Lundi dernier, le tribunal militaire de Blida a connu un procès qui est pour le moins VIP. Bien que l’accusé principal, en l’occurrence, Guermit Bounouira, soit présent ici en Algérie depuis plus d’un an, après avoir été extradé par la Turquie, les deux autres mis en cause demeurent en fuite à l’étranger.
Il s’agit de l’ancien général, ex-commandant de la gendarmerie nationale, Ghali Belkecir, ainsi que de l’ancien diplomate, Zitout Mohamed Larbi. Les noms des deux mis en cause, ainsi que celui de l’ex-secrétaire particulier de l’ancien chef d’état-major, Ahmed Gaid Salah, ont résonné dans le tribunal militaire de Blida.
Si la peine capitale n’ait été prononcée qu’à l’encontre de Bounouira, ses deux co-accusés ne s’en tirent pas tut à fait indemnes non plus. La peine de la prison à perpétuité a été en effet formulée par le juge contre l’ancien général devenu Djoundi et l’ex-diplomate reconverti en youtubeur.
Les mis en cause font face à des accusations liées à la « haute trahison », mais aussi à la « la divulgation de secrets pouvant nuire aux intérêts de l’État ».
Perpétuée pour deux accusés en fuiteLa Turquie a livré aux autorités algériennes Guermit Bounouira, l’ex-secrétaire particulier de Gaid Salah, il y a près d’un an et demi. Cependant, les deux autres condamnés dans cette affaire demeurent en fuite à l’étranger, malgré les deux mandat d’arrêt internationaux délivrés à leur encontre.
Ghali Belkecir, l’ancien général dégradé par la justice militaire en Djoundi, est actuellement en fuite à l’étranger. Il a acheté la nationalité du Vanuatu pour 350 000 Dollars.
En ce qui concerne Mohamed Larbi Zitout, également condamné dans la même affaire, il profite d’un asile politique qui lui a été accordé par le Royaume-Uni.
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Les cas de contaminations à la covid-19 connaissent un bond inquiétant en Algérie depuis quelques jours. Les infections ont doublé en l’espace de 72 heures seulement, ce qui indique qu’on est au début du pic épidémiologique.
Le Pr Senhadji, président de l’Agence de sécurité sanitaire, dans une déclaration accordée au journal arabophone Echourouk, a dressé un bilan inquiétant quant à la situation sanitaire, et il a notamment mis en garde contre le risque de l’émergence d’un nouveau variant en Algérie.
Double vague : un double risque ?Le professeur rappelle que l’Algérie fait face à la fois aux variants Delta et Omicron. Au moment où le pays traverse un pic lié au Delta, Omicron émerge, et complique les choses. Avec ce que ce variant a fait endurer aux algériens l’été dernier, il faut y faire face, mais sans oublier le risque lié à Omicron, estime de professeur.
Mais ce que le professeur redoute plus que tout, c’est bien l’apparition d’un nouveau variant. Il explique que si l’on ne barre pas la route au variant Delta en Algérie, il va probablement en résulter la naissance d’une nouvelle souche de la Covid-19, encore plus dangereuse. Le spécialiste ajoute que la seule manière de ralentir la transmission du virus reste la vaccination.
Il dit la même chose sur le variant Omicron, déjà présent en Algérie. « Il ne faut pas penser que la fin d’Omicron sera la fin de l’épidémie, c’est là qu’on voit l’importance de la vaccination qui va empêcher l’émergence d’un nouveau variant », alerte-t-il.
Pour finir sur une note d’espoir, le même intervenant déclare que les données scientifiques concernant le variant Omicron sont plutôt positives, bien que facilement transmissible, ce variant pourrait aider à acquérir l’immunité collective.
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Dans cette période de matchs de grande envergure, l’Algérie a besoin de ses stars pour se qualifier dans le cadre de la 33e édition de la Coupe d’Afrique des Nations CAN 2022, mais également pour garder son titre tant convoité.
L’équipe nationale s’est retrouvée plusieurs fois dépourvue de ses meilleurs éléments, soit à cause des blessures ou encore des absences due aux matchs importants des clubs dans lesquels les joueurs évoluent. Ce n’était pas le cas pour l’un des chouchous des supporters algériens, l’international Ismael Bennacer.
Ce dernier a été suspendu pour cumul de cartons, le sélectionneur national Djamel Belmadi s’est vu contraint de faire sans l’un de ses meilleurs éléments pour la première sortie de l’Algérie dans cette CAN2022. Actuellement, des questions se posent au tour de son absence potentielle lors du prochain match.
Sera t-il absent contre la Guinée Equatoriale ?Alors que l’EN s’est entraînée mercredi après-midi, avec un effectif réduit, le joueur du Milan AC n’y était pas présent. Le milieu défensif qui a été suspendu pour cumul de cartons, n’a pour rappel pas participé avec les Verts au premier match contre la Sierra Leone.
Il convient de rappeler que l’Algérie s’opposera à la Guinée Equatoriale, ce dimanche 16 janvier, dans le cadre de la deuxième journée des éliminatoires du groupe E, au stade de Japoma à 20h00. Les hommes de Belmadi tenteront de remporter ce match et se relever du dernier score nul afin de garantir leur qualification pour défendre le titre de l’Algérie.
