You are here

Algérie 360

Subscribe to Algérie 360 feed Algérie 360
Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 7 hours 18 min ago

Tébessa: recensement de 5 « points noirs » induits par les pluies torrentielles

Fri, 09/14/2018 - 00:40

TEBESSA – Cinq (5) « points noirs » ont été induits par les pluies torrentielles enregistrées mercredi dans la wilaya de Tébessa, a affirmé jeudi le directeur général des infrastructures auprès du ministère des Travaux Publics et des Transports, Boualem Chtaibi.

« Les services relevant du secteur ont limité les dommages causés par les pluies diluviennes et les inondations provoquées par la crue de l’Oued Nakes au niveau du réseau routier, notamment l’axe inférieur de la RN 16 à l’entrée nord de la ville de Tébessa, et la rue Houari Boumediene, ainsi qu’une partie de la RN 10, plus connue sous l’appellation de « route stratégique », le quartier la Rocade et le boulevard Emir Abdelkader, a précisé à l’APS le même responsable.

M. Chtaibi, également membre de la commission interministérielle dépêchée par le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire pour s’enquérir des dégâts et prendre les mesures nécessaires pour la prise en charge des victimes, a ajouté que « tous les moyens humains et matériels ont été mobilisés afin d’améliorer l’état des routes dans la ville de Tébessa et de procéder à leur ouverture en garantissant la fluidité du trafic ».

Dans ce contexte, M. Chtaibi a fait savoir que le ministère des Travaux publics et des Transports a mobilisé 75 véhicules et 110 agents des communes de Tébessa, Souk Ahras, Khenchela, Batna, Guelma et Oum El Bouaghi pour faire face aux dégâts occasionnés par ces intempéries.

Soulignant que les travaux ont débuté dès les premières heures de cette journée, le même responsable a appelé les citoyens à faciliter le travail des agents en restant chez eux et n’en sortir qu’en cas de nécessité absolue.

Le même responsable a soutenu que les routes principales de la ville n’ont pas subi de dommages suite aux fortes précipitations, ajoutant que des préjudices ont touché environ 5 kilomètres de bordures de ces routes et seront pris en compte lors de leur réfection.

M. Chtaibi a affirmé, en outre, que le ministère des Travaux publics va allouer une enveloppe financière « importante » de l’ordre de 25 milliards de dinars pour la réfection du réseau routier national, assurant que « la wilaya de Tébessa bénéficiera d’une part importante qui reste encore à déterminer, et ce en fonction des besoins ».

A noter que les opérations d’aspiration des eaux pluviales et le nettoyage des routes de la boue induite par la crue de l’Oued Nakes, mercredi soir, se poursuivent.

The post Tébessa: recensement de 5 « points noirs » induits par les pluies torrentielles appeared first on .

Categories: Afrique

Oran: attribution de 2.001 logements au profit de personnels militaires, d’assimilés et de civils

Fri, 09/14/2018 - 00:39

ORAN – Une opération régionale d’attribution de logements toutes formules confondues, au profit de 2.001 bénéficiaires militaires, assimilés et civils, de plusieurs wilayas de l’ouest, jeudi à Oran, en présence du ministre de l’habitat, de l’urbanisme et de la ville, Abdelwahid Temmar, en compagnie du Général Major Dahman Zerrouk, Directeur central des services sociaux du ministère de la défense nationale.

Quelque 2.001 bénéficiaires de logements de types LPL, LPA, AADL, LPP, ainsi que des aides au logement rural, des wilayas d’Oran, Relizane, Mostaganem, Sidi Bel-Abbes, Aïn Temouchent, Mascara, Saïda et El-Bayadh, ont reçu leurs décisions d’attribution, lors d’une cérémonie organisée à la salle de conférence de la Mosquée Ibn Badis.

Il s’agit de 600 logements LPL, 520 AADL et 501 LPP pour le personnel militaire et les assimilés, ainsi que 240 LPA et 100 aides rurales au profit de familles civiles des wilayas en question, dont des victimes du terrorisme et des personnes aux besoins spécifiques.

Dans son allocution, lors de l’ouverture de la cérémonie, M. Temmar a tenu à rassurer les citoyens que les opérations de distribution de logements, entamées depuis le mois de ramadhan, devront se poursuivre au profit de toutes les couches de la société.

Le ministre a rappelé que le programme de distribution national de logement, tous types confondus, a été entamé suite aux directives du président de la République, Abdelaziz Bouteflika.

De son côté, le wali d’Oran, Mouloud Cherifi, a précisé que 8.700 logements des différentes catégories ont été distribués dans la wilaya d’Oran, depuis décembre 2007, et atteindra en décembre 2018 les 20.000 bénéficiaires.

Auparavant, le ministre a effectué une visite à la cité 1.500 logements AADL d’Aïn El Beida, dans la commune d’Es-Senia, où il a procédé à l’inauguration d’un stade de proximité et d’un CEM, le premier collège réceptionné dans cette cité et qui devra accueillir les enfants scolarisés de la cité. L’établissement a été réalisé en un temps record de sept mois.

A noter que sept autres établissements des trois paliers seront réceptionnés avant la fin de l’année, selon les explications des responsables du secteur.

A cette occasion, le ministre a souligné la nécessité de livrer les équipements publics en même temps que les cités d’habitation et a insisté pour que le nouveau CEM soit opérationnel dans les plus brefs délais.

The post Oran: attribution de 2.001 logements au profit de personnels militaires, d’assimilés et de civils appeared first on .

Categories: Afrique

Transport ferroviaire: perturbation sur l’axe Alger-El Harrach pour travaux du 13 au 15 septembre

Fri, 09/14/2018 - 00:35

ALGER – Des suppressions et perturbations du trafic de voyageurs et fret  sur l’axe Alger-El Harrach sont programmés à partir de ce jeudi à 21h00 et  jusqu’au 15 septembre à 20h00, a indiqué jeudi la société nationale des transports ferroviaires (SNTF) dans un communiqué.

La SNTF précise qu’un convoi exceptionnel est programmé de passage sur trois points de la voie ferrée pour passer de la Colonne du port d’Alger vers la raffinerie de Sidi R’Zine de Baraki.

Ce passage au compte de Sonatrach, nécessitera  des travaux de dépose et pose de la caténaire des  traversées ferroviaires, ajoute le communiqué.

