Les contaminations au coronavirus repartent à la hausse dans le monde, dont l’Europe où les premiers cas du nouveau variant Omicron, jugé préoccupant par l’OMS, se multiplient. Face à cette situation, l’Algérie va-t-elle vers de nouvelles restrictions sanitaires ?
Alors que les pays voisins se précipitent à refermer leurs frontières, l’Algérie joue la carte de « la vaccination », mais aussi du pass sanitaire.
Avec seulement 11 millions de vaccinés (25% de la population), le pays pourrait se diriger vers l’obligation vaccinale ; une « possibilité » évoquée ce mardi par le gouvernement dans communiqué annonçant la reconduction de la levée du confinement.
« Les pouvoirs publics pourraient être amenés à édicter des mesures sanitaires adaptées à l’évolution de la situation épidémiologique, notamment en matière d’obligation vaccinale et d’extension du passe-sanitaire à certaines activités », lit-on dans le communiqué du gouvernement.
Obligation vaccinale : Tebboune va-t-il revenir sur sa décision ?Il convient de rappeler que le président Abdelmadjid Tebboune avait, en octobre dernier, exclut le recours de l’Algérie à l’obligation vaccinale. Il avait même estimé cette mesure ne servait à rien. « L’obligation vaccinale ne sert à rien (…) La vaccination demeure un acte technique et médical« , avait-il déclaré lors d’une rencontre avec des représentants de médias nationaux.
Face aux risques du variant Omicron et de la quatrième vague, le président Tebboune va-t-il se raviser ? La vaccination sera-t-elle obligatoire pour tous les adultes ? Selon nos sources, le gouvernement envisagerait de rendre le vaccin obligatoire pour certains secteurs, dont celui de la santé.
En attendant les nouvelles mesures, les hôpitaux des grandes villes commencent petit à petit à se remplir de nouveau avec des patients covid et la courbe d’une quatrième vague commencent à se dessiner « en interne ».
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La levée du confinement vient d’être de nouveau reconduite ce mardi 30 novembre 2021, mais pour seulement dix jours. Face au nouveau variant Omicron ; le gouvernement semble vouloir se laisser une marge de manœuvre au cas où les contaminations repartent à la hausse.
En effet, dans un communiqué rendu public aujourd’hui par les services du premier ministre ; le gouvernement a annoncé la reconduction de la levée du confinement / le couvre-feu pour une période de dix jours, à compter de demain mercredi 1er décembre.
« S’inscrivant toujours dans l’objectif de préserver la santé des citoyens et à les prémunir contre tout risque de propagation du Coronavirus, ces mesures visent, au regard de la situation épidémiologique, à reconduire le dispositif actuel de protection et de prévention (levée du confinement). Le dispositif actuel de protection et de prévention est reconduit pour une période de 10 jours, à compter du mercredi 1er décembre 2021 », lit-on dans le communiqué.
Vaccination anti-covid : énième appel du gouvernementDans le même communiqué, le gouvernement a déploré la réticence des Algériens face aux vaccins ; en les appelant, une nouvelle fois, à se faire vacciner à contre le covid-19 qui connait le nouveau variant Omicron, jugé « préoccupant » par l’OMS.
« Malgré la disponibilité de vaccin, la vaccination s’effectue à un faible rythme, au moment où la situation épidémiologique dans beaucoup de régions dans le monde connaissent une nouvelle vague de la pandémie, voire un inquiétant rebond aggravé par l’apparition du nouveau variant « Omicron » qui préoccupe aujourd’hui la communauté scientifique au plus haut degré », a ajouté la même source.
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L’humanité est en passe de vivre une révolution industrielle à l’aune des innovations toujours plus rapides et performantes et des bouleversements interdépendants et toujours aussi complexes. Les sociétés de par le monde entier bruissent aujourd’hui d’interminables discussions sur ce qui va advenir du monde actuel qui est à l’aube d’une « 4ème révolution industrielle ».
C’est d’ailleurs la thématique d’une conférence animée, hier lundi, par l’éminent chercheur algérien, Belgacem Haba à l’université de Ouargla.
En effet, le chercheur scientifique algérien a mis en exergue les différentes caractéristiques économiques du monde dans les prochaines années qui va, selon lui, droit vers une 4ème révolution industrielle. Le rôle des startups dans cette révolution est sans équivoque. Pour le scientifique, il est impératif, aujourd’hui, de donner une plus grande importance à ces entités qui, selon lui, ont un rôle-clé dans le développement de l’économie.