Le talentueux milieu défensif algérien, Ismael Bennacer, ratera-t-il encore un deuxième match de l’EN ?
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Le nombre de patients hospitalisés augmente, les cas de contaminations recensés flambent et les décès se multiplient, de quoi compliquer la situation pandémique en Algérie, après une stabilité de courte durée qui a eu lieu, l’été dernier.
La situation devient alarmante, notamment avec la barre des 600 cas dépassée, hier. Le ministère de la santé a fait état de 610 nouvelles contaminations au Covid-19 et 9 nouveaux décès des suites du Coronavirus. Le chef de service covid-19 au Centre Hospitalo-Universitaire (CHU) Mustapha Pacha, Pr Kamel Hayel a déclaré, que la majorité des cas de contamination que l’unité reçoit sont des contaminations à travers des enfants scolarisés. Plusieurs études internationales ont trouvé un lien entre les élèves et la reprise de l’épidémie.
Dans une déclaration à l’APS, il a également fait savoir que le service qui accueillait en décembre dernier de 8 à 9 cas par jour, accueille désormais une moyenne quotidienne de 17 à 20 cas, ce qui représente des chiffres très inquiétants.
Les non-vaccinés pointé du doigtEn effet, Pr Kamel Hayel a affirmé que 85 à 90 % des cas hospitalisés ne sont pas vaccinés, 10 % seulement ont reçu les deux doses de vaccin. Le Directeur général de l’Institut Pasteur d’Algérie, Dr Fawzi Derrar avait déclaré à ce sujet que les non-vaccinés représentent la majorité des décès en Algérie, des suites du Covid-19. Raison pour laquelle, plusieurs responsables dans le secteur de la santé ne cessent de rappeler l’importance de la vaccination.
Cette dernière est actuellement le seul moyen d’éviter des cas graves d’hospitalisation, comme l’a indiqué le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid, « la vaccination demeure pour le moment, le seul moyen, peut-être pas pour réduire le nombre de personnes contaminées, mais certainement pour réduire celui des cas graves ».
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Le tribunal militaire de Blida a condamné, pour haute trahison, Guermit Bounouira, l’ex-Secrétaire particulier de l’ancien homme fort de l’armée, le chef d’état-major, Ahmed Gaid Salah, décédé en 2019.
La peine capitale a été prononcée lundi dernier, dans l’enceinte du tribunal militaire de Blida. C’est à l’encontre de Guermit Bounouira, l’ex-Secrétaire particulier du défunt chef d’état-major de l’armée, Ahmed Gaid Salah, que cette condamnation a été formulée par le juge.
Selon le quotidien El Watan, qui a rapporté l’information, le même tribunal a également condamné l’ex-commandant fugitif de la gendarmerie, le général, rabaissé au rang de Djoundi, Ghali Belkecir, ainsi que l’ancien diplomate résidant à Londres, Mohamed Larbi Zitout, à la prison à vie.
Haute trahisonLa même source dévoile que les trois mis en cause font face à des accusations portant sur « la haute trahison » et « la divulgation de secrets pouvant nuire aux intérêts de l’État ».
Dans le cas de Ghali Belkcir, après avoir été déchu de son grade dans une précédente affaire, l’ancien général se trouve actuellement en fuite à l’étranger. Un mandat d’arrêt international a été délivré à son encontre.
Zitout est à Londres. L’ancien diplomate bénéficie de l’asile politique en Grande-Bretagne depuis plusieurs années.
En ce qui concerne Guermit Bounouira, L’ex-Secrétaire particulier du défunt chef d’état-major, Ahmed Gaid Salah, il se troue qu’il a été extradé par la Turquie ou il était en fuite, et fut livré aux autorités algériennes.
Depuis le soulèvement populaire du 22 février 2019, plusieurs hauts gradés de l’armée ainsi que de hauts responsables de l’état font l’objet de plusieurs poursuites judiciaires, et risquent de lourdes peines de prison.
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Les températures ont considérablement baissé ces derniers jours sur l’ensemble du territoire national. C’est après bien des hésitations que l’hiver s’installe enfin en Algérie. Du verglas, des neiges, et surtout des pluies, c’est ce que prévoit l’Office National de la Météorologie, pour les jours à venir.
Pour aujourd’hui, le jeudi 13 janvier 2022, l’ONM, dans une alerte vigilance de niveau 2 (Orange), prévoit des pluies sur plusieurs wilayas de l’est du pays.
Ce sont de pluies dont les quantités pourraient atteindre les 40 mm localement, affirme l’ONM, qui précise que la validité de son Bulletin Météo Spécial va de 3 h du matin jusqu’à 15 h de ce jeudi.
Les wilayas concernées sont au nombre de 10, et sont Bejaia, Jijel, Skikda, Annaba, El Tarf, Mila, Constantine, Guelma, Souk Ahras et Oum El Bouaghi.
