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Tunisie : Le projet de loi sur l’égalité successorale adopté [vidéo]

Fri, 11/23/2018 - 22:20

Le conseil des ministres présidé vendredi par le président de la République, Béji Caid Essebsi, a adopté vendredi, le projet de loi sur l’égalité successorale.

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Création d’un centre de recherche en environnement à Annaba

Fri, 11/23/2018 - 21:46

Un centre de recherche en environnement (CRE) a été créé par un décret exécutif publié au journal officiel n 63.

Placé sous la tutelle du ministre chargé de la Recherche scientifique, ce centre (siège à Annaba) est chargé de réaliser les programmes de recherche scientifique et de développement technologique dans le domaine de l’environnement.

Il vise  la résolution des problématiques liées à la préservation, au développement et à la valorisation des ressources naturelles, à l’évaluation et à la modélisation des changements climatiques et leur impact sur l’environnement, à la prévention des risques liés aux pollutions et aux technologies de dépollution, au développement de l’économie verte, à la gestion et à la valorisation des déchets, précise le décret exécutif.

Le conseil d’administration de ce centre comprend les représentants des ministres, respectivement, de la Défense nationale, de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement du territoire, de l’Environnement et des énergies renouvelables, de l’Industrie et des mines, de l’Energie, des Ressources en eau, de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche, de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière.

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CAN-2018 dames : L’Algérie s’incline face au Mali 2-3

Fri, 11/23/2018 - 21:40

La sélection algérienne de football (dames) s’est inclinée face à son homologue malienne sur le score de 2-3, mi-temps (1-0) vendredi à Cape Coast (Ghana) en match comptant pour la troisième et dernière journée du groupe A, de la Coupe d’Afrique des nations CAN2018.

Les buts de la rencontre ont été inscrits par Fatouma Diarra (58′, 90+4 sp), Aissatou Diadhiou (83′) pour le Mali. Lydia Balkecemi (37′) et Imen Merrouche (53 sp) pour l’Algérie.

C’est la troisième défaite de suite des Algériennes en autant de rencontres après celles essuyées devant le Ghana (1-0) et le Cameroun (3-0).

Avec cette nouvelle défaite, la sélection algérienne termine à la dernière place du groupe A avec 0 point. Le Cameroun, auteur d’un nul contre le Ghana (1-1) dans l’autre match termine en tête avec 7 points et valide son billet pour les demi-finales en compagnie du Mali (6 points). Le Ghana, pays hôte de la compétition (4 pts) est éliminé dès la phase de poules.

Les deux qualifiés du groupe B seront connus samedi à l’issue des matchs de la troisième journée: Afrique du Sud (6 pts)- Zambie (3 pts), et  Guinée Equatoriale (0 pt) – Nigeria (3 pts).

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Coupe du monde de fleuret féminin (étape d’Alger) : les six algériennes éliminées au 1er tour

Fri, 11/23/2018 - 21:38

Les six escrimeuses algériennes engagées dans l’étape d’Alger de la Coupe du monde de fleuret féminin (seniors), qui a débuté vendredi à la salle Harcha-Hacene (Alger), ont été éliminées dès la phase de poules qui s’est déroulée avec la participation de 156 fleurettistes.

Les Algériennes Meriem Mebarki (69e mondial), Sonia Zeboudj (72e), Inès Jad Fellah (108e), Yasmine Tantast (493e), El Houari Narimène (501e) et Chaïma Nihal Guemmar (506e), n’ont pas réussi à franchir le premier tour qui a regroupé 140 fleurettistes, réparties en 20 groupes, avec des matchs joués en système de 5 touches en 3 minutes de temps et un rajout d’une minute en cas d’égalité.

Le président de la Fédération algérienne d’escrime (FAE), Abderaouf Salim Bernaoui, a indiqué que cette étape de la Coupe du monde va servir de « test » pour les fleurettistes algériennes.

« Cette compétition va leur permettre également de grignoter des points supplémentaires dans le classement mondial, mais aussi de préparer les prochaines échéances », a-t-il ajouté.

Ce premier tour a permis la qualification de 112 escrimeuses auxquels s’ajoutent les 16 exemptées du 1er tour pour constituer le tableau des 128 qui se disputent actuellement, avec élimination directe en 15 touches, pour atteindre en fin de journée le tour des 64.

Lacompétition reprendra samedi à partir de 9h00, avec le tableau 64 qui se poursuivra jusqu’à la finale, programmée en fin d’après-midi (18h00).

Une fois les épreuves individuelles terminées, la compétition par équipes prendra le relais, dimanche (9h00) avec les éliminations directes, à partir du tableau des 16.

Pour l’épreuve par équipes, l’Algérie sera représentée par le quatuor El Houari, Fellah, Mebarki et Zeboudj.

Cette compétition mondiale qui enregistre la participation de 36 pays, est rehaussée par la présence des meilleures fleurettistes de la planète, à l’instar de la championne olympique en titre, la Russe Inna Deriglazova, la vice-championne du Monde l’Italienne Alice Volpi, sa compatriote Arianna Errigo, vice-championne olympique en titre ou encore l’Américaine Lee Kiefer (3e mondiale).

L’étape d’Alger de la Coupe du monde de fleuret féminin (seniors),  l’unique en Afrique, en est à sa 6e édition consécutive.

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Concert de chants « Habaneras » du groupe espagnol « Port Bo », présenté à Alger

Fri, 11/23/2018 - 21:33

Un concert de chants « Habaneras », genre musical catalan et latino-américain, a été animé jeudi soir à Alger par le groupe espagnol « Port Bo » dans une ambiance empreinte de solennité.

Devant le public recueilli de la Basilique Notre Dame d’Afrique, l’ensemble catalan « Port Bo », formé d’un quatuor dirigé par le guitariste Carles Casanovas Rigall, a interprété une quinzaine de pièces dans le genre populaire « Habanera ».

Générique artistique, désignant d’abord une danse apparue en 1830 à Cuba, « Habaneras » est aussi l’appellation d’un genre musical populaire et de plusieurs chants traditionnels marins, répandus le long de la côte qui s’étend de la Havane à Cuba, à la Catalogne en Espagne.