« Pensée positive », clé de voûte de la réussiteHumble, optimiste mais surtout soucieux de l’avenir des futurs cadres de l’Etat, Belgacem Haba, affirme que l’objet des ces conférence est de rester en étroite relation avec les enseignants et les étudiants pour leur inculquer « la pensée positive ». Cette dernière contribue considérablement à l’épanouissement professionnel et personnel, persiste-il.
La conférence a noté, selon la même source, la présence des étudiants de différentes disciplines, des enseignants, entrepreneurs et de jeunes startupeurs.
Un des plus grands inventeurs au mondeAvec plus de 1000 brevets d’invention et d’applications d’invention dans le monde dont 500 aux Etas-Unis, Dr Haba est reconnu comme l’un des plus grands inventeurs au monde grâce à ses contributions majeures à la communauté mondiale des technologies innovatrices.
Les dernières inventions du scientifique algérien ont porté sur le développement de semi-conducteurs 3D et les technologies d’intégration pour les appareils mobiles, l’informatique, les bases de données et les applications dans les domaines des sciences, des industries et de l’automobile.
Il est à noter que Dr Haba a fait toutes ses études en Algérie jusqu’à l’obtention de son diplôme de graduation (licence en physique) à l’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediene (USTHB).
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Le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (Anie) Mohamed Charfi a annoncé ce mardi les résultats provisoires des élections locales du 27 novembre.
C’est lors d’une conférence de presse tenue au Centre international de conférences (CIC), Abdelatif Rahal à Alger, que le président de l’Anie, Mohamed Charfi a dévoilé officiellement, aujourd’hui, les chiffres provisoires des élections locales qui se sont déroulées le 27 novembre dernier.
Ces élections ont été marquées par le boycott de plusieurs partis politiques d’oppositions, mais aussi par une campagne électorale timide. Il s’agit du quatrième scrutin organisé depuis le mouvement populaire du 22 février 2019 après les élections présidentielles, le référendum sur la constitution, et les élections législatives.
Selon Mohammed Charfi, le taux de participation a atteint les 36.58 % dans les élections locales des APC, et 34.76 concernant les élections des APW.
Les résultats des élections locales du 27 novembre 2021Sans grande surprise, c’est le FLN, le Front de Libération Nationale, qui est le grand gagnant de ce scrutin. Selon Chorfi, l’ex-parti unique est classé premier, suivi par le RND, avant de laisser la troisième place aux listes indépendante.
Les résultats des élections locales dans les APC , comme annoncés par Mohamed Charfi, le président de l’Autorité Indépendante des élections sont comme suit :
Concernant les APW, Chorfi a annoncé que le FLN détient encore la tête du classement, suivi par les listes indépendantes puis par le RND. Les résultats sont comme suit :
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Initialement prévus la fin du mois de juin de l’année en cours, les Jeux méditerranéens ont été finalement reportés à l’été de l’année prochaine, à cause de la propagation dangereuse du virus mortel, la Covid-19.
En effet, lesdits Jeux sont programmés cette fois-ci en Algérie, où ils seront accueillis précisément à Oran. Toutefois, le Président du Comité de coordination des Jeux méditerranéens a révélé dernièrement qu’il est extrêmement inquiet, et ce, à cause du retard de l’achèvement des travaux dans la ville qui va accueillir l’évènement.
Sur ce, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Abderezzak Sebgag, a appelé le Comité international des Jeux méditerranéens à examiner l’état d’avancement des travaux au niveau du village olympique à Oran.
» On ne va pas donner à ce sujet plus que sa taille » (Sebgag)En marge d’une visite de travail et d’inspection sur les lieux, ce mardi 30 novembre, le premier responsable du secteur de Sport en Algérie a déclaré : » cette visite s’inscrit dans le cadre du suivi immédiat et régulier de l’avancement des travaux à Oran, et non en réponse à la déclaration du Comité international des Jeux méditerranéens « .
» On ne va pas donner à ce sujet plus que sa taille. Cette visite que j’effectue est très normale. Quant au Comité international des Jeux méditerranéens, il a le droit de faire des déclarations, mais la réalité dit le contraire « , affirme le ministre, tout en ajoutant : » des membres dudit Comité nous rendront visite le mois prochain, à savoir le 10, le 11 et le 12 décembre, pour inspecter et voir le grand progrès des travaux réalisés « .
Par ailleurs, Sebgag a confirmé : » tous les projets appartiennent à l’État algérien afin de réussir les travaux. Il manque que les touches finales, ce qui n’est qu’une question de quelques semaines « .
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Face à la flambée du nombre des cas de contaminations partout dans le monde notamment en Europe, beaucoup de pays durcissent leur protocole sanitaire afin d’éviter de nouvelles vagues du Coronavirus, notamment avec l’apparition du nouveau variant « Omicron » qui selon les premières études est plus contagieux que les variants précédents.