Les prévision de l’ONMAu nord du pays, l’Office National de la Météorologie prévoit un temps très ensoleillé à l’Ouest, dans les wilayas littorales telles que Mostaganem, Oran ou Tlemcen, mais aussi dans des wilayas de l’intérieur du pays comme Mascara, El Bayadh ou Tiaret.
Au centre du pays, les nuages commencent à apparaitre. Le ciel de la capitale Alger, mais aussi celui de Tizi Ouzou, et de Bouira sera couvert. Plus on va vers l’est plus le ciel se noircit avec un plus grand risque de pluie, comme dans la wilaya de Khenchela, ou l’ONM prédit des pluies mêlées à de la neige.
Au Sud du pays, le soleil trônera. Mis à part un ciel nuageux à Béchar, le grand sud connaîtra aujourd’hui, un ciel bleu depuis Illizi jusqu’à Bordj Badji Mokhtar en passant par In Salah, et de Ouergla à In Guezzam en passant par Timimoun.
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La dégringolade du Dinar algérien se poursuit devant les principales devises. La monnaie nationale, et depuis 2014, a entamé une véritable chute libre. Les monnaies fortes, et principalement l’Euro et le Dollar, multiplient leurs records à la hausse face à un Dinar plus faible que jamais.
Au Square Port-Saïd, les cambistes continuent de faire tourner leurs affaires. Depuis la réouverture des frontières en juin 2021, et la reprise des vols commerciaux à l’international, les valeurs des principales devises ne cessent de flamber au marché noir.
Un seul Euro s’échange, ce 13 janvier, contre 213.50 dinars algériens à l’achat et contre 215.50 dinars algériens à la vente. La valeur de la monnaie unique européenne est en relative stagnation, ces derniers jours.
Le Dollar américain connait quant à lui une légère baisse de sa valeur, il est cédé contre 189 dinars algériens à l’achat et contre 191 dinars algériens à la vente, alors que le Dollar canadien s’échange contre 143 dinars algériens à l’achat et contre 146 dinars algériens à la vente.
Banque d’AlgérieÀ la banque d’Algérie, la valeur du Dinar Algérien est au plus bas. La dépréciation de la monnaie nationale se poursuit, et elle est clairement affichée devant les principales devises.
Un seul Euro s’échange contre 158.06 dinars algériens à l’achat et contre 158.14 dinars algériens à la vente. La Livre Sterling s’échange quant à elle contre 189.52 dinars algériens à l’achat et contre 189.59 dinars algériens à la vente.
Le Dollar américain est cédé au niveau des guichets de la banque d’Algérie contre 139.45 dinars algériens à l’achat et contre 139.46 dinars algériens à la vente.
Le Dollar canadien est cédé contre 110.24 dinars algériens à l’achat et contre 110.26 dinars algériens à la vente.
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C’est une véritable prouesse chirurgicale que vient d’annoncer une équipe de l’université du Maryland aux États-Unis. Il s’agit d’un homme à qui l’on a greffé un cœur de porc génétiquement modifié. Après l’opération, qui a eu lieu le 7 janvier, l’homme est toujours en vie.
Ce n’est pas la première opération xénogreffe que le monde connait. Une équipe de l’université Langone (New York) avait réussi à transplanter un rein de porc chez une femme en état de mort cérébrale pendant trois jours, sans qu’aucun rejet immunitaire ne soit observé.
Ce qui est étonnant dans cette affaire, c’est que le patient soit entièrement vivant cette fois-ci, et bien conscient de ce qui lui arrive. À son réveil après l’opération, David Bennett, atteint d’une insuffisance cardiaque au stade terminal et d’une arythmie, inéligible à recevoir une greffe humaine, savait que c’est un cœur de porc qui le maintenait en vie.
« Je veux vivre »Le patient, une journée avant son opération, a déclaré : « C’était soit la mort, soit cette greffe. Je veux vivre. Je sais que c’est assez hasardeux, mais c’était ma dernière option ». La réussite de cette opération constitue un espoir pour des milliers de patients qui ne sont pas éligibles à un don d’organe humain à travers le monde.
Grâce à cette opération, les chirurgiens ont pu démontrer la faisabilité d’une greffe de cœur du porc vers l’humain. Une prouesse qui vient mettre de nouvelles données sur la table, notamment grâce à de nouveaux outils d’édition génique.
Le cœur porcin transplanté au patient provenait d’un animal génétiquement modifié de manière à ce qu’il ne produise plus un type de sucre qui provoque un rejet immédiat de l’organe chez l’Homme. « Nous avançons avec prudence, mais nous sommes aussi optimistes sur le fait que cette opération inédite dans le monde va fournir une nouvelle option importante pour les patients à l’avenir », a déclaré le chirurgien en chef, Bartley Griffith.
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Même dans des compétions prestigieuses, la différence de plusieurs éléments ne peut pas passer inaperçue entre le football africain et européen. Bien que le continent ait des stars aux talents exceptionnels, lorsqu’ils jouent avec leur équipe nationale, un constat amer fait l’unanimité : il y a un sérieux problème avec l’arbitrage.
En effet, plusieurs entraîneurs de différentes sélections partagent ce constat. La Confédération Africaine de Football a reçu à maintes reprises des plaintes contre les arbitres et leurs erreurs « injustes » ou ostensiblement « biaisées », qui malheureusement sont noyées dans l’impunité absolue.
