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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Hanoune critique la loi de finances 2019 !

Sat, 09/29/2018 - 14:22

«Le recul dans la démocratie a produit le mercenariat politique…»

La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, a souligné, hier, à l’ouverture des travaux de la réunion de la coordination nationale de l’organisation des jeunes de sa formation à El-Harrach (Alger) que «certes le projet ne contient pas de nouvelles taxes et impôts et de diminutions des budgets.
Les corrections introduites dans le projet de loi de finances 2019 sont totalement insuffisantes car celui-ci ne révise pas les grandes orientations et ne décrète pas la fin de l’austérité». Elle s’est demandé si ce projet qui sera présenté au Parlement est à la hauteur des défis et répondra aux attentes de la majorité de la population, notamment des larges couches sociales… «Tout le monde, dont des organisations estudiantines, celle de la société civile ainsi que des partis proches du pouvoir, partage le même diagnostic avec le PT à propos de la crise multidimensionnelle et sans précédent qui secoue le pays», a-t-elle réitéré. «En effet, la mafiotisation des institutions de l’ Etat, la mafiotisation de la gestion des finances et des affaires publiques se propagent de plus en plus. Cela est illustré par le scandale de narcotrafic des 701 kg de cocaïne, en passant par la corruption et la prédation jusqu’aux transferts illicites des devises vers l’étranger..». «Cela menace la cohésion et la sécurité nationales alors que la pauvreté et la détresse sociale gagnent de plus en plus du terrain, en raison de l’érosion continue du pouvoir d’achat et de la dévaluation du dinar et la stagnation des salaires et des pensions de retraite», a-t-elle estimé. Mais comment en est-on arrivé là?
Pour Louisa Hanoune «la politique d’austérité appliquée brutalement depuis 2015 est la cause principale et directe de cette situation catastrophique ayant mené à la faillite les assemblées élues locales, les universités, le secteur de la santé, dont les hôpitaux et les différents services et structures publiques, dont les budgets annuels ne cessent de diminuer et les départs à la retraite jamais remplacés». L’austérité a également causé «l’accroissement du taux de chômage chez les jeunes, devant l’absence de ministère de la Planification ayant des capacités prospectives et l’absence totale du contrôle démocratique en raison de la nature des assemblées élues minées par la corruption et l’affairisme…», a-t-elle noté. Sur sa lancée, la pasionaria du PT, considérera que «le Parlement, qui est dominé par l’Exécutif et aussi pollué par l’affairisme et des lobbies». «Ce recul dans la démocratie politique a produit le mercenariat politique devant un gouvernement sans boussole et dont des contradictions ont été signalées chaque semaine..», estimera-t-elle. «Quel que soit le secteur considéré, le même diagnostic se dégage, en s’imposant de lui-même: «Toutes les entreprises, dont les institutions de l’Etat, qui constituent la colonne vertébrale de l’ Etat, à l’image des corps constitués, l’armée, les douanes et la justice ainsi que les assemblées élues sont infiltrées, donc, menacées par des lobbies qui servent leurs intérêts étroits» a-t-il indiqué. Sur un autre plan, la première responsable du PT a dénoncé la répression qui s’est abattue sur les retraités et invalides de l’ANP.

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Eclairage: Le vol chez les petits, pas d’amalgame !

Sat, 09/29/2018 - 14:18

SYNTHÈSE SARAH RAYMOUCHE
«Qui vole un œuf, vole un bœuf.» Cet adage est-il adapté en tout lieu et en toute situation ? C’est la question que nous nous sommes posée, notamment pour les enfants. Ces derniers, s’ils chipent des bonbons ou des chips, sont-ils considérés comme des voleurs ? A quel stade évoque-t-on les petits larcins comme un signal fort de malaise ou de besoin ? Ou bien encore, que cache ces petits vols ? Soirmagazine vous propose dans ce numéro l’éclairage des experts.
Un âge pour «voler»
Marion Haza, psychologue, explique : «Le vol n’est pas associé à quelque chose de mal chez les enfants. Avant l’âge de 5 ou 6 ans, on ne parle pas de “vol”. Petits, les enfants explorent le monde qui les entoure avec le sentiment que tout ce qu’ils voient leur appartient. Ils s’intéressent aux autres et donc à ce qui appartient aux autres ! Certains volent par exemple pour offrir l’objet à quelqu’un qu’ils aiment, pour lui faire plaisir. Ils pensent que tout est à tout le monde ! Petit à petit, l’enfant doit intégrer la notion de propriété, de respect du territoire de chacun.» David Goulois, psychologue clinicien-psychothérapeute, enseignant en psychologie, St-Pierre, île de la Réunion, soulève et fait la différence entre le vol chez la petite enfance et l’adolescent : «Le vol abolit les frontières entre ce qui est à moi et ce qui est à l’autre. Si pour le petit enfant il s’agit plutôt de faire un essai pour voir ce que cela fait, en même temps il s’agit souvent de vivre la volupté de réaliser un acte interdit par les parents et accessoirement par la société. Chez le petit, le vol est un comportement que je qualifierais de presque naturel et même assez logique, chez la petite enfance. Point de doute, il n’y a pas de génétique du vol. Souvent les ‘‘petits voleurs’’ font leurs premières tentatives vers 4 ans. En fait, à cet âge l’on ne fait pas vraiment le différence entre ce qui est à soi et ce qui est aux autres. L’on n’a pas non plus intégré toutes les notions de culpabilité, et c’est justement par la transgression des interdits et par la sanction des adultes, que l’enfant intègre cette culpabilité et donc grandit. Bref, chez le petit, le vol n’est pas si gravissime que cela. Par contre, chez l’adolescent, cela prend une autre dimension. Rappelons que l’adolescence commence vers 12 ans pour les plus précoces.»
«Mon Dieu, mon enfant a volé ! Mais pourquoi ?»
Nous avons tous assisté à une scène dans laquelle la maman pleure en découvrant que son enfant a volé un peu de monnaie, des bonbons ou du chocolat. Elle s’écrie alors : «Mais qu’est-ce que j’ai fait ?! Mon enfant est perdu, c’est un voyou ! Je dois être une mauvaise maman.» Pas la peine de se mettre dans cet état-là. Les experts expliquent qu’il existe des raisons, assez générales qui poussent un enfant à voler. Dimitri Haikin, psychologue, psychothérapeute, les énumère : «Il existe une liste non exhaustive des différentes motivations conscientes et inconscientes. Il est à citer ‘‘la pulsion’’, dans ce cas, l’enfant dira que c’était ‘‘plus fort que lui’’, qu’il n’a pas réfléchi, qu’il était terriblement attiré par l’objet. Il s’agit d’une pulsion orale avec un désir irrésistible d’avoir. Il plaidera donc ‘’la force irrésistible’’. Ou encore ‘’la compensation’’, dans certains cas, le vol d’objets peut être la réponse à un manque affectif. L’enfant se vivant comme ‘‘manquant’’ va chercher à combler le vide par l’objet symbolique. Ce mécanisme est proche de celui d’autres dépendances comme la boulimie. Ce type de vol peut se répéter et devenir alors le symptôme d’un état dépressif chez l’enfant. Il nécessite alors une prise en charge psychothérapeutique. Ou bien, ‘’le mimétisme’’, Il s’agit là du désir inconscient d’être comme l’autre, de lui ressembler. Ce type de désir apparaît très tôt chez l’enfant, dès la crèche, quand il voit son camarade jouer avec le seau jaune, il va tenter de le lui prendre pour ‘’se sentir comme l’autre’’. Chez l’enfant plus grand, cela peut traduire le sentiment de vivre comme trop différent des autres et donc comme potentiellement rejetable. Sa croyance inconsciente est qu’en possédant le même objet que toi, je serai reconnu et aimé comme toi. Enfin, ‘’la bravade de l’interdit’’, dans ce cas, l’enfant veut éprouver la loi qu’il connaît. Il cherche à ressentir ce qui se passe quand il franchit une limite clairement interdite. Il peut ressentir alors une certaine jouissance sous forme d’un sentiment de toute-puissance. Cependant, il est rare qu’il perdure et se commute généralement bien vite en un profond sentiment de culpabilité. L’enfant se sent alors seul avec son secret et aura besoin de l’aide de quelqu’un pour tourner la page.»
«En enfer, tu brûleras… !» La bonne réponse ?!
Le sentiment de culpabilité n’est pas inné, mais se développe avec l’âge. C’est dans ce sens que David Goulois, psychologue clinicienpsychothérapeute, note : «Il est très important de culpabiliser l’enfant : c’est en le culpabilisant qu’il va intégrer les interdits sociaux. Mais pas trop non plus. Il y a un juste milieu : montrez de la tristesse au fait que votre enfant ait volé. Montrez des émotions. Rappelez que les voleurs finissent en prison. Pas la peine pour autant de le stigmatiser dans la famille.» Pour sa part, Dimitri Haikin relève qu’«il est indispensable en tant qu’adulte de rester très clair et ferme quand au fait qu’il s’agisse d’un acte strictement interdit ! Il faudra ensuite tenter de mesurer la nature des motivations de cet acte et enfin trouver un procédé de réparation qui puisse clôturer l’affaire convenablement pour les deux parties. La réparation est bien plus pédagogique pour l’enfant que la punition. Il n’est pas nécessaire d’utiliser des images terrorisantes comme : ‘’tu vas aller en prison’’ ou ‘’la police va venir à la maison’’.»
Vols à répétition : à prendre en charge
Comme expliqué, la plupart des enfants volent pour explorer, pour tester et en leur expliquant pourquoi c’est interdit, ils ne recommenceront pas. Cependant, lorsqu’un enfant continue à voler régulièrement, il faut s’en inquiéter. A ce sujet, Marion Haza met en garde : «Son comportement cache une souffrance et va souvent de pair avec des problèmes scolaires ou de l’insolence. Attention aussi aux problèmes de racket ! Cela peut être le signe que l’enfant est victime d’un chantage. » Et pour cela, il n’y a pas d’âge.
Source internet