Face à cette apparition et cette flambée des cas de contamination, la Tunisie met à jour les conditions d’entrée à son territoire. A partir du 1er décembre 2021, les voyageurs non-résidents en Tunisie et non-vaccinés sont interdits d’accès au territoire tunisien.
Les voyageurs vaccinés de plus de 18 ans doivent présenter un schéma vaccinal contre le Covid-19 complet. En outre, tous les voyageurs de plus de 6 ans se rendant en Tunisie doivent : présenter un test PCR négatif à la Covid-19 de moins de 48 heures avant le premier embarquement, portant un (QR code).
Ils doivent également remplir avant l’embarquement les informations obligatoires demandées sur le site , imprimer et signer les documents générés par l’application qui seront remis aux services sanitaires tunisiens à l’arrivée et se soumettre aux tests de dépistage aléatoires qui seront réalisés à l’arrivée. Les personnes positives devront appliquer la quarantaine obligatoire.
Le variant « Omicron » fait régner l’inquiétudeLe nouveau variant découvert en Afrique du Sud oblige plusieurs pays à fermer leurs frontières aux pays de l’Afrique australe et à durcir les conditions d’entrée dans l’objectif de se prémunir contre cette nouvelle souche du virus. Omicron, dit inquiétant et préoccupant par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a pas de symptômes apparents. Les seuls signes jusque-là enregistrés se limitent à une extrême fatigue, des courbatures et une toux légère.
Malheureusement, la possibilité de symptômes plus grave n’est pas à éliminer, d’autres études plus approfondies nous apporterons davantage d’informations.
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Tous les moyens sont bons d’après certaines voix pour arriver à en finir avec la pandémie de la covid-19. La vaccination des enfants reste cependant parmi les sujets sensibles qui sont loin de faire consensus au sein des spécialistes en Algérie.
En effet, et alors que pas plus de 20 % de la population algérienne est vaccinée contre le coronavirus, la vaccination des moins de 18 ans se repositionne aux devants des préoccupations des experts. Pendant que certains trouvent cette approche est « loin d’être logique », d’autres, au contraire, affirment que cela relève du « non sens » de refuser de vacciner les enfants.
Faut-il vacciner les enfants ?Selon le Dr Derrar, directeur de l’Institut Pasteur Algérie, « il n’est pas logique » de vacciner les enfants pendant cette période. Ce responsable estime que les enfants sont certes un vecteur important qui permet la propagation du virus, mais qu’ils sont très peu touchés par des symptômes graves de la maladie.
Le directeur de l’IPA a déclaré, aujourd’hui, sur les ondes de la radio nationale, que les enfants ne sont pas exposés à des formes graves de la covid-19 ni au décès. Il affirme toutefois que les enfants « jouent un grand rôle dans la transmission de l’infection et c’est pour ça qu’il faut durcir les mesures de protection ».
Le Pr Djenouhat quant à lui s’est montré plus catégorique. Dans une déclaration faite à nos confrères du Soir d’Algérie, le président de la Société algérienne d’immunologie et chef de service du laboratoire central EPH Rouiba a affirmé qu’il propose de vacciner les plus de 6 ans.
« Pour ma part, je propose la vaccination à partir de 6 ans », lâche le Professeur au moment où le Conseil scientifique a entamé des réflexions sur ce sujet. M. Djenouhat ajoute que « cela n’a aucun sens » de cibler les plus de 18 ans seulement.
Le même intervenant explique « qu’on ne peut imposer directement la vaccination », tout en saluant la démarche du pass sanitaire qui, affirme-t-il, « un synonyme d’obligation ». Le même intervenant a également fustigé les travailleurs du secteur de la santé qui déclarent aux malades qu’ils ne sont pas vaccinés. « C’est anti-éthique et cela s’oppose à la déontologie médicale, quand on entend un médecin déclarer à un patient qu’il n’est pas vacciné », déplore-t-il.
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À la veille de la rencontre footballistique, qui réunira l’équipe nationale A’ à son homologue soudanaise, dans le cadre de la Coupe Arabe 2021 au Qatar, plusieurs noms dans le monde du ballon rond, à savoir des footballeurs et des entraineurs, ont donné leur mot.
Parmi ces derniers, figure l’ancien international algérien Rafik Saifi. L’ex-attaquant des Verts a parlé des chances des protégés de Bougherra dans la compétition arabe, qui débute aujourd’hui, mardi 30 novembre à Doha, au Qatar.
Le natif d’Alger a révélé, lors d’un entretien accordé à une chaine qatarie, que le capitaine Rais M’bolhi et ses coéquipiers seront sans doute couronnés du titre de cette Coupe Arabe.
