et les casquettes pour les garçons, les vêtements “serrés” pour les filles, toujours pour les lycéennes pas de maquillages ou d’accessoires et pour couronner le tout, on sait que l’utilisation du téléphone portable est interdite, or on parle ici d’interdiction de le ramener dans l’enceinte de l’établissement.
Quant aux mesures préventives contre le Covid-19, elles ont été timidement mentionnées en bas.
Tenue correcte, le bouchon est-il poussé un peu trop loin ?C’est un sujet clivant, aussi bien entre les élèves que leurs parents, certains félicitent ces restrictions et trouvent que c’est tout à fait normal d’imposer ces règles, d’autres déplorent toutes ces interdictions exagérées en s’interrogeant sur leur pertinence quant au bon déroulement du cours.
Il est important de préciser que si toutefois, ces interdictions qui semblent porter atteinte à la morale publique ne sont pas respectées, l’élève en question ne pourra pas accéder à l’établissement.
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En Algérie, la pandémie de la covid-19 fait de moins en moins de ravages. Cette décrue, insistent les spécialistes, doit inciter la population à la vaccination. Aujourd’hui, le 26 septembre 2021, les chiffres démontrent encore que malgré la baisse des infections, le danger demeure présent.
Le ministère de la Santé a indiqué dans son bilan de ce dimanche que le pays a recensé 10 décès causés par le virus ces 24 dernières heures. Les mêmes chiffres soulignent aussi que l’Algérie a enregistré 148 nouveaux cas de contamination, 115 guérisons.
Suite au bilan d’aujourd’hui, le total des cas de contamination en Algérie s’élève donc à 202.722 cas. Le pays a également recensé, et ce, depuis le début de la pandémie, pas moins de 5788 décès.
Immunité collective : c’est pour bientôtLe ministre de la Santé, Abderahmane Benbouzid, a annoncé il y a quelques jours des chiffres positifs concernant le taux de vaccination en Algérie. En effet, le ministre a dévoilé que 50 % de la population algérienne concernée a été vaccinée.
Des chiffres bons certes, mais ambiguës affirment plusieurs spécialistes. Lyes Merabet, président du Syndicat national des praticiens de la santé publique, reste quant à lui sceptique. Il affirme que » l’Algérie n’a pas encore atteint l’immunité collective« .
Pour ce spécialiste, « lorsqu’on parle de 10 millions d’Algériens, je pense que la majorité n’ont reçu qu’une première dose ». Merabet indique que seulement le tiers de ce nombre ont reçu les deux doses. Un constat qui veut dire que le pays est encore loin d’avoir atteint une immunité collective, ce qui nous expose au risque d’une quatrième vague.
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Le président de la République a procédé ce dimanche 26 septembre 2021 à la nomination d’un nouveau porte-parole de la Présidence de la République. Il s’agit de Samir Aggoune, qui occupait ce même poste par intérim.
Le nouveau porte-parole de la présidence était enseignant à la faculté des sciences de l’information et de communication à l’université d’Alger 3. Il a également fait une carrière en journalisme au sein de plusieurs médias.
Il a exercé en tant que journaliste à la chaine Echorouk TV. Avant cela, il a occupé le poste de Directeur de l’information à la chaine Dzair News, avant de démissionner de ce poste en novembre 2018, après quatre années passées dans cette chaîne.
Avant d’intégrer l’équipe de Dzair News en 2014, il a fait un passage remarqué à la radio nationale. En 2016, il est nommé à la tête de la Direction de l’information de la chaine privée après le départ de Djamal Maafa.
En août 2020, Tebboune avait nommé Samir Aggoune, par décret présidentiel du 29 Dhou El Hidja 1441 correspondant au 19 août 2020, chargé de mission à la Présidence de la République.
Porte-parole de la présidence par intérimSuite au départ de Belaïd Mohand-Oussaïd du poste de porte-parole de la présidence, au lendemain de son retour de son voyage de soins d’Allemagne, Samir Aggoune a été nommé à ce poste par intérim.
Sa première apparition officielle remonte au 7 juillet 2021, lorsqu’il a annoncé la composante du nouveau gouvernement de Aïmene Benabderrahmane. Ce dimanche, le président de la République l’a nommé, par décret présidentiel, comme porte-parole officiel de la présidence de la République.
Par ailleurs, le chef de l’État a également signé un décret présidentiel par lequel il a nommé Abdelaziz Khalef Directeur de cabinet de la Présidence de la République, indique un communiqué de la présidence.
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Après une fermeture de plus d’une année, les autorités ont annoncé, le 1er juin dernier, la réouverture partielle des frontières aériennes, avec un nouveau programme de vols internationaux, mis en place le 28 août de l’année en cours, qui vise à augmenter le nombre de vols à 64 par semaine avec sept pays, dont 48 vols entre l’Algérie et la France.
