Les férus de théâtre se sont régalés avec la représentation théâtrale Ness el Leil, produite cette année en partenariat avec le Théâtre régional de la wilaya de Skikda et la coopérative d’art comique El Marah.
Les deux acteurs du spectacle, à savoir Rider, un gardien d’immeuble, et Swida, gardien de parking, ont réussi, durant la nuit de mardi à mercredi à la maison de la culture M’barek-El-Mili de Mila, en une heure et dix minutes, à retracer et disséquer une série de phénomènes négatifs qui se déroulent la nuit dans la sphère restreinte dans laquelle ils travaillent.
Chaque gardien racontait à l’autre ce qu’il a vécu durant son activité nocturne sous un style comique qui a amusé le nombreux public venu se divertir et apprécier les nouveautés présentées dans le domaine théâtral. Ecrit et réalisé par Mohamed Chouat, de la wilaya de Sidi Bel-Abbès, le spectacle aborde plusieurs sujets de société tels que le poids de la religion, les cours de soutien et l’exploitation des élèves et leurs parents par certains enseignants, la corruption des mœurs et son impact sur la société, autant de phénomènes sociétaux observés chez les habitants de l’immeuble veillé par Rider, considérés comme sa boîte noire.
Selon l’acteur Mouloud Cherifi, qui a interprété le rôle de Swida, cette représentation est une projection de la réalité, traitant des dissensions entre les deux personnages et la catégorie représentée par le reste de la société qui s’adonne à des comportements négatifs observés par ces mêmes gardiens qui abondent dans des critiques hilarantes.
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Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme a dénoncé hier l’«augmentation significative» de la répression des dissidents en Égypte, jugeant que les détentions arbitraires y sont devenues un «problème chronique».
Le régime de Abdel Fattah al-Sissi est régulièrement accusé par les défenseurs des droits de l’Homme de violer les libertés publiques et de museler la presse comme les opposants. Le gouvernement égyptien nie ces accusations, et met en avant la lutte contre le «terrorisme» et la nécessité d’une stabilité politique en Égypte.
Mais le Haut-Commissariat de l’ONU a mis en garde hier contre une «nouvelle campagne d’arrestations, d’interrogatoires et de détentions de militants, blogueurs et journalistes en Egypte» au cours des dernières semaines.
Cela «semble indiquer une augmentation significative de la répression des droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion dans le pays», a déclaré la porte-parole de l’institution onusienne, Ravina Shamdasani, lors d’un point de presse à Genève.
Elle a expliqué qu’une longue liste de blogueurs, de journalistes, d’avocats et d’éminents activistes figuraient parmi ceux qui ont été détenus depuis que le Procureur Général égyptien a ordonné en février de surveiller les sites de médias sociaux qui «diffusent des mensonges et des fausses nouvelles».
Dans de nombreux cas récents, les personnes étaient arrêtées sans mandat, selon le Haut-Commissariat. «Nous sommes extrêmement préoccupés par le fait que de telles arrestations, souvent suivies de peines sévères, (…) sont devenues courantes», a dit Mme Shamdasani, faisant valoir que «la détention arbitraire est devenue un problème chronique en Égypte». Figure de l’opposition en «Égypte, Hazim Abdelazim a été arrêté fin mai, quelques jours après le placement en détention préventive du blogueur et journaliste Waël Abbas. Un autre blogueur, accusé de «prôner l’athéisme», Chérif Gaber, ou encore un jeune auteur de vidéos satiriques sur YouTube, Chadi Abouzeid, ont également été arrêtés début mai.
L’Union européenne a dénoncé les arrestations d’opposants et de personnalités de la société civile en Egypte après la réélection, en mars, du président Abdel Fattah al-Sissi, avec plus de 97% des voix.
La chute de l’ancien président égyptien Hosni Moubarak, à la faveur du soulèvement populaire de 2011, a plongé l’Égypte dans la crise politique et économique.
M. Sissi a pris la tête du pays lors des élections de 2014, un an après la destitution par l’armée, qu’il dirigeait alors, du président islamiste Mohamed Morsi .