Soutenus au piano par Antonio Mas Bou, les vocalistes ténors et chanteurs libres, José Nadal Puig et Irineo Ferrer Serras, ont, avec Carles Casanovas Rigall à la voix basse, orné le silence religieux de la Basilique, dont l’espace constitue une parfaite caisse de résonnance, avec une interprétation en accords, déployée dans une polyphonie vocale à trois voix, tonique, tierce et quinte.

De grands auteurs et compositeurs espagnols ou latino-américains qui ont animé, l’élan du chant Habanera à travers les siècles, ont été restitués, durant une heure, par le quatuor, à l’instar des Espagnols, Carlos Cano et Manuel Massotti ou le Mexicain, Luis Rosado.

Le groupe a rendu entre autres chants Habaneras, « Rosina », « Golondrinas yucatecas », « La nave », « Alla en la Habana », « Los palmarès de Cuba », « La cana dolce », « La hamaca », « El seductor » et « La bella Lola ».

Trois pièces étaient au programme du groupe, « Habaneras de Cadiz », « Aquellos ojos verdes » et « La flor de la canela », entonnées en hommage à la chanteuse et comédienne espagnole, Maria Dolores, disparue en mai 2018 à l’âge de 94 ans, pour permettre ensuite au public d’apprécier « Lola la Tabernera », composée par C. Casanovas et J. Bastons.

Dansdes atmosphères conviviales, Carles Casanovas Rigall, présentant chaque chant au public, a fait part, au nom de l’ensemble du groupe, de « son bonheur d’être à Alger » pour jouer dans un endroit « aussi serein », à l’acoustique « magique », où les chanteurs n’ont même pas besoin « d’être sonorisés ».

Livrant une prestation pleine, empreinte de maîtrise technique et de précision pointue dans l’interprétation des textes aux différentes nuances et intonations, les quatre musiciens ont fait montre de toute l’étendue de leurs talents respectifs, dans les pièces, « Ven y ven » et « La nave », interprétées en a capella notamment.

En présence des représentants des missions diplomatiques accréditées à Alger de, l’Espagne, du Chili, de la Finlande et du Mexique, le public a savouré tous les instants du concert dans l’allégresse et la volupté.

« Un spectacle magnifique, avec de belles passerelles d’échanges entre la Catalogne et l’Amérique latine », a fait remarquer une dame, venue avec ses enfants. Pour la première fois en Algérie, le groupe catalan « Port Bo », fondé en 1966, compte à son actif 26 CD, dont le dernier sorti en 2018 sous le titre de « Quadern de Viatge ».

Le concert du groupe catalan « Port Bo » entre, selon le recteur de la basilique Notre-Dame d’Afrique, père José Maria Cantal Rivas, dans le cadre du « programme régulier, initié par l’église ».

Organisé sous l’égide du ministère de la Culture, par l’Institut Cervantès d’Alger, le concert de chants Habaneras du groupe catalan « Port Bo » est reconduit vendredi à la salle Ibn Zeydoun de l’Office Riadh El Feth pour une deuxième représentation.

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Le PE nie toute reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara Occidental

Fri, 11/23/2018 - 19:47

La Commission des Affaires étrangères du Parlement Européen (PE) a affirmé que son vote, lors de la réunion tenue mercredi dernier, de « la proposition de décision du Conseil relative à la conclusion d’accord, sous forme d’échange de lettres entre l’Union européenne (UE) et le Royaume du Maroc, concernant la modification des protocoles n 1 et n 4 de l’accord euro-méditerranéen d’association entre l’UE et le Maroc ne signifie point la reconnaissance d’une quelconque souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara Occidental », a indiqué le membre du Secrétariat national du Front Polisario, ministre délégué auprès de l’UE, Mohammed Sidati.

« Le Sahara Occidental est un territoire autonome justiciable des résolutions des Nations Unies en matière de décolonisation », a précisé M. Sidati, cité par l’Agence de presse sahraouie (SPS).

Commentant cette décision, le responsable sahraoui a indiqué que « malgré le forcing de la Commission Européenne et de certains Etats membres comme la France et l’Espagne, la commission AFET du PE n’a pas manqué de souligner que cela ne signifiait aucunement la reconnaissance d’une quelconque souveraineté du Royaume du Maroc sur le territoire du Sahara Occidental », rappelant que « celui-ci est un territoire autonome justiciable des résolutions de l’ONU en matière de décolonisation lesquelles impliquent le droit inaliénable et imprescriptible du peuple sahraoui à l’autodétermination ».

Elle a insisté sur le fait que « la position de l’UE consiste toujours à assurer son plein soutien aux efforts des Nations Unies pour aboutir à une solution juste et définitive qui pourvoie à l’autodétermination du peuple du Sahara Occidental, conformément au droit international, à la charte des Nations Unies et à ses résolutions pertinentes », a-t-il dit.

La commission AFET a exprimé « son plein soutien » à l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara Occidental, M. Horst Köhler, dans sa volonté d’amener les parties à négocier « sans pré-conditions et de bonne foi », a-t-il poursuivi.

Elle a estimé nécessaire pour l’accord UE-Maroc d’assurer des garanties quant à son respect du droit international, y compris les droits de l’homme ainsi qu’à son respect des décisions pertinentes de la cour de justice de l’Union Européenne (CJUE) ».

Bien que le texte adopté déclare l’extension de l’accord commercial UE-Maroc au territoire du Sahara Occidental, extension illégale aux yeux de la CJUE, sans le consentement du peuple du Sahara Occidental, par la voix de son représentant légitime le Front Polisario, les décisions de la CJUE demeurent incontournables », a-t-il estimé.

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Le FFS insiste sur la nécessité de reconstruire un consensus national

Fri, 11/23/2018 - 19:42

Le Front des forces socialistes (FFS), a insisté vendredi à Tizi-Ouzou sur la nécessité de reconstruire un consensus national pour aller à une Assemblée constituante.

S’exprimant lors d’une rencontre avec la population organisée à la bibliothèque communale de Tizi-Rached dans le cadre de la célébration du 64ème anniversaire du déclenchement de la Révolution le 1er novembre 1954, le premier secrétaire national de ce parti, Mohamed Hadj Djilani, à indiqué qu’il était « temps de conjuguer les efforts pour réaliser ce consensus national, tel que souligné dans la proclamation du 1er novembre 1954″.

