A világ egyik legjobb támadó játékosa, a Paris Saint-German csatára az elmúlt húsz évben gyakran ad témát a médiáknak, önéletrajzi könyvéből, az Én, Zlatan-ból is csemegéznek. Most a francia újságírók találták a nem mindennapi történetet:
„Minden ott kezdődött. Ajax. Egy nagy kaland az Ajaxnál. Megérkeztem Amsterdamba teljesen egyedül, és az első hónapban súlyos problémákkal szembesülten. Őszinte leszek: nem volt pénzem. Egyáltalán. Az első fizetésre egy hónapot kellett várni.
Ibrahimovics és Maxwell az Ajax bajnoki győzelmét ünneplik
Kaptam megfelelő lakást, de abban egy ágyon és egy TV-n kívül semmi más nem volt. Az első 15 nap maga volt a pokol, rettenetesen szenvedtem. Maxwell ugyanakkor jött a csapathoz, mint én, őt egy kicsit jobban ismertem a többieknél, őt hívtam fel. Mondtam neki, hogy nincs mit ennem, mire elhívott magához, átadta nekem az ágyát, míg ő a padlón ágyazott meg magának” – írja könyvében Zlatan, majd így folytatja:
„Ott aludtam nála két hétig. Az ő ételét ettem, ő vitt az edzésekre, szabadnapokon kirándulni. Maxwell olyan, mint egy barátságos medve. Egy mackó. A legjobb ember a világon.”
A Barcelonánál
Maxwell azóta Zlatannal együtt mozog a labdarúgás világában, a svéd focista mindenhova viszi magával, ugyanis minden szerződésének van egy záradéka, miszerint ahova ő megy játszani, oda a brazilnak is kell vele mennie.
Így „törleszt” Ibrahimovics a brazil focistának, aki az Ajax után az Interhez, a Barcelonához és a PSG-hez is vele együtt szerződött.
Maxwell segítő kezet nyújtott neki amikor bajban volt, és ezt Zlatan soha nem felejtette el…
(Dnevni avaz)
A katonai repülőgépek, személyzeteik és a kiszolgálásukat biztosító földi csapat telepítése egy másik kontinensre nem olcsó mulatság még egy akkora erőforrásokkal rendelkező légierő számára sem, mint az amerikai. Így érthető, hogy Európába telepített A-10-eseikkel minden alkalmat kihasználnak a gyakorlásra. Legutóbbi gyakorlatuk Bulgáriában volt, a bolgár különleges erőkkel közösen.
A gyakorlat egyik mozzanatában A-10-es biztosítja a kimentésre váró pilótát, aki egyébként az olasz légierő századosa és egy csereprogram keretében szintén A-10-esen repül.
Hiába visel ismerős öltözéket a földön térdelő személy, amíg a mentésre érkező különleges erők katonái nem azonosították, a meglepetések elkerülése miatt kellő figyelemmel közelítik meg.
Vízfelszín felett gyorsít a bolgárok AS 532 Cougar helikoptere, fedélzetén a kimentett pilótával.
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Forrás és további fotók itt.
James Stavridis, a NATO európai erőinek 2013-ban nyugállományba vonult főparancsnoka nyíltan kiáll egy független ország területi egységének megbontása mellett; egy amerikai lapnak nyilatkozva kijelentette, hogy Szíriát három részre kellene szakítani. Kijelentése nem előzmény nélküli, a Szíriáról leszakított régiókban már az amerikai hadsereg két bázisa épül.
Le terme « Mutilations génitales féminines » (MGF, ou FGM en anglais) fait référence à toutes opérations qui impliquent l’ablation totale ou partielle des organes génitaux féminins externes pour des raisons non thérapeutiques. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) estime qu’environ 130 millions de femmes ont subi une forme de mutilation génitale, chaque année 2 millions en plus par rapport à l’année précédente. Selon des statistiques plus récentes, environ 91 millions de filles âgées moins de 9 ans en Afrique vivent avec les conséquences psychologiques et physiques de ces opérations. Les MGF caractérisent surtout le continent africain, mais elles sont pratiquées aussi au Yémen et au Kurdistan Irakien, pour un total de 29 pays.
Au cours des dernières années le phénomène a commencé à intéresser le continent européen aussi, où plusieurs fille issues de l’immigration, dont les parents sont originaires des pays où les MGF sont pratiquées, risquent d’être soumises aux opérations. De même, comme nous verrons ensuite, les MGF peuvent bien constituer une base pour la présentation d’une demande de protection internationale, conformément au droit international des refugiés, notamment à la Convention de 1951 sur le statut de refugié. L’UNHCR a estimé qu’environ 25000 femmes provenant de pays où les MGF sont pratiquées ont demandé protection en Europe en 2013, tandis que en 2011 les MGF ont constitué la motivation d’environ 2000 demandes d’asile en Europe. La progression est nette et se passe de commentaires.