» Je suis heureux de pouvoir affronter l’Algérie » (Hubert Velud)De son côté, l’entraîneur Français de l’équipe soudanaise, Hubert Velud, a déclaré aujourd’hui à la presse que le choc de demain contre l’Algérie sera génial. Ce dernier a même exprimé son bonheur et sa joie avant cette confrontation.
» Je suis heureux de pouvoir confronter l’Algérie demain. Nous savons aujourd’hui que l’Algérie est plus forte que le Soudan, surtout avec l’équipe de Madjid Bougherra qui est venue à Doha « .
Par ailleurs, ledit entraineur a ajouté : » ils ont des footballeurs qui jouent avec l’équipe première et n’ont pas été battus pendant 33 matchs. Nous allons donc faire tout ce que nous pouvons pour gagner « .
Il est également utile de rappeler que les protégés de Bougherra vont jouer leur premier match, en affrontant le Soudan, demain 1e décembre à 13 heures (heure algérienne), au Stade Ahmed-ben-Ali de Doha.
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Alors que la stabilité sanitaire en Algérie touche à sa fin, de nombreuses voix s’élèvent et appellent les citoyens à aller se faire vacciner. Ces appels font écho à des craintes du variant Omicron, qui pourrait receler une résistance aux vaccins anti-covid.
Cependant, pour le moment, le nombre des contaminations au coronavirus en Algérie reste gérable. Aujourd’hui, le bilan du ministère de la Santé fait état de 187 nouveaux cas d’infection à la covid-19 ces dernières 24 heures, contre 192 enregistrées lors de la journée d’hier.
Outre le nombre des cas de contamination, les mêmes chiffres indiquent que le pays a enregistré 7 nouveaux décès causés par des complications liées au virus, 155 nouvelles guérisons et 14 nouveaux patients dont l’état de santé a nécessité leur admission aux services de réanimations.
Ces chiffres dévoilés par le département de Benbouzid font grimper le bilan total des contaminations à plus de 210.531 cas depuis le mois de mars 2020. Les décès enregistrés en Algérie depuis le début de la crise sanitaire dépassent les 6071 cas.
Le variant Omicron : aucun cas en AlgérieL’Institut Pasteur Algérie a affirmé aujourd’hui qu’aucun cas du nouveau variant de la covid-19, baptisé Omicron et détecté pour la première fois en Afrique du Sud, n’a été enregistré en Algérie. Cette affirmation ne veut cependant pas dire que l’Algérie soit à l’abri de ce variant.
Selon le directeur de l’IPA, le Dr Fawzi Derrar, il est très probable que le variant « Omicron » fasse son apparition en Algérie dans les prochains jours. Cela ne va pas manquer de compliquer la situation sanitaire indique le même intervenant.
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Sept travailleurs ont été blessés suite à un incident qui s’est produit, ce mardi 30 novembre, au niveau de la raffinerie de Skikda, a annoncé dans le groupe Sonatrach dans un communiqué.
« Ce jour aux environs de 10h00 est survenu un accident au niveau de la Raffinerie de Skikda, plus précisément au niveau de l’unité reforming I », explique Sonatrach indiquant que cette unité était en arrêt pour travaux de maintenance ».
Selon le communiqué, « l’incident est survenu lors de l’ouverture d’une bride d’échangeur. Un Flash s’est alors produit et a été immédiatement maîtrisé par les agents d’intervention de la raffinerie ».
Sonatrach a fait état de sept 07 blessés parmi les travailleurs qui se trouvaient dans la raffinerie, ajoutant que parmi les blessés, 05 ont subis des brûlures dont 04 superficiellement et 01 s’en est sorti avec des brûlures plus sérieuses ainsi que 02 travailleurs traumatisés », conclut le communiqué.
énième incident !La raffinerie de Skikda est devenu à travers ses incidents répétitifs, -bien que ces derniers sont communs dans ce secteur-, une station désavantageuse pour ses travailleurs. En effet, en 2013, Un jeune opérateur, nouvellement recruté, a été carbonisé lors d’un incendie survenu au niveau de l’unité 100 de la raffinerie de Skikda.
En 2016, Une explosion a eu lieu sur le même site causant une dizaine de blessés et des dégâts matériels considérables. Un autre survenu en 2019, lorsqu’un feu s’est déclaré au niveau du pôle des hydrocarbures près des unités de la raffinerie.
Des incendies qui en disent long sur le laisser-aller des responsables mettant en péril des vies humaines. Aujourd’hui, il est plus que jamais urgent d’agir pour y mettre fin, car, il y a péril en la demeure.
