La pandémie du Coronavirus a paralysé le monde entier. La propagation dangereuse de ce virus mortel a obligé la majorité des pays du monde à fermer leur espace terrestre, maritime, mais aussi aérien, afin d’éviter le pire.
Parmi les pays qui ont été fortement touchés par la Covid-19, figure l’Algérie. À cet effet, et suite au chiffre alarmant enregistré, les autorités du pays ont procédé à la fermeture de tous les espaces, et ce, dans l’espoir de limiter la circulation du virus.
Après trois vagues désastreuses, le pays semble enfin attraper son équilibre. Suite à cela, les mêmes autorités ont procédé, le 1e juin dernier, à la réouverture partielle des frontières aériennes.
Cependant, le nombre de vols programmés demeurait insuffisant face à la forte demande des voyageurs ainsi que de la diaspora. Sur ce, le gouvernement algérien a opté récemment pour la reprise des croisières afin de soulager la pression sur le trafic aérien.
La reprise des croisières après 19 mois de suspensionEn effet, les autorités compétentes ont choisi la date d’aujourd’hui, le lundi 1e novembre 2021, pour lancer officiellement la reprise du trafic maritime avec la France après une longue absence.
Ce lundi, la joie des Algériens, notamment de la diaspora, est multipliée par deux. Ces derniers fêtent ce grand événement historique du déclenchement de la Révolution nationale, ainsi que la reprise des croisières, après plus de 19 mois de suspension.
Aujourd’hui, les croisières entre les deux villes, Alger et Marseille sont reprises, et ce, à partir de 16 heures, par un départ de la capitale algérienne, et une arrivée après 19 heures de traversée en mer. Ce qui veut dire que le navire arrivera demain à 11 heures à sa destination, Marseille.
Le nouveau navire peut transporter 1 800 passagersCe n’est pas tout ! Les clients d’Algérie Ferries ont également la chance d’embarquer à bord du tout nouveau venu dans la flotte, le navire Badji Mokhtar 3. Ce dernier peut transporter jusqu’à 1 800 passagers dans chaque traversée.
Toutefois, et afin de respecter les mesures prises par le gouvernement afin de lutter contre la Covid-19, ledit navire ne portera que 1 500 passagers, soit une réduction de 20 %. Outre des 1 500 passagers, Badji Mokhtar 3 peut transporter également 600 véhicules à son bord.
Pour rappel, le nouveau navire va assurer la ligne Alger – Marseille, tout en attendant la reprise des autres lignes, mais aussi de l’activité des autres navires de l’Entreprise Nationale du Transport Maritime des Voyageurs, à savoir, Tassili 2, Dajazaïr2 et Tarik Ibn Ziad.
L’article Alger – Marseille : le nouveau navire de l’ENTMV recoud la déchirure est apparu en premier sur .
C’est depuis le début du mois de septembre que les cas de contamination à la covid-19 en Algérie connaissent une baisse notable. Pour le moment, le bilan des infections tourne toujours autours de la barre symbolique des 100 cas quotidiens, mais cette situation pourrait ne pas durer, s’inquiètent la majorité des spécialistes.
Aujourd’hui, le 1er novembre 2021, le bilan officiel communiqué par le ministère de la Santé indique que l’Algérie a recensé ces dernières 24 heures, pas moins de 114 nouveaux cas de contamination au coronavirus. Le nombre des nouveaux décès, indiquent les mêmes chiffres, est de 4 cas. Le même communiqué fait état de 79 nouvelles guérisons et 14 nouvelles admissions aux soins intensifs.
Les derniers chiffres dévoilés ce lundi par le département de Benbouzid font grimper le total des contaminations au virus à pas moins de 206.566 contaminés depuis le début de la pandémie en mars 2020. L’Algérie a également recensé pas moins de 5925 décès au total à cause des complications liées au virus.
4ᵉ vague, « ça peut arriver à tout moment »Le Pr Riad Mahiaoui, chef de service réanimation au CNMS et membre du Comité scientifique de suivi et de lutte contre la Covid-19, invité de la rédaction de la Chaîne 3, a été plus que clair. Il a affirmé que «la recrudescence de la crise peut intervenir à tout moment».
Selon lui, malgré le calme épidémiologique que l’Algérie traverse ces dernières semaines, «Cela ne veut dire en aucun cas que la circulation du virus n’existe pas». Il assure que «un seul cas peut être une étincelle pour une flambée épidémique».
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Les intellectuels Algériens continuent à lever haut le drapeau de leur pays, notamment à l’étranger. Cette fois-ci, c’est bien la chercheuse Nadia Boutaoui qui a honoré le pays aux États-Unis.
Il s’agit en effet, d’une Algérienne qui a vécu une enfance ordinaire au sein d’une famille nombreuse à Jijel. Cette dernière obtenait toujours de brillants résultats depuis son jeune âge. Sur ce, ses parents voulaient qu’elle étudie la médecine à l’université, mais Nadia, et contre toute attente, a choisi d’étudier le domaine qu’elle porte dans cœur : la botanique.
Nadia Boutaoui choisit le domaine agricoleÀ cet effet, Nadia Boutaoui a étudié la botanique à l’Institut national d’agriculture à Alger, où elle s’est spécialisée dans les techniques végétales. Mais cette dernière n’est pas allée loin dans ses choix scientifiques dans le domaine agricole, qu’elle aimait depuis sa plus tendre enfance.