« J’ai fui mon pays parce que je me suis engagée contre l’excision et j’étais recherchée par les islamistes et par la police », dit Djenabou Teliwei Diallo, activiste anti-MGF en Belgique lors d’une interview dans le cadre du projet « Too much pain : Female Genital Mutilation and Asylum in the European Union », mené par l’UNHCR.
Le schéma discriminatoire que les femmes doivent envisager lors d’un refus d’être soumises aux opérations comprend l’exclusion sociale de la femme et de sa famille, une marginalisation croissante dans toute sorte de relations, même de voisinage, stigmatisation, impossibilité de se marier, persécution de la part de la famille et de la communauté, et parfois aussi des autorités étatiques.
L’enracinement profond des MGF au niveau culturel et social est lié surtout à l’extrême importance qu’elles ont dans les sociétés où elles sont pratiquées. En fait, dans les différents contextes où elles sont diffusées, leur rôle est celui de définir l’appartenance non seulement ethnique, mais aussi l’appartenance de genre et les relations entre les sexes et surtout la valeur de la femme dans le cadre des échanges pré-matrimoniaux. Si la femme est excisée ou infibulée, sa pureté sera plus élevée et ainsi sa valeur dans le cadre du mariage. Le but est celui de préserver la virginité de la femme en vue du mariage. Les origines du phénomène restent inconnues, mais il est certain qu’elles ne sont pas liées à l’Islam.
Parfois, les avantages des opérations dans les contextes où elles sont pratiquées embrassent plusieurs champs : sexuel, esthétique, hygiénique, médical, religieux et social.
L’âge des filles opérées peut varier sensiblement par rapport aux groupes d’appartenance, mais, en général, ça peut varier des premiers mois de vie jusqu’à l’adolescence. Parfois, les femmes qui n’ont pas été opérées pendant cette période, sont forcées à subir une forme de mutilation avant le mariage. Souvent, les femmes qui ont été opérée pendant leur jeunesse subissent d’autres opérations après les rapports sexuels et les accouchements.
Dans le contexte migratoire il y a, enfin, une tendance à une baisse de l’âge des opérations, motivée par trois éléments principaux : en premier lieu, les MGF sont interdites dans les pays d’accueil, donc opérer un sujet très jeune implique des risques mineurs par rapport à la possibilité d’être dénoncé ; deuxièmement, le taux de filles qui refusent, pendant l’adolescence, de subir les opérations est en hausse ; finalement, beaucoup d’opérations se déroulent dans le cadre des « voyages de retour », c’est à dire, des voyages dans les pays d’origines accomplis avec le seul but d’opérer les filles avec la participation de la communauté d’origine.
L’Union Européenne a commencé à s’intéresser au phénomène en 2001, quand le Parlement a émis la première résolution concernant les MGF, en exhortant les Etats membres à harmoniser les législations relatives à la lutte aux MGF. En 2009 le PE a adopté une deuxième résolution, visant à inciter les Etats membres à reconnaître les MGF en tant que forme de persécution conformément à la Convention de 1ç51 sur le statut de refugié. Dans ce contexte, le PE invite les Etats à mettre en œuvre des programmes de prévention et de sensibilisation, ainsi que des mesures législatives pénales efficaces et des statistiques sur le phénomène. Ce point demeure assez délicat, comme il n’existe pas encore des donnés officiels, à cause du fait que les opérations se déroulent souvent dans la clandestinité. Dans le cadre européen, Amnesty International est en train de financer une campagne de sensibilisation, « END FGM » qui réunit plusieurs ONG travaillant dans la lutte aux MGF avec le but de stimuler l’Union à insérer la lutte aux MGF dans son agenda politique.
Pour ce qui concerne l’aspect pénal, l’Italie, l’Espagne et le Royaume Uni se sont données de lois spécifiques qui punissent les sujet qui opèrent ou qui forcent des jeunes filles, ou bien des femmes, à se soumettre aux opérations. Pourtant, jusqu’à présent, aucun procès n’a été célébré dans le cadre de ces lois. Les prévisions pénales en question ont été fortement critiquées à cause de leur caractère excessivement punitif qui ne tient pas compte des aspects et des origines culturelles de ces pratiques. En plus, l’efficacité même de ces lois a été mise en question : la prévision d’une loi spécifique semble plutôt fonctionner sur le plan symbolique.
Par contre, la France a décidé de poursuivre les MGF dans le cadre des lois pénales déjà existantes. Au niveau européen la France reste le seul pays qui a célébré plusieurs procès, environ 29. Pourtant, des difficultés ont été quand même relevées, étant liées surtout à la complexité dans l’appréciation de l’élément du dol subi.
