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Updated: 2 days 56 min ago

Pénurie de médicaments : Benbouzid s’en lave les mains, Benbahmed s’explique

Sun, 14/11/2021 - 20:45

Depuis quelques semaines, plusieurs voix se sont levées pour dénoncer une pénurie de certains médicaments, dont les anticancéreux. Un manque confirmé par le premier responsable du secteur de la Santé en Algérie, Abderrahmane Benbouzid, qui a rejeté toute la responsabilité sur le ministre de l’Industrie pharmaceutique.

La semaine dernière, le ministre de la Santé a déploré, dans une déclaration à nos confrères de Liberté, des ruptures de médicaments anticancéreux ; mais aussi des pénuries de toutes sortes de produits pharmaceutiques. « Le ministère a reçu plusieurs réclamations liées à des ruptures de médicaments et de dispositifs« , a-t-il ajouté.

Les précisions du département de Benbahmed

Face à cette situation, le ministère de l’Industrie pharmaceutique n’a pas tardé à réagir. En effet, le département de Lotfi Benbahmed a apportés quelques précisions sur cette pénurie.

Selon un communiqué rendu public ce dimanche 14 novembre ; « une série de réunions et d’entretiens avec les laboratoires fournisseurs d’insuline (…) ont abouti à une « baisse de 20% sur le prix des insulines importées, ce qui permettra de réduire considérablement la facture d’importation des médicaments ainsi que le montant des dépenses des caisses de la sécurité sociale pour la prise en charge du diabète ».

« Une quantité de plus de 200.000 unités a été réceptionnée le 9 novembre 2021, dont 100.000 ont été distribuées et 100.000 autres sont en cours de libération (…) 250 000 boîtes supplémentaires seront réceptionnées dans les prochaines semaines, ce qui permettra de couvrir largement les besoins du marché national des insulines rapides pour cette fin d’année », a expliqué le département de Benbahmed dans le communiqué.

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Violences conjugales : l’étrange histoire d’un couple algéro-marocain

Sun, 14/11/2021 - 17:58

Agression, violence et féminicide, sont des crimes dont les femmes sont les principales victimes, avec chacune une histoire différente, voici celle d’une Algérienne en France.

À Caen, au nord de la France, une Algérienne de 20 ans a déposé plainte contre son compagnon le 19 mai dernier, et ce, pour violences conjugales. Les informations émises par la plaignante indiquent qu’elle a été frappé violemment par son compagnon, ne voulant plus être en relation avec elle. Elle dit avoir reçu ces coups en lui rendant visite à la résidence université dans laquelle il habitait.

Mais pas que, la violence n’a pas commencé au moment de la « rupture », la plaignante algérienne affirme avoir subi d’autres violences dans le passé qui ont engendré une fausse couche.

Le plot twist hollywoodien d’une Algérienne

En juin, les dires de la jeune femme algérienne changent complètement. Il s’avère que sa famille s’opposait catégoriquement à la relation qu’elle avait avec le jeune marocain. Pour forcer l’amoureuse éconduite à mettre fin définitivement à sa relation avec lui, son oncle l’aurait contraint à déposer plainte.

C’est donc une autre histoire que le tribunal de Caen a entendu, le couple qui est de nouveau ensemble a donné des témoignages. Le jeune marocain a contesté les faits qui lui étaient reprochés, en pointant du doigt l’oncle de la jeune fille, expliquant que ce dernier l’exploitait.

Une histoire hollywoodienne qui ne tient pas debout devant les juges, puisque le tribunal a décidé d’incarcérer le jeune marocain pendant six mois avec un stage obligatoire contre les violences conjugales.

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Categories: Afrique

Benabderrahmane à Dubaï : « L’Algérie a lancé des réformes inédites »

Sun, 14/11/2021 - 17:47

C’est à l’occasion de la journéeconsacrée  l’Algérie dans le cadre de Expo 2020 Dubaï, que le premier ministre et ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane, a prononcé une allocution ou il a souligné des « réformes importantes te sans précédent » qui ont été entreprises par l’Algérie.

En effet, le premier ministre, outre le fait de souligner l’importance de l’Expo 2020 Dubaï, a également mis en exergue le rôle de l’Algérie ainsi que sa vision prospective qui fait de la complémentarité et de l’intégration régionale des priorités incontournables.

Des réformes politiques et économiques

Le premier ministre a déclaré que « la vision prospective de l’Algérie place l’intégration régionale au centre de son attention » et que le pays « s’est engagée dans des réformes politiques et économiques sans précédent menées par le président Tebboune afin faire progresser tous les secteurs ». Pour ce faire, l‘Algérie compte, d’après le même responsable, « exploiter ses ressources matérielles et humaines ».

Benabderrahmane a également affirmé que « la conviction de l’Algérie dans l’intégration régionale est une perception incarnée par la route transsaharienne, qui constitue un véritable ajout à la voie de l’intégration en Afrique ».

Il s’agit d’après le premier ministre d’un « véritable voyage économique qui constitue un réel ajout » et d’un « moteur efficace du développement et de l’investissement dans toute la région ».