Souvent, sur la pelouse verte, le dernier mot revient à un arbitre qui décide ou pas d’influencer le match avec des décisions qui changent entièrement la donne. A titre d’exemple, le sélectionneur national Djamel Belmadi a déjà évoqué ce sujet récurrent et épineux, puisque l’EN s’est souvent retrouvée victime d’un arbitrage litigieux. Belmadi a donc dénoncé cette malheureuse corruption dans un sport si noble, censé être dénué de toute mauvaise intention.
L’arbitrage, ce point noir du Football africain devient scandaleux comme l’a dit Belmadi, chose devenue coutume dans les matchs africains où les erreurs flagrantes sont étouffées au détriment des efforts des joueurs.
CAN 2022 : un arbitrage déjà pointé du doigtDès les premiers matchs de la 33ème édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2022) au Cameroun, l’arbitrage se trouve au cœur des polémiques. L’Algérien Youcef Belaili avait évoqué un penalty non sifflé lors du match contre la Sierra Leone, l’arbitre n’a pas utilisé le VAR pour le confirmer et il a tout simplement décidé de continuer le match.
Encore aujourd’hui, l’arbitre a sifflé une première fois la fin de la partie à la 85e minute, avant de reprendre le match et siffler définitivement la fin avant les 90 minutes et sans temps additionnel. Des pénalties non-sifflés, des cartons jaunes dissimulés et des fins de match à la guise de l’arbitre, l’arbitrage ne fait qu’éloigner le football africain d’un respect mérité sur l’échelle internationale.
Bien que l’indignation soit importante, encore faut-il agir et surtout punir, au nom de l’amour du football et au nom de la déontologie.
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La mémoire collective algérienne vient de perdre l’un de ses piliers. Le grand Moudjahid Othmane Belouizdad, le dernier membre, jusque-là, encore en vie du groupe historique des 22, a fini par nous quitter.
Membre de l’organisation spéciale (OS), combattant de l’ALN, membre du Groupe historique des 22 qui avait planifié à déclencher la révolution de 1954, Othmane Belouizdad est décédé ce matin, le 12 janvier 2022, à l’age de 92 ans.
Il s’agit également du frère Mohamed Belouizdad, le président de l’OS. Le défunt est devenu le dernier membre des 22 encore en vie après la disparition de Abdelkader Lamoudi.
Le groupe des 22, un pan de l’histoire de l’AlgérieC’est dans le quartier populaire de Salambier, dans une misérable bâtisse, que des jeunes algériens, en juillet 1954, se prononcent pour la lutte armée, jusqu’à la libération de l’Algérie du colonialisme français.
Il s’agit de Othmane Belouizdad, Mostefa Ben Boulaïd, Ramdane Benabdelmalek, Benmostefa Benaouda, Lakhdar Bentobal, Rabah Bitat, Zoubir Bouadjadj, Said Bouali, Ahmed Bouchaïb, Mohamed Boudiaf, Boudjemaa Souidani, Abdelhafid Boussouf, Lyès Deriche, Didouche Mourad, Abdessalam Habachi, Abdelkader Lamoudi, Larbi Ben M’Hidi Mohamed Mechati, Slimane Mellah, Mohamed Merzoughi, Badji Mokhtar, et de Zighout Youssef.
Ce sont tous des membres de l’Organisation Spéciale, l’OS, le bras armé clandestin du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD). Cette organisation a vu officiellement le jour en 1947, avant que la police française ne procède à son démantèlement en 1950.
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Omicron a dévasté l’Europe, mais également l’Amérique. Ce sont des centaines de milliers de cas qui sont recensés chaque jour à cause de cette souche du coronavirus. Selon les spécialistes, l’avancée de ce variant va se poursuivre, ce qui n’est pas totalement une mauvaise nouvelle.
Selon le docteur Anthony Fauci, conseiller de la Maison Blanche sur la crise sanitaire, le variant Omicron de la Covid-19 va probablement infecter « quasiment tout le monde ».
Intervenant lors d’une conférence organisée par l’institut de recherche Center for Strategic and International Studies, le spécialiste affirme que les États-Unis, ardemment impactés par ce variant, pourraient être « au seuil » d’une période de transition.
Peut-on cohabiter avec le Covid ?« Alors qu’Omicron monte et redescend, j’espère que nous allons avoir une situation avec (…) une combinaison entre une bonne immunité de fond et la possibilité de soigner une personne à risque », a déclaré le docteur Anthony Fauci, conseiller de la Maison Blanche sur la crise sanitaire aujourd’hui.
Le spécialiste estime que, malgré les difficultés que pose la vitesse de transmission du variant Omicron, notamment dans les hôpitaux qui sont de plus en plus surchargés, le monde réussira à « vivre avec le virus ». « Nous n’en sommes pas au point où nous pouvons dire de façon acceptable, « vivons avec le virus », à cause notamment de la pression exercée actuellement sur le système de soins, mais je pense que nous y arriverons », fait savoir l’immunologiste américain.
