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Le torchon brûle entre le wali de Bouira et son chef du protocole, à en croire des sources proches de l’institution. Ce dernier cumule les bourdes et autres écarts de langage avec certains proches collaborateurs
du wali, des élus et même des directeurs de l’exécutif.
Ce qui a poussé le wali à lui adresser des avertissements pour qu’il cesse son excès de zèle. Il a récidivé en omettant de présenter au ministre du Commerce, en visite dans la wilaya, les élus locaux, suscitant une polémique. Il s’est même permis d’empêcher des membres du conseil local de l’Ordre des architectes (Cloa) d’accéder au bureau du wali. Et pour terminer, il s’en est pris le mois dernier à la directrice de la culture, qui a saisi par écrit le wali où elle fait part de la brutalité de ce chargé de mission. Cette fois, la coupe semble pleine.
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Le célèbre réalisateur de films documentaires, Abderrazak Larbi-Cherif, vient d’enrichir la filmothèque algérienne avec un nouveau film documentaire consacré à l’histoire de la JSK, allant de 1946, année de sa création, jusqu’à 1996, soit un parcours historique d’une cinquantaine d’années. La projection de ce film documentaire a eu lieu lundi dernier à partir de 16 heures sur l’écran de la grande salle des spectacles de la maison de la Culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou. A ce rendez-vous étaient présents beaucoup d’anciennes gloires de la JSK, des supporters, des intellectuels, des personnalités politiques, des artistes, des gens du monde associatif et autres personnes à l’empreinte propre à elles mais d’une importance certaine.
Pour ce film documentaire, dont la projection s’est faite en présence du réalisateur, l’accent a été mis sur les besoins et les conditions de création de ce club kabyle en 1946 puis son cheminement jusqu’à l’année 1996. A travers les différents personnages interviewés par les réalisateurs, il ressort que la première équipe footballistique de la ville des Genêts remonte à l’année 1908 et avait pour appellation Olympique de Tizi Ouzou. L’Olympique de Tizi Ouzou, dont les dirigeants et les joueurs étaient d’origine européenne, était destiné exclusivement aux amoureux de la balle ronde européens. Les Algériens étant ouvertement brimés par l’occupant. C’est pourquoi des personnalités algériennes, conscientes des enjeux identitaires, ont décidé de créer la JSK. C’était exactement le 29 juillet 1946.
L’agrément fut obtenu par ses fondateurs le 2 août 1946. Le 8 septembre de la même année, la JSK joua son premier match. C’était en 3e division. Trois années plus tard, le club accéda à la 2e division. En 1956, alors que la guerre faisait rage, le FLN donna l’ordre à la JSK de geler ses activités footballistiques. En même temps, beaucoup de joueurs et de techniciens du club rejoignirent le maquis sous la bannière, bien sûr, du FLN-ALN. Deux années après l’indépendance nationale, soit au cours de l’année 1954, la JSK a repris ses activités sportives, et ce en évoluant en 2e division. Avant la guerre d’indépendance, la JSK avait pour mission, à travers ses couleurs et son identité, de mener une mission idéologique et politique face à l’occupant. Après l’indépendance, ce même club sportif avait la charge de mener le combat pour l’identité et la culture amazighes. Sur le plan purement sportif, elle accéda en première division en 1969. Le match décisif fut joué au stade Oukil-Ramdane face à l’équipe de Boufarik qui, à l’époque, était une grande référence nationale en matière footballistique.
