ALGER- Le groupe national des hydrocarbures, Sonatrach, souhaite la création d’une base de données comptant l’ensemble des entreprises nationales, publics et privées, souhaitant sous-traiter pour la compagnie, a annoncé lundi à Alger son P-dg, Abdelmoumen Ould Kaddour.
Cette base de donnée se formera au fur et à mesure que les entrepreneurs nationaux prennent attache avec la compagnie pétro-gazière, à travers une adresse-mail leur étant mise à disposition, a expliqué M. Ould Kaddour lors d’une conférence de presse tenu en marge des Journées d’‘information de Sonatrach sur « les opportunités d’investissement pour les entreprises algériennes ».
En effet, lors de la deuxième journée de cette rencontre une adresse mail : integrationnationale@sonatrach.dz , a été présentée aux participants. Elle a été mise en place spécialement pour recueillir les questions, doléances et besoins des opérateurs économiques, et ce, en vu de renforcer l’interaction entre eux et le groupe pétro-gazier, au service du renforcement de l’intégration dans l’industrie pétrolière.
Cette liaison permettra également à Sonatrach de conseiller, orienter et expliquer ses besoins à ces opérateurs pour les amener à perfectionner leurs offres de bien et/ou de services.
Suite à la constitution de cette base de données, une pré-qualification d’entreprises nationales aptes à fournir les équipements et les services nécessaires aux activités de la compagnie sera réalisée.
=== Pré-qualification des entreprises nationales aptes à sous-traiter pour Sonatrach ===
« Nous allons pré-qualifier toutes les entreprises qui souhaitent l’être et nous les évaluerons techniquement, qualitativement et sur le plan organisationnel. Si elles sont inscrites dans notre de liste de sous-traitants, automatiquement, elles serons prises en considération pour la fournitures des besoins » de Sonatrach, a-t-il expliqué.
Les procédures de passation des marchés publics comportent des contraintes pour les opérateurs nationaux qui souhaitent percer et contracter des marchés avec Sonatrach, a également estimé le P-dg.
Selon lui, il est nécessaire de donner l’opportunité aux nouvelles entreprises de contracter des marchés en leurs donnant l’occasion de faire leurs preuves, notamment, en essayant leurs produits au niveau des différentes installations de la compagnie.
« Si le produit est bon », M. Ould Kaddour a indiqué qu’alors la compagnie pourra directement acheter le produits chez ce fournisseur sur la base d’un marché de gré-à-gré, dans le cas où il dispose de l’exclusivité de la fourniture du lot en question.
« La rigidité administrative que nous avons a fait que les accès à ce potentiel ne se fait pas », a souligné M. Ould Kaddour.
Pour rappel, une nouvelle procédure de passation des marchés devant permettre au groupe Sonatrach d’intégrer pleinement la promotion du contenu local dans ses projets, sera incessamment opérationnelle, avait-on indiqué plutôt dans la journée.
Par ailleurs, dans le cadre de cette rencontre et lors d’une table ronde portant pout problématique « comment doit-on à la fois contribuer à promouvoir les capacités d’intervention locales et veiller aux impératifs d’efficacité et de performance des entreprises algériennes dans la construction d’infrastructures, d’ouvrage, de canalisation entre autres », les panelistes ont mis en évidence la priorité donnée par Sonatrach à la livraison, dans les délais, de ses commandes en termes d’équipements ou de réalisation d’installation.
Cette priorité impose, parfois, vus ses enjeux pour la compagnie et pour l’économie du pays en sa globalité, le choix de fournisseurs étrangers au détriment des opérateurs nationaux que pourtant Sonatrach vise à encourager et avoir pour partenaires.
C’est dans ce sens, que les panelistes ont appelé les entrepreneurs présents parmi l’assistance à fournir plus d’efforts dans le sens du développement de leurs offres et leur efficacité.
Ainsi, le Directeur de l’activité production-exploration au niveau de Sonatrach, Rachid Hachichi a mis en exergue l’importance de la disponibilité de sous-traitants nationaux dans le domaine de l’amont pétrolier appelant les entrepreneurs à présenter, dans le cadre de la procédures des marchés publics, de « bonnes » offres techniques.
Par ailleurs, lors de cette même table ronde, les entrepreneurs ont relevé le retard qu’accuse Sonatrach dans le paiement de ses factures, un retard dû, selon les panelistes à la masse de factures à régler par le service en charge de la tache au sein de la compagnie, la compagnie travaillant « avec le monde entier ».
Concernant la quatrième table ronde portant pour thème « comment envisager l’émergence d’une sous-traitance industrielle, fondée sur une intégration intersectorielle et contribuant à l’activité économique du secteur des hydrocarbures », les panelistes ont indiqué que c’est dans les activités de la maintenance et des pièces de rechanges, requises par les installations de Sonatrach, que les opérateurs algériens sont les moins nombreux.
Par contre, pour le volet pipeline et installations de pipes, les opérateurs nationaux assurent 100% des besoins de Sonatrach, ont assuré les panelistes.
A l’issue de la journée, la restitution des conclusions des différentes tables rondes tenues mardi a été présentée à l’assistance.
Ces conclusions comportent la nécessité de « changer les comportements et renforcer la communication avec les entreprises ».
Il est également ressorti de cette restitution, la nécessité de l’instauration de l’organisation en mode groupement d’entreprises et montage de sociétés-mixtes, ainsi que la nécessité de l’aboutissement des projets de développement par métiers ou par segments.
De même, il s’est avéré nécessaire, à l’issus des travaux de cette rencontre, que les entreprises nationales mènent des actions afin de prendre en charge la construction des équipements et des installations complexes à travers le mode groupement de société ou de partenariats.
Il s’est également avéré nécessaire que les fournisseurs nationaux livrent dans les délais leurs commandes à Sonatrach et que cette dernière ne tarde pas dans le règlement de ses factures pour ne pas « étouffer financièrement » les opérateurs nationaux, et ce, entre autres recommandations.
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OUARGLA- Six personnes sont mortes suite à des piqûres de scorpions durant la période allant du 1er janvier au 31 août 2018 à travers la wilaya d’Ouargla ou un total de plus de 1.729 piqûres de scorpions ont été enregistrées, a-t-on appris auprès de la direction de la Santé, de la Population et de la réforme hospitalière (DSPRH).
Le nombre de cas de piqûres de scorpions a enregistré un « recul » ces dernières années, à la faveur des mesures préventives basées essentiellement sur la sensibilisation sur les dangers de cette insecte, a indiqué à l’APS le chef du service de la prévention Dr Djamel Mâameri.
Pas moins de 2.524 piqûres de scorpions et sept (7) décès ont été recensés l’année dernière contre 2.772 piqûres ayant causé aussi sept (7) décès en 2016, a-t-il détaillé.
Tous les moyens nécessaires sont mobilisés afin d’assurer une bonne prise en charge médicale des victimes de piqûres de scorpions au niveau de l’ensemble des structures de santé dans la wilaya, a-t-il assuré .
La direction de la santé s’emploie à intensifier ses efforts en collaboration avec les différents acteurs concernés, dont les services de la wilaya, les communes, la direction de l’environnement et les associations locales pour sensibiliser le citoyen qui est un « partenaire principal » dans ces initiatives de prévention, a ajouté ce responsable .
Dans ce cadre, des mesures préventives ont été mises en oeuvre depuis mai dernier au titre de la mise en £uvre du programme national de prévention contre l’envenimation scorpionique, notamment, l’élimination des décharges sauvages qui représentent souvent des foyers de prolifération des scorpions, a-t-il fait savoir.
