Riyad Mahrez, ce talentueux joueur algérien qui ne cesse de briller, d’être sou le feu des projecteurs, mais aussi de décrocher les titres et les records, impressionne en effet, l’ensemble de l’opinion sportive mondiale.
Le capitaine des Fennecs vient d’atteindre sa 51e passe décisive en 241 rencontres footballistiques de Premier League anglaise, obtenant ainsi la deuxième classe, juste après Didier Drogba.
En fait, l’ancien attaquant ivoirien de Chelsea détient le record du meilleur passeur africain de l’histoire de la Premier League, avec 55 passes décisives lors de 254 confrontations.
Le Fennec algérien de Manchester City, Riyad Mahrez, est sur le point de détrôner son homologue ivoirien. À cet effet, Drogba a adressé, ce lundi 27 décembre, un message à ce dernier, l’encourageant ainsi à battre son record.
« Mahrez, as-tu vu ça ? Qu’est-ce que tu attends ? » (Drogba)Dans une story publiée sur son compte Instagram, l’ex-joueur de Chelsea a posté le classement des meilleurs passeurs décisifs africains de l’histoire de la Premier League, avec la légende : « Mahrez, as-tu vu ça ? Qu’est-ce que tu attends ? »
Il est également utile de préciser que ce n’est pas la première fois que Didier Drogba encourage Riyad Mahrez. En avril dernier, l’ivoirien n’a pas manqué à faire l’éloge de l’Algérien, lorsque celui-ci a égalé son nombre de trophées remportés en Coupe de la Ligue anglaise, en lançant : « les records sont faits pour être battus… Félicitations mon frère Riyad Mahrez. »
Par ailleurs, il convient d’indiquer que le capitaine des Verts Mahrez est désormais le meilleur buteur de son club anglais Manchester City. Ce dernier s’apprête également à rejoindre sa sélection nationale, le 3 janvier 2022, pour entamer les entrainements en prévision de la Coupe d’Afrique des Nations au Cameroun, prévue à partir du 9 janvier prochain.
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Par son dynamisme économique et urbain, ainsi que par la vitalité culturelle, l’Île-de-France a toujours été une région qui séduit bon nombre de personnes qui trouvent en elle, toutes les conditions nécessaires à leur épanouissement.
Les étrangers, quant à eux, voient dans la région francilienne une belle opportunité pour s’acquérir un bien immobilier. Dans un rapport établit par « les notaires du Grand Paris », 5 nationalités parmi les acquéreurs étrangers de logements anciens en Ile-de-France ont été mises au grand jour.
Parmi eux figurent les Algériens qui se hissent en 3ème position des acheteurs étrangers dans la région.
Les Algériens bien classés !Selon les derniers chiffres des notaires (rapport datant de novembre 2021 NDLR) rapportés par BFMTV, les Algériens arrivent à la 3ᵉ position (7,8) après les Chinois (10,1%) et les Portugais ( 15,3%). Ces derniers sont suivis par les Roumains (7%) et les Italiens (6,5%). Selon la même source, les 5 nationalités ont toujours été « les plus friands d’immobilier francilien », et ce, depuis 20 ans.
Allant plus loin dans le détail, le rapport révèle une différence de classement entre Paris, la petite couronne et la grande couronne. « Ainsi, les acquéreurs chinois représentent 2,7% des ventes à des étrangers dans l’ancien à Paris, une proportion qui a eu tendance à progresser en 20 ans (1,2% en 2002). D’autres nationalités sont aussi présentes à Paris comme les Italiens qui représentent 3% des ventes, les Américains (1,5%), les Allemands (1,2%) ou encore les Belges (0,9%) »,
Pour ce qui est de la petite couronne, les chinois se hisse à la première place avec 5,4%, contre 4% de Portugais, 3,4% d’Algériens, 2,5% de Roumains et 2,4% de Tunisiens.
En grande couronne, on note un classement encore différent des précédents. En effet, les Portugais arrivent en tête avec (10,9%), suivis par les Roumains (4,4%), les Algériens (4,2%), les Marocains et les Tunisiens avec (3,4%), indique la même source
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Récemment, une vague de haine a refait surface sur les plateaux de télévision et sur les réseaux sociaux. Ces derniers, faisant office d’exutoire, ont abrité des propos racistes, haineux et discriminatoires envers les Algériens suite aux célébrations sur les Champs-Élysées, après la victoire de l’Algérie dans la Coupe arabe de la FIFA 2021.
Une haine qui ne peut passer inaperçue. Nourrie par les arguments de la classe politique notamment de l’extrême droite qui n’a pas manqué de saisir cette occasion de pointer du doigt tous les Algériens en France, une récupération politique à son acmé.
En effet, suite à cette montée de haine, beaucoup ont exprimé leur indignation et leur mécontentement via les réseaux sociaux. D’autres à l’instar du parti Jil Jadid qui ne s’est pas contenté de s’indigner, décident de prendre les choses en main.
La politique algérienne réagitLa branche Europe du parti Jil Jadid a annoncé à travers son président, Zoheir Rouis, son engagement à poursuivre en justice tout propos raciste à l’égard des Algériens en France.