« Les partenaires de l’Algérie, ajoute Benabderrahmane, ne sont pas loin des buts fixés par l’Algérie, et parmi eux les Émirats Arabes Unis avec qui l’Algérie est liée via des relations économiques diverses et riches que nous tentons de renforcer notamment dans le secteur des investissements« .

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Covid-19 : le bilan détaillé de ce 14 novembre

Sun, 14/11/2021 - 17:09

L’Algérie, selon le Dr Derrar, directeur de l’institut Pasteur Algérie, est en pleine troisième vague. Cependant, les chiffres officiels, communiqués quotidiennement par le ministère de la Santé, indiquent que la situation reste maitrisable.

En effet, aujourd’hui l’Algérie a recensé 97 nouveaux cas de contamination à la covid-19, contre 109 cas annoncés par le bilan d’hier. La pandémie est toujours présente donc, mais rien d’alarmant comparé au 2000 cas que le pays enregistrait chaque jour lors de la précédente vague.

Les chiffres du département de Benbouzid ajoutent que l’Algérie déplore aujourd’hui 7 nouveaux décès à cause des complications liées au coronavirus. Les mêmes chiffres font également état de 64 nouvelles guérisons et de 18 nouvelles admissions aux services de réanimation.

4e vague : nous y sommes ?

Selon le Dr Derrar oui. Le directeur général de l’ IPA (Institut Pasteur d’Algérie) a déclaré aujourd’hui que l’Algérie est déjà en pleine quatrième vague.

Le même intervenant affirme que « l’Algérie est officiellement entrée dans la quatrième vague épidermique du coronavirus » et que « la courbe épidémique de la 4e vague commence à monter, certes pas assez vite, mais autant ascendante que les vagues précédentes ».

Ces mises en garde interviennent au moment où la campagne vaccinale en Algérie est presque au point mort. Pas plus de 11 % de la population algérienne est vaccinée contre la covid-19 au moment où, en Europe, la dernière vague est considérée comme une pandémie des non vaccinés.

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Mortalité due au Covid-19 et vaccination : le « 50/50 » du Pr Senhadji

Sun, 14/11/2021 - 16:46

La quatrième vague est sur toutes les lèvres. Alors que plusieurs spécialistes mettent en garde contre son arrivée, d’autres affirment qu’on est en plein dedans.

Le professeur Kamel Senhadji, président de l’Agence nationale de la sécurité sanitaire, a préféré de se pencher sur la campagne vaccinale et sur la réticence des citoyens au vaccin, seule issue de secours et unique porte de sortie pour échapper à la pandémie, estime le spécialiste.

Selon le Pr Senhadji, la réticence des Algériens à la vaccination est loin d’être logique. Il affirme qu’au lieu de craindre la maladie, les citoyens fuient le remède. En effet, intervenant dans une émission sur l’ENTV, le spécialiste affirme qu’il déplore « la crainte du vaccin affichée par les Algériens et non contre un virus mortel ».

Le médecin commet même une comparaison simple entre le danger de la covid-19 et celui du vaccin : « le virus porte en lui de 50 % de probabilités de tuer et 50 % de ne pas tuer », affirme-t-il en ajoutant « que le vaccin est à 100 % pas nocif, et s’il ne fait pas de bien alors il ne fera pas de mal non plus ».

Vaccination anti-covid en Algérie : « personne n’en est mort »

Le Pr Senhadji regrette que 13 millions de doses de vaccin anti-covid risquent la péremption, alors que le pays est aux portes d’une quatrième vague.

Le même intervenant a également indiqué que, selon les données dont il dispose et celle enregistrées chaque semaine par la cellule de veille, chargée du suivi de la vaccination, aucun symptôme grave menant au décès n’a été enregistré en Algérie.

Après l’injection du vaccin, de légers effets indésirables peuvent toutefois se manifester, confie le Pr Senhadji. Ces effets peuvent aller d’une douleur à l’emplacement où la piqûre a été faite jusqu’à une fièvre légère.

Le spécialiste n’a pas manqué d’inviter les citoyens à aller se faire vacciner, et à ne pas croire les rumeurs véhiculées sur les réseaux sociaux. Ces rumeurs tentent de remettre en cause l’efficacité des vaccins et la fiabilité de nos médecins, alerte le Pr Senhadji.

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Canada : immigrer sans diplôme est-il possible ?

Sun, 14/11/2021 - 16:36

Qui ne rêve pas de changer de pays et de commencer une nouvelle vie professionnelle à l’étranger ? Beaucoup étouffent ce rêve avant même de se lancer dans les procédures et de tenter leur chance, de crainte que certains obstacles viendront les bloquer à l’instar de la langue et le diplôme exigés.

Cependant, ces obstacles s’estompent petit à petit puisque plusieurs pays facilitent les procédures de l’immigration afin d’attirer le plus de travailleurs possible, et ce, pour réanimer et relancer l’activité économique dans certaines zones du pays qui rencontrent une véritable pénurie d’effectif.

Cela a été le cas du Canada, qui a ouvert ses portes à travers plusieurs programmes d’immigration aux travailleurs étrangers, une initiative intéressante pour les algériens souhaitant s’y rendre et s’y installer.

Le « Canadian Dream » sans diplôme et sans IELTS ?