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La période d’examens a commencé cette semaine dans une ambiance de stress de la part des élèves et leurs parents. Un climat d’examen habituel brisé et marqué par une polémique dont l’origine est le texte d’un sujet d’examen de langue française.
Au collège « Miadi Fakhr Eddine » de la commune de Nezla à la wilaya Touggourt, un enseignant de français a décidé d’intégrer les détails du meurtre de Djamel Bensmail dans un texte d’un examen de langue française pour les élèves de troisième année moyenne. Le texte relate les circonstances de l’assassinat de Djamel Bensmail qui a secoué l’Algérie il n’y a pas longtemps, un sujet pour le moins qu’on puisse dire sensible, épineux et d’une douleur atroce.
Le texte ayant pour titre « Tizi Ouzou : lynchage à mort de Djamel Bensmail » a rappelé l’assassinat odieux de Djamel, une scène qui ne peut être relatée qu’avec des termes crus et explicites, et sur ce, les avis divergent.
Sert-il à remuer le couteau dans la plaie ?Une photo du sujet d’examen en question a été relayée sur les réseaux sociaux, suscitant une myriade de commentaires entre ceux qui pensent que cela ouvre une plaie douloureuse pour les Algériens, d’autant plus que cette affaire a pris une ampleur énorme notamment lorsque des politiques ont voulu s’en accaparer. « Une vraie calamité, c’est vraiment très grave. Je ne trouve pas les mots », a commenté une des internautes.
D’autres pensent que ce n’est nullement adéquat ni pédagogique ni conforme au programme scolaire de choisir un support pareil, les détails de son meurtre, rappelons-nous, étaient d’une cruauté sans égal.
Il n’y a pas de tabou, surtout pas à l’école !Au milieu de ce déferlement de haine critiquant le choix de l’enseignant, certains félicitent et saluent ce choix qui, selon eux, est une sorte d’hommage pour le défunt. D’un point de vue pédagogique, d’autres soutiennent également ce choix puisque c’est un fait divers qui a fait couler beaucoup d’encre et qui représente une affaire marquante dans le présent de chaque citoyen algérien.
Un autre internaute a trouvé ce choix plutôt positif « j’ai lu le texte et je n’ai pas trouvé ce qui dérange dans ce dernier. Il n’y a aucune incitation à la haine. Bien au contraire, il rapporte des faits réels qui ont indigné tout Algérien, et je trouve que c’est plutôt positif de permettre aux enfants de parler et d’extérioriser ce qu’ils ressentent et ce qu’ils pensent. C’est à l’école qu’on doit recadrer les idées de ces enfants et c’est à travers la communication que ça se passe. Les Non Dits nous ont massacrés ».
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Les pluies et les chutes de neige seront de retour sur le nord du pays dès jeudi prochain, selon les prévisions de l’Office national de météorologie.
Une nouvelle perturbation chargée de pluie et de neige devra arriver dès jeudi prochain sur l’ensemble des wilayas du nord du pays. Les chutes de neige toucheront les hauteurs dépassant les 700 mètres d’altitude précise encore la même source.
Durant la matinée du jeudi, les pluies commenceront sur les wilayas de l’ouest du pays pour ensuite rejoindre celles du centre. Les quantités attendues dépasseront les 50 mm localement. Ces précipitations s’accentueront plus durant la soirée de jeudi à vendredi.
Pour ce qui est de la neige, les prévisions indiquent qu’elles affecteront les hauteurs dépassant les 700/800 mètres d’altitude, et ce, à partir de l’après-midi de jeudi. Les chutes de neige s’accentueront durant la matinée de vendredi.
Les régions concernées par les neiges sont les hauteurs de Blida, Bouira, Médéa, Sidi Bellabbés, Souk Ahras, Mascara, Tiaret, Béjaia, Tizi Ouzou, Sétif, Batna et Djelfa.
Baisse sensible des températuresConcernant les températures attendues vendredi, les services météorologiques prévoient un temps très froid en raison des dernières chutes de neige. Elles seront aux environs moins 6 degrés sur les wilayas de l’intérieur, à savoir El Bayadh, Djelfa, Tiaret, Batna, Khenchela, Mila, Bouira et Blida.
Dans l’après-midi, les températures varieront de 2 à 10 degrés dans les wilayas de l’intérieur, entre 10 à 12 degrés dans les wilayas du nord et jusqu’à 22 degrés sur les wilayas du sud du pays.
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Pour améliorer les conditions de voyage et de déplacements des voyageurs dans le sud algérien, le ministre du tourisme prévoit, prochainement, une réunion pour présenter le projet de décret exécutif relatif à la révision des prix de l’hébergement dans les établissements hôteliers.
