L'Institut supérieur des sciences de la population (ISSP) de l'université Joseph Ki Zerbo (UJKZ) a œuvré pour la formation en genre de 16 personnes venues de la Guinée, du Sénégal, du Ghana et du Burkina Faso. La cérémonie de clôture de ces deux semaines d'activités s'est tenue ce vendredi 2 décembre 2022 à l'ISSP. L'objectif était de développer les capacités des acteurs nationaux et régionaux du développement en vue d'une meilleure intégration du genre dans les politiques, programmes et projets de développement.
« La formation s'est tenue dans une ambiance très cordiale, détendue et où on a pu allier l'utile à l'agréable. Tous les participants se sont sentis exister. On a eu deux semaines d'activités intenses, un vrai marathon, avec des horaires assez serrés. Mais cela dénotait de l'intérêt de la problématique de la session de formation. Les capacités ont été renforcées sur les questions de genre avec ces interrelations avec les thématiques abordées. Il y a eu aussi des cas pratiques qui ont suscité grand intérêt chez les différents acteurs. La symbiose et la richesse culturelle étaient au rendez-vous et cela a facilité l'intégration ». Voilà en somme ce que pensent les participants à cette formation régionale en genre initiée par l'ISSP de l'UJKZ. C'est du moins l'avis de Mahmouth Diouf qui, à l'instar des 15 autres participants, a pris part à cette formation qui aura duré quatorze jours, soit du 21 novembre au 2 décembre 2022.
L'objectif de la formation était clair : « développer les capacités des acteurs nationaux et régionaux du développement en vue d'une meilleure intégration du genre dans les politiques, programmes et projets de développement ». Pour répondre à cette problématique, quatre modules ont été abordés avec les participants. D'abord, la définition du concept genre. Il s'agissait de faire comprendre aux participants « le rôle de la socialisation dans la construction des rapports de genre puis, par la suite, appréhender l'approche genre et développement ainsi que ces multiples enjeux ».
Ensuite, a été évoqué la relation entre genre et santé de la reproduction. De façon spécifique, il était question de « leur montrer les techniques et outils pour intégrer les aspects genre et reproduction dans les programmes de santé de la reproduction ». Le troisième module était consacré à la relation entre genre et violence à l'égard des femmes. « Dans un premier temps, il a été identifié les types de violence faites aux femmes. Dans un second, les participants ont été édifiés sur l'utilisation des instruments juridiques, internationaux, régionaux et nationaux de protection des femmes ». Le dernier module concernait la relation genre et éducation. « Ici, les apprenants ont été édifiés sur les outils méthodologiques et les instruments juridiques pour un examen des questions de genre dans le système éducatif », a rappelé succinctement Dr Bilampoa Gnoumou/Thiombiano.
Elle rappellera au passage que « le genre désigne de façon simple, les rapports sociaux entre homme et femme. Ce n'est pas une domination de la femme sur l'homme. C'est vrai que le genre prône l'égalité, mais ce n'est pas une égalité mathématique. C'est une égalité de chances et d'opportunités. Malheureusement c'est ce que pensent beaucoup de gens ».
C'est d'ailleurs le cas dans les autres pays africains. Selon Adama Diouf, « la question du genre, comme presque partout en Afrique, est un concept qui vient mais qui n'est pas trop compris. On croit que c'est mettre les femmes au-dessus des hommes ».
Que de joie donc pour elle qui, au départ, avait des idées préconçues sur la question du genre, mais qui repart la lanterne éclairée sur ces tenants et ces aboutissants. « Au Sénégal, nous avons une association de journalistes sur le genre. C'était une belle opportunité d'enrichir mes connaissances parce qu'on ne peut pas parler d'une question sans la maîtriser. Vu que je représente une association, je suis amenée à débattre sur cette question. Il fallait que je fasse une formation continue et l'ISSP m'a offert cette opportunité. Quand je venais, j'avais des appréhensions sur la question. La formation a dépassé toute mes attentes et j'ai eu ce que je voulais », se réjouit-elle.
Erwan Compaoré
Lefaso.net
La section protection de l’enfance de la MONUSCO/Beni a facilité, jeudi 1er décembre, la séparation de 14 enfants mineurs dont 3 filles de nouvelles recrues au sein des FARDC.