Parmi les difficultés que les algériens peuvent rencontrer dans les procédures d’immigration vers le Canada : le diplôme universitaire et le International English Language Testing System (IELTS). Mais, c’est devenu possible de partir au pays de la feuille d’érable sans ces derniers.

En effet, lorsqu’on se rend sur le site canadien « Job Bank », qui est un site gouvernemental de recrutement international. Il suffit de taper sur la barre de recherche du site « LMIA », signifiant que le travail que vous cherchez ne nécessite pas d’Étude d’Impact sur le Marché du Travail (ou Labour Market Impact Assessment), l’employeur peut procéder à votre recrutement sans problème, vous aurez donc un visa de travailleur.

En tapant « LMIA » tout les postes disponibles seront affichés, vous pouvez cliquer sur ces offres d’emploi pour avoir plus d’informations quant à l’expérience, les compétences et le profile recherché. Comme par exemple le poste de surveillant du service alimentaire qui n’exige qu’un diplôme d’étude secondaire (lycée).

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Corruption : une nouvelle affaire rattrape Youcef Yousfi

Sun, 14/11/2021 - 16:02

L’ancien ministre de l’Industrie Youcef Yousfi devra comparaitre incessamment devant le tribunal de Sidi M’hamed à Alger, en compagnie de plusieurs autres anciens hauts responsables avec l’homme d’affaires Kharbouch.

Le juge instructeur du pôle pénal économique et financier près la même juridiction, a transféré le dossier de corruption impliquant Youcef Yousfi, d’anciens hauts responsables aux ministères de l’Agriculture et de l’Industrie et l’homme d’affaires Kharbouch, à la programmation.

Selon des sources citées par le quotidien Echorouk, il s’agit du dossier de corruption lié à l’importation de tracteurs agricoles. Le procès sera programmé au plus tard le mois de décembre prochain, précise la même source.

Les mis en cause dans ce dossier sont poursuivis pour octroi d’indus avantages à autrui, dans le cadre de conclusion des marchés publics, dilapidation de deniers publics, abus de fonction et violation de la réglementation en vigueur concernant les mouvements de capitaux de et vers l’étranger.

Pour rappel, la chambre d’accusation près la Cour d’Alger a prolongé la détention provisoire de Youcef Yousfi et de l’homme d’affaires Kharbouch, ainsi que les autres mis en cause dans la même affaire. Cette décision est intervenue 24 mois après leurs mandats de dépôt.

Après avoir rejeté la demande de contre-expertise, concernant le rapport de l’Inspection générale des finances, introduite par l’homme d’affaires Kharbouch en mai dernier, la chambre d’accusation près la Cour d’Alger a décidé, début octobre, de prolonger la détention provisoire des accusés.

Le procès en appel de Hamid Melzi reporté

Dans une autre affaire, la Cour d’Alger a reporté ce dimanche le procès en appel des jugements de première instance prononcés contre l’ancien directeur de la résidence d’État « Sahel », Hamid Melzi et ses co-accusés, au 28 novembre pour absence de la défense.

La date initiale de ce procès coïncide, en effet, avec la grève des avocats en réponse à l’appel de l’Union nationale des ordres des avocats qui avait décidé, mercredi dernier, de boycotter l’activité judiciaire pendant un jour devant toutes les juridictions et les établissements pénitentiaires.

Il convient de rappeler que le tribunal de Sidi M’hamed avait condamné Hamid Melzi à une peine de 5 ans de prison ferme, assortie d’une amende de 8 millions de DA dans une affaire de corruption dans laquelle sont poursuivis d’autres responsables, dont les deux anciens Premiers ministres, Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal.

L’ancien Premier ministre, Ahmed Ouyahia a été condamné à une peine de 6 ans de prison ferme assortie d’une amende d’un million de DA. Abdelmalek Sellal, quant à lui, a écopé d’une peine de 5 ans de prison ferme, assortie d’une amende d’un million de DA.

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Vente des tickets Algérie – Burkina Faso : le ministère dépose plainte

Sun, 14/11/2021 - 15:21

Pas moins de 14 000 tickets pour le match Algérie – Burkina Faso ont été vendus hier samedi. Effectuée en temps record, leur vente témoigne du degré d’encouragement des supporters Algériens pour leur équipe nationale. Cela a également mis à nu certains comportements déplorables que le ministère de la Jeunesse et des sports ne veut pas laisser impunis.

En effet, le ministère de la Jeunesse et des Sports a indiqué aujourd’hui, 14 novembre 2021, via un communiqué publié sur sa page Facebook, qu’une plainte a été déposée ce matin concernant les « agissements criminels », qui ont eu lieu lors de l’opération de la vente des billets.

Selon le communiqué, « il s’est avéré, ces dernières 48 heures, que des parties revendent des faux et des vrais tickets à travers le territoire national, sur les réseaux sociaux et sur les sites électroniques ». Le ministère affirme qu’au vu de cette situation,« une plainte a été déposée ce matin auprès des services officiels compétents ».

Cette plainte, selon la même source, vise à « lancer les enquêtes nécessaires afin de démasquer les parties qui se cachent derrières ces comportements criminels ».