Le but historique fut inscrit par Aezki Kolli. Et depuis cette année, le club kabyle ne cessait de connaître le prestige et la gloire. En cette décennie 1970, la science footballistique connut une avancée fulgurante. La décennie 1980, ce fut l’apogée du club canari. A noter que les personnalités et acteurs interviewés par le réalisateur de ce film documentaire sont très nombreux. Il s’agit, entre autres, de certains fondateurs de la JSK, des joueurs de ces décennies 1960, 1970 et 1980 ainsi que Rabah Madjer et l’ancienne gloire du MCA, Ali Bencheikh. Ces deux grandes figures du football national et international ont mis en exergue la grande valeur de la JSK et surtout son ancien libéro, Miloud Iboud. Celui-ci a, lui aussi, parlé durant longtemps face à la caméra de Abderrazak Larbi-Cherif. Beaucoup d’autres joueurs se sont exprimés face à la caméra du réalisateur. Il est impossible de les citer tous tant ils étaient nombreux. Concernant les gens de la presse, Abderrazak Larbi-Cherif-donné la parole à Méziane Ourad, Mohamed Haouchine et Rachid Hamoutène. Ces deux derniers cités sont des témoins privilégiés de l’évolution footballistique des Canaris. Et, par conséquent, leur témoignage vaut leur pesant
d’or. Mounis Aït-Menguellet, dans son témoignage au réalisateur, a parlé de la symbolique identitaire de la JSK. « Même les non-amoureux de la balle ronde se reconnaissent à travers la JSK », a dit le célèbre artiste. Le célèbre libraire et éditeur de la capitale du Djurdjura, Amar Cheikh, a fait également partie des personnalités interviewées par Abderrazak Larbi-Cherif. Amar Cheikh n’est pas seulement un intellectuel, mais aussi un homme qui a tapé dans la balle ronde au sein de la JSK entre 1968 et 1972.
Son témoignage a été des plus précieux sur ce long et glorieux parcours des Canaris. Après la projection du film, il y a eu plusieurs personnalités qui ont demandé à prendre la parole. Leurs interventions ont permis de relever ce que le réalisateur appelle « des oublis » et « des détails manquants ». Aux précisions apportées par ces intervenants, le réalisateur a promis les correctifs nécessaires. Il convient de relever également que ce film documentaire n’a aucunement mentionné Moh-Chérif Hannachi, encore moins le passage de son interview. Et pourtant, Dans les années 1970 et le début des années 1980, Moh-Cherif était l’un des piliers de la JSK. En sa qualité de libéro, il a su même révolutionner les missions propres à ce poste. Ses grandes compétences footballistiques lui ont même valu de porter au bras le brassard de capitaine d’équipe. A notre question au réalisateur de savoir pourquoi il n’a pas interviewé Moh-Cherif Hannachi, sa réponse a été que c’était Hannachi en personne qui ne voulait pas sparticiper à ce film documentaire.
Notons également que cette production encouragée et financée par l’APW de Tizi-Ouzou à l’époque où Hocine Haroun était à sa tête n’a pas été du goût d’un ancien élu de l’APW. « Pourquoi donc ce film documentaire n’est pas allé au-delà de l’année I996 », nous dit cet ancien élu qui a préféré parler sous couvert de l’anonymat. Il a ajouté : « Il fallait mentionner les dernières coupes et titres remportés par la JSK ! (…) Est-ce pour éviter de parler de Moh-Cherif Hannachi ? Et pourtant, l’histoire retient que ces titres en question ont été remportés par la JSK alors que Hannachi se trouvait à sa tête », a conclu notre interlocuteur avec amertume.
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Mme Nora Frioui a été en effet installée lundi au département de Hocine Necib en tant que directrice centrale chargée de l’assainissement. Elle a été pressentie pour le poste de directrice des ressources en eau de la wilaya d’Alger durant le premier mandat du ministre. Plus qu’une femme aux compétences avérées, Mme Frioui a eu à gérer des projets et non des moindres durant sa carrière à l’Office national de l’assainissement, dont les deux mégaprojets d’El-Oued et d’Ouargla. Durant la période où elle occupait le poste de directrice générale adjointe de l’ONA, Mme Frioui tenait d’une main de fer les réseaux d’assainissement de l’ensemble des wilayas du pays. C’est une femme qui a blanchi sous le harnais dans le domaine de l’assainissement. Elle a été l’un des principaux acteurs ayant eu à gérer les lendemains des inondations de Bab El-Oued et de Ghardaïa. Mme Frioui est diplômée en chimie industrielle, option génie de l’environnement.
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Le député FLN, Bahaeddine Tliba, est un parlementaire à part. Non seulement il refuse toujours de restituer deux véhicules appartenant à l’Assemblée populaire nationale, mis à sa disposition avec chauffeur, lorsqu’il était dans les instances, notamment vice-président de la Chambre basse du Parlement, mais il a équipé ses véhicules personnels de plaques minéralogiques atypiques, ne portant que le numéro d’enregistrement à la wilaya. Pourtant, les caractéristiques de ces plaques sont codifiées par décret.