Etant donné l’inefficacité des stratégies à caractère légal et punitif, plusieurs ONG opérants sur terrain dans les pays africains intéressés par le phénomène ont essayé de replacer les MGF avec des rituels alternatifs qui n’impliquent pas, sur le plan concret, des actes de mutilation. Jusqu’à présent, ces méthodes se sont révélés les plus efficaces et les uniques capables de faire baisser de façon significative le taux de recours aux opérations. En 2005 le médecin d’origine somalienne Abdulcadir Homar Hussein, né en Somalie mais résident et travaillant en Italie, avait avancé une proposition pareille. Le rituel aurait consisté en une piqure, fait par une aiguille très fine, en anesthésie locale, sur le clitoris, ce qui n’aurait comporté que l’écoulement de deux ou trois goutes de sang. Il espérait, de cette façon, déplacer sur le plan symbolique la signification du rituel, en sauvant la santé, et parfois la vie, de plusieurs jeunes filles. Malheureusement, sa proposition a fait l’objet d’une forte polémique, menée notamment par les associations féministes italiennes. Les institutions ont ainsi refusé de valider son projet.
Si donc la condamnation des MGF doit rester la base de toutes stratégies de lutte , il est évident que une compréhension approfondie de la pratique, ainsi que des méthodes alternatives qui accompagnent la simple interdiction, semblent les seules voies praticables et réellement capables d’apporter des résultats.
Francesca Rondine
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Stratégiai helyzete okán általában jelentősebb nemzetközi figyelem irányul az aprócska, sivatagos kelet-afrikai országra, Dzsibutira és nincs ez másként most sem, amikor az alig 800 ezer lakosú, negyed-magyarországnyi államban április 8-án elnökválasztást tartanak. Persze ez valójában csak névlegesen lesz választás, hiszen a már 17 éve hatalmon lévő (akkor az országot függetlensége óta irányító nagybátyjától vette át a hatalmat) és most negyedik mandátumára készülő jelenlegi elnök, Ismail Omar Guelleh nem fog igazán esélyes és népszerű kihívóval szembesülni, az ellenzék még saját soraiban sem képes egyetértésre jutni, a függetlenek pedig bőven a nagyon esélytelen kategóriába tartoznak.
Guelleh mellett 5 jelölt indul majd még a megmérettetésen, ketten a legnagyobb ellenzéki szövetség, a Tömörülés a Nemzet Megmentéséért (USN) színeiben (Omar Elmi Mohamed Daoud és Kaireh Chehem), hárman pedig függetlenként: Hassan Idriss Ahmed, egy egykori diplomata, Mohamed Moussa Tourtour egy ezeréves politikai veterán, aki már a kilencvenes években is indult választáson és Jamaa Jamaa Abdouramane, egykori kormányzati tisztviselő. A 2013-as, igen vitatott parlamenti választásokon a 65 fős törvényhozásban 10 helyet szerző USN egyébként egy 8 pártból álló koalíció, amelyben létrehozása óta komoly ellentétek vannak a résztvevő pártok között, most például kettő mozgalom a választások bojkottjára és minden jelölt visszaléptetése mellett kampányol, mert szerintük Guelleh és a kormány nem tartja be azt az egyezséget, amelyet még 2014-ben írt alá az ellenzékkel a 2013-as választások eredményeként kirobbant konfliktust lezárandó (alapvetően a választási bizottság összetételén ment és megy a vita).
A két távolmaradást erőltető párt egyike az USN koalíciójának talán legerősebbje, a Demokratikus Megújulási Mozgalom (MRD), amelynek vezetője, Daher Ahmed Farat már többször kijelentette, hogy az április 8-án esedékes voksolás igazából nem Guelleh újraválasztása körül forog majd, hanem lehetőséget kínál az ellenzéknek a sorok rendezésére és egy végre egységes arculat felvételére a jövőt illetően. Ami biztos, hogy az ellenzék megosztottsága még jobban kedvez Guellehnek, aki így igazából hátradőlve várhatja az eredményt, amelyben azért is biztos lehet, mert az Elnöki Többség Tömörülés (UMP) ötpárti koalícója egyértelműen a legtöbb támogatót tudhatja magáénak az országban, ráadásul a jóval jelentősebb kampányösszegből gazdálkodó Guelleh az életszínvonal javítását és a szegények felemelését tűzte zászlajára, ami egy igencsak jól hangzó szlogen.
És papíron erre meg is lesz a forrás és az esély, hiszen az elmúlt időszakban két óriási projektet is bejelentettek a kis országban, egyrészt a kínaiak által finanszírozott gázprojektet, amelynek keretében gázvezeték épül Etiópiából Damerjogig, ahol cseppfolyósító üzem és tankertöltő állomás is épül, másrészt szintén a kínaiak logisztikai központot és katonai bázist is terveznek itt építeni, cserébe hatalmas infrastrukturális támogatásokat ígérnek – ergó igen csábító jövőkép áll Dzsibuti előtt, a kérdés az, hogy ebből mennyit fog észlelni a lakosság. Az biztos, hogy egy bizonyos réteg szeme már kinyílt és nyitott lenne a demokratikus változásokra, de sajnos ehhez erőteljes bátorságra lenne szükség ezen polgárok részéről, hiszen az országban 2015. novembere óta szükségállapot van érvényben és például tavaly decemberben halálos áldozatokat is követelt, amikor a hatóságok feloszlattak egy ellenzéki megmozdulást.
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