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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Difficultés

Wed, 07/25/2018 - 16:34

Les services de l’EPIC Hurbal ont du mal à mener à bien la lutte contre le moustique tigre. Le personnel masculin arrive difficilement à se faire accepter à l’intérieur des domiciles infestés par les larves. Les propriétaires exigent un personnel féminin, ce qui a poussé les responsables de l’EPIC à mobiliser du personnel non-qualifié pour la lutte anti-vectorielle.

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Relizane: Les lauréats des examens primés

Wed, 07/25/2018 - 16:33

Les lauréats des différents examens des trois paliers, de la wilaya de Relizane ont été récompensés par la wilaya de Relizane en étroite collaboration avec la Direction de l’éducation nationale durant la soirée du lundi.
Le siège de la wilaya de Relizane a vécu, dans la soirée de ce lundi, au rythme d’une grandiose cérémonie en l’honneur des meilleurs lauréats aux différents examens.
Cette réception, organisée par la wilaya et à laquelle ont été conviés les lauréats, leurs parents, et la famille de l’éducation, a le mérite d’encourager l’apprentissage, le savoir et de reconnaître les efforts consentis par l’ensemble des acteurs de l’éducation dans la wilaya de Relizane, classée en cinquième position au niveau du territoire national avec un taux de 52,69%.
Dès le début, le premier magistrat s’excusera auprès des élèves non invités : «Tout d’abord, nous voulons, par ce geste, saluer les efforts des élèves, de leurs parents et des enseignants qui ont eu à mener la barque à bon port. Chapeau bas devant les fabricants des esprits.» C’est ainsi que l’on commença à honorer les lauréats des différents cycles.
Les ovations et les applaudissements se firent entendre à chaque remise de diplôme et de cadeau.
Pour terminer en beauté, une collation a été offerte aux présents.
A. Rahmane

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Mme Aslaoui nous écrit

Wed, 07/25/2018 - 16:31

Monsieur Arezki Metref a consacré sa chronique (Soir d’Algérie du 22 juillet 2018) à «Raconte-Arts» de Tifferdoud.
Ayant honoré l’invitation que M. Metref (un autre et non Arezki) m’avait adressée, j’ai eu le plaisir le 21 juillet de faire de belles rencontres, d’assister à des débats littéraires fort intéressants et revu des amis. Une magnifique journée avec des paysages d’une beauté exceptionnelle. A l’activité-débat «Un livre, un auteur», mon recueil de nouvelles Raison garder (Média-plus 2018) a été présenté par une modératrice, madame Catherine Pinoteau, puis j’ai répondu à toutes les questions du public.
Ma participation a été résumée ainsi par le chroniqueur Arezki Metref : «Leïla Aslaoui avec son  visage de tragédienne et sa voix douce d’héroïne raconte l’humilité avec laquelle elle est venue à la littérature».
J’avoue avoir trouvé le mot «TRAGEDIENNE» fort déplaisant parce qu’il ne me sied pas du tout. A Tifferdoud comme dans ma vie, je n’ai jamais été une actrice cherchant à interpréter un rôle de tragédienne encore moins celui d’une héroïne. Ceux qui me connaissent savent que tout en moi est authentique sans faux-semblants, sans comédie, sans visage de circonstance.
Peut-être que nous n’avons pas le même sens du terme tragédienne, M. Arezki Metref et moi…
Cordialement.
Leïla Aslaoui-Hemmadi

Il ne me serait jamais venu à l’idée d’écrire quoi que ce soit qui puisse porter préjudice à Leïla Aslaoui pour qui j’ai de l’affection et de l’admiration.
En tout bien tout honneur, j’ai dit de son visage qu’il était celui d’une tragédienne, c’est-à-dire qui réunit grandeur, noblesse et douleur digne, et non comédienne. Mais s’il ne lui plaît, je le retire volontiers.
Arezki Metref

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Le prix des viandes blanches en hausse: Le poulet à 400 DA à Jijel

Wed, 07/25/2018 - 16:30

Les prix des viandes blanches ont connu une hausse ces derniers jours sur le marché local dans la wilaya de Jijel.
Le prix de poulet a atteint 400 DA le kilogramme, hier lundi, chez les vendeurs des viandes blanches au marché du centre ville de Jijel alors qu’il était à 300 DA le kilogramme il y a une semaine. Lors de notre virée au marché des fruits et légumes situé dans le quartier de Village Moussa, nous avons constaté que les prix de poulet varient entre 390 et 400 DA chez les marchands longeant ce quartier populaire.
Interrogé par nos soins sur cette flambée des prix qui s’installe dans la durée chaque été , un jeune vendeur des viandes blanches l’attribue à la vague de chaleur qui sévit actuellement, provoquant la mort des milliers de poussins à l’échelle de wilaya ; soulignant que de nombreux poulaillers se trouvant dans les régions montagneuses sont dépourvus des climatiseurs et de système de ventilation, ce qui provoque des pertes aux professionnels des viandes blanches ; ajoutant que pour compenser leurs pertes , les vendeurs procèdent à l’augmentation des prix. Rachid , un vendeur de poulet dans la région de Taher, nous a affirmé qu’un de ses collègues a perdu 500 poussins. Imaginez-vous ces pertes sans compter les autres charges dont entre autres la location du poulailler, les charges d’électricité ? D’autres par contre estiment que cette hausse des prix s’explique par la baisse de la production et la forte demande sur les viandes blanches due au grand flux de milliers d’estivants sur la wilaya de Jijel.
Notons enfin que cette hausse des prix pénalise lourdement les bourses moyennes dont le pouvoir d’achat est déjà touché par les effets de la crise.
Bouhali Mohammed Cherif

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Blocage du projet de réalisation de la zone industrielle de Souamaâ (Tizi-Ouzou): Le RCD dénonce la position de l’administration

Wed, 07/25/2018 - 16:26

Inscrit et approuvé par un décret exécutif publié au Journal officiel, en 2012, le projet de réalisation d’une zone industrielle à Souamaâ, à une vingtaine de kilomètres à l’est de Tizi-Ouzou, n’est pas près de connaître une traduction sur le terrain.

