C’est l’un des plus grands poètes européens de la seconde moitié du 20e siècle qui est parti. Ferenc Juhász est décédé le 2 décembre à l’âge de 88 ans. Considéré comme l’un des plus grands poètes contemporains de Hongrie, aux côtés de Mihály Vörösmarty, Endre Ady et Attila József, il a été récompensé deux fois par le Prix Kossuth. Il avait aussi été un candidat sérieux au Prix Nobel de littérature dans les années 70.
Photo de Czimbal Gyula (MTI)
La Commission européenne envisage d’ouvrir une procédure d’infraction contre la Hongrie, a appris Hu-lala de l’ONG Comité Helsinki Hongrie, confirmant des informations du journal « Népszabadság ».
Cette dernière a adopté une batterie de mesures destinées à empêcher les migrants d’entrer illégalement sur le territoire hongrois, à restreindre au maximum les possibilités d’y pénétrer légalement, et à refouler dans les délais les plus brefs ceux qui y sont parvenus.
Ces lois étaient entrées en vigueur le 15 septembre, au même moment où le gouvernement hongrois scellait la clôture à la frontière entre la Hongrie et la Serbie.
Restreindre la zone de libre circulation Schengen à un petit nombre de pays, c’est la proposition du gouvernement hollandais et le chantage qui plane au-dessus des pays est-européens. Celle-ci exclurait tout pays incapable de contrôler les frontières externes de Schengen et ceux s’opposant à l’accueil de réfugiés ventilés en Europe selon des quotas.
La Slovaquie et la Hongrie qui ont décidé mener une bataille juridique contre ce projet de quotas sont particulièrement dans le viseur.
Réunis cette semaine à Prague, les 4 de Visegrád ont balayé dans un communiqué commun cette possibilité qui remet en cause « le plus grand succès de l’intégration européenne« .
Lors d’une conférence de l’OSCE à Belgrade jeudi, le Ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, a considéré que « si le monde civilisé perd cette bataille, nous serons tous victimes« . Szijjártó a appelé le « monde civilisé à accroître nos efforts contre l’Etat islamique avec des soldats, des frappes aériennes et de la formation« .
Cependant, il a ajouté : « nous devons respecter l’autre, nos différentes cultures et religions, et il ne faut pas imposer à l’autre les valeurs que nous jugeons importantes« .
Lors de ses récentes et nombreuses visites diplomatiques dans des pays du monde arabo-musulman, le Premier ministre Orbán s’est régulièrement démarqué de ce qu’il a désigné comme « les donneurs de leçons occidentaux » qui utilisent la question des Droits de l’Homme pour imposer leur suprématie culturelle.
A washingtoni székhelyű Institute for Gulf Affairs igazgatója szerint az Egyesült Államok végleg hitelességét veszítheti, ha nem ítéli el az Erdogan-kormányt, amiért olajat vásárol fel egy nemzetközi terrorszervezettől.
Jamais la tentation du repli sur le réduit national n’a été aussi forte. Après le massacre de Paris, la France s’est déclarée en «guerre» et a proclamé l’État d’urgence, c’est-à-dire à une mise entre parenthèses de l’État de droit, un événement inouï et unique en Europe : ni les Espagnols, pourtant durement frappés en 2004, ni les Britanniques, après les attentats de 2005, ne l’ont fait, pas plus que tous les pays européens touchés par le terrorisme au cours des 50 dernières années.
François Hollande, s’estimant trahi par Schengen, a aussi rétabli les contrôles aux frontières intérieures, comme si elles avaient déjà arrêté le moindre terroriste, menaçant même de les maintenir ad vitam aeternam, ce qui signerait la fin de l’espace de libre circulation. Dans l’élan, il a désigné l’un de ses plus fidèles alliés, la Belgique, comme la source des attentats qui l’ont frappé, afin de mieux masquer le naufrage de ses propres services et le fait que les commandos étaient surtout composés de Français. Le royaume n’a évidemment guère apprécié ce «blâme game» de la Grande Nation pour le moins malheureux au moment où il faut mobiliser les énergies… Les coups de menton du chef de l’État ne se sont pas arrêtés là : devant le congrès réuni à Versailles le 16 novembre, il a martialement enterré le Pacte de stabilité budgétaire : «Le Pacte de sécurité l’emporte sur le Pacte de stabilité», a-t-il martelé. Une proclamation totalement incompréhensible, puisque les dépenses annoncées ne représenteront que quelques centaines de millions d’euros supplémentaires, pas de quoi remettre en cause la trajectoire budgétaire française (rappelons que 2 (et non 4 comme écrit par erreur) milliards d’euros représentent 0,1 % du PIB français…).