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En octobre, Isabelle Adjani va tourner un film mis en scène par Yamina Benguigui dans le pays natal de son père. Une première pour l’actrice, indique le Parisien.
« C’est un grand moment pour nous », confie avec émotion Yamina Benguigui. A partir de fin octobre et pendant onze semaines, la cinéaste tournera « Sœurs » avec Isabelle Adjani, d’abord entre Alger, Oran et Constantine, puis à Paris et dans le nord de la France. « Pour la première fois, Isabelle va tourner en Algérie, dans un rôle d’Algérienne », souligne la réalisatrice. Le long-métrage racontera comment trois sœurs – interprétées par Isabelle Adjani, Rachida Brakni et Maïwenn – se déchirent lorsque l’une d’elles (jouée par la star) décide de raconter au théâtre la vie de leur père mourant, ajoute le Parisien.
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Le public constantinois était convié durant trois soirées à des spectacles féeriques. Intitulée « Underwater bubbles » (bulles sous l’eau) la représentation a été très appréciée par les spectateurs, notamment les enfants venus en force.
Une aventure digne des légendes ayant inspiré les grands écrivains des histoires d’aventure. Le public convié à la salle des spectacles Ahmed Bey a été invité à plonger dans un monde tiré de l’éphémère vie de bulles conçues de liquide savonneux. Durant presque deux heures, des bulles prennent vie un moment sous des formes et des couleurs multiples avant de disparaître pour laisser place à d’autres plus petites ou plus grandes, dans un spectacle où s’enchaînent des scènes admirablement exécutées par d’habiles artistes maniant parfaitement les tours de magie, les acrobaties ou encore la danse.
L’histoire est tirée de l’imaginaire d’un important homme d’affaires rongé par le stress et qui d’un coup, se retrouve dans un univers sous-marin plein de bulles peuplé de créatures subaquatiques. Hippocampes, méduses et autres poulpes et poissons aux couleurs sublimes nageant sur scène, offrant un spectacle unique, ont laissé peu de répit aux spectateurs qui furent aussi immergés dans le décor fabuleux.
« Je suis très contente. On a vécu un moment exceptionnel. Je n’ai jamais vu un spectacle pareil. Un grand merci pour les artistes et surtout les organisateurs. Encore bravo », ont été d’ailleurs les propos d’une petite fille à la sortie de la salle.
Dace Pezzoli, artiste et épouse du metteur en scène Enrico Pezzoli au Jeune Indépendant
« Le public algérien est merveilleux »
D’origine lettonienne, une ex-république de l’Union soviétique, Dace Pezzoli, une des actrices de la troupe Bubleland, donne ses impressions à la sortie d’une des trois soirées présentées à la salle Ahmed Bey de Constantine par la troupe dirigée par son mari le réalisateur italien Enrico Pizzoli
C’est quoi au juste l’idée qui vous a inspiré pour faire ce genre de spectacle ?
Nous avons voulu innover, moi et mon époux. Faire du cirque sur une scène de théâtre avec de nouvelles idées jamais réalisées auparavant. A l’origine, une idée simple et géniale à la fois nous est venue à l’esprit. La bulle et son éphémère existence.
L’histoire en elle-même raconte les aventures d’un certains Mister B, homme d’affaires de son état qui, rongé par le stress de la vie quotidienne et du business, se voit un jour introduit dans un endroit magique nommé « Bubland », où il croise les habitants de cet univers semblable à celui des fonds abyssaux océaniques. Un monde peuplé d’hippocampes, d’étoiles de mer, de méduses géantes, de sirènes ou encore de poissons dragons. Mister B est petit à petit plongé dans cet univers et il finit par se laisser entraîner par la féerie des lieux.
Ce ne fut certainement pas facile pour vous de monter ce spectacle ?
On a toujours baigné moi et mon époux dans le milieu du spectacle. Le cirque, les acrobaties et tout ce qui gravite autour de cet art ne nous est pas étranger. Nous avons vécu plusieurs étapes où nous avons côtoyé les scènes pour des shows de magie et de danse.
Personnellement j’ai d’abord commencé à me produire dans mon pays, la Lettonie, avant des aventures merveilleuses ailleurs à travers plusieurs pays.