Cet exercice de séparation a été effectué avec la section DDRRR de la MONUSCO et l’ONG « Action concrète pour la protection de l’enfant » (ACOPE), au centre de recrutement des FARDC de Mambango, situé à 15 KM de la ville de Beni.
Ces enfants âgés tous presque de 16 ans ont été remis à l’ONG ACOPE, financé par l’UNICEF, pour une prise en charge avant leur retour en famille.
Six étudiants ont été blessés par balle, jeudi 1er décembre, lors de l’intervention de la police nationale au campus de l’Université de Kisangani (Tshopo).
Ces agents de l’ordre rétablissaient l’ordre public à la suite des manifestations des étudiants qui réclamaient le réaménagement du calendrier académique avant la session.
Une dizaine de corps ont été sortis, jeudi 1er novembre, d’un éboulement de terre survenu à la fin du mois de novembre dernier à Kalehe (Sud-Kivu). Cette catastrophe naturelle a fait plus de dix morts, détruit plus de 2 000 maisons d’habitation et 7 écoles et bien d’autres dégâts matériels.La société civile du territoire de Kalehe appelle à l’assistance aux sinistrés de cette catastrophe naturelle.
La Direction générale des recettes du Maniema (DGRMA) a lancé, jeudi 1er décembre, la campagne de recouvrement forcé des imprimés de valeur.
Il s'agit des documents CCTO et des vignettes pour les motos et véhicules ainsi que les baleinières.
Selon le Directeur général de la DGRMA, Philémon Bushiri, cette opération de deux semaines se déroulent sur l'ensemble de cette province :
En collaboration avec le Forum RSE et la Chambre des mines du Burkina, l'ambassade du Canada au Burkina a organisé, le mardi, 29 novembre 2022 à Ouagadougou, un atelier d'information et de partage d'expériences sur la Conduite responsable des entreprises (CRE). Il se tient dans le cadre de la commémoration des 60 ans de coopération entre le Burkina Faso et le Canada. L'objectif était de partager l'approche et l'expérience canadiennes de ce concept dans le domaine de l'exploitation des ressources minières. C'était en présence du ministre de l'énergie, des mines et des carrières, Simon Pierre Boussim.
Le président du Forum RSE, Kalid Kéré, a rappelé que sa structure est un cadre multipartite de dialogue et de concertations pour le développement durable dans le secteur minier à la base. De son avis, il était nécessaire de réunir, après la mise à jour de la stratégie CRE du Canada, les parties-prenantes au forum et d'inviter l'ambassade du Canada afin de s'imprégner de cette nouvelle stratégie. D'où la tenue de cet atelier. « Cette activité répond donc au besoin de connaître davantage les déclinaisons de cette stratégie et les enjeux pour nos parties-prenantes, notamment dans le secteur minier, au niveau des communautés que dans le secteur privé en général », a-t-il expliqué.
Cette rencontre, a-t-il poursuivi, est aussi une opportunité pour les acteurs du secteur minier de partager leurs expériences en matière de responsabilité sociale des entreprises et d'identifier ensemble des pistes de solution pour renforcer la contribution du secteur privé au développement économique et social dans ce contexte difficile au Burkina Faso.
Selon son ambassadrice au Burkina, Lee-Anne Hermann, le Canada a entrepris un certain nombre d'actions et d'initiatives qui garantissent une exploitation inclusive, durable et créatrice de richesses pour les pays d'accueil de ses industries extractives.
Ce sont ces initiatives qui ont été présentées aux participants de l'atelier à travers des communications animées par des experts canadiens bien avertis sur le concept. Au nombre de ces actions, il y a l'élaboration et la mise à jour régulière d'une stratégie de CRE.
En effet, 28 avril 2022, le gouvernement canadien a adopté cette mise à jour et l'a érigée en priorité pour les entreprises canadiennes opérant à l'étranger. « Cette stratégie engage les entreprises canadiennes à contribuer au développement durable et à appuyer les engagements du Canada à l'égard des droits de la personne. Cela nécessite que les entreprises canadiennes intègrent des pratiques d'affaires responsables dans toutes les chaînes de valeurs de leurs opérations, dans les pays d'accueil. L'animation de l'atelier qui nous rassemble répond donc au besoin de connaître davantage les déclinaisons de cette stratégie et les enjeux en ce qui concerne les parties prenantes de l'exploitation minière au regard du volume important des investissements canadiens dans ce domaine, mais aussi du secteur privé en général », précise Kalid Kéré.