Cependant, elle a obtenu d’excellents résultats, ce qui lui a permis de se qualifier pour le concours de bourses dans lequel elle a remporté la première place en génétique végétale. Sur ce, elle a poursuivi ses études supérieures en Angleterre, où elle a obtenu son doctorat.
La chercheuse change la voie vers la génétique humainePar la suite, la chercheuse s’est mariée et a déménagé avec sa famille aux États-Unis d’Amérique, et là, ses recherches dans le domaine botanique l’ont amenée à la génétique humaine, dans l’espoir de trouver un remède ou un anti-cancer.
Donc, Nadia a changé de voie scientifique pour la recherche en génétique humaine lorsqu’elle a rejoint l’université Harvard aux États-Unis, où elle a fait de grandes découvertes scientifiques dans les maladies respiratoires.
Boutaoui découvre que la vitamine D peut soulager l’asthme chez les enfantsPar ailleurs, et après que Boutaoui ait fait un pas de géant dans le domaine de l’épigénétique, elle s’est vu confier la tâche d’établir un laboratoire à l’Hôpital pour enfants de Petersburg.
Elle a fait plusieurs découvertes liées à la maladie pulmonaire obstructive qui ont été annoncées à travers 20 articles dans différentes revues scientifiques. Parmi les découvertes de la native de Jijel en Amérique, est que « la vitamine D peut aider à soulager l’asthme chez les enfants ».
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Hier, au tribunal de Dar El Beida Alger, une bande de malfaiteurs composée de trois suspects est présentée devant le juge pour répondre des faits de détention d’un migrant subsaharien et la demande d’une somme de 3 millions de dinars contre sa libération.
C’est la femme de la victime qui s’est présentée devant le commissariat de Bordj El Kiffan pour alerter de la disparition de son conjoint. Ce dernier n’a pas donné signe de vie depuis plusieurs heures. Elle dépose donc plainte contre des anonymes dont un « clandestin » qui l’avait contacté par téléphone. Ces derniers lui auraient exigé une rançon pour délivrer son mari.
Trafic de faux billetsAprès le lancement d’une enquête judiciaire, il s’est avéré que les trois suspects ont planifié le kidnapping de la victime afin de se venger de lui à cause d’une affaire de trafic de faux billets.
La victime, qui a fait la connaissance des suspects via Facebook, a été localisée et contactée pour ensuite être leurrée et kidnappée dans une voiture qui va l’emmener vers un village dans les montagnes de Boumerdès.
Une fois sur les lieux, et après 24 heures de détention, les suspects contactent la femme de la victime et négocient avec elle le paiement d’une somme de 300 millions de centimes comme rançon.
Les versions de chaque partie sont différentes, la victime relate les détails de son kidnapping et nie son implication dans le trafic de faux billets. Elle dit avoir été forcée de monter en voiture par l’un des suspects qui le trompe en lui promettant d’aller lui chercher du travail.
Les mis en cause, quant à eux, soutiennent avoir contacté la victime pour des fins de conversion de dinar en devises, et que la victime les a escroqué. Selon eux, ils l’ont simplement attrapé pour le livrer aux forces de l’ordre.
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Au moment où le pays traverse l’une de ses pires crises, le secteur de l’Éducation a été gagné par une grève cyclique annoncée par le CNAPESTE. Dans le même cadre, et un peu pour les mêmes raisons, les travailleurs de la Santé, sous l’étendard du SNPSP, annonce une journée nationale de contestation.
En effet, et à l’issue d’un conseil qui a réuni le SNPSP, le SNECHU, ainsi que le SAP, une décision a finalement vu le jour. Il s’agit d’aller vers l’organisation d’une journée nationale de contestation programmée pour le mercredi 3 novembre 2021.
Pour les syndicats des travailleurs de la Santé, la lutte seule pourrait arracher leurs droits. Ils ont toutefois décidé d’entamer cette contestation tout en garantissant le service minimum dans les établissements de santé publique, comme cela a été indiqué dans leur communiqué.
Le pouvoir d’achat au cœur de la contestationAu centre des revendications mises en avant par les syndicalistes et les travailleurs du secteur de la santé, le pouvoir d’achat se distingue. Dans son communiqué rendu public, le SNPSP indique qu’il dénonce « la détérioration inédite du pouvoir d’achat » et qu’il réclame « l’amélioration des conditions de travail ».
Il est à rappeler que le corps soignant fait face depuis près de deux ans à la pandémie. Plusieurs médecins et infirmiers ont été touchés par le virus, certains ont payé leur abnégation au prix de leurs vies. Le communiqué n’a pas manqué de réclamer « la prime covid », qui est attendue depuis le mois de mars 2021.
Les travailleurs de la santé revendiquent également « une assurance à 100 % » pour tous les employés du secteur, ainsi qu’une « bonification de retraite » pour les travailleurs qui ont fait face à la pandémie. Toujours concernant la pandémie, le communiqué du SNPSP réclame que la Covid-19 « doit être enregistrée sur la liste des risques du métier de la Santé ».
Pour finir, le communiqué n’a pas omis de dénoncer la pression exercée sur les syndicalistes. Le SNPSP estime que la contestation et l’exercice du syndicalisme sont des droits garantis par la constitution.