Depuis cette réouverture, la compagnie aérienne espagnole, Vueling, est devenue la seule compagnie étrangère à opérer des vols vers l’Algérie à partir de deux pays différents, où elle est autorisée à opérer depuis sa base à l’aéroport international d’El Prat à Barcelone et au départ de l’aéroport de Marseille Provence.
En effet, la low cost espagnole opère chaque semaine, deux vols depuis la ville de Barcelone, et ce, conformément au principe de réciprocité. Notons que la compagnie aérienne nationale, quant à elle, programme également deux jours par semaine, à savoir le dimanche et le jeudi, afin d’opérer ses vols.
48 euros pour la ligne Marseille – Alger chez VuelingPour le mois de novembre, Vueling a déjà commencé la commercialisation de ses billets d’avion sur son site pour la ligne Marseille – Alger. Les prix proposés par ladite compagnie sont les plus bas en comparant de ses concurrentes.
Les billets présentés pour la vente sont pour des vols prévus tous les jours, sauf les mardis et les dimanches, tout en long du mois de novembre.
Dans le site, les prix des billets d’avion sont proposés à des prix bas, arrivés à 48 euros et peuvent atteindre jusqu’à plus de 450 euros.
Il est cependant utile de rappeler qu’aucune compagnie aérienne n’a obtenu l’autorisation officielle pour opérer des vols en mois de novembre. Donc, ces vols vont être certainement annulés, vu que la low cost espagnole maintient en vente actuellement les billets d’avion en novembre pour des vols qui dépendent de son programme annuel.
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Rien ne va plus pour le dernier premier ministre de Bouteflika. Nouredine Bedoui, qui a pu jusqu’à là éviter le sort réservé à Ouyahia et Sellal, vient de faire face à une décision du juge du tribunal de Sidi M’Hamed. Même si l’ancien premier ministre évite, encore une fois, la prison, il n’en sort pas tout à fait indemne.
En effet, aujourd’hui, le 26 septembre 2021, le tribunal de Sidi M’Hamed vient de mettre l’ancien premier ministre Nouredine Bedoui sous contrôle judiciaire. Une décision du juge qui s’accompagne d’une interdiction de quitter le territoire national, vu que le passeport de l’ancien responsable a été également confisqué.
Coup dur pour BedouiBedoui qui a été premier ministre alors que Bouteflika s’apprêtait à sortir par la petite porte d’El Mouradia, a été rattrapé par plusieurs scandales qui lui ont valu sa convocation par la justice Algérienne. Corruption, abus de pouvoir, dilapidation et détournement du foncier, Bedoui risque gros.
Même si les accusations portées contre Bedoui ne concernent pas la période ou il occupait le poste de premier ministre, cela n’empêche pas qu’elles puissent lui valoir la prison. Une épée de Damoclès est suspendue au-dessus de sa tête. Bedoui est notamment accusé d’avoir octroyé illégalement plusieurs marchés à des entrepreneurs qui ne remplissait pas les conditions légales et qui ne respectaient pas les normes nécessaires à la réalisation de ces projets.
Les accusations portées à l’encontre de Bedoui concernent des affaires de corruption qui remontent à l’époque où il occupait le poste de wali de Constantine. C’était avant qu’on le nomme ministre de la Formation professionnelle, puis ministre de l’Intérieur et enfin Premier ministre jusqu’au 19 décembre 2019.
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Le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a procédé, ce dimanche 26 septembre 2021, à de nouvelles nominations au sein de la Présidence de la République.
Selon un communiqué de la Présidence, Tebboune a nommé, par décret présidentiel, un nouveau chef de cabinet et un nouveau porte-parole à la présidence de la République.
« Le président de la République a signé, aujourd’hui, un décret présidentiel par lequel il a nommé Abdelaziz Khalef Directeur de cabinet de la Présidence de la République », lit-on dans le communiqué.
Cette nomination intervient en « remplacement de Noureddine Beghdada, qui est appelé à de nouvelles fonctions », précise-t-on encore selon la même source.
Nouveau porte-parole à la présidence de la RépubliquePar ailleurs, « le président a également signé un décret présidentiel par lequel il a nommé Samir Aggoune comme porte-parole officiel de la présidence de la République », ajoute encore la même source. Ce dernier occupait le poste du porte-parole de la Présidence de la République par intérim.
Il convient de noter que le poste de porte-parole à la présidence est occupé, depuis le 29 décembre 2020, par Belaïd Mohand Oussaïd. Ce dernier avait été alors nommé par Tebboune, ministre conseiller à la communication porte-parole de la présidence de la République.
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La Coupe du Monde de la Pâtisserie est un concours culinaire international consacré à la pâtisserie, qui se déroule tous les deux ans à la ville de Lyon en France. Il est initié par le chef pâtissier Gabriel Paillasson. Ce dernier récompense la meilleure équipe de pâtissiers nationaux.