Il est à noter que les USA et les pays européens font face à une vague du covid qui enregistre des nombre records de contaminations. En Algérie, le bilan officiel vient de dépasser la barre des 600 cas, alors qu’il tournait autours des 400 cas il y a tout juste 48 heures.
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Dans le cadre de la 33ème édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2022), les pays du continent africains s’affrontent dans cette prestigieuse compétition qui a commencé le 9 janvier et qui touchera à sa fin le 6 février. Hier, c’était le premier match de l’équipe nationale d’Algérie face à la Sierra Leone.
Une rencontre qui a vu un score nul (0-0), où l’EN n’a pas réussi à faire trembler les filets de ses adversaires pour maintes raisons. Aujourd’hui, c’était au tour de notre pays voisin (du groupe F) la Tunisie contre le Mali, dans une drôle de rencontre. En effet, le match a eu une fin rocambolesque. Les maliens ont décroché une première victoire (0-1), faisant preuve de détermination et de volonté, avant que le match tourne au vinaigre.
L’arbitre zambien Janny Sikazwe siffle une première fois la fin de la partie à la 85e minute avant de reprendre le match. Mais avant les 90 minutes et sans le temps additionnel, il arrête le chrono et cette fois-ci c’est définitif.
Mécontentement de la TunisieLe sélectionneur tunisien Mondher Kebaier demande des explications, en vain. Le match ne reprend pas et tout le monde a quitté la pelouse, pour la plus grande frustration des Aigles de Carthage qui a refusé par la suite de regagner le stade. La sélection tunisienne a exprimé son mécontentement officiellement auprès de la Confédération Africaine du Football (CAF), réclamant un « remake » du match contre le Mali.
Effectivement, c’est un scandale footballistique qui sera relayé partout dans le monde, au vu de l’envergure de cette compétition suivie par des experts africains et même internationaux.
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Les dernières études sur les crypto-monnaies, dont le rapport 2021 de Chainalysis, constatent toutes l’engouement très fort des pays africains pour celles-ci. Nous allons donc nous pencher sur les raisons qui font que l’Afrique pourrait devenir le nouvel Eldorado pour les cryptos.
l’Afrique pourrait devenir le nouvel Eldorado pour les cryptos
Croissance de 1 200 %Actuellement, les opérations en crypto monnaies des pays africains représentent à peine 3 % de l’ensemble des transactions de ce type au niveau mondial. Le chiffre est à première vue très faible, mais il faut aussi savoir qu’entre 2020 et 2021, le marché africain de la crypto-monnaie a connu une croissance de plus de 1 200 %. Il n’y a rien qui interdise à cette croissance de se poursuivre.
Trois pays africains (Kenya, Nigeria et Togo) figurent dans les 10 pays qui utilisent le plus les cryptomonnaies, selon l’indice mondial d’adoption des cryptomonnaies (Global Crypto Adoption Index) établi par Chainalysis, entreprise spécialisée dans l’étude des blockchains. De plus, trois pays supplémentaires (Afrique du Sud, Ghana et Tanzanie) viennent s’ajouter aux trois précédents dans le classement des vingt premiers pays.
En ce qui concerne les petits transferts en crypto c’est-à-dire ceux inférieurs à 1 000 $, ils représentent un peu plus de 7 % du volume des transactions africaines contre 5,5 % au niveau mondial. L’Afrique est le leader mondial des petits transferts.
Bitcoin et cryptomonnaie en quelques motsLe Bitcoin (BTC) qui a fait son apparition en 2009 est la monnaie numérique la plus connue. Toutefois, il en existe plusieurs milliers d’autres dont : Bitcoin Cash (BCH), le Litecoin (LTC), l’Ether (ETH) et le Ripple (XRP).
Les monnaies numériques n’existent pas sous formes physiques. Par contre, elles s’échangent très facilement contre toutes les monnaies classiques (Dollar, Yen, Euro) dites fiduciaires ou Fiat.
Une cryptomonnaie s’utilise comme toutes les monnaies, à savoir qu’elle permet d’effectuer des achats de biens et de service, mais aussi servir à spéculer. Cliquez sur ce lien pour en savoir plus sur la façon de pouvoir acheter du bitcoin et d’autres cryptos, ainsi que pour trouver toutes les réponses aux questions relatives aux monnaies numériques. Précisons qu’acquérir et se servir de cryptos n’est ni compliqué ni réservé aux personnes à forts revenus. Tout un chacun peut le faire. Il faut seulement veiller à prendre les précautions d’usage pour éviter d’être victime de personnes malhonnêtes.
Le Bitcoin offre des avantages par rapport aux monnaies fiduciaires :
L’inconvénient majeur de certaines cryptos est leur forte volatilité.
Trois raisons majeuresIl existe trois raisons majeures qui font que les cryptomonnaies sont actuellement très utilisées dans certains pays d’Afrique.
les cryptomonnaies sont actuellement très utilisées dans certains pays d’Afrique
Passer outre les restrictions de transferts de fonds vers l’étrangerLes banques mais aussi les gouvernements de certains pays limitent la valeur des sommes qui peuvent être envoyées hors de leur pays. Par exemple au Nigéria, certaines banques interdisent les transferts supérieurs à 500 $ vers l’étranger. D’autres pays comme le Kenya ont pris des dispositions pour rendre difficile les échanges en cryptos à partir des comptes bancaires et en particulier à l’aide des cartes bancaires. Les gens utilisent donc les services peer to peer (P2P) pour effectuer des transactions en crypto.