La joie des europhobes
Les europhobes n’ont pas caché leur joie devant ce qu’ils ont immédiatement identifié comme des actes de souveraineté : la France attaquée réagit seule et envoie bouler toutes les contraintes européennes en général, Bruxelles en particulier. L’appel au patriotisme, la France peinte en bleu blanc rouge et sonorisée à la Marseillaise, voilà qui les a remplis d’aise. De fait, durant cette semaine de folie, on n’a pas vu de drapeaux européens ou entendu l’hymne à la joie, et on n’a guère entendu le mot Europe si ce n’est pour dénoncer son impotence, voire sa responsabilité dans le drame qui a touché le pays. François Hollande, saisi de panique, serait-il en train de liquider l’héritage de François Mitterrand et de Jacques Delors ? Ces «actes de souveraineté» en annoncent-ils d’autres qui, mis bout à bout, détricoteront le projet européen ?
On n’en est heureusement pas encore là, puisque Paris, derrière le brouhaha nationaliste à usage interne (il faut empêcher le FN de capitaliser sur l’horreur), a immédiatement demandé une réunion du Conseil des ministres de la Justice et de l’Intérieur à Bruxelles. Certes, la France a menacé de remettre en cause Schengen, mais il semble que ce soit surtout pour obtenir un durcissement du contrôle aux frontières extérieures y compris pour les ressortissants communautaires ainsi que la reddition des défenseurs des libertés publiques qui bloquent la création d’un PNR (passenger name record qui collectera tous les déplacements aériens dans et en dehors de l’Union). Objectifs atteints sur le principe lors de la réunion du 20 novembre.
De même, le gouvernement a actionné l’article 42-7 du traité sur l’Union européenne, dont l’existence même avait été oubliée, qui est l’équivalent de l’article 5 du traité de l’Atlantique Nord prévoyant une assistance militaire mutuelle si l’un de ses membres est attaqué. Les 27 partenaires de Paris ont répondu présents, y compris les neutres, la Grande-Bretagne oubliant même d’arguer sur le fait que l’OTAN serait un cadre plus approprié pour obtenir une telle aide… Cela ne veut pas dire que l’Union va entrer en guerre contre le terrorisme, Paris voulant surtout pouvoir demander une assistance sur une base bilatérale à tel ou tel pays selon ses capacités, mais quel signal politique !
Enfin, François Hollande n’a pas remis en cause la répartition de 160 000 demandeurs d’asile entre les pays de l’UE, alors même que Daesh a infiltré des terroristes parmi les réfugiés manifestement dans ce but, les terroristes ayant les moyens d’entrer autrement en Europe qu’en empruntant la dangereuse route des Balkans. Seule la Pologne, désormais dirigée par les populistes de Droit et Justice (PiS) est tombée dans le panneau tendu par «l’État islamique» en envisageant, avant de se rétracter, de ne pas appliquer ce plan européen.
Des signaux contradictoires
On le voit, les signaux envoyés par Paris sont contradictoires, ce qui montre qu’au sein de l’appareil d’État, les deux tendances sont à l’œuvre. Rien ne garantit l’issue de ce bras de fer qui pour l’instant penche dangereusement du côté des souverainistes. Car il ne faut pas s’arrêter seulement à l’action européenne du gouvernement socialiste, mais considérer l’ensemble de sa politique. Or, son virage ultra-sécuritaire est clairement inspiré par la droite la plus dure et l’extrême droite : loi sur le renseignement intérieur, État d’urgence utilisé pour la première fois depuis la guerre d’Algérie, déchéance de nationalité pour les Français de naissance (alors qu’en 2010 la droite avait été traitée de fasciste et de pétainiste pour avoir institué la déchéance pour la nationalité acquise depuis moins de 15 ans), création d’une «garde nationale», etc. Même des camps d’internement administratif pour les Français rentrant de Syrie ne sont pas écartés. Le FN en est réduit à la surenchère en demandant désormais la suppression du droit d’asile…
Ce virage ultra-sécuritaire sidère nos partenaires, notamment les pays ayant connu des régimes autoritaires au XXe siècle. Rappelons qu’au lendemain des attentats de janvier dernier à Paris, ils s’étaient opposés avec un bel ensemble à l’adoption d’un «Patriot Act» à l’européenne en estimant qu’une telle réponse nuirait surtout aux libertés publiques du plus grand nombre, ne permettrait pas de lutter efficacement contre le terrorisme qui est affaire de renseignements et donnerait une image catastrophique d‘une Europe violant les libertés publiques alors qu’elle donne des leçons au monde entier. La France s’est néanmoins lancée seule dans une aventure que ne renierait pas Georges W. Bush. Un comble pour un gouvernement de gauche qui semble avoir abandonné ses valeurs, comme au temps de la guerre d’Algérie, qui pourrait inspirer d’autres pays qui hésitaient à franchir un tel pas.