Nous avons plus de 22 ans d’expérience dans le monde du divertissement et avec une vaste expérience dans le monde entier. Cela nous a énormément aidé. Nous nous sommes dit, après des années, qu’il était temps d’innover et de présenter autre chose et d’offrir un spectacle mémorable, et on a dû mettre à profit tout notre savoir-faire en mariant la magie, la danse et les acrobaties. Mon époux Enrico Pezzoli est le metteur en scène ; il est aussi acteur. « B » est le premier spectacle à bulles qui donne un sens et une nouvelle dimension à l’art des bulles de savon, en le portant à un niveau inégalé. C’est un spectacle, comme vous avez pu le constater, très excitant.
Un mot sur le public algérien
Nous avons été étonné et surpris de découvrir que le public algérien en général est très réactif ; il était magnifique. Il est très attentionné et nous a applaudis durant tout le spectacle. Ceci nous a facilité la tâche ; vous savez bien que si vous voulez qu’un artiste s’éclate sur scène et donne tout ce qu’il a, il faut lui montrer que vous vous intéressez à ce qu’il présente. C’est véritablement un signe d’échange d’amour pour l’autre. Le public algérien a été génial puisque nous nous sommes déjà produits à Alger et Oran. Ce fut la même réaction.
Avez-vous visité Constantine ?
Nous avons été en randonnée en soirée ; nous avons découvert une ville unique à mon avis. Constantine est très belle ; elle porte le surnom, à juste titre je dirai, de bridges-city (La Ville des ponts. Nous avons pu visiter certains ponts et personnellement j’ai été impressionnée par celui bondé de jeux de lumière (le pont suspendu). Et nous avons prévu avec les organisateurs de faire une tournée avant de partir.
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L’Aïd el-Adha est une grande fête musulmane, célébrée avec enthousiasme, un resserrement des liens familiaux et une profonde ferveur religieuse. Cependant, en pleines vacances, les Algériens n’y pensent pas encore. Pour le moment, seuls les pouvoirs publics prennent déjà les dispositions nécessaires pour que cette fête se déroule dans de bonnes conditions.
Parmi ces mesures, le ministère de l’Hydraulique arrive en tête. Ainsi M. Necib, a rassuré, au cours d’un déplacement sur le terrain à l’intérieur du pays, quant à la disponibilité totale de l’eau durant les deux jours de l’Aïd. D’autre part, les abattoirs se mobilisent déjà pour être à la disposition des citoyens. Il en de même des vétérinaires qui s’y préparent activement et seront tous présents ce jour-là. Il n’y a que le mouton, élément essentiel de l’Aïd el-Adha, qui n’est pas encore visible. Pour des familles avisées, soucieuses de leur pouvoir d’achat, on achète un agneau plusieurs mois à l’avance que l’on nourrit jusqu’au jour de l’Aïd. Pour d’autres, ayant le sens des affaires, c’est un troupeau d’agneaux qu’on achète, que l’on prend en charge et qui seront revendus adultes avec un bénéfice juteux.
La grande majorité des familles attendent les derniers jours précédant la fête pour acquérir leur mouton au marché. Quelle sera sa valeur cette année avec la flambée des prix que connaît le pays, suite à la diminution des revenus des hydrocarbures. C’est une question que se posent déjà bon nombre de citoyens, qui tiennent absolument au rite du sacrifice du mouton. Leur pouvoir d’achat est devenu bien maigre avec les dépenses du ramadhan, celles des vacances, celles de la rentrée scolaire toute proche, fixée cette année au 5 septembre. Cette situation va encore mettre mal à l’aise les citoyens qui ont acquis récemment leur logement AADL et qui ont commencé à s’acquitter de leurs échéances.
Pourtant, les éleveurs n’ont aucune raison d’augmenter leurs prix. Le mouton est un produit local, ne souffrant pas des taxes à l’importation. Son alimentation n’est pas sujette ni tributaire de cette même importation. Mieux encore, la pluie abondante de cette année 2018 a fait fleurir les pâturages. Cette pluie a même été tardive avec de fortes précipitations dans tout le pays aux mois de mai et de juin, donnant une herbe abondante et généreuse pour l’alimentation du bétail.