Le même responsable a appelé à cette occasion, à éviter les pratiques traditionnelles de traitement de cas de piqûre de scorpion, en insistant sur l’importance d’évacuation rapide de la victime vers la structure de santé la plus proche pour assurer une meilleure prise en charge médicale.
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Le football est sans nulle contestation le sport collectif le plus populaire et le plus répandu dans le monde et c’est pourquoi sa déclinaison en version électronique s’est faite très naturellement. Un succès qui n’as pas tardé à être ressenti dans le monde et qui n’as pas séduit uniquement les amateurs de football, toutes CSP confondues.
En Algérie, le E-Sport prend de plus en plus de place dans la société, et les gamers s’affrontent sans relâche partout et à tout moment de la journée et les challenges continuent avec des compétitions en individuel ou en équipe. Dans cette optique, et en sa qualité de leader des communications numériques et acteur majeur de la transformation digitale, l’opérateur Djezzy est, pour la seconde fois, le partenaire officiel et exclusif de cette manifestation.
« L’idée d’en faire une émission nous est alors venue naturellement », annonce M. Brahim BOUCHRIT, directeur de Sixty2. « Nous avons constaté que les gamers avaient atteint un niveau technique et tactique très élevé. En même temps, les prestations de nos footballeurs pro ne sont plus à présenter ; ce qui nous a incité à les faire rencontrer autour d’un concept qui rassemble les deux disciplines sportives dans un programme de divertissement que nous avons appelé E-CUP« . Et de continuer : « Ce nouveau concept attire l’attention de nombreux annonceurs qui voient en cette nouvelle émission une opportunité de toucher un nouveau genre de divertissement mais surtout à une cible plus large, jeune et ultra connectée. »
L‘E-CUP, une compétition inédite et atypique ; une première rencontre dans une arène complètement pensée comme le temple des gestes techniques et des prouesses tactiques, et une seconde sur un vrai terrain de football.
Notre concept s’étale sur 8 semaines durant lesquelles s’affrontent deux équipes ; l’une constituée de joueurs professionnels internationaux algériens, l’autre, de jeunes talents experts en football dans sa version électronique.
Un challenge en 3 étapes :
Studio : 5 matchs en individuel entre un footballeur et un gamer, LE SHOW !
Stade : 5 épreuves complètement folles où la maîtrise technique et l’endurance sont les maîtres mots !
Finale : un représentant pour chaque team pour un match ultime !
A l’animation, une révélation : Aissa SRAICHE, un jeune algérien talentueux que nous avons cherché et trouvé via les réseaux sociaux, et qui sera, sans le moindre doute, LA voix qui accompagnera vos plus grandes compétitions footballistiques dans un futur proche.
Ce programme de 20 minutes sera diffusé chaque samedi à 21H00, en Prime Time et en exclusivité sur la chaine sportive EL HEDDAF TV à partir du 15 septembre 2018, et, afin de faire prolonger l’expérience, le concept sera soutenu par tout un dispositif digital autour du programme, avec plein d’exclusivités et de surprises sur les différentes plateformes de réseaux sociaux, en l’occurrence, les pages Facebook et Instagram du E-CUP et celles de l’opérateur de téléphonie mobile Djezzy, partenaire officiel et exclusif de ce programme.
Que « la foot » commence !
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Discrètement, l’ancien chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, met «en état d’alerte» ses nombreux réseaux et soutiens à l’intérieur comme à l’extérieur du FLN.
Très proche des milieux islamistes, notamment la base de l’ex-FIS, Belkhadem n’a pas manqué d’attirer l’attention du cercle présidentiel, lui qui multiplie les visites à l’intérieur du pays.
On redoute, en fait, une candidature de l’ex-SG du FLN aux prochaines présidentielles et qui ne manquerait pas d’être ralliée par les islamistes.
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ALGER – Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelkader Benmessaoud , a affirmé lundi à Alger, que les 82 projets de d’hôtels, en cours de réalisation dans la wilaya d’Alger, devront assurer plus de 14.000 lits supplémentaires et 60.000 nouveaux emplois.
Lors d’une conférence de presse en marge d’une visite d’inspection à des projets touristiques dans la wilaya d’Alger, le ministre a précisé qu’il avait été procédé à l’inauguration, au cours des derniers mois, de trois nouveaux hôtels de 3 étoiles qui ont contribué à la création de 2.000 emplois.
Il a ,à ce titre, ajouté que les grands projets hôteliers de catégorie 5 et 4 étoiles ayant fait l’objet d’inspection à Bab Ezzouar et Sidi Fredj assureront 18.000 emplois avant la fin de l’année en cours, tandis que les autres structures touristiques qui sont en cours de concrétisation contribueront à la création de 40.000 emplois supplémentaires, attestant ainsi, souligne le ministre, »de la dynamique croissante et durable que connait le secteur ».
A propos de la privatisation des hôtels publics, le ministre a exclu « cette question, vu que ces hôtels qui font actuellement l’objet d’une opération de réhabilitation de modernisation de grande envergure sont un bien de la collectivité nationale et sont, de ce fait, incessibles ».
Il a, dans ce cadre, insisté sur » l’importance de la modernisation de ces hôtels et sur l’établissement d’une relation de partenariat avec les grandes entreprises de gestion pour l’amélioration de la prestation au profit des clients ».
Par ailleurs, M. Benmessaoud a qualifié la saison estivale de 2018 « de positive et réussie » grâce aux efforts déployés par les parties concernées qui ont contribué à la garantie de « la sécurité et la sérénité », rappelant la convention signée entre les gestionnaires d’hôtels et l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), à l’issue de laquelle les tarifs des hôtels ont été réduits durant cette saison de 30 à 40% pour profiter aux familles algériennes.
S’agissant de la facilitation des visas au profit des touristes étrangers, le ministre a indiqué ½ qu’un travail dans ce sens est mené dans le cadre de la commission conjointe avec les parties concernées afin de prendre les mesures permettant de faciliter l’octroi de visas au profit des touristes étrangers».
Le premier responsable du secteur a rappelé, également, que « des efforts sont déployés afin d’organiser le tourisme saharien en vue de drainer plus de touristes notamment étrangers mais aussi faire la promotion de la destination Algérie ».
Lors de sa visite d’inspection à de grands projets, le ministre du Tourisme, accompagné du Wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, s’était enquis des travaux de réhabilitation et de modernisation au niveau de l’hôtel Es-safir, et d’autres projets touristiques à Bab Ezzouar et à Sidi Fredj où il avait visité le centre de thalassothérapie qui connaît une opération de réhabilitation s’est rendu, également, à la Maison de l’artisanat située à Bab El Oued afin d’évaluer les efforts des artisans dans la protection de l’artisanat algérien notamment la sculpture, la dinanderie, l’industrie du cuir et l’habit traditionnel.
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La CIA va lancer des attaques de drones contre des insurgés islamistes d’Al-Qaïda et du groupe de l’Etat islamiste en Libye depuis une nouvelle base dans le nord-est du Niger, a rapporté hier le New York Times.
Selon le quotidien américain citant des responsables nigériens et américains, des opérations de surveillance ont lieu depuis plusieurs mois depuis le petit aéroport de Dirkou dont la piste a été agrandie et la sécurité renforcée depuis février. Interrogé par le journal, le ministre nigérien de l’Intérieur, Mohamed Bazoum, a reconnu la présence de drones américains dans cette petite ville du désert, sans donner davantage d’informations, tandis que le maire de Dirkou, Boubakar Jérôme, a estimé que cela avait amélioré la sécurité de sa ville.