Par conséquence, le trafic du voyageur et fret connaîtra des suppressions et des perturbations sur l’axe  Alger-El Harrach comme première phase à partir de ce jeudi à 21h00 et jusqu’au samedi 15 septembre à 20h00.

De ce fait, et durant cette période des travaux, les trains de banlieues est et ouest seront limités jusqu’a El Harrach, allant du vendredi 00h00 jusqu’au samedi à 20h00.

Les voyageurs sont conseillés de prendre le métro ou le bus pour le parcours El Harrach -Alger ou Alger -El Harrach.

Les trains régionaux et de grandes lignes qui sont maintenus, sont les circulations matinales à l’arrivée à El Harrach.

Quant à la deuxième et troisième phase de l’interception, celle -ci est programmée au niveau de Gue de Constantine, et le programme de circulation pour cette phase sera arrêté selon l’évolution de la phase antécédente et l’avis à la clientèle sera publié au moment opportun, précise le communiqué.

La SNTF s’excuse auprès de sa clientèle pour les désagréments susceptible de leur être occasionnés suite a cette interruption momentanée du trafic et les remercie pour leur compréhension, conclut le communiqué.

The post Transport ferroviaire: perturbation sur l’axe Alger-El Harrach pour travaux du 13 au 15 septembre appeared first on .

Categories: Afrique

Pour la relance de la culture du figuier de barbarie et le développement de l’activité de transformation

Fri, 09/14/2018 - 00:34

TIZI-OUZOU – Les participants à une journée nationale sur le développement du figuier de barbarie (Opuntia) à Tizi-Ouzou, ont plaidé pour la relance de la culture de cette plante et le développement des activités de transformation pour valoriser cette culture.

Lors de cette rencontre organisée par la direction locale des services agricoles (DSA) en collaboration avec ses partenaires (assurances, instituts et université, organisations professionnelle), au Centre de loisirs scientifiques (CLS) a été l’occasion pour mettre en exergue l’apport socio-économique de la culture du figuier.

Des chercheurs des universités de Tizi-Ouzou et Bejaia dont le Pr Khodir Madani et le Dr. Chenane Arezki, ainsi que la vice-présidente de l’association pour le développement de la culture du cactus en Algérie Ourébis Nadir, et qui ont animé des conférences dans le cadre ont insisté sur la nécessité d’aller vers la transformation pour valoriser le figuier de barbarie dont on consomme traditionnellement le fruit.

Mme Oulebsir et Pr. Madani ont expliqué que toutes les parties du figuier de barbarie (fruits, raquettes, graines et fleurs) sont valorisables, ainsi que les « déchets » issus d’une première utilisation, dont les pelures et la pulpe. Ils ont cité entre autres produits industrielles de cette plante, l’huile de graine de figuier de barbarie dont le coût peut atteindre les 1000 euros le litre utilisée en cosmétique, le vinaigre et la poudre du fruit et des pelures qui peut être utilisée en pâtisserie et en jus, mais aussi comme épaississant naturel vu sa richesse en pectine.

Le directeur local des services agricole, Laib Makhlouf, a insisté sur l’importance de développer la culture, peu exigeante en investissement et entretien, du figuier de barbarie dans la wilaya de Tizi-Ouzou, une zone montagneuse ou les terrains sont en pente et pauvres car le cactus permet de retenir le sol, créer des micros climat et assurer un revenu supplémentaires aux familles et au cheptel. Cette plante peut également servir de pare-feux, a-t-il souligné.

Dr. Chenane qui a déploré la négligence et l’abandon de la culture du figuier dans la wilaya de Tizi-Ouzou a proposé, pour sa relance d’inventorier et de réhabiliter les espaces des exploitations de figue de barbarie, d’aller vers une exploitation intensive, la création d’une ferme pilote, l’identification des potentialités de transformation en produits industriel et la structuration de la filière.

Pour sa part le directeur de l’Institut de technologie moyen agricole spécialisé en agriculture de montagne de Boukhalfa (Itmas), Tamene Said a observé que dans la wilaya de Tizi-Ouzou le figuier de barbarie a été planté pour servir notamment de clôtures et cette culture est mal valorisée.

« Afin d’inciter les agriculteurs à introduire cette culture et faire d’elle une filière agricole l’Itmas organise des sessions de formation pour sensibiliser les cadres du secteur et les agriculteurs sur l’importance du figuier de barbarie. Nous avons également procédé à la mise en place au niveau de ce même institut de sites de démonstration pour vulgariser cette culture auprès des saliculteurs’’ a-t-il ajouté.

Une exposition tenue à l’occasion de cette journée a permis de découvrir les déférents produits issus de la transformation du figuier de barbarie. Le stand le plus riche est celui d’un transformateur de la commune de Sidi Fredj dans la wilaya de Souk Ahras, qui produit l’huile de figues de barbarie exportée vers l’Europe et les Etat unis d’Amérique, a indiqué à l’APS le représentant de cette unité Mohamdi Mohamed.

Ce même investisseur s’est également lancé dans la production de vinaigre, de confitures, de raquette marinées et autre avec la perspective de mettre sur le marché un total de 25 produits issus de la transformation de différentes parties du cactus Opuntia.

Le stand de la wilaya de Bejaïa a exposé un nouveau produit qui et le jus de figues de barbarie qui a été produit durant ce mois de septembre et qui sera mis sur le marché incessamment, tandis que les exposants de Tizi-Ouzou ont exposé beaucoup plus de fruit, très prisé par la population locale, cueillis dans de certaines localités notamment dans la région sud de la wilaya ou cette culture est très présente.

The post Pour la relance de la culture du figuier de barbarie et le développement de l’activité de transformation appeared first on .

Categories: Afrique

Intempéries à Tébessa: 1 enfant mort et 18 blessés

Fri, 09/14/2018 - 00:20

Les pluies diluviennes qui se sont abattues mercredi sur la ville de Tébessa ont causé la mort d’un enfant de 5 ans, 18 blessés et des dégâts aux habitations et équipements publics inondés par les flots, a affirmé jeudi le wali, Attallah Moulati à l’APS.

Le même responsable a précisé que 200 avaloirs ont été obstrués par les fortes crues qui ont endommagé des canalisations d’assainissement et le réseau d’alimentation en eau potable.