Il y a, de plus, la création du bureau de l'ombudsman canadien de la responsabilité des entreprises (OCRE) qui est une structure chargée de la protection des droits de la personne contre les éventuelles dérives des entreprises canadiennes œuvrant à l'extérieur du pays dans les secteurs vestimentaire, minier, pétrolier ou gazier.
La dernière initiative présentée au cours de l'atelier est une norme mondiale pour la durabilité minière développée par l'Association minière du Canada. Elle est dénommée « Vers le développement minier durable » ou Towards sustainable mining (TSM) en anglais.
« L'histoire du Canada démontre que les industries extractives peuvent contribuer à édifier un pays. Les sociétés canadiennes actives dans le secteur extractif et dans la fourniture des biens et services miniers contribuent de façon marquée à la prospérité du Canada, tout comme au développement économique des pays où elles mènent des activités. En effet, le secteur minier peut servir de catalyseur pour la croissance économique, la création d'emplois et l'autonomisation socio-économique des femmes et des jeunes pour ainsi contribuer à répondre aux besoins socio-économiques de la population burkinabè. Mais pour y parvenir, il faut au préalable s'assurer une gouvernance vertueuse, respectueuse des règles et de l'environnement », explique l'ambassadrice Lee-Anne Hermann.
Au cours de cet atelier, le président de la Chambre des mines, Adama Soro, a présenté les enjeux et les défis liés à la gouvernance des sociétés cotées en bourse, dans une situation de pays en voie de développement. Cette présentation a fait ressortir les difficultés auxquelles font face les sociétés minières, cotées en bourse, au Burkina Faso. La cotation en bourse est un gage de transparence et contraint les sociétés minières au respect d'un certain nombre de règles et de normes auxquelles elles sont soumises.
A travers le parrainage de cette activité, le ministre de l'énergie, des mines et des carrières, Simon Pierre Boussim, a réaffirmé l'engagement résolu du gouvernement à promouvoir un secteur minier résilient, vecteur de développement durable. Il a par ailleurs salué cette perspective canadienne qui consiste à voir au-delà du profit pour mettre en avant les intérêts des parties-prenantes.
O.H.L
Lefaso.net
L'Ecole normale supérieure (ENS) a procédé au lancement officiel de ses premières journées scientifiques à la salle PSUT de l'UNZ ce jeudi 1er décembre 2022. Cette première initiative intervient dans un contexte difficile pour le Burkina et se veut un cadre pour l'ENS d'apporter sa contribution scientifique et éducative au traitement des préoccupations actuelles du pays (crises environnementale, sanitaire, sécuritaire et des conflits sociaux).
Dans le cadre de la mise en œuvre de ses missions de formation et de recherches, l'Ecole normale supérieure a organisé ses premières journées de recherches sur le thème : « Recherche scientifique et éducation en situation d'urgence ». En effet, à travers cette initiative, l'ENS attend apporter sa contribution scientifique et éducative au traitement des préoccupations actuelles du pays où sévissent de manière complexe des crises environnementale, sanitaire, sécuritaire et des conflits sociaux ainsi que leurs corollaires. Dans ses propos, le directeur général de l'ENS, le Pr Ousséni So, s'est réjoui de la tenue de ces premières journées et n'a pas manqué de saluer la présence des autorités ainsi que des participants à cette cérémonie officielle de lancement.
Il précise par ailleurs que l'Ecole normale supérieure a une expérience cumulée de plus de 25 ans de par ses nombreuses mutations, avec une assise particulière dans le système éducatif du pays. Selon lui, elle est la seule école de formation des enseignants du post-primaire, du secondaire et des encadreurs pédagogiques de tous ordres d'enseignement. Elle brille également par la recherche en sciences et techniques, en sciences de l'éducation et de la formation et la formation à la recherche.