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La pomme de terre à… 80 DA !

Sat, 09/29/2018 - 14:15

Au moment où les services de l’Etat s’engagent à réguler le marché de la pomme de terre en fixant le prix de ce produit de base à 40 DA le kg pour permettre aux petites bourses d’y accéder soi-disant facilement tout en mettant fin aux agissements inciviques des spéculateurs indélicats aux calculs foncièrement mercantiles, voilà que ce tubercule de large consommation prend de l’envol à Relizane car après avoir atteint le pic de 100 DA, il affiche à présent 80 DA le kg. Ce prix exorbitant est pratiqué devant la passivité totale des services de contrôle concernés et la démobilisation entière des associations de défense du consommateur tant au niveau des magasins qu’à travers les marchés hebdomadaires réputés habituellement dans l’écoulement de produits à des prix raisonnables. Le cas de la pomme de terre n’est pas unique à Relizane car la flambée des prix qui sévit actuellement a atteint la quasi-totalité des produits. A titre d’exemple, la tomate est cédée à 180 DA, le haricot vert à 250 DA, la salade verte à 180 DA et le poivron à 160 DA le kg. Quant aux prix des fruits, ils sont tout simplement inabordables. La figue plafonne à 250 DA, la poire à 250 DA et la banane à 400 DA le kg. Cette fluctuation inexpliquée des prix qui donne des frissons aux petits ménages à quel niveau est-elle imposée ? Là est tout le problème.
A. Rahmane

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Enfin !

Sat, 09/29/2018 - 14:01

Algérie Poste va rénover son système d’accueil de la clientèle qui, jusqu’ici, est resté très archaïque. En effet, on apprend que 1 000 bureaux de poste seront dotés prochainement de système de gestion de fil d’attente.

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Élection présidentielle: Abdelaziz Belaïd potentiel candidat

Sat, 09/29/2018 - 14:01

Abdelaziz Belaïd sera vraisemblablement partant à la prochaine élection présidentielle. La candidature du troisième au rendez-vous d’avril 2014, sera entérinée ce matin par les 1 318 congressistes qui prennent part, depuis hier vendredi, au second congrès du parti qu’il préside, le Front el Moustaqbal. Celui qui affirme à qui veut bien l’entendre, «ne pas se taire et de parler avec sincérité» dit «craindre» pour le pays qui, soutenait-il dans une courte intervention après la cérémonie d’ouverture du congrès, court un «sérieux risque d’effondrement à la libyenne ou à la syrienne si les choses persisteraient encore». Belaïd dit préférer être «citoyen d’un pays fort que zaïm d’un pays effondré» dans une fléchette à l’endroit de ceux qui, par tous les moyens veulent s’accrocher au pouvoir», affirmant avoir eu «honte» lors de sa participation, en avril dernier à une activité de partis nord-africains. A propos de ce second congrès du Front el Moustaqbal, son président sortant qui devra sans aucun doute être reconduit à son poste, affirme qu’il «accouchera» de «mesures inédites» avec, précisera-t-il, l’introduction de «primaires» pour toutes les élections.
M. K.

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Rencontre secrète entre Ouyahia et Ould-Abbès !

Sat, 09/29/2018 - 13:56

Le Premier ministre et secrétaire général du Rassemblement national démocratique, Ahmed Ouyahia, a reçu, jeudi dans l’après-midi, le secrétaire général du Front de libération nationale, Djamel Ould-Abbès, avons-nous appris de source sûre. Cette rencontre, qui a eu lieu au palais du gouvernement aura duré près de deux heures et avait pour ordre du jour «la situation générale dans le pays», ajoute notre source.