Dans un communiqué, le président du parti déplore dans une rétrospective concise les propos incessants portant atteinte aux Algériens « depuis plusieurs mois, un certain nombre de personnalités politico-médiatiques françaises s’adonnent à des déclarations outrancières, ordurières et nauséabondes pour certaines, faites de jugements de valeur aux relents racistes et xénophobes à l’égard des musulmans en général et des Algériens en particulier ».
« Jil Jadid Europe […] est désormais décidé à poursuivre en justice tous ceux qui, sous couvert de liberté de parole, se laissent aller sans honte ni retenue à des propos racistes et xénophobes, quand ils n’appellent pas tout simplement à la haine, à l’égard de nos compatriotes » a-t-il précisé dans le même communiqué.
Par ailleurs, Zoheir Rouis a invité d’autres parties à réagir « les organisations de défense de la diaspora algérienne et nos talents membres de l’ordre des avocats sont interpellés pour agir, de concert, devant la justice, face à ces dérives sectaires d’un autre temps. Jil Jadid Europe y souscrira en toutes circonstances ».
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Alors que la situation sanitaire inquiète de plus en plus, l’Algérie vient de perdre plusieurs doses de vaccins. Il s’agissait jusque-là de mises en gardes, mais le pire a fini par arriver. Le pays vient de perdre de « grandes quantités » du vaccin américain Johnson & Johnson.
Cette catastrophe est loin d’être une surprise, le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, a lui-même fait savoir que si les Algériens ne vont pas se faire vacciner dans les prochains mois, le pays va être obligé de détruire d’importantes quantités de doses de vaccins anti-covid.
Hier, c’est le Pr Rahal qui a affirmé que d’ici le le mois de mars, il se peut que l’Algérie détruise des quantités de vaccins contre le coronavirus, arrivés à la date de leur péremption. Le lendemain même de cette annonce, le journal arabophone Echourouk, fait savoir que la catastrophe a déjà commencé.
Inutilisables, plusieurs doses du vaccin à jeterC’est en citant comme source des responsables au sein du ministère de la Santé, que le journal arabophone affirme que « des grandes quantités du vaccin américain Johnson & Johnson sont périmées et ne sont plus utilisables ». Il s’agit « d’une grande perte pour l’Algérie » ajoute la même source, qui précise que la cause reste « la réticence des citoyens à la vaccination ».
Pourtant, le vaccin américain Johnson & Johnson est de loin le préféré des Algériens, car il s’agit d’un vaccin unidose. Une seule dose va permettre au patient de décrocher le désormais précieux pass sanitaire. Hélas, d’énormes quantités ont été perdues, hier lundi, après leur péremption.
Des millions de doses risquent le même sort, en l’absence d’une campagne vaccinale efficace, qui va savoir sensibiliser et convaincre les citoyens algériens de se diriger vers les centes de vaccination. Alors que le gouvernement mise tout sur le pass sanitaire, des millions de doses du vaccin chinois Sinovac risquent d’y passer, à l’approche de leur date d’expiration.
Il est à rappeler qu’au mois d’aout dernier, un don de 604.800 doses de vaccins anti-Covid-19 Johnson & Johnson a été fait par les États-Unis d’Amériques à l’Algérie.
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Le monde du ballon rond ne cesse de nous surprendre avec toutes ses surprises, car même après des mois, des années, voire des décennies, des ex-footballeurs, arbitres ou même entraineurs, peuvent revenir sur une scène, pour commenter, rendre hommage, et parfois même pour demander le pardon !
C’est le cas d’ailleurs de l’ex-international allemand Karl-Heinz Rummenigge qui est revenu sur un fait datant de 39 ans vis-à-vis de l’Algérie.
Il s’agit en effet, de l’élimination « injuste » de l’équipe nationale de l’époque, lors du Mondial 1982 en Espagne. Lors d’une interview accordée à un canard du Deutchland, l’auteur de l’unique but marqué contre l’Algérie en cette Coupe du Monde a exprimé son regret quant au « complot » mené contre les Verts.
« Je regrette, 39 ans après, notre geste anti-sportif qui nous est resté en travers de la gorge. La justice immanente nous a déshabillés en finale face aux Italiens, qui portaient les mêmes tenues aux couleurs (vert-blanc-rouge) des Algériens, » déclare-t-il, avant d’ajouter : « aujourd’hui, je demande, à travers votre journal, aux Algériens de nous excuser de les avoir injustement éliminés. »
Karl-Heinz Rummenigge fait l’éloge des Verts de 1982Dans le même sillage, Karl-Heinz Rummenigge n’a pas manqué à faire l’éloge de Lakhdar Belloumi et ses coéquipiers, en lançant : « depuis le jour où nous avons été battus 2-1 par les camarades de Dahleb, je n’ai jamais pu oublier les talentueux joueurs algériens dont Belloumi et Cerbah, qui m’ont franchement ébloui par leur classe mondiale. »
Par cet incroyable aveu, l’Allemand nous fait revenir 39 années en arrière sur une scène « injuste » et un « complot » ourdi, qui a été mené contre les Verts de l’époque et à cause duquel ces derniers ont été renvoyés et ont quitté plutôt que prévu la Coupe du Monde en Espagne 1982.