Sur fond de polémique, le projet se perd dans un imbroglio juridique opposant l’Etat et un groupe de citoyens d’Aït-Zellal, dans la commune de Souamaâ, réunis en association.
Ces derniers revendiquent la propriété des terres sur lesquelles devait être érigée la zone industrielle, se fondant sur des documents juridiques datant de l’époque coloniale.
Dans une conférence de presse organisée hier, des élus locaux et parlementaires du RCD relancent la controverse et chargent l’Etat et ses services (la Direction des Domaines) accusés de «blocage délibéré et illégal» de ce projet présenté comme vital pour le développement socioéconomique de la wilaya. Sûr de son fait, le RCD, qui dit avoir mené des investigations nécessaires pour cerner le dossier dans ses dimensions juridique et foncière, n’y va pas par trente-six chemins pour accabler l’Etat, notamment la Direction des Domaines qui oppose son veto à l’opération du balayage cadastral que devait mener la direction éponyme (la Direction du Cadastre) dont le travail permettrait l’élaboration des documents juridiques nécessaires à l’indemnisation des citoyens qui se disent propriétaires en vertu de décisions et d’actes juridiques datant de l’époque coloniale (grosse de jugement définitif, datant du 4-4-1895 et rendu en leur faveur dans un procès qui a opposé leurs aïeux à l’administration coloniale et qui indiquent avoir exercé leur droit de jouissance durant un siècle sur les terrains objet d’expropriation pour utilité publique) relatent les animateurs de la conférence de presse qui précisent que ces citoyens ne s’opposent pas au versement de ces terres au profit de la création du projet de zone industrielle.
«A condition que l’Etat leur reconnaisse le statut de propriétaires légaux de ces terres et qu’ils soient indemnisés en conséquence», précisent les élus du RCD qui pointent du doigt la position «ambiguë» de l’administration. «L’administration campe sur sa position première, à savoir que le terrain est la propriété des Domaines et refuse catégoriquement de reconnaître la décision de justice notifiée par les propriétaires terriens», plaide le RCD qui n’hésite pas à parler d’«un abus de pouvoir caractérisé» imputé à l’administration qui refuse de reconnaître une décision de justice sous prétexte qu’elle émane d’un tribunal colonial.
Dans le même temps, et pour justifier la nature domaniale du terrain, elle (l’administration) fait valoir le sénatus-consulte qui a été établi par l’administration coloniale. De plus, la décision de justice (1895) est postérieure au sénatus-consulte (1863).
S. A. M.

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Boumerdès: Les policiers célèbrent leur fête dans l’intimité

Wed, 07/25/2018 - 16:23

Contrairement à leur habitude, les policiers de la wilaya de Boumerdès ont célébré cette année la fête de la Police, qui coïncide avec le 22 juillet, dans l’intimité.
Les années passées, les policiers de Boumerdès organisaient le 22 juillet de véritables fêtes populaires qui rencontraient beaucoup de succès. Ce n’est pas le cas cette année.
Lors de la cérémonie de cette année,  présidée par le contrôleur de police, Ali Badaoui, directeur de la Sûreté de wilaya, 158 agents et cadres policiers venant de divers services de la wilaya ont été promus à des grades supérieurs pour les récompenser des efforts consentis durant l’exercice passé.
Les familles de policiers victimes du terrorisme n’ont pas été oubliées. Avant de lancer les festivités, le directeur de la Sûreté de wilaya a fait lecture du message du nouveau DGSN adressé au corps de la Sûreté nationale.
Abachi L.

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Bouira: Des dizaines de citoyens de Taghzout protestent contre la décision du wali

Wed, 07/25/2018 - 16:22

Des dizaines de citoyens ayant voté pour le FLN, sorti vainqueur lors des dernières élections du 23 novembre dernier, dans la commune de Taghzout, à 10 kilomètres au nord-est de Bouira, se sont rassemblés hier devant le siège de l’APC en affichant de grandes banderoles, pour dénoncer la décision prise par le wali, jeudi dernier, et qui consiste en le gel de l’APC et la délégation des pouvoirs au chef de daïra de Haïzer.
D’après les citoyens rencontrés sur les lieux, tous partisans du maire dont le mandat, au même titre que les autres élus, est gelé, la décision du wali est jugée trop injuste surtout que d’après eux, «la commune a bien fonctionné durant ces huit derniers mois malgré l’absence de vice-présidences et de présidents de commissions». D’ailleurs, quatre banderoles déployées sur les lieux en disent long sur le sentiment qui prévaut chez les protestataires : «Non au blocage», «Président élu», «Sit-in de protestation contre la décision abusive du wali» et, enfin, «Non au viol de la volonté populaire».
Aussi, la décision prise par le wali de geler l’Assemblée et de déléguer les pouvoirs et la gestion de leur APC au chef de daïra de Haïzer ne les arrange guère, car, expliquent-ils, «d’abord, la disponibilité et l’écoute du chef de daïra ne seront jamais comme celles  de (leur) maire». Car, de l’avis de tous ceux qui étaient présents à ce rassemblement, «le P/APC était toujours présent au siège de l’APC, et surtout, il était à l’écoute de tous les problèmes que rencontraient les citoyens quel que soit leur penchant politique».
De plus, et cela est également un autre témoignage tenu par un des présents, «le maire d’obédience FLN a toujours essayé de composer avec les autres élus du RND et du RCD, mais ceux-ci ont refusé catégoriquement toute alliance». Aussi, et selon nos interlocuteurs, «le bon sens aurait voulu que le wali délègue les pleins pouvoirs au maire puisque le blocage n’est pas de sa faute», avant qu’un autre ne renchérisse : «Pourquoi parlait-on d’un  nouveau code communal, avec notamment ce fameux article qui donne le poste de P/APC à la liste ayant remporté une majorité simple si, par la suite, l’on revenait à la même situation de blocage que l’ancienne mandature ? Normalement, si les autres élus refusent de composer, le P/APC installé par la force de la loi devra être confirmé dans son poste en tant que seul maître à bord et non renvoyé par le wali comme un vulgaire citoyen.»
Un autre rappellera ce paradoxe existant dans notre pays : « Vous imaginez un maire qui était, il y a moins d’une semaine, le premier magistrat de la commune, et avec une simple décision pour une faute dont il est totalement étranger, il devient, une semaine plus tard, un moins que rien. Un anonyme ! Où sont le respect des urnes et la souveraineté populaire dans tout ça ?»
Cela étant, du côté des responsables, l’on assure que le wali n’a fait qu’appliquer la loi, à savoir les articles 100 et 101 du code de la commune qui stipulent qu’en cas de blocage d’une Assemblée communale et le refus des élus de siéger dans les exécutifs et les commissions, le wali, et après avoir épuisé toutes les voies de conciliation par l’intermédiaire du chef de daïra, procède au gel de l’Assemblée et la désignation d’un commis de l’Etat pour gérer les affaires courantes de l’APC.
Rappelons que la décision de gel de l’Assemblée a touché également l’APC de Raouraoua qui a vécu une situation de blocage depuis les dernières élections locales.
Y. Y.