Les pluies torrentielles qui se sont abattues sur la ville et le débordement de l’oued Naquès qui la traverse ont provoqué des torrents puissants dans le centre-ville et au Sud du chef-lieu de wilaya.

A noter que la tutelle a consacré depuis 2010 un montant de plus de 100 milliards DA pour la protection des villes de toutes les wilayas contre les inondations et éviter d’éventuels dégâts humains et matériels. Cependant les catastrophes naturelles continuent à faire tant de dégât!

The post Intempéries à Tébessa: 1 enfant mort et 18 blessés appeared first on .

Categories: Afrique

Oran: 2e salon de la pharmacie et parapharmacie en octobre

Fri, 09/14/2018 - 00:14

ORAN – La deuxième édition du salon de la pharmacie, de la parapharmacie et du confort au quotidien (PharmEx) se tiendra du 25 au 27 octobre prochain à Oran sous le slogan « le pharmacien et l’économie de santé », a-t-on appris jeudi des organisateurs.

Cette manifestation prévoit la présence de 60 exposants après le succès de la première édition, qui a connu la participation de 57 exposants et la visite de 1.500 professionnels, a indiqué le directeur du salon.

Organisée par l’agence de communication « Pertinence Consulting » en collaboration avec l’agence thématique de recherche en sciences de la santé-pharmacie « ATRAS », cette manifestation regroupera des pharmaciens, des praticiens, des universitaires, des chercheurs et des étudiants en pharmacie, ainsi que des représentants des directions de la santé et de la population d’Oran, de la CNAS et de la CASNOS, a souligné Dr Yasser Bedour.

Ce salon, prévu au centre des conventions d’Oran (CCO) « Mohamed Benahmed » permettra aux participants d’exposer leurs performances et produits de pharmacie et de parapharmacie et d’organiser des ateliers de formation et des activités culturelles et scientifiques.

Une série de communication est prévue à cette rencontre traitant des thèmes abordant, entre autres, le tiers payant, les défis du pharmacien, la maîtrise des dépenses de santé, le rôle du pharmacien et la consultation commune de l’ordonnance.

The post Oran: 2e salon de la pharmacie et parapharmacie en octobre appeared first on .

Categories: Afrique

Toyota : Tous les VP de la gamme Toyota sont aux normes WLTP

Thu, 09/13/2018 - 23:31

Afin d’anticiper la mise en place de la nouvelle norme WLTP applicable depuis le 1er septembre 2018, Toyota a procédé avec succès, au cours des derniers mois, à l’homologation de l’ensemble de sa gamme VP selon le nouveau protocole adopté en Europe.

ous les modèles VP de la gamme Toyota continuent donc d’être disponibles aujourd’hui pour les clients qui bénéficient ainsi de délais de livraisons normaux ; délais variant de quelques jours à un maximum de 3 mois pour un véhicule en production**.

Par ailleurs, ce nouveau protocole d’homologation WLTP, dont l’objectif est de mieux refléter les émissions de CO2 et de consommation des véhicules en conditions réelles d’utilisation (vs. anciens tests NEDC) confirme l’efficacité de la technologie hybride-électrique de Toyota dans ces deux domaines.

Ainsi, la totalité des modèles hybrides-électriques Toyota de la gamme 2019 se situe en zone « neutre » du barème Bonus-Malus en prenant en compte la nouvelle valeur « NEDC Corrélée Low », applicable pour tous les véhicules VP depuis le 1er septembre. Les valeurs « NEDC Corr. Low » concernant les émissions de CO2 des modèles hybrides-électriques 2019 varient de 78g/km (Prius) à 106g/km (Prius+).

The post Toyota : Tous les VP de la gamme Toyota sont aux normes WLTP appeared first on .

Categories: Afrique

Marché automobile mondial : L’Acea juge « totalement irréalistes » les nouveaux objectifs de réduction des émissions de CO2

Thu, 09/13/2018 - 23:19

L’Association des constructeurs européens d’automobiles juge « totalement irréalistes » les objectifs de réduction des émissions de CO2 des voitures neuves votés le 10 septembre par la commission environnement du Parlement européen.

L’ACEA estime, dans son communiqué, que cela nécessiterait un passage massif et soudain vers l’électromobilité, alors que les infrastructures ne sont clairement pas en place et que les usagers ne sont pas encore prêts à se tourner vers le tout électrique.

« Nous sommes très préoccupés par la direction prise par la commission de l’environnement », a déclaré le secrétaire général de l’ACEA, Erik Jonnaert. « Les niveaux de réduction extrêmement stricts adoptés sont totalement irréalistes, car ils nécessiteraient un changement massif et soudain vers l’électromobilité. Les conditions-cadres d’un tel changement sismique ne sont manifestement pas en place et les consommateurs ne sont tout simplement pas prêts à faire le plein électrique à ce stade ».

Jonnaert affirme également que  » l’ACEA est pleinement engagé dans la voie de la mobilité zéro émission. Mais cette transition doit être faite à un rythme raisonnable. Ceci est essentiel non seulement pour notre industrie et ses travailleurs, mais aussi pour les consommateurs – qui sont censés acheter ces véhicules – et pour les États membres, qui auront un énorme travail pour s’assurer que le réseau d’infrastructures de recharge est suffisant ».

The post Marché automobile mondial : L’Acea juge « totalement irréalistes » les nouveaux objectifs de réduction des émissions de CO2 appeared first on .

Categories: Afrique

Mondial de Paris 2018 : Nouveaux détails de la Skoda Kodiaq RS

Thu, 09/13/2018 - 23:19

Skoda dévoile plusieurs détails sur son nouveau KODIAQ RS avant la présentation mondiale officielle de ce SUV hautes performances à l’occasion du Salon de l’Automobile de Paris 2018 en octobre.

Dans une vidéo, Skoda donne un aperçu des phares Full LED à effet cristallin de série, du Virtual Cockpit et de la nouvelle fonction Dynamic Sound Boost, une première chez la marque, qui utilise les données des systèmes électroniques embarqués du véhicule et modifie et intensifie le son du moteur en fonction du mode de conduite sélectionné.

SUV 7 places le plus rapide sur le Nürburgring, le Kodiaq RS est le premier SUV de la marque à faire partie de la division sportive marquant son arrivée avec l’inauguration du nouveau logo RS de Skoda. Le SUV dynamique porte ainsi plusieurs logos, dont un sur sa calandre. Ici, « v » représente la victoire ; le rouge symbolise la sportivité et le pouvoir de la famille RS.