Il est également utile d’indiquer que ledit match entre l’Algérie et l’Allemagne a eu lieu le 16 juin 1982 à Gijón en Espagne. C’était le match d’ouverture du groupe B lors du premier tour du Mondial 1982. Ainsi, il faut noter que c’est la première victoire d’une équipe africaine face à une équipe européenne lors de ladite compétition.
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L’ancienne ministre de l’Éducation nationale Nouria Benghabrit a été de nouveau entendue, en tant que témoins, dans une affaire de corruption dont les faits remontent à l’ère du président déchu Abdelaziz Bouteflika. Il s’agit de l’affaire de l’ancien ministre de l’habitat Abdelwahid Temmar.
Auditionnée dans le cadre de cette affaire, Benghabrit a dû répondre quant à ses relations avec l’ancien ministre de l’habitat, qui avait été alors wali de Mostaganem. Son audition est intervenue après avoir été citée par la chargée de l’investissement au cabinet de la wilaya de Mostaganem.
En effet, l’ancienne ministre de l’Éducation a été auditionnée le 23 décembre par le juge instructeur de la 2e chambre du pôle pénal économique et financier près le tribunal de Sidi M’hamed. Elle a été entendue sous le statut de témoin dans cette affaire qui implique, outre que Abdelwahid Temmar, pas moins de 35 autres accusés (hommes d’affaires et fils d’anciens responsables et hauts gradés de l’armée emprisonnés pour des faits de corruption).
Lors de l’audience, Benghabrit a affirmé qu’elle ne connaissait pas l’ancien wali de Mostaganem Abdelwahid Temmar lors des faits. Selon elle, elle ne l’avait connu que plus tard comme collègue et membre du gouvernement au cours de l’été 2017, rapporte ce mardi le quotidien Echorouk.
Une responsable au cabinet de wilaya de Mostaganem implique BenghabritElle a également nié avoir connu l’accusé (Smail. M), le représentant de l’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée, dénommée « Abdelhamid Ibn Badis », ni la mère de l’épouse de ce dernier (Faiza. M). L’ancienne ministre a aussi nié avoir connu la chargée de l’investissement auprès du cabinet de la wilaya de Mostaganem (Fatma. O).
Il convient de noter que Benghabrit avait été citée dans le cadre de cette affaire par la chargée de l’investissement auprès du cabinet de la wilaya de Mostaganem. Selon cette dernière, Benghabrit serait intervenue auprès de Temmar pour l’octroi d’un terrain au dénommé (Smail. M) pour la réalisation d’une école, indique la même source.
Niant ces accusations, l’ancienne ministre affirme qu’elle n’a pas pris contact avec Abdelwahid Temmar alors wali de Mostaganem et ne s’est pas intervenue au profit du représentant de l’entreprise Abdelhamid Ibn Badis pour l’obtention d’un terrain destiné à la réalisation d’une école privée au niveau du quartier de Tigditt à Mostaganem.
Par ailleurs, Benghabrit a affirmé avoir effectivement travaillé comme directrice du Centre national de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC), sis à Oran, entre 1992 à 2014, jusqu’à sa nomination ministre de l’Éducation nationale jusqu’en mars 2019. La mère de l’épouse de (Smail. M) travaillaient également au sein de ce Centre.
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L’ensemble des zones côtières du pays font face ces derniers jours au phénomène du vent. Cette situation devra encore persister ce mardi 28 décembre, sur plusieurs côtes, provoquant une agitation particulière de la mer.
Selon la carte de vigilance publiée sur le site web de l’Office national de météorologie, 3 wilayas de l’est sont placées en vigilance jaune « vent violent ». Il s’agit des wilayas de Jijel, Skikda, Annaba et Taref.
Concernant la météo marine, Météo Algérie a placé la quasi-majorité des zones côtières sous vigilance jaune et orange « vent violent » et « vagues dangereuses ». Il s’agit des côtes d’Annaba, El Kala, Skikda, Jijel, Béjaia, Azefoune, Dellys, Alger, Bouharoun, Ténès, Mostaganem, Arzew, Oran, Béni Saf et Ghazaouat.
Les prévisions météo de ce mardi 28 décembreConcernant les prévisions météo pour cette journée de mardi, les régions de l’ouest et du centre du pays seront au rendez-vous avec quelques bancs de brume et nuages bas notamment sur les vallées de l’intérieur et les hauts plateaux durant la matinée.
Vers l’après-midi, le temps sur ces régions sera partagé entre un ciel dégagé et peu nuageux. Dans les régions de l’est, le ciel sera voilé à localement nuageux avec quelques pluies éparses, sur l’extrême est en début de matinée, puis s’améliorant.
Sur les hauts plateaux et les Aurès excepté quelques nuages bas locaux en début de matinée, le ciel sera généralement dégagé, précise encore Météo Algérie. Sur l’ensemble des régions Sahariennes, le ciel généralement dégagé.
Pour ce qui est des températures maximales prévues ce mardi, Météo Algérie prévoit entre 10 et 22 degrés sur les régions côtières, de 14 à 22 degrés sur les régions intérieures et entre 20 et 29 degrés sur les régions sahariennes.