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Accusé à tort, licencié mais innocenté par la Justice: L’ex-directeur de l’Onaaph, toujours pas réhabilité par sa direction générale

Wed, 07/25/2018 - 16:16

Ali Aïssat fut le directeur, entre 2002 et 2007, de l’Office national d’appareillages et d’accessoires pour personnes handicapées et dont le siège est situé à Hay Ennasr (Radar), à Chlef, un office, le seul, qui compte une clientèle nombreuse des wilayas de Relizane, Chlef, Tissemsilt, Aïn-Defla et Tiaret.
Selon des sources dignes de foi, Ali Aïssat avait été accusé de détournement et mauvaise gestion par sa direction générale et d’importation de produits douteux, alors que ces produits qui entrent dans la production de différents accessoires, commandés auprès d’une entreprise espagnole, sont de très bonne qualité et c’est sur la base de ces accusations fallacieuses qu’il avait été licencié et traduit en justice, accusations qu’il a toujours niées.
Toujours selon nos sources, après des batailles juridiques qui ont duré 3 années, la justice a fini par reconnaître que les charges dont il avait été accusé étaient non fondées et l’a, de ce fait, innocenté le 26 juin 2010.
Ali Aïssat explique que les deux produits soi-disant douteux, il les avait remarqués lors de la foire tenue à Alger et qu’après examen des échantillonnages, il s’est révélé que ces produits étaient de meilleure qualité et leur prix compétitif et attractif, ce qui a intéressé son office au point de passer commande et, de plus, ces produits il ne les a pas réceptionnés mais ont été réceptionnés quand même après son licenciement. Pourtant, ajoute-t-on, ce responsable a respecté toutes les démarches légales et reçu l’aval de sa direction générale pour passer commande.
En sus, l’ex-directeur, selon nos sources, explique que les multiples commissions dépêchées et les contrôles effectués ont toujours attesté, avec preuves à l’appui qu’il dit détenir, que l’entreprise était largement bénéficiaire, voire florissante.
Ali Aïssat a confié à notre source : «On me cherchait des noises parce que je ne voulais pas marcher dans certaines tractations douteuses qui auraient nui à notre entreprise et je ne voulais pas obéir également à certains ordres.» Qu’en est-il alors de la décision prononçant l’innocence de l’ex-directeur ? Selon nos informations, après tout ce qu’il a enduré, les sévices, moral et financier, la direction générale refuse de le réhabiliter dans ses droits. «Cela fait 8 années,  ni dédommagement ni réintégration, encore moins de régularisation des arriérés de salaires», il est réduit à la pauvreté.
Karim O.

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Cherchell (Tipaza): Une embarcation chavire avec 13 personnes à bord

Wed, 07/25/2018 - 16:15

Nous avons appris de source hospitalière qu’un groupe de dix personnes a été admis aux services des urgences de nuit à la suite d’un accident.
Selon la Protection civile de la wilaya de Tipasa, ces dix rescapés ont été repêchés par les services des gardes-côtes de la Marine nationale aux environs de trois heures du matin au nord-est au large de la côte de Cherchell, à environ trois milles nautiques.
Comment ce drame est-il survenu ? Selon des sources locales, il s’agit d’une embarcation de pêche, utilisée par des harragas, qui est partie de la côte-Est de Cherchell, avec 13 personnes à bord : une femme, sept personnes originaires d’Alger, une personne originaire de la ville d’Adrar, et 2 autres originaires de Cherchell.
Parmi les personnes repêchées figuraient deux noyés. Nous avons appris, par ailleurs, que des recherches sont en cours pour retrouver 3 autres personnes portées disparues.
Selon les rescapés, ces jeunes qui ignoraient tout de la mer et de la navigation ont percuté l’un des récifs situés au large de Cap-Blanc à proximité du Chenoua. L’embarcation ayant perdu le contrôle a dérivé vers le grand large à plus de 3 milles nautiques au nord-est de la côte.
Cette dérive de l’embarcation a affolé les passagers dont l’un d’eux a utilisé son téléphone pour appeler ses parents et signaler le drame aux services de sécurité. C’est cette initiative qui a permis aux services des gardes-côtes d’intervenir et de sauver dix personnes.
Une autre source nous a informé que ces jeunes rescapés ont déversé du gasoil, pour s’en imbiber dans l’espoir de pouvoir flotter sur l’eau ; cela a eu pour effet de leur causer des brûlures.
Houari Larbi