Disponible en option avec sept sièges, le Kodiaq RS embarque le moteur diesel de production le plus puissant de l’histoire du constructeur de Mladá Boleslav, un 2.0 TDI de 239ch et un couple de 500Nm, associé à une boîte DSG7 et autres transmission intégrale et le contrôle adaptatif du châssis (DCC) avec sélection du mode de conduite.

The post Mondial de Paris 2018 : Nouveaux détails de la Skoda Kodiaq RS appeared first on .

Categories: Afrique

Démantèlement d’un réseau spécialisé dans le vol de véhicules en piégeant les victimes sur le site Ouedkniss

Thu, 09/13/2018 - 22:57

ALGER – Les services de la Gendarmerie nationale d’Alger ont démantelé une bande criminelle, composée de quatre individus, spécialisée dans le vol de véhicules, en piégeant les victimes via le site web Ouedkniss, a indiqué jeudi un communiqué de la cellule de communication du Groupement territorial de la Gendarmerie nationale.

Suite à des informations parvenues à la Brigade de la Gendarmerie nationale de Chéraga signalant une bande organisée   spécialisée dans le vol de véhicules, de différents types et catégories, en exploitant le site spécialisé Ouedkniss, l’enquête a révélé que les membres du réseau piégeaient les victimes en se faisant passer pour des clients intéressés avant de prendre rendez-vous avec la victime qui se voit délester de son véhicule, sous prétexte de l’essayer, précise la même source.

Les mis en cause procédaient à la falsification des papiers des véhicules volés pour les revendre, par la suite, à des individus spécialisés dans l’achat de véhicules volés à travers les wilayas d’Alger, Blida, Ain Defla, Bouira et Oran.

L’enquête a abouti à l’arrestation de quatre (04) individus et à la récupération de huit (08) véhicules de différents types et catégories.

Les mis en cause seront présentés devant la jurisprudence compétente pour constitution d’association de malfaiteurs, vol en réunion, escroquerie et usurpation d’identité, conclut le communiqué.

The post Démantèlement d’un réseau spécialisé dans le vol de véhicules en piégeant les victimes sur le site Ouedkniss appeared first on .

Categories: Afrique

Takhemaret (Tiaret) : Destruction de récoltes irriguées aux eaux usées

Thu, 09/13/2018 - 22:52

Ce mercredi 12 septembre 2018,aux environs de 8 h, le maire ,les services d hygiène de la commune ainsi qu’un bon renfort des éléments de la gendarmerie nationale de la commune de Takhemaret, à quelque 100 km du chef lieu de wilaya de Tiaret, se sont déplacés vers la région d’El-Melaab, située à 9 km et ont procédé à la destruction totale de champs de légumes, lesquels étaient irrigués aux eaux usées, apprend en exclusivité le journal « Réflexion » auprès de sources sécuritaires qui ajoutent que 4 pompes à eau servant à l’irrigation ont été saisies et 5 personnes ont été interpellées pour être auditionnées sur P V, en signalant que 80% des champs détruits, relèvent de la culture de courgettes toutes catégories. La population de Takhemaret a applaudi cet acte et a fortement « exhibé » sa satisfaction en espérant que les autres champs de tomates et de piments soient aussi détruits et dans ce sens une source responsable nous a déclaré que les dernières inondations de l’oued ont empêché les tracteurs de pénétrer eu égard aux volumes de boues.

Abdelkader Benrebiha

The post Takhemaret (Tiaret) : Destruction de récoltes irriguées aux eaux usées appeared first on .

Categories: Afrique

Tipasa L’oued Mazafran, un puissant foyer de risques des MTH

Thu, 09/13/2018 - 22:42

Le problème de la pollution de l’oued Mazafran (Zéralda) ainsi que la redynamisation des bureaux communaux d’hygiène (BCH), deux sujets qui viennent d’être, de nouveau, décortiqués, lors de la visite d’une délégation de la commission interministérielle de lutte contre les maladies à transmission hydrique (MTH), qui a présidé une réunion à Tipasa suite à l’épidémie de choléra qui a touché 18 personnes dans la commune d’Ahmer El Aïn.

La rencontre, présidée par le secrétaire général de la wilaya, Hassen Lebad, à laquelle étaient conviés plusieurs directeurs de l’Exécutif, les 10 chefs de daïra, les 28 P/APC ainsi que les représentants des bureaux communaux d’hygiène et de la daïra (BCH et BDH), a permis de faire le point sur la situation de l’hygiène publique qui reste déplorable. Les responsables de l’hydraulique ont tiré la sonnette d’alarme quant à la situation de l’oued Mazafran, un réceptacle des eaux usées d’Alger, de Blida et de Tipasa, qui se déversent directement en mer, à Douaouda, faisant courir aux citoyens des risques sanitaires énormes.
Le DSP a insisté sur le rôle du laboratoire d’hygiène de la wilaya de Tipasa qui souffre d’un manque de milieux de culture qui coûtent chers et bloquent le déploiement de celui-ci à travers la wilaya ainsi que sur la nécessité de redynamiser les BCH
qui sont dépourvus de certains moyens matériels, tels que les véhicules pour le déplacement des équipes sur le terrain.
Ramdane Kerbadj, directeur de l’hydraulique et des ressources en eau, qui s’est félicité que la saison estivale se soit passée sans encombre, a expliqué que, malgré les nombreuses propositions faites depuis plus d’une décennie quant à la nécessité de prendre en charge la dépollution de l’oued Mazafran, rien n’a été fait à ce jour. La situation devient de plus en plus alarmante en raison du volume important d’eaux usées et quant aux risques de propagation de maladies.
Le problème, selon lui, a besoin d’une prise en charge régionale puisqu’il implique au moins trois wilayas. Les rejets de la zone industrielle de Koléa ne sont pas très importants, selon lui, même si un travail de sensibilisation est fait au niveau des industriels, mais le gros des rejets viennent des deux wilayas précitées.
L’installation de digues pour minimiser les dégâts des déversements près des populations et la zone d’activités sont des mesures palliatives qui, hélas, ne suffisent pas à prendre en charge le problème dans sa globalité et finiront un jour par déborder et provoquer des dégâts.
Pour notre interlocuteur, l’oued Mazafran a besoin d’une prise en charge comme cela a été fait à l’oued El Harrach, la direction de l’hydraulique a demandé l’inscription d’une étude pour sa dépollution et son aménagement pour un montant de 100 millions de DA. La demande est faite chaque année mais nous attendons toujours son inscription qui ne peut être que bénéfique pour l’hygiène publique au lieu d’attendre un drame et d’agir en catastrophe.