Kamel Amarni – Alger (Le Soir) – Pour rappel, une rencontre similaire entre les deux hommes avait eu lieu en juillet dernier et annoncée publiquement par le Premier ministère. Ce n’est pas le cas du tête-à-tête de ce jeudi qui s’est tenu loin des feux de la rampe. «Cette rencontre entre les deux responsables des deux principaux partis du pays, membres de la majorité présidentielle, convenue de longue date, a eu à traiter de tous les sujets liés à l’actualité nationale», nous ajoutera encore notre source. «Mieux, il a été convenu de coordonner les actions et le travail des deux partis, le FLN et le RND et à tous les niveaux». Notamment, croit savoir notre source, en prévision des échéances parlementaires à court terme, à savoir l’examen, par le Parlement du projet de loi de finances adopté mercredi dernier par le Conseil des ministres, mais aussi, et c’est le plus important, «en prévision des prochaines élections présidentielles». Le FLN, comme le RND ayant, pour rappel aussi, définitivement tranché leurs positions officielles respectives par rapport aux présidentielles d’avril 2019 en soutenant la candidature de Abdelaziz Bouteflika. Ceci étant, la rencontre entre Ouyahia et Ould-Abbès d’avant-hier jeudi a eu à se pencher sur la crise qui secoue la Chambre basse du Parlement, ou ce qu’il convient d’appeler «l’affaire Bouhadja». A ce propos, et selon notre source, le cas du président de l’Assemblée aura été tranché en haut lieu. «Les députés du RND, du MPA, de TAJ, ceux du groupe des indépendants en plus, bien sûr, du groupe FLN ont été instruits pour signer la lettre de retrait de cofinance signifiée à Saïd Bouhadja». Selon notre source, il y est clairement signifié à ce dernier de bien vouloir déposer sa démission faute de quoi «les signataires bloqueront toutes les structures et toutes les instances de l’Assemblée». Hier vendredi, en fin de journée, certaines sources au fait du dossier évoquaient, déjà, la collecte d’environ 300 signatures. Autant dire que le sort de l’actuel président de l’Assemblée est définitivement scellé et sa démission n’est plus qu’une question de temps. Selon des indiscrétions, «l’apport » des parlementaires de tous les partis de l’alliance présidentielle avait été inspiré par la présidence. «Ce n’est pas un hasard si les responsables des deux plus grands partis de la majorité, le FLN et le RND ont donné le feu vert à leurs parlementaires respectifs pour mener cette opération de destitution du président de l’Assemblée», nous explique t-on. Le tête-à-tête entre Ouyahia et Ould Abbès aura donc été fatal pour Saïd Bouhadja.

K. A.

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5 300 bus pour le transport scolaire !

Sat, 09/29/2018 - 13:56

Ce n’est pas l’ambiance des grands jours dans l’hémicycle de l’Assemblée populaire nationale ce jeudi 27 septembre alors que nous sommes bien dans le climat de la rentrée sociale : sur les 417 élus, c’est tout juste 50 dont 14 femmes qui ont rejoint leurs sièges.

Il y a eu des échanges vifs même si les ministres ont toute la latitude de préparer les réponses aux questions écrites déposées auprès du bureau de l’Assemblée. Ce sera à Noureddine Bedoui, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales d’entamer la matinée en rappelant d’emblée que l’école, c’est-à-dire l’éducation nationale, est élevée au rang de priorité dans les préoccupations du gouvernement. Ainsi, pour la restauration des élèves, un ensemble de mesures concrètes, dit-il, sont prises par la mobilisation de moyens financiers et matériels conformes aux exigences. Mesures que Noureddine Bedoui développera du haut de la tribune. «Des instructions fermes ont été données aux walis et APC pour la réouverture de toutes les cantines scolaires».

Il avance le chiffre de 26,5 milliards de DA, en financement des collectivités locales en sus d’autres subventions pour les communes à faibles ressources pour proposer, à l’élève, un menu de 55 DA (régions du Sud et des Haut-Plateaux) et 45 DA pour le Nord. Ce sont, précise-t-il, 3,7 millions d’élèves dont 83 % du cycle primaire qui en bénéficient. 1,3 milliards de DA ont été débloqués pour améliorer le menu quotidien. Ce n’est pas tout, explique le ministre aux députés attentifs, en appui à ces mesures, il est lancé un programme de 45 000 emplois après formation pour les agents des cantines. A ce propos, il appelle les petites entreprises privées à s’impliquer selon un cahier de charges dûment défini. Pour la gestion et le suivi des structures pédagogiques, 15 milliards de DA sont débloqués tandis que le transport des élèves, particulièrement ceux des régions montagneuses et isolées sera progressivement pris en charge grâce à un plan d’investissement de 25 milliards de DA pour l’acquisition de 5 300 bus scolaires dont 700 sont déjà livrés et 2 000 le seront avant la fin de l’année affirme, Noureddine Bedoui. Le volet énergie propre et renouvelable n’a pas été du reste dans son intervention puisque, dit-il, 55 établissements scolaires en sont déjà dotés et 500 seront connectés pour l’actuelle rentrée scolaire.

Et d’ailleurs, expliquera- t-il des instructions ont été données pour se mettre à l’ère de l’énergie solaire. Et, si les réponses du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales se sont déroulées dans la sérénité, le sujet des cantines scolaires notamment, sera de nouveau mis en avant dans les questions posées à la ministre de l’Education.