L’utilisation de drones par la CIA avait été limitée par l’ancien président américain Barack Obama à la suite de raids qui avaient fait des victimes civils. M. Obama préférait confier ces opérations à l’armée qu’aux services secrets pour un meilleur contrôle, a ajouté le New York Times. Mais son successeur, Donad Trump, a relancé le rôle de la CIA dans l’utilisation des drones pour mener des attaques, selon la même source. Le Pentagone dispose d’une base à Niamey, la capitale du Niger, à 1.300 km de Dirkou.
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Près de 300.000 hommes représentant toutes les composantes de sont armée avec des soldats Chinois en soutien, la Russie inaugure, ce mardi, les plus vastes manoeuvres militaires de son histoire, perçues par l’Otan comme la répétition d’un « conflit de grande ampleur ».
Ce déploiement massif auquel participent les armées Chinoise et Mongole, baptisé « Vostok-2018 », se poursuivra jusqu’au 17 septembre en Sibérie orientale et dans l’Extrême-Orient Russe.
Il s’agit des plus imposantes manœuvres militaires à être organisées par la Russie, s’est félicité le ministre Russe de la Défense, Sergueï Choïgou, détaillant le contingent attendu : 300.000 soldats, 36.000 véhicules, 1.000 avions et 80 navires. Tout le répertoire moderne de l’armée Russe sera de la partie : des missiles Iskander, capables de transporter des ogives nucléaires, des tanks T-80 et T-90 tout comme les récents avions de combats Su-34 et Su-35.
En mer, la flotte Russe déploiera plusieurs frégates équipées de missiles Kalibr, qui ont fait leurs preuves en Syrie.
Sans surprise aucune, l’Otan dont d’innombrables bases militaires encerclent la Russie, a dénoncé ces manoeuvres. « Cela s’inscrit dans une tendance que nous voyons depuis un moment: une Russie plus sûre d’elle, qui augmente significativement sa présence militaire », a commenté son porte-parole, Dylan White.
Dénonçant l’expansion des forces armées de l’OTAN à ses frontières, Moscou a multiplié des exercices militaires d’ampleur, du Caucase à la Baltique et jusqu’en Arctique, à l’effet d’assurer sa sécurité.
Les manoeuvres Russes en Extrême Orient ont été précédées par des exercices en Méditerranée auxquels ont pris part plus de 25 navires et une trentaine d’avions, dans un contexte de renforcement de la présence Russe au large de la Syrie où elle intervient militairement depuis 2015.
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ALGER- Nefsi Rania Hamida a offert à l’Algérie sa première médaille d’or aux championnats d’Afrique 2018 de natation, qui se déroulent du 10 au 16 septembre courant à la piscine du complexe olympique Mohamed-Boudiaf (Alger), après sa victoire dans le 400m / quatre nages en 4:56.96.
L’Algérienne a devancé deux Sud-africaines, en l’occurrence Samantha Randle (2e en 4:5975) et Jessica Whelan, qui a complété le podium en 5:00.66.
Une médaille O combien importante pour la sélection algérienne, ayant revu ses objectifs à la baisse après la défection de trois de ses meilleurs atouts, à savoir : Oussama Sahnoun, Djaoued Seyoud et Nazim Belkhodja, qui avaient déclaré forfait 48 heures seulement avant le début de la compétition.
Sahnoun avait évoqué une blessure aux adducteurs, et Seyoud un problème à la cheville, alors que « Belkhodja s’était excusé pour des problèmes familiaux », selon le président de la Fédération algérienne de natation Mohamed Hakim Boughadou.
Des absences de taille, qui ont obligé la sélection algérienne à revoir ses objectifs à la baisse, mais l’exploit de la jeune Nefsi Rania semble lui avoir redonné espoir, surtout que la compétition n’est qu’à son premier jour et que l’Algérie a engagé un nombre record de 25 nageurs, entre messieurs et dames.
Il s’agit de : Aymen Benabid, Ramzi Chouchar, Lounis Khendriche, Anis Djaballah, Nazim Benbara, Abderrazak Siar, Moncef Balamane, Abdallah Ardjoune, Mohamed Ryad Bouhamidi, Rafik Chouchar, Ali Betka et Bachir Moubarki chez les messieurs, ainsi que : Souad Cherouati, Amel Mellih, Rania Nefsi, Nesrine Medjahed, Madja Chebaraka, Imene Zitouni, Khensa Belkacermi, Amina Maldji, Meriem Chieck, Jihane Benchadli, Nerimene Hennouni, Serine Maldji et Sara Moulfi chez les dames.
La moisson des Verts vient d’ailleurs d’être bonifiée par deux médailles de bronze, oeuvre de Medjahed Nesrine, troisième sur le 100m nage libre, en 58.09 et Mellih Amel, troisième sur le 50m dos, en 29:67.
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ALGER- La nouvelle loi organique des lois de finances, modifiant celle de 1984, a été publiée au dernier journal officiel (N53).
Selon cette loi, attendue depuis plusieurs années, les crédits sont exécutés par programme au lieu de la répartition par ministère appliquée jusque-là.
Ainsi, dès la promulgation de la loi de finances, une répartition détaillée des crédits votés, par ministère ou institution publique, est effectuée par programme et sous-programme.
La mise en place des crédits est attribuée aux gestionnaires de programmes responsables, aux services centraux et des services déconcentrés, aux établissements et organismes publics sous tutelle ainsi qu’aux organes territoriaux lorsqu’ils sont chargés de l’exécution de tout ou partie d’un programme.
Mais lorsqu’un changement dans l’organisation des structures gouvernementales intervient en cours d’année, la répartition des programmes et crédits y afférents peut être révisée par décret sans que le montant global fixé dans la loi de finances de l’année ou dans la loi de finances rectificative ne soit augmenté.
Les crédits sont spécialisés par programme, conformément à l’article 75 de la présente loi, ou par dotation en ce qui concerne les crédits non assignés. Ces crédits sont présentés par activité et, le cas échéant, par titres, groupant les dépenses selon leur nature, conformément aux dispositions de l’article 29 de la présente loi.
Selon la nouvelle loi, un programme regroupe l’ensemble des crédits concourant à la réalisation d’une mission spécifique relevant d’un ou de plusieurs services, d’un ou de plusieurs ministères ou institution publique et définie en fonction d’un ensemble cohérent d’objectifs précis.
Les charges budgétaires de l’Etat sont regroupées selon les classifications suivantes, par activité (programmes et leurs subdivisions), par nature économique de dépenses (titres de dépenses et leurs subdivisions), par grandes fonctions de l’Etat (les secteurs ayant la charge de réaliser les objectifs par fonction) et par entités administratives ayant la charge de préparer et d’exécuter le budget (ventilation des crédits budgétaires par ministères ou institutions publiques).
Des décrets d’ajustement peuvent être pris sur le rapport du ministre chargé des finances, en cours d’année, pour prendre en charge, par le gel ou l’annulation de crédits destinés à la couverture de dépenses, une situation d’ajustement nécessaire en cas de détérioration des équilibres généraux.
Le ministre des finances présente un exposé global chaque fin d’exercice sur les opérations d’ajustement, devant les organes compétents du Parlement.
Des décrets d’avance peuvent également être pris en cours d’année à l’initiative du Gouvernement pour prendre en charge, par ouverture de crédits supplémentaires, des dépenses non prévues dans la loi de finances et exclusivement pour des cas d’extrême urgence.
L’ouverture de ces crédits résulte, soit par la constatation des recettes supplémentaires ou par l’annulation des crédits et leur répartition s’effectue par décret, les organes compétents du parlement sont immédiatement informés.