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Injaz El Djazair revient avec une troisième édition du programme «More than Money» en collaboration avec Hsbc, les 7 et 10 juin prochains auprès de l’école In-Tuition. Le programme «More than Money» est un programme de six séances enseignant à des élèves âgés de huit à 12 ans les rudiments essentiels de la gestion de l’argent et des finances, à travers des jeux simples et dynamiques. Ce programme, d’une durée de 4 à 5 heures, est enseigné par un coach bénévole mis à disposition par la Hsbc. Parmi les thèmes abordés, l’on retrouve le profit, les dépenses, l’épargne et les donations ainsi que les différents types de business. Injaz El Djazair entend ainsi faire bénéficier 200 élèves de ce programme pour cette édition 2018.
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Le ministère américain de la Justice a annoncé son intention de faire appel d’un jugement fédéral qui a conclu que le Président Donald Trump ne pouvait bloquer ses détracteurs sur Twitter.
L’avis d’appel, enregistré lundi devant un tribunal de New York, fait référence à la décision de la juge new-yorkaise Naomi Reice Buchwald, rendue le 23 mai.
Cette magistrate a estimé que M. Trump n’avait pas le droit d’empêcher ses critiques de s’abonner à son compte Twitter personnel.
Ce revers judiciaire infligé au Président a été remarqué, tant Donald Trump s’est approprié ce réseau social qu’il présente souvent comme sa seule arme face à une pseudo-coalition de médias qui lui seraient hostiles.
La possibilité de réagir aux fréquents tweets présidentiels, en les commentant, s’inscrit dans l’exercice de la liberté d’expression protégée par le premier amendement de la Constitution, a assuré Mme Buchwald dans son jugement.
Ce dossier est né d’une plainte déposée par le Knight Institute, une organisation de défense de la liberté d’expression dépendant de l’Université de Columbia, au nom de sept personnes «bloquées» par M. Trump.
Le blocage les empêchait de voir les tweets postés quasi-quotidiennement par le Président, et d’y répondre directement.
A la suite du jugement du 23 mai, ces sept plaignants ont été «débloqués» par la Maison Blanche, a annoncé leur avocat, Jameel Jaffer.
L’un d’entre eux est Philip Cohen, un professeur de sociologie de l’Etat du Maryland, qui avait été bloqué en juin 2017, 15 minutes après avoir réagi à un tweet présidentiel en publiant une photo de Trump barrée des mots «Corrompu Incompétent Autoritaire».
«Nous nous sommes plaints. Nous avons assigné en justice. Nous avons gagné devant un tribunal fédéral sur le fondement du premier amendement de la Constitution. Et désormais DonaldTrump m’a débloqué. Ouah !», a tweeté M. Cohen.
Toutefois, «de nombreuses autres (personnes) restent bloquées» par Donald Trump, a souligné Jameel Jaffer.
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La Direction des affaires religieuses et des wakfs de la wilaya de Aïn-Témouchent a procédé hier, à la circoncision collective de 26 enfants issus de familles pauvres et nécessiteuses à l’Établissement hospitalier Dr Benzerdjeb.
L’opération a nécessité la mobilisation d’un staff médical complet pour assurer la santé des enfants, cette circoncision est une tradition ancrée dans la famille algérienne effectuée généralement lors des dix derniers jours du mois sacré de ramadhan, raison pour laquelle la direction précitée et en commun accord avec les autorités locales, et la collaboration de l’hôpital Benzerdjeb et quelques associations caritatives, des listes d’enfants ont été établies au préalable comme le souligne M. Laâouaredj Hamza, directeur des affaires religieuses, qui dira que cette opération est une tradition du peuple algérien, notre religion nous demande de faire cette opération dès le jeune âge des enfants.
Plusieurs personnes bénévoles ont participé à cette opération en offrant des habits aux enfants. Une deuxième opération devrait suivre la nuit du 27e jour de ce mois sacré au même endroit à savoir l’établissement hospitalier dr Benzerdjeb où un staff médical composé de 7 médecins spécialisés auront à effectuer ladite opération en plus des assistants pour assurer sa bonne réussite comme le confirme le dr Taâgoubi, directeur de l’EHP qui dira que ses services ont tracé un programme chargé jusqu’à la fin du mois de ramadhan en collaboration avec la direction de la santé, le travail se fait en fonction des listes nominatives des enfants inscrits au préalable. La première opération a été effectuée à la mosquée Zoubir- Ibn el-Aouam depuis 10 jours, où des enfants de cette cité ont été circoncis en attendant que d’autres associations viennent inscrire les noms des enfants. A l’heure actuelle, il existe 127 enfants inscrits concernés par la circoncision en attendant la réception des dossiers des concernés durant cette semaine et où le même staff médical constitué de docteurs spécialisés et de paramédicaux prendra en charge ces enfants dans le courant de ce mois sacré de ramadhan.
