Dans les coulisses du Palais comme au sein du gouvernement togolais, sept personnalités forment une équipe de choc autour de Faure Gnassingbé. Portraits. Cina Lawson, 42 ans, est ministre des Postes et de l'Économie numérique.
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Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a reçu, mercredi à Alger, le président du Conseil constitutionnel français, Jean-Louis Debré.
L’audience s’est déroulée en présence du président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci.
M. Debré effectue une visite officielle de deux jours en Algérie, à l’invitation de M. Medelci.
Elle est aux côtés de Roch Marc Christian Kaboré depuis plus de trente ans. Avec l'élection de son mari à la présidence de la République, Sika Bella Kaboré va bientôt se retrouver propulsée sur le devant de la scène. Portrait.
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Le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Tayeb Louh a annoncé mercredi au Conseil de la Nation, l’entame d’une révision globale de la loi portant code de commerce en vue d’adapter le système commercial national à l’évolution de l’économie mondiale.
« Un groupe de travail s’attèlle actuellement au niveau du ministère de la Justice à réviser les dispositions du code de commerce dans sa globalité », a indiqué M. Louh à l’issue de la présentation du texte de loi portant code de commerce amendé et complété.
Cette révision s’inscrit « au titre du premier volet du plan d’action du gouvernement relatif à la mise en oeuvre du programme du président de la République et portant adaptation du système législatif national », a-t-il souligné.
Le ministre a rappelé que la loi actuelle avait été publiée en 1975 et révisée en 1993 et 1994, « mais nécessite toujours une adaptation globale », soulignant qu’un groupe de travail travaillait en coordination avec des spécialistes, des enseignants universitaires et des experts de différents secteurs, à cet effet ».
Les amendements actuels du texte de loi portent sur les dispositions relatives à la gestion et à l’organisation des sociétés à responsabilité limitée (SARL), les plus répandues en Algérie, en vue d’améliorer le climat d’affaires dans notre pays.
Par ailleurs, il a estimé que ces amendements dont l’annulation de la limitation du capital minimum pour la création d’une SARL, adoptée par plus de 112 pays, »sont à même d’améliorer la position de l’Algérie par la Banque mondiale au sein de son classement annuel des pays les plus attractifs pour les investisseurs ».
Les travaux de la 11e session de la commission mixte algéro-saoudienne ont été sanctionnés mercredi à Riadh (Arabie Saoudite) par la signature de plusieurs documents de coopération dans le domaine du transport maritime, de marchés financiers, de la planification, de la prospective et des statistiques et du procès-verbal de la session, a indiqué un communiqué du ministère des Finances.
Les travaux, ouverts mardi, ont été coprésidés par le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, et le ministre saoudien du Commerce et de l’industrie, Tawfik Ben Fawzane Al-Rabiaa.
Les membres de la commission ont procédé à l’évaluation de la coopération entre les deux pays dans le domaine économique, commercial, scientifique, culturel et des ressources humaines, notamment en matière d’investissement et de partenariat.
Un programme d’activités pour l’année 2016 a également été arrêté à cette occasion en vue de renforcer les relations entre les deux pays dans les différents domaines, a précisé la même source.
Par ailleurs, le ministre des Finances a eu des entretiens avec son homologue saoudien, Ibrahim Ben Abdelaziz Al-Assaf, qui ont porté sur les relations entre les deux pays et la coordination et la coopération bilatérale.
En marge des travaux de la 11e commission mixte, M. Benkhalfa a visité des entreprises, des villes industrielles et le Musée du roi Abdelaziz à Riadh.
Avec ce démarrage, une filiale dédiée aux énergies renouvelables du géant français porte à plus de 100 MW son parc en Afrique du sud.
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Par cette décision, l'ONG française pourra accéder au dossier en cours d'instruction sur les conditions du rachat par le groupe industriel et minier Areva, en 2006, de l'entreprise minière canadienne, détentrice à l'époque de gisements d'uranium en Namibie, en Centrafrique et en Afrique du Sud.
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La compagnie algérienne prévoit la création de plusieurs filiales dans le cadre de la restructuration.
De l’aveu de son président, Mohamed Abdou Bouderbala, s’étant exprimé récemment auprès de la presse locale, Air Algérie « génère peu de bénéfices ». Une manière élégante de ne pas dire qu’elle perd beaucoup d’argent.