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Depuis la baisse des cas de contamination à la Covid-19 enregistrée dernièrement, les bonnes nouvelles ne cessent de s’annoncer à la diaspora, mais aussi aux amoureux de voyage.
En effet, les autorités du pays avaient déjà annoncé un nouveau programme de vols internationaux desservant sept pays, avec un nombre de plus de 60 dessertes hebdomadaires, depuis et vers l’Algérie.
Face à la forte demande de la diaspora, voulant à tout prix rejoindre le territoire de son pays, ce nombre de vols demeurait insuffisant.
À cet effet, les mêmes autorités ont augmenté les vols opérés chaque semaine, et ont même ajouté des nouvelles destinations, et ce, afin de satisfaire la communauté algérienne désirant rejoindre le sol national, ainsi qu’à répondre à la forte demande des voyageurs.
Aujourd’hui, une autre bonne nouvelle vient de s’ajouter au menu. Il s’agit de la relance des dessertes commerciales entre Dubaï et Alger, après près de 19 mois de fermeture des frontières aériennes nationales.
Emirates Airlines reprend ses vols avec AlgérieCe lundi 1e novembre, la compagnie aérienne émiratie confirme, via un communiqué de presse, la reprise de ses vols internationaux avec l’Algérie.
Ladite reprise aura lieu, selon la même source, à partir du mardi 09 novembre. La compagnie aérienne a également indiqué que les dessertes se feront à raison de deux vols allers-retours par semaine, et ce, entre Dubaï et Alger. Ces derniers seront opérés tous les mardis et jeudis. Sachant que le vol retour Alger – Dubaï se fera via une escale à Tunis.
Dans le même sillage, le vol EK 757 Dubaï – Alger devrait être effectué deux fois par semaine, le mardi et le jeudi, par un départ de Dubaï à 9 h 30, et une arrivée à Alger à 14 h 00.
Quant au vol EK 758 Alger – Dubaï, il est programmé également tous les mardis et jeudis, pour un départ de l’aéroport d’Alger Houari Boumediene à 17 h, et arrivée à Tunis à 18 h 20, pour démarrer de la capitale tunisienne à 19 h 20 et arrivée le lendemain à Dubaï à 03 h 55.
Par ailleurs, la compagnie Emirates Airlines précise dans son communiqué : » les billets peuvent être réservés sur le site internet emirates.com, l’application Emirates, les bureaux de vente Emirates et par l’intermédiaire d’agents de voyages agréés, ainsi que d’agents de voyages en ligne « .
Il convient également d’indiquer que ces nouveaux vols viennent de s’ajouter au programme de la compagnie aérienne nationale Air Algérie. Celle-ci opère des vols depuis octobre vers les Emirates arabes unis, selon un programme de vols desservant deux lignes, à savoir, Alger – Dubaï tous les dimanches et jeudis et Dubaï – Alger tous les lundis et vendredis.
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Treize millions de doses de vaccins contre la covid-19 ont été acquis par l’Algérie, sans compter la production nationale. Au moment où le spectre de la péremption rode sur les vaccins, le spécialiste le Pr Riad Mahiaoui, chef de service réanimation au CNMS et membre du Comité scientifique de suivi et de lutte contre le Covid-19, a tenu à apporter des précisions.
Selon le Pr Riad Mahiaoui, invité de la chaine 3 de la radio nationale, la dose de vaccin anti-covid-19 n’est certes pas impérissable, mais si les appels fusent pour pousser les citoyens à la vaccination, ce n’est pas pour faire écouler les stocks de vaccin, mais pour sauver des vies.
Le spécialiste martèle qu’il « faut faire confiance au système de santé ». Pour lui, « on peut interpréter comme on veut toutes les actions, et les expliquer de façon négative, mais il nous faudra rester positifs ».
Il explique que « si on fait la 3e dose ce n’est pas uniquement pour écouler les stocks ». D’ailleurs, ajoute-t-il, « on ne peut pas écouler tous les vaccins avec la troisième dose ». Selon Le Pr Mahiaoui, « le plus important et notre objectif principal, c’est d’aller se faire vacciner ».
« Il ne faut pas aller chercher des explications complètement sordides« , indique le professeur, qui s’interroge sur les lendemains de la pandémie en Algérie. « Ou sont les 70 % des vaccinés, s’exclame-t-il, où sont les 20 millions de vaccinés ».
La quatrième vague, « il suffit d’une étincelle »Toujours selon le même intervenant, la quatrième vague reste un risque réel, et ce, malgré la baisse des contaminations. Selon le Pr Mahiaoui, Il y a « près de 29 wilayas avec zéro contamination. Moins de 10 malades en réanimation. Moins de 130 malades sous oxygène et 5 à 6 décès par jour ». Cela ne l’empêche pas d’affirmer que «Un seul cas peut être une étincelle pour une flambée épidémique».
L’expert affirme que « le virus circule encore et des sous-variants seraient plus dangereux que le variant Delta ». Le Pr s’inquiète et indique « que l’on ne sait pas ce qui nous réservent les nouveaux variant ».
Selon lui cela peut être « qu’un nouveau variant nous réserve une augmentation de la transfusion sanguine, ou d’un tel ou tel médicament ». Il rappelle aussi que « personne ne savait que le variant Delta allait bouffer toutes nos réserves d’oxygène ».
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Le gouvernement algérien avait annoncé, que le pays va produire le vaccin anti-covid russe, Sputnik V en l’occurrence, et ce, au sein des laboratoires algériens.