M. Hadj Djilani a expliqué que ce consensus sera fondé sur la démocratie, la citoyenneté, le développement durable et la justice sociale », un consensus a-t-il ajouté qui consacrera notamment « l’Etat de droit, le pluralisme syndical et les libertés individuelles ».

Abordant la situation économique du pays, ce même responsable politique, a indiqué que le climat économique, marqué par une crise ne permettant pas, en l’absence d’une stratégie économique à moyen et long terme, d’envisager un avenir prospère.

De son coté le coordinateur de l’Instance présidentielle du FFS, Ali Laskri, a souligné l’importance de s’organiser pour réhabiliter le politique. C’est dans ce cadre a-t-il ajouté que son parti a demandé a ses parlementaires d’être « plus présent » sur le terrain, a travers tout le territoire national afin d’écouter les citoyens et être à leur côté.

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El-Islah poursuivra ses missions politiques constitutionnelles avec sérieux et responsabilité

Fri, 11/23/2018 - 19:41

Le président du parti Mouvement El-Islah, Filali Ghouini, a affirmé vendredi à El Bayadh que son parti continuera à accomplir son devoir national et à exercer ses missions politiques constitutionnelles avec « sérieux et responsabilité ».

Intervenant lors d’une rencontre avec les cadres du bureau de wilaya du Mouvement, organisée à la bibliothèque principale,  M. Ghouini a réitéré « la détermination du Mouvement El Islah à poursuivre l’accomplissement de son devoir national et l’exercice de ses missions politiques constitutionnelles avec sérieux et responsabilité à travers la communication permanente et les débats tout au long de l’année avec les directions locales du parti à travers les wilayas du pays ».

Evoquant l’élection présidentielle, il a souligné « la nécessité de son organisation l’année prochaine dans les délais fixés »,  appelant à « l’élargissement de la participation à cette élection et au respect des exigences de l’opération électorale ».

« L’attachement à ce que la présidentielle se tienne dans les délais fixés émane de notre conviction que c’est là une consolidation du processus de notre jeune démocratie et la confirmation de la volonté et du souci de la classe politique algérienne de réussir toutes les étapes de l’édification nationale », a soutenu le président d’El Islah.

Il a ajouté que cette position adoptée par le parti vise à « resserrer davantage les rangs pour relever les différents défis et faire face à toutes les conspirations qui se trament contre le pays ».

Dans ce cadre, il a indiqué que le soutien par son parti à la candidature du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour un nouveau mandat « est fondé sur la conviction d’El Islah qu’il est le plus apte à parachever les impératifs de la réconciliation nationale ».

M. Ghouini a ajouté que le président de la République est « le mieux placé pour parachever le processus de développement et réaliser un développement global et équilibré sur l’ensemble du territoire national de manière à garantir à tous les citoyens le droit de bénéficier des potentialités de leur pays ».

« Le président de la République est le plus soucieux de l’avenir de l’Algérie et des Algériens face aux différentes crises dans le voisinage du pays, d’autant plus que l’Algérie est située dans une région marquée par de nombreux conflits et crises », a-t-il soutenu.

Partant de cette position et de ce choix assumés, le mouvement El Islah s’attelera à travers l’ensemble de ses adhérents à « l’intensification des efforts et à la mobilisation à travers des sorties sur le terrain sur l’ensemble du territoire national en vue de rallier davantage de soutien populaire en prévision de la prochaine échéance électorale, d’une part, et pour « sensibiliser les citoyens, et en particulier les jeunes, à combattre tous les aspects du désintéressement et de la réticence quant à l’action politique ».

Evoquant la vision du Mouvement concernant les normes à adopter par les partis politiques, notamment « la communication permanente avec toutes les catégories de la société pour être au service du pays », il a salué les résultats importants de l’approche algérienne en matière de paix et de réconciliation nationale qui a permis de tourner « définitivement » la page de la tragédie nationale et de passer à l’étape de la concorde, de la solidarité et de la cohésion entre les enfants de l’Algérie.

Le président d’El Islah a saisi, l’occasion, pour rendre hommage aux membres de l’Armée nationale populaire (ANP), digne héritière de l’Armée de Libération nationale (ALN) ainsi que les différents corps de sécurité nationale pour les sacrifices consentis pour la défense et la stabilité de l’Algérie.

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Le trafic aérien entre la France et l’Algérie en chute libre en 2018 !

Fri, 11/23/2018 - 19:13

Le trafic aérien entre l’Algérie et la France est en berne en 2018 comparativement à sa cadence en 2017, a révélé TendanCiel, l’indicateur français du trafic aérien commercial, en signalant que les deux seuls mois ayant enregistré une activité en hausse sont mars et juin.

Dans son numéro d’octobre, l’indicateur français du trafic aérien commercial TendanCiel a confirmé la bonne santé de ce secteur en France tout en indiquant que l’Algérie est l’une des rares destinations ayant enregistré encore une fois de mauvais résultats.

«Parmi les très rares résultats en berne, l’Algérie continue à se singulariser en enregistrant à nouveau une baisse sensible de son attractivité [-6,9% par rapport à la même période en 2017]», a rapporté l’indicateur dépendant du ministère français de la Transition écologique et solidaire.

La tendance du mois dernier confirme celle enregistrée durant les mois de janvier, février, avril, mai, juillet, août et septembre où le trafic a baissé entre la France et l’Algérie comparativement aux mêmes périodes de l’année précédente. Seuls les mois de mars et juin sont sortis du lot en enregistrant des hausses de 6,2% et 19,8% respectivement, dues vraisemblablement aux périodes des vacances scolaires, a indiqué TendanCiel, en précisant qu’en 2018, 3,8 millions de voyageurs se sont déplacés entre les deux pays contre 4 millions en 2017.

