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The Declaration of Principles on Ethiopia’s Renaissance Dam: A breakthrough or another unfair deal?

Bonn, 25 March 2015. The Declaration of Principles on the Grand Ethiopian Renaissance Dam (GERD) signed by the three Eastern Nile countries (Egypt, Ethiopia and Sudan) on 23 March 2015 in Khartoum has sparked much controversy among experts and commentators in Egypt. Some consider it a breakthrough between Egypt and Ethiopia after four years of tensions. Others opine that Egypt is bound to lose from this declaration, because it does not include a clear reference to Egypt’s historical rights in the Nile waters and does not ensure any reduction of the huge storage capacity of the GERD. The declaration is a positive step towards reaching a compromise on the largest dam project in an upstream Nile country. However, only the translation of this declaration into balanced technical agreements can build the missing trust between Egypt and Ethiopia and pave the way for sharing the dam’s benefits and reducing its potential negative impacts on downstream countries. A realistic compromise on a complex dilemma The Declaration cannot be evaluated without taking into account the current political context and the historical relations in the Nile basin. During the last decade the balance of power in the Nile basin has been changing in favor of Ethiopia. After decades of Egyptian domination, Ethiopia has managed to combine the hydrological advantage of its position as an upstream country that controls 86 % of the Nile waters and the economic advantage of sustained economic growth. This comes at a time when Egypt, which depends on the Nile for more than 90 % of its water needs, is struggling to sustain its economy after four years of instability. Trapped by its domestic political instability and economic challenges, Egypt was forced to accept the GERD as a fact on the ground. Although the International Panel of Experts that examined the dam recommended conducting more comprehensive studies on the impact of the project on downstream countries, Ethiopia has rejected freezing the construction of the dam until these studies are finalized. Historical mistrust and threats of using force by both sides have raised tensions and brought a halt to technical negotiations. In this context, the Declaration is a realistic compromise on a complex historical dilemma and a true reflection of the current balance of power. On its positive side, the declaration states that the three countries will cooperate to implement the recommendations of the International Panel of Experts, and to reach an agreement on the guidelines of filling and operating the dam. It sets a timeframe of 15 fifteen months from the start of preparing the required studies on the dam for the conclusion of this agreement. Ethiopia is committed, according to the declaration, to take the necessary steps to avoid causing a significant harm to Egypt and Sudan, to mitigate this harm in case it happens, and to discuss compensation “whenever convenient”. However, the Declaration includes no reference to historical agreements or to Egypt’s acquired share in the Nile waters. Furthermore, it did not commit Ethiopia to reconsider the size of the dam and the 74  billion cubic meters storage capacity of the reservoir, a size that several experts considered as technically unnecessary and economically irrational.
What next Much effort and good will is needed to build trust between the three Eastern Nile countries, in particular between Egypt and Ethiopia. The implementation of the recommendations of the international consultancy firm, which will conduct the required studies on the dam, and the resulting technical agreements that will be reached in light of the Declaration will be a necessary step in this direction. Any financial support for the project by international donors and organizations should remain conditional on this implementation. Only these technical agreements and the political will to implement them will determine if the GERD will provide a new example of win-win projects on shared rivers or a quest for development in one riparian state at the expense of others.

Rawia Tawfik is currently Guest Researcher at the German Development Institut / Deutsches Institut für Entwicklungspolitik (DIE) and Lecturer at Cairo University.

Intervention au Vanuatu

MARTOLOD (Blog d'information marine) - Wed, 25/03/2015 - 13:56
Les Forces Armées en Nouvelle-Calédonie interviennent au profit de l’archipel de Vanuatu après le passage du cyclone Pam.

L’ensemble des moyens navals français disponibles à Nouméa ont été mobilisés au profit de l’archipel de Vanuatu, dans le Pacifique sud, sinistré suite au passage du cyclone tropical Pam, l’un des pires de l’histoire du Pacifique. La Marine nationale a dépêché le patrouilleur P400 La Glorieuse en assistance de la frégate de surveillance Vendémiaire déployée au large de l’île d’Erromango.