Faciliter les échanges internationauxDe nombreuses entreprises africaines emploient les cryptomonnaies pour leurs transactions internationales. Un virement bancaire demande plusieurs jours pour être effectif alors que 30 minutes suffisent, au maximum, pour effectuer un paiement par crypto. Un commerçant qui règle une commande à l’aide de cryptos peut envisager que sa marchandise lui soit envoyée le jour même. Il bénéficiera d’un avantage conséquent sur ses concurrents. De même, les crypto-monnaies peuvent être utilisées pour recevoir de l’argent envoyé par les membres d’une famille travaillant à l’étranger.
Par ailleurs, les frais pour les transferts en Bitcoin sont moins élevés qu’avec les transferts bancaires classiques.
Se protéger contre l’inflation et les dévaluations des monnaies localesNombreux sont ceux qui ont recours aux cryptos pour protéger leur épargne et leurs revenus contre l’inflation et les éventuelles dévaluations des monnaies locales. Il arrive qu’en cas de crise économique les banques limitent les retraits de leurs clients. Ils ne peuvent plus rien acheter alors qu’ils ont de l’argent sur leur compte en banque. La dévaluation d’une monnaie fait que du jour au lendemain, les produits que vous achetez à l’étranger vous reviennent 10 % ou 50 % plus chers qu’auparavant.
En conclusion, nous dirons que le recours aux crypto monnaies (dont le Bitcoin) va poursuivre sa croissance en Afrique, car ce type de monnaie convient parfaitement aux économies émergentes et qu’il est important que tous les Africains commencent à s’intéresser à cette question.
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La situation sanitaire en Algérie commence à devenir alarmante. Après plusieurs semaines d’accalmie, voilà que les cas de contamination dépassent le cap des 500 cas quotidiens. Le nombre d’hospitalisations ainsi que celui des décès, affichent, eux aussi, des courbes ascendantes.
Aujourd’hui, 12 janvier 2022, le bilan communiqué par le ministère de la Santé fait état de 610 nouvelles infections au Covid-19 ces dernières 24 heures. Il s’agit donc d’une deuxième hausse consécutive, après que le bilan d’hier ait fait état de 557 cas de contamination.
Le même communiqué du département de Benbouzid, fait état de 9 nouveaux cas de décès dus à des complications liées au virus, 41 nouvelles admissions aux services de réanimations, ainsi que 367 nouvelles guérisons.
Ces chiffres dévoilés ce mercredi, indiquent que le bilan total des contaminations au Coronavirus en Algérie a dépassé les 223.806 cas depuis le début de la pandémie en mars 2020. Les décès quant à eux ont atteint les 6.372 cas.
Les non-vaccinés en Algérie : l’hécatombeAlors que la bataille de la vaccination contre la Covid-19 vient d’être, une fois encore relancée par le ministère de la Santé, le débat sur la réticence au remède préventif refait surface. C’est le directeur de l’institut pasteur qui affirme aujourd’hui, que la majorité des décès liés au covid-19 en Algérie sont des non-vaccinés.
Parmi les 6.000 morts emportés par le virus que compte l’Algérie depuis le début de la pandémie, une grande majorité n’ont pas reçu leur première dose de vaccin. Un chiffre qui aurait pu être évité, insinue le spécialiste , qui appelle les citoyens à s’approcher des centre de vaccination.
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C’est dans le cadre du procès de l’affaire de la Holding Metidji que l’ancien premier ministre, Abdelmalek Sellal et l’ancien chef de protocole à la présidence de la République, Mokhtar Reguieg, ainsi que plusieurs autres hauts responsables de l’État, risquent d’être condamnés à plusieurs années de prison.
Hier mardi, le procureur de la République du tribunal de Sidi M’hamed (Alger) a requis de lourdes peines contre Sellal Abdelmalek, Reguieg Mokhtar, Metidji Hocine, Ali Haddad, mais aussi contre les deux anciens ministres de l’Agriculture Abdelouahab Nouri et Abdelkader Kadi.
Affaire Metidji : lourd réquisitoire contre Sellal et ReguiegSi le PDG de la Holding familiale, Hocine Masour Metidji, s’en est sorti du réquisitoire du parquet avec une peine de 10 ans de prison assortie d’une amende de 8 millions de dinars et d’une période de 5 ans d’inéligibilité, les peines prononcées à l’encontre de l’ancien premier ministre et de l’ex- chef de protocole à la présidence de la République, sont un tantinet plus lourdes.
En effet, en ce qui concerne Abdelmalek Sellal, il risque de passer en prison 10 ans de prison supplémentaires, le tout assorti d’une amende d’un million de dinars et de 5 ans d’inéligibilité. Dans le cas de Reguieg, le parquet à requis la même peine.