Pas plus de 5 tickets par supporters

Le ministère de la Jeunesse et des sports, a pourtant pris toutes ses dispositions, d’après le communiqué. Ce dernier indique que des « mesures strictes ont été prises lors de l’opération de la vente des tickets ».

Ces mesures consistent notamment à rendre obligatoire la présentation d’une carte de vaccination, mais aussi à limiter le nombre de tickets vendus à cinq maximum par supporter, avec, en plus, la présentation des cartes d’identités et les cartes vaccinales des supporters absents.

Malgré ces mesures, les tickets du match tant attendu, ont fait leur apparition sur le marché noir, à des prix exorbitants.

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Montant en devise autorisé sans déclaration: le dossier refait surface

Sun, 14/11/2021 - 14:56

Au sein de l’Assemblée populaire nationale, les parlementaires se penchent sur les préoccupations de la diaspora. Dans le cadre de leur fonction parlementaire et leurs allocutions à l’APN, les députés de l’emmigration, Tawfiq Khedim, Abdelouahab Yagoubi et Brahim Dekhinet ont proposé deux amendements.

Le premier consiste à augmenter le montant de 1000 euros actuellement à 7500 euros à faire rentrer en Algérie sans déclaration obligatoire à la douane. Le deuxième, consiste à augmenter la valeur des objets à usage personnel de 1000 euros actuellement à 7500 euros, à faire rentrer également sans dédouanement. Ces amendements sont acceptés et seront au menu des discussions de la commission des finances et du budget de l’APN.

Dans leurs interventions, les députés ont souligné les problèmes que vit la diaspora algérienne dans les quatre coins du monde, notamment le transfert pécuniaire qui l’impacte négativement, avec un montant timide de 1000 euros autorisés sans déclaration, alors que les pays étrangers autorisent 10 000 euros sans déclaration. Ce détail révèle les obstacles et la bureaucratie qui règnent, empêchant ainsi nos investisseurs établis à l’étranger à lancer des projets en Algérie.

Les préoccupations de la diaspora sont innombrables

En effet, le montant soumis à la déclaration douanière n’est pas le seul problème notre diaspora. Le député de l’immigration Abdelouahab Yagoubi, a transmis certaines de ces préoccupations au gouvernement, dont l’ouverture entière des frontières aériennes et maritimes, le problème des réservations et les prix des billets d’avion.

Les députés ont également tenu à rappeler la souffrance de la communauté algérienne à l’étranger et l’importance des réformes pour cette catégorie.

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Déficit budgétaire : le gouvernement dévoile sa stratégie pour 2022

Sun, 14/11/2021 - 14:35

Après avoir écarté le recours à l’endettement extérieur et la planche à billets, pour combler le déficit budgétaire, le gouvernement dévoile sa stratégie pour l’exercice de l’année prochaine.

Lors d’une plénière à l’APN consacrée aux réponses aux députés sur le projet de loi des finances 2022, le Premier ministre et ministre des Finances Aïmene Benabderrahmane, affirme que le gouvernement compte recourir au marché financier intérieur, aux banques et aux prélèvements sur le Fonds de régulation des recettes (FRR).

Ces démarches interviennent, selon le même responsable, afin de combler le déficit budgétaire de l’année prochaine, et ce, « en attendant l’augmentation continue des cours du pétrole, par rapport au prix fixé dans le budget de l’exercice prochain à 45 dollars ».

Ainsi, le PLF 2022 prévoit, pour couvrir le déficit, de faire recours au financement intérieur de l’économie, via le développement des outils de financement bancaire, a expliqué le Premier ministre. À ce propos, ce marché contient « beaucoup de potentialités financières qu’il faudra mobiliser », a-t-il indiqué.

La fiscalité ordinaire et l’argent de l’informel

Dans le même sillage, le Premier ministre dévoile la stratégie que compte adopter l’exécutif sur les trois prochaines années. Il s’agit, en effet, de la couverture totale des dépenses de fonctionnement par la fiscalité ordinaire, estimée cette année à plus de 65%, qualifiant ce niveau de « très considérable eu égard au taux en vigueur ».

D’ailleurs, l’intervenant a mis en avant l’importance d’élargir l’assiette fiscale, déplorant le fait que « plusieurs catégories de la société ont été contraintes, par la nature des lois en vigueur, à ne pas accomplir leur devoir fiscal ni contribuer au développement ».

Afin d’encourager l’accomplissement de ce « droit fiscal », Benabderrahmane souligne que « le patriotisme commence par le paiement des impôts et la contribution à l’effort national de développement ».

Comme autre source de financement, il ajoute que « le gouvernement s’engagera à thésauriser l’argent circulant dans le marché parallèle, à travers de nouvelles mesures introduites dans le projet de loi, prévoyant un déficit budgétaire de 4.175,2 milliards DA ».

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Vols Qatar – Algérie : le programme de Qatar Airways enfin dévoilé

Sun, 14/11/2021 - 12:43

La pandémie du Covid-19 a provoqué la fermeture des frontières aériennes, maritimes et terrestres dans plusieurs pays afin de contrôler sa propagation. L’Algérie, suite à la décrue considérable du nombre des cas de contamination, a rouvert partiellement ses frontières aériennes, une décision annoncée le 1er juin dernier.