Cette année, le concours a réuni dans sa 16ᵉ édition qui s’est tenue pendant le Sirha Lyon, salon de restauration, de l’hôtellerie et de l’alimentation à Lyon, vingts nations pour une journée de compétition autour de la pâtisserie, et ce, le 24 et le 25 septembre.
Pour ce concours présidé par Pierre Hermé, les pâtissiers de différents pays disposaient de 10 heures seulement afin de réaliser trois épreuves de dégustation, à savoir, un dessert à partager, un entremets glacé et un dessert de restaurant. En outre, les mêmes candidats doivent passer deux autres épreuves artistiques, dont une sculpture en chocolat et une autre de sucre.
Une équipe qui regroupe les meilleurs chefs pâtissiersPortant sur thème « Tout art est imitation de la nature », une équipe algérienne composée de talentueux pâtissiers a été présente lors dudit concours.
Il s’agit de quatre chefs pâtissiers, à savoir, le candidat chocolat, Salah Amour, chef de la pâtisserie algéroise Le Roi ; le candidat ayant réalisé l’entremet glacé, Mehdi Mehenni en l’occurrence, chef pâtissier algérois ; le sucre capitaine, le chef pâtissier Abderrazak Abdoun ; et enfin le président de l’équipe, le chef pâtissier habitué des concours et compétitions, Fouas Yakoub Mehenni.
Avec ces quatre brillants candidats, qui ont représenté fièrement et dignement leur pays, l’Algérie est classée à la dixième position.
Les Italiens remportent la Coupe de cette annéeCette 16ᵉ édition, tenue pendant le Sirha Lyon, était placée sous le signe de la résilience et de la créativité. » Cette finale a été marquée par l’émotion et la créativité, ainsi que les saveurs et couleurs qui se sont dégagées des desserts des 11 équipes participantes”, a souligné Pierre Hermé, Président du concours depuis septembre 2019.
Il est utile d’indiquer que pour cette année, l’équipe italienne, composée de Massimo Pica, Lorenzo Puca, Andrea Restuccia, a remporté ce samedi 25 septembre la finale de la Coupe du Monde de la Pâtisserie 2021, tandis que l’équipe française s’est hissée à la troisième position.
Notons que cette pour sa 16e édition, l’épreuve du dessert à l’assiette a été remplacée par celle du dessert de restaurant, afin de valoriser le métier de pâtissier de restaurant.
Il convient également d’ajouter que les jurés ont porté une attention particulière aux alliances de saveurs, aux textures, aux jeux de températures et au dressage de ces desserts éphémères destinés à être dégustés immédiatement.
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Beaucoup d’entreprises créées dans le cadre du dispositif de l’Agence nationale d’appui et de développement de l’entrepreneuriat Anade (ex-Ansej), sont en crise et nécessitent une prise en charge. Face à cela, l’Agence propose plusieurs solutions.
La question des dettes accumulées a été abordée, une nouvelle fois, par le Directeur général de l’agence nationale d’appui et de développement de l’entrepreneuriat Anade (ex-Ansej), Mohamed Cherif Bouaoud.
Dans un entretien accordé au quotidien Echaab, le responsable a indiqué que les catégories qui n’ont pas encore versé trois tranches aux banques sont la plupart des cas. Face à cela, « nous travaillons à régler leurs situations en les intégrants et en leur accordant des projets leur permettant de se relever », a-t-il déclaré.
D’ailleurs, « c’est le cas avec plusieurs entreprises créées dans le cadre du dispositif, et qui sont dans cette situation », selon lui. L’intervenant a également abordé la question des catégories exemptées du paiement de dettes.
À ce propos, il affirme que les catégories exemptées sont : « les entreprises dont les propriétaires sont décédés, celles touchées par les catastrophes naturelles (tel que les feux de forêt) et celles dont les propriétaires sont atteints d’empêchement physique ou moral en exerçant leurs activités respectives ».
Mohamed Cherif Bouaoud a également fait état d’une proposition en cours l’étude, relative aux entreprises dont l’activité ne suit plus le rythme des évolutions technologiques et économiques et qui ne sert désormais pas à grand-chose.
Le Fonds de caution mutuelle de garantieEn cas d’échec du projet, le premier responsable de l’ex-Ansej a souligné que son Agence a réadapté les mesures du Fonds de caution mutuelle de garantie risques/crédit. Ce dernier est garant des prêts accordés par les banques et assure également la protection du jeune promoteur.
« En cas d’échec du projet, il existe un fonds qui prend en charge les dettes de la banque », a-t-il encore souligné. Selon lui, ce Fond a deux missions principales ; donner au jeune une garantie auprès de la banque avant de recevoir le prêt, en échange d’une adhésion au fonds à hauteur de 1,5 % par an de la valeur du prêt.