Il s’agit, selon la même source, d’un projet qui comprend des procédures pour le plafonnement des prix, en fonction de la classification des hôtels et des services fournis aux clients. Cela permettra, selon lui, de mettre fin à l’isolement que vit les régions du Sahara et de développer par conséquent le tourisme local.
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Les stars ne font pas toujours couler beaucoup d’encre et n’occupent pas les Unes des journaux grâce à leurs oeuvres artistiques, parfois c’est parce qu’il se retrouvent dans des polémiques et des controverses, c’est le cas de Shirine Boutella.
L’actrice franco-algérienne se retrouvent souvent dans des controverses à cause des films dans lesquels elle participe à l’instar de « Papicha ». Récemment, elle faisait l’objet d’un déferlement de haine à cause de sa plus récente participation dans la première série française de Noël « Christmas Flow » . La mini série Netflix composée de trois épisodes n’a pas suscité l’indignation du public algérien concernant les performances de la protagoniste de la série « Lila » jouée justement par Shirine Boutella, c’était plutôt les scènes jugées « non-conformes à la culture arabo-musulmane » des algériens.
Des propos insultants allant jusqu’à dire que Shirine ne représente nullement le peuple et particulièrement la femme algérienne. Une vague de critique et de haine auxquelles l’actrice et l’influenceuse Boutella a dû faire face. Sa réponse? « les algériens ne sont ni exemplaires, ni sacrés. j’ai honte que mon nom soit lié à des personnes qui pensent de la sorte ».
Elle n’est pas la bienvenueInutile de rappeler que l’actrice ne fait pas l’unanimité, encore moins après sa « riposte » aux critiques qu’elle avait reçues. Le mécontentement à son égard est flagrant notamment avec son retour Algérie qui serait pour des raisons purement professionnelles, le tournage d’une nouvelle série. Des vidéos et des photos relayées sur les réseaux sociaux montrant Shirine dans les rues de Tlemcen a suscité l’incompréhension.
Ainsi, faisant comprendre à la franco-algérienne qu’elle n’est pas la bienvenue suite aux propos qu’elle a tenus qui auraient sous-entendu que l’actrice n’est pas fière de son origine algérienne.
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Le ministre de la Poste et des Télécommunications Karim Bibi Triki, a dévoilé ce mardi des chiffres concernant l’usage de l’internet fixe et mobile en Algérie, dévoilant sa place au niveau arabe et africain.
Intervenant lors de la 5e Édition du Forum de la numérisation, organisé à l’hôtel Sofitel à Alger, le ministre a indiqué que l’Algérie occupe une place avancée dans l’usage de l’internet au niveau arabe et africain.
Selon lui, le nombre des usagers d’internet mobile en Algérie a atteint les 39 millions, soit un taux de 90% de la population. Ce taux est supérieur à la moyenne mondiale (75 pour cent) et au taux d’utilisation dans les pays arabes et nord-africains, a-t-il précisé.
Usage de l’internet mobilePour ce qui est de l’internet fixe, le premier responsable du secteur a affirmé que le nombre des abonnés est de 5 millions, soit un taux de 9% de nombre global de la population.
Ici, le même responsable souligne que ce taux est inférieur à la moyenne mondiale (15 %) et supérieur à la moyenne des pays arabes (8 %) et d’Afrique (1 %).
Affirmant que le débit Internet n’est pas inférieur à 10 mégaoctets, le ministre a indiqué que les contenus les plus diffusés sur Internet sont les vidéos relayées sur les sites de réseaux sociaux.
Par ailleurs, Karim Bibi Triki réitère que l’État œuvre toujours dans l’amélioration des services Internet et l’augmentation du débit, et ce, dans l’objectif de mieux servir les individus et les institutions.
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Après une terrible série de blessures, empêchant le milieu offensif algérien Adam Ounas de participer aux éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar avec les Fennecs, mais aussi à de nombreux matchs avec son club italien, SSC Naples, voici une bonne nouvelle qui s’annonce quant à sa reprise.
En effet, le journaliste italien Rafael Auriemma a révélé, lors d’une interview à une chaine italienne, que la date du retour de l’Algérien Ounas dans la compétition sera mercredi, à l’occasion de la rencontre entrant dans le cadre du 15e tour de la Série A, et ce, après s’être complètement remis de la blessure musculaire subie dernièrement.
Ounas pourrait participer à la CAN 2021 au CamerounUne bonne nouvelle à toute la sélection nationale, notamment le coach Djamel Belmadi, qui n’a pas cessé à suivre la situation et l’état de santé de son milieu offensif, dans l’espoir que ce dernier sera dans ses meilleures conditions physiques avant la Coupe d’Afrique des Nations au Cameroun, prévue le mois de janvier de l’année en cours.