Plusieurs destinations et vols s’ajoutent au fur et à mesure au programme initial de réouverture des frontières aériennes. Le 10 novembre,  l’Algérie a repris ses vols avec le Qatar, ce qui enchante notre diaspora au Qatar ; dans le cadre du renforcement et la revalorisation de l’Algérie comme destination, décision prise par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune.

La ligne Alger – Doha renaît avec une moyenne de deux vols commerciaux par semaine qu’Air Algérie opérera. Dans un cadre de réciprocité, les compagnies aériennes qataries pourront opérer deux vols commerciaux par semaine sur la même ligne.

Qatar Airways dévoile le programme et les conditions

La compagnie aérienne qatarie, Qatar Airways, a programmé trois vols de rapatriement et deux vols commerciaux par semaine. Ces derniers seront opérés tous les vendredis et dimanches, programme prévu jusqu’au 22 mars 2022. Les vols de rapatriement, quant à eux, se feront tous les samedis, lundis et mercredis, et ce, jusqu’au 30 novembre 2021.

Les restrictions et le protocole sanitaire sont toujours mis en place. Pour les conditions d’entrée au Qatar, un test PCR de moins de 36 heures est exigé pour les vols sans escale Doha – Alger, et un autre de moins de 72 heures pour les vols avec escale Kuala Lumpur – Doha – Alger. En plus d’une fiche sanitaire, un test antigénique à l’arrivée est tout aussi obligatoire.

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7500 bénéficiaires annuels de l’assurance chômage : qui est concerné ?

Sun, 14/11/2021 - 12:14

Alors que l’Algérie traverse une situation économique des plus difficiles, le nombre de chômeurs ne cesse d’augmenter, menaçant ainsi le tissu social du pays. Face à cette problématique qui n’est pas des moindres, le gouvernement tente d’y faire face de plusieurs manières.

L’assurance chômage est l’une des solutions mise en place par le gouvernement, pour assurer un minimum de revenus aux sans emploi. Selon le Premier ministre, Aimene Benabderrahmane, près de 200.000 travailleurs ayant été licenciés ont pu bénéficier de ce dispositif.

En effet, lors d’une séance en plénière à l’APN, le Premier ministre a déclaré, devant les députés, que le nombre des salariés licenciés est de 190.805, bénéficiaires de l’assurance chômage.

Le ministre explique que cette « indemnité concerne les travailleurs qui ont été licenciés de manière involontaire, pour des raisons économiques. Cela peut arriver dans le cadre d’une compression d’effectif ou d’une cessation d’activité de l’employeur ».

Assurance chômage : 7500 bénéficiaires par an

Benabderrahmane indique que « cette indemnité est octroyée par la Caisse nationale d’assurance chômage (CNAC). L’assurance chômage bénéficie de 1,5 % seulement des cotisations de la Caisse des assurances sociales des travailleurs salariés (CNAS), confie cependant le premier ministre ».

Lors de la même séance de la Chambre basse, le Premier ministre affirme que « 7.380 salariés licenciés bénéficient de l’assurance chômage chaque année ».

Concernant l’allocation chômage, mise en place dernièrement, suite à une ordonnance du président Abdelmadjid Tebboune, le Premier ministre indique qu’elle sera destinée aux jeunes primo-demandeurs d’emploi, âgés entre 19 et 40 ans. Ces derniers doivent toutefois être inscrits sur les listes de l’ANEM.

Ces deux dispositifs et celui de l’insertion sociale, dont ce dernier est destiné aux chômeurs âgés entre 18 et 60 ans bénéficiaires d’un salaire égal ou supérieur au SNMG, dans un cadre contractuel, permettent, d’après le même intervenant, d’assurer la catégorie des chômeurs primo-demandeurs d’emploi sans revenu, le minimum d’une vie décente.

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Vaccination Covid-19 et 4e vague : les mises en garde de Benbouzid

Sun, 14/11/2021 - 12:05

Le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid a mis en garde, ce dimanche, contre la 4e vague de l’épidémie du coronavirus ; appelant ainsi à se faire vacciner et se tenir prêt pour y faire face.

Intervenant sur les ondes de la radio nationale, le ministre a d’emblée souligné que « la situation épidémiologique est stable, avec une moyenne de 100 cas et 5 à 6 décès par jour ». Cependant, il a mis l’accent sur une bonne préparation en cas d’une quatrième vague épidémique.

Cela devra éviter, selon lui, de tomber sous les mêmes effets de la 3e vague qui était très virulente. À ce propos, il explique que « l’Algérie n’est pas à l’abri de la quatrième vague que connaissent actuellement certains pays dans le monde ». D’ailleurs, affirme-t-il, « toute vague qui affecte l’Europe finit par atteindre l’Algérie au bout de deux mois ».

Ainsi, « la préparation à cette nouvelle vague devra passer inéluctablement par la vaccination », a-t-il préconisé. Dans ce sillage, le premier responsable du secteur sanitaire, déplore la grande réticence des citoyens à la vaccination, bien qu’elle eût connu un rush en juillet dernier, avec une moyenne de 250 000 opérations de vaccination par jour.