L’archipel du Vanuatu a été frappé le vendredi 13 mars 2015 au soir par un cyclone dévastateur. Les dégâts matériels sont considérables. Près de 85% des habitations de la capitale ont été endommagées par des vents de 320 km/h. Le Vanuatu est l’un des pays les plus pauvres dans le monde.
Le lundi 16 mars, les Forces Armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) en liaison avec le haut-commissariat de République et l’Ambassade de France au Vanuatu ont conduit une mission de reconnaissance aérienne au profit des sinistrés. Un Gardian du détachement de la flottille 25F a effectué cette reconnaissance dans les iles du Sud de l’archipel au niveau des iles de Tanna et de Erromango, deux îles du sud de l’archipel du Vanuatu particulièrement touchées par le cyclone. Le dimanche 15 mars, un appareil a rallié l’archipel depuis la Nouvelle-Calédonie afin d’y apporter du matériel et une équipe d’évaluation des dégâts. Le lundi 16 mars, la France affrète un avion militaire avec de l’aide humanitaire et évacue six Français.
La frégate de surveillance Vendémiaire qui embarque deux hélicoptères, une Alouette III de l’aéronavale et un Puma de l’armée de l’Air, quitte Nouméa le mercredi 18 mars. Sept tonnes de fret humanitaire de la Croix Rouge et de l’ONG Solidarité Tanna ont été embarquées à bord afin d’être distribuées dès l’arrivée sur zone.
Dès le matin du mercredi 18 mars, les rotations entre Nouméa et l’ile de Tanna ont débuté par l’atterrissage d’un tout premier porteur, un avion Casa de l’armée de l’Air, avec à son bord le personnel et le matériel de première urgence arrivés la veille de Tahiti. Un second avion Casa, déployé en renfort depuis la Polynésie française décolle de la Nouvelle-Calédonie avec à son bord un officier de la base aérienne 186 en charge de réaliser la coordination aérienne sur l’aéroport de Port Vila sur l’île d’Efate. L’aéronef transporte également une dizaine de militaires des FANC qui seront déployés à Tanna, avec pour mission de prendre contact avec les autorités locales et les ONG présentes, pour évaluer sur le terrain la praticabilité des axes et l’état des infrastructures en vue d’y déployer une Base Opérationnelle Avancée (BOA).
Au terme d’une traversée de Vingt-quatre heures, un détachement de l’équipage du Vendémiaire, deux officiers de la police locale, une personne de la Croix Rouge et un médecin sont héliportés par hélicoptère Puma afin de visiter les six dispensaires de l’île Tanna. Le vendredi 20 mars, ce sont plus de trois tonnes de matériel d’urgence réparties en palettes qui sont transportées en deux heures à peine par hélicoptère Puma vers la terre.
Le patrouilleur La Glorieuse de la Marine nationale a appareillé de Nouméa le 20 mars pour rejoindre Erromango, une île d’une superficie de 1 000 Km2 et peuplée de 2 000 habitants située au nord de Tanna. Le patrouilleur a embarqué à son bord deux équipes multifonctions capable de réaliser des accès avec des tronçonneuses, des électriciens du RIMaP, une équipe de la BA 186 en mesure d’évaluer l’état des pistes d’atterrissage et une tonne de fret de la Croix Rouge.
Depuis le dimanche 15 mars 2015, près de trois cents militaires français, appuyés par deux navires et plusieurs aéronefs, apportent une aide humanitaire concrète aux victimes du passage du cyclone Pam.

Categories: Défense

La loi sur le renseignement est-elle liberticide ?

Blog Secret Défense - Wed, 25/03/2015 - 12:57
Un débat sur Radio Notre-Dame
Categories: Défense

Evêque aux armées : peut-on comparer l'avortement et le terrorisme ? (Actualisé-2)

Blog Secret Défense - Wed, 25/03/2015 - 12:32
Les propos de Mgr Luc Ravel sur «l'IVG, arme de destruction massive» suscite la polémique.Le mensuel du diocèse ne pourra plus utilisé le logo du ministère.
Categories: Défense

Cinkes celebspotting

GasparusMagnus Blog - Wed, 25/03/2015 - 12:09

Hamár offline is élvezhető a Cink.hu , mint ma kiderült számomra, elmondok még egy rövid történetet, ami azt bizonyítja, hogy biza kedvenc magyar nyelvű internetes felületem híresedik erőst.

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Categories: Oroszország és FÁK

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