Sachant que l’ancien joueur du club français de Nice a très marqué la précédente Coupe d’Afrique, qui s’est déroulée en 2019 en Égypte. En fait, le talentueux footballeur inscrivait des buts à chaque fois qu’il rentre dans le match en tant que remplaçant.
Pour rappel, Adam Ounas a eu sa dernière blessure lors d’un entrainement collectif avec sa sélection nationale, juste avant la confrontation face au Burkina Faso, qui s’est soldée par un nul (2-2) et la qualification de l’Algérie aux matchs barrages.
Sur ce, l’entraîneur du SSC Naples, Luciano Spalletti, a préféré ne pas inclure la star algérienne dans le dernier match face au Lazio Rome, qui a été marqué par la victoire des coéquipiers d’Ounas avec quatre buts contre zéro.
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La situation sanitaire en Algérie reste stable malgré la menace du nouveau variant. Baptisé Omicron, cette nouvelle souche de la covid-19 suscite les inquiétudes aux quatre coins du monde, et ne va pas tarder à faire son entrée en Algérie, estiment plusieurs spécialistes.
D’après le Dr Derrar, l’Algérie est déjà entrée dans une quatrième vague de la pandémie, en témoignent les chiffres enregistrés par les hôpitaux. Selon le même intervenant, seule la vaccination peut nous permettre de tourner la page, et d’éviter l’apparition de nouveaux variants, comme Omicron, qui très probablement, selon le Dr Derrar, apparaitre en Algérie.
Le Directeur Général de l’Institut Pasteur d’Algérie, Fawzi Derrar, a indiqué aujourd’hui, le 30 novembre 2021, que le faible taux de vaccination instaure un climat propice pour l’apparition de nouveaux variants de la covid-19. C’est le cas, affirme-t-il, du variant Omicron qui a été dernièrement découvert en Afrique du Sud.
4e vague et variant Omicron : Derrar fait le lienPour le Dr Derrar, ne pas se faire vacciner permet au virus de circuler, ce qui mène automatiquement à des nouvelles vagues épidémiques. Une aubaine pour le virus qui aura plus de chances de muter, ce qui donne naissance à de nouveaux variants, comme le variant Omicron.
Selon le spécialiste de l’évaluation de vaccins antigrippaux et de l’impact des antiviraux, le variant Omicron est dangereux de par sa vitesse de propagation. Concernant l’efficacité des vaccins contre ce variant, Derrar affirme que cela sera tranché par les études encore en cours dans plusieurs pays à travers le monde.
Derrar assure que l’apparition de ce nouveau variant en Afrique du Sud est essentiellement due au faible taux de vaccination qui ne dépasse pas les 40 %. Le spécialiste et directeur de l’IPA ajoute que ce taux est loin d’être suffisant et ne peut assurer une immunité collective. Il est à noter que le taux de vaccination en Algérie ne dépasse pas quant à lui les 20 %.
4e vague : plus de 2.000 cas d’hospitalisation en un moisLe directeur de l’Institut pasteur rappelle qu’il a déjà déclaré que l’Algérie est entrée dans la troisième vague de la pandémie fin octobre dernier. Il ajoute que les chiffres enregistrés par les hôpitaux confirment ce constat, vu que plus de 2.000 cas ont été enregistrés depuis la fin du mois d’octobre.
Cela alerte, selon le Dr Derrar, sur une hausse des cas qui va s’opérer ces prochains jours, notamment avec la baisse des températures et les rassemblements des gens dans les lieux clos. Derrar rappelle que seulement 11 millions d’Algériens sont vaccinés, et que cela est loin d’être suffisant pour que l’on puisse faire face à une 4e vague. Le spécialiste indique en outre que les vaccins sont toujours disponibles.
Le Dr Derrar a confié que le variant Delta a été détecté au niveau de plusieurs établissements scolaires à travers le territoire national, mais que la vaccination des enfants n’est pas préconisée en ce moment. Il affirme que les enfants sont un important vecteur de transmission, mais qu’ils ne sont pas exposés à de graves symptômes.
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Une autre fierté pour l’Algérie. Après l’immunologiste Yasmine Belkaid qui a décroché, tout récemment, le prix Robert Koch, c’est au tour d’une autre sommité scientifique algérienne d’obtenir une distinction honorifique à l’étranger.
Karim Zaghib, un éminent chercheur dans les domaines du stockage d’énergie et de l’électrification des transports a été élu, selon ce que rapportent certains médias, membre de l’Académies des arts, des lettres et des sciences (basée au Canada) et qui constitue la plus haute distinction décernée aux chercheurs de haut niveau au Canada.