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Le cours de l’euro enregistre, ce mardi 28 décembre, une légère baisse par rapport au dinar dans les cotations officielles, alors que le dollar connait une légère hausse. Sur le marché parallèle de change, la situation poursuit sa tendance stable.
En effet, le cours de la monnaie européenne a baissé aujourd’hui face au dinar algérien dans les cotations de la Banque d’Algérie pour s’établir à 157,16 dinars à l’achat et 157,20 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il est toujours aux environs de 216 dinars à l’achat et 214 dinars à la vente.
Le cours du dollar a augmenté à la Banque centrale d’Algérie, pour enregistrer environ 138,75 dinars à l’achat et 138,77 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il est proposé contre 194 dinars à l’achat et 192 dinars à la vente.
Le taux de change de la livre sterling dans les cotations officielles de la banque a baissé à 185,95 dinars à l’achat et 185,97 dinars à la vente. Au niveau du marché noir de change, il s’établit à 250 dinars à l’achat et 248 dinars à la vente.
Pour ce qui est du dollar canadien, les cotations officielles de la Banque d’Algérie affichent 108,20 dinars à l’achat et 108,22 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, l’unité de cette même monnaie est proposée contre environ 148 dinars à l’achat et 145 dinars à la vente.
Taux de change de monnaies de pays arabesLe cours du riyal saoudien s’est stabilisé à la Banque centrale d’Algérie à 36,94 dinars à l’achat, et 36,95 dinars à la vente. Il s’est également stabilisé sur le marché parallèle aux environ 47 dinars à l’achat et 48 dinars à la vente.
Le cours du dirham émirati a augmenté dans les transactions de la Banque centrale d’Algérie à 37,77 dinars à l’achat, et 37,78 dinars à la vente. En outre, il s’est stabilisé sur le marché parallèle à 49 dinars à l’achat et 49 dinars à la vente.
Le prix du dinar koweïtien en Banque a baissé aux environs de 457,94 dinars à l’achat et 459,05 dinars à la vente. Cependant, il a atteint un niveau de 594 dinars à l’achat et de 601 dinars à la vente sur le marché parallèle.
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La pandémie du Covid-19 n’est visiblement pas prête à lâcher le monde. Bien au contraire, une flambée inquiétante a frappé plusieurs pays, engendrent des morts et d’innombrables cas en soins intensifs.
Des vagues mortifères font froid dans le dos, accentuées par le retour d’un variant dangereux, Delta, et aggravées par l’apparition d’une nouvelle souche plus contagieuse du Coronavirus, Omicron. Cette dernière est considérée selon les premières études comme étant la souche la plus contagieuse du virus, bien qu’elle soit moins virulente que les précédentes.
C’est pourquoi les gouvernements remettent en place des mesures préventives et un protocole sanitaire strict dans lequel deux exigences reviennent, pass vaccinal ou pass sanitaire.
Le premier, prouve qu’on a un schéma vaccinal complet. Le deuxième, prouve que l’on est immunisé ou pas infecté par le Covid-19 en présentant soit un schéma vaccinal complet, soit le résultat négatif d’un test PCR ou antigénique de moins de 24h.
Les restrictions imposées en EuropeChaque gouvernement met en place les mesures qu’il juge – souvent préconisées par un groupe d’experts – nécessaires pour tenter d’endiguer la propagation du virus en sus d’empêcher l’importation de nouveaux variant. Certains instaurent le pass vaccinal comme l’Autriche, la République Tchèque, l’Estonie, Malte, Lettonie et l’Irlande.
D’autres exigent un pass sanitaire à l’instar de la France, la Belgique, l’Italie, la Suisse, le Portugal, la Lituanie, la Bulgarie, la Roumanie, la Croatie, le Danemark, Le Chypre, la Slovénie et l’Hongrie. L’Allemagne, le Luxembourg et la Grèce exigent un pass vaccinal et un pass sanitaire.
Quelle condition pour se rendre en Europe ?Les pays exigeant un pass sanitaire à l’instar de la France, où tous les voyageurs de douze ans ou plus, indépendamment du statut vaccinal, en provenance de ces pays/territoires doivent présenter à l’embarquement, le résultat négatif d’un test PCR ou d’un test antigénique (TAG) réalisé moins de 48 heures avant le vol.
L’Allemagne oblige tout voyageur de plus de 12 ans de présenter, au moment de son entrée sur le territoire allemand, et quelque soit le moyen de transport utilisé, un justificatif sanitaire pouvant être : un test PCR (de moins de 72h), ou un test antigénique (de moins de 48h) négatifs ou encore, la preuve d’un parcours vaccinal complet.
Pour le Portugal, tous les voyageurs doivent obligatoirement présenter à leur arrivée un test négatif à la Covid-19 (PCR réalisé moins de 72 heures ou antigénique moins de 48 heures).
En Algérie, le premier ministère a annoncé que le pass vaccinal est exigé pour l’entrée ou la sortie du territoire national.
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Avec les derniers bilans de coronavirus, la courbe du début de la quatrième vague commence à se dessiner, mais aussi à se faire ressentir notamment dans les établissements de santé.
Face à cette situation, le premier responsable du secteur de la santé en Algérie veut éviter le scénario de la troisième vague de covid-19 ayant été marquée par une pénurie d’oxygène et surtout par la situation des hôpitaux.