M. Barry, représentant le ministre en charge de l'éducation nationale, a souligné que « cet évènement est très important dans la vie de cette nouvelle institution qui est le fruit de la fusion de l'Ecole normale supérieure de Koudougou et de l'Institut des sciences ». Ainsi, il n'a pas manqué de saluer l'initiative tout en souhaitant plein succès pour les deux jours de travaux.
Dans son discours d'ouverture, le Pr Felix Valéa, conseiller technique, représentant le ministre de l'enseignent supérieur, de la recherche et de l'innovation, a réaffirmé la disponibilité de son ministère à accompagner l'ENS dans ses initiatives. Pour lui, les rencontres scientifiques sont des occasions privilégiées dont disposent les enseignants-chercheurs et les chercheurs pour partager et valider avec leurs pairs les projets et les résultats de leurs recherches et aussi interagir plus largement avec le public sur des productions dont la finalité concerne essentiellement la résolution des problèmes et l'amélioration de la vie des populations.
Tout en paraphrasant le Premier ministre, il souligne que « l'enseignement doit faire place à l'éducation ». [ Cliquez ici pour lire l'intégralité ]
Prince Omar
Lefaso.net
Ouagadougou, le 02 décembre 2022
La SONABEL informe les abonnés du Centre Régional de Consommation de Ouagadougou (CRCO) qu'elle entreprend des travaux d'entretiens de son réseau de distribution.
Ces travaux vont occasionner une suspension temporaire de la fourniture de l'électricité selon le planning ci-dessous :
• le samedi 3 décembre 2022 de 08h à 13h dans les zones de Goughin, Pissy, Cissin, Pag-Layiri, Kouritenga, Tanghin, Bang-Pooré, Kienfagué et Komsilga.
• le dimanche 4 décembre 2022 de 07h30 à 14h30 dans les zones de Tanghin-Dassouri, Bingo, Bouli, Kayao, Komki-Ipala, Tintilou, Kokologo, Sakoinsé, Bouloré, Pitmoaga, Zagtouli, Saondogo, Boansa, Rimkiéta et Koumdagnoré.
Pendant la période de ces travaux, les appareils et installations devront, par mesure de sécurité, être considérés comme restant sous tension.
Le Département Communication et
Relations Publiques
Dans une déclaration dont Lefaso.net a obtenu copie, l'ancienne députée de l'Assemblée législative de transition (ALT), Adja Zarata Zoungrana, dénonce les accusations sans fondement selon elle, portées contre des opérateurs économiques, dans des vidéos postées sur les réseaux sociaux. Elle s'insurge particulièrement contre la dernière en date et qui accuse le PDG du groupe Ebomaf, Mahamadi Bonkongou, de malversations.
Adja Zarata Zoungrana, invite les Burkinabé à garder en tête la contribution des opérateurs économiques dans l'édification de la nation et à mettre de côté les accusations fortuites qui ne font que plonger le pays dans l'abîme.
Il faut rappeler que Adja Zarata Zoungrana, avait au cours d'une conférence de presse apporté son soutien au président Ibrahim Traoré, dès les premières heures du putsh de 30 septembre 2022.
Lisez-plutôt.
DECLARATION LIMINAIRE
Cette déclaration vient en point nommé décrier des agissements de certains internautes qui visent à mettre en mal notre vivre ensemble et semer la peur chez certains compatriotes burkinabè.
Depuis un certain moment au Burkina certains citoyens s'inscrivent dans une forme dénigration et de manipulation qui sont loin d'être des comportements à adopter pour l'intérêt supérieur de la nation.
A l'arrivée au pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré, un diagnostic clair a été fait de la situation nationale. Et il est demandé à tout burkinabè de construire ensemble des idées de résilience, de courage, de partage, et d'amour du prochain.
Ces derniers jours forcé est de constater des vidéos qui sont devenues virales sur les réseaux sociaux incriminant certains de nos opérateurs économiques comme étant une source des problèmes que nous vivons. Le but de ces vidéos est de créer au sein de la population une forte tension qui portera atteinte à la dignité de ces fils du pays.
Il est clair que ces personnes n'ont pas encore compris la gravité de la situation. Le moment est mal choisi pour faire porter à ces opérateurs économiques.
Face à cette situation sécuritaire délétère, comme l'a mentionné le chef de l'Etat tout le monde est responsable avec bien sûr de degré différent. Il n'y a pas lieu de chercher les boucs émissaires.