La concrétisation dudit projet a mis beaucoup plus de temps que prévu. À cet effet, le ministre de l’Industrie Pharmaceutique, Abderrahmane Djamel Lotfi Benbahmed avait rassuré et affirmé que le projet de fabrication du Sputnik V est toujours en cours de réalisation.
» La coopération avec la partie russe se poursuit toujours dans le domaine pharmaceutique, et pas seulement pour la production du vaccin Spoutnik V « , avait précisé le même responsable.
Le ministre explique les raisons du retardEn effet, le premier responsable du secteur de l’industrie pharmaceutique en Algérie a récemment réaffirmé la pleine disponibilité du pays à renforcer ses relations avec la Russie dans le domaine de l’industrie pharmaceutique et à les développer en un véritable partenariat industriel sur le long terme, à commencer par la production du Sputnik V localement, à la production d’autres matériaux pharmaceutiques qui seront destinés à la consommation locale, voire à l’exportation.
Dans le même sillage, Abderrahmane Djamel Lotfi Benbahmed a révélé à l’agence russe Sputnik : » comme vous le savez, il existe un protocole d’accord signé entre le Groupe Saidal et le Fonds d’investissement direct russe, où une plate-forme numérique a été mise en place contenant toutes les informations relatives au vaccin russe, et ce, afin de permettre le processus de transfert de technologies qui permettront à l’Algérie de produire le Sputnik V localement « .
Le ministre a souligné que » le processus de transfert de technologies pour la production de vaccins ou de tout autre médicament prend beaucoup de temps « .
Sur les raisons de ne pas encore commencer à produire localement le vaccin russe, le même responsable a expliqué : » les réunions, échanges et ateliers de formation avec le partenaire russe se poursuivent, alors que le principal problème reste le processus de transfert de technologies « .
Il convient également d’indiquer que le ministre a précisé : » la partie russe n’a pas encore pu envoyer des équipes pour inspecter nos installations de production, et l’accord avec le partenaire russe était de réaliser un processus de production complet, c’est-à-dire de la biotechnologie à la production de masse « .
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Le président Tebboune a officiellement annoncé hier la fin du gazoduc Maghreb – Europe. Cette annonce marque la fin d’un espoir de collaboration maghrébine, et enfonce encore plus la crise entre l’Algérie et le Maroc dans le flou. Amar Belani, envoyé spécial chargé de la question du Sahara occidental et des pays du Maghreb, est revenu sur cette affaire.
Dans une déclaration pour le journal arabophone Echourouk, Amar Belani a mis toute la responsabilité de la fermeture du gazoduc Maghreb – Europe, sur le Maroc. Selon lui, ce gazoduc « était un pari sur l’avenir et une preuve de notre réel engagement envers les peuples maghrébins ».
Belani : « L’Algérie nouvelle ne se fera plus tromper »Belani a notamment indiqué que la réalisation du gazoduc Maghreb – Europe était « une expression tangible et réaliste de notre profonde conviction concernant l’importance de la fusion régionale et de la valeur ajoutée que représentent ces infrastructures réalisées pour la complémentarité maghrébine ».
« Hélas », estime l’envoyé spécial de Lamamra, « le Maroc n’était pas à la hauteur de l’ambition historique et stratégique que représente cet immense projet pour le Grand Maghreb ». Belani ajoute que le Maroc a pris le projet « en otage et l’avait lié à la cause du Sahara Occidentale qu’il occupe illégalement« .
Pour finir, Belani a tenu à répondre aux médias marocains qu’ils qualifient de « porte-paroles des services secrets marocains ». Il estime qu’ils devraient « regretter la perte de ce grand acquis dont le Royaume s’est nourri pendant 25 ans tout en continuant à comploter contre l’unité et l’intégrité de notre pays ».
Le Maroc, déclare Belani, doit comprendre que « l’Algérie nouvelle ne se laissera plus se faire tromper, et qu’elle rendra coup pour coup ». Belani assure que « les agressions auront un prix, malgré les agissements de ceux dont la tache est la manipulation et les fausses informations ».
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À l’occasion de la commémoration du 1e Novembre 1954, date du déclenchement de la Guerre de Libération nationale du joug colonial français, de nombreux Algériens sont sortis la veille, afin de fêter cet 67e anniversaire.
Le 1er Novembre représente pour toute la population algérienne « un élément fondamental de son identité nationale, mais aussi de son histoire « .
À cet effet, de nombreux responsables ont adressé leur mot à tout le peuple algérien à l’occasion de cet événement historique qui marque l’histoire de notre pays.
Parmi lesdits responsables, figure le nom du Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane en l’occurrence. En effet, et sur la marge de ce grand événement, le ministre a posté un tweet via son compte officiel, où il rend hommage aux martyrs de la Guerre de Libération nationale et appelle « à une révolution économique, afin de libérer le pays de la dépendance économique ».
Benabderrahmane : il faut libérer l’Algérie de la dépendance économique» La commémoration du 67e anniversaire du déclenchement de la Guerre de Libération est une étape historique à travers laquelle nos ancêtres ont fait une révolution qui a libéré le pays du colonisateur odieux « , lit-on dans la publication dudit ministre.
Dans le même post publié sur Twitter, Aïmene Benabderrahmane mis l’accent également sur la nécessité de « libérer l’Algérie de la dépendance économique ».