S. B
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Par A. Mallem.
Il ne reste plus qu’une dizaine de jours au ramadhan et les ménagères songent à la préparation des traditionnels gâteaux de l’Aïd. Toutefois, cette année, les choses ne se présentent pas de la meilleure façon à cause de la flambée des prix que connaissent les produits de base entrant dans la confection de ces mets qui doivent traduire une certaine classe et donner du prestige à celle qui les fait. Mais les ménagères ne se pressent plus devant les étals des marchands et ce malgré une baisse importante d’un des produits principaux, les noisettes qui servent surtout à la confection de plateaux de baklawa, ce gâteau qui est devenu très à la page dans les traditions citadines pour les fêtes.Et si le prix de ce produit est passé ces derniers jours de 4.000 à 2.800 dinars, les données n’ont pas changé pour les autres produits dont les prix sont restés au même niveau.
En effet, on pouvait trouver, hier, des noisettes à 2.800 dinars le kilo, mais aussi à 2.700, à 2.500 et même à 2.200, suivant la qualité du fruit. « Il y a eu un arrivage de noisettes de l’étranger et les marchands de gros d’Alger et de Sétif ont approvisionné le marché », nous a expliqué un commerçant pour expliquer cette baisse des prix. Mais malgré cela, les ménagères ne se pressent pas devant les boutiques des marchands parce qu’elles sont vite dissuadées par le reste de la « mercuriale » des prix affichés devant leurs yeux. Ainsi, les amandes américaines sont à 2.000 dinars le kilo, les mêmes amandes américaines, mais blanches, à 2.100, les amandes algériennes de meilleure qualité sont à 2.700 dinars et les cacahouètes brésiliennes sont à 300 dinars.
Les candidates à l’achat font rapidement le compte et décident finalement de réduire leurs achats en prenant un demi-kilo de ceci, un demi-kilo de cela, etc. Toutefois, nous avons rencontré au marché de la vieille ville de Souika une mère de famille qui avait procédé à l’achat d’une certaine quantité de noisettes. Mais elle nous avoua vite qu’elle est obligée de faire ce « sacrifice » car elle doit confectionner un plateau de baklawa qu’elle doit offrir, tradition oblige, à la fiancée de son fils qui compte convoler en justes noces cet été. « Sinon, je me serai contentée de faire un plateau de makroud juste pour faire dans la tradition et passer convenablement les fêtes de l’Aïd.
Et puis, a-t-elle ajouté comme pour justifier cette option, ne dit-on pas que le makroud est le roi du plateau (soltane essiniya) ? ».
Les commerçants de la place à qui nous avons posé la question, ont répondu de concert que ce nouveau phénomène est imputable au pouvoir d’achat des citoyens qui a considérablement baissé. « Les gens n’en peuvent plus, ont-ils dit. Ils font face à beaucoup de dépenses dans tous les domaines et au bout du compte ils n’arrivent plus à se payer ce genre de confiserie dont la préparation est devenue de plus en plus onéreuse à cause du renchérissement des produits de base. Alors, ils se rabattent sur les produits manufacturés, ces gâteaux sortis de l’usine qui reviennent moins cher et offrent une large variété».
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Par Mohamed Merzougui.
Une personne morte et une autre grièvement blessée dans un accident de la circulation, survenu dans la nuit de lundi à mardi, sur la RN 45, reliant la commune de Ouled Sidi Brahim à M’sila, au lieu-dit Bayada », a indiqué un communiqué des services de la protection civile. L’accident est survenu, lorsqu’ un véhicule utilitaire a dérapé. Les éléments de la protection civile ont évacué les victimes à l’hôpital ’Ezzahraoui’, de la ville de M’sila, alors que la gendarmerie nationale a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de l’accident.The post Msila: Un véhicule dérape, un mort et un blessé appeared first on .
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika décernera le8 juin la médaille du mérite nationalà 3 personnalités artistiques »ayant marqué le paysage culturel et artistique en Algérie et à l’étranger »,a indiqué lundi un communiqué du ministère de la Culture.