Chocs en stock
Pour son malheur, le choc terroriste que subit l’Union s’ajoute à la crise des réfugiés, à la crise de la zone euro, à la crise économique… Le risque de morcellement, et non d’éclatement, est bel et bien là : une Europe forteresse, fermée au reste du monde, pourrait émerger de cette succession de chocs d’une violence inouïe, une Europe qui ne serait elle-même qu’une juxtaposition de pays forteresses limitant les libertés publiques au nom de la sécurité. Bref, l’Europe, mais sans union et sans doute avant la désunion. Si ce scénario noir se réalise, ce serait une victoire pour Daesh dont le but est justement d’abattre le modèle européen de paix, de liberté, de coopération et d’ouverture au monde. L’avenir de l’Europe se joue à nouveau en France.
N.B.: Article paru dans l’Hémicycle de novembre 2015.
(Crédits: EUAM Ukraine)
(B2) La situation de la sécurité le long de la ligne administrative (entre Ossétie du Sud et Géorgie) est « stable » selon les participants à la 60e réunion du Mécanisme de prévention et réponse aux incidents (IRPM), qui a eu lieu à Ergneti, le 26 novembre. Toutefois, des « préoccupations » demeurent sur la liberté de mouvement des communautés locales, en particulier lors des fêtes religieuses, et une augmentation du nombre de détentions.
(LB)
NB : La réunion était co-présidée par Kęstutis Jankauskas, le chef de la Mission de surveillance de l’UE en Géorgie (EUMM), et Angelo Gnaedinger, le Représentant spécial de l’OSCE pour le Caucase du Sud.
Bolygók definíciója
Olyan nagy tömegű égitest , mely valamely csillag vagy csillagmaradvány körül kering.
Ismertebb bolygók
Az összes bolygó felfedezése egy csoda. Sokan elképzelik, hogy mi történhet ott esetleg van-e emberszerű élet vagy bármilyen más élőlény. Eddig még nem sikerült ilyenre lelni.
Jó eséllyel Németország a következő évben csatlakozni fog az európai országok által kezdeményezett MFF közös légi utántöltő repülőgépflottához. Ez 2014-ben született meg, Lengyelország, Hollandia, Norvégia részvételével. Géptípusként az Airbus A330 MRTT szolgál, ami a német igények felmérése után a leginkább a berlini vezetés kedvére való típus a tankergépek közül. Németország, egy a közelmúltban készült tanulmány szerint eljutott arra az időpontra, ahol már nem éri meg jelentős összegeket fordítani az A310-es légi utántöltő repülőgépeire. Pótlásként az A330 MRTT felelne meg legjobban és ugye a többnemzetű MFF is ezt fogja beszerezni. A német légierő egyébként idén áprilisban már megfigyelőként csatlakozott az MFF programhoz, így a géptípus közös üzemeltetési előnyeiről igen alaposan meggyőződhettek.
Berlin már most elkezdte VFW-Sikorsky CH-53GA Stallion utódjának keresését. A napjaikra már csak 66 forgószárnyasból álló flotta 40 példánya a legutóbbi modernizáció óta a CH-53GA jelzést viseli. A korszerűsített repülési, kommunikációs, és elektronikus hadviselési rendszerekkel, képalkotó infravörös kamerával és megnövelt hatótávolsággal rendelkező GA variáns a tervek szerint akár 2030-túl is szolgálatban tartható lenne, de a cserét 2020 és 2025 között szeretnék végrehajtani, hiszen egy már több évtizedes, az 1970-es évek óta tartó szolgálati múlttal rendelkező típusról van szó.
Ebben az évben már szóba került a Luftwaffe alacsony hadrafoghatósági szintje és a szíriai beavatkozás hírére újra reflektorfénybe került a levegőbe emelkedni képes vaskeresztes gépmennyiség. A jelenleg még szolgálatban álló 66 Panavia Tornado IDS/ECR gépből csak 29 képes a repülésre. Nem árt megemlíteni, hogy a hidegháború utolsó évtizedében a légierő 247, míg a haditengerészet 112 Tornado vadászbombázó felett rendelkezett. A mostani hírek szerint az üzemképtelenség oka az alkatrészhiány.
Persze azért van jó hír is a német légierő háza tájáról, ugyanis duplájára emelkedett az Airbus A400M Atlas teherszállító repülőgépek mennyisége. Ez az adat megtévesztő lehet, hiszen csak arról van szó, hogy a másodiknak elkészült példányt adta át a gyártó a héten. Az év végéig egy további A400M is leszállításra fog kerülni.