Elle renverra au code communal qui rattache les cantines aux communes qui dépendent du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales. (Art.122 de la loi de 2011). Ce serait donc une solution inappropriée. Résultat : le menu au réel serait de 35 DA voire moins et la qualité laisse à désirer. Pis, l’on sert des repas froids indigestes pour des enfants en âge de pleine croissance. Nouria Benghabrit choisira d’expliquer posément les problématiques des questions soulevées par les députés. Il est vrai que nous sommes en plein dans l’ambiance de la rentrée scolaire 2018-2019 et les difficultés rencontrées y sont l’occasion pour certains d’interpeler la ministre dont l’exposé est fustigé par le député Salah Zouiten : «On ne peut pas justifier l’injustifiable». Cette attaque frontale n’est pas du goût de Benghabrit qui n’hésitera pas à tancer le député : «Prenez la responsabilité de vos propos», et : «Vous posez le problème selon votre propre angle de vue», lance-t-elle à l’élu qui ne demandera pas son reste puisqu’il quittera la salle sans attendre la suite des explications de la ministre. Cette dernière reviendra sur la question des cantines scolaires, du menu, de la surcharge des classes, 60 élèves à Baraki, Alger-est selon un député. Les chalets – 45 mètres carrés — retenus comme solution s’avèrent trop exigus et ne disposent pas des commodités d’une classe du secondaire notamment le laboratoire. «Nous suivons le problème avec attention, dira la ministre qui met en avant trois causes dans cette situation : le nombre des élèves redoublants ; le déplacement des populations à la faveur des relogements et le retard dans la réalisation des nouvelles écoles. Par ailleurs, Abderrahmane Raouiya a eu à réagir aux questions sensibles et épineuses du foncier et les procédures de mise en place du cadastre. D’énormes difficultés sont rencontrées par les agents chargés de l’opération recensement et les formalités administratives qui mettent à jour l’incapacité des services concernés notamment en ce qui concerne le livret foncier. Autre sujet d’importance, il concerne les infrastructures portuaires et routières sur lesquelles le ministre a tenté de convaincre les intervenants. Pour Mohamed Aïssa, le ministre des Affaires religieuses, l’Algérie est en passe de devenir une école de référence en matière religieuse grâce à sa vision de l’Islam et sa lutte contre l’extrémisme. Mustapha Guitouni, le ministre de l’Energie en plus des réponses aux députés jugera plus inspiré de tenir un point de presse sur les sujets du jour, à savoir la réunion d’Alger des pays producteurs de pétrole Opep et non-Opep à la valeur des menaces du Président américain Donald Trump réclamant une baisse de la production et une baisse du prix du baril. Aucun pays ne s’y soumettra. Mustapha Guitouni mettra en avant le principe de souveraineté et de liberté dans les décisions de l’organisation pétrolière. De sa réponse aux députés, le ministre de l’Energie veut tirer la sonnette d’alarme quant à nos capacités de production en gaz (135 milliards de mètres cubes) et la consommation interne qui engloutit 50% ; 55 milliards sont exportés et 30 milliards sont réinjectés dans les puits pour les maintenir en activité. C’est donc 60% de la production qui est destinée à la consommation locale, domestique et industrielle. Une façon de rappeler que ces réserves qui ne sont pas inépuisables ne pourront plus être source de rentrées de devises suffisantes et qu’il faudra, qu’on le veuille ou non investir dans le gaz de schiste, d’autant que la politique de couverture en gaz naturel, y compris dans les régions les plus reculées voire inaccessibles, est un choix toujours d’actualité. D’autre part, la recherche de nouvelles sources d’énergies électriques poussent à de gros investissements. Il en est ainsi d’un programme de centrales électriques de 2 000 mégawatts, 200 seraient déjà opérationnelles et 400 en cours de réalisation. Aux journalistes qui ont exprimé l’inquiétude quant à un baril de pétrole à 80 dollars et son efficience dans la confection de la loi de finances 2019, Mustapha Guitouni a eu cette réponse sibylline : «L’Algérie se porte bien !».

Brahim Taouchichet

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Recyclage des déchets: Un salon international du 8 au 11 octobre prochain

Sat, 09/29/2018 - 13:48

 La problématique de la collecte, du traitement et du recyclage des déchets sera au centre des discussions, débats et expositions à l’occasion de la 3e édition du Salon international de la récupération et de la valorisation des déchets “Revade”, prévue du 8 au 11 octobre prochain au Palais des expositions des Pins maritimes à Alger. “L’entrepreneuriat circulaire, un levier de développement de la gestion des déchets” est le thème retenu pour cette édition. L’évènement est organisé par la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (Caci), en collaboration avec l’AND, la Safex et la CCIAF.

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Le ministre de l’énergie : “Nous devons vite exploiter le gaz de schiste”

Sat, 09/29/2018 - 13:44

Mustapha Guitouni a indiqué que l’Opep cherche à stabiliser le prix du baril entre 70 et 80 dollars sur le long terme.

Prenant prétexte de la demande de députés qui  l’ont interpellé sur le non-raccordement en gaz de ville de dizaines de communes à Sétif et à Tissemsilt, le ministre de l’Énergie a évoqué la nécessité d’aller vite vers l’exploitation du gaz de schiste. “Nous devons nous orienter vite vers l’exploitation du gaz de schiste dans un cadre réglementé, en considérant les paramètres sanitaires et environnementaux. Nous allons travailler dans ce sens car l’intérêt du pays en dépend”, a-t-il affirmé, après avoir souligné qu’“une couverture (raccordement, ndlr) à 100% est synonyme d’une production de 100 milliards de mètres cubes pour la consommation interne (…) C’est pourquoi, il est impératif de trouver d’autres sources, à l’image du gaz du schiste”.
Improvisant un point de presse, en marge de la plénière consacrée jeudi par le bureau de l’APN aux questions orales, le ministre de l’Énergie, Mustapha Guitouni, s’est exprimé sur l’actualitée liée à son secteur.
Interpellé sur la menace du président américain, Donald Trump, d’enlever la protection des États-Unis aux pays du Moyen-Orient s’ils n’incitent pas l’Opep à augmenter sa production en vue de baisser les prix du pétrole, le membre du gouvernement a assuré que ce tweet n’a aucun effet sur la position de l’Opep, “souveraine dans ses décisions”. Il a précisé que l’accord auquel est parvenu l’organisation, y compris avec des pays producteurs de pétrole qui n’y sont pas membres, induira un équilibre du marché pétrolier. “Un  prix du baril stabilisé autour de 70 à 80 dollars nous convient, car il faut un compromis entre l’offre et la demande. Nous sommes en train, à ce titre, de discuter avec les pays consommateurs”, a poursuivi le ministre de l’Énergie. Sur un autre chapitre, il a démenti l’information afférente à la fermeture du gazoduc traversant le Maroc pour arriver en Espagne. “Nous n’avons pas l’intention de fermer ce gazoduc. L’information est infondée. Nous avons relié les réseaux qui vont en Espagne et en Italie en perspective d’une augmentation de nos capacités d’exportation”, a-t-il expliqué.
Par ailleurs, Mustapha Guitouni a informé qu’un appel d’offres national a été lancé pour la production de 150 mégawatts (MW) d’électricité à partir de sources renouvelables. Il a invité les entreprises, intéressées par ce projet, à retirer le cahier des charges.
Il a rappelé, à l’occasion, que le Programme national de développement des énergies renouvelables vise une production  de 22 000 MW d’électricité, puisés de l’énergie solaire, notamment dans une échéance de 10 ans, pour la consommation domestique et 10 000 MW supplémentaires destinés à l’exportation.
L’objectif est de réduire, à échéance, la consommation d’énergie fossile de 9% et d’économiser jusqu’à 240 milliards de mètres cubes de gaz naturel, soit quelque 63 milliards de dollars sur vingt ans.

Souhila Hammadi

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13é anniversaire du référendum sur la charte pour la paix et la réconciliation nationale

Sat, 09/29/2018 - 13:37

Le crédit témoigné à la politique de la rahma initiée par le président Zeroual, qui n’avait alors consenti aucune largesse aux islamistes armés, devait servir en fin de compte de préambule aux concessions, sans limites, accordées aux islamistes et à leur bras armé.