» Il est digne de nous, la génération de l’indépendance, de réaliser une révolution économique pour libérer notre pays de la dépendance économique et atteindre l’autosuffisance dans tous les domaines « , affirme le Premier ministre.
Il ajoute à ce propos : » nous devons travailler avec sincérité et une forte volonté pour réaliser cette ambition en concrétisation des 54 engagements du Président de la République, engagements inspirés des valeurs et principes du 1e Novembre 54 sur lesquels nous resterons ».
Par ailleurs, le même responsable conclut son tweet par : » Vive l’Algérie, libre, et chère. Gloire à nos martyrs « .
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Le taux de change de la monnaie nationale face aux principales devises enregistre de légers changements dans les cotations de ce lundi. Le cours de l’euro enregistre une légère hausse tandis que le dollar une légère baisse.
Au niveau de la Banque d’Algérie, un euro s’échange contre 159,47 dinars à l’achat et 159,53 dinars à la vente. L’on note une légère hausse par rapport aux cotations d’hier ; 158,97 dinars à l’achat et 159,04 dinars à la vente.
Selon les cotations commerciales d’ouverture publiées par la Banque d’Algérie, un dollar s’échange contre 136,88 dinars à l’achat et 136,90 dinars à la vente. La monnaie étasunienne affiche donc une légère baisse par rapport à hier ; 137,15 dinars à l’achat et 137,16 à la vente.
En outre, le tableau de change de la banque d’Algérie indique que la livre sterling a connu une légère hausse sur le marché officiel. L’unité de cette monnaie s’échange contre 188,73 dinars à l’achat et 188,75 dinars à la vente. (188,57 Da à l’achat, et 188,64 Da à la vente hier).
Le taux de change sur le marché parallèle des devisesAu niveau du marché parallèle, l’euro enregistre également une légère hausse pour ce lundi. Un euro s’échange, en effet, contre 213,00 dinars à l’achat et à 216,00 dinars à la vente.
Concernant la monnaie étasunienne, un dollar s’échange contre 183 DA à l’achat contre 186 DA à la vente. De son côté, la livre sterling n’a enregistré aucun changement majeur. L’unité de cette monnaie s’échange contre 240 DA à l’achat et 243 DA à la vente.
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Les services de l’Office de météorologie ont indiqué, dans un bulletin météo, que les rafales de vent vont se poursuivre, pour cette journée de lundi 1er novembre, dans plusieurs wilayas du nord du pays.
Dans la carte de vigilance publiée ce lundi, pas moins de 11 wilayas côtières sont placées en vigilance jaune (vents violents). Il s’agit de Alger, Tipasa, Béjaia, Tizi Ouzou, Chlef, Mostaganem, Ain Témouchent, Skikda, Jijel, Boumerdès et Oran.
La vitesse des rafales attendues est estimée à plus de 60 km/h. La validité du bulletin devra s’étaler, selon la même source, jusqu’à 18 h 00 de cette même journée.
Les rafales attendues provoqueront l’agitation de la mer dans l’ensemble des zones côtières du pays. La hauteur des vagues sera de 3 mètres, et ce, jusqu’à l’aube de demain mardi.
Il s’agit donc des côtes de Bejaia, Jijel, Azefoun, Déllys, Alger, Bouharoune, Ténés, Arzew, Béni Saf, Ghazaouat, Marsa Ben Mhidi, Skikda, Annaba et El Kala.
Les prévisions de ce lundi 1er novembrePour ce qui est des prévisions de ce lundi, météo Algérie a fait état d’un temps dégagé avec quelques nuages sans effet sur les régions de l’ouest du pays.
À l’est et au centre, le temps sera marqué par des passages nuageux pouvant entrainer quelques gouttes de pluie. Cette situation devra rejoindre le centre du pays durant la soirée de ce lundi.
Pour ce qui est des températures maximales prévues ce mercredi, l’on note entre 26 et 30 degrés sur les régions côtières, entre 23 et 30 degrés sur les régions intérieures et de 29 et 38 degrés sur les régions sahariennes.
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À l’occasion du 67e anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération nationale, le président Abdelmadjid Tebboune a décrété une grâce présidentielle qui touchera trois mille détenus.
L’annonce a été faite par le ministère de la Justice dans un communiqué rendu public ce dimanche 31 octobre 2021. Selon la même source, cette grâce présidentielle devra toucher près de 3000 détenus.
« A l’occasion de la commémoration du 67ème anniversaire du déclenchement de la guerre de Novembre 1954, en fidélité aux valeurs de clémence et d’indulgence ancrées chez le peuple algérien, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a décrété ce jour, 31 octobre 2021, un décret portant mesures de grâce au profit de 3000 détenus condamnés définitivement », lit-on dans le communiqué.
Qui est concerné par cette grâce ?En tout, les mesures de grâce décrétée par le président Tebboune portent sur une grâce totale de la peine au bénéfice des personnes non détenues définitivement condamnées et dont il ne reste que douze mois ou moins à purger.
Les mesures portent également sur une remise totale de la peine au bénéfice des personnes détenues définitivement condamnées et dont il ne reste que six mois ou moins à purger.
Par ailleurs, une remise partielle de six mois de la peine au bénéfice des personnes définitivement condamnées dont le restant de le peine est supérieur à six mois et égal ou inférieur à vingt ans.