Où en est le projet de plan de gestion de ce site ?

Il faut rappeler qu’au-delà des risques sanitaires, nombreux sont les opérateurs économiques de la zone industrielle du Mazafran qui ont été contraints d’arrêter, quelquefois, leur production et de mettre leurs personnels en congé forcé, en raison du débordement de l’oued et des inondations qui ont affecté la région.
Il faut signaler que l’oued Mazafran déborde en période pluvieuse et, par conséquent, la zone d’activités industrielles enregistre des inondations qui touchent même les unités de production, ce qui a provoqué, selon les industriels, des pertes estimées à plusieurs dizaines de milliards de centimes. Un programme de protection de la zone est plus que nécessaire et urgent, selon eux, afin de préserver l’outil de production et les emplois. Ce plan a été lancé en grande pompe par le département de l’environnement du temps d’Amara Benyounes. Il faut se souvenir que l’oued Mazafran a été choisi, par le département de l’Environnement il y a quelques années, lors de la célébration de la Journée mondiale de l’environnemental afin, « de sensibiliser les élus locaux, les industriels, les agriculteurs et la société civile », acteurs concernés par la problématique de l’eau.
Le site de Mazafran a été choisi parmi les dix zones humides prioritaires, retenues par le ministère de l’Environnement, pour être doté d’un plan de gestion. «Connaître pour aimer, aimer pour protéger », a été le fil conducteur de cette journée qui s’est donnée pour objectif, d’expliquer, in situ, à travers un itinéraire de randonnées et d’observations de la flore et de la faune, l’importance et le rôle des zones humides, et la mise en exergue du lien entre l’eau, le maintien des conditions de la vie, et les zones humides, mais aussi l’interdépendance vitale entre l’eau et les zones humides.
Le programme de cette manifestation avait donné la part belle aux enfants et aux écoliers, à travers un programme sur le terrain des découvertes, donnant ainsi l’occasion « de renforcer les acquis du programme de l’éducation à l’environnement en milieu scolaire, introduit par le secteur et consacrant la promotion d’une culture éco-citoyenne ».

The post Tipasa L’oued Mazafran, un puissant foyer de risques des MTH appeared first on .

Categories: Afrique

Environnement: fermeture de 3.000 décharges anarchiques en 15 ans

Thu, 09/13/2018 - 22:37

ALGER – Près de 3.000 décharges anarchiques ont été fermées ces 15 dernières années sur tout le territoire, a indiqué jeudi la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatima-Zohra Zerouati.

La ministre qui intervenait lors d’une séance plénière consacrée aux questions orales sous la présidence du Vice-président de l’APN Abderrazak Terbeche, a précisé que les grands efforts consentis pour développer le secteur pendant des années avaient permis d’atteindre ces résultats.

Le secteur de l’Environnement et des Energies renouvelables vise à atteindre le niveau « 0 ordures dans la nature d’ici à 2035, dans le cadre de la nouvelle stratégie élaborée pour protéger l’environnement ».

L’élimination de la décharge de Boulimat (Béjaia) dont les travaux seront lancés la semaine prochaine, coutera 80 milliards de centimes, tandis que le coup d’envoi du projet d’élimination de la décharge d’El Karma (Oran), dont les travaux devront couter 150 milliards de centimes, sera donné le 22 septembre.

Mme Zarouati a estimé que son secteur avait connu un développement considérable à travers la coordination intersectorielle, l’intensification des opérations d’inspection et l’amélioration des missions des inspecteurs au niveau des wilayas.

Le secteur de l’Environnement coordonne avec les parties en charge de la sécurité afin de traquer les +criminels de l’environnement+ et responsabiliser le citoyen qui, selon la ministre, a adhéré aux campagnes de nettoyage collectif et de tri des déchets.

La stratégie de valorisation énergétique des déchets sera précédée par la création d’un complexe de tri des déchets dans le Grand Alger, d’un coût de 3.000 milliards de centimes, a précisé Mme. Zarouati, indiquant que 4 wilayas y participeront en termes des prestation de services. La réalisation et la gestion de ce complexe se feront en partenariat avec des entreprises étrangères, a-t-elle ajouté.

A noter que le niveau des programmes de valorisation, de recyclage et de traitement de déchets a atteint 5%. Un travail est mené afin d’atteindre 15%, ce qui donnera lieu à la création de plus de 7000 emplois permanents durant les cinq années à venir.

Convention avec le ministère de l’Education pour le soutien au club d’Environnement

Le secteur de l’environnement devrait conclure, en octobre, une convention avec celui de l’Education à l’effet d’encourager les clubs d’environnement.

Les ministres de l’environnement, Fatima Zerouati et de l’Education effectueront des visites de terrain dans ce sens.

Au volet énergies renouvelables, le secteur est en passe de promulguer des projets de lois sur l’économie circulaire et les énergies renouvelables, à travers l’organisation d’assises nationales de concertation sur ces projets de lois avant la fin de l’année.

Des usines de fabrications de matériels de production d’énergie renouvelable sont également prévues à travers l’examen de 4 projets dans le cadre d’un plan d’action à long terme.

Le ministère entend, entre autres, valoriser les eaux chaudes souterraines dont le volume est estimé à 40.000 milliards de mètres cubes (7.000km² de superficie), outre la création d’un marché spécialisé dans les énergies renouvelables et leur utilisation dans l’économie locale.

Par ailleurs, la ministre a rappelé la coordination établie avec les secteurs de l’Agriculture et des ressources en eau dont les activités sont alimentées à partir des produits des énergies renouvelables.

La 2ème édition du Saloon des énergies renouvelables est prévue du 26 au 28 février.

The post Environnement: fermeture de 3.000 décharges anarchiques en 15 ans appeared first on .