Et en contrepartie, la banque garantit une indemnisation du prêt à 70 %. Cela veut dire qu’il n’y aura pas de poursuite par la banque contre le jeune promoteur propriétaire du projet.
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Dans le cadre de la lutte contre la criminalité sous toutes ses formes, les services sécuritaires de la wilaya d’Alger ont réussi à mettre hors d’état de nuire l’activité de trois personnes.
En effet, le procureur de la République près le tribunal de Dar El Beida a prononcé une peine de cinq ans de prison ferme à l’encontre d’un ressortissant Chinois, qui est dans un état de fuite, assortie d’une amende d’un million de dinars, avec un mandat d’arrêt.
Dans la même affaire, le procureur de la République a également requis une peine de deux ans de prison ferme assortie d’une amende de 200 000 dinars à l’encontre de deux policiers, pour deux accusations, à savoir, l’abus de fonction et réception d’indus avantages. Ces derniers travaillent à l’aéroport international d’Alger Houari Boumediene.
Des ressortissants Chinois résidant illégalement en AlgérieLa poursuite judiciaire à l’encontre des mis en cause s’est intervenue suite à » de graves incidents » à l’aéroport susmentionné, où un mouvement de transport inhabituel pour la prise en charge de ressortissants Chinois résidant illégalement en Algérie, par des éléments de la police des frontières, a été repéré.
Les Chinois en question disposaient de passeports, portant de manière anormale, le cachet de la police des frontières, et ce, malgré qu’ils n’ont pas quitté le territoire national. Sur ce, une enquête a été ouverte, où les trois mis en cause précités ont été convoqués.
L’enquête dans la même affaire a révélé l’implication du Chinois, actuellement en fuite. Ce dernier vendait des passeports portant le cachet des deux policiers, aux ressortissants Chinois pour des sommes estimées à 65 millions de centimes.
Il est également utile d’indiquer que le verdict a été renvoyé au 10 octobre de l’année en cours.
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La rentrée scolaire de cette année 2021 s’annonce tendue. Après la polémique portant sur l’enseignement de Tamazight voilà que la matière de l’éducation islamique fait sortir l’association des Oulémas musulmans de leur silence.
L’école Algérienne a toujours été le théâtre des luttes qui opposent plusieurs courants rivaux que compte le pays. Cette lutte, souvent silencieuse, est projetée ces derniers temps sur le devant de la scène médiatique, notamment grâce aux réseaux sociaux.
Après la polémique suscitée par l’exclusion du Tamazight du programme officiel de l’enseignement, voici que les Oulémas Musulmans soulignent que l’éducation Islamique, matière pourtant clouée au cœur de l’école Algérienne, est entrain de se faire marginaliser.
L’éducation islamique marginalisée en Algérie ?Sur sa page Facebook, l’association des Oulémas musulmans algériens s’interroge. Elle réclame des explications concernant la réduction du volume horaire de la matière de l’éducation islamique au sein de l’emploi du temps du programme de la nouvelle année scolaire 2021.
Mais sur le terrain, l’éducation islamique est-elle vraiment entrain d’être marginalisée ? En fait, cette matière est l’une des mieux servies en termes de volume horaires. Le ministère de l’Éducation a décidé de lui attribuer 18 heures par semaine.
Les Oulémas n’ont toutefois pas complètement tort pour autant, le volume horaire de cette matière risque de baisser sur le terrain, mais pas au-dessus dès 18 heures alloués par le ministère. La baisse concernerait donc certaines écoles qui consacrent, selon El Chourouk, plus de 30 heures par semaine à cette matière, ce qui est interdit par la loi. Il est aussi notable que les écoles coraniques administrent aussi des cours d’éducation islamique.
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Le défilé des anciens hauts responsables de l’État de l’ère du président déchu Abdelaziz Bouteflika n’en finit pas. Un nouveau ministre de cette époque vient d’être rattrapé par des faits de corruption. Il s’agit de Mohamed Loukal, en sa qualité d’ancien ministre des Finances et ancien gouverneur de la Banque d’Algérie.
Ce dimanche 26 septembre 2021, le juge instructeur du pôle pénal économique et financier du tribunal de Sidi M’hamed à Alger a placé Mohamed Loukal en détention provisoire pour des accusations liées à la corruption.
Après sa comparution aujourd’hui devant le juge instructeur près la même juridiction, le prévenu fait face à des accusations « d’abus de fonction et octroi d’indus avantages ».
Dans le cours de la semaine écoulée, l’ancien ministre des Finances avait fait objet d’une convocation, en compagnie de l’ancien Premier ministre Noureddine Bedoui, pour comparution devant le juge instructeur. En principe, Loukal était cité comme témoin.