Indissociable des bilans tous azimuts du règne sans partage, deux décades durant, de Bouteflika, la réconciliation nationale est devenue, bon gré mal gré, la trame de fond qui module aussi bien la propagande du pouvoir que les discours de ses relais.
L’opportunité offerte à ces derniers en cette date du 29 septembre qui coïncide avec le 13e “anniversaire” du référendum sur la charte pour la paix et la réconciliation nationale remet au goût du jour le rapprochement déconcertant commis, il y a une année exactement, par l’ancien président de la Commission nationale consultative pour la protection et la promotion des droits de l’homme (CNCPPDH), Me Farouk Ksentini qui disait : “Sans la moindre complaisance, et surtout sans le moindre excès, je considère honnêtement que la réconciliation nationale est un événement qui est de la même ampleur que le 1er Novembre 1954. Si la révolution de 1954 nous a permis de retrouver l’indépendance, la réconciliation nationale nous a permis de retrouver la paix.” Mais de paix, l’inclination outrancière des partis de l’allégeance, organisations et même des institutions qui leur sont subordonnées, occulte l’effervescence grandissante du front social, animé, entre autres, par une frange, distinctement omise par les dispositions de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Les retraités, invalides et radiés de l’ANP, ainsi que leurs ayants droit, qui revendiquaient ni plus ni moins qu’une régularisation de leur situation administrative et une revalorisation de leur pension de retraite, portant encore les stigmates de leurs sacrifices au front de la lutte antiterroriste, sévèrement réprimés par les services de sécurité, il y a moins d’une semaine à Haouch El-Mekhfi, ne méritaient-ils pas, eux aussi, quelques égards portés par la charte de 2005. Eux qui étaient les fers de lance dans les brasiers de la décennie noire et qui avaient permis à la République de rester debout. Cela, au moment où ceux qui avaient mis en péril la pérennité de la nation et de l’État lui-même, et dont les mains étaient encore maculées du sang de dizaines de milliers de victimes sont réhabilités et indemnisés sur l’autel du dévouement et du sacrifice des enfants valeureux de l’Algérie. Des milliers d’autres victimes ont, par dignité humaine, choisi le silence et, parfois même, d’accompagner cette réconciliation “coupable”. De la concorde civile à la charte pour la paix et la réconciliation nationale, que l’on estime avoir atteint 95% de ses objectifs, d’aucuns considéraient déjà que le terrorisme était militairement vaincu en 1999. Même l’actuel chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, devenu chantre des bienfaits de la réconciliation, claironnait, dès 1997, que la bête immonde était réduite à sa plus simple expression et que le terrorisme n’était plus que résiduel. Le crédit témoigné à la politique de la rahma initiée par le président Zeroual, qui n’avait alors consenti aucune largesse aux islamistes armés, devait servir, en fin de compte, de préambule aux concessions sans limites accordées aux islamistes et à leur bras armé. Aussi, si en ce 29 septembre 2018, qui nous rapproche davantage d’une fin de mandature des plus floues, il n’est plus d’à propos de disserter autour des circonstances d’avènement de cette charte, la propagande du pouvoir, uni, semble-t-il, pour le meilleur et pour le pire, autour de la perspective d’un cinquième mandat, exhume, pour sa part, à cette occasion, tous les bilans. Imputant toutes les réalisations au climat de quiétude retrouvé grâce à la charte pour la paix et la réconciliation adoptée par voie référendaire un certain 29 septembre 2005, les partis de l’allégeance, les organisations de masses inféodées au pouvoir et les médias publics viennent d’annoncer depuis hier la thématique de la campagne électorale pour la présidentielle de 2019. Même les mosquées sont mises à contribution dans cette entreprise, les imams ayant consacré leurs prêches de la prière du vendredi à la réconciliation nationale et ses retombées en termes de paix sociale et d’essor économique.

Kamel Ghimouze

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Les dates du bac, du BEM et de la 5e fixées !

Sat, 09/29/2018 - 13:34

Le ministère de l’Éducation nationale a rendu  public, jeudi, dans un communiqué, le calendrier des examens nationaux des trois paliers pour l’année scolaire 2018/2019 (bac, BEM et 5e).

L’examen du baccalauréat aura lieu du 16 au 20 juin, celui du Brevet d’enseignement moyen (BEM) du 9 au 11 juin, tandis que l’examen de la 5e année primaire est fixé au 29 mai, a précisé la même source.

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Bouira: le réseau « Algerian Eco » sensibilise à Tikjda sur les dangers des changements climatiques

Sat, 09/29/2018 - 13:21

 Le réseau national « Algerian Eco », impliquant des associations environnementales et des organisations de la société civile, ainsi que des laboratoires de recherches universitaires et des experts, a lancé vendredi à Tikjda (Est de Bouira) une campagne de sensibilisation sur les dangers du phénomène des changements climatiques avec la participation de 13 wilayas.

Ce réseau avec à sa tête l’association environnementale « AGIR », a été créé lors de la rencontre nationale sur l’environnement et de la biodiversité, organisée par AGIR en partenariat avec le ministère de l’Environnement et des Energies renouvelables ainsi que le ministère de la Jeunesse et des Sports à Tikjda en juillet 2017.

Il « ambitionne à contribuer sur le terrain à sensibiliser la société civile sur la question des changements climatiques », a expliqué le formateur, Hisham Messaoudi.

« Nous sommes ici pour sensibiliser des associations venues de 13 wilayas, dont Bouira, Mascara, Tizi Ouzou, Béjaia, Sidi Belabbès, ainsi que Chlef, sur les dangers du phénomène du changement climatique, qui constitue une véritable menace pour la terre », a déclaré à l’APS M. Messaoudi, en marge de la première journée de cette rencontre qui se poursuivra jusqu’à samedi au niveau du Centre national de sport et de loisir de Tikjda (CNSLT).

Le formateur a indiqué que cette campagne de sensibilisation avait été lancée dans le cadre du projet « Appui au Plan National Climat » (APNC), qui est le fruit d’une collaboration entre les gouvernements algérien et allemand. Elle est pilotée par l’organisation allemande « GIZ », l’association « AGIR » en collaboration avec le ministère de l’Environnement et des Energies renouvelables.

Au cours de la première journée, les formateurs Hisham Messaoudi et Juba Maâmmar ont axé leurs interventions sur l’identification du phénomène des changements climatiques, son impact, ses causes et ses conséquences sur la planète terre.

« Le réchauffement climatique ou toute modification aux paramètres climatiques engendrent des impacts sur l’environnement et l’activité socio-économique. Ses impacts négatifs n’ont de cesse de s’amplifier du fait de la révolution industrielle que connaît le monde aujourd’hui », ont-ils souligné.

« Ce phénomène est à l’origine des déséquilibres dans la biodiversité ces dernières années, ainsi que du manque d’eau et de la désertification et de la dégradation de la qualité de l’aire et de l’appauvrissement de la couche d’ozone », ont-ils mis en garde.

A ce propos, Kamel Khellas, représentant de l’organisation allemande GIZ à Alger, a saisi cette occasion pour réitérer la volonté et l’engagement de l’Algérie dans la lutte contre ce phénomène via la mise en œuvre du projet APNC dans le cadre de la coopération avec l’Allemagne.

Pour M. Khellas, cette rencontre est une grande opportunité pour les différentes associations vertes à travers wilayas prenant part à cet évènement, pour s’informer sur les différentes recherches et projets réalisés ou lancés dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique et contre les émissions de gaz à effet de serre.

« Les représentants de ces associations pourront ainsi sensibiliser au niveau local dans leurs wilayas sur cette question d’actualité », a indiqué le représentant de GIZ.

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5 mandat: La prudence diplomatique de Washington !