En effet, pour éviter ce scenario ; le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid a réuni, en visioconférence, aujourd’hui les directeurs de la santé et de la population (DSP).
Benbouzid veut éviter les « erreurs » de la 3e vagueLors de sa rencontre virtuelle avec les directeurs de la santé ; Benbouzid a donné des instructions fermes aux responsables du secteur ; en les appelant à « éviter les erreurs et lacunes » de la troisième vague.
« Les erreurs et les insuffisances, relevées par le secteur lors de la 3e vague, ne doivent pas se répéter (…) La prise en charge des patients covid dans les hôpitaux est importante, et ce, dans le contexte de la disponibilité de tous les moyens humains et matériels indispensables à la lutte contre la pandémie », a-t-il déclaré.
« Un inventaire détaillé des stocks d’oxygène dont disposent les structures sanitaires, doit être élaboré, avec la présentation des rapports sur les stocks de médicaments destinés aux patients contaminés, particulièrement les anticoagulants ; mais également la maintenance et le contrôle du matériel des différents établissements », a ajouté Pr Benbouzid.
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Le coronavirus atteint le rang des verts. Alors que le coup d’envoi de la CAN 2022 approche, deux joueurs de l’équipe d’Algérie se font tester positifs au covid-19.
Selon nos confrères de DZfoot, il s’agit des deux défenseurs Amine Tougai et Houcine Benayada. Ces derniers ont été testés positifs au coronavirus alors qu’ils allaient rejoindre le stage d’avant CAN 2022 de l’équipe nationale à Doha (Qatar).
En effet, Benayada et Tougai sont actuellement en quarantaine qui devrait durer maximum 5 jours. Une fois, la période d’isolement prend fin, les défenseurs de l’EN devront passer un nouveau Test de pistage Covid-19 de type PCR.
Si le test PCR se révèle positif, les deux stars de la coupe arabe rejoindront leurs coéquipiers pour la préparation d’avant CAN ; qui sera marquée par deux matchs amicaux.
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La wilaya de Batna, à 400 kilomètres d’Alger, a été secouée aujourd’hui par un tremblement de terre. L’annonce a été faite, ce lundi 27 décembre 2021, par le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG).
Selon le CRAAG, il s’agit d’une secousse tellurique de magnitude 3,1 degrés sur l’échelle ouverte de Richter. Elle a été enregistrée ce lundi soir vers 14h40.
« L’épicentre de la secousse tellurique a été localisé à 10 kilomètre Sud-Est de la commune de Tazoult dans la wilaya de Batna », a précisé le CRAAG dans un communiqué publié sur sa page Facebook.
Selon des sources locales, la secousse tellurique enregistrée aujourd’hui n’a causé aucun dégât humain. Un bilan des services de la protection civil devrait apporter plus de détails sur les dégâts matériels.
Les secousses ressenties à TimgadLe tremblement de Terre de ce lundi a été ressenti par les régions limitrophes de Tazoult. Comme lors de chaque secousse tellurique, certains internautes de la région Est de l’Algérie se sont dirigés vers les réseaux sociaux pour partager leurs ressentis.
Outre la commune de Tazoult, la secousse tellurique a été ressentie dans la ville historique de Timgad. Elle a même été ressentie à par d’autres communes.
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Alors qu’il a récemment résilié son contrat qui le liait avec le club qatari le Qatar SC, le milieu de terrain algérien Youcef Belaili est depuis ce temps dans le centre d’intérêt de plusieurs clubs.
En effet, l’Oranais a annoncé cette nouvelle au lendemain du match de demi-finales de la Coupe arabe qui a opposé les Fennecs à leurs homologues qataris (victoire pour les Verts), et quelques jours seulement avant le grand match de la finale contre la Tunisie (2-0).
Sur ce, les rumeurs ne cessent de se diffusées à propos des clubs qui s’intéressent par les services de l’international algérien Youcef Belaili, à savoir des clubs français (l’Olympique de Marseille, l’Olympique Lyonnais), des clubs égyptiens (Al-Ahly, Zamalek), mais aussi des clubs émiratis.
Quel avenir pour Youcef Belaili ?Toutefois, le site spécialisé Kooora vient de dévoiler une nouvelle surprise : Belaili va finalement signer au Qatar. Une nouvelle qui a fait la Une des médias algériens et étrangers, notamment que le père et agent de ce dernier a clairement révélé que son fils refusait toutes les offres, souhaitant évoluer en Europe.
» Youcef Belaili, la star de l’équipe nationale algérienne et l’ancien club du Qatar, est arrivé soudainement à Doha dimanche pour discuter d’une offre séduisante qu’il a reçue de l’un des meilleurs clubs du championnat qatari « , a fait savoir ledit média.
Selon la même source, le natif d’Oran a rencontré ce dimanche 26 décembre les responsables du club qatari Al-Duhail SC, qui ont exprimé leur intérêt de bénéficier des services du joueur et ont confirmé leur volonté de répondre à ses demandes personnelles.
Par ailleurs, il est utile de rappeler que le père et agent dudit joueur, Abdelhafid Belaili, a souligné récemment à la presse que son fils n’est intéressé que par le Championnat européen. Une situation qui mène l’opinion sportive à poser la question : quel avenir pour Youcef Belaili ?