Ancien gouverneur de la Banque d’AlgériePour rappel, Mohamed Loukal avait été nommé ministre des Finances le 1er avril 2019, dans le gouvernement de Noureddine Bedoui. Avant, il dirigeait depuis deux ans et demi une institution également plus importante : la Banque d’Algérie.
Le 23 juin de l’année en cours, Loukal avait été cité dans une affaire liée à « l’octroi d’avantages, la conclusion douteuse de marchés, la dilapidation de deniers publics et l’obtention de pots-de-vin » au profit de l’homme d’affaires Noah Kouninef.
Son nom est cité dans cette affaire en tant qu’ancien gouverneur de la Banque d’Algérie. Son nom figure parmi une longue liste d’anciens ministres à l’instar de Abdelhamid Temmar, Abdeslam Bouchouareb, Amar Tou, Houda Feraoune, Amar Ghou, Hocine Nacib et l’ancien wali d’Alger Abdelkader Zoukh.
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L’international algérien, Islam Slimani, a souvent fait couler beaucoup d’encre grâce à son jeu, ses attaques et ses buts. Cette fois-ci c’est la triste nouvelle de sa blessure qui fait parler de lui.
Pendant le match opposant son équipe l’Olympique Lyonnais au FC Lorient pour la 8ème journée de Ligue 1, Slimani fait une bonne entrée de jeu en deuxième mi-temps, il délivre une passe décisive à Karl Toko Ekambi, permettant à ce dernier d’égaliser pour le club Lyonnais. La joie fut de courte durée puisque il quitte la pelouse à dix minutes de la fin de la rencontre, pour cause, une blessure, dont on ignore la nature pour l’instant.
Titulaire lors des deux premières journées des éliminatoires, l’attaquant a inscrit quatre buts face à Djibouti et une passe décisive contre le Burkina Faso. Il pourrait donc ne pas faire partie des onze entrants pour la 3ème et 4ème journée des éliminatoires face au Niger.
Une mauvaise nouvelle aux portes des éliminatoiresÉvoluant pour la plupart en Europe, ils offrent à leur clubs des prestations à la hauteur ce qui entraîne parfois des blessures, c’est le cas de Slimani mais aussi de son coéquipier Ramy Bensebaini, absent des entraînements de son club, à cause d’une blessure.
“Ramy Bensebaini a malheureusement pris un nouveau coup hier après-midi. Il ne pouvait pas s’entraîner aujourd’hui. Ce sera certainement un problème pour le week-end. Il se pourrait même qu’il ne soit pas là.” a déclaré son entraîneur Adi Hutter lors d’une conférence de presse.
Nos joueurs sont attendus pour des matchs de grande envergure, à savoir les éliminatoires de la Coupe du monde 2022 au Qatar, ils devront être au top de leur forme pour maintenir leur impressionnante série d’invincibilité.
Slimani et Bensebaini, seraont t-ils absents lors des prochaines rencontres? Seul l’avenir nous le dira.
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Lamamra continue sa tournée new-yorkaise. Au siège permanent des Nations Unies, le chef de la diplomatie Algérienne a pu rencontrer aujourd’hui le secrétaire général de l’organisation onusienne. Une rencontre qui a été suivi par la publication de deux communiqués.
Sur son compte tweeter, Ramtane Lamamra, ministre des Affaires étrangères et de la communauté Algérienne à l’étranger, a indiqué que durant sa séance de travail avec le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, plusieurs sujets concernant la région ont été abordés.
Lamamra a notamment précisé que la rencontre s’est concentrée sur « les efforts de l’Algérie pour promouvoir des solutions pacifiques aux crises en Libye, au Mali et dans la région du Sahel et du Sahara ». Le chef de la diplomatie Algérienne n’a toutefois pas manqué de souligner que lui et Guteress ont « également passé en revue les défis auxquels est confronté le processus de décolonisation au Sahara occidental ».
جلسة عمل مع الأمين العام للأمم المتحدة، السيد أنطونيو غوتيريش، ناقشنا خلالها مستجدات الأوضاع في المنطقة لا سيما جهود الجزائر لترقية الحلول السلمية للأزمات في كل من ليبيا، مالي ومنطقة الساحل والصحراء. كما استعرضنا التحديات التي يواجهها مسار تصفية الاستعمار في الصحراء الغربية. pic.twitter.com/DlP9Fz6lFf
— Ramtane Lamamra | رمطان لعمامرة (@Lamamra_dz) September 25, 2021
Guteress salut les efforts de l’AlgérieDe son côté, le secrétaire général de l’ONU n’a pas tari d’éloges à l’égard de l’Algérie et de « ses efforts pour la paix ». En effet, Antonio Guteress, suite à sa rencontre avec Lamamra, a, lui aussi, publié un communiqué sur le site du secrétariat général de l’Agence Onusienne.