Les éleveurs doivent tenir compte de ces facteurs favorables, don de la nature pour proposer des prix raisonnables. Ces éleveurs doivent se rappeler que vu les prix élevés de la viande chez le boucher, il existe des familles algériennes pauvres ne consomment, cette viande qu’une fois par an, le jour de l’Aïd El-Adha. Pour le moment, le mouton n’a pas encore envahi les villes, surtout les quartiers populaires. Il ne va sûrement pas tarder car on ne peut imaginer un Aïd el-Adha sans mouton.
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Algérie Poste et l’Agence nationale de promotion et de développement des parcs technologiques (ANPT) ont signé ce mercredi à Alger un protocole d’accord visant à développer le paiement électronique en Algérie.
Le protocole a été paraphé par le directeur général d’Algérie Poste, Abdelkarim Dahmani, et le directeur général de l’ANPT, Abdelhakim Bensaoula, à l’occasion des Journées d’étude sur le « e-commerce et le e-paiement », organisées sur deux jours par l’ANPT au niveau du cyber parc de Sidi Abdallah.
Cet accord porte sur « le développement des services électroniques des sites web marchands », a déclaré à l’APS le DG d’Algérie Poste, expliquant que les deux entreprises « vont mettre en place, à travers cet accord, un mécanisme de partenariat permettant aux jeunes start-up de pouvoir développer des services web marchands dans le cadre de la nouvelle politique adoptée par Algérie Poste pour le développement du paiement électronique ».
Pour le même responsable, cet accord de partenariat « va contribuer au développement des services du paiement en ligne, dans le sens où les start-up vont avoir la documentation et l’assistance nécessaires des services techniques d’Algérie Poste pour pouvoir développer des sites web marchands pour les commerçants et les fournisseurs de biens et de services ».
Il a ajouté que le développement de ces prestations, à travers les entreprises start-up au niveau de l’incubateur de Sidi Abdallah, « contribuera au développement du commerce électronique et du paiement en ligne des différentes prestations à distance pour le compte de ces commerçants ».
Pour sa part, le DG de l’ANPT a indiqué que le protocole d’accord signé « vient en réponse aux besoins exprimés par Algérie Poste en termes de développement des solutions de paiement électronique », relevant que l’ANPT « va soutenir, à travers cet accord, les efforts d’Algérie Poste pour généraliser l’utilisation de ces solutions et vulgariser la technologie auprès du citoyen ».
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Malgré toutes les mesures annoncées par le ministère de l’Intérieur afin de garantir aux citoyens un accès libre et un environnement sécurisé au niveau des plages, le phénomène d’exploitation illicite est loin d’être fini. Une visite nous a menés sur quelques plages du littoral est de la capitale afin de nous enquérir de la situation sur le terrain. Nombreuse étaient les familles, samedi matin, à affluer vers la côte est de la capitale, direction la plage dite « Benyounès », à l’est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès. La plage est alors remplie de parasols. Un groupe de jeunes gère les locations.
Sur la plage, aucune place n’est libre. Les parasols sont plantés comme des champignons, les tables et les chaises en plastique sont collées afin d’occuper tout l’espace. Il n’existe aucune intimité entre les estivants, regrettent les familles rencontrées sur place. « Pour se permettre d’avoir une bonne place pied dans l’eau il faut arriver à six heures du matin », nous dit un père de famille venu de Rouiba, avant d’ajouter : « Je me suis déplacé vers cette plage vu sa bonne réputation. Mais là, il y a trop de monde et on ne trouve pas de place pour placer notre parasol. Nous sommes obligés de louer ».
Même si les prix appliqués sont exorbitants, le citoyen n’a guère d’autre choix que de payer, en l’absence de toute concurrence ou parce que les parasols et les tentes proposés à la location sont mis aux meilleurs emplacements, ou encore parce qu’il est interdit d’utiliser ses propres équipements. Même constat à la plage du Bateau cassé, à Bordj El-Kiffan, à l’est d’Alger. Une dame, la cinquantaine, nous a fait part de son mécontentement après avoir payé 1 500 DA pour 4 chaises, une table et un parasol, découvrant plus tard que des équipements gratuits relevant de l’Office des parcs des sports et de loisirs d’Alger (OPLA) sont disponibles juste à quelques mètres d’elle.