En conséquence à la crise migratoire qui a touché en 2015 l’Europe en général et l’espace Schengen en particulier, la France a effectivement durci ses conditions d’octroi de visas, sans viser particulièrement les Algériens, a déclaré le 19 novembre Marc Sédille, le consul général de France en Algérie, dans un entretien accordé au site d’information Tout Sur l’Algérie (TSA). En effet, il a insisté sur le fait que la nouvelle mesure est globale et s’applique à tous les pays du monde.

Tout en soulignant que les nouvelles dispositions ont été prises conjointement avec tous les pays de l’espace Schengen dans le but de renforcer le contrôle aux frontières, en imposant une liste commune de justificatifs pour la demande de visa, le consul général de France à Alger a déclaré que «tout ce qui a pu être mis en place précédemment [pour les Algériens, ndlr], tous les dispositifs qui prévoyaient des assouplissements ont été balayés par ce renforcement du contrôle aux frontières extérieures, par ce renforcement du contrôle sur la délivrance des visas et par cette harmonisation de la politique des pays Schengen».

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Boumerdes : Une fille de 17 ans torturée et assassinée par son frère !

Fri, 11/23/2018 - 18:49
Une fille de 17 ans, originaire d’un petit village près de Boudouaou, dans la wilaya de Boumerdès, a été sauvagement assassinée par son frère âgé de 27 ans, a-t-on appris de sources concordantes.  Les faits remontent à l’année 2016. Le jeune homme, un drogué notoire, a été alerté par des connaissances sur l’existence d’une relation secrète entre sa sœur et un jeune du voisinage. Suspicieux, il s’est alors attelé à épier ses moindres faits et gestes jusqu’au jour où il l’a surprise en train de discuter au téléphone avec un inconnu à une heure tardive de la nuit. Fou de rage, il s’est introduit dans sa chambre en pleine nuit, alors qu’elle dormait profondément pour la battre sans ménagement. Selon des déclarations faites par la victime aux services de sécurité sur son lit d’hôpital, juste avant son décès, il l’a entraînée dans une ancienne étable où il lui a infligé les pires supplices. Il l’a ainsi rossée de coups avec une chaîne métallique et un câble électrique. Repoussant les limites de la barbarie, il lui a mutilé le visage avec un objet contondant et des mégots de cigarettes. La victime a été séquestrée pendant une semaine sans nourriture, sans eau et surtout, sans que personne ne vole à son secours. C’est finalement sa maman qui, ne supportant plus le sort réservé à sa fille, a donné l’alerte en informant son frère du drame qui se déroulait dans l’étable désaffectée. Ce dernier est alors intervenu pour prévenir les services de sécurité et admettre sa nièce à l’hôpital où après quelques jours d’hospitalisation, a rendu l’âme sous l’effet de la torture subie. Après son arrestation, le mis en cause n’a pas réfuté les faits qui lui étaient reprochés. A noter que le procès a été ajourné ce jeudi pour la troisième fois à la demande de l’accusé qui a avancé des raisons de santé.

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Violences contre les femmes en Algerie : Plus de 7000 cas recensés en 9 mois !

Fri, 11/23/2018 - 18:44
Selon un bilan établi par la commissaire de Police, Mme Khouas Yasmine, chef du Bureau national de protection des catégories vulnérables, il a été enregistré durant les 9 derniers mois de cette année encours, pas moins de 7061 cas de violences contre les femmes en Algérie. En effet, comparativement aux statistiques de l’année dernière, un recul de 3,56% puisque 7586 cas avaient été enregistrés en 2017. Intervenant au Forum de la sûreté nationale à l’occasion de la célébration de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes (25 novembre) et de la Journée internationale des droits de l’enfant (20 novembre), Mme Khouas a affirmé que « les cas de violence faites aux femmes ont connu une baisse lors des neuf premiers mois de 2018 par rapport à la même période de 2017 », précisant que « les cas de violence, toutes formes confondues, recensés lors des neuf premiers mois de 2018 s’élevaient à 7061 cas, contre 7586 en 2017, soit une différence de -3.56% ».  Expliquant que les femmes sont victimes de différents types de violences, l’intervenante a relevé que « la violence physique est la forme la plus pratiquée contre les femmes au cours des neuf premiers mois de 2018, avec 5150 femmes victimes contre 5272 cas enregistrés en 2017 ».  Les services de police ont recensé, d’autres types de violence, a ajouté Mme. Khouas, soutenant que le nombre d’agressions sexuelles s’élevait à 105 cas, contre 193 durant la même période de 2017. S’agissant de la frange d’âge la plus exposée à la violence, la commissaire de police a indiqué qu’il s’agissait des femmes âgées entre 26 et 35 ans, même représentation pour les agresseurs.  Quant à la situation professionnelle, elle est « sans profession » pour la femme violentée, et « chômeur » ou journalier pour l’agresseur. Le niveau intellectuel pour l’agresseur et pour la victime est « moyen », selon les explications fournies par Mme. Khouas.

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Tipasa: Des habitants refusent le relogement, décision « en sursis »

Fri, 11/23/2018 - 18:33

Les habitants de la cité « Hai El Asfel », vieux quartier de la commune côtière de Messelmoune construit au pied des monts, à une cinquantaine de kilomètres à l’ouest du chef-lieu de wilaya de Tipasa, refusent la décision des autorités locales de classer leurs maisons comme « cité d’habitat précaire » et de bénéficier d’appartements dans le cadre d’une opération de relogement.

Une décision qui reste « en sursis » à ce jour, suite au refus des habitants concernés d’évacuer leurs maisons, classées précaires, pour certains, ou érigées de manière anarchique pour d’autres. Les occupants de ces maisons invoquent, selon les échos recueillis sur place par l’APS, un  « attachement » à leurs demeures ayant pour eux « une grande valeur sentimentale ».

Le problème de ce quartier, s’étendant sur 8 hectares, se compliqu davantage, quand on sait, qu’il est situé dans l’assiette, déclarée, en vertu du décret présidentiel de 1988 « Zone d’expansion touristique (ZET) de Messelmoune (175 ha) », ce qui explique la non régularisation (au plan juridique) de la situation de ces habitations.