Si Sellal a nié en bloc les accusations portées contre lui, et a surtout affiché une grande fatigue lors du procès, Reguieg quant à lui a vu sa fortune dévoilée par le juge. L’ancien chef du protocole de la présidence de la république, et plusieurs fois ambassadeur, possède appartements, villas et immeubles, mais aussi un compte bancaire ou il y a plus d’un million d’euros. Tout ses bien risquent d’être confisqués.
Les deux anciens ministres de l’Agriculture, ainsi que dans le cas de l’homme d’affaires Ali Haddad, accusé d’avoir reçu de l’argent des Metidji pour financer la campagne des Bouteflika, le procureur a requis 8 ans de prison assortie d’une amende d’un million de dinars.
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L’international algérien Riyad Mahrez ne cesse d’impressionner à travers ses performances avec l’équipe nationale d’Algérie mais également avec son club anglais, Manchester City, de quoi épater ses supporters, effrayer ses adversaires et offrir du show aux amoureux du ballon rond.
En effet, le chouchou des Citizens a été élu joueur du mois de décembre. Auteur de quatre buts, trois passes décisives et des performances exceptionnelles, il est actuellement le meilleur buteur de son club avec 13 buts en 25 matchs, méritant amplement sa nouvelle distinction.
Le « player of the month » a obtenu 80% des 36 000 votes enregistrés, dépassant ainsi ses coéquipiers Kevin De Bruyne (11%) et Raheem Sterling (9%). Suite à cette nouvelle distinction, les médias du club ont organisé un concours qui permettra aux fidèles supporters des skyblues de gagner un maillot du club dédicacé par Mahrez.
Mahrez face à la Sierra LeoneLes Verts ont été déçus suite au score nul (0-0) contre la Sierra Leone, lors du premier match de l’EN dans le cadre de la 33ème édition de la Coupe d’Afrique des nations ( CAN 2022 ). Alors que les champions en titre devaient entamer cette compétition avec une victoire, leur adversaire a entravé leurs tentatives de marquer à maintes reprises. Le capitaine des Verts a joué 90 minutes à Douala, au cœur du meilleur jeu algérien.
Après le match, l’ailier de Man City a tenu à rassurer les supporters de l’équipe nationale à travers une publication sur son compte Instagram où il a écrit « certes, ce n’était pas le début escompté, mais nous pouvons et nous allons faire mieux dans l’avenir ».
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On fête aujourd’hui le premier jour de l’année berbère, un calendrier agraire millénaire adopté en Afrique du Nord depuis plusieurs siècles. Il s’agit d’une journée chômée et payée en Algérie, ou la fête de Yennayer a été officialisée depuis 2017, sans pour autant faire l’unanimité au sein de certains milieux.
Aujourd’hui, le 12 janvier 2022, le premier ministre et ministres des Finances, Aimene Benabderrahmane, dans un Tweet, largement relayé sur les réseaux sociaux, n’a pas hésité à souligner l’importance de la fête de Yennayer pour le pays, et la valeur que cette célébration revêt pour la société.
Yennayer : « Sur les pas de nos aïeux »Benabderrahmane, dans son tweet à l’occasion du nouvel an berbère, a tenu à souhaiter la bonne année à l’ensemble des Algériens et des Algériens en usant des deux langues nationales et officielles, l’arabe et le Tamazight. Le premier ministre a également expliqué pourquoi la fête de Yennayer reste un important atout pour l’Algérie.
« Le nouvel an amazigh 2972 est arrivé, et la célébration de Yennayer, sur les pas de nos pères et grands-pères, a un goût particulier », a écrit le premier ministre dans son tweet publié ce mercredi. Le haut responsable ajoute que la fête de Yennayer revient « à faire revivre notre héritage ancestral ».
Il fait aussi savoir qu’il souhaite que cette célébration soit « plus profondément enracinée dans notre société comme l’une des composantes de l’identité algérienne et comme une expression de la diversité culturelle de notre pays ».
Pour conclure, Benabderrahmane a écrit « Assegas Amegaz, Assegas Amervouh, à tous les Algériens à l’intérieur ou à l’extérieur du pays, et je prie dieu que « l’année » soit porteuse de biens et de bénédictions sur nous tous ».
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De nos jours, une montée de violence inquiétante est constatée, où les plus faibles sont des proies à l’instar des enfants et des femmes. L’année 2021 était une année sanglante pour ces femmes, où 55 féminicides ont été recensés.
Souvent, ces crimes sont commis par un homme proche de la victime, un frère, un père ou un conjoint, qui décide de mettre fin à la vie d’une personne. Alors qu’on demeure expectatif, espérant que cette année soit différente de la dernière, on enregistre dans le premier mois de 2022 un deuxième féminicide.
Ce crime a eu lieu à Ighil Oumenchar, dans la commune de Taghzout de la wilaya de Bouira. Il s’agit de Louiza Hamadache, une femme âgée de 65 ans, qui a été tuée par son propre fils. Louiza était maman de cinq enfants, cette dernière a reçu des coups dans la tête de la part de son fils, ces coups répétitifs lui ont causé la mort.