Sat, 09/29/2018 - 13:19

“Comme vous le savez, les États-Unis apprécient notre partenariat avec le peuple algérien et nos partenaires dans le gouvernement. C’est plutôt le processus de l’élection qui compte pour la politique des États-Unis. La volonté des électeurs est ce qui compte le plus, le plus important (…)”, a souligné Brian Neubert.

Alors que Paris, via l’ex-chef du renseignement, Bernard Bajolet, semble avoir décidé de “sonner le tocsin” du cinquième mandat, Washington préfère plutôt opter pour la prudence. C’est, du moins, ce qu’il est permis de conclure de la réponse, somme toute très diplomatique, de la porte-parole du département d’État, Erica Chiusano, à une question sur la disponibilité des États-Unis à soutenir ou non un éventuel cinquième mandat du président Bouteflika.
“Les États-Unis entretiennent une relation fructueuse et profonde avec l’Algérie non seulement entre les deux gouvernements, mais également entre les deux peuples. Concernant les prochaines élections, les États-Unis suivent l’évolution (…) Il y aura des discussions avec la société civile, les politiques (…) Et l’ambassadeur aura à s’exprimer dans ce contexte. Le gouvernement américain est disposé à travailleur avec le gouvernement qui sortira de ces élections”, a indiqué, jeudi, Erica Chiusano, lors d’une téléconférence conjointe, depuis le siège des Nations unies à New York, avec son collègue Brian Neubert. Relancé de nouveau par Liberté, Brian Neubert s’est montré, lui également, très prudent en reprenant des poncifs liés au processus électoral. “Comme vous le savez, les États-Unis apprécient notre partenariat avec le peuple algérien et nos partenaires dans le gouvernement. C’est plutôt le processus de l’élection qui compte pour la politique des États-Unis. La volonté des électeurs est ce qui compte le plus, le plus important (…) Vous allez suivre les discours de mes collègues à l’ambassade et bien sûr de l’ambassadeur.” Si cette prudence procède probablement du “pragmatisme” américain, d’autant qu’ils ont été échaudés par la polémique de 2014 après la visite peu avant l’élection de l’ancien secrétaire d’État, John Kerry, Washington ne manque pas de mettre l’accent sur la qualité de la “coopération” entre les deux pays dans la lutte contre le terrorisme et les “leçons” qu’elle tire de l’expérience algérienne et le rôle d’Alger dans la “stabilité” de la région du Maghreb et du Sahel.  “Nous avons une relation forte avec l’Algérie, et l’un des domaines importants de coopération est le volet sécuritaire et la lutte contre le terrorisme. Nous apprécions l’Algérie pour ses efforts pour la stabilité dans la région. Nous avons beaucoup de programmes avec l’Algérie pour renforcer la relation dans ce domaine et approfondir la coopération”, souligne Erica Chiusano. La lutte contre le terrorisme doit-elle être limitée seulement à l’action militaire ?
“Parmi les leçons apprises de votre expérience dans le cadre de notre partenariat avec l’Algérie, c’est que la solution militaire et sécuritaire est nécessaire, mais pas suffisante.”

Pragmatisme américain
“Il y a aussi la possibilité de développement, la bonne gouvernance économique et la création des possibilités qui sont absolument nécessaires pour les jeunes et la population”, soutient, pour sa part, Brian Neubert. Interrogés dans le même contexte pour confirmer ou infirmer la présence de soldats américains en Tunisie, près de la frontière algérienne, comme rapporté récemment par une publication, les diplomates américains ont insisté sur le fait qu’en tant que diplomates, ils ne rentrent pas dans les détails et qu’ils suivent les déclarations du ministère de la Défense. “Ce que je peux dire, c’est qu’on coopère dans la lutte contre le terrorisme, la sécurité, l’investissement dans plusieurs domaines. Cette coopération ne concerne pas la Tunisie seulement, mais également d’autres pays de la région”, affirme Erica Chiusano. Par ailleurs, à la question sur les risques qu’encourt l’Algérie, en vertu d’une loi américaine préconisant des sanctions à l’égard d’entités qui coopèrent avec la Russie, un de nos principaux fournisseurs, notamment en armes, Brian Neubert suggère des “discussions” au préalable. “Parmi les crises, il y a celles qui sont provoquées par la Russie, c’est pour cela que nous avons imposé des sanctions (…) Nous respectons le choix souverain des pays, comme l’Algérie, dans la manière de gérer leurs affaires étrangères et leurs partenariats, comme nous savons que vous allez respecter nos intérêts et notre politique étrangère. C’est quelque chose que nous devons discuter, et je pense, dans ce sens, que nous pouvons trouver un moyen pour mettre la pression sur la Russie afin qu’elle arrête de menacer ses voisins et la paix mondiale.”

Karim Kebir

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Abdelwaheb Djazouli en concert à Alger

Sat, 09/29/2018 - 13:11

 Le chanteur de la variété algérienne, Abdelwaheb Djazouli a animé jeudi soir à Alger un concret empreint de rythmes andalous et chaâbi devant ses admirateurs.

Accueilli à la salle Ibn-Zeydoun de l’Office Riad El Feth (OREF), le concert a drainé un public nombreux de fans, gratifiés de pièces de l’andalou, décliné dans ses genres hawzi et châabi algérois.

Accompagné d’un orchestre de huit musiciens dont un luthiste, pianiste et un percussionniste, Abdelwaheb Djazouli a revisité des classiques du chaâbi, exécutés avec une finesse vocale et instrumentale. Des titres, très connus du public comme « Bin el bareh oua lyoum » (entre hier et aujourd’hui), « ma narafech oua ana sghir  » (Petit, je connais rien), ont suscité de l’admiration d’un public chaleureux.

Les prouesses de l’artiste et son orchestre ont été payées par des applaudissements nourris d’un public mélomane, venu en masse pour assister à cette soirée marquant l’anniversaire de la naissance du chanteur.

Promenant son public dans un voyage Hawzi, l’artiste a interprété « Welfi Meriem », un classique de la musique andalouse chanté par de grands noms de la chanson algérienne.

Dans la deuxième partie de cette soirée, l’artiste a dévoilé trois chansons tirées de son premier album « Jazz’man », sorti dernièrement.

Djazouli a chanté « Karima », titre de chanson écrite par son père qu’il a dédiée à sa mère, avant d’enchainer avec « Ya Kmar ya ali » (ô lune si élevée!), composée par Hakim El Batni du groupe Kahina.

Issu d’une famille d’artistes dont son grand-père Cheikh Mohamed Djazouli, Abdelwahab a bercé dans un univers musical qui l’a emmené dans la voie de l’art depuis sa tendre enfance.

Passionné et inspiré par de grands noms du chaâbi dont El Hadj M’hamed El Anka, El Hachemi Guerrouabi, Abdelwahab a fait ses classes au Conservatoire d’Alger où il apprend à jouer de la guitare, du luth et de la mandoline.