Historiquement, « Hai El asfel », est le premier quartier crée, par les autorités coloniales françaises en 1958 dans cette commune, à l’entrée-est de la ville. Sa création était inscrite, alors, dans le cadre du « projet de Constantine » visant à réunir des habitants d’un nombre de villages de la région de Bouhellal, dans une sorte de camp de concentration facile à contrôler, au vu de la force des actions de résistance dans cette région révolutionnaire, comptant plus de 700 chahid.

Selon Mme Chouiter Fatma Zahra, chef de daïra de gouraia, ce quartier est concerné par le programme d’éradication de l’habitat précaire à Messelmoune, visant la distribution de prés de 600 logements.

La responsable a souligné son inscription  au titre de ce programme, sur la base de plusieurs considérations liées notamment aux « demandes exprimées par un nombre d’habitants de cette cité, pour être relogés », et à la « situation précaire de certaines habitations », a-t-elle assuré.

« Notre soucis est la préservation de la santé des citoyens, du fait que le quartier est mitoyen à Oued Messelmoune, outre le problème de rejet des eaux usées, dans une partie de ce quartier », explique la responsable locale.

A noter que le programme d’éradication de l’habitat précaire stipule la démolition des logements, dés leur évacuation par leur occupants, d’où le refus exprimé par les habitants de « Hai El Asfel », d’être relogés.

Selon les chiffres fournis par Mme Chouiter, la commission ad hoc de la wilaya, créée cette année après le recensement de 2007, a recensé plus de 210 familles habitant à Hai El Asfel, dont 75 parmi elles bénéficiaires de logements de différentes formules et d’assiettes foncières, au moment ou 200 autres familles ont introduit des demandes pour bénéficier d’un logement public locatif (LPL).

Néanmoins, la décision finale de l’éradication du quartier et le relogement de ces habitants revient au wali, nouvellement installé ? la tête de Tipasa. « Cette décision sera basée sur les résultats du travail de la commission de wilaya, au cas par cas et en toute transparence », a-t-elle dit.

Vers un reclassement des zones urbaines introduites dans les études des ZET

A ce jour la concrétisation de projets d’investissement au niveau des 22 Zones d’expansion touristique (ZET) créées à Tipasa, en vertu du décret présidentiel de 1988, actuellement en cours d’examen, par le Gouvernement, en vue de l’adoption de leurs plans d’aménagement, demeure tributaire du sort à réserver aux ensembles urbains et autres équipements publics crées dans le périmètre de ces zones, avant leur déclaration en tant que telles (ZET).

Ceci d’autant plus que ces ensembles urbains se sont étendus, au fil des années (dont particulièrement durant les années 80 et la décennie noir), sans aucune coordination avec les services urbanistiques concernés de la wilaya.

Un véritable « casse tète » pour les autorités locales, à cause des problèmes rencontrés dans le règlement de la situation des constructions, dans le cadre de la loi 15/08, dont notamment en matière de délivrance du permis de construction ou d’introduction des dossiers de conformité.

Pour palier au retard accusé dans l’adoption des études des plans d’aménagement des ZET, la direction du tourisme de Tipasa a émis une « proposition importante », que les responsables locaux estiment être « la solution idoine au problème ». Selon Hadia Chenit, directrice du tourisme de la wilaya, ses services ont proposé un « déclassement ou du moins l’extraction du foncier urbain construit (englobant habitations et équipements publics) des surfaces affectées aux ZET ».

« La proposition a été introduite auprès du secrétariat général du Gouvernement », a-t-elle fait savoir expliquant ? l’APS que le déclassement proposé englobe une assiette globale de 320 ha abritant des ensembles d’habitations et des équipement publics, repartis sur sept (7) ZET de la wilaya (dont celle de Messelmoune), d’une superficie globale estimée à 1.129 ha.

La ZET de Messelmoune s’étend sur 175 ha, en partant de l’Oued Messelmoune à l’Est jusqu’à l’Oued Essebt à Gouraya. Elle est limitée au Nord par la RN11, en parcourant la cote sur un linéaire de 7.500 mètres de plages.

Un foncier de huit hectares de cette ZET est concerné par un déclassement, soit l’assiette englobant le quartier « Hai El Asfel », en plus d’un nombre d’équipements publics dans cette ville.

Les habitants souhaitent un investissement préservant de la mémoire de la ville

Toutefois, les habitants de cette cité fondent de grands espoirs sur « une compréhension » de la part des autorités locales, pour leurs revendications, jugées « légitimes », selon eux, car visant la « préservation de la mémoire collective et de l’histoire de leur quartier », affichant leur « détermination à ne pas quitter les lieux », revendiquant un « déclassement et une régularisation juridique » du site.

« Je ne suis pas contre un relogement, mais plutôt contre une démolition des habitations », a tenu à préciser l’un des habitants, Abderrahmane Moussaoui, plaidant pour une étude « au cas par cas, des dossiers des demandeurs de logements ».

Il a, en outre, exprimé son « refus catégorique » du classement de son quartier comme « habitat précaire », affirmant que ses habitants « vivent bien et disposent de toutes les commodités nécessaires ».

La cite « Hai El Asfel » dispose d’un réseau électrique depuis 1974, et compte le premier foyer pilote ayant servi de modèle, lors de la première mise en service du réseau de gaz naturel installé  en 2015. Encore plus, une décision de la wilaya, datée de 1988 a introduit le quartier au patrimoine communal de la ville de Messelmoune, a-t-fait savoir.

Les facteurs cités par cet habitant sont selon lui « incitatifs » pour la préservation de la mémoire du  quartier. « Le nombre d’habitants de cette cité vivant dans des conditions précaires ne dépasse pas les 5%, au plus », a-t-il assuré, appelant le wali de Tipasa, à revenir sur la décision de démolition prise précédemment.

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OBG: L’Algérie se rapproche un peu plus de l’autosuffisance alimentaire

Fri, 11/23/2018 - 18:32

 L’Algérie « se rapproche un peu plus de son objectif d’autosuffisance alimentaire » et pourrait, selon des prévisions officielles, mettre un terme à l’importation de produits agricoles d’ici trois ans, a indiqué un rapport d’Oxford Business Group (OBG) consacré à l’agriculture algérienne.