Categories: Afrique

Mohamed Yacine Bensaci, président d’APC de Hassi Messaoud : « Sur papier, le gel de la nouvelle ville de Hassi Messaoud est toujours en vigueur, mais sur le terrain, il est partiellement levé »

Thu, 09/13/2018 - 22:24

Le directeur de l’Etablissement de la nouvelle ville de Hassi Messaoud, Mourad Zeriati, avait déclaré en juillet 2017 que le premier quartier du chef-lieu de la ville nouvelle de Hassi Messaoud sera livré fin 2018. Peu après, en octobre 2017 et à la veille des élections locales, le maire d’Ouargla, Abdelkader Djallaoui, avait déclaré, lors d’une conférence de presse

, que le projet de la nouvelle ville est indirectement gelé et que la population de l’actuel Hassi sera délocalisée vers la nouvelle zone d’expansion El-Ghanami. Sur terrain, les travaux avancent à pas de tortue, que ce soit pour la nouvelle ville ou pour le site d’expansion. Pour comprendre un peu la situation et la confusion qui règne sur la délocalisation des habitants de la ville ancienne de Hassi Messaoud, les causes des retards et les motifs d’abandon de la population, le maire de Hassi, Mohamed Yacine Bensaci, P/APC FLN, en deuxième mandat, s’explique dans cet entretien.

 
Reporters : Les autorités ont décidé, il y a quelques mois, de lever le gel sur les activités à Hassi Messaoud. Pourquoi la levée de ce gel, selon vous, alors qu’il a été motivé, il y a plus de dix ans, par des raisons de sécurité ?
Mohamed Yacine Bensaci : Le gel n’est pas officiellement levé, parce qu’il faut préciser que pour le lever, il faut annuler le décret exécutif 05/127. Ce qui est impossible puisque les responsables ne peuvent ni révoquer le décret ni revenir sur leur décision, mais opérationnellement le décret élaboré, qui stipule la délocalisation de l’actuelle ville et la construction d’une ville nouvelle pour la population, a été partiellement allégé dernièrement par l’ouverture de certains domaines primordiaux comme la santé, l’éducation et les installations de base. On peut dire qu’il est levé indirectement mais partiellement, puisque les responsables ne peuvent sortir et dire aux citoyens que nous avons levé le gel, ce qui va pousser ces derniers à demander des permis de construire, de possession et des registres du commerce. Implicitement, la nouvelle ville est devenue une extension de la ville actuelle.

Qu’est-ce qui n’a pas 
fonctionné depuis l’entrée en vigueur du gel ?
Le logement est l’une des problématiques qui a affecté la condition sociale depuis la décision de gel. Nous avons lié le gel au logement, puisque quand il s’agit de construction d’un habitat, Sonatrach intervient pour arrêter l’opération de construction sous prétexte qu’elle est proche des installations pétrolières, ce qui représente un danger pour le citoyen. Ajoutons à cela le retard flagrant dans la finalisation de la nouvelle ville. Depuis2004, il n’y a absolument rien à Hassi, ni éclairage, ni routes, ni canaux de drainage et cinq ans ne suffisent vraiment pas. En plus des procédures réglementaires, le lancement de plusieurs projets à la fois est chose impossible. Surtout côté suivi, vu l’inexistence des spécialistes en la matière au niveau local. C’est le cas actuellement avec nos 20 projets démarrés et qui sont en cours de réalisation. Il nous est difficile de trouver une équipe pour leur suivi. C’est pourquoi, la levée du gel demeure une demande insistante et urgente des autorités locales, du citoyen et du wali.

Quelles ont été les conséquences de ce gel aux niveaux économique et social  
sur votre ville ?
La situation prévalant à Hassi Messaoud est due essentiellement au gel des projets de développement. Le logement demeure le problème qui a fortement impacté la ville, de plus, et comme vous le savez, toute attribution de permis de construire/possession et de registre du commerce a été interdite depuis 2004. Actuellement, nous ne pouvons pas construire des habitations, cependant le gel est partiellement levé sur certaines infrastructures et équipements de base relatifs aux travaux publics, à l’éclairage public, aux routes, à la santé et l’éducation. On a dépensé jusqu’ici environ 70 milliards de dinars pour la réhabilitation des écoles primaires, d’autres sont en cours.

Ici on parle d’une école déjà existante et non d’une nouvelle construction ?

Oui mais il y a quand même de nouveaux projets comme les deux piscines, incluses dans notre programme actuellement à l’étude pour un montant de 27 milliards, en plus d’un stade communal en béton.

Y a-t-il d’autres projets 
prévus dans cette phase d’allégement du gel ?
Oui. Tout ce qui est lié à l’amélioration des conditions de vie du citoyen comme l’éclairage public, les routes, les piscines, etc. On a maintenant deux projets de piscines, dont une semi-olympique. Une fois approuvés par la commission d’évaluation, les travaux pourront être lancés. Il n’y a aucun obstacle. Il y a également à l’étude la réhabilitation et la restauration de l’ancienne piscine de Hassi.

Revenons-en au projet de la zone d’expansion rurale El Ghanami. Quel est actuellement l’état d’avancement des travaux ?

Concernant les routes, les réseaux d’assainissement et l’eau potable, le cahier des charges a été approuvé par la commission de wilaya, reste seulement la publication.

Le wali de Ouargla avait annoncé indirectement, il y a quelque temps, le gel de la nouvelle ville et a parlé de la réalisation d’une nouvelle zone d’expansion à  
El Ghanami ?
Non. La nouvelle ville n’est pas gelée et elle est en cours de conception. Pour le site d’El Ghanami, nous avons choisi l’assiette et enregistré les projets d’infrastructures.
Les cahiers de charges sont passés dans les appels d’offres.

Vous voulez dire que c’est vous qui avez proposé l’idée ?

Oui. C’est nous qui avons proposé l’idée et l’initiative, et le citoyen l’a acceptée et l’a beaucoup appréciée.

En pleine crise financière, vous parlez de la finalisation de la nouvelle ville et la création d’une autre zone d’extension… n’est-ce pas un peu confus ?

La création de cette zone, c’était notre propre choix. Nous, en tant qu’élus, on a exprimé la volonté des citoyens puisque la majorité des habitants proviennent de Ouargla et de Hassi Messaoud. Si la localisation de la nouvelle ville était entre ces deux villes, le citoyen aurait été content et l’aurait acceptée, mais sa conception a plus de 75 km de Hassi a provoqué une déception chez les habitants.