A l’association « El Inchirah », qu’il a intégrée en 2003, il apprend de Smain Hini, son mentor, à chanter les noubas (pièces instrumentales et vocales de la musique andalouse).

Sur scène, le chanteur qui anime des galas privés, allie des sonorités musicales actuelles dont le gnawi moderne avec le chaâbi algérois, adapté aux goûts et aux attentes de son public.

En 2009, il enregistre son premier single intitulé « Kounti Aliya takadbi »(Tu m’avais menti), suivi de « Hayaw » en 2012 et « Nedjma », sorti deux ans plus tard.

C’est dans « Jazz’man », son premier opus de huit titres sorti en février dernier, que Abdelwahab Djazouli retrouve son style (algérois), revisité avec une touche moderne et des rythmes variés.

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Adrar-intempéries: effondrement d’une vingtaine de bâtisses et 85 familles sinistrées à Tamentit

Sat, 09/29/2018 - 13:11

Les chutes de pluies enregistrées jeudi après-midi sur la ville d‘Adrar et ses environs ont provoqué l’effondrement d’une vingtaine de bâtisses et sinistré 85 familles, au niveau des ksour de Tamentit (12 km Sud d’Adrar), a-t-on appris auprès d’un élu de cette collectivité.

Les services de la commune ont mis en place une cellule de crise pour la prise en charge des sinistrés et leur évacuation vers des salles d’établissements scolaires, retenues pour leur hébergement provisoire, a indiqué Abdelhalim Amraoui, membre de l’Assemblée populaire communale (APC) de Tamentit.

Les opérations de recensement des sinistrés et des dommages occasionnés par ces intempéries se poursuivent, en coordination avec les services de la protection civile, a-t-il ajouté dans ce premier bilan.

Des pluies intermittentes se sont abattues jeudi sur Adrar et ses environs, entrainant des agglutinements d’eaux à divers endroits, perturbant le trafic routier, et causant des dommages à plusieurs vieilles bâtisses construites en toub (pisé), a-t-on constaté.

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Illizi: décès du moudjahid Ahmed Sebgueg (Boudraâ) à l’âge de 91 ans à Djanet

Sat, 09/29/2018 - 13:00

Le moudjahid Ahmed Sebgueg dit Boudraâ est décédé jeudi soir à Djanet à l’âge de 91 ans, des suites d’une longue maladie, a-t-on appris auprès de la direction des moudjahidine de la wilaya d’Illizi.

Né en 1927 dans la wilaya d’Ouargla, le défunt, qui a rallié les rangs de l’Armée de libération nationale en 1957, ‘’était un compagnon d’arme du Président de la République Abdelaziz Bouteflika (Abdelkader El-Mali) à la base Sud au Mali’’, a indiqué à l’APS le directeur des moudjahidine, Salah Keddi.

Eminent élément de l’ALN avec le grade d’officier, le défunt avait contribué largement à la mobilisation et l’entrainement des révolutionnaires, la collecte d’aides et l’acheminement d’armes pour la Révolution via les frontières sud du pays, a-t-il ajouté.

Il s’impliqua à l’indépendance dans al mobilisation des jeunes et leur sensibilisation à la préservation des acquis de la glorieuse Révolution du 1er Novembre 1954, tout comme il représentait une référence pour les jeunes, les élèves et les étudiants qu’il rencontrait souvent, selon la même source.

Le moudjahid Ahmed Sebgueg est décédé à son domicile au quartier Ifri (Djanet), après une longue maladie, et devra être inhumé vendredi après-midi au cimetière ‘’Aghoum’’ à Djanet.

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Indonésie: le bilan du séisme et du tsunami monte à 384 morts

Sat, 09/29/2018 - 13:00

Le séisme et le tsunami survenus vendredi sur l’île indonésienne des Célèbes ont fait au moins 384 morts, selon un nouveau bilan fourni par l’agence de gestion des catastrophes.

Un précédent bilan fourni quelques heures plus tôt par les autorités avait fait état de 48 morts et 356 blessés dans la ville de Palu, comptant quelque 350.000 habitants et frappée par une vague de 1,5 mètre vendredi.

Vague violente

Les images venues de la ville de Palu, située sur la côte ouest des Célèbes, montraient des corps allongés près de la côte, certains recouverts de couvertures bleues. Des carcasses de véhicules témoignent de la violence de la vague qui s’est abattue sur la côte. Alors que les hôpitaux sont dépassés par l’afflux de victimes, de nombreux blessés étaient soignés à l’extérieur.

Sutopo Purwo Nugroho, porte-parole de l’agence de gestion des catastrophes, avait prévenu lors d’une conférence de presse ce samedi que le bilan de 48 morts pourrait rapidement s’alourdir.

“Nous pensons que des dizaines ou des centaines (de victimes) n’ont pas encore été dégagées des décombres. Le principal centre commercial de Palu (…) s’est effondré”. “L’hôtel Rua-Rua (…) s’est affaissé, il avait 80 chambres dont 76 étaient occupées”, a-t-il détaillé.

Séisme de magnitude 7,5

Le séisme a frappé l’île juste avant 11h GMT vendredi avec une secousse d’une magnitude de 7,5, selon l’institut géologique américain (USGS).

Un tsunami s’est déclenché peu après avec une hauteur maximale de 1,5 m sur la côte proche de Palu. La panique a poussé les habitants à fuir vers les hauteurs de la ville, selon des images des télévisions locales. Une vidéo montre une vague imposante s’abattre sur plusieurs bâtiments et inonder une mosquée.

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Accidents de la route: plus de 2270 décès lors des 8 premiers mois de 2018

Sat, 09/29/2018 - 03:53

ALGER – Plus de 2273 personnes sont décédées lors des huit premiers mois de l’année en cours au niveau national, a indiqué un bilan du Centre national de prévention et de sécurité routières (CNPSR), qui a fait état d’une baisse dans le nombre des morts et des blésées par apport à la même période de l’année précédente.

L’Algérie a enregistré, lors des huit premiers mois de l’année en cours, 15943 accidents de la route ayant fait 2273 morts et 22775 blessés. Par rapport à la même période de l’année dernière, le nombre de morts a connu une baisse de 9.69 % ainsi que celui des blessés (-10,43%) et celui des accidents (-8.02%), ajoute la même source.

Durantla même période de l’année dernière, 2517 personnes ont péri dans plus de 17.000 accidents de la circulation survenus à travers le territoire national, outre 25.426 blessés.

Selon les statistiques fournies par le CNPSR, la tranche d’âge située entre 18 et 29 ans est fortement impliquée dans ces accidents, sachant que les titulaires de nouveaux permis (moins de 5 ans) sont responsables de la moitié des accidents enregistrés.

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Ressources en eau: un total de 85 grands barrages d’ici à 2020

Sat, 09/29/2018 - 03:43

L’Algérie a réalisé 36 grands barrages depuis l’an 2000 faisant augmenter le nombre des barrages réalisés à réceptionner d’ici 2020 à 85 barrages, a indiqué jeudi le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib.