Accompagnée de ses quatre enfants, la dame regrette l’absence des agents de contrôle. « En l’absence des agents de contrôle, les squatteurs des plages font la loi ici à Bateau cassé. L’estivant doit payer le parking, la table, les chaises et le parasol. Cela est inacceptable. Une journée en mer nous revient très cher », clame la dame. Arrivant avec un parasol sous le bras, un père de famille nous apprend qu’il est obligé de planter son parasol à l’arrière puisque tous les espaces sont occupés par des parasols de location. « Je me demande comment je vais surveiller mes enfants pendant qu’ils se baignent », s’inquiète-t-il. Fort est de constater que, finalement, la plage n’est pas gratuite pour le citoyen algérien, et ce malgré les promesses des autorités.
Appel aux citoyens à déposer plainte contre les squatteurs
Le directeur du tourisme de la wilaya d’Alger, Noureddine Mansour, a mis en avant « la gratuité » des équipements disponibles sur les plages au profit des estivants, appelant chaque citoyen contraint de payer ces services, à déposer
plainte auprès des services concernés au niveau des plages.
« L’accès aux plages de la wilaya d’Alger et l’exploitation des équipements disponibles, à savoir les tables, les chaises et les parasols, sont gratuits pour tous les estivants », avait déclaré M. Mansour au sujet de la contestation de certains estivants contraints à payer ces équipements en dépit de leur gratuité. « Quiconque se trouve contraint à payer l’accès à la plage ou aux équipements n’a qu’à se diriger vers les services concernés au niveau des plages pour déposer plainte », a-t-il souligné.
Affirmant que la direction du tourisme de la wilaya d’Alger n’a reçu, à ce jour, aucune plainte de la part des estivants à ce sujet, M. Mansour a mis en garde des « comportements de certains agents qui outrepassent cette décision en demandant une contrepartie financière ». M. Mansour a rappelé que la wilaya d’Alger disposait de 87 plages, dont 21 interdites à la baignade et 67 autorisées, outre l’existence de 30 établissements hôteliers (pieds dans l’eau) d’une capacité d’accueil de 9 000 lits. Les services de la Protection civile de la wilaya d’Alger ont recensé l’affluence de quelque 752 000 estivants ayant fréquenté les plages d’Alger depuis le début du mois de juin écoulé, et ce jusqu’à la deuxième semaine du mois de juillet.
Par Lilia Ait Akli
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L’euro reculait mardi en fin de séance face à un dollar aidé par des indicateurs de bonne tenue sur l’économie des Etats-Unis à la veille de nouvelles données sur l’emploi et d’une décision de la banque centrale américaine. Vers 19H00 GMT (21H00 à Paris), la monnaie unique européenne s’échangeait 1,1699 dollar, contre 1,1706 dollar lundi vers 21H00 GMT. La devise européenne progressait face à la monnaie nipponne à 130,80 yens, contre 129,99 yens lundi soir. Le dollar était également en hausse face au yen à 111,80 yens, contre 111,04 yens lundi soir. Le dollar, qui reculait en début de journée, a gagné en vigueur à l’ouverture de la séance américaine. « Du côté des indicateurs, il est encourageant de voir les revenus et les dépenses (des ménages américains) augmenter de concert », a relevé Omer Esiner de Commonwealth Foreign Exchange en faisant référence à la hausse de ces données de 0,4% en juin.
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Troisième SUV de Seat, le Tarraco sera dévoilé le 18 septembre prochain avant de se laisser admirer au Mondial de Paris, mais les premières informations se laissent déjà connaître.
SUV 7 places, le Seat Tarraco mesure 4,74 m de long, soit de plus 38 cm que l’Ateca, se plaçant même au-dessus du Skoda Kodiaq et du Volkswagen Tiguan Allspace. Il affiche 1.8m de largeur, 1.7 de hauteur et un empattement et un empattement de 2,79 m (2,63 m pour l’Ateca). Véhicule familiale par excellence, le Seat Tarraco disposera d’un volume de coffre de 760 litres en configuration 5 places et 700 litres en 7 places. En parlant de cette seconde configuration, il est utile de préciser que la troisième rangée est conçue pour accueillir des enfants, des adultes pouvant, certes, y prendre place mais pour des distances courtes.
