Pour investir sur le continent, un nombre croissant d'Europ�ens, d'Asiatiques et m�me d'Africains utilisent l'�le comme plateforme. Un r�le que le pays ne doit pas qu'� son statut fiscal privil�gi�.
� la t�te du groupe panafricain depuis octobre, le financier ivoirien fonde sa strat�gie sur trois piliers : service aux clients, satisfaction des actionnaires et fiert� des employ�s. Autant d'axes majeurs pour hisser la banque au rang des plus grandes institutions du continent.
Alors qu'Abidjan pr�pare une nouvelle vague de privatisations, Jeune Afrique fait la lumi�re sur un processus qui, pour l'instant, ne brille pas par sa transparence. Premi�res concern�es : les banques.
Priv�e des subsides am�ricains depuis qu'elle a accept� la Palestine comme �tat membre, l'organisation est dans une situation financi�re dramatique.
Cinq mois apr�s son �lection, l'euphorie est retomb�e. Marqu�e par trop d'incoh�rences et de cafouillages, la politique de Fran�ois Hollande passe mal dans l'opinion. Son image de "pr�sident normal", en revanche, reste bonne.
Depuis quelques mois, la Chine, locomotive de l'�conomie mondiale, s'essouffle. Elle devrait bient�t repartir, sur un rythme plus mod�r�. C'est tout sauf une mauvaise nouvelle.
Class� parmi les plus grandes fortunes de la plan�te, Mohamed Ibn Issa Al Jaber dirige un empire sur le d�clin. Cela ne l'a pas emp�ch� de promettre monts et merveilles au pr�sident tunisien.
Gr�ce � des mesures de soutien tr�s cibl�es, l'Agoa et le Millennium Challenge Corporation doivent servir les �changes entre les �tats-Unis et le continent. La n�cessit� �tant de renforcer le fragile secteur productif africain.
Le pr�sident am�ricain a d�voil�, jeudi 14 juin, sa nouvelle strat�gie pour le d�veloppement du continent. Les axes principaux de celle-ci ? Le renforcement de la s�curit� face � la menace Al-Qa�da et la contre-attaque face � l'offensive �conomique chinoise sur le continent.
Les petites et moyennes entreprises constituent l'essentiel du tissu �conomique africain. Pourtant, leurs difficult�s pour se d�velopper subsistent. Autopsie d'une situation qui s'am�liore timidement, notamment gr�ce au capital-investissement.
Le 1er juin, la banque fran�aise BPCE va entrer au capital de sa consoeur marocaine Banque centrale populaire � hauteur de 5 %. Un appui qui pourrait doper le d�veloppement du num�ro deux ch�rifien.
Avec le lancement de son troisi�me fonds, Cnav II, le fonds d'investissement marocain Capital Invest souhaite passer du statut d'investisseur local � celui d'acteur panafricain.
D�j� active au B�nin et au Togo, la web agency va bient�t oeuvrer au S�n�gal. Sa recette : faire appel au grand public pour financer de petits entrepreneurs.