Lors d’une séance consacrée aux questions orales à l’Assemblée populaire nationale (APN) présidée par Saïd Bouhadja à laquelle a assisté le ministre des Relations avec le parlement, Mahdjoub Bedda, M. Necib a indiqué que le secteur recensait 80 barrages en cours d’exploitation et 5 grands barrages en cours de réalisation qui seront progressivement réceptionnés jusqu’en 2020.

Répondant à une question du député Youcef Brahmia concernant le projet de réalisation du barrage Koudiet Hricha (Guelma), M. Necib a précisé que les études réalisées avaient démontré que la composante géologique de la terre constituée  essentiellement de gypse ne permettait pas la réalisation de ce projet, vu sa vulnérabilité.

L’estimation financière préliminaire de ce projet était de près de 50 milliards DA avec une capacité de stockage prévisible de 50 millions de m3. Toutefois, le projet n’a pas été réalisé en raison des données géologiques inappropriés, d’où la décision du secteur d’enregistrer un autre projet alternatif consistant à réaliser un petit barrage aux abords de Oued Charef avec une capacité de stockage atteignant 100 millions de M3/an.

La fonction de ce barrage est de transférer les eaux vers le barrage Debagh qui a enregistré un déficit du niveau des eaux, eu égard à la rareté des pluies.

Ce projet, qui coûtera au secteur une enveloppe financière de 3 milliards de DA, permettra de transférer les eaux vers le barrage de Debagh dans la région, d’approvisionner les citoyens de la wilaya de Guelma en eau potable et d’assurer 6 millions de M3  pour l’irrigation des terres agricoles.

Un appel d’offres sera annoncé pour la réalisation du projet durant les prochains jours, a fait savoir le ministre.

Répondantà une question relative aux puits artésiens de la wilaya d’Illizi, le ministre a fait savoir que cette dernière ne comptait pas ce type de puits, mais dispose plutôt des puits nécessitant le recours à l’opération de pompage d’eaux au regard des caractéristiques géologiques de la région.

La wilaya d’Illizi compte environ 55.000 habitants, et fournit 4 millions de mètres cubes d’eaux par mois, partant des puits profonds y existants (au nombre de 659 puits d’une capacité d’un million (1) et 300.000 mètres cubes d’eau potable par mois).

De son côté, la région « Thihaout » est alimentée en eau potable par un puits traditionnel qui suffit à répondre aux besoins de la population (200 habitants), en sus de deux autres puits.

Pour sa part, la région « Ifra » s’est dotée d’un puits avec une pompe dont le débit s’élève à 260 mètres cubes/jour, permettant de réguler et d’assurer l’alimentation en eau potable.

En ce qui concerne l’irrigation agricole, le ministre a affirmé que le secteur avait adressé des instructions aux autorités de la wilaya d’Illizi et à la direction des Ressources en eau de la wilaya pour parachever les projets enregistrés en vue d’approvisionner en eaux suivant des programmes réguliers et en quantités suffisantes.

Actuellement, il est procédé à la mise au point des procédures de réalisation d’une station de déminéralisation des eaux au nord de la ville d’Illizi qui vient s’ajouter à la station déjà réalisée dans la région, ajoute la source. Il est prévu, en outre, la réhabilitation de 8 puits.

La wilaya a bénéficié, également, de la réalisation de 8.000 mètres linéaires des puits profonds, à l’exception du puits de la région « Thihaout » dont les travaux seront entamés dans les jours à venir. Ce programme permettra l’accroissement des surfaces agricoles irriguées de 300.000 hectares.

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Elaboration d’un nouveau guide sur la prise en charge de la femme enceinte

Sat, 09/29/2018 - 03:40

Un nouveau guide sur la prise en charge de la femme enceinte a été élaboré par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, pour une meilleure organisation durant la période de grossesse et jusqu’à l’accouchement, a annoncé vendredi à Alger, le directeur général des services de santé au ministère, Mohamed El Hadj.

« Le ministère a élaboré un guide pour organiser la prise en charge de la parturiente durant toute la période de la grossesse jusqu’à l’accouchement, en fixant, notamment, les calendriers de consultation, les types de femmes enceintes (femmes à haut risque ou sans risque), et les différents paliers chargés de la prise en charge », a précisé  M. El Hadj, lors du 22éme Congrès international sur la gynécologie obstétrique.

Le même responsable a expliqué que l’opération pilote de mise en œuvre de ce guide a débuté depuis six mois au niveau des structures de santé dans certaines wilayas ajoutant que d’ici à la fin de l’année en cours, il sera procédé à la validation finale de ce document.

Il a fait savoir également, que des sessions de formation sont en cours au profit des praticiens de santé dans ce domaine.

D’autre part, le représentant du ministère a mis l’accent sur l’importance de l’accueil de la malade dans les structures de santé, estimant que le bon accueil représente « la moitié du traitement » appelant les enseignants à « inculquer les règles du meilleur accueil « .

Par ailleurs, M. El Hadj a invité les participants au congrès à proposer des recommandations liées à la spécialité gynécologie-obstétrique, afin de les impliquer dans la préparation des projets de textes d’application de la nouvelle loi sanitaire.

Pour sa part, le secrétaire général de la Société algérienne de gynécologie-obstétrique(SAGO), Mohamed Said Oukid, a indiqué que les participants à cet événement, aborderont durant les deux jours des travaux les thèmes liés aux aspect médico-légal en gynécologie obstétrique, la prise en charge médico-chirurgicale de l’infertilité et l’hémorragie de la péri-ménopause.

M. Oukid a précisé que cette rencontre organisée par SAGO en collaboration avec la faculté de médecine de Blida, a pour objectif de présenter les mécanismes et outils de prise en charge et de discuter des difficultés et les techniques en vigueur dans le domaine.

Il a ajouté que cette rencontre médicale se veut également un espace d’échange et de partage d’expériences en la matière entre les experts des pays maghrébins et de l’Afrique qui sont aussi invités à cette rencontre.

Le même responsable a relevé les moyens colossaux mis en place par les pouvoirs publics pour une meilleure prise en charge de la femme enceinte et assurer des accouchements dans de meilleures conditions, soulignant une forte diminution des accouchements à domicile et que « la majorité des accouchements se font en milieu assisté ».

De son côté le président du congrès, le professeur en gynécologie-obstétrique, Cheikh El Ghanama Mohamed Ziad, a indiqué que ce congrès  assure, entre autre, un enseignement post-universitaire de « qualité » et constitue une rencontre de formation continue des gynécologues-obstétriciens, des sages-femmes et des résidents.

Il a précisé dans ce sens que les ateliers sur l’échographie et la colposcopie inscrits dans l’ordre du jour de cette rencontre, permettront aux praticiens de se recycler.

Evoquant par ailleurs, la prise en charge des hémorragies péri-ménopause chez les femmes âgées entre 40 et 50 ans, il a indiqué que c’est « une pathologie fréquente, cependant difficile à traiter parfois », estimant que 10% des cas peuvent être dus à des lésions malignes (d’origines cancéreuses) qui nécessitent un dépistage.

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