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Recensés durant les 21 premiers jours de juillet: Plus de 500 000 estivants sur les plages de Annaba

Wed, 07/25/2018 - 16:15

Même si ce n’est pas encore la grande ruée vers les plages de Annaba, celles-ci commencent, et ce, depuis l’annonce des résultats du baccalauréat, cette fin de semaine, à recevoir chaque jour de plus en plus d’estivants.
Ce regain vers la Grande Bleue trouve son explication dans la persistance de la canicule et le taux d’humidité fort élevé sévissant ces derniers jours dans la région de Annaba.
Selon les statistiques établies par les services de la Protection civile, depuis le 1er et jusqu’au 21 juillet courant, l’ensemble des 21 plages de la wilaya autorisées à la baignade, il a été enregistré un peu plus de 500 000 estivants dont près de la moitié durant la semaine allant du 14 au 21 juillet. On est loin des 77 000 estivants enregistrés durant tout le mois de juin écoulé. Les mêmes services indiquent que les éléments de ce corps constitué en poste dans les différentes plages ont eu à intervenir 588 fois pour sauver 249 personnes dont beaucoup de femmes et d’enfants d’une noyade certaine; soigner sur place 254 personnes et évacuer sur les urgences des hôpitaux quelque 85 autres personnes nécessitant une prise en charge adéquate vu leurs blessures autrement plus graves.
Par ailleurs, les éléments de la Protection civile ont eu à déplorer une  noyade, en fin d’après-midi de la journée de lundi dernier d’un jeune homme, âgé de 30 ans, originaire de la ville de Oued Zenati, dans la wilaya de Guelma. au lieudit Kef El Ouaer, littéralement «falaise difficile», dans la commune côtière de Chetaïbi, à 70 kilomètres du chef-lieu de la wilaya de Annaba.
Il s’agit de la première noyade de la saison estivale 2018 mais qui s’est produite dans une plage non surveillée, donc interdite à la baignade.
A. Bouacha

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Mostaganem: Important incendie à la raffinerie de sucre

Wed, 07/25/2018 - 16:03

Une partie de l’extérieur de la raffinerie de sucre de Mostaganem, implantée au niveau de l’axe de la route express Mosta-Oran, a été partiellement ravagée par un énorme incendie qui s’est déclaré le 23 juillet aux environs de 14 heures et qui a détruit quelque 4 hectares d’arbres et de broussailles sèches.
L’usine de transformation, les silos de stockage, les hangars, le matériel et autres équipements de la raffinerie de même pour le sucre n’ont pas été touchés par l’incendie.
Le départ du feu a été provoqué probablement par la canicule qui sévit ces derniers temps dans la région.
La Protection civile a déployé sur le lieu du sinistre de gros moyens pour maîtriser le feu qui a duré
7 heures puisque c’est aux environs de 21 heures que les pompiers sont parvenus à éteindre totalement le feu et ont pu éviter des dégâts supplémentaires au niveau de la raffinerie.
La gendarmerie a ouvert une enquête.
A. B.

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Devant le silence des autorités d’El Tarf: Les vendeurs de matériaux de construction réintègrent, doucement, le tissu urbain

Wed, 07/25/2018 - 15:57

Nonobstant les pressions et autres protestations, la décision salutaire prise par les autorités locales, il y a deux années, de délocaliser les vendeurs de matériaux de construction à l’extérieur de la ville d’El Tarf, a été saluée positivement, en son temps, par toute la population.
Et pour cause, les hangars et autres locaux desdits vendeurs étaient incorporés dans le tissu urbain et jouxtent une artère principale de la route, engendrant des nuisances sonores du fait, du va-et-vient, des engins et, par ailleurs, de la pollution à cause des nuées de sable et de ciment en vrac et même en sac qui restent en suspension dans l’air.
Malheureusement, le site que d’aucuns croyaient libéré, irrémédiablement, est en train d’être reconquis, doucement mais sûrement et de plus belle, avec l’installation d’un premier vendeur au niveau du même site, ce qui a provoqué une levée de boucliers de la population qui estime que les édiles de la communes et les autorités locales ont failli à leur engagement et qu’il y a anguille sous roche en tolérant ce cas de figure qui est assimilé à une balafre sur le visage de la ville d’El Tarf. «D’autres vendeurs vont revenir et squatter les terrains en bordure de la route qui, ironie de la situation, sont derrière le siège de la wilaya et à deux cents mètres de la Direction des services agricoles (DSA)». a-t-on indiqué.
Il est judicieux de savoir que les vendeurs disposent, en bonne et due forme, de terrains adéquats pour exercer leur activité, situés à seulement 5 km du chef-lieu de wilaya.
Quoi qu’il en soit, cette affaire qui sent le roussi, cache, en fait, un scandale et un empiètement des lois de la République où les connivences sont à tous les niveaux. Le wali se doit de sévir. Triste commune.
Daoud Allam

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Constantine – L’université ouvre ses portes aux nouveaux bacheliers

Wed, 07/25/2018 - 12:21

Par A. Mallem

Des portes ouvertes sur les orientations et les offres de formation à l’intention des nouveaux bacheliers, leur orientation pour les aider à faire le choix de formation conforme à leurs résultats au bac, ont été ouvertes hier au niveau des universités du pôle constantinois de l’enseignement supérieur. Les informations et des échos sur l’accueil des nouveaux bacheliers ont été recueillis hier dans les trois universités du pôle constantinois, l’université Constantine 1 des Frères Mentouri, l’université 2 Abdelhamid Mehri et l’université 3 Salah Boubnider. Sur le campus de l’université des Frères Mentouri, que nous avons pris comme échantillon, les portes ouvertes ont commencé hier 24 juillet et elles n’ont pas connu une grande affluence car les bacheliers ont commencé à recevoir le jour même leur relevé de notes, un document indispensable pour procéder à la préinscription qui est prévue du jeudi 26 au lundi 30 juillet. «C’est à partir du jeudi qu’il faut s’attendre à la grande affluence des nouveaux bacheliers qui viendront s’informer aux stands ouverts à leur intention, faire leur choix de formation et procéder à la préinscription», nous a expliqué M. Bachkhaznadji Abdelmalik, vice-recteur chargé de la pédagogie à l’université Mentouri, en ajoutant que, par habitude, l’affluence commence à augmenter à partir de ce jour-là.