La réticence à la vaccination en chiffres

Face à ce nombre, dit-il, « nous étions optimistes d’atteindre les 70% prévus initialement avant la fin de l’année ». Or, avec la décrue de l’épidémie constatée dès la fin août, « les gens ont commencé à se montrer réticents, avec une moyenne maximale de 13 000 vaccinations par jour ».

Concernant la campagne de vaccination, le ministre a fait savoir que « 11 millions de doses ont été administrées, dont 6 millions pour la première dose et 5 millions pour les deux, ce qui représente seulement 25% de la population ».

Cela dit, il ajoute que ce taux « est loin des chiffres recommandés par les spécialistes (environ 70%) ,ou encore par l’Organisation mondiale de la santé (environ 50%) ». Ainsi, il réitère son appel « aux Algériens de se faire vacciner » tout en rassurant ces derniers sur la disponibilité des vaccins.

À ce propos, Benbouzid souligne que les stocks disponibles actuellement sont à hauteur de 13 millions de doses, notant qu’en raison de l’accumulation des vaccins, « nous avons refusé de recevoir de nouvelles quantités ».

S’exprimant sur l’obligation du pass vaccinal, le ministre indique que cela devra être entamé auprès du public voulant assister à la prochaine rencontre de l’équipe nationale au stade de Blida. Or, « la généralisation de cette mesure ne relève pas des prérogatives du ministère de la Santé », a-t-il précisé.

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Prix de la laïcité : Kamel Daoud se distingue à l’international

Sun, 14/11/2021 - 11:11

L’écrivain algérien, Kamel Daoud, compte à son actif plusieurs Prix prestigieux, auxquels il ajoute cette fois-ci le Prix international de la laïcité 2020. Un prix annuel organisé par le Comité Laïcité République ayant pour but de récompenser les personnes engagées en faveur de la laïcité.

L’auteur à succès a tenu, lors de la cérémonie de remise des Prix de la laïcité dans sa 15e édition, à expliquer le pouvoir que porte chaque mot entre ses lettres, à savoir, la capacité de changer de sens, glisser d’un domaine à l’autre et d’être si expressif et si mystérieux à la fois.

Nous arrivons donc au sens du mot laïcité, qui, pour l’auteur de Zabor ou les Psaumes « il ne s’agit pas seulement de séparer l’Église de l’État, mais la liberté de la mort, la croyance de la vérité, le marchandage de la foi, la violence de l’acceptation, la tolérance de la fuse et le vivre du survivre ».

Un mot et un concept à redéfinir

Le lauréat du Prix international de la laïcité connait très bien la sensibilité du mot « laïcité » dans la société arabe, raison pour laquelle il a également tenu à souligner qu’il faut le dénuer de tout mauvais sens, que lui a conféré « une adversité intolérante » et d’ajouter que « ce sont les intégrismes et les terrorismes qui le définissent, accaparent ce mot, dans leur sournoise conquête du réel ».

Par ailleurs, il estime que ce mot doit être défendu, ou du moins, son sens propre. Dans un siècle envahi par l’intolérance, le sens de la laïcité selon Kamel Daoud est « essentiel, vécu, partagé et prouvé ». La « laïcité » doit également être vite redéfinie pour parer aux catastrophes, selon l’écrivain francophone.

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L’Algérie s’apprête à lancer des banques 100 % en ligne

Sun, 14/11/2021 - 10:49

Des banques en ligne bientôt en Algérie. C’est ce qu’a affirmé Yacine Oualid, ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de l’économie de la connaissance et de la start-up. Cette annonce intervient au moment où le Premier ministre déploie des efforts pour réorganiser et moderniser le secteur bancaire en Algérie.

En effet, hier samedi, sur Clubhouse (réseau social), le jeune ministre délégué de la start-up, Yacine Oualid, a indiqué que  »l’Algérie s’apprête à entrer dans l’ère des banques virtuelles » qui, explique-t-il, proposent des services 100% en ligne.

Une nouvelle loi monétaire ?

Selon le même intervenant, le gouvernement est entrain de travailler sur une nouvelle loi monétaire permettant de créer et lancer des banques virtuelles qui proposent tous les services des banques classiques, mais en ligne.

Les banques en ligne seront bientôt lancées en Algérie et elles vont doter leurs clients de cartes bancaires pour les paiements et les transferts d’argent en ligne, et ce, sans être obligé de se déplacer.

Le ministre ajoute que grâce à cette nouvelle loi, les prestataires de services de paiement (PSP) vont voir le jour, ce qui permettra aux clients de profiter de la naissance de divers nouveaux services de paiement en ligne à travers le pays, à l’instar du paiement via téléphone.

Par ailleurs, le Premier ministre, ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane, suite à l’installation du Centre national de l’épargne, a déclaré que « l’épargne est un stimulateur pour l’économie et pour le développement national », et que « cela devra se répercuter positivement et de manière globale sur l’investissement et la gestion des risques et autres ».

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4e vague : « L’Algérie est en plein dedans », lance le DG de l’IPA

Sun, 14/11/2021 - 10:22

Depuis plusieurs semaines, l’ensemble des spécialistes et responsables du secteur sanitaire en Algérie, alertent sur le risque d’une 4e vague. Actuellement, tout porte à croire que  »l’Algérie est en plein dedans », selon le Dr Fawzi Derrar.