En tout état de cause, le montant cumulé des crédits ainsi ouvert ne peut excéder 3% des crédits ouverts par la loi de finances.
Une dotation inscrite au budget général de l’Etat peut compléter les ressources particulières d’un compte d’affectation spéciale dans la limite de dix pour cent (10%) du montant des ressources collectées au cours de l’exercice précédent.
Quant aux ressources budgétaires de l’Etat, elles comprennent les recettes provenant des impositions de toute nature ainsi que le produit des amendes, les revenus des domaines de l’Etat, les revenus des participations financières de l’Etat ainsi que ses autres actifs, la rémunération de services rendus par l’Etat et les redevances, les produits divers du budget, les produits exceptionnels divers, les fonds de concours, dons et legs, les intérêts et produits provenant de prêts, avances et placements de l’Etat.
L’Etat est autorisé à emprunter et à octroyer des garanties dans le respect des équilibres budgétaire, financier et économique, ainsi que de l’encours de la dette publique.
Le projet de loi de finances de l’année est accompagné d’un rapport sur la situation et les perspectives économiques, sociales et financières sur le moyen terme, d’annexes explicatives faisant connaître notamment l’évolution, par catégories d’impôts, les prévisions des produits provenant des autres ressources, du projet de budget de l’Etat, du rapport sur les priorités et la planification établi par chacun des ministres et des responsables des institutions publiques en charge de la gestion des programmes, de la répartition territoriale du budget de l’Etat, d’un échéancier des crédits liés aux autorisations d’engagement, d’une liste complète des comptes spéciaux du Trésor et de l’état des effectifs retraçant leur évolution et justifiant les variations annuelles.
Quant aux données et informations liées à la sauvegarde des intérêts majeurs de l’Etat et à la défense nationale, elles sont présentées dans des documents sous forme adaptée et leur publication doit être aménagée en fonction de leur sensibilité.
Le projet de loi de finances rectificative (loi de finances complémentaire) est quant à lui accompagné d’un rapport explicatif des modifications apportées à la loi de finances de l’année et de tout document susceptible d’apporter des informations nécessaires et utiles.
Pour la loi portant règlement budgétaire, elle peut comporter toutes dispositions relatives à l’information et au contrôle du Parlement sur la gestion des finances de l’Etat, ainsi qu’à la comptabilité de l’Etat et au régime de la responsabilité des agents des services publics.
Le projet de loi portant règlement budgétaire, y compris les documents annexes, doit être déposé sur le bureau de l’Assemblée Populaire Nationale avant le 1er août de l’année. Ce projet de loi de règlement budgétaire se rapportera à l’exercice budgétaire N-1dès l’année 2026.
==Evaluer les résultats selon les objectifs tracés==
La loi organique, qui a pour objet de définir le cadre de gestion des finances de l’Etat devant régir la préparation des lois de finances, leur contenu, leur mode de présentation et leur adoption par le Parlement, vise le développement de politiques publiques basées sur le principe de gestion axée sur les résultats à partir d’objectifs précis, définis en fonction des finalités d’intérêt général et faisant l’objet d’une évaluation.
Un cadrage budgétaire à moyen terme (CBMT) est arrêté chaque année par le Gouvernement sur proposition du ministre des finances, au début de la procédure de préparation des lois de finances. Ce cadre détermine, pour l’année à venir, ainsi que les deux années suivantes, les prévisions de recettes, de dépenses et du solde du budget de l’Etat, ainsi que, le cas échéant, l’endettement de l’Etat, stipule la nouvelle loi.
Pour ce qui est de la comptabilité tenue par l’Etat, il s’agit d’une comptabilité budgétaire qui se décompose en comptabilité des engagements et en comptabilité des recettes et des dépenses budgétaires fondée sur le principe de la comptabilité de caisse.
L’Etat tient également une comptabilité générale de l’ensemble de ses opérations, fondée sur le principe de la constatation des droits et obligations.
En outre, il met en oeuvre une comptabilité d’analyse des coûts destinée à analyser les coûts des différentes actions engagées dans le cadre des programmes.
Selon la loi organique, les comptes de l’Etat doivent être « réguliers, sincères et refléter de manière fidèle son patrimoine et sa situation financière ».
La loi de finances de 2023, ainsi que sa loi portant règlement budgétaire, seront les premières lois conformes aux dispositions de la nouvelle loi organique.
L’application des dispositions de la nouvelle loi organique pour les lois de finances pour 2021 à 2022, qui demeurent régies par les dispositions de l’ancienne loi organique des lois de finances (la 84-17 du 7 juillet 1984), s’effectue suivant le principe de progressivité, par l’introduction, pour chaque exercice budgétaire, d’un bloc opérationnel et fonctionnel prévu par la nouvelle loi.
A titre transitoire, les projets de loi portant règlement budgétaire afférents aux années 2023, 2024 et 2025 seront réparés, discutés et adoptés par référence à l’exercice budgétaire N-2.
A partir de l’année 2026, le projet de loi portant règlement budgétaire est préparé, discuté et adopté, par référence à l’exercice budgétaire N-1.
Les textes régissant la gestion et les procédures budgétaires des établissements et organismes publics, demeurent en vigueur jusqu’à la publication des textes qui les remplacent.
Les dispositions contenues dans la loi de 1984, traitant de la déchéance quadriennale et de l’établissement des états exécutoires pour le recouvrement des créances étrangères à l’impôt et au domaine, nées au profit des services de l’Etat, et non reprises dans la nouvelle loi, continueront à s’appliquer jusqu’à l’intervention d’une disposition de loi de finances les régissant et, le cas échant, de la loi relative à la comptabilité publique.
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par El-Houari Dilmi
Des boissons alcoolisées ont encore été saisies cette semaine à Frenda, nous apprend un communiqué de la Sûreté de wilaya. En effet, les prises par les services de sécurité d’importantes quantités de boissons alcoolisées se multiplient ces derniers jours, avec la saisie avant-hier de 400 bouteilles d’alcool de différentes marques à l’entrée de la ville de Frenda. Deux individus ont été arrêtés à bord d’un véhicule dont l’un a été condamné en comparution directe à six mois de travaux d’intérêt public. Toujours selon la Sûreté de wilaya, 313 permis de conduire ont été retirés à leurs titulaires durant le mois d’août et 52 véhicules mis en fourrière. En matière de sécurité routière, treize accidents de la circulation ont été enregistrés durant le même mois, faisant 36 blessés mais heureusement aucun mort. Toujours selon le bilan de la Sûreté de wilaya, 83 kilogrammes de viandes rouges et blanches ont été saisis ainsi que 541 kilos de fruits et légumes.The post Tiaret: Retraits de permis de conduire et saisie de boissons alcoolisées appeared first on .
par R.N.