Esthétiquement, peu d’informations circulent autour du Tarraco mais Seat a annoncé la couleur en déclarant que « le Tarraco sera plus qu’un Ateca allongé en ayant sa propre personnalité qui inaugurera un nouveau langage dans le design de la marque » comme l’atteste la nouvelle signature de ce SUV.
Suivant la montée en gamme, l’habitacle offrira le « Digital Cockpit », sur les finitions hautes sûrement, et devrait aussi proposer une planche de bord inédite chez la marque.
Sous le capot, le Seat Tarraco diposera d’une large gamme de motorisations dont les 1.5 TSI 150 ch (BVM et 4×2) le 2.0 TSI 190 ch (DSG7 et transmission intégrale 4Drive) ainsi que les diesel 2.0 TDI 150ch BVM (4×2 ou 4×4) et 190ch associé à la DSG7 et4Drive.
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L’hôpital des grands brûlés d’Oran sera réceptionné en décembre prochain, alors qu’il était prévu qu’il soit inauguré le 5 juillet passé, a indiqué mercredi le wali d’Oran Mouloud Cherifi en marge de la visite d’inspection qu’il a effectuée sur les lieux.
« Le retard accusé en la matière ne concerne pas uniquement cet hôpital, mais tous les autres projets liés au secteur de la santé pour des considérations financières. Tout est rentré dans l’ordre depuis l’intervention du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui a ordonné au gouvernement de débloquer les fonds nécessaires pour l’achèvement des chantiers inhérents à trois secteurs, dont celui de la santé« , a déclaré le chef de l’exécutif de la capitale de l’Ouest à la presse.
L’hôpital des grands brûlés, situé à Sidi Chahmi, est un projet d’envergure nationale, d’une capacité de 140 lits. Lancé en 2015, le taux de sa réalisation a atteint actuellement les 75%, selon les explications données au wali par les responsables de la société chargée des travaux. M. Cherifi s’est dit satisfait de l’état d’avancement des travaux dans ce chantier, estimant que leur cadence est « bien soutenue » par rapport à la dernière visite sur les lieux.
« Ce nouvel hôpital sera un acquis très important non seulement pour la population oranaise, mais aussi pour toute la région Ouest du pays. »
Dans la foulée, le wali a reconnu que le fonctionnement de cet établissement nécessitera un budget important, d’où sa demande aux services concernés d’établir d’ores et déjà leurs besoins dans ce registre afin de les présenter au ministère de tutelle, de manière à ce que tout soit mis en œuvre parallèlement à la réception du projet.
Non loin de ce chantier d’une superficie de 17000 mètres carrés, il a également inspecté le projet de réalisation de l’institut national de recherche sur le cancer. Là aussi, le même responsable s’est dit « réjoui » de l’avancement des travaux, qui ont connu à leur tour un retard sensible pour les mêmes considérations financières, a-t-il expliqué, annonçant la livraison de cet établissement au début de l’année 2019. Le chantier, pour lequel 80 millions de dinars ont été mobilisés, a été lancé en 2013. Le maître d’oeuvre s’est fixé initialement un délai de 36 mois quant à sa livraison, rappelle-t-on.
Ce n’est pas le cas pour la nouvelle faculté de médecine, implantée à proximité de ces lieux, troisième point à l’ordre du jour de la visite du wali, qui sera opérationnelle « dès la prochaine rentrée universitaire » a-t-il assuré. À noter que cette faculté sera la plus grande dans le pays dans sa spécialité, étant donné que sa capacité d’accueil est estimée à 10.000 places pédagogiques.
Par ailleurs et toujours dans le secteur de la santé, M. Cherifi a rappelé que pas moins de six établissements hospitaliers sont actuellement en cours de réalisation au niveau des communes de Sidi Chahmi, El Kerma, Oued Tlélat et Gdyel, entre autres. « Toutes ces réalisations vont permettre une meilleure prise en charge des malades au niveau de l’Oranie et permettront ainsi de diminuer la pression pesant actuellement sur les établissements en place« , a souligné le même responsable qui a insisté, au passage, sur la nécessité de faire participer les spécialistes dans les opérations d’acquisition des équipements médicaux, en contribuant notamment à l’établissement des cahiers de charges.
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