Intervenant ce dimanche matin sur la chaine Echorouk News, le directeur général de l’ IPA (Institut Pasteur d’Algérie) a affirmé que  »l’Algérie est officiellement entrée dans la quatrième vague épidermique du coronavirus ».

En effet, le même responsable affirme que  »la courbe épidémique de la 4e vague commence à monter, certes pas assez vite, mais autant ascendante que les vagues précédentes ». Ce qui sous-entend, selon lui, que nous sommes en pleine 4e vague du Covid-19.

D’ailleurs, précise-t-il  »l’avènement de cette nouvelle vague épidémique était prévisible ». Dans le même sillage, l’intervenant explique que  »le nombre des contaminations est en augmentation depuis un mois ».

Cela est essentiellement dû, ajoute encore le Dr Fawzi Derrar, à  »l’arrivée de la saison hivernale où les gens ont tendance à se réunir dans des espaces clos, ce qui augmente les facteurs de propagation du virus, parallèlement au faible taux de vaccination.

Le Dr Derrar parle du risque d’une 5e vague

Concernant ce dernier point, le directeur de l’IPA a réitéré que  »l’affluence sur la vaccination actuellement pourra nous éviter une cinquième vague plus tard », expliquant que  »même avec la hausse des cas, la vaccination évitera la recrudescence de l’épidémie ».

D’ailleurs, le même responsable va au-delà de la quatrième vague, désormais évidente, pour parler du risque de l’avènement d’une 5e vague, notamment avec la réticence des citoyens à la vaccination.

Toujours à propos de la vaccination, le Dr Derrar indique que  »13 millions de doses de différents vaccins sont actuellement en stock au niveau de l’Institut Pasteur d’Algérie ». Il a également fait savoir que  »5 millions de doses devraient arriver avant la fin du mois en cours.

Pour ce qui est de la situation épidémiologique, le premier responsable de l’IPA souligne que les wilayas d’Alger, Oran et Constantine sont les plus touchées par l’épidémie du coronavirus.

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Taux de change du dinar : les cotations de ce dimanche 14 novembre

Sun, 14/11/2021 - 09:39

Le taux de change de l’euro et du dollar face au dinar s’est stabilisé dans les cotations officielles de ce dimanche 14 novembre. Sur le marché parallèle des devises, les cours des principales devises ont connu de légères hausses.

Dans les cotations officielles de la Banque d’Algérie, la monnaie unique européenne s’échange contre 158,51 dinars à l’achat et 158,56 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, l’unité de la même monnaie est proposée à environ 218,50 dinars à l’achat et 220,50 dinars à la vente.

Le cours du dollar s’est également stabilisé à la Banque centrale d’Algérie, enregistrant 138,13 dinars à l’achat et 138,15 dinars à la vente. Au marché noir aujourd’hui, il est cédé à 188 dinars à l’achat et 191 dinars à la vente.

Le taux de change de la livre sterling dans les cotations commerciales d’ouverture du 11 au 15 novembre 2021, affiche 185,09 dinars à l’achat et 185,16 dinars à la vente. Sur le marché parallèle des devises, un pound s’échange contre 249 DA à l’achat et 245 DA à la vente.

Au niveau des guichets de la Banque d’Algérie, un dollar canadien s’échange contre 110.40 dinars à l’achat et 110.42 dinars à la vente. En outre, il est cédé par les cambistes du square Port-Saïd à 141 dinars à l’achat et 144 dinars à la vente.

Taux de change des monnaies des pays arabes

Le prix du riyal saoudien est resté, dans les cotations de la Banque d’Algérie, à 36,83 dinars à l’achat comme à la vente. Sur le marché parallèle, il est échangé à 48,00 dinars à l’achat et 48,50 dinars à la vente.

Le taux de change du dirham émirati dans les transactions bancaires est de 37,60 dinars à l’achat et 37,61 dinars à la vente. En revanche, sur le marché noir, son échange est de 49,00 dinars à l’achat et 49,50 dinars à la vente.

Le cours du dinar koweïtien, dans le circuit bancaire, est de 456,64 dinars algériens à l’achat et 457,75 dinars algériens à la vente. Par ailleurs, il a baissé sur le marché parallèle à 595,00 dinars algériens à l’achat et 601,50 dinars algériens à la vente.

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Météo : pluies sur plusieurs wilayas ce dimanche 14 novembre

Sun, 14/11/2021 - 09:07

Plusieurs wilayas du nord du pays seront au rendez-vous avec de fortes précipitations, indique le bulletin météo spécial (BMS) de l’Office national de la météorologie.

Dans son alerte publiée hier soir, météo-Algérie a placé 13 wilayas du nord du pays en vigilance orange. Il s’agit des wilayas d’El Taref, Annaba, Skikda, Jijel, Béjaia, Chlef, Tipaza, Alger, Blida, Médéa, Boumerdès, Bouira et Tizi-Ouzou.

Les quantités de pluie annoncées oscilleront entre 20 et 40 mm, et ce, jusqu’à l’après-midi de ce dimanche, vers 15 h 00, précise la même source.