Aussi, la compagnie nationale envisage-t-elle de créer une filiale low cost. « Cela nous fera des entrées d’argent supplémentaires. Nous serons plus compétitifs », a précisé Mohamed Abdou Bouderbala, indiquant que la nouvelle entité opérera des vols charters, des vols privés et assurera des services de taxi aérien et d’évacuation sanitaire.
Une compagnie low cost sans ciel ouvert
Ce n’est pas exactement le concept de compagnie low cost au sens où on l’entend habituellement. Air Algérie Services, la nouvelle entité attendue fin 2016, n’entrera pas, bien sûr, en concurrence frontale avec la maison mère, ni avec les compagnies concurrentes qui desservent l’Algérie. A cela, une raison simple : faute de ciel ouvert en Algérie avec l’Europe ou même avec le Maghreb, une low cost classique ne peut s’épanouir.
Le plan de restructuration demandé par l’Etat prévoit aussi la création d’autres filiales. Il s’agit notamment d’Air Algérie Cargo, pour le fret, lancée fin 2015, et d’Air Algérie Handling, pour le traitement des bagages à l’aéroport, qui sera opérationnelle début 2017. Une filiale spécialisée dans la maintenance des avions sera, par ailleurs, créée en juillet 2016.
Si ce plan de modernisation de la compagnie nationale réussit, le ministre algérien des Transports, Boudjema Talai, promet ensuite l’ouverture du ciel algérien.
Les autorités algériennes ont intensifié la répression de la liberté d’expression en ligne et hors ligne à travers le pays ces dernières semaines. Les tribunaux ont prononcé des condamnations à des peines de prison contre un dessinateur à El Meghaïer, dans la wilaya d’El Oued et poursuivent actuellement un militant pour une publication sur Facebook, indique la section algérienne d’Amnesty dans un rapport rendu public mercredi.
Douze manifestants pacifiques d’El Oued et de Tamanrasset ont été condamnés à des peines de prison, et un militant en faveur des droits humains encourt la peine de mort. Amnesty International demande aux autorités algériennes d’annuler les condamnations prononcées et d’abandonner les charges retenues contre des militants non violents accusés d’avoir pacifiquement exercé leurs droits à la liberté d’expression et de réunion. Les législateurs algériens doivent modifier les lois érigeant en infraction l’exercice de libertés civiles et prévoyant des peines de prison contre des manifestants non violents.
La récente série d’arrestations et de poursuites visant des militants pacifiques tend à montrer que les libertés civiles sont de plus en plus menacées en Algérie. Malgré les obligations auxquelles le pays est tenu en matière de droits humains, au titre du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, et les garanties relatives aux droits à la liberté d’expression et de réunion pacifiques inscrites dans la Constitution algérienne, les autorités algériennes recourent au tribunaux pour réduire les dissidents au silence, invoquant diverses lois répressives. Les autorités algériennes utilisent des dispositions du Code pénal érigeant en infraction l’« outrage », l’« injure » ou la « diffamation » visant des représentants de l’État et d’autres institutions, afin de restreindre la liberté d’expression, notamment l’humour, l’expression sur Internet et dans la rue.
Les libertés civiles menacées
Le droit à la liberté de réunion pacifique suppose que l’on puisse mener des manifestations non violentes sans autorisation préalable, actuellement considérées comme des « attroupements non armés », qui constituent une infraction aux termes du Code pénal algérien. Les autorités peuvent tout au plus demander à être notifiées à l’avance, et doivent expliquer toute restriction en détail, ce qui permet de former un recours devant un tribunal impartial et indépendant, comme l’a souligné le rapporteur spécial des Nations unies sur le droit de réunion pacifique et d’association.
Si la loi algérienne 91-19 relative aux réunions et manifestations publiques exige une déclaration préalable, les autorités doivent éclaircir les modalités d’application de la loi afin de garantir que cela n’équivale pas en pratique à une obligation d’obtenir une autorisation préalable, donnant lieu à des cas où les autorités locales s’abstiennent de donner une confirmation aux manifestations susceptibles d’être critiques à l’égard des autorités.
Les véhicules Renault Trucks (siège social à Saint-Priest), sont des Renault Trucks C affectés à la location et au transport régional et national.