Cette manifestation annuelle a été organisée au niveau du bloc des lettres où les responsables de l’université ont installé des stands pour accueillir les nouveaux bacheliers et répondre à toutes leurs questions. A cet égard, et pour faciliter le travail de chacun, les responsables de l’université Mentouri ont installé un stand «spécial Internet» où les étudiants pourront faire eux-mêmes, et gratuitement, leur inscription au lieu d’effectuer cette opération dans un Cyber ou à la maison car ils vont bénéficier de l’assistance technique et conseils d’enseignants et responsables de l’université pour les guider dans leur choix et leur donner toutes les informations qui les guideront à la prise de décision en vue de la préinscription. «En plus, a indiqué ce responsable, nous avons ouvert un portail électronique dédié aux futurs étudiants où toutes les informations, les documents à télécharger, les applications concernant les préinscriptions et inscriptions seront à leur disposition sur le site de l’université».

M. Djekoune Abdelhamid, le recteur de l’université, qui était présent à l’ouverture de l’évènement, a complété en déclarant que «parmi l’ensemble des informations qui seront données aux nouveaux bacheliers, il y aura les contenus des programmes de formation, les possibilités que celles-ci offrent quant à l’ouverture sur l’environnement socioéconomique, etc.». Et sur les nouvelles formations offertes cette année aux nouveaux étudiants, le recteur a cité les études en rapport avec le traitement des déchets, l’environnement, une formation dans le domaine des énergies renouvelables, le transport et l’industrie mécanique, tous des cursus qui viennent d’être introduits dans le programme de formation de l’université Mentouri. «Pour conclure, nous pouvons dire que le dispositif est maintenant en place et à partir de demain, mercredi, il sera pleinement opérationnel. Et si les préinscriptions sont prévues du 26 au 30 juillet, les inscriptions officielles seront ouvertes au mois de septembre prochain», a terminé notre interlocuteur.

Pour l’université Constantine 2 Abdelhamid Mehri, c’est M. Oukaci, vice-recteur chargé de la pédagogie, qui s’est exprimé en soulignant l’importance de cette étape dans le cursus universitaire du nouvel étudiant. «Et pour l’aider à aborder ce cursus de la meilleure des façons, a-t-il dit, l’université 2 a mis en place toutes les conditions d’accueil au cours des portes ouvertes qui se sont ouvertes aujourd’hui pou informer les futurs étudiants, les orienter et les assister dans l’opération de préinscription». Et c’est pratiquement les mêmes indications qui nous ont été données par M. Bouras, recteur de l’université 3 Salah Boubnider, lorsque nous l’avons contacté. Ce dernier a tenu à souligner que, à son niveau, l’ouverture des portes sur les informations d’orientation, sur les modalités de préinscription et inscription définitive s’est déroulée de la meilleure des façons.

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Skikda: Une voleuse de bijoux écrouée

Wed, 07/25/2018 - 12:20

Par A. Boudrouma

Une femme, âgée de 44 ans, a été interpellée par les services de la sûreté de wilaya de Skikda, dans le cadre d’une affaire de vol dans une salle de fêtes. C’est à la suite d’une plainte contre X déposée par une citoyenne victime du vol de ses bijoux, une ceinture en or, commis dans la salle d’habillement d’une salle de fêtes d’El Harrouch, que l’enquête a démarré. Les malfaiteurs ont à cette occasion, subtilisé un ensemble d’objets de valeurs consistant en parures en or, disposés dans un sac à main. Dans le cadre de l’enquête et des investigations menées avec célérité, les policiers ont réussi à identifier la mise en cause, à partir de l’affichage de sa photo, dans tous les sièges de sûreté. Elle a été localisée à Fil Fila où elle a été interpellée puis conduite au poste pour y être auditionnée. La prévenue qui ne faisait pas partie des convives a profité de l’entrée des parents du jeune marié pour se faufiler à l’intérieur de la salle d’habillement, réservée à la mariée feignant de se maquiller et de téléphoner. A ce moment précis la victime a posé son sac à main sur la table et s’est penchée pour refermer la valise mais en relevant la tête, elle a remarqué que son sac à main a disparu. Son forfait accompli, la prévenue a quitté, précipitamment la salle des fête et supplié un des invités de la conduire au centre-ville, prétextant avoir oublié des vêtements de la mariée et de là s’est éclipsée. L’enquête a permis de découvrir qu’elle avait une voiture dans laquelle les policiers ont trouvé des vêtements de fête qu’elle utilisait pour passer inaperçue. Par ailleurs, les enquêteurs ont également mis à jour une ancienne affaire de vol similaire commise l’année écoulée, dans une salle de fêtes au sujet de laquelle une enquête distincte a été ouverte. Présentée devant le parquet d’El Harrouch, la mise en cause a été placée en détention.