Dans son communiqué, Gueterres affirme qu’il « a rencontré aujourd’hui Son Éminence M. Ramtane Lamamra, Ministre des Affaires étrangères de l’Algérie ». Une rencontre, selon le SG de l’ONU, consacrée à l’étude des « questions régionales, notamment le Sahara Occidental, la Libye et le Mali ».
Guterres a notamment « exprimé sa satisfaction pour les efforts continus de l’Algérie en faveur de la paix et de la sécurité en Afrique du Nord et dans la région du Sahel ». Concernant le conflit Algéro-marocain et l’escalade diplomatique entre les deux pays, il est à rappeler que Gueterres a appelé les deux pays frères à un « dialogue positif ».
Secretary-General @antonioguterres meets Algerian foreign minister, discusses regional issues: https://t.co/i62ECgngKP pic.twitter.com/Q2clb04kaE
— UN Spokesperson (@UN_Spokesperson) September 25, 2021
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Le drame des harraga ne cesse de prendre de l’ampleur et continue toujours à endeuiller de nombreuses familles algériennes. Partis dans la nuit du 17 à 18 septembre, un groupe de migrants de la wilaya de Bejaia ont chaviré en haute mer, après l’entame de la traversée en direction des côtes espagnoles.
Il s’agit en effet, de deux embarcations parties depuis l’ouest algérien, plus précisément de la wilaya d’Oran, à la date du 17 et 18 septembre de l’année en cours.
La mauvaise nouvelle est tombée hier tel un couperet sur la tête de leurs familles et proches. Les corps sans vie des harraga à l’immigration clandestine ont été retrouvés par les gardes-côtes au large des côtes d’Almeria.
Deux femmes et un enfant de quatre ans parmi les victimesDans ce contexte, un appel à témoin aux familles des harraga a été lancé par la Ligue Algérienne des Droits de l’Homme, qui précise que l’appel concerne six corps sans vie de migrants repêchés à Almeria.
» Il s’agit de deux embarcations parties d’Oran les 17/18 septembre. L’appel d’identification concerne juste 6 personnes décédées qui se trouvent à Almeria », a écrit Said Salhi, le vice-président de la Ligue Algérienne des Droits de l’Homme sur son compte Facebook.
Il a ajouté : » nous n’avons pas d’informations ou confirmations précises concernant d’autres personnes qui ont pris ces embarcations. Elles peuvent être en vie ou en détention par les autorités espagnoles « .
Selon nos sources, les migrants en question sont originaires de Seddouk, à l’ouest de Bejaia. Parmi ces derniers, figurent deux femmes et un enfant de quatre ans.
De son côté, l’activiste espagnol Francisco Jose Clemente Martin a fait savoir par le biais de sa page Facebook que près de 50personnes sont décédés et disparus le weekend dernier après l’arrivée de plus de 1000 immigrés algériens aux côtes espagnoles.
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Le sélectionneur algérien Djamel Belmadi avait dénoncé l’arbitrage dans le football africain, notamment dans le match de l’équipe nationale contre le Burkina Faso. En effet, l’entraîneur de l’EN a illustré avec plusieurs exemples où les erreurs d’arbitrage sont flagrantes, dans l’impunité absolue.
A Marrakech, lors du match Algérie – Burkina Faso, les hommes de Belmadi ont déployé d’énormes efforts pour remporter le match, des efforts tristement obstrué par l’arbitre Joshua Bondo. Ce dernier a eu un impact sur le résultat du match à cause de ses décisions, faisant abstraction sur un penalty à la 87ème minute qui aurait pu changer la donne.
La FAF passe à l’action, elle dépose plainte contre l’arbitre Botswanais, avec un dossier accablant envoyé à la CAF, avec au moins trois fautes graves, des vidéos et photos à l’appui. Entre le penalty non sifflé, le carton jaune de Bensebaini ou encore l’agression de Zerrouki, c’est évident, l’arbitrage en Afrique est loin du code de déontologie.
“Pour les arbitres, ça devient scandaleux”L’entraîneur de l’EN n’a eu de cesse de dénoncer la corruption et la mal gérance, que ce soit concernant les pelouses des stades ou les arbitres, c’est grâce à lui justement que des changements sont apportés.
L’arbitrage est un sujet récurent et épineux, que nos joueurs connaissent parfaitement puisque c’est loin d’être la première fois où l’Algérie est victime d’arbitrage litigieux, la prestation scandaleuse d’Adelaide Ali Mohamed lors de la rencontre Zambie -Algérie (3-3) est un exemple de ce fléau.
Une chose est sûre, cet arbitrage ne fais qu’éloigner le football africain d’être respecté sur l’échelle internationale, bien que la plainte de la FAF soit une bonne nouvelle, encore faut-il que la CAF punisse et mette fin à l’impunité.