Lamédaille du mérite national estattribuée à la chanteuse Nouara. Lamédaille du mérite national seradécernée également au réalisateurFarouk Belloufa, décédé le 9 avrildernier à Paris à l’âge de 71 ans,auteur de l’inestimable productioncinématographique Nehla. Lamédaille du mérite national seraégalement décernée, à titre posthume,à la regrettée Sonia, de sonvrai nom Sakina Mekiou, femmede théâtre et comédienne décédéele 13 mai dernier à l’âge de 65 ans,en reconnaissance de son empreintesur le théâtre algérien à travers les dizaines d’oeuvres et sa participation à la gestion de ce théâtre
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Par Zakaria ZEMR.
La nouvelle taxe, estimée à 14 000 DA, servira à «couvrir les coûts d’acquisition et de maintenance des scanners».
«L’article 42 de la loi de finances 2018 a instauré un droit de scannage des conteneurs, estimé à 200 dinars (tunisiens, ndlr) et payé automatiquement à travers la souscription d’une déclaration «UC» relative aux unités de charges», ont expliqué les douanes tunisiennes, via l’agence de presse tunisienne TAP. Cette taxe équivaut à 14.000 DA et concerne les transporteurs de marchandises algériens. Ce «droit de scannage» concerne aussi «les unités de charges importées à travers les ports tunisiens sous le régime transit et orientées vers les passages frontaliers terrestres».
Cette mesure sera appliquée à tous les passages frontaliers équipés de scanners, et sera «appliquée progressivement» dans les autres passages frontaliers «en parallèle avec la mise en place des scanners spécifiques aux unités de charge», précise le communiqué publié par les douanes tunisiennes. Selon ces dernières, «cette procédure a été mise en place pour faciliter la vérification des cargaisons transportées par les véhicules entrant sur le territoire tunisien, qui auparavant pouvait prendre plusieurs jours», a expliqué Haythem Zannad, leur porte-parole, avant d’ajouter que «les douanes tunisiennes espèrent renforcer la sécurité des frontières et limiter toute importation de contrebande ou de produits illégaux». Cette taxe ne concerne évidemment que les poids lourds, et que «les bus et les véhicules touristiques sont exempts de cette imposition».
La Tunisie ne prendrait pas le risque de mécontenter le million de touristes algériens qui la visitent tous les ans. Le pays ne se relèverait pas d’un boycott de la destination Tunisie de la part des Algériens, surtout que ces derniers ne l’ont pas désertée même en période de troubles. Cette mesure représente néanmoins un pas en arrière dans l’avancée vers une zone de libre-échange, qui était la suite logique de l’accord commercial préférentiel. Elle constitue également un frein à la réalisation de tout projet d’intégration économique maghrébine. Cette taxe de 200 dinars tunisiens vaut-elle le coup au vu des volumes commerciaux échangés par les deux pays? Des mesures de rétorsion de la part de l’Algérie pourraient creuser encore plus le déficit de la balance commerciale que connaît la Tunisie dans ses échanges bilatéraux.
Espérons que la bienveillance reste de mise entre les deux pays.
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Ooredoo a organisé, à l’occasion du mois sacré de Ramadhan, et pour la onzième année, un Iftar en l’honneur de ses partenaires du secteur des médias et de la communication.
Cette rencontre conviviale s’est déroulée, le mardi 05 juin 2018 à l’hôtel AZ-Palm Beach à Alger, en présence notamment du ministre de la Communication, M. Djamel Kaouane, du Directeur général adjoint de Ooredoo Algérie, M. Abdullatif Hamad Dafallah, des cadres de Ooredoo ainsi que des responsables des médias algériens et des représentants du secteur de la communication.
L’occasion a été pour Ooredoo de présenter ses vœux de réussite et de prospérité pour ce mois sacré à l’ensemble de la famille de la presse algérienne.
Dans son allocution de bienvenue, M. Abdullatif Hamad Dafallah a relevé la diversité et la richesse du paysage médiatique algérien en mettant en avant le partenariat stratégique qui lie Ooredoo aux différentes entités du secteur national des médias amené à se développer davantage dans le futur.
Il rappellera à ce sujet les différentes initiatives menées par Ooredoo en direction des professionnels des médias, entre autres le concours Media Star, qui est à sa 12ème édition et le Club de Presse qui a assuré jusque-là une soixantaine de sessions de formations dans diverses thématiques.
Saisissant l’opportunité de cette rencontre avec les professionnels des médias, M. Abdullatif Hamad Dafallah a évoqué les questions relatives au secteur des télécommunications, en réitérant la volonté de Ooredoo d’offrir aux algériens le meilleur de la technologie mobile partout en Algérie grâce notamment à son réseau 4G efficace Ooredoo présente dans les 48 wilayas du pays. Faisant de Ooredoo le premier et le seul opérateur en Algérie à offrir les services 4G dans toutes les wilayas.