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C’est au moment que le pays traverse une crise sanitaire d’ampleur mondiale, que le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, vise à regagner la confiance du citoyen envers les institutions de santé publiques. L’objectif est sans doute louable, mais comment le ministre et son département, déjà affaiblis par trois vagues successives du coronavirus, comptent-ils y arriver ?
Même le Pr Senhadji, président de l’Agence de sécurité sanitaire, a poussé un coup de gueule ce matin concernant la situation des institutions sanitaires publiques en Algérie. Le spécialiste a notamment déclaré que le ministère de la Santé est doté d’une douzaine d’établissements dont les capacités et le potentiel n’ont pas été bien exploitées.
Le Professeur estime que cette mal gestion est due au manque de coordination entre les établissements et les organismes affiliés au secteur, ce qui a entraîné un manque d’utilisation adéquate des données disponibles. Pour le Pr Senhadji, les raisons des problèmes du secteur de la santé en Algérie, malgré son énorme budget, sont nombreuses et à leur tête ; le manque de coordination.
Benbouzid contre-attaqueDans le cadre de la série de réunions d’évaluation de la situation sanitaire en Algérie relative à la quatrième vague du virus Covid-19, le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, s’est réuni aujourd’hui, lundi 27 décembre 2021, en visio-conférence, avec les directeurs régionaux de la santé, et ce, en présence des cadres de son administration.
Cette réunion a débouché sur plusieurs directives que le ministre a donné afin de « regagner la confiance du citoyen » dans les institutions publiques de la Santé. Pour commencer, Benbouzid a souligné « la nécessité de ne pas répéter les mêmes erreurs et manquements enregistrés par le secteur lors de la troisième vague ».
Il a notamment ordonné « la prise en charge des personnes infectées dans les hôpitaux, compte tenu de la disponibilité de tous les moyens humains et matériels nécessaires », fait savoir un communiqué de du ministère de la Santé.
Pour Benbouzid, il est inconcevable que des hôpitaux refusent d’accueillir des patients. Le ministre a exprimé son « total refus » de ces pratiques, et il a indiqué, qu’en présence de cas exceptionnels, « les directeurs doivent effectuer des appels pour garantir un lit pour le patient dans un autre hôpital tout en s’assurant qu’il soit transporté en ambulance ».
Le Ministre a enfin « appelé à la nécessité d’œuvrer pour regagner la confiance du citoyen à travers la mise sous sa disposition des différents établissements de santé ». Le ministre a également insisté sur « les capacités matérielles et humaines dont disposent la plupart des établissements sanitaires en Algérie ».
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Avec l’arrivée du nouveau variant « Omicron » qui ne cesse de gagner du terrain, plusieurs pays ont décidé de durcir les conditions d’entrée sur leurs sols.
C’est en effet, un nouveau coup de bambou pour le transport aérien. Aujourd’hui l’on recense plus de 2 000 vols annulés dans le monde en raison du nouveau variant. La pandémie estompe donc toute tentative de renouer avec les voyages et les fêtes de fin d’année.
Samedi dernier, l’Algérie à instaurer le pass vaccinal comme condition sine qua non pour « l’entrée ou la sortie du territoire national et l’accès à certains espaces, lieux et édifices affectés à usage collectif ou accueillant du public ».
Conditions d’accès en AlgérieDans la foulée de cette nouvelle démarche visant à mieux gérer la crise sanitaire liée à la Covid-19, Air Algérie introduit de nouvelles mesures pour les voyageurs à partir et à destination de l’Algérie.
« Compte tenu des restrictions de voyages liées à la pandémie de COVID-19, certains pays exigent des documents ou des formalités d’accès à leurs territoires, ci-dessous quelques conseils pour préparer le voyage. Le passager devra cependant s’informer régulièrement des conditions d’entrée dans le pays de destination du voyage auprès des autorités et organismes compétents« , précise la compagnie aérienne sur son site.
La compagnie nationale met en avant les trois conditions d’entrée en Algérie. En effet, il est donc obligatoire pour tout voyageur âgé de plus de 12 ans de se munir d’un test PCR COVID-19 négatif datant de moins de 36 heures avant la date de départ (en langue Arabe, Française ou Anglaise) à présenter à l’enregistrement et à remettre à l’arrivée.
Le voyageur est sommé de présenter un test antigénique COVID-19, explique Air Algérie. Le test sera alors à la charge du passager, appliqué à l’arrivée au niveau des aéroports algériens.
Par ailleurs, la compagnie aérienne appelle tous les voyageurs à présenter une fiche sanitaire « dûment renseignée à présenter à l’enregistrement et à remettre à l’arrivée ».
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Bien que l’inquiétude monte en Algérie, les cas de contamination à la covid-9 restent quant à eux, pour moment, sous contrôle. Après que le nombre des infections ait frôlé la barre des 400 cas, une baisse avait fini par le ramener au-dessous des 300 cas quotidiens.
Aujourd’hui, le 27 décembre 2021, 293 nouveaux cas de contamination à la covid-19 ont été recensés ces derniéres 24 heures en Algérie, indique le bilan quotidien communiqué par le ministère de la Santé. Il s’agit donc d’une légère hausse, vu que lors de la journée d’hier, 261 ont été enregistrés.