L’Algérie a enregistré une production céréalière record au cours de la campagne agricole 2017/2018, récoltant 6,1 millions de tonnes de céréales entre juillet 2017 et juin 2018, soit une augmentation de 74% par rapport aux 3,5 millions de tonnes récoltées au cours de la saison précédente, a rappelé l’OBG citant l’annonce faite  par le ministre de l’Agriculture, du Développement Rural et de le Pêche, Abdelkader Bouazghi.

Cette forte production a permis à l’Algérie d’atteindre, avant l’heure, l’objectif de produire 5,3 millions de tonnes de céréales par an avant 2022, a indiqué la même source, ajoutant que les récoltes de légumes ont également été abondantes, note le rapport.

La production nationale de pois chiches a atteint 34.000 tonnes pendant la saison 2017/2018, contre 12.300 tonnes en 2001, tandis que la production annuelle de lentilles est passée de 458 tonnes à 30.000 tonnes au cours de la même période.

En janvier 2018, A. Bouazghi a déclaré que l’Algérie est alors en mesure de répondre à environ 70% de la demande alimentaire nationale.

Le ministre a ajouté qu’un maintien de ce niveau permettrait au pays de mettre fin à l’importation de produits agricole dans les trois ans.

La hausse de la production coïncide également avec une importante augmentation des recettes d’exportations des produits agricoles, souligne OBG qui fait référence à Ali Bey Nasri, le président de l’Association Nationale des Exportateurs Algériens, qui avait déclaré que la valeur des exportations agricoles avait grimpé de 50% en glissement annuel au cours des premiers mois de 2018. Selon ses prévisions, les recettes d’exportations atteindraient de 75 à 80 millions de dollars à la fin de l’année 2018, contre 57 millions de dollars en 2017.

La hausse de la production intervient à la suite d’investissements publics qui se seraient élevés à 2.500 milliards de dinars (18,2 milliards d’euros) au cours des vingt dernières années, l’agriculture étant considérée par les responsables politiques comme un secteur clé de la stratégie gouvernementale visant à doper la croissance hors hydrocarbures, ajoute OBG.

Le secteur agricole contribuait à quelque 13% du PIB, employant 10,8% de la population active. Dans le cadre du Nouveau Modèle de Croissance publié mi-2016 par le gouvernement, les autorités visent une croissance annuelle moyenne de 6,5% pour le secteur entre 2020 et 2030.

Des mesures incitatives, parmi lesquelles on peut citer des taux d’intérêts faibles, ainsi qu’une vaccination gratuite pour le bétail ont été lancées afin d’atteindre cet objectif, souligne encore OBG.

De plus, l’Etat a accepté d’indemniser les exportateurs de 50% des coûts de fret, de transit et d’autres procédures douanières, afin d’encourager le rôle du secteur dans l’équilibrage de la balance commerciale.

Les bons résultats affichés par la récolte céréalière l’an dernier ont en partie également été attribués aux efforts déployés par le gouvernement pour porter la surface cultivée à 3,4 millions d’hectares, ce qui a contribué à accroître la productivité et à faire passer la production de 1,5 million de tonnes en 2016/2017 à 1,9 million de tonnes.

Des programmes d’irrigation cruciaux pour garantir la sécurité hydrique du pays à l’avenir

La possibilité d’accès à l’eau a constitué un autre facteur déterminant de la récente expansion de la production agricole : la surface irriguée s’élève actuellement en Algérie à environ 1,3 million d’hectares.

« Cinq nouveaux barrages, et les transferts hydrauliques associés, sont entrés en service en 2017 afin de soutenir cette stratégie », a déclaré Arezki Berraki, le directeur-général de l’Agence Nationale des Barrages et Transferts (ANBT), à OBG. Les cinq barrages, chacun situé dans une wilaya (province) différente, disposent d’une capacité de retenue totale de 500 millions de m³.

« La gestion des ressources hydriques a constitué une priorité clé pour l’Algérie et le pays est désormais en mesure d’améliorer l’irrigation dans plus de wilayas », a ajouté M. Berraki.

En septembre 2018, l’Algérie comptait 80 grands barrages en service, dont 36 construits depuis l’an 2000. Cinq barrages supplémentaires sont actuellement en cours de construction, avec une livraison prévue pour 2020.

A terme, le gouvernement entend porter le nombre total de barrages à 139 d’ici 2030, et ainsi atteindre une capacité totale de stockage en eau d’environ 12 milliards de m3.

Si le soutien de l’Etat a eu une incidence positive sur la récente croissance de la production, certains chiffres montrent que la stratégie la plus efficace afin de pallier aux difficultés rencontrées par les producteurs algériens en matière d’accès au financement, aux équipements, et au savoir-faire notamment, passe par la recherche d’une plus grande participation des investisseurs étrangers.

L’entreprise publique de BTP Cosider, la quatrième plus grande d’Afrique, a lancé en mai 2017 sa filiale Cosider Agrico, à des fins de promotion de l’agriculture algérienne et d’investissement dans cette dernière.

L’entreprise est actuellement en train de construire et d’aménager quatre projets agricoles d’envergure, avec une mise en service prévue pour début 2019 pour le premier d’entre eux.

« L’oléiculture, le blé dur et les aliments pour bétail sont des segments dotés d’un fort potentiel mais qui restent jusqu’à présent inexploités en Algérie, a expliqué le PDG de Cosider Agrico, Bencheikh Belkacemi, à OBG.

« Les entreprises ont besoin d’investir davantage grâce à des emprunts pour réellement accroître la production nationale, et nous sommes donc disposés à travailler en collaboration avec les investisseurs algériens et étrangers ».

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L’Algérie risque une crise économique, Hausse des frais d’inscription aux universités françaises,Visa assoupli pour les Algériens se rendant en Éthiopie : Que s’est-il passé cette semaine ?

Fri, 11/23/2018 - 17:00

Qu’est-ce qui a marqué l’actualité cette semaine ?  Algerie360.com vous a sélectionné une série d’articles pour mieux comprendre ce qui s’est passé depuis le 16 novembre dernier :

1- Hausse des droits d’inscription aux universités françaises: Les étudiants algériens dans le désarroi

http://bit.ly/2DSbLoA

2- Ministère du transport : Bientôt des hélicoptères-ambulance dans les hôpitaux !