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Constantine – Gare routière Est ‘Sahraoui Tahar’: L’insécurité fait craindre le pire aux voyageurs

Wed, 07/25/2018 - 12:20

Par A. Mallem

«Il se passe beaucoup de choses répréhensibles à la gare routière Est ‘Sahraoui Tahar’ pendant cette période estivale, où il y a un afflux important de voyageurs transitant par ce site de transport, surtout les familles, qui n’hésitent pas à voyager de nuit pour profiter des températures fraîches », nous ont affirmé, hier, des voyageurs qui prennent en famille le transport public pour se rendre à la mer. « Généralement, pour prendre les bus à destination des villes du littoral de l’Est, en espérant trouver une place, dans les petits bus, qui font la navette entre ces villes et la capitale de l’Est, nous nous levons de bon matin, dans l’obscurité. Et il nous arrive souvent d’assister à des scènes répréhensibles comme celle qui s’est passée devant nos yeux, la semaine passée, quand des voyous, s’en sont pris à un groupe de voyageurs en partance pour Alger qui attendaient le bus sur le quai. Les assaillants ont voulu tabasser des voyageurs. L’intervention de quelques autres voyageurs, ainsi que des chauffeurs de taxis des grandes lignes, dont la station se trouve à c^àté, a permis d’éviter le pire. Nous avons recoupé ces informations auprès des taxieurs de notre connaissance opérant dans cette gare routière et ils les ont confirmées, ajoutant même qu’« une véritable maffia s’est constituée dans cette gare. Ce groupe de malfrats est en train de faire la loi à l’intérieur de la gare ».

Interrogé hier, le directeur de la gare routière, M. Hamlaoui Ayoub, n’a pas nié, explicitement, l’existence d’une telle situation dans cette gare, se contentant de dire que l’information sur la tentative d’agression de voyageurs n’a pas été portée à sa connaissance, qu’il va vérifier la chose et prendre, éventuellement, les mesures qui s’imposent pour préserver la sécurité des voyageurs. Il se plaindra, ensuite, de l’absence de sécurité de nuit, en disant que cela est dû, aussi, au manque d’agents de la sûreté urbaine affectés au poste installé à l’intérieur de la gare et dépendant du 8ème arrondissement. « J’ai signalé ce problème par écrit au secteur concerné qui a reconnu qu’il y a, effectivement, un manque d’effectif, à ce niveau ». En ce qui concerne les taxis de la fraude, a ajouté M. Hamlaoui, cela n’est pas du ressort des agents de la gare car ces derniers n’ont aucune compétence ou espèce d’autorité pour contrôler ou empêcher un véhicule d’y pénétrer car la chose relève de la compétence de la police. S’en prenant ensuite aux taxieurs qui font les lignes inter-urbaines, il les a accusé de se livrer eux-mêmes à des pratiques qui relèvent de la fraude. Ils ne sont pas exempts de reproches, a-t-il dit, car ils sont souvent à l’origine de problèmes et lorsque l’administration de la gare veut intervenir pour empêcher leurs dépassements, ils brandissent la menace de grève.

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Mostaganem: Le Mostaland Parc est sécurisé, un dispositif régulièrement mis à jour

Wed, 07/25/2018 - 12:16
Le drame survenu récemment au parc des loisirs de Mostaland, lorsqu’un tigre en captivité a arraché le bras à une fillette qui s’est trop rapprochée de la cage, a suscité moult questions au sujet de la sécurité des visiteurs fréquentant en grand nombre ce complexe touristique situé dans la wilaya de Mostaganem. La directrice de l’entreprise de gestion du parc, Samia Benmehal, a assuré à l’APS : « Le zoo et les autres sites d’attraction présentent toutes les conditions de sécurité aussi bien pour les visiteurs que pour les animaux qui y sont exposés ». Selon la responsable, le parc zoologique dispose d’une cinquantaine de cages aux grillages renforcés pour abriter les animaux et mettre hors de danger les visiteurs, dont le nombre dépasse quotidiennement les 6.000 personnes. En plus de ce dispositif, a-t-elle poursuivi, des obstacles sécuritaires artificiels ont été mis en place en plus des panneaux mettant en garde les visiteurs contre les dangers qu’ils encourent en s’approchant des animaux sauvages comme les tigres, les lions, les hyènes, les loups et les crocodiles, qui représentent l’une des plus importantes attractions du parc. 15 agents de sécurité permanents et 10 autres saisonniers veillent également au contrôle des véhicules ainsi qu’à la sécurité des visiteurs et de leurs biens au sein du site. A ceci, s’ajoutent les équipes médicales et vétérinaires qui veillent sur la santé des animaux. Des moyens de télécommunications et des caméras de surveillance ont été mis en place pour parer à toute éventualité et permettre aux équipes de sécurité d’intervenir rapidement en cas de nécessité. Pour renforcer davantage la sécurité au sein du site, il est prévu, dans les prochains mois, de créer un poste de police qui travaillera en coordination avec les 7ème et 8ème sûretés urbaines proches de Mostaland, chargées de sécuriser les routes et les voies d’accès au parc, a encore ajouté Samia Benmehal. Des visiteurs « insouciants » Depuis son ouverture et son entrée en service il y a un an, Mostaland a enregistré plusieurs agressions ayant ciblé des animaux, dont certains sont en voie de disparition. Le responsable de la clinique vétérinaire du parc, Lakhdar Ouassini, a rappelé que le parc avait perdu deux crocodiles du Nil, tués à coups de pierres par des visiteurs malveillants. L’événement a suscité l’étonnement et la surprise devant de tels comportements. Ce vétérinaire a également souligné que le règlement intérieur de Mostaland interdit aux visiteurs d’attaquer et de se montrer agressifs vis-à-vis des animaux ou de les nourrir avec toutes sortes de nourriture et de boisson. « Les animaux tombent souvent malades et souffrent d’indigestion en consommant des nourritures ne correspondant pas à leurs alimentations habituelles et naturelles », explique-t-il. Par ailleurs, le complexe touristique enregistre quotidiennement entre 4 et 5 cas d’enfants égarés, livrés à eux-mêmes sans surveillance parentale ou de leurs accompagnateurs. Ces enfants s’approchent souvent dangereusement des cages des animaux s’exposant à des dangers réels et certains, explique, pour sa part, le responsable de la sécurité, Nedjjar Laïd. Le responsable n’a pas manqué de faire part de sa consternation face au comportement irresponsable de certains parents, qui « abandonnent » leurs enfants dont certains à besoins spécifiques à l’intérieur de leurs véhicules exposés à la canicule et aux fortes chaleurs. Neddjar Laïd a invité les visiteurs du parc à respecter le règlement intérieur, à surveiller leurs enfants, à ne pas s’attaquer aux animaux et à s’abstenir de les nourrir. Le parc des loisirs Mostaland, qui s’étend sur 57 hectares dont 32 ha abritant le parc zoologique, est situé dans le quartier de Kherrouba, à l’est de la ville de Mostaganem et près de la façade maritime Sidi El Majdoub, donnant sur la baie d’Arzew. Inauguré et mis en service le 13 juillet 2017, Mostaland offre aux visiteurs, enfants et adultes, une vingtaine de jeux attractifs, un aquaparc, un parc zoologique, une forêt naturelle et autres infrastructures de servitudes comme des restaurants de luxe, des fast-food, un hôtel 5 étoiles, un centre sportif, des espaces commerciaux, des espaces de divertissements ainsi qu’un parking d’une capacité de 5.000 places. Le parc zoologique abrite une centaine d’animaux représentant quelque 36 espaces, dont certaines rares comme le tigre royal du Bengale, les loups blancs polaires, le lama, le yak ou encore les babouins du Gabon et le crocodile Nil ainsi que des espèces en voie d’extinction en Algérie comme le fennec, l’hyène rayée et le macaque. Hourria B.