L’ensemble des directeurs de la Santé et de la Population des wilayas, ont été instruits à l’effet d’»investiguer immédiatement» tous cas suspects concernant l’épidémie du choléra qui peuvent apparaitre du fait de la mobilité des populations, a indiqué hier un communiqué du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. L’ensemble des directeurs de la Santé et de la Population des wilayas, ont été «instruits à l’effet d’investiguer immédiatement tous cas suspects qui peuvent apparaitre du fait de la mobilité des populations et de renforcer le dépistage actif à la recherche de porteurs sains», a précisé la même source, ajoutant que le nombre de cas suspects hospitalisés a «diminué sensiblement». Le ministère a relevé que le cas hospitalisé à l’EHS Sidi Chahmi dans la wilaya d’Oran n’est pas originaire de la wilaya d’Oran, mais il s’agit, a précisé le ministère d’un «cas sporadique» ayant été contaminé selon l’enquête épidémiologique par des porteurs sains. Le cas hospitalisé à l’EHS El Kettar transféré de l’EPH Aïn Taya est un cas sporadique ayant été contaminé également par un porteur sain selon l’enquête épidémiologique, a encore souligné le ministère. Le dispositif de veille sanitaire mis en place par le ministère depuis la déclaration des premiers cas demeure «en vigueur et la mobilisation des équipes de santé reste à son plus haut niveau», a assuré la même source. Considérant le nombre croissant des cas d’intoxication alimentaire, le ministère rappelle le strict respect des règles d’hygiène pour prévenir l’apparition de ces toxi-infections alimentaire.The post Cas de choléra à Oran et Alger : les «explications» du ministère de la santé appeared first on .
par M. Aziza
Selon des sources syndicales, rien ne va plus à l’institut Pasteur d’Algérie, au moment où les autorités sanitaires du pays ont besoin de toutes les institutions sanitaires, notamment de la recherche et d’analyses pour éradiquer l’épidémie du choléra.Sachant que cette bataille pour l’éradication de cette épidémie n’est pas totalement gagnée étant donné les cas suspects enregistrés ces derniers jours. Un cri de détresse a été lancé par la section syndicale de l’institut Pasteur d’Algérie, affiliée à l’UGTA, dénonçant à travers un communiqué rendu public «la situation actuelle au niveau de l’ensemble de l’institut Pasteur d’Algérie qui laisse à désirer au niveau de tous les sites», précisent les rédacteurs du communiqué parvenu à notre rédaction. Selon ces syndicalistes, «l’institut Pasteur n’est plus ce qu’il était il y a quelques années», en expliquant que «l’institution a beaucoup perdu de sa notoriété, en se trouvant dans une situation déplorable».
Pourtant, les syndicalistes se sont réunis, selon leurs propos, avec le directeur général de l’institut Pasteur «mais toutes les réunions que nous avons faites avec vous n’ont abouti à aucun résultat », ont-ils souligné dans le communiqué. Les syndicalistes s’insurgent contre la marginalisation de tous les anciens travailleurs quel que soit leur rang « qui ont été mis à l’écart de votre part ! », ont-ils affirmé. Une marginalisation qui a entraîné une rupture de confiance entre l’administration et les travailleurs et une démotivation du personnel administratif et scientifique. C’est ce qui a engendré, selon leurs propos, « une baisse de la production et de la productivité dans tous les domaines ».
Les rédacteurs du communiqué ont affirmé que toutes les demandes des travailleurs concernant leur situation socioprofessionnelle adressées à leur direction, par la section syndicale, n’ont obtenu aucune réponse de la part de la direction. Ils ont ainsi dénoncé cette «indifférence» à leur égard et ce «silence total» de la part de la direction générale.
Ils exigent le respect des engagements et des promesses de la direction, qui sont restés sans suite, concernant la satisfaction des revendications socioprofessionnelles. Les syndicalistes ont dénoncé plus précisément «la politique discriminatoire» pratiquée par leur direction, concernant notamment les décisions, promotions et sanctions sans concertation avec la section syndicale. Ils ont également dénoncé le manque de réactifs au niveau des laboratoires, sachant, disent-ils, que l’institution ne peut pas faire face aux sollicitations, notamment dans ce climat qui est «défavorable». Ils ont affirmé qu’une anarchie totale règne à l’institut Pasteur avec «la hogra, le recrutement anarchique, le favoritisme, des travailleurs qui sont payés à ne rien faire» en ajoutant que «les anciens travailleurs cadres, responsables, scientifiques n’ont plus d’intérêt à vos yeux et vous ne vous souciez pas de leur avenir et de ce qu’il leur reste comme activité à l’institut Pasteur».
Les travailleurs de l’Institut Pasteur veulent ainsi défendre leur institution en prévoyant la tenue d’une assemblée générale dans les plus brefs délais pour organiser des actions de protestation en mettant en garde leur directeur général et en l’avertissant «vous serez seul responsable de vos actes».
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par R.N.
Trois personnes sont décédées et 22 autres ont été blessées hier à Aïn Defla dans un accident de la circulation survenu sur le tronçon de l’autoroute Est-Ouest traversant la wilaya, a-t-on appris auprès de la direction locale de la protection civile.L’accident s’est produit au lieu dit «Ouled El Mahdi» relevant de la commune de Hocinia lorsqu’un bus assurant la liaison Saïda-Alger a dérapé avant de se renverser, causant le décès de 3 passagers et des blessures graves à 22 autres âgés entre 18 et 55 ans, a-t-on indiqué. La violence du choc a été telle que le bus qui se dirigeait vers Alger s’est retrouvé sur la voie menant vers Oran, a-t-on précisé, signalant qu’aussitôt alertés, les services de la protection civile sont intervenus, mobilisant 4 camions, 8 ambulances et pas moins de 35 éléments. Les victimes ont été évacuées vers la morgue et le service des urgences de l’établissement public hospitalier (EPH) de Khémis Miliana, a-t-on fait savoir, observant que les conditions climatiques (pluies torrentielles) et l’excès de vitesse seraient à l’origine de l’accident.
Une enquête a été ouverte par les services de la Gendarmerie nationale en vue de déterminer les circonstances exactes de ce drame, a-t-on souligné, ajoutant que l’accident a causé une perturbation de la fluidité de la circulation, au niveau de la route reliant Boumedfaâ à Khémis Miliana étant encore fermée.
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par J. Boukraa
Au grand bonheur des milliers de postulants au logement dans la formule dite « logement public aidé , LPA 2018 », le wali d’Oran Mouloud Chérifi a annoncé sur les ondes de la radio locale, qu’un nouveau quota de LPA sera inscrit au profit de la wilaya. Selon le premier responsable de l’exécutif, vu l’intérêt que porte le citoyen pour cette formule, une demande a été formulée à la tutelle pour consacrer un autre quota pour Oran. La procédure est en bonne voie, a ajouté le wali. pour ce qui est du premier quota de 2.000 LPA dont a bénéficié la wilaya en début d’année, des assiettes foncières relevant des domaines ont été retenues pour accueillir ce programme en attendant le lancement des travaux. À Oran cette formule connaît un grand engouement de la part des citoyens désirant acquérir un logement. Prés de 33.000 demandes ont été formulées par des citoyens qui souhaitent bénéficier d’un logement LPA dans sa nouvelle formule… La wilaya d’Oran a bénéficié d’un quota de 2.000 LPA dans le cadre du programme 2018, répartis à travers les daïras d’Oran. Aussi et selon un document dont nous détenons une copie, les 2.000 LPA sont répartis à travers les communes comme suit, 320 pour la commune d’El Kerma, 200 pour Oued Tlélat, 200 pour Misserghine, 150 pour Arzew, 150 pour Boutlelis, 150 pour Gdyel, 100 à Aïn El Bia, 50 à Ain Turck, 30 à Bousfer, 70 a Bethioua, 100 pour Hassi Bounif et le reste pour la commune d’Oran. Notons aussi que le prix du LPA est composé du prix de la construction plus le prix du foncier. Le coût du foncier est donné par les domaines, la cession de ces terrains bénéficie des abattement suivant : 95% dans les wilayas des Hauts-Plateaux et du Sud, 90% dans les autres wilayas hors Alger, Oran, Annaba et Constantine, 80% dans les wilayas d’Alger, Oran et Constantine. Le bénéficière de ce type de logement a le droit à l’aide de la CNL sous forme d’aide frontale qui varie entre 700.000 DA et 400.000 DA selon le revenu du ménage. Des commissions ont été mises en place pour étudier ces dossiers cas par cas. Les dossiers seront aussi numérisés selon un nouveau logiciel mis en place par la Caisse nationale du logement CNL. Des enquêtes seront lancées pour contrôler l’éligibilité des demandeurs. Pour rappel, le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar a annoncé auparavant de nouvelles mesures incitatives au profit des promoteurs immobiliers dans le cadre de la formule du Logement promotionnel aidé (LPA). Ces mesures permettront aux promoteurs immobiliers de réaliser un profit matériel à même de leur permettre de surmonter les difficultés financières qui entravent parfois l’achèvement des projets.Ces mesures qu’inclura le décret exécutif relatif à la formule LPA, ouvriront la voie à de nouvelles activités et permettront d’alléger le budget de l’Etat. Une sélection rigoureuse des promoteurs immobiliers sera observée, notamment quant à leurs moyens financiers et leur capacité à réaliser les projets.