Enfin, la remise totale et partielle de la peine est portée à douze mois au bénéfice des détenus, condamnés définitivement, dont l’âge est égal ou dépasse soixante-cinq ans.
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Le Président Abdelmadjid Tebboune a présidé, ce dimanche 31 octobre 2021, une réunion du Conseil des ministres. À l’ordre du jour, l’examen de plusieurs dossiers ; dont celui de la lutte contre la hausse des prix de produits alimentaires, mais aussi l’accord d’association avec l’Union Européenne.
Lors de la réunion ayant regroupé les membres du gouvernement, le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a donné plusieurs instructions ; relatives principalement aux questions liées aux préoccupations des citoyens.
Tebboune veut la révision de l’accord d’Association Algérie-UESur le plan économique, le président Tebboune a ordonné, lors de la réunion, la révision des dispositions de l’accord d’association avec l’Union Européenne (UE), « clause par clause », en fonction d’une vision souveraine et d’une approche « gagnant-gagnant », en tenant compte de l’intérêt du produit national en vue de créer un tissu industriel et des postes d’emploi.
Évoquant le dossier de réévaluation de certains projets dans les secteurs des Travaux publics et des Transports, le chef de l’Etat a insisté sur l’impératif d’accorder un intérêt particulier aux projets qui touchent directement la vie quotidienne du citoyen ; soulignant l’importance de développer un système de gestion des projets d’équipement public, notamment en ce qui concerne le respect des délais de réalisation.
Vers le retour de l’importation de certains produitsSur le dossier des « questions liées aux préoccupations des citoyens« , le Président de la République a ordonné la préparation d’un projet de loi-cadre relatif à l’exercice de l’action syndicale dans différents secteurs. Ce dernier régira les droits et obligations et défendra les intérêts des fonctionnaires et travailleurs.
Il a également ordonné la prise en charge des préoccupations des citoyens concernant les secteurs du commerce et de l’agriculture et lutter contre la flambée des prix, même si l’on doit recourir à l’importation, à titre urgent et exceptionnel, pour préserver le pouvoir d’achat et inonder le marché des produits objet de spéculation, particulièrement les produits de large consommation et les viandes blanches.
D’autres instructions émises par le président Tebboune :
● Réinsertion des détenus en leur accordant l’allocation chômage ;
● Parachèvement le stade de Douera (Alger-Ouest), dans les plus brefs délais, pour l’attribuer au Club du Mouloudia d’Alger ;
● Trouver des solutions radicales et immédiates, loin de la politique de bricolage, au problème d’obstruction des trémies, au début de chaque saison hivernale ;
● Assurer tous les moyens aux sportifs d’élite, pour l’obtention de résultats positifs aux Jeux méditerranéens qu’abritera la ville d’Oran.
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Ces dernières années, le pouvoir d’achat des Algériens connaît sa plus forte chute. En plus de la dégradation de la valeur du salaire moyen ; le citoyen fait face à une flambée sans précédente des produits à larges consommations.
Ce dimanche 31 octobre ; la problématique de la hausse des prix alimentaires s’est une nouvelle fois invitée à la réunion du conseil des ministres présidée par le président Abdelmadjid Tebboune.
Après avoir déclaré « la guerre » aux spéculateurs en ordonnant l’élaboration d’une loi les incriminant (jusqu’à 30 ans de prison), le chef de l’État est revenu aujourd’hui avec un nouveau plan.
Vers la relance de l’importation de certains produits alimentairesOutre la loi incriminant les spéculateurs, le président Tebboune a dévoilé, lors de la réunion d’aujourd’hui son « plan B » qui vise, selon lui, à préserver le pouvoir d’achat des Algériens.
En effet, le chef de l’État pourrait relancer « exceptionnellement » l’importation afin d’inonder le marché des produits objet de spéculation, dont les produits de large consommation et les viandes blanches. Avec cette stratégie, le président Tebboune prévoit préserver le pouvoir d’achat ainsi qu’une stagnation des prix.
« Il faut résoudre les préoccupations des citoyens concernant les secteurs du commerce et de l’agriculture et lutter contre la hausse des prix, même si l’on doit recourir à l’importation, à titre urgent et exceptionnel, pour préserver le pouvoir d’achat« , a lancé le chef de l’État lors de la réunion ; insistant sur la prise en charge des questions liées aux préoccupations des citoyens.
L’article Lutte contre la flambée des prix : le « plan B » de Tebboune est apparu en premier sur .
Énième coup dur pour le Makhzen. Après la rupture des relations diplomatiques et la fermeture de l’espace aérien, l’Algérie est passée aujourd’hui à l’action dans l’affaire gazoduc Maghreb-Europe (GME) qui alimente l’Espagne en gaz via le Maroc.
En effet, le président Abdelmadjid Tebboune vient d’ordonner le non-renouvellement du contrat du Gazoduc qui expire aujourd’hui à minuit ; après 25 ans de service. L’annonce a été faite ce dimanche 31 octobre par la présidence de la république via un communiqué rendu public en fin d’après-midi.
Selon la même source, le chef de l’État a également ordonné la cessation des relations commerciales entre Sonatrach et l’Office marocain de l’électricité et de l’eau potable (ONEE).