Il soulignera les réalisations de Ooredoo dans le marché national de la téléphonie mobile avec plus de 3000 employés et près de 100 000 postes d’emploi indirects et qui a gagné la confiance de plus de 14 millions de clients qui profitent d’une connexion Internet unique et exceptionnelle en termes de vitesse, de couverture et de débit.
Devenue une tradition à chaque Ramadhan depuis 2007, l’Iftar de Ooredoo est une initiative fortement appréciée par les professionnels des médias.
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Le recrutement a démarré fort à la JSK, malgré les difficultés rencontrées au départ. Cette fois, c’est désormais officiel, Abdelkader Salhi vient de parapher un contrat de deux années pour être le portier principal de l’équipe kabyle.
Rien n’a filtré sur les clauses financières du contrat mais des sources font état d’une somme qui bat les records des transferts déjà effectués en Algérie. Ce gardien, venu du CR Belouizdad, a pris plus d’un mois pour enfin apposer sa signature sur le contrat le liant aux Canaris pour les deux prochaines saisons. Aussi, après cette signature de contrat du gardien, l’on attend à Tizi Ouzou la concrétisation des transferts de toutes les recrues qu’on annonce depuis des semaines.
Depuis hier, c’est le nom de l’ex-joueur Khouthir Ziti qui circulait. Vu à Tizi Ouzou, nos sources affirmaient qu’il était dans la ville des Genêts pour négocier avec la direction de la JSK. D’autres noms sont encore espérés, à l’instar de Attal, que les supporters réclament avec insistance malgré son refus de retourner au championnat local, ce qui pousse les dirigeants de la JSK à écarter sa piste. Après le «fameux» Allemand qui a fini par ne pas exister du tout, les supporters sont orientés vers un autre filon. Cette fois, ce sont des négociations avec un entraîneur français dont le nom échapperait même à Doudène. Puis ce fut un entraîneur algérien, un enfant du club en la personne de Djamel Menad. Une piste plausible selon nos sources, mais qui bute sur un véritable inconvénient. Le coach adjoint de Rabah Madjer refuse d’entendre parler de négociations avant de voir les recrutements clos.
En effet, c’est pour cette raison que Menad a refusé de venir à la JSK du temps de Mohand Cherif Hannachi. Pour lui, aller s’aventurer avec un ordre de mission sans connaître les moyens avec lesquels il faut le réaliser est un non-sens pour un entraîneur qui craint pour son image de marque. C’est même de l’amateurisme avéré de Karim Doudène et Cherif Mellal d’aller demander à un entraîneur de venir avant d’avoir l’effectif. Aussi, la question de l’entraîneur restait encore en suspens hier alors que des voix, dont celle de Cherif Mellal annonçaient Doudène sur le point de s’attacher les services d’un entraîneur français. C’est un véritable dilemme pour le boss de la JSK qui doit faire face à une pression financière d’abord et à une autre, venant des supporters. En effet, Mellal doit garder le chéquier à portée de la main durant cette période de recrutements, tout en s’assurant de ne pas avoir à se mettre sur le dos les supporters qui commencent déjà à s’impatienter et grogner à cause de grandes failles dans la politique des recrutements. Sans date précise pour l’AG qui permettrait d’ouvrir le capital à d’autres investisseurs, le jeune président du club doit prendre sur lui les coûts financiers des contrats avec les joueurs et l’entraîneur, du moins les avances qu’ils demanderont sûrement. D’un autre côté, les supporters de la JSK, déjà sonnés par la vague des libérations qui a touché les cadres de l’équipe, attendent encore pour voir la qualité des recrues qui prendront la place des partants. Et c’est justement sur ce chapitre que les responsables des recrutements sont redevables devant les amoureux du club. Libérer des cadres pour aller supplier des joueurs de qualité égale ou inférieure est une méthode irréfléchie, de l’avis d’anciens joueurs et des supporters. De toute manière, les supporters ne comprennent pas l’opportunité de laisser partir un joueur pour le remplacer par un autre qui ne peut pas apporter un plus. Le cas des cadres comme Djabout, Raïah, Benaldjia et surtout Boultif est un indicateur flagrant d’incohérence dans la politique des recrutements.