Renault Trucks Algérie a remis à Béjaïa Logistique, filiale du Groupe IFRI et acteur incontournable du transport et de la manutention, les clés de 94 véhicules.
Une livraison supplémentaire de 65 véhicules est prévue en janvier 2016 soit un total de 159 véhicules de la nouvelle gamme. L’acquisition porte essentiellement sur des Renault Trucks C de 440 chevaux, en configuration 4×2.
L’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes (ANSEJ) a financé, depuis sa création en 1996, 350.000 microentreprises à travers le pays, a-t-on appris mercredi à Mostaganem de son directeur général.
Ces entreprises ont généré plus d’un million d’emplois, a indiqué M. Zouaoui Abdelhamid en marge d’un salon sur la microentreprise ouvert à l’université Abdelhamid Ibn Badis de Mostaganem.
Le DG de l’ANSEJ a également souligné que pas moins de 20.000 microentreprises générant 60.000 emplois ont été créées courant 2015 à travers le pays, affirmant que son agence financera d’autres projets de développement et de croissance économique selon les spécificités de chaque wilaya.
L’ANSEJ se lancera dans une nouvelle vision encourageant l’innovation dans la création d’entreprises devant conférer une valeur ajoutée à l’économie locale et nationale et pourvoir des postes d’emploi, a-t-il annoncé, soulignant que certains projets liés au transport à la boulangerie et autres arrivés à saturation seront gelés.
Le wali de Mostaganem, Abdelwahid Temmar, a appelé, à cette occasion, les jeunes à innover dans la création d’entreprises, avant d’annoncer la tenue « prochainement » d’une semaine commerciale pour la promotion du produit local qui permettra aux détenteurs de microentreprises d’écouler leurs produits.
Ce salon, organisé pendant deux jours sous le slogan « microentreprise, alternative au pétrole », vise à sensibiliser les étudiants sur la création d’entreprises dans leurs spécialités et à se tourner vers des projets créant de la richesse, notamment dans cette conjoncture marquée par la chute des prix du pétrole, a indiqué le responsable local de l’ANSEJ, Sofiane Koriche.
Une journée d’étude sur « l’emploi perspectives et enjeux » est programmée en marge de ce salon, auquel prennent part des diplômés universitaires promoteurs de micros entreprises activant dans les travaux publics, le bâtiment, l’hydraulique, l’installation de réseaux de fibres optiques et la récupération de produits non ferreux, les ateliers mobiles de plomberie, de mécanique, d’électricité, les bureaux d’études, les cabinets d’avocats, de médecins et le secteur des banques, entre autres.
Les unités du groupement régional d’Alger de la Gendarmerie nationale ont récemment arrêté deux individus membres d’une bande de trafiquants d’armes et saisi 16 armes à feu, a révélé mercredi le lieutenant-colonel Mokhtar Zeroual.
Les deux individus dont l’un a été arrêté dans la capitale et le second dans une wilaya de l’est du pays activaient au sein d’un réseau criminel international spécialisé dans le trafic d’armes, a précisé le chef d’état-major du groupement d’Alger de la Gendarmerie nationale, le lieutenant-colonel Mokhtar Zeroual, lors d’une conférence de presse.
Le premier suspect a été arrêté au niveau du boulevard Krim Belkacem dans la commune d’Alger-centre en possession de trois (3) armes à feu. Le second suspect a été arrêté dans une wilaya frontalière de l’est du pays en possession de treize (13) fusils et d’une quantité de poudre et de cartouches de 12 mm de calibre, a ajouté le lieutenant-colonel Mokhtar Zeroual sans citer nommément la wilaya pour ne pas entraver l’enquête en cours.
L’identité de trois (3) autres suspects, actuellement en fuite, a été établie, a-t-il indiqué, précisant qu' »un appareil artisanal servant à la fabrication de cartouches pour ce type de fusils a également été saisi ».
Après avoir salué le rôle des citoyens de la capitale dans le signalement de ce réseau au numéro vert 1055, le chef d’état-major du groupement d’Alger de la Gendarmerie nationale a précisé que ces armes « sont des fusils de fabrication américaine en provenance de Turquie et introduits en Algérie par les frontières libyenne et tunisienne ».