Une fois de plus je vous invite à une introspection profonde.
Les opérateurs économiques détiennent environ 75 pour-cent du budget de l'état c'est donc au burkinabé de les protéger, non pas parce qu'ils sont des opérateurs économiques mais plutôt qu'ils sont avant tout des burkinabé.
Une vidéo sur la toile incrimine le président directeur général du groupe
EBOMAF d'une certaines malversations sans pour autant mettre en exergue les preuves. Faut-il continuer de toujours trouver le diable ailleurs ?
Le PDG Mamadou BONKOUNGOU est d'une notoriété sans contestation sur le plan international et aussi national. Il a apporté sa contribution dans la construction de ce pays et il continue d'en faire d'une manière ou d'une autre. Je ne me fais en défenseur du PDG du groupe EBOMAF. Mais mon engagement pour la défense des intérêts du pays est assez fort pour laisser des individus aux intentions maléfiques viennent saper l'honneur de certaines personnes qui ont contribué pour le développement du pays.
Hier c'était apollinaire COMPAORE, aujourd'hui c'est Mamadou BONKOUNGOU, demain qui est ce que ce serait ?
Nous pensons qu'il est important de mettre de côté les accusations fortuites qui ne font que plonger le pays dans l'abime.
Dieu bénisse le Burkina
Adja Zarata ZOUNGRANA
ancienne députée de l'ALT
Les services de sécurité ont présenté jeudi 1er décembre au gouverneur du Haut-Katanga cinq taximen moto présumés auteurs du meurtre du pasteur Jérémie doxa Lenge, dimanche dernier au quartier Kabulameshi à Lubumbashi.
Trois personnes sont mortes dans un accident survenu ce vendredi 2 décembre sur la route nationale numéro 1 (RN1), à la bifurcation de Luozi dans le territoire de Songololo (Kongo-Central).
À cause de l'excès de vitesse, la moto qui les transportait a fini sa course sous un camion remorque en partance pour Matadi.
Le coordonnateur de la société civile, Levieux Mbiyavanga qui livre l'information, déplore ce énième cas d'accident sur cette voie.
Parmi les victimes des tueries attribuées aux rebelles du M23 à Kishishe la semaine dernière, figurent des enfants qui avaient trouvé refuge dans une église avec leurs parents. Au moins 60 autres personnes, cachées dans cette église, ont été tuées, affirme un notable de cette localité, joint au téléphone ce vendredi 2 décembre, par Radio Okapi.
Le procès de l'assassinat de l'opérateur économique de Goma, Simba Ngezayo a été renvoyé au mardi 6 décembre devant le tribunal militaire de garnison de Kinshasa-Gombe, qui tient ces procès, à la prison militaire de Ndolo.
Ce report décidé par le tribunal, mardi 22 novembre, a été confirmée à Radio Okapi, jeudi 1er décembre, par le greffier du tribunal militaire, sans exposer les motifs dudit renvoi.
Clôture du Forum des filles : l’UNICEF réitère son appui à l’action de la jeune fille africaine
Quatre personnes, membres d’une même famille, ont été tuées à l’arme blanche par des inconnus, dans la nuit de jeudi à ce vendredi 2 décembre à Kolomani dans le quartier Mudzi-Pela, situé dans la périphérie de la ville de Bunia (Ituri).
Un calme précaire règne ce vendredi 2 décembre dans la région de Kishishe, Kirima et Lushebere, dans le groupement Bambo de la chefferie de Bwito, au territoire de Rutshuru (Nord-Kivu).
Lors de la rencontre du Chef de l’Etat avec la jeunesse, le représentant de la jeunesse du CNC, parti politique membre de l'Union sacrée de la Nation, a proposé mercredi 1er novembre de réduire le taux de chômage des jeunes en RDC par la création des écoles des métiers.
Le ministre des Affaires sociales et Action humanitaire, Modeste Mutinga a lancé jeudi 1er décembre un appel de soutien et de mobilisation à la journée spéciale de solidarité en faveur des déplacés de l’Est de la RDC, qui se tiendra lundi 5 décembre au studio Mama Angebi de la Radiotélévision nationale Congolaise(RTNC).