En plus des cas de contamination, l’Algérie a également enregistré 8 nouveaux cas de décès dus à des complications liées au coronavirus, 34 nouvelles admissions en services de soins intensifs, ainsi que 209 nouvelles guérisons.
Ces derniers chiffres communiqués par le département de Benbouzid font monter le total des cas de contaminations à la covid-19 en Algérie depuis le début de la pandémie à plus de 216.930. Le nombre de décès quant à lui dépasse les 6.246, toujours selon les estimations officielles.
Omicron dominera à partir de janvierSelon le Dr Derrar, directeur de l’Institut, le variant Delta, responsable de la troisième et quatrième vague, cèdera sa place de variant dominant en Algérie au variant Omicron, et ce, à partir de la fin du mois de janvier 2022.
Le variant Omicron malgré qu’il est moins dangereux que le Delta, reste beaucoup plus contagieux, met en garde le Pr Djenouhat.
Afin de lutter contre le coronavirus, le Pr Djenouhat appelle à généraliser le séquençage à plusieurs laboratoires à travers le territoire national, et ne pas le confiner au niveau de l’IPA.
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Alors que deux semaines seulement nous séparent du coup d’envoi de l’édition 2022 de la Coupe d’Afrique des Nations, Djamel Belmadi et ses hommes s’annoncent prêts, motivés et déterminés pour revenir au pays avec la troisième étoile.
En effet, la compétition continentale se déroulera au Cameroun du 9 janvier au 6 février de l’année 2022. Cependant, les Verts disputeront leur premier match 2 jour après le coup d’envoi.
La Fédération algérienne de football (FAF) a dévoilé le programme détaillé et le calendrier des trois rencontres de l’équipe nationale lors du premier tour de la CAN.
La FAF dévoile le programme détaillé du 1er tourEn fait, les Verts affronteront tout d’abord la sélection nationale de la Sierra Leone, le mardi 11 janvier à 14 heures (heure algérienne) au Stade Jaboma, au Cameroun.
Pour leur deuxième rencontre footballistique, les Fennecs s’opposeront contre leurs homologues de la Guinée équatoriale, le dimanche 16 janvier à partir de 20 heures au même stade.
Quant au dernier match du premier tour de la Coupe d’Afrique des Nations, Riyad Mahrez et ses coéquipiers confronteront l’équipe nationale de la Côte d’Ivoire le jeudi 20 janvier à 17 heures, au Stade Jaboma.
Il convient également d’indiquer que les joueurs convoqués par Djamel Belmadi se sont déplacés aujourd’hui à Doha, au Qatar, pour entamer les entrainements en prévision de la CAN. Ces derniers disputeront également deux matchs amicaux, le 1er et le 5 janvier 2022.
Par ailleurs, la sélection nationale est nominée comme candidat favori à obtenir le trophée continental de l’édition 2022 de la Coupe d’Afrique au Cameroun.
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Vaincus par la misère et les problèmes socio-économique du pays, entre autres, le chômage, certains Algériens décident de tenter l’immigration à la quête d’une vie meilleure sous d’autres cieux. Ce choix constitue pour eux une obligation substantielle plutôt qu’une aspiration.
La quasi-majorité des Algériens vit en France. Ils sont en effet, plus de 2 millions d’immigrés algériens à vivre sur le sol français sans compter les migrants clandestinement entrés dont le nombre ne cesse annuellement de croitre, à la fois par la vigueur de leur natalité ainsi que par l’invasion migratoire.
Ces ressortissants algériens, quel que soit leur statut en France, sont heurtés à la problématique du « chômage ». Si quelques-uns arrivent à décrocher un emploi, bon nombre d’eux sombrent dans un chômage chronique mettant même leur séjour sur une corde raide. Le rêve d’une « vie meilleure » s’estompe peu à peu à mesure que disparait toute chance d’avoir un emploi.
Combien de chômeurs algériens en France ?Il ne fait nul doute que les ressortissants étrangers sont plus touchés par le chômage que les Français. Pour ce qui est des Algériens, les statistiques en disent long sur la situation sociale et professionnelle de ces derniers.
En effet, selon le rapport de l’INSEE datant de 2017, 41.6% des Algériens de plus de 15 ans vivant en France étaient sans emploi (17.9% en chômage contre 23.7 inactifs, soit trois fois plus que les Français 14,2%). Quant aux femmes, celles-ci sont dans une plus grande proportion que les hommes au chômage plus de 32,8 % contre 24,5 % (INSEE 2011).
Les immigrés dont ceux Algériens sont en moyenne moins diplômée que les personnes nées en France. Selon la même source, « 40 % des immigrés de 15 à 64 ans disposent au maximum du brevet des collèges ou du certificat d’études primaires ». Il est à noter que 26 % de l’ensemble de la population de cette tranche d’âge vit en France.
Le constat est amer. Le chômage que subissent une grande partie des Algériens vivant en France traduit, on ne peut plus clair, une discrimination et une inégalité sociale qui restent difficiles à quantifier.