Un des chercheurs les plus influents du mondeEn 2019, Ce chercheur spécialisé dans le domaine des matériaux des batterie a été nommé parmi les scientifiques les plus influents du monde par Clarivate Analytics avec forte participation à 22 livres ainsi qu’à plus de 550 brevets, 60 licences et 425 publications.
Cette distinction est attribuée aux scientifiques les plus cités par leurs pairs au cours des onze années précédentes et ayant un « impact exceptionnel » dans leur champ de recherche. Clarivate Analytics récompense ainsi environ 3 300 scientifiques parmi les 9 millions de chercheurs qu’elle recense dans le monde. Les chercheurs qui figurent sur la liste font donc partie d’un groupe exclusif qui représente moins de 1 % de l’ensemble des scientifiques, selon le site Hydro Québec.
Détenteur d’un doctorat en électrochimie de l’Institut polytechnique de Grenoble (France), Karim Zaghib œuvre depuis 22 ans au sein d’Hydro-Québec, où il est directeur général du Centre d’excellence en électrification des transports et stockage d’énergie. Chercheur émérite bien connu dans le monde scientifique, il a su développer de nombreux partenariats avec des universités et des sociétés industrielles à l’échelle mondiale, ajoute la même source.
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Arrivés au Qatar ce samedi 27 novembre, les membres de l’équipe nationale A’, sous la supervision du sélectionneur Madjid Bougherra, s’apprêtent au grand tournoi arabe : la Coupe Arabe.
Dans le cadre d’une conférence de presse tenue aujourd’hui, juste avant la rencontre footballistique qui réunira notre sélection et son homologue soudanaise, Rais M’bolhi, le capitaine de ladite sélection, aborde plusieurs points.
En effet, le gardien des Verts a montré qu’il est prêt pour le match de demain contre le Soudan. « L’ambiance est spéciale, nous avons beaucoup travaillé avec Bougherra, nous allons aussi jouer avec un onze complet et homogène », affirme-t-il.
Le Fennec a également ajouté : « bien sûr, nous allons travailler pour aller loin dans cette compétition. Il y a des équipes fortes dans ce tournoi, donc nous devons bien gérer ».
« Je me sens vieux par rapport aux autres joueurs. Mais je ferai de mon mieux pour apporter mon expérience dans la compétition », a déclaré M’bolhi, se considérant comme l’un des plus grands joueurs du tournoi.
» Nous avons une bonne équipe » (M’bolhi)En outre, le capitaine des Fennecs a affirmé qu’il n’est pas important qui est le leader de l’équipe, mais le plus important est de mieux représenter l’Algérie en Coupe Arabe.
« Notre point fort consiste à toujours faire les efforts nécessaires pour honorer le drapeau national et bien représenter notre pays », a souligné M’bolhi.
Par ailleurs, le gardien des Verts a souligné la nécessité de gagner la première rencontre contre le Soudan, et a déclaré : « nous avons une bonne équipe, et d’abord nous allons travailler pour avoir les trois points du premier match contre le Soudan, et j’espère qu’après cela les choses seront bonnes et en notre faveur ».
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C’est toujours affligeant d’apprendre la mort de quelqu’un, c’est encore plus douloureux lorsque cette personne perd la vie dans des circonstances étranges et dans un mystère attristant, c’est malheureusement le cas d’un algérien en France qui a quitté ce monde en prenant les détails de son décès avec lui.
C’est un samedi 27 novembre que la rue de Saint-Gervais à Périgueux ( région de la Nouvelle-Aquitaine) a porté un corps sans âme dans une scène pour le moins douloureuse. Cette journée vers 19 h 30, les passants et les habitants ont aperçu un homme qui baignait dans une mare de sang suite à quoi ils ont rapidement alerté les pompiers et la police. Cet homme était déjà mort lorsque les secours sont arrivés, la police a ouvert une enquête pour identifier la victime et définir les causes de la mort.
Il s’agit donc d’un algérien âgé de 46 ans qui habitait la région, les causes de sa mort mystérieuse demeurent inconnues et indéfinies, en attendant que les résultats de l’autopsie prévue ce mardi nous donnent plus de détails.
Pas assez de témoins ni d’informationsUn témoin a raconté au journal français Sud Ouest que l’homme algérien gisait à terre, son corps étendu avec la tête sur la route et le corps sur le trottoir révélaient qu’il avait des problèmes de santé. Beaucoup ont tenté d’expliquer cette mort mystérieuse. Les hypothèses se multiplient entre malaise cardiaque ou accident pendant que l’hypothèse d’une agression se dessine à cause de certaines marques présentes sur le corps du défunt.
La brigade de la sûreté urbaine du commissariat de Périgueux s’est saisi de cette affaire.
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