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Par A. Mallem
Selon le chef du bureau de Constantine de la fédération des boulangers, M. Abdelaziz Bouguerne, l’apparition au cours de ce Ramadhan d’un phénomène inattendu se traduisant par un changement radical dans les habitudes alimentaires des citoyens constantinois a fait subir au secteur de la boulangerie des dommages importants. Ces dommages se sont traduits par la mévente du pain classique et par conséquent par la fermeture de plusieurs boulangeries qui, durant les journées de carême, ont travaillé à perte. Et, plus grave encore, cela a provoqué le départ des investisseurs qui s’étaient établis ces dernières années à Constantine en ouvrant des boulangeries pour fabriquer et commercialiser en permanence le pain dit « rotatif », cette variété , semble-t-il, n’étant plus prisée par les consommateurs. « S’il y a bien un secteur qui a subi des dommages durant ce Ramadhan c’est celui de la boulangerie. Durant ces 20 derniers jours, a-t-il affirmé, les boulangers de la wilaya ont subi de grosses pertes en pain cuit et en pâte préparée à la cuisson à cause des méventes », nous a révélé M.Bouguerne, hier, non sans une certaine inquiétude. Selon lui, le coupable du désastre est bien la galette maison, fabriquée maintenant quotidiennement par les ménagère et très prisée par les consommateurs auxquels elle est servie chaude. Ils la préfèrent désormais au pain classique ou amélioré. « De nombreux boulangers ont fermé boutique », a poursuivi notre interlocuteur. « Au début de Ramadhan, nous avions mobilisé sous la contrainte plus de 170 boulangers de la wilaya en leur assignant la mission de fabriquer le pain pour couvrir les besoins de la population durant cette période. Ces derniers ont travaillé à côté des quelques investisseurs qui sont venus d’autres wilayas et se sont établis à Constantine pour ouvrir des boulangeries au centre de la ville et dans les quartiers périphériques pour fabriquer plusieurs variétés de pain et mettre fin au déficit dont souffrait la wilaya. Aujourd’hui, à une dizaine de jours de la fin du mois de carême, il ne reste plus qu’une trentaine de ces boulangeries qui sont ouvertes », indique-t-il. « Quant aux investisseurs, au nombre de cinq, ils ont tous fermé parce qu’ils n’ont trouvé personne à qui vendre leur pain rotatif », a révélé notre interlocuteur.
Ajoutant qu’ « il est peu probable qu’ils reviennent après le Ramadhan, puisqu’ils ont mis en vente leur matériel de boulangerie ».
Voulant savoir pourquoi les boulangers ne fabriquent pas, eux aussi la galette maison, notre interlocuteur a rétorqué qu’ils avaient effectivement pensé à cette alternative, mais ils se sont heurtés à des difficultés autant techniques qu’économiques. « Franchement, la wilaya n’a jamais connu un tel désastre pendant le Ramadhan. C’est imprévisible et totalement inédit ! », s’est écrié le représentant de la fédération des boulangers.
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L’entreprise publique autrichienne OMV et le groupe russe Gazprom ont décidé mardi de prolonger leur contrat d’approvisionnement de gaz de 2028 à 2040. Ce contrat a été signé au cours de la visite du président russe Vladimir Poutine en Autriche. Lors d’une conférence de presse conjointe avec le chancelier autrichien Sebastian Kurz, M. Poutine a estimé qu’avec cette signature, la coopération mutuelle était davantage sécurisée. Elle coïncide par ailleurs avec le 50e anniversaire de la première livraison de gaz russe vers l’Autriche.
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Une ancienne ministre roumaine, Elena Udrea, qui a défié la justice de son pays en se réfugiant au Costa Rica, a été condamnée en appel mardi à six ans de prison pour corruption. L’ancien président de centre droit (2004-2014), Mme Udrea, 44 ans, avait annoncé en février avoir demandé l’asile au Costa Rica, se disant « victime d’un procès politique ». L’ex-ministre, considérée comme l’une des personnes les plus influentes de Roumanie, était accusée d’avoir reçu des pots-de-vin de la part de plusieurs hommes d’affaires dans le cadre du financement d’un gala de boxe en 2011.
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Dans la mosaïque partisane nationale, chaque parti veut appliquer son propre agenda sans tenir compte de la réalité politique nationale.
Anesthésiée par le Ramadhan et bientôt assommée par les vacances d’été, la classe politique ne semble pas trouver sa voie. Sur le marché des propositions, celles-ci foisonnent pourtant et chaque parti y va de son «plan de sortie de crise».