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La fédération algérienne des consommateurs interpelle sur la viande bleue: « On veut les résultats des enquêtes »

Wed, 07/25/2018 - 12:14

Par Arezki SLIMANI

Les Algériens ont peur. Non seulement pour leur poche, mais aussi pour leur santé. Ils sont en droit de demander des explications et d’avoir des réponses.

Le mystère de la viande «bleuâtre» reste entier et le risque de la reproduction du même scénario cette année, n’est pas à écarter. Les citoyens, qui n’ont pas oublié le cadeau empoisonné des fêtes de l’Aïd El Adha, des deux dernières années, sont en droit de connaître ce qu’il y a dans leur assiette. Raison pour laquelle, la Fédération algérienne des consommateurs (FAC) a appelé le ministre de l’Agriculture, Abdelkader Bouazghi, à communiquer à l’opinion publique les résultats des enquêtes et des analyses effectuées l’année dernière sur la viande des moutons de l’Aïd. Une viande, faut-il le rappeler, dans des milliers de foyers, qui s’est putréfiée, quelques heures seulement après l’abattage. Une commission d’enquête sur cette situation a été mise en place suite aux plaintes enregistrées, mais aucun résultat concret n’a été publié. De ce fait, la FAC insiste auprès du ministère de l’Agriculture pour qu’il communique à la population les résultats. Mais pas seulement.

La FAC a émis également une série de recommandations aux pouvoirs publics, aux éleveurs ainsi qu’aux consommateurs afin d’éviter que le scénario des deux dernières années se reproduise. Entre autres recommandations, la fédération demande au ministère d’intensifier le contrôle auprès de l’ensemble des vétérinaires. Quant aux éleveurs, la FAC propose la mise en place d’un encadrement particulier permettant d’interdire la vente libre des médicaments destinés aux animaux ainsi que les aliments composés. En matière d’hygiène, un contrôle rigoureux dans les espaces d’élevage ou de vente du bétail, est préconisé par la FAC qui a également insisté sur l’importance de faire analyser l’eau et notamment les aliments du bétail. La Fédération algérienne des consommateurs demande que les éleveurs remettent un bon d’achat aux consommateurs afin de garantir la traçabilité de la viande, notamment dans le cas d’une nouvelle putréfaction.
Ce que l’on n’espère pas. Car voir la carcasse de son mouton devenir bleue alors que l’on ne peut s’offrir qu’une fois par an de la viande, c’est plus qu’un drame pour les familles algériennes. Ces dernières, victimes d’une grande supercherie, ont laissé dans l’affaire entre 40 000 et 80 000 DA chacune et n’ont eu que leurs yeux pour pleurer. Aujourd’hui et à moins d’un mois de la fête de l’Aïd, aucune explication claire n’a été avancée sur la nature de la contamination de la viande bleue qui s’est produite ces dernières années. De même qu’aucune assurance n’a été donnée sur l’absence de risque d’une nouvelle putréfaction de la viande.
Ce qui fait enfler la rumeur et encourage le retour en force des supputations sur l’alimentation des moutons: hormones de croissance, additifs alimentaires ou peut-être une nouvelle mixture toxique inconnue. Les Algériens ont peur non seulement pour leur poche mais aussi pour leur santé. Ils sont en droit de demander et d’avoir des réponses sur le phénomène «bleu», inédit dans les annales de l’Aïd en Algérie.

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Conférence ministérielle sur les libertés religieuses : Messahel y prendra part aujourd’hui à Washington

Wed, 07/25/2018 - 12:06
Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, prendra part, mercredi et jeudi à Washington, à une conférence ministérielle sur les libertés religieuses, à l’invitation du secrétaire d’Etat américain, Mike Pompeo, indique mardi un communiqué du ministère des Affaires étrangères. « La recherche et l’identification des voies comme des moyens susceptibles de contribuer à la promotion du dialogue entre les religions et les  cultures seront au centre des travaux de cette conférence », précise la même source. M. Messahel s’entretiendra, en marge de cette conférence, avec des hauts responsables de l’administration et du Congrès américains. R. N.