Spanyolország pedig arról állapodott meg az Airbus-al, hogy átütemezik a megrendelt Atlas-ok átadási-átvételi időpontjait. Az első gépet 2016-ban adják át, míg az utolsó, 14. 2024-ben, a tervezetthez képest két évvel később kerül átadásra. A 27 darabos tervezett mennyiség fennmaradó 13 gépnek sorsáról 2024-ig születhet döntés, ami akár egy harmadik fél számára történő eladást is jelenthet, ha a spanyolok találnak vevőt a gépekre.
Görögországban a Védelmi Minisztérium elérkezettnek látta az időt 10 darab, az amerikai hadseregből már kivont Boeing CH-47D Chinook helikopter beszerzésére. A 125,8 millió dolláros üzletről még 2013-ban érkeztek meg az első hírek, amikor is Athén a forgószárnyasok beszerzésének kérelmével fordult Washingtonhoz. A nemzetközi hitelezők azonban, a 2014-es amerikai jóváhagyás ellenében, eddig nem nézték jó szemmel a csőd szélén álló ország növekvő védelmi kiadásait.
És még egy hír elejéig maradunk, visszatérünk az Airbus A400M Atlas-hoz, ugyanis Egyiptom légiereje akár 12 példányt is beszerezhet a típusból, spanyol források szerint. November végén egy 1,8 milliárd eurós értékű beszerzés közelgő véglegesítését prognosztizálták, de ezt eddig az Airbus nem is erősítette meg és nem is cáfolta.
2016 végéig eltűnik a Merkava Mk2-es harckocsi utolsó példánya is az izraeli szárazföldi erők kötelékéből. Ez a változat jelenleg már csak a tartalékosoknál található meg, ugyanis a későbbi gyártású Mk3-as és Mk4-es változatok teljes egészében kiszorították. A besorozott állomány már nem sajátítja el az Mk2-es kezelésének csínját-bínját. Az Mk2-es jövőjét az átépítés jelentheti, hiszen a jelentős páncélvédelemmel rendelkező harckocsi a torony eltávolítása és némi korszerűsítés és átalakítás után, mint lövészpáncélos jelenhet meg újra a szárazföldi erők kötelékében. Az első átalakított példánnyal még idén tavasszal lefolytatták az első csapatpróbát, sikerrel.
Akár több mint 200 páncélozott jármű is elkészülhet évente a Paramount Group újonnan megnyitott gyárában, Kazahsztánban. A 15 000 négyzetméter alapterületű létesítményt 150 munkahelyet teremt és az itt elkészült járművek a helyi megrendeléseken felül Ázsiában és a Közel-Keleten találhatnak gazdára.
Első külföldi megrendelőként Jordánia a közelmúltban átvehette a 110 darab BAE APKWS félaktív lézeres irányítású rakétáját. A 70 milliméteres átmérőjű APKWS 2012-ben került rendszeresítésre az amerikai tengerészgyalogság AH-1 és az UH-1 helikopterein, majd két év múlva az amerikai haditengerészet MH-60S, idén pedig a MH-60R helikopterein. Jordániában az CASA CN-235-ös csatarepülőgépek fegyverzetét erősíti az APKWS.
Pakisztánban az indiai Dassault Rafale beszerzésre válaszul egy újabb gépvásárlással szeretnének válaszolni. Az elképzelés szerint az amerikai Lockheed Martin F-35 Lightning II típusát szereznék be a francia vadászbombázó képességeinek ellensúlyozására. Persze ha az USA-ból történő beszerzés amerikai jóváhagyás hiányában nem valósulhatna meg, akkor sem esnek kétségbe, mivel az F-35-ös mellett további másik három, meg nem nevezett típus képességeinek kiértékelése jelenleg is folyik.
Japán bejelentés szerint nyolc Xian Aircraft Corporation H-6K bombázó hajtott végre szokatlanul nagy távolságú tenger feletti repülést a héten. A bombázók két négygépes kötelékét egy-egy elektronikai hírszerzésre és zavarásra képes Tupoljev Tu-154MD és Shaanxi Aircraft Corporation Y-8CB kísérte, míg a távolból egy KJ-200 légtérfelderítő figyelte a légtérben történő mozgásokat.
Újabb 46 Boeing F-15-ös kaphat majd korszerűsített fedélzeti elektronikát és új rádiólokátort 281,7 millió dollár értékben. 17 F-15C/D vadászgép Raytheon APG-63(V)3, míg 29 F-15E vadászbombázó Raytheon AN/APG-82 AESA antennájú radart kap majd az orrkúpja alá.
NETARZENÁL GALÉRIA
Boeing CC-177 Globemaster III.