« Compte tenu des pratiques hostiles, du Royaume du Maroc à l’égard de l’Algérie, qui portent atteinte à l’unité nationale, et après consultation du Premier ministre, du ministre des Finances, du ministre des Affaires étrangères et du ministre de l’Énergie et des Mines, le président de la république a ordonné à Sonatrach de rompre ses relations commerciales avec l’Office marocain de l’électricité et de l’eau potable et le non-renouvellement de l’accord », lit-on dans le communiqué.
Avec la fermeture du GME, les livraisons de gaz à l’Espagne se feront désormais via le gazoduc sous-marin Medgaz. C’est ce qu’a affirmé mercredi dernier le ministre de l’Énergie Mohamed Arkab ; qui a également évoqué « une extension de la capacité de Medgaz » et « un accroissement des exportations de gaz naturel liquéfié par la voie maritime ».
Le « plan B » du MarocFace à cette fermeture, les hauts responsables marocains ne sont pas restés les bras croisés. En effet, Rabat négocie actuellement avec Madrid sur la possibilité de se faire livrer du gaz à partir de l’Espagne, en inversant le sens du flux du gazoduc Maghreb – Europe.
Par ailleurs, il convient de noter que la fermeture du GME va causer d’énormes dommages au Makhzen, car Rabat obtient entre 50 et 200 millions d’euros par an de « droits de passage » ; en plus de la livraison du GAZ.
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À la veille du 67ᵉ anniversaire du premier novembre, date du déclenchement de la guerre d’indépendance de l’Algérie, le président Tebboune n’a pas manqué de s’adresser au peuple algérien, et ce, afin de lui rappeler la haute symbolique que revêt ce moment de l’histoire nationale.
Le chef de l’État a, en effet, adressé un message à l’ensemble des citoyens algériens à l’occasion du 67ᵉ anniversaire du déclenchement de la révolution. Pour le président Tebboune, le 1er novembre est tel « une étincelle qui a illuminé le pays de feu et de lumière, un feu qui a incendié les violeurs agresseurs ».
L’appel du 1er novembre, « un appel sacré »Selon le message du chef de l’État, l’appel du premier novembre est « une référence sacrée » qui est « gardée dans nos consciences ». Il « fortifie notre unité nationale et inspire le peuple algérien une ingéniosité qui lui permet de dépasser les crises ».
La lettre du chef de l’État n’a pas manqué de revenir sur la guerre d’Algérie. Le président Tebboune a notamment écrit que « Dieu a béni l’Algérie en lui permettant que l’Écho de son combat armé contre le colon sioniste retentisse aux quatre coins du monde ». La révolution de Novembre a « écrasé la terreur de la France coloniale par la force des armes », rappelle le président Tebboune.
Le président déclare ensuite que Novembre est « inépuisable », qu’il est « la fierté de la Nation » et qu’il « devrait être une source d’inspiration ». C’est d’ailleurs pour cela, indique la meme lettre, qu’il faut « exploiter les possibilités dont disposent les institutions et les organes concernés et les orienter vers la promotion et l’appréciation de notre patrimoine historique contemporain, de manière persuasive qui permet de polariser les nouvelles générations ».
Le président Tebboune a aussi profité de cette occasion pour lancer un appel aux « chercheurs et aux esprits novateurs ». Dans son message, il indique qu’il faut rattraper le retard avec « des réalisations créatives » dans les secteurs du cinéma, de la télévision et de la radio.
« Quand les fondements de l’état étaient au bord du gouffre »Le président Tebboune se penche ensuite sur le mouvement populaire du 22 fevrier 2019, il indique que « les fondements de l’état étaient au bord du gouffre » mais que le peuple Algérien, ayant senti le danger, s’est vite « rué vers un Hirak béni », « en se basant sur une référence novembriste ».
« L’Algérie, forte de son peuple et de son armée, fière de ses institutions constitutionnelles, s’est elancée vers les horizons », indique le message du chef de l’État. Ce dernier ajoute qu’il s’agit « de perspectives de construction d’institutions étatiques sur des bases solides, loin des soupçons et des impuretés ».
Pour le président Tebboune, les prochaines élections locales sont une preuve de « de notre forte et inébranlable volonté de protéger le libre arbitre des citoyens, hommes et femmes ». La lettre ajoute enfin que « le gouvernement va accélérer la mise en œuvre de la stratégie de relance économique et va assurer les besoins sociaux avec l’efficacité et l’efficience requises ».
Pour conclure, la lettre du président Tebboune affirme que « nous avons ramené le pays sur le chemin parcouru par nos martyrs et moudjahidines ».
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Avec 31 matchs sans défaite, l’équipe nationale de football approche de plus en plus du record d’invincibilité mondial obtenu par l’Italie (37 matchs sans défaite).
Grâce à ce score obtenu par les Fennecs, plusieurs grands noms souhaitent rejoindre l’équipe qu’à former le sélectionneur national Djamel Belmadi, et ce, depuis son arrivée à la tête du staff technique en 2018.
Parmi les joueurs qui désirent rejoindre les Verts, figure le nom de l’international algérien Yassine Benzia. Ce dernier a adressé un message à Belmadi, exprimant son espoir de revenir à l’équipe nationale et porter à nouveau le maillot des Verts.
Victime d’un grave accident il y a un an et demi, Yassine Benzia retrouve son meilleur niveau du côté de Dijon depuis le début de la saison de Ligue 2, et ce, avec un but de toute beauté contre Grenoble le week-end dernier.