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L’un des plus gros procès de corruption traités actuellement au niveau des instances judiciaires vient d’être reporté. Il s’agit de l’affaire de l’ancien garde des Sceaux Tayeb Louh, impliquant, entre autres, Saïd Bouteflika et Ali Haddad.
Initialement prévu pour ce dimanche 26 septembre au tribunal criminel de Dar El Beida à Alger, le procès de Tayeb Louh et du frère de l’ancien président vient d’être reporté au 10 octobre prochain. Plusieurs sources évoquent l’état d’esprit de Saïd Bouteflika après le décès de son frère.
Lors de leur comparution ce dimanche matin au tribunal de Dar El Beida, cette même institution judiciaire a rejeté la demande de libération provisoire de l’ancien garde des Sceaux et El Hachemi Tayeb.
L’affaire reportée concerne principalement les délits de falsification et de l’influence sur des décisions de justice. L’ancien Premier ministre Noureddine Bedoui et l’ex-secrétaire général à la présidence Haba Okbi devront comparaitre en tant que témoins dans l’affaire.
Les principales accusations portées contre les mis en causeAprès deux ans d’instruction, la Cour suprême a décidé de poursuivre le principal mis en cause, pour « abus de fonction, entrave à la justice, incitation à la partialité et incitation en faux en écriture officielle ». Pas moins de 15 autres accusés sont également impliqués dans cette affaire.
Il s’agit du frère et conseiller de l’ancien président Saïd Bouteflika et de l’homme d’affaires Ali Haddad. Les accusations portées à leur encontre ont été réadaptées au « délits ». Rappelant que des messages téléphoniques ont été échangés entre Saïd Bouteflika et Tayeb Louh concernant des affaires de justice.
Pour sa défense, Saïd Bouteflika avait déclaré qu’il ignorait toutes de ces affaires. Selon lui, son rôle se limitait à rendre service aux personnes qui le sollicitaient. Affirmant que c’est l’ancien président suivait personnellement l’affaire de Chakib Khelil, il déclare qu’il est totalement étranger à ce dossier.
36 anciens hauts responsables comme témoinsL’ancien ministre de l’Énergie Chakib Khelil, son épouse Nadjat Arafat et ses deux fils Sina et Kheldoune sont également impliqués dans l’affaire de Louh. Actuellement en fuite, des mandats d’arrêt internationaux ont été lancés à leur encontre.
Plusieurs autres hauts cadres du secteur judiciaire font également partie des accusés. Il s’agit de l’ex-président de la Cour d’Alger répondant aux initiales (B.M), le procureur général près la Cour de Boumerdès, la dénommée (Z. Dj), le juge instructeur près le tribunal de Sidi M’hamed (S.S.A) et l’ancien procurer près la même juridiction (B.KH).
À n’en citer que ceux-là, le procès devra également connaitre la comparution, en tant que témoins, de pas moins de 36 anciens hauts responsables, dont Noureddine Bedoui, Haba Okbi, Maheiddine Tahkout ainsi qu’un bon nombre de juges et procureurs de la République.
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Les Algériens, qui font face déjà à plusieurs pénuries, se sont étonnés que la crise touche également le livre scolaire. Ces livres, indispensables pour les élèves, et qui se vendaient au niveau des écoles autrefois, sont devenus cette année une denrée rare, menaçant ainsi une rentrée qui survient dans un climat assez tendu.
Outre les régions isolées du pays, la pénurie du livre scolaire s’est invitée cette année dans de nombreuses grandes villes, dont la capitale Alger. L’affaire fait jaser sur les réseaux sociaux, mais les seules victimes restent les élèves, déchirés à cause d’un différend entre la tutelle et les employés des établissements scolaires.
Les raisons d’une crise qui aurait pu être évitéeTout le monde à le souvenir d’une opération de vente de livres scolaires qui se passait sans trop d’encombres au niveau des établissements scolaires. Alors pourquoi la tutelle a décidé de transférer l’opération vers plusieurs points de vente ?
Le livre scolaire se vend désormais sur des plateformes numériques, des points d’exposition, mais surtout au niveau des librairies. Ceci dit, ce ne sont pas tous les parents Algériens qui savent se servir de l’outil informatique, et les librairies sont en voie de disparition dans le pays. Si à Alger le nombre des librairies est minime par rapport à la densité de la population, dans des endroits plus isolés, elles sont inexistantes.
Selon Djilali Issadi, président du comité national des services économiques, les employés des lycées et des collèges s’occupaient de la vente des livres au niveau des écoles. Ces employés organisaient le transport, le stockage et la vente. Ils remboursaient même les livres perdus et endommagés, et s’occuper des frais de transport, et ce, en les payant de leurs propres salaires, indique encore le même intervenant dans une déclaration à El Chourouk.