Du consensus national du FFS, remis, hier, au goût du jour par Ali Laskri, à la «grande initiative» de conférence nationale, initiée par le MSP, en passant par l’Assemblée constituante du Parti des travailleurs, la scène nationale donne tout de même une fausse impression de dynamisme. Et pour cause, aucun début de réalisation de tous ces projets n’est visible, que ce soit auprès de l’opinion nationale qu’au niveau des états-majors des partis. Dans la mosaïque partisane nationale, chaque parti veut appliquer son propre agenda sans tenir compte de la réalité politique nationale.
Les réformes politiques initiées et mises en oeuvre par le président de la République ont certes abouti à une Constitution plus démocratique, mais il se trouve que le nouveau cadre politique semble encore inopérant pour la simple raison que les partis auxquels est destinée la nouvelle architecture institutionnelle donnent l’impression d’être plus préoccupés par des questions de pouvoir et de son partage que par l’édification d’un authentique Etat de doit au sens plein du terme. La récente décision du MSP qui consiste à lancer une vaste opération de contacts avec l’ensemble des forces nationales, participe de cette logique étroite de se construire un strapontin, le plus solide possible, pour s’assurer une place au sommet. Le MSP qui a échoué, avec ses amis de la Coordination pour les libertés et la transition démocratique à se poser comme un contre-poids suffisamment fort pour «impressionner» l’opinion et la classe dirigeante, entend ouvrir le «consensus national», au pouvoir. Le président du MSP admettra même que, sans le pouvoir, rien ne peut être réalisé.
Cet appel du pied, quelques années après avoir refusé une offre en bonne et due forme pour entrer au gouvernement, replace le MSP dans une posture de «quémandeur», mais cette fois, «enjolivé» par un processus que Makri souhaiterait, bien plus large, et donc «différent» de ce qu’on a proposé à son parti en 2014.
Dans cette nouvelle offre politique, le MSP voudrait prendre la tête du «pôle» partisan qui fera face au pouvoir, dans ce qui pourrait s’apparenter à un dialogue novateur. Tout cela pourrait être envisageable, sauf que le pouvoir a son propre agenda qui s’accorde parfaitement avec le fonctionnement et le renouvellement des institutions de la République. Lui demander de s’en défaire, au risque de créer une crise politique sérieuse, est inadmissible dans un contexte national et régional très délicat. Il n’y a pas que cela en réalité.
Quand bien même la majorité présidentielle serait ouverte à un débat sur la question du pouvoir, personne en l’état actuel des choses n’est en mesure de garantir un comportement responsable de toute la composante de l’opposition. Et pour cause, celle-ci étant profondément divisée, les partis qui suivraient le MSP n’en représenteraient qu’une portion congrue. Des formations comme le PT et le FFS, ainsi que le Front El Moustaqbel, pour ne citer que les plus actifs, refuseront le leadership du MSP.
Mais ces trois formations, ainsi que bien d’autres, ne pèsent pas grand-chose et savent qu’une élection présidentielle ne se gagne pas sur des intentions fussent-elles bonnes. Il faut un vrai candidat, c’est d’ailleurs ce qui fait cruellement défaut à une opposition très éclectique, tant au plan idéologique qu’en termes d’action sur le terrain. La seule personnalité s’approchant du profil de fédérateur, après le décès de Ait Ahmed et le retrait de Hamrouche, qui se trouve être Benflis, n’est pas parvenu à consolider son «Front du changement» qu’il a initié avec quelques petits partis politiques. Son échec à rallier les partis traditionnels a signé sa défaite définitive, notamment après la mort de l’Instance de suivi et de coordination de l’opposition (Isco).
Devant cet éparpillement des forces politiques et l’impossibilité pour chacun de peser sur la présidentielle, la logique partisane s’est donc focalisée sur des concepts, pas toujours admis dans un contexte républicain «normalisé». N’étant pas outillé pour mener une sérieuse campagne électorale pour parvenir au pouvoir par la volonté des électeurs, les partis de l’opposition, visiblement pressés de tester une alternance qu’ils n’ont pas su construire, en sont arrivés à conclure que sans le pouvoir, rien ne peut se faire.