Ministère du transport : Bientôt des hélicoptères-ambulance dans les hôpitaux !

3- Le youtubeur Anes Tina lance une vidéo explosive « khssara Alik » !

Le youtubeur Anes Tina lance une vidéo explosive « khssara Alik » !

4- Visa assoupli pour les Algériens se rendant en Éthiopie !

Visa assoupli pour les Algériens se rendant en Éthiopie !

5-  Les lunettes made in Algeria remboursées par la Cnas !

Les lunettes made in Algeria remboursées par la Cnas !

6-  L’ambassadrice du canada en Algérie : «Nous avons aujourd’hui 100 000 Algériens basés au Canada»

L’ambassadrice du canada en Algérie : «Nous avons aujourd’hui 100 000 Algériens basés au Canada»

7-  Une ingénieure d’Algérie Télécom en finale de « Stars of Science »

Une ingénieure d’Algérie Télécom en finale de « Stars of Science »

8- Le message du président de la république au roi Mohammed VI

Le message du président de la république au roi Mohammed VI

9-  International Crisis Group annonce que l’Algérie risquerait une crise économique dès 2019

International Crisis Group annonce que l’Algérie risquerait une crise économique dès 2019

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Tissemsilt : réception de 11.000 logements en 2019

Fri, 11/23/2018 - 16:41

Onze mille (11.000) logements publics locatifs (LPL) et de résorption de l’habitat précaire (RHP) seront réceptionnés dans la wilaya de Tissemsilt en 2019, a annoncé jeudi le wali, Salah El Affani.

En marge d’une visite d’inspection de plusieurs projets de développement au chef-lieu de wilaya, M. Affani a souligné que les travaux de ces logements, répartis à travers la wilaya et inscrits dans le cadre du programme d’habitat au titre du quinquennat 2010-2015, seront parachevés fin 2018, avant d’annoncer le lancement, courant 2019, des travaux de réalisation de 2.000 logements (LPL) à Tissemsilt.

Le chef de l’exécutif a fait savoir que les autorités de wilaya ont renforcé des chantiers de construction au chef-lieu de wilaya en moyens humains et matériels pour réceptionner le quota de logements dans les délais impartis Par ailleurs, Salah El Affani a averti que des mesures strictes seront prises à l’encontre de ceux qui tentent de réaliser des constructions illicites au sein des cités concernées par le relogement.

Le wali a insisté, lors de sa visite d’inspection des chantiers de construction, sur l’achèvement des travaux de raccordement de 450 logements de type location/vente (AADL), sur un total de 800, aux réseaux d’électricité, de gaz et d’eau potable « pour être fin prêts, le 11 décembre prochain, à l’occasion de la commémoration des manifestations du 11 décembre 1960. »

Il a également donné des instructions pour l’accélération de la cadence des travaux externes et de raccordement du projet de 240 LPL à la zone urbaine de Tissemsilt, appelant les entreprises chargées de la réalisation de 460 LPL dans les zones ZHUN et Sidi El Houari à renforcer ces deux projets en moyens humains et matériels pour leur livraison le 5 juillet 2019.

Le wali a visité le projet de réalisation de 1.350 LPL et RHP, le chantier de réalisation de l’unité républicaine de sûreté qui sera livrée en avril prochain, avant de s’enquérir du taux d’avancement des travaux de construction du siège de la sûreté de wilaya où il s’est déclaré insatisfait du rythme imprégné aux travaux.

Salah El Affani a inspecté le chantier de dédoublement de la RN 14 dans son tronçon Tissemsilt sur 3 kilomètres et les projets d’aménagement d’un hôtel de police, d’extension de la mairie et d’aménagement du marché couvert de Khetaifia.

Le wali a, en outre, insisté sur le lancement du projet de réalisation de l’institut national spécialisé en formation professionnelle qui accuse un retard d’un an.

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Autoroute Oran-Alger: Interruption momentanée du trafic à El Khèmis le 23 novembre

Fri, 11/23/2018 - 16:41

Une interruption momentanée du trafic sur l’autoroute Oran-Alger, surviendra durant la journée du vendredi 23 novembre, en raison des travaux de doublement de la voie ferroviaire entre El Affroun (Blida) et El Khèmis (Ain Defla) , a indiqué jeudi un communiqué de l’Algérienne des autoroutes (ADA).

« Dans le cadre des travaux de dédoublement de la voie ferroviaire entre les gares d’El Affroun et El Khèmis, sous le contrôle et surveillance de l’entreprise Anesrif (Agence nationale des investissements ferroviaires), une opération de pose de poutres de l’ouvrage ferroviaire à Ain Soltane à El Khèmis dans la wilaya de Ain Defla est prévue le vendredi 23 novembre » à partir de 7h00, a précisé la même source.

Ainsi, » l’Algérienne des autoroutes avise l’ensemble des usagers du réseau autoroutier sur l’axe Oran-Alger, d’une interruption momentanées par alternance (fermeture et réouverture à plusieurs reprises) du trafic autoroutier au niveau de Ain Soltane à Khèmis Miliana, wilaya de Ain Defla, et ce le vendredi 23 novembre courant, en raison de ces travaux », ajoute la même source.

Selon le texte du communiqué, une déviation du trafic vers la route nationale (RN4) sera mise sur place, à cet effet, au niveau de l’échangeur de Khèmis Miliana.

Les usagers pourront de nouveau réintégrer l’autoroute à partir de l’échangeur de Boumedfâa. En cas de nécessité et pour achèvement des travaux, l’Algérienne des Autoroutes pourrait recourir à une nouvelle interruption du trafic le lendemain à savoir la matinée du samedi 24 novembre , avise la même source.

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Enseignement du Coran en Algérie : une commission pour unifier les programmes

Fri, 11/23/2018 - 16:37

Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Mohamed Aissa a fait état, jeudi à Alger, de la mise en place d’une commission qui se chargera de la reformulation et de l’unification des programmes d’enseignement du Coran en Algérie.

Présentant un rapport sur son secteur devant la Commission de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses, M. Aissa a précisé qu' »une commission a été mise en place pour la reformulation des programmes d’enseignement du Coran pour les différents cycles, et ce dans le but d’unifier toutes les écoles coraniques et contrecarrer les idéologies étrangères ».