Le milieu offensif du club français s’est confié sur cette période difficile et a exprimé, lors d’un entretien accordé au Football365, son désir de retrouver la sélection nationale.
Benzia : mon objectif est de revenir en sélection» Oui. La sélection est plus que dans un coin de ma tête ! J’y pense souvent. La sélection, ça a été l’une des grosses motivations durant ma convalescence. C’était un objectif clair et net dans ma tête. C’est ce qui m’a poussé à travailler encore plus dur « , a révélé le footballeur.
Il a poursuivi : » Le coach Belmadi me connaît bien. Donc comme j’ai dit, je travaille et j’espère me donner tous les moyens de revenir avec les Verts « .
Interrogé sur son objectif, Benzia n’a pas hésité à déclarer : » juste revenir en sélection et faire mon trou. Je suis un compétiteur. J’ai envie de jouer, de tout prendre. Tout ce qu’il y a à jouer, je prendrai. On peut m’envoyer dans n’importe quel match, n’importe quelle compétition, si le sélectionneur fait appel à moi, j’irai toujours avec le sourire et l’envie de me surpasser « .
Par ailleurs, l’ex-Lyonnais a fait savoir : » quand le coach Djamel Belmadi a repris l’équipe, il m’a fait confiance. L’entraineur connaît mes qualités. Je suis le plus heureux pour l’équipe avec tous les résultats obtenus. Et j’espère en faire partie le plus vite possible « .
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Le recrutement international se répand et séduit de plus en plus. Une ouverture professionnelle que plusieurs pays adoptent à l’instar de l’Angleterre, la Belgique ou encore le Canada qui est l’un des premiers pays à ouvrir ses portes aux travailleurs étrangers.
Tout cela a commencé avec la pénurie d’effectif notamment dans le domaine de la santé surtout au Québec, un problème suite auquel les autorités canadiennes ont donné le feu vert au recrutement international. Une mission de recruter 4000 travailleurs a été lancée touchant les quatre coins du monde en particulier le Maghreb. Une opportunité à ne pas rater pour les algériens qui souhaitent travailler à l’étranger.
Aujourd’hui ces offres d’emploi sans frontières se répandent vers d’autres domaines et portent beaucoup d’avantages et une stabilité de quoi attirer les algériens qui rêvent de s’installer au Canada. Cette fois-ci plusieurs domaines proposent un recrutement aux étrangers.
Colombie-Britannique : 29 professions ouvertes aux algériensFace à la non-disponibilité des travailleurs locaux, la Colombie-Britannique (province à l’ouest du Canada) recherche et recrute des travailleurs de l’étranger dans le domaine de la technologie, l’informatique les télécommunications, la biologie et bien plus pour pourvoir plusieurs postes de 29 professions.
Il faut décrocher un contrat de travail dans les postes proposés, qui est plus facile à décrocher cette fois-ci puisque l’étude d’impact sur le marché du travail (EIMT) n’est pas demandée. Cette dernière est un document que tout employeur canadien doit avoir pour recruter des employés étrangers.
Il suffit de se rendre sur ce site, chercher et trouver un poste à pourvoir en fonction de votre domne. Il suffira par la suite de s’inscrire d’abord en créant un profile auprès du SIRS : un système d’inscription qui aidera la Colombie-Britannique à sélectionner les travailleurs en fonction de leurs compétences mais aussi des besoins du marché du travail.
Ensuite, un score d’inscription vous sera envoyé vous permettant d’accéder à un pool de sélection pour la catégorie choisie. Les personnes éligibles recevront une invitation pour postuler dans le cadre du volet Immigration des compétences.
Enfin, il faudra soumettre une demande d’immigration, si cette dernière est acceptée, vous recevrez une nomination provinciale et vous pourriez effectuer une demande de résidence permanente.
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Moins d’un mois avant la date des élections locales en Algérie, tout semble encore dans le flou. Pour éclaircir un peu les choses, Mohamed Chorfi, président de l’Autorité Nationale Indépendante des Élections (ANIE), a dévoilé aujourd’hui les derniers chiffres concernant le prochain scrutin.
Il est à rappeler que les partis politiques ayant annoncé leur participation à ce scrutin ont amèrement fait face aux conditions imposées par la nouvelle loi électorale. Plusieurs recours ont été enregistrés, mais aussi plusieurs dénonciations, allant même jusqu’à des menaces de revenir sur la décision de participer, comme c’était le cas pour le MSP.
Plusieurs candidatures rejetéesSelon Chorfi, l’ANIE a présenté 334 recours devant le conseil de l’État. Ce dernier, pour rappel, n’a toujours pas tranché concernant les cas litigieux et les recours présentés par l’ANIE, mais aussi par les partis politiques, dont le MSP et le FFS.
Mohamed Chorfi, premier responsable à l’ANIE, ne dit rien sur les recours introduits par les partis politiques. Il indique toutefois que 1 612 500 cartes de votes ont été distribuées à travers le territoire national et des secteurs ministériels concernés par le scrutin local.
Concernant le volume horaire médiatique dédié aux élections locales, Chorfi indique qu’il a été arrêté à 2197 heures au total, distribuées entre la télévision publique (318 heures), la radio nationale (315 heures) et enfin les radios locales (1564 heures).
Il est à rappeler que l’ANIE n’a donné pour le moment aucun chiffre définitif sur le nombre exact des postulants au scrutin du 27 novembre.
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