Plusieurs personnes ont été tuées mardi dans de nouvelles viole
Depuis les Etats-Unis où il séjourne depuis quelque temps pour une formation en MBA, Komi Koutché, l’ancien ministre béninois de l’Economie, des Finances et des programmes de dénationalisation, s’est enfin exprimé.
Après le Rwanda, où il s'était rendu acquéreur de la compagnie rwandaise d'assurance et de réassurance Corar-AG en juin 2014, Saham Finances, le pôle assurance, assistance et crédit à la consommation du marocain Saham Group, poursuit son expansion est-africaine par croissance externe.
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Paul Kagame est un chef d'Etat africain aux deux visages. Le premier, le meilleur, est celui d'un dirigeant qui a remis le Rwanda sur le droit chemin après le terrible génocide de 1994. Sur le plan économique, le pays est devenu un modèle dans la région, notamment en pariant sur les nouvelles technologies. Kigali est aujourd'hui un endroit où se ruent les investisseurs occidentaux et les ONG qui bénéficient de conditions favorables.
La lutte pour le pouvoir opposant Ali Bongo Ondimba à Jean Ping est incontestablement la cause de l'instabilité politique la plus redoutable que le Gabon n'a jamais connu. Mais avoir de près l'affiliation entre ces deux protagonistes, quel intérêt ont-ils à se livrer une bataille aussi violente, si leur premier souci est de voir le Gabon se développer ?
Ils sont tous les deux, de parfaits élèves du père Omar Bongo. Et si le roi Omar Bongo a régné aussi longtemps (près de 42 ans), c'est parce qu'il avait su diriger le Gabon de façon directe.
Ali Bongo, le fils héritier a beaucoup appris auprès de son père autant que Jean Ping son ancien beau-frère qui n'a pas réussi en politique sans l'appui de celui qui fut jadis son ami, ensuite son beau-père. Ping et Bongo (Ali) sont donc de façon incontestable deux élèves de la même école ayant aujourd'hui pour premier souci le développement d'une nation qui leur est commune : Le Gabon.
Même si on refuse aujourd'hui de le croire, et aussi insignifiant que cela puisse paraître, l'affiliation entre Ping et Bongo demeure et restera à jamais. Que ce soit Ali qui dirige le Gabon ou que ce soit Jean l'homme fort du Gabon, cela revient au même. C'est la même classe, pour préserver les mêmes acquis de l'idéologie du père Omar.
L'instabilité postélectorale qu'on observe actuellement au pays du roi Omar Bongo n'est pas de nature à garantir un élan de sursaut patriotique. Bien au contraire elle est hautement sensible et susceptible de faire basculer le pays dans la violence. Une violence inutile nourrit par des querelles intestines qui datent de très longtemps entre deux disciples d'un même prophète.
Si Ali et Jean refusent de se parler, cela ne doit pas les empêcher de préserver la paix et la stabilité qu'ils ont héritées. Au-delà de ses valeurs, ils sont tenus tout au moins de respecter le peuple. Oui ! Ce peuple innocent, qui leur a accordé chacun, une partie suffrage.
Dans le sens normal des choses, pour avoir été pendant plusieurs années des personnalités forgées de main de maîtres par le roi Omar, Ali et Jean doivent se montrer solidaires et complémentaires autour de la gestion du pouvoir d'état. Derrière chacun d'eux se range une importante partie de la population gabonaise, ce que justifient les résultats de la Cenap avec 49,8 % des voix remportées le président sortant, contre 48,2 % pour l'ancien mari de sa sœur. Ce qui veut dire que les deux personnalités ont des potentiels valables que leur reconnait le peuple gabonais.
Le souci permanent de chacun des deux protagonistes étant le développement du Gabon, il est évident que chacun de son côté a forcément quelques choses à apporter pour la construction de la nation commune. La vraie valeur humaine que doit défendre les deux protagonistes, c'est de voir Ali aux côtés de Jean ou Jean aux côtés d'Ali pour une collaboration saine orienter vers la cohésion nationale. Cette cohésion nationale dont a besoin le peuple gabonais, exige la contribution de tous. Nul ne sera de trop.
Si Jean Ping l'emportait, il est tenu de gouverner avec Son frère Ali. Et si la voix des urnes donnait Ali gagnant il est tenu de tendre la main à Jean.
Le capital-investisseur français Wendel annonce mardi un accord en vue d'acquérir Tsebo, le leader panafricain de services aux entreprises, basé à Johannesburg.
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L'ONU s'est déclarée mardi "très préoccupée" par le gel des avoirs par la Cour pénale du Caire de cinq célèbr
Les appelés au Service militaire d'intérêt national (SMIN) sont dans les rues. Conformément à leur communiqué de la semaine écoulée, ils marchent en ce moment sur le ministère de la fonction publique. Ces milliers de jeunes qui se sont portés sous le régime défunt pour aller au camp afin de se faire former battent le macadam pour réclamer justice suite aux promesses non tenues par le gouvernement du président Boni Yayi depuis leur démobilisation. Ils exigent entre autres la priorisation de leur effectif au cours des recrutements.
A la tête d'une forte délégation , le Président Patrice Talon est à New York pour prendre part à la 71e session annuelle de l'Organisation des nations unies (ONU) qui regroupe un nombre important de personnalités politiques parmi lesquelles des chefs d'Etats ou de gouvernements. Si le numéro un monte à la tribune du palais de verre , il délivrera un message certainement un message qui affiche ses ambitions pour le Bénin prospère dont il rêve.
Cinq mois que le Président Patrice Talon est aux commandes du Bénin et cinq mois qu'il s'active à réorganiser le Bénin au plan administratif, social et économique. L'un de ses objectifs est de le réformer pour mieux le développer. Pour réussir ces objectifs, il ne cesse de bouger pour tisser des liens importants et pour découvrir des opportunités pour son pays . Aussi, il n'a pas oublié qu'il faut faire entendre la voix du Bénin à l'extérieur pour une diplomatie pragmatique. Ainsi, en montant à la tribune de l'ONU où il est très attendu en tant que chef de l'Etat d'un pays qui a toujours su organiser des élections sans problèmes à la grande satisfaction de la communauté internationale, le numéro un béninois va axer d'abord sur l'importance de la paix dans le monde qui ne dépend que du bon vouloir de tous. Ensuite, il mettra un accent particulier sur le développement des pays moins avancés et la nécessité d'un partenariat entre les grandes puissances et ces derniers sur la base du respect des valeurs politiques, économiques et culturelles de chaque pays. Il pourrait tenter aussi de réaffirmer son attachement pour la sauvegarde de l'écosystème mondial au regard des dernières résolutions du sommet de Paris en France de l'année dernière. Signalons que de sources proches de la présidence de la république, le Président Talon aura de nombreuses rencontres bilatérales avec des sommités du monde de la politique et de l'économie mondiale sans oublier des partenaires techniques pour le développement du Bénin à l'heure du nouveau départ...