D’autres wilayas du pays sont également placées en vigilance jaune pluie : Sétif, Mila, Constantine, Guelma pour le nord du pays et Adrar, Béni Abbès et Béchar pour le sud.

Pour ce qui est des quantités attendues pour ces régions, Météo Algérie indique qu’elles varieront entre 30 et 50 mm. La validité du bulletin devra s’étaler de dimanche à 03 h 00 au lundi à 03 h 00.

Températures et météo marine

Dans sa carte de vigilance marine, l’Office national de météorologie a mis en alerte jaune, pour la même journée, plusieurs zones côtières et fait état de vents et vagues dangereuses. Il s’agit des côtes d’Annaba, El Kala, Skikda, Jijel, Béjaia, Azefoun et Déllys.

Les températures maximales prévues pour ce début de semaine, selon l’ONM, varient entre 13 à 19 degrés sur les régions côtières ; 12 à 20 degrés sur les régions intérieures et enfin 17 à 29 degrés sur les régions sahariennes.

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Après Belmadi, le FLN critique violemment l’ENTV

Sat, 13/11/2021 - 20:57

Les partis politiques entament la deuxième semaine de la campagne électorale, ayant démarré le 4 novembre. Une campagne qui s’est annoncé timidement dans un contexte socio-économique fragilisé. La plupart des formations politiques ont opté pour les meetings et rassemblements.

C’est le cas notamment de l’ex-parti unique dont le secrétaire général n’est apparemment pas satisfait de la couverture médiatique dédiée à sa campagne électorale. En effet, Le FLN vient de critiquer violemment l’Entreprise National de Télévision.

Dans un communiqué de presse, rendu public ce samedi 13 novembre, le FLN a fait part de son indignation et sa colère vis-à-vis des pratiques de la chaine de télévision nationale. Il s’agit, selon la même source, de pratiques arbitraires qui ciblent intentionnellement le FLN, et ce, dans l’objectif de limiter ses chances dans les prochaines élections locales.

En d’autres termes, l’ex-parti unique reproche à la télévision nationale de ne pas avoir assuré la couverture médiatique de deux meetings tenus par le secrétaire générale, Abou El-Fadl Baadji, dans le cadre de sa campagne électorale.

Victime de « Marginalisation »

Le FLN qualifie la « marginalisation » dont il a été victime de « transgression majeure de la loi ». Selon le même communiqué, cette exclusion s’oppose aux règles et principes établies par l’autorité nationale indépendante des élections (l’ANIE) qui a exigé une couverture médiatique équilibrée et équitable en faveurs de tous les partis politiques.

Il convient de préciser en conclusion, que cette réaction intervient suite à un acte « irresponsable » de l’un des journalistes exerçant à la télévision nationale. Le FLN indique dans son communiqué, que le journaliste en question a eu des altercations avec les organisateurs du meeting, tenu le 10 novembre dans la wilaya de M’sila, avant que le chef du parti Abou El-Fadl Baadji, intervienne et s’excuse auprès du journaliste.

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France : un jeune algérien condamné pour des violences conjugales

Sat, 13/11/2021 - 18:38

Les violences conjugales ne sont guère tolérées dans l’autre rive de la méditerranéenne. La soumission des femmes est un phénomène étrange aux sociétés européennes ou les droits de la femme sont promus notamment le droit d’être protégé de son propre mari.

C’est le cas en effet d’une jeune femme ayant subie de violences physiques de la part de son mari, un jeune algérien âgée de 26 ans et installé en France. Tout a commencé le 7 novembre, lorsque la victime s’est caché dans la salle de bain pour appeler la police afin de venir la sauver.

Une fois sur les lieux, les éléments de la police ont trouvé la jeune épouse dans un état lamentable, souffrant de traces de strangulation au niveau du cou, des griffures au bras et des hématomes. Ainsi, cinq jours d’Incapacité temporaire de travail (ITT) lui ont été prescrits.

De son côté, le jeune homme a essayé de tout nié en avouant qu’il a juste bousculé son épouse qui l’avait provoqué. Pour lui, les traces de coups sont dues à une allergie. Sachant que l’accusé est un alcoolique, la victime a affirmé que le jour de l’incident, son conjoint à consommer une demi bouteille de Vodka

La victime se montre clémente, malgré les violences subies

Présente devant le juge, la jeune femme lâche : « je ne veux pas que mon mari aille en prison ». Pire encore, elle n’a pas tenu un discours cohérent. La victime ajoute « j’ai peut-être abusé un peu ».

Le journal français Télégramme qui a rapporté l’histoire de cette malheureuse femme indique que le tribunal de Quimper dans le nord-ouest de la France a condamné, vendredi 12 novembre le jeune algérien à huit mois avec sursis pour violences conjugales et à une interdiction de contacter sa femme pendant six mois.

D’après l’avocate de la jeune épouse, Me Nassera Hajji, « la victime a fait ce qu’il fallait faire en portant plainte. Mais elle ne veut pas que son mari aille en prison ». De son côté, l’avocat du jeune algérien estime que « le condamner, c’est condamner une famille entière ».

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