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Ahmed Gaïd Salah, viceministre de la Défense nationale,chef d’état-major del’Armée nationale populaire(ANP), effectueraaujourd’hui une visite de travailet d’inspection à la 12eDivision d’infanterie mécaniséeà Djelfa et jeudi au siègedu
Commandement de la 1reRégion militaire à Blida,indique un communiqué duministère de la Défense nationale(MDN).Cette visite, qui « entre dansle cadre du suivi de l’exécutiondes programmes de préparationau combat au titre de l’année 2017/2018, sera une opportunité durantlaquelle le Général de corpsd’armée aura à inspecterquelques unités et tenir des réunions d’orientation avecles cadres et les personnels de la Région », précise-t-on de même source.
Par : R. N.The post 1re région militaire: Gaïd Salah en visite de travail et d’inspection appeared first on .
Aux yeux de ce membre du présidium du FFS, la situation du pays «est critique et fragile, et l’erreur n’est plus permise aujourd’hui».
Le consensus national semble être devenu le seul leitmotiv du plus vieux parti d’opposition, le Front des forces socialistes. Les responsables du parti semblent même s’être lancés dans une véritable campagne en faveur de son projet. Hier encore, Ali Laskri, membre du présidium du FFS, a profité de l’occasion de sa présence dans la wilaya de Tizi Ouzou pour parler et défendre cette option chère au parti du regretté Hocine Ait Ahmed. Ainsi, Ali Laskri a encore lancé un énième appel pour un véritable consensus national qui impliquera les différentes composantes du paysage politique et les partisans algériens. «Toutes ces parties devraient prendre conscience des périls qui guettent le pays», a tonné Ali Laskri ayant rebondi
triomphalement au-devant de la scène politique suite au dernier congrès du parti. L’orateur a rappelé que le FFS avait déjà entamé ce travail en menant un immense travail dans ce sens en 2014, envers l’ensemble de la classe politique et les différents acteurs sociaux, les appelant à converger vers un consensus et trouver une solution politique pour la crise que vit le pays. Ali Laskri, qui s’exprimait ainsi, était présent à un hommage rendu à un ancien militant du FFS, dans la commune de Frikat (daïra de Draâ El Mizan). Abondant dans le même sens, Ali Laskri n’a pas raté cette occasion pour rappeler que lors du récent 5ème congrès de son parti, tous les participants ont convergé vers l’idée selon laquelle la seule solution à la crise politique du pays demeure ce consensus national. «Beaucoup d’acteurs politiques parlent de consensus, mais il ne faut pas que celui-ci soit vidé de son sens. C’est bien qu’il y ait une évolution de la classe politique vers l’idée de consensus, mais il faut faire preuve d’une grande solidarité pour construire le véritable consensus», a ajouté Ali Laskri. Ce dernier a estimé que le projet de consensus national devrait être impérativement accompagné de l’instauration d’un Etat de droit qui garantira l’ensemble des droits, politiques, sociaux et économiques des citoyens, et qui fera naître des espoirs communs. Au yeux de Ali Laskri, la situation du pays «est critique et fragile, et l’erreur n’est plus permise aujourd’hui». Ali Laskri a averti en outre qu’en cas d’échec de ce projet de consensus national, nul n’a le droit d’imputer la responsabilité au seul FFS parce qu’il faut le concours de tous les acteurs de quelque bord qu’ils soient. «Ces acteurs politiques doivent prendre conscience des périls qui guettent le pays», a indiqué l’ancien premier secrétaire du FFS. Concernant l’hommage au militant du FFS, Ali Laskri a insisté sur la nécessité du devoir de mémoire car, a-t-il expliqué, «il faut se rappeler de tous ceux qui se sont sacrifiés pour ce pays, hier comme aujourd’hui». Ali Laskri, en sa qualité de responsable du FFS, ne pouvait pas intervenir à Frikat sans rendre hommage à l’ancien président de l’Assemblée populaire de la wilaya (APW) de Tizi Ouzou, Rabah Aïssat, assassiné près de Frikat, à Aïn Zaouïa, suite à un attentat terroriste. ««La région de Drâa El Mizan a donné les meilleurs de ses enfants pour l’Algérie», a indiqué l’orateur. C’est la deuxième sortie d’un parti politique dans la wilaya de Tizi Ouzou en ce mois de Ramadhan. Pour rappel, le Front de Libération nationale (FLN) avait tenu un important regroupement, samedi dernier, au Centre des loisirs scientifiques de la ville de Tizi Ouzou en présence de Djamel Ould Abbès, le secrétaire général du parti, ainsi que de tous les membres du bureau politique et des élus.
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