Plusieurs rencontres ont été organisées avec le ministère de l’Éducation pour arriver à une solution qui va permettre à ces employés de se faire rembourser. Mais la telle n’a rien voulu entendre, indique encore la même source. Cela a poussé les salariés à refuser de vendre eux même les livres, annonçant ainsi le début d’un cafouillage dont la victime ne sera que l’élève.
Les « solutions » du ministèreFace à la pénurie, la réaction du ministère reste calme et mesurée, voire inexistante. le ministre de l’éducation, Abdelhakim Belabed a cependant insisté sur l’importance de diversifier les sources d’acquisition des livres scolaires. Cette déclaration, plus proche de l’indication que de la solution, reste loin des attentes de plusieurs parents d’élèves dont les enfants sont encore privés de livres alors que le coup d’envoi de l’année scolaire a été donné.
Le ministre a également souligné la nécessité d’activer tous les mécanismes garantissant le droit de l’élève à se procurer le manuel et de diversifier ses sources d’acquisition. Le ministre n’a toutefois pas donné aucune piste ni précision.
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Le joueur international algérien, Riyad Mahrez, est à son 150ème match avec Man City, la star du club souvent au sujet des polémiques, chouchou de la presse et des supporters anglais, Mahrez suscite beaucoup de questions dernièrement quant à sa relation avec Pep Guardiola, et ce, suite à la fameuse altercation qu’ils ont eue.
Pour la sixième journée de Premier League, les Citizens se sont imposés contre Chelsea (0-1), sans Mahrez.
Le capitaine des Verts est resté sur le banc des remplaçants, pour la cinquième fois consécutive, il ne semble plus convaincre l’entraîneur espagnol en dépit de ses performances exceptionnelles qui mettent tout le monde d’accord, à l’exception de son entraîneur qui ne lui accorde pas plus que 10 minutes sur la pelouse.
L’altercation a, pour rappel, eu lieu lors de le rencontre de Manchester city face au RB leipzig. En effet, L’ancien entraîneur du FC Barcelone s’est montré en colère, ayant des gestes forts et offensifs, chose qui a choquée tout le monde, spécialistes et supporters confondus. La raison? Mahrez n’aurait pas suivi les instructions de Guardiola. Pourtant, le joueur n’a eu de cesse de faire ses preuves sur la pelouse, notamment lors de cette rencontre, où il a inscrit un but sur penalty pour les Skyblues.
Même scénario, joueur différentPep Guardiola est un grand entraîneur aux tactiques et style de jeu très convaincants, cependant, sa relation avec ses joueurs n’a pas toujours été aussi impressionnante.
Il est détesté par plusieurs grands joueurs, son comportement lui a coûté le respect de beaucoup de footballeurs talentueux tels que Zlatan Ibrahimovic, Yaya Touré ou encore Samuel Eto’o, ce dernier resté sur le banc à maintes reprises suite aux décisions de Guardiola, il a dévoilé au grand jour le manque de respect qu’il a subi de la part de son ancien entraîneur.
Laisser Mahrez, la star de Manchester City sur le banc des remplaçants pour des rendez-vous aussi importants nous pousse à se poser la question : est-ce une décision purement footballistique ?
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Dans le cadre des réunions programmées avec les responsable de la compagnie aérienne nationale, Air Algérie en l’occurrence, afin de la sauver d’une éventuelle faillite, le ministre des Transports, Aissa Bekkai, a présidé ce jeudi 23 septembre, une réunion en présence des cadres du ministère, du président-directeur général par intérim de ladite compagnie et certains de ses responsables.
» La réunion a été consacrée à l’étude du plan de travail de la direction de l’entreprise concernant la qualité des services fournis à ses clients et les moyens de les améliorer, et ce, à travers de certaines mesures affectant toutes les structures et sections de de ladite entreprise « , lit-on dans un communiqué du ministère des Transports.
La même source a ajouté que les mesures en question concernent, à savoir, la fourniture de sièges, la bonne réception des clients, le respect du calendrier et etc.
Aissa Bekkai appel » à revoir complétement les prix des billets «Lors de la réunion, le ministre a également ordonné un examen du fonctionnement des différentes structures de base de la compagnie, à l’image des agences commerciales déployées sur le territoire national, estimées à 82 agences, en relançant leur activité et en les exploitant dans de nouveaux domaines afin de bénéficier de plus de rendement économique.
En ce sens, et afin de diversifier l’économie et les sources de revenus du trésor public, le même responsable a appelé à » revoir complétement les prix des billets d’avion, notamment pour les vols intérieurs vers le sud, et ce, afin d’encourager le tourisme dans le désert « .
Dans un autre chapitre, Aissa Bekkai a souligné sur la nécessité de préparer un plan d’action avec des mesures et des mécanismes concrets et un calendrier fixé pour le court, le moyen et le long terme, en consultant le partenaire social dans les futures options stratégiques, afin que le changement le plus important soit de l’intérieur de l’entreprise et se base principalement sur ses propres capacités.
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