Quand les immigrés « chômeurs » sont menacés d’expulsionLes candidats à la présidentielle française de 2022 issus des partis de l’extrême droite prennent à cœur la problématique de l’immigration. Ils en font même un ennemi pour le développement social, culturel et même économique de la France.
Le 15 décembre dernier, le polémiste Eric Zemmour, a exprimé sa volonté d’expulser les étrangers chômeurs après 6 mois d’inactivité. Une déclaration qui a suscité un vif émoi dans les rangs des ressortissants étrangers notamment ceux algériens.
Mais l’expulsion des chômeurs n’est pas la seule aspiration d’Eric Zemmour. En effet, le polémiste prévoit (dans son programme) bloquer les transferts d’argents des immigrés vers l’étranger. Ceci forcera, selon lui, les pays à « reprendre » les personnes expulsées de France.
Les mesures d’Eric Zemmour rejoignent ainsi celle de Marine Le Pen qui a proposé, pour sa part, la réduction ce qu’ils qualifient de « privilèges migratoires » de l’Algérie, hérités de la colonisation ». Allant plus loin dans sa « discrimination », le Pen appelle même à expulser les ressortissants mineurs « isolés ».
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Le tribunal criminel de première instance de Dar El Beida à Alger a rendu ce lundi 27 décembre 2021, son verdict dans l’affaire du militant politique Rachid Nekkaz.
La même juridiction a, en effet, condamné l’activiste politique et candidat à l’élection présidentielle d’avril 2019 à une peine d’un an de prison ferme assortie d’une amende de 30 000 DA.
Il est condamné pour l’accusation « d’empêchement des citoyens d’accomplir le droit électoral à travers un plan prémédité destiné à être appliqué sur le territoire de la République ».
Cependant, Nekkaz a été acquitté des autres accusations portées à son encontre à savoir ; « incitation au port d’armes ». Ainsi, le militant vient d’être définitivement libéré après avoir passé 14 mois de détention préventive.
Il convient de rappeler que l’activiste politique Rachid Nekkaz avait quitté, en février dernier, la prison d’El Bayadh, au sud-ouest du pays, bénéficiant de la grâce présidentielle, annoncée la veille par Abdelmadjid Tebboune. Il avait été placé sous mandat de dépôt le 4 décembre 2019.
Le parquet avait requis 5 ans de prison fermeCe lundi matin, le procureur général près le tribunal criminel de première instance de Dar El Beida a requis une peine de 5 ans de prison ferme assortie d’une amende de 200 000 DA contre l’activiste politique Rachid Nekkaz.
L’audience a eu lieu sur convocation directe devant le tribunal criminel, conformément à la décision de renvoi sur la base des accusations d’incitation de citoyens à l’empêchement des élections et à l’affrontement avec les éléments de la police.
Pour sa part, Rachid Nekkaz a considéré ses déclarations comme étant « un simple discours politique codé », n’impliquant aucun appel à la violence. Il a également accusé plusieurs parties d’avoir truqué la vidéo afin de l’impliquer et de l’emprisonner.
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La vaccination des enfants contre le Covid-19 en Algérie n’est toujours pas tranchée auprès du Comité scientifique. Alors que les spécialistes n’arrêtent pas de se montrer favorables, à l’instar de plusieurs autres pays, ce point reste toujours en suspens en Algérie.
Intervenant ce lundi sur les ondes de la Radio nationale, le président de la Société algérienne d’immunologie et chef de service du laboratoire central à l’hôpital de Rouiba, le Pr Kamel Djenouhat, a réitéré son appel quant à ce point.
Affirmant d’emblée que cette question n’a pas encore été tranchée, le spécialiste en immunologie estime que « la vaccination des enfants est nécessaire », tout en faisant part de son avis de spécialiste ; « je suis pour la vaccination des enfants ».
Selon lui, cette nécessité demeure dans le fait que les enfants constituent un vecteur de transmission à prendre en considération. À ce propos, il explique que « si les moins âgés ne développent pas des formes graves, ils peuvent être à l’origine de leur apparition chez les adultes ».
À titre d’exemple, l’invité de la Radio cite la Chine « qui commence déjà à vacciner les enfants contre la Covid-19 à partir de l’âge de 3 ans ». Toujours dans le contexte de la vaccination, il a lancé également un appel à tous les Algériens d’aller se faire vacciner pour se protéger contre ces variants du coronavirus.
« Nous sommes en pleine phase ascendante du Delta »S’exprimant autour de la situation épidémiologique en Algérie, le Pr Kamel Djenouhat indique que « le premier danger reste toujours le variant Delta qui est meurtrier », et ce, malgré l’apparition des premiers cas du variant Omicron.
« Nous sommes en pleine phase ascendante du Delta, ce qui va être accentué par l’arrivée de l’Omicron, considéré comme le variant le plus contagieux parmi tous les virus respiratoires », a encore constaté le spécialiste.
À propos de l’identification des cas des variants du Covid-19, il rappelle qu’à « ce jour, seul le laboratoire de l’Institut Pasteur d’Alger peut effectuer le séquençage pour identifier le type de variant ».
Dans ce sens, il déplore le fait de « n’avoir qu’un seul centre de séquençage de l’Omicron en 2021 ». Il faut agir vite et rapidement pour généraliser ces opérations », a-t-il encore préconisé.
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