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Des clients d’Algérie Poste à Tizi Ouzou sont désemparés face à la lenteur du renouvellement de leur carnet Cnep-poste. Certains épargnants ont déposé leur dossier de renouvellement depuis avril dernier, et à ce jour, affirment-ils, rien n’a été délivré. Sans ce carnet, ils n’ont droit qu’à une seule opération de secours. Malgré toutes les réclamations, la situation reste inchangée. Algérie Poste est demeurée insensible aux doléances de ces clients.
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L’association des commerçants et artisans de la wilaya de Boumerdès, qui a saisi les services du Premier ministre dès le début des vacances scolaires en juillet dernier pour trouver une solution à ce problème, attend toujours une réponse sur le cas des enfants des commerçants de Boumerdès ayant déclaré faillite.
Ces derniers n’ouvrent plus droit à l’aide de 3000 DA octroyée aux nécessiteux à la rentrée, ni au cartable, encore moins à la bourse scolaire. Le motif pour justifier cette décision est l’extrait
de rôle négatif délivré par les services des impôts à ces anciens commerçants ruinés.
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Officialisé depuis peu par Wifi Alliance, le nouveau protocole de sécurité Wifi baptisé WPA3 est enfin disponible avec les nouvelles fonctionnalités révélées jeudi dernier par cette organisation qui certifie les réseaux Wifi. Celui-ci vient ainsi effacer d’un revers de main toute la psychose provoquée en 2017 avec la faille relevée sur l’ancienne méthode en vigueur depuis 2004 appelée WPA2. Il s’agit de l’attaque nommée Krack, qui pouvait permettre de prendre le contrôle de la connexion ou bien d’injecter du code malveillant. Autrement dit, des vulnérabilités qui profitaient aux pirates pour intercepter le trafic Wifi entre les ordinateurs et les points d’accès. Cela signifie concrètement que toutes les implémentations correctes de la norme sont affectées. Des menaces qui incluent aussi le décryptage, la relecture de paquets, le piratage de connexion TCP, l’injection de contenu http. De quoi donner froid dans le dos, car les conséquences pesaient lourd pour les particuliers tout comme les entreprises. L’un des changements majeurs introduits par le protocole WPA3 est le mécanisme d’authentification SAE (Simultaneous Authentication of Equals) en plus de la méthode de chiffrement en 192 bits qui présente un niveau de sécurité excessif.
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Suite à une plainte du wali de Tiaret pour diffamation et atteinte à corps constitué à travers des commentaires publiés sur facebook, un ex-élu à l’APC de Tiaret vient d’être placé sous contrôle judiciaire.
L’ex-élu, qui affirme n’avoir même pas eu le temps de contacter un avocat pour l’assister durant l’instruction, nie avoir diffamé quiconque, encore moins porté atteinte à corps constitué.
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Composée de deux inspecteurs centraux, la commission d’enquête diligentée mercredi dernier à la DSP de Ouargla, instituée pour examiner les circonstances du décès de l’enseignante universitaire Aïcha Aouissat par piqûre de scorpion, a achevé sa mission après deux jours d’investigations et est rentrée jeudi soir à Alger.
Cette commission, qui a été dépêchée par l’inspection générale du ministère de la Santé, doit remettre le compte-rendu au ministre de la Santé lui-même, selon le directeur de la DSP par intérim, le Dr Djamel Maameri.
Selon ce responsable, environ 3 450 piqûres de scorpion sont enregistrées en moyenne annuellement à travers la wilaya de Ouargla. Les cas de décès sont très minimes. Les plus grands bilans ont été enregistrés en 1999 avec 25 décès, et 2000 avec 21 décès.
Dans la wilaya de Ouargla, sept décès par envenimation scorpionique ont été enregistrés en 2017, six depuis le début de l’année 2018.
Pour ce qui est du cas de Aicha Aouissat, le Dr Maamri, a affirmé que la défunte a été admise dans le service de réanimation et a reçu tous les soins nécessaires, à partir du sérum anti-scorpionique jusqu’aux traitements symptomatiques. Il a également précisé que l’état de santé de cette dernière à son admission aux urgences a nécessité une prise en charge par un réanimateur et elle n’avait besoin ni de cardiologue, ni de neurologue. Actuellement, l’EPH dispose de cinq réanimateurs des plus compétents, ajoute le Dr Maamri, qui s’est confié dans nos colonnes. Les victimes qui décèdent par les piqures scorpioniques sont généralement soignées par des méthodes thérapeutiques traditionnelles et la roqia. Elles ne sont transportées à l’hôpital qu’une fois entrées dans sa phase avancée et quand le venin se répand dans tous le corps. Les chances de les sauver sont donc très réduites, explique-t-il. Elles décèdent malgré l’injection des antidotes (SAS). «Cette polémique infondée a malheureusement brisé la confiance du public envers les services de la santé. Les gens vont ainsi recourir aux instruments traditionnels pour se faire soigner et traiter les piqûres scorpioniques chez eux, ce qui risque de compliquer les choses », a lancé le Dr Maameri. «D’autre part, on craint une nouvelle espèce de scorpion plus fatale. Pour cela, j’ai réclamé une commission spécialisée dans la physiopathologie pour identifier les facteurs du décès par envenimation dans cette région», a-t-il ajouté.
L’envenimation scorpionique est un véritable problème de santé publique. Ce phénomène ne touche pas uniquement Ouargla. Biskra a été classée à maintes reprises en première position parmi les régions où on enregistre le plus de piqûres scorpioniques et de décès. De même à Batna et M’sila. La question qui se pose, c’est pourquoi on pointe la wilaya de Ouargla, qui bénéficie malgré tout de structures de santé et de meilleurs moyens que certaines villes du nord ? La pénurie relative de praticiens spécialisés demeure le souci majeur qui touche le secteur, qui a connu tout de même une nette amélioration. A noter qu’un enfant de 4 ans, du quartier populaire de Mekhadma, est décédé vendredi en réanimation à la suite de complications après une piqure de scorpion. Une autre fillette du même âge provenant du quartier de Soukra, victime d’envenimation scorpionique, se trouve actuellement dans le coma.
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Les voyants sont au vert au niveau de l’Entreprise de gestion touristique de Tipasa (EGTT), autrefois fleuron du tourisme balnéaire, qui a enregistré cet été un chiffre d’affaires en hausse qui réjouit l’ensemble du personnel, à commencer par l’encadrement et le partenaire social qui s’est assagi après des années de fronde.