Le site El Ghanami concerne seulement la nouvelle population de Hassi Messaoud. Les véritables habitants restent dans l’actuelle ville …

Je précise qu’El Ghanami est une zone rurale étatique. Le lotissement comprendra, en plus des 2 000 logements sociaux, des lots de terrain qui seront attribués aux citoyens de Hassi Messaoud dans le cadre du logement rural aidé (100 millions de centimes pour l’autoconstruction). L’ouverture de la nouvelle ville et du site El Ghanami va réduire la charge et la pression sur l’actuelle ville de Hassi Messaoud.

Le projet de la nouvelle ville de Hassi Messaoud en cours de conception est-il financé par des fonds du budget de la commune ?

Non. La nouvelle ville est financée par un budget qui lui est alloué par Sonatrach, à l’exception des 2 000 logements sociaux, relevant de l’APC de Hassi Messaoud, qui lui ont été attribués dans le cadre du programme national du ministère de l’Habitat, qui a programmé 4 000 logements pour notre daïra. 2 000 dans la nouvelle ville et la seconde moitié dans la zone d’expansion El Ghanami. Les projets d’accompagnement comme les écoles primaires, centres de formation professionnelle, siège de la sûreté sont prévus dans le budget de la commune. Sonatrach n’a rien fait, à part les opérations de viabilisation des infrastructures, la préparation du terrain, les raccordements au gaz, électricité, téléphone et les réseaux d’assainissement. C’est ce qui a été financé sur le budget de la nouvelle ville (Sonatrach).

On a actuellement deux zones d’extension d’habitat, la nouvelle ville de Oued El Meraâ et la zone d’expansion El Ghanami, est-ce que vous avez fait récemment un recensement de la population, qui doit avoir doublé depuis 2005, pour établir des listes de bénéficiaires et faire la répartition sur les deux zones ?

On a enregistré environ 14 000 demandes de logement au niveau de la daïra de Hassi Messaoud. Selon les estimations, les logements de la nouvelle ville vont être prêts fin 2018, mais les équipements nécessaires comme les écoles primaires, les salles de soins, le siège de l’APC, ne seront pas prêts avant 2020 ou même 2025 pour certains. Les gens ne peuvent habiter avant.

10 ans de gel, aucun projet, où part le budget de la commune de Hassi Messaoud ? A-t-il été réparti, attribué à d’autres communes ou d’autres régions ?

Il n’y a eu aucun projet de développement durant le gel, notamment pendant les 5 années de notre mandat. De 2013 jusqu’au 2017, environ 500 projets ont été enregistrés à Hassi Messaoud. Chaque projet pour un certain montant, on est arrivé à 3 900 milliards de dinars. En plus des changements des assemblées communales, le budget est enregistré annuellement en fonction des nouveaux projets proposés chaque début d’année et à partir du budget initial de 500 milliards de DA. Les années s’achèvent et la plupart des projets ne sont pas terminés. Prenons comme exemple le projet de la piscine olympique prévue dans la commune de Hassi, dont le coût est estimé à 500 milliard DA, il est inclus dans les 3 900 milliards. L’opération et le montant sont enregistrés, mais pas encore dépensés. Mais en ce qui concerne la solidarité entre communes et à la demande du wali, environ 150 milliards sont prélevés chaque année du budget de Hassi Messaoud et répartis sur 19 communes, chacune selon ses besoins, à l’exception de la commune de Hassi et El Borma

Quels sont les projets réalisés durant votre mandat qui vient de s’achever ?

On a dépensé plus de 600 milliards durant les cinq dernières années, dans le pavage des routes et le renouvèlement de tout le réseau d’assainissement de la commune et cela a coûté plus de 80 milliards. Un exemple, la cité 1850-Logements appartenant à Sonatrach, et qui a été bâtie en 1984, aucun responsable ou président d’APC n’a dépensé un centime pour sa réhabilitation, sauf durant notre mandat où on a procédé au renouvellement du réseau d’eau potable, et cela a coûté environ 26 milliards. On a également renouvelé les réseaux de drainage pour 46 milliards et on a également dépensé près de 53 milliards dans le pavage et la réfection des routes de cette cité ainsi que la restauration de sa mosquée, pour un montant de 16 milliards, soit 130 milliards dépensés pour une seule cité. Outre les réseaux d’éclairage public de la commune de Hassi Messaoud, qui ont coûté environ 53 milliards, en plus de la perforation de quatre puits d‘eau potable pour 12 milliards chacun, soit 48 milliards. On a aménagé des espaces verts pour la somme de 20 milliards, la réhabilitation de l’entrée de la ville, ou le «boulevard», pour 23 milliards soit plus de 600 milliards dépensés durant les 5 années écoulées.

En fait, le gel n’est donc pas réellement levé ?

Sur le terrain oui, mais officiellement, il n’est pas levé et moi, président de l’APC, je demande la levée du gel pour résoudre le problème du logement notamment le quota, l’attribution des permis de construction et de conformité, afin de permettre au citoyen de restaurer son habitation. Je rappelle que la daïra de Hassi n’a bénéficié en 10 ans que de 4 000 logements dans le cadre du logement social. Pour les autres formules comme le participatif et l’évolutif, la ville de Hassi n’est pas concernée.

The post Mohamed Yacine Bensaci, président d’APC de Hassi Messaoud : « Sur papier, le gel de la nouvelle ville de Hassi Messaoud est toujours en vigueur, mais sur le terrain, il est partiellement levé » appeared first on .

Categories: Afrique

Pour réclamer des programmes de développement : Les Ouarglis promettent de battre le pavé samedi

Thu, 09/13/2018 - 22:18
Écrit par Aghilas Sadi

La ville de Ouargla ne décolère pas. Une nouvelle action de protestation se prépare pour samedi prochain, dans cette ville, devenue le bastion de la contestation des politiques publiques.