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Iran: L’armée répondra avec « force » aux menaces américaines

Wed, 07/25/2018 - 12:06

Le chef d’état-major des forces armées iraniennes a averti hier les Etats-Unis que Téhéran riposterait avec «force» à une poursuite des menaces américaines contre les intérêts de l’Iran.»Ils recevront une riposte forte et ferme (…) aux endroits où ils se trouvent et contre leurs intérêts dans la région et à travers le monde», a prévenu le général Mohammad Bagheri, selon l’agence de presse officielle Irna. «Les idées futiles et inutiles du président américain ne seront jamais réalisées», a-t-il affirmé. Le ton est monté entre Téhéran et Washington depuis un avertissement dimanche du président Hassan Rohani à son homologue américain Donald Trump, lui conseillant de «ne pas tirer les moustaches du tigre» et assurant qu’un conflit avec l’Iran serait la «mère de toutes les guerres». M. Trump a répondu dans un tweet en majuscules: «NE MENACEZ PLUS JAMAIS LES ETATS-UNIS OU VOUS ALLEZ SUBIR DES CONSÉQUENCES TELLES QUE PEU AU COURS DE L’HISTOIRE EN ONT CONNUES AUPARAVANT». Le général Bagheri a indiqué que l’Iran n’avait «jamais provoqué la guerre» et qu’il «cherche la paix et la stabilité dans la région». Mais, a-t-il ajouté: «Tous les complots visant le peuple iranien seront étouffés à la naissance et les ennemis recevront une leçon inoubliable».

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Journée portes ouvertes pour les inscriptions à Bab Ezzouar: Engouement des nouveaux bacheliers

Wed, 07/25/2018 - 12:05

Dés la matinée, les futurs étudiants commençaient à affluer en masse sur les lieux, histoire de s’enquérir des renseignements nécessaires pour faire le bon choix des spécialités.

L’enthousiasme des nouveaux bacheliers, était au rendez-vous hier, à la faculté des sciences et des technologies de Bab Ezzouar, lors de la journée portes ouvertes pour les inscriptions à l’université. Dès la matinée, les futurs étudiants commençaient à affluer en masse sur les lieux, histoire de s’enquérir des renseignements nécessaires pour faire le bon choix de spécialité.
La particularité de cet événement cette année, «est que son organisation s’est faite sous une forme différente», a indiqué le recteur de l’Usthb, Saïdi Mohamed. Cette nouvelle organisation, explique-t-il, consiste en la répartition de six poules, lesquelles, chacune représente un domaine particulier. «Celles-ci sont constituées de doctorants, car plus communicants et plus aptes à donner de façon détaillée les informations indispensables», a-t-il précisé. Par ailleurs, Saïdi Mohamed a indiqué que l’objectif de cette journée est de donner des renseignements inhérents aux résultats de l’orientation de l’année dernière. Ainsi, ils auront une idée sur les filières auxquelles ils peuvent accéder ou pas. Il a fait savoir qu’à cet effet, huit stands représentant entre autres les spécialités liées à l’électronique, l’informatique, la géologie, la biologie…ont été mis à disposition des concernés. A ce titre, il a fait mention de quelque 35 offres de formation en licence, ainsi que de 105 offres concernant les masters.
Aussi, Saidi Mohamed n’a pas manqué de saluer la forte affluence des nouveaux bacheliers, observée en début de matinée; «cela est bon signe, dans la mesure où ça veut dire que l’étudiant a développé une conscience par rapport à ça», conclut-il.
De leur côté, les étudiants rencontrés sur place, et qui étaient pour la plupart, accompagnés de leurs parents, ont affiché leur empressement quant à choisir leurs branches. C’est le cas de Leïla, qui a avoué qu’au début, elle était un peu perdue, et ne savait que faire comme choix. «Je ne vous cache pas qu’il y a quelques jours, je ne savais pas quoi choisir, mais grâce aux renseignements que j’ai eu aujourd’hui, j’ai pu me repérer», a-t-elle soutenu, ajoutant: «J’ai hâte de m’inscrire et commencer ma vie estudiantine».
Toutefois, l’entrain de certains bacheliers a vite été endigué. Et pour cause, ces derniers ont indiqué que même avec des mentions très bien, les moyennes minimales pour l’accès à certaines spécialités ont été augmentées par rapport à l’année dernière. «C’est la désillusion pour nous», a affirmé une dame d’un certain âge, qui a accompagné sa fille pour l’aider dans ses choix de spécialité. «Il faut dire que son choix est finalement très restreint», regrette-t-elle en exprimant sa surprise quant à la moyenne exigée pour certaines filières. Notre interlocutrice a par ailleurs tenu à soulever que cela fait partie des causes qui font qu’un nouveau bachelier est démotivé avant même son entrée à la fac. «J’ai déjà vécu ça avec mon autre fille et je ne veux pas que la deuxième ait à subir le même sort», a-t-elle déploré. Selon elle, au vu de cette situation «après, il ne faut pas s’étonner de l’échec des étudiants à l’université», a-t-elle ajouté.
Une autre bachelière Sabrina, a fait elle aussi part de sa déception quant aux moyennes beaucoup trop élevées pour quelques branches. Et pourtant, cette dernière a décroché son bac science avec un 16,5 de moyenne. «Je pensais que j’avais l’annotation nécessaire pour accéder à l’ENA, mais on me dit que la moyenne minimale exigée doit en fait atteindre 17/20», dit-elle avec une note d’amertume.
Pour des cas similaires à celui de Sabrina, Gaci Zoubir enseignant chercheur à l’Usthb et responsable de l’orientation a expliqué que son rôle consiste aussi à aider les bacheliers n’ayant pas obtenu la moyenne nécessaire pour intégrer telle ou telle branche. A titre d’exemple, «si un étudiant me dit vouloir travailler dans le domaine pétrolier, je lui conseille de s’orienter vers la géophysique» si ce dernier, n’a pas la note nécessaire, j’essaie de lui trouver une spécialité débouchant sur le même domaine.
Par ailleurs, la journée portes ouvertes a été organisée au niveau du village universitaire, situé dans l’enceinte de l’université Houari Boumediene.

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