Tout semble être rentré dans l’ordre et fini le temps où les travailleurs fermaient les portes du complexe pour empêcher les responsables de rejoindre leurs bureaux. Un vent de sérénité souffle sur l’entreprise, tout le monde s’est remis à la tâche avec un seul objectif, remettre l’entreprise sur rail pour en finir avec les années de déficit. L’EGT Tipasa est train « de reprendre du poil de la bête », selon l’expression consacrée et de renouer avec la croissance. Et pour apprécier cet élan à sa juste mesure, quoi de mieux que de voir comment s’est déroulée la saison estivale 2018, qui prendra fin dans quelques jours. Selon Boudouma Mohamed, Directeur d’exploitation et du contrôle de l’EGTT, la saison estivale, dont le bilan n’est pas encore arrêté, a été positive et les deux complexes ouverts à la clientèle, à savoir Matarès et la Corne d’or, ont affiché un taux de remplissage de 100%, ce qui a permis de renflouer les caisses de l’entreprise.
Les travailleurs rencontrés, ces derniers jours, ainsi que les cadres sont unanimes à dire que la saison est réussie avec une augmentation du chiffre d’affaires de 25% et une amélioration perceptible des prestations de service de l’avis de nombreux clients nouveaux ou habitués des lieux.
Le personnel de l’entreprise se dit rasséréné depuis l’arrivée, en janvier dernier, du nouveau P-DG Khaoula Yacine, après une période d’instabilité marquée par une valse de directeurs. C’est un dirigeant professionnel, plusieurs fois P-DG dans de grandes entreprises, humble et dont la sagesse et l’expérience ont permis de venir à bout des conflits et remettre la machine en marche.
Il a, de l’avis de tous, été dès le départ, à l’écoute de tout le monde, ce qui a permis de remettre les pendules à l’heure puis de se mettre au travail en mettant les bouchées doubles pour être au rendez-vous de la saison estivale.
Une bonne saison estivale avec une augmentation du chiffre d’affaires de 25%
Selon Boudouma Mohamed, directeur de l’exploitation et du contrôle, on peut parler de nouveaux rendements. La saison s’achève avec une amélioration perceptible des prestations de services qui ont été précédées par un programme de renouvellement des équipements, dont l’installation de climatiseurs, de nouveaux appareils de chauffage, de la literie. Cela a permis d’offrir de bonnes conditions d’accueil à la clientèle nombreuse qui a séjourné dans les hôtels et bungalows. Auparavant, le nouveau P-DG avait veillé à mettre en application le nouvel organigramme en créant un département Communication et Relations publiques dirigé par la sympathique Linda Boudali et le poste de Directeur de l’exploitation et du contrôle, en remplacement de la direction technique et maintenance, et en nommant deux jeunes à la tête de Matarès et de la Corne d’or et une nouvelle direction de la modernisation pour le suivi des travaux à Tipasa Village et ceux en cours dans les deux autres unités. La désignation de deux directeurs d’unité, des enfants de la boîte, diplômés du secteur, a eu aussi de bons résultats sur la gestion. La signature de plusieurs conventions de partenariat entre le groupe Hôtellerie, Tourisme et Thermalisme (HTT) et l’UGTA a, elle aussi, permis de faire le plein de réservations au niveau des complexes touristiques de la Corne d’or et de Matarès, ce qui a permis de compenser quelque peu le manque à gagner induit par la fermeture, depuis 2015, de Tipasa Village (ex-CET) en raison de travaux de réhabilitation et de modernisation en cours. Les gestionnaires ont joué aussi sur la tarification avec des réductions de 20% à 40%, selon la taille du groupe, pour faire le plein en proposant des nuitées en demi-pension pour une personne allant de 3 500 à 4 400 DA, ce qui a permis à des enfants de la wilaya de Djelfa ainsi qu’à ceux de SOS Village (pris en charge par le groupe HTT) de séjourner au bord de la mer et sur la plage de Matarès dont une partie est, exclusivement, réservée aux résidents. Les œuvres sociales du groupe Inerga de Boufarik, des équipes sportives dont celle d’El Eulma, entre autres, ont, elles aussi, séjourné dans les complexes de Tipasa. Il faut signaler que, concernant Matarès, les services de la wilaya ont accordé une concession de la plage attenante au complexe et qui s’étend jusqu’au Centre familial de repos (CRF) qui a été mise à la disposition des résidents et autres vacanciers qui ont pu y accéder gratuitement. La réfection de la piscine de Matarès est l’autre nouveauté qui a eu, également, beaucoup de succès selon le directeur d’unité Rouchiche Amir Adem. Il parle avec beaucoup d’enthousiasme du programme d’animations diverses qui a été concocté durant toutes les soirées. Au niveau de la piscine et sur le gazon de la Corne d’or des projections de films cultes, de concerts musicaux et activités spécial enfants, sportives avec un tournoi de tennis, des projections de matchs du Mondial de football, ont apporté un plus aux estivants. Une plus grande maîtrise des coûts d’exploitation, sans oublier l’apport des stagiaires des instituts de Boumerdès et de Tizi Ouzou, ont aidé au niveau des restaurants et de la réception et de l’administration n’ont pas été négligeables, selon nos interlocuteurs, dans l’amélioration de l’ambiance de travail. Les 250 travailleurs, dont 70 à la Corne d’or et 90 à Matarès, ont veillé au confort des clients des deux unités qui renferment 502 bungalows d’une capacité de 1 004 lits tandis qu’à Matarès on comptabilise 1 200 lits répartis entre les deux hôtels, la Baie et la Résidence.
En plus de la rentabilité et de l’amélioration des prestations de services pour être à la hauteur de la réputation de cette entreprise, qui a eu, autrefois, ses lettres de noblesse, les gestionnaires doivent en finir avec le casse-tête du programme de la réhabilitation/modernisation des trois unités, lancé en 2014, d’autant que la conjoncture économique ne s’y prête pas vraiment.
Un plan de réhabilitation et de modernisation en cours
Lors de notre visite au complexe Tipasa-Village, en compagnie de Linda Boudali, la responsable de la communication et des relations extérieures, nous constatons que les travaux ont atteint un taux de 95% (contre seulement 60% il y a à peine 6 mois), se félicitera notre accompagnatrice. Elle ne manque pas de souligner que le P-DG est un homme de grande expérience dans le domaine puisqu’il a fait sa carrière dans le secteur des constructions.
Le résultat est époustouflant, bien que réalisé à l’identique, en apportant un plus au niveau de l’aménagement des espaces de loisirs, piscines et courts de tennis et de volley, une belle réussite de l’entreprise portugaise, malgré toutes les critiques essuyées jusque-là.
Les 178 bungalows (dont 14 F1, 73 F2, 44 F3 et 47 F4), dont l’équipement reste à mettre en place, les trois piscines, les quatre courts de tennis et de volley-ball, les VRD, les espaces verts sont achevés. Les travaux lancés au niveau de la zone dite Horse Club, qui renferme le siège de la direction ainsi que les écuries et le pavillon central hébergeant deux restaurants, le piano bar et l’ex-réception sont en cours, en plus de la réalisation d’un bâtiment pour l’accueil de la clientèle à l’entrée du complexe et des parkings de plus de 250 véhicules chacun.
Le complexe sera ouvert, finalement, en 2019 c’est-à-dire une fois que les travaux lancés dans le pavillon central qui regroupe, les deux restaurants, le bar et l’ex-réception seront achevés. Il faut préciser, qu’au départ, la réfection de ce pavillon central était exclue du programme de réhabilitation, faute de moyens financiers suffisants, mais les responsables actuels ont, mûrement, réfléchi et opté pour sa réhabilitation pour offrir un ensemble complètement rénové quitte à faire une gymnastique financière avec comme objectif sa réfection à l’identique.