Des activistes ont décidé d’organiser, samedi, une marche populaire dans les rues de la ville, pour demander un programme spécial de développement pour leur localité, le déblocage de tous les projets gelés par le gouvernement, dans le cadre de la politique de rationalisation des dépenses publiques, la création de postes d’emploi pour les jeunes chômeurs de la wilaya, le renforcement des structures de santé locales en moyens humains et matériels, pour assurer une meilleure prise en charge médicale des patients de la wilaya et régions environnantes, indiquent des sources locales.
En clair, les protestataires vont demander le dégel du projet de Centre hospitalo-universitaire de Ouargla, une plus grande transparence dans la gestion des offres d’emplois émises par les compagnies pétrolières, l’aménagement de la ville, des aides régulières et conséquentes aux clubs sportifs de la région et autres.
Cette action sera aussi une occasion pour les activistes de la ville de dénoncer ce qu’ils appellent «Les propos provocateurs des responsables de l’Etat». «Les déclarations du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, commentant les actions hostiles à l’organisation des galas dans la ville ainsi que celles du ministre de la Santé, de la Population et la Réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui, sur le cas de l’enseignante universitaire décédée à l’hôpital de Ouargla suite à une piqûre de scorpion, ont provoqué la colère des activistes locaux qui ont alors décidé d’agir», explique une source locale.
Pour réussir leur action, les activistes se sont lancés dans une véritable course contre la montre. Depuis quelques jours, ils organisent, chaque après-midi, des rencontres de proximité dans les quartiers de la ville et les localités avoisinantes pour expliquer aux citoyens leur démarche et les inviter à participer massivement à la marche du samedi. «Des meetings quotidiens sont organisés dans les quartiers de la ville de Ouargla et même dans les autres communes de la wilaya. Les activistes, les mêmes qui ont mené en 2015 le mouvement contre le gaz de schiste, tentent de convaincre les habitants d’adhérer à leur action de samedi», affirme notre source. Elle ajoute qu’«ils disent aux citoyens que la rue est le seul moyen possible pour faire entendre leur voix et avoir des acquis».
Sur les réseaux sociaux l’ambiance est la même. Toutes les pages Facebook de la wilaya se sont mobilisées pour contribuer à la réussite de la marche de samedi. La fameuse page Nas Ouargla News a fait, ces derniers jours, de la mobilisation des masses pour la marche du samedi son cheval de bataille. D’autres pages moins importantes lui ont emboîté le pas.
Pour rappel, la semaine dernière, une marche spontanée a été organisée dans les rues de la ville de Ouargla par quelques dizaines de citoyens suite au décès d’une enseignante universitaire victime d’une piqûre de scorpion. Pour les manifestants, la victime a rendu l’âme parce qu’elle n’a pas eu la prise en charge médicale qu’il fallait, à l’hôpital de la ville. Une accusation rejetée par le ministre du secteur, qui a rassuré que l’hôpital de la ville est équipé de tous les moyens matériels et humains nécessaires à la prise en charge des malades. La commission ministérielle dépêchée sur place a conclu dans son rapport que le staff médical de l’hôpital a fourni à la victime tous les soins qu’il faut dans ce cas. <

The post Pour réclamer des programmes de développement : Les Ouarglis promettent de battre le pavé samedi appeared first on .

Categories: Afrique

Opéra d’Alger : lancement prochain d’une billetterie électronique

Thu, 09/13/2018 - 22:05
R.C

L’Opéra d’Alger Boualem Bessaih a lancé ce mercredi son site internet et devrait prochainement introduire la billetterie électronique et le paiement électronique, a indiqué son directeur Noreddine Saoudi.

S’exprimant lors d’un point presse animé mercredi, Noreddine Saoudi a indiqué qu’il est désormais « possible de réserver sa place avec son numéro de siège en attendant que le paiement électronique des billets ne soit lancé en collaboration avec la Société d’automatisation des transactions interbancaire et monétique (Satim) ».

Lors de cette rencontre l’équipe de l’Opéra d’Alger a dévoilé on programme pour le dernier trimestres de l’année 2018 et qui verra, entre autres, la tenue du 10e Festival international de la musique symphonique et du 14 Festival international de la musique andalouse et des musiques anciennes.

L’opéra d’Alger qui fera sa rentrée vendredi avec un concert du groupe Ifrikya Spirit, prévoit également une série d’hommage à de grands noms de la musique algérienne à l’instar de Mokdad Zerrouk, Ahmed Wahbi, ou encore Sid Ahmed Serri.

Le grand musicien et producteur Safi Boutella est également annoncé pour les 10 et 11 octobre prochain dans un spectacle qu’il est en cours d’élaboration avec l’orchestre symphonique de l’Opéra.

Plusieurs autres spectacles de danse et de ballet sont annoncé par la programmation de l’opéra et qui seront présentés par le ballet de l’opéra et d’autres troupes étrangères, en plus de représentations des orchestres andalous locaux.

La direction de l’Opéra d’Alger a aussi annoncé l’édition d’un beau-livre à l’occasion du deuxième anniversaire de son inauguration, annonce son directeur

The post Opéra d’Alger : lancement prochain d’une billetterie électronique appeared first on .

Categories: Afrique

L’Algérie invitée d’honneur de la Foire Internationale de Flandre

Thu, 09/13/2018 - 17:16

L’Algérie participera en qualité d’invitée d’honneur à la 73ème édition de la Foire Internationale de Flandre qui se tiendra du 15 au 23 septembre à Gand (province belge de Flandre-Orientale), a indiqué jeudi le ministère du Commerce dans un communiqué.

A cette occasion, le ministre du Commerce, Said Djellab, effectuera une visite de travail en Belgique à la tête d’une délégation.

L’Algérie sera présente à cet événement à travers un pavillon national de 1.000 m2 « qui constituera une vitrine d’exposition et de promotion d’une gamme variée de produits de consommation destinés à la vente directe au grand public », fait savoir la même source.

Cette Foire internationale, « Flanders Expo », sera aussi l’occasion « de faire découvrir les particularités et richesses culturelles, artisanales et touristiques de l’Algérie », ajoute le ministère qui note qu’en marge de cet événement, un vaste programme d’activités culturelles est prévu afin de « mettre en valeur les capacités de l’Algérie dans le domaine touristique ».

A travers cette manifestation économique internationale, il sera également question de « créer une dynamique pour de nouvelles opportunités  d’exportation et de partenariat entre les entreprises algériennes et belges  et de développer les flux commerciaux entre la Belgique et l’Algérie ».

The post L’Algérie invitée d’honneur de la Foire Internationale de Flandre appeared first on .

Categories: Afrique

L’Etusa cherche des… bus

Thu, 09/13/2018 - 17:08

Afin de renforcer sa flotte, l’Etusa est à la recherche de bus en formule de location. On ignore si ces bus vont être versés dans les lignes de transport de voyageurs ou juste pour le transport de son personnel.

The post L’Etusa cherche des… bus appeared first on .

Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.