Le deuxième du mois de janvierSelon Féminicide Algérie, ce meurtre est le deuxième du mois de janvier. Le premier a eu lieu à la wilaya d’Oum El Bouaghi, dans la commune de Fekrina. Un crime odieux, dont la victime était Mensouri Hafida, une jeune infirmière. En effet, la trentenaire a été d’abord portée disparue, avant d’être brûlée et enterrée.
Les services de gendarmerie ont pu déterminer certains suspects. Malheureusement les circonstances de cet acte abject demeurent inconnus.
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La dématérialisation des services bancaires se poursuit pour Natixis Algérie dont l’objectif est de simplifier l’accès aux services bancaires. Aujourd’hui, pour l’ouverture d’un compte bancaire, Natixis Algérie, à travers Banxy, recourt à l’intelligence artificielle afin de proposer un parcours 100% en ligne, rapide et sécurisé : une prise de photo du dossier client et un selfie vidéo suffiront désormais pour ouvrir un compte bancaire sans se déplacer.
L’intelligence artificielle permet aux métiers de la banque et de la finance d’accélérer leur transformation numérique : des services de plus en plus nombreux, des accès en mobilité 24h/24 et 7j/7, des parcours client fluides et rapides. C’est dans ce contexte que la banque Natixis Algérie a amorcé sa transformation à travers le lancement de sa banque mobile Banxy en 2018. Quatre ans après, Banxy revient avec une solution innovante favorisant encore plus la simplicité d’utilisation et l’autonomie de la clientèle.
Il s’agit d’une première dans l’écosystème bancaire en Algérie. Natixis Algérie rend disponible l’ouverture d’un compte à distance en utilisant une solution d’intelligence artificielle, hébergée intégralement en Algérie qui permet :la reconnaissance du client, la détection de l’authenticité des documents ainsi que la reconnaissance automatique des caractères OCR.
A travers cet investissement, Natixis Algérie franchit une nouvelle étape dans l’évolution de l’offre de sa banque mobile Banxy et réaffirme son ambition d’être une banque référence en termes d’innovation, avec une démarche tournée résolument vers la mise en marché de services à forte valeur ajoutée, qui participe à l’effort sectorielle de bancarisation en rendant l’accès à des services bancaires de qualité plus simple pour tous : Algériens résidant en Algérie, Algériens résidant à l’étranger, et étrangers résidant en Algérie.
Une facilité déconcertante
Après avoir téléchargé l’application Banxy, il suffit de renseigner le formulaire de connaissance client en ligne, de prendre en photo via son smartphone les documents d’identité et justificatif de résidence et enfin réaliser un « selfie vidéo » de quelques secondes. La procédure est 100 % mobile, entièrement sécurisée et accessible via l’application mobile bancaire à tout moment 7j/7 et 24/24.
Le compte sera opérationnel, dès la vérification du dossier par un gestionnaire de compte et la signature par le client des documents contractuels envoyés à son domicile. Le parcours de souscription prévoit également un entretien pour renforcer la connaissance client.
Cette nouvelle expérience client offre une totale autonomie à une cible de clientèle de plus en plus grandissante, déjà convaincue par une offre complète et accessible au plus grand nombre d’utilisateurs.
Pour rappel, le titulaire du compte Banxy pilote ses finances personnelles et ses moyens de paiement depuis l’application mobile. Celle-ci est dotée de nombreuses fonctionnalités, comme la visualisation instantanée des opérations et le suivi en temps réel du solde du compte, l’ouverture en ligne et en temps réel de comptes épargne et devises, la commande et la gestion des cartes CIB et VISA, …
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C’est sur fond de crise et de pénuries que les Algériens ont entamé cette nouvelle année 2022. Après l’huile, le pain, les prémices d’une pénurie de lait et de ses dérivés ont semé l’inquiétude au sein de plusieurs citoyens.
C’est pour mettre fin à ce climat d’incertitude que le ministre du Commerce, Kamel Rezig, a tenu à rencontrer hier mardi, les directeurs régionaux de son département.
Le ministre du Commerce a profité de cette rencontre, pour donner de nouvelles directives qui pourraient atténuer les pressions que connaissent certains produits de large consommation, au niveau du marché algérien.
Le communiqué du ministère du Commerce« Le Ministre du Commerce et de la Promotion des Exportations, M. Kamal Rizig, a présidé ce soir, mardi 11 janvier 2022, via visio-conférence, une réunion de coordination…, dédiée à assurer le suivi de l’approvisionnement des marchés en produits de large consommation », fait savoir un communiqué du ministère du Commerce.
Le même document précise que Rezig a ordonné de « maintenir une disponibilité immédiate et un suivi permanent, notamment pendant les jours fériés officiels et hebdomadaires », et qu’il a invité « à redoubler et intensifier les efforts, notamment auprès des partenaires et des professionnels, afin de lutter contre les pratiques commerciales illégales ».
Pour conclure, le communiqué du Ministère indique que Rezig a ordonné de « renforcer le contrôle pour mettre fin à la spéculation et à la monopolisation des marchandises » et de « doubler de la production de certains produits qui connaissent ces derniers jours des déséquilibres de distribution et une pression sur la demande ».
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