Les travaux de réhabilitation et de modernisation du complexe Tipasa-Village, qui ont débuté en septembre 2015, ont connu un glissement sur les délais de livraison, probablement faute de maîtrise du projet et étant donné l’ampleur de la tâche qui a touché une superficie de 19 ha composés d’habitations usées par le temps et la présence de la mer. En attendant son ouverture, probablement, pour le mois de mai 2019, les responsables doivent patienter pour le renflouement de leurs caisses.
D’une capacité d’hébergement de 1100 lits, le complexe de Tipasa Village a subi une opération de réfection de grande envergure étant donné son état général de vétusté qui a nécessité une enveloppe de 3,5 milliards de DA qui n’ont pas suffi pour reprendre l’ensemble de la superficie. En plus des bungalows, le pavillon central va faire, lui aussi, l’objet d’une réfection en même temps que les 4 restaurants (typique, Casbah, Horse Club), les trois terrains de tennis, une base nautique qui va abriter un club de plongée sous-marine, une marina, une piscine naturelle et une seconde pour les enfants, la réalisation d’une bâche à eau et d’une station de traitement et de récupération des eaux usées (STEP) commandée en Allemagne.
Les efforts des responsables ont été concentrés, ces derniers mois, sur l’accueil des estivants au niveau de la Corne d’or et de Matarès. Pour ce faire, ils ont recruté une cinquantaine de vacataires pour prêter main forte aux 250 travailleurs permanents qui ont besoin de l’appui de personnels spécialisés et non pas de recrues sans expérience, proposées par l’Anem et autres organismes chargés de l’emploi. De douches pour les plaisanciers, l’aménagement d’une forêt, de trois terrains de tennis en plus d’un espace omnisports et des parkings. D’autres opérations pour la sécurisation du site et sa dotation d’autres équipements nécessaires à son bon fonctionnement sont prévues.
« Résurrection » de la Corne d’or…
Cette unité fera l’objet d’une opération de lifting au lieu de grands travaux de réfection annoncés au départ, crise économique oblige. Un appel d’offres destiné aux entreprises nationales avec une évaluation du dossier, en cours actuellement, a été lancé pour reprendre la seconde tranche des travaux, dès le mois prochain.
Sur les 100 bungalows, 45 ont été loués durant l’été et ont fait l’objet de menus travaux de chaulage, de peinture et autres préparatifs (changement de literie), une enveloppe de près de 1 milliard de DA a été
nécessaire. L’état d’avancement des travaux d’aménagement et de réhabilitation de la première tranche
(62 bungalows sur les 110) du complexe touristique la Corne d’or sont appréciables et n’accusent pas trop de retard.
Les travaux lancés en décembre 2017 au niveau des villas (F1, F2, F3 et F4), ont atteint un taux de 70% pour une première tranche de 62 bungalows sur les 110.
Deux entreprises privées algériennes, dont les responsables se plaignent de l’absence d’ouvriers qualifiés pour ce genre d’opération, se partagent le projet reparti en 4 blocs pour les 62 bungalows dont certains ont été transformés en F1. Ces derniers se trouvent au stade de la finition mais ont, toutefois, nécessité des reprises en raison de malfaçons, selon de la responsable du bureau d’étude Monart, chargée du suivi.
Le complexe la Corne d’or, d’une capacité d’accueil de 220 lits répartis entre les 111 bungalows, sera ouvert aux estivants sitôt les travaux finis. Concernant la réfection des 2 restaurants, de la pizzeria, des 2 bars plage, d’une crêperie ainsi que l’aménagement d’espaces de jeux pour enfants et des deux plages, sans compter l’installation d’une STEP, de postes transformateurs et de groupes électrogènes ainsi que le confortement de la route à l’entrée du complexe marquée par un glissement de terrain, seront achevés. La Corne
d’or est érigée sur une assiette de 33 000 m², dont 2 310 m² de bâti.
… Et de Tipasa Matarès aussi
Les travaux au niveau du quartier des 41 villas, entamés en 2014, puis abandonnés, car sans couverture financière, seront relancés incessamment sitôt que la question de l’enveloppe dédiée à sa réalisation sera réglée, puisque le dossier est déjà bien ficelé et les études reprises pour répondre aux nouvelles données économiques.
Le lancement des travaux à Matarès auront lieu prochainement, selon les déclarations des responsables puisque l’ensemble des démarches sont achevées.
En attendant, le montant de l’enveloppe reste à déterminer précisément pour éviter les réévaluations, pour parachever les travaux de la Corne d’or (seconde tranche) et lancer ceux du complexe de Matarès qui dispose d’une capacité d’hébergement de
1 200 lits répartis entre les deux hôtels la Baie et la Résidence, les
42 appartements et les 44 villas en voie de réhabilitation.
Le crédit qui sera alloué pour la réhabilitation de Matarès sera consacrée à la reprise des 97 chambres de l’hôtel de la baie, des 280 chambres de l’hôtel Résidence et de ses 42 appartements, sans oublier les 43 villas type F4 qui sont fermées depuis de nombreuses années en raison de leur état de vétusté. Cette enveloppe sera utilisée, également, pour la réfection des 3 restaurants, d’une pizzeria, de 3 bars plage, d’un terrain de foot, de 3 terrains de tennis, sans oublier des parkings, la clôture, des postes de garde, des postes transformateurs électriques, des groupes électrogènes et des douches pour les plaisanciers.
Une nouvelle page ouverte à l’EGTT
Après avoir fait la pluie et le beau temps dans l’entreprise, créant un grand malaise et un climat de fronde qui ont été, pour beaucoup, dans la gabegie, le syndicat maison, qui a élu en 2017, un nouveau bureau dirigeant semble, lui aussi, satisfait de la situation. Celle-ci se distingue par une sérénité et une stabilité, selon un des représentants du bureau du syndicat, Beriani Brahim, réceptionniste depuis 22 ans dans la boîte.
Pour lui, le plus important est que les revendications des travailleurs soient prises en compte.
Ce qui est le cas avec le nouveau P-DG qui est à l’écoute de tout le monde. Cette disponibilité a permis de négocier, sereinement, différents points et de créer une stabilité dans le travail, ce qui a permis de relever le chiffre d’affaires.
Les principales revendications, à savoir la promotion de 28 personnes, la permanisation des 26 saisonniers et l’augmentation des salaires de 25% à 40% applicable, prochainement, sans compter la signature d’un accord pour les départs volontaires de 11 travailleurs sur les 139 exerçant à Matarès, sont réglées.
Depuis janvier 2018, une nouvelle page a été ouverte et l’entreprise n’a plus eu à faire ni à l’intervention de la gendarmerie ni à celle de la justice car il ne faut pas oublier, insistera-t-il, qu’avant il y avait 37 rapports de mauvaise gestion transmis à la tutelle (avec 46 jours sans salaires). Cette situation a créé des tensions qui ont mené les travailleurs à fermer les portes au nez du directeur général de l’époque. Aujourd’hui, on se félicite du dialogue direct instauré, reflété par une bonne saison estivale, selon ses propos. La stabilité de l’entreprise, « on la doit au P-DG et c’est à son honneur», dira le représentant du syndicat. Il précise que celui-ci, sitôt installé en janvier dernier, a réussi à mettre fin au conflit, de l’ordre dans la gestion, en rétablissant les ponts entre tous, d’où l’ambiance de collaboration, d’amélioration des prestations, du chiffre d’affaires et de la sécurité.
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