Les efforts de l’Algérie en la matière ont donné d’excellents résultats, a affirmé le ministre, rappelant, à cet égard, que les algériens occupent les premières places dans les compétitions internationales d’apprentissage et de récitation du Coran.

Par ailleurs, le ministre a annoncé que les mosquées de la République seront renforcées avant fin 2018 par 2000 imams, et ce dans le cadre du programme de formation des imams, des cadres et des différents fonctionnaires du secteur.

Après avoir rappelé la promulgation, août dernier, de plusieurs décrets relatifs à l’organisation des mosquées, M. Aissa a annoncé l’entrée en vigueur prochaine d’un cahier de charges fixant les conditions de réalisation des mosquées, en sus d’un cahier des prescriptions techniques dont la l’élaboration à été confiée à un bureau d’études spécialisé.

S’agissant de la Grande Mosquée d’Alger, le ministre a annoncé qu’elle sera réceptionnée avant fin 2018, précisant, à ce titre, que la date de son inauguration sera fixée par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.

M. Aissa a ajouté, par ailleurs, que plusieurs clauses et dispositions relatives à la protection de l’imam ont été incluses dans le code pénal devant être présenté par le ministère de la Justice au Parlement.

Il a également fait état de 230.000 livres de Coran distribués gratuitement aux mosquées et Zaouïas du pays, ajoutant que d’autres quotas ont été dédiés à des pays africains et d’autres pays comme la Russie en coordination avec les services du ministère des Affaires étrangères.

Pour ce qui est des biens Wakfs, plusieurs mesures ont été prises, notamment l’actualisation la législation régissant l’investissement dans ce genre de biens, l’exploitation du foncier relevant du domaine wakfs, la recherche de nouvelles sources de financement et le partenariat avec les investisseurs privés algériens et étrangers pour une meilleure rentabilité économique.

Dans ce contexte, M. Aissa a rappelé la promulgation d’un décret en aout 2018, fixant les conditions d’exploitation des fonciers destinés à l’investissement donnant lieu à plusieurs projets financés par le fonds national des wakfs à l’image des complexes relevant des biens wakfs à Médéa et Ghardaïa.

Il a annoncé, dans ce sens, que la listes des assiettes foncières dédiées à l’exploitation et à l’investissement sera fixées avant la fin de l’année, dans le cadre d’un nouveau décret.

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AS Aïn M’lila : le Franco-serbe Daniel Darko Janackovic nouvel entraineur

Fri, 11/23/2018 - 16:37

Le technicien franco-serbe Daniel Darko Janackovic est devenu le nouvel entraineur de l’AS Aïn M’lila, en remplacement de Lakhdar Adjali, démissionnaire, a appris l’APS ce vendredi auprès du pensionnaire de la Ligue 1 Mobilis de football. Daniel Darko Janackovic (51 ans) a paraphé jeudi un contrat de 18 mois, précise la même source.

Janackovic avait déjà exercé son métier en Algérie, puisqu’il avait eu à diriger notamment le CS Constantine (2008) et le RC Arbaâ (2014-2015). Il rejoint l’ASAM en provenance de la formation omanaise de Sohar.

Il devient le cinquième entraineur étranger en championnat de Ligue 1 après Thierry Forger (USM Alger), Franck Dumas (JS Kabylie), Francisco Chalo (Paradou AC), et Rachid Taoussi (ES Sétif), ce dernier est plus que jamais sur la sellette suite aux derniers mauvais résultats concédés par l’Entente.

A l’issue du départ d’Adjali, l’intérim a été confié à l’entraineur-adjoint Salim Menad qui permis aux « Scorpions » de renouer samedi dernier avec la victoire en l’emportant à Batna face à l’USM Bel-Abbès (1-0), mettant ainsi fin à onze matchs de disette.

L’ASAM n’a pu confirmer son réveil quatre jours plus tard, en se faisant tenir en échec à Batna face au MC Alger (1-1), terminant la phase aller du championnat à la 11e place au classement en compagnie de l’Olympique Médéa avec 17 points chacun.

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Le prix du pétrole a reculé de plus de 30% en un mois !

Fri, 11/23/2018 - 16:33

Les cours de l’or noir poursuivent leur dégringolade entamée début octobre avec une nouvelle chute de 2,5% des cours du Brenteuropéen et de près de 3% pour le WTI américain vendredi. La référence européenne de pétrole brut retombe ainsi à son plus bas depuis septembre 2017.

Le pétrole a-t-il touché le fond ?

Vers 14:00 GMT , le baril de « light sweet crude » (WTI) pour livraison en janvier, la référence américaine du pétrole, chutait d’environ 7%, à 50,90 dollars, dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex) par rapport à jeudi soir.

La référence européenne du brut, le Brent, est, pour sa part, passé brutalement sous la barre symbolique des 60 dollars et cotait 59,48 dollars à 13H45 GMT, en baisse de plus de 5%.

Les cours de ces deux références de l’or noir n’ont plus coté aussi bas depuis plus d’un an. Depuis début octobre, ils ont perdu plus de 30%.

Les stocks de pétrole brut aux Etats-Unis ont d’ailleurs augmenté plus fortement que prévu la semaine dernière, selon les derniers chiffres officiels américains publiés mercredi.

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Peste bovine : la FAO et l’OIE lancent un Plan d’action mondial

Fri, 11/23/2018 - 16:12

L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) ont élaboré un Plan mondial d’action a vocation à guider les pays, en déterminant les responsabilités de tous les acteurs engagés, afin de préserver le monde du fléau mortel de la peste bovine.

Les deux organisations internationales demandent aux pays d’éliminer les derniers spécimens du virus de la Peste bovine encore détenus dans certains laboratoires du globe, en exhortant les pays à rester vigilants quant à la possible réapparition de cette maladie mortelle affectant les bovins.

« L’éradication de la Peste bovine a joué un rôle fondamental dans la sécurité alimentaire et la nutrition des populations dans le monde, et nous devons travailler ensemble pour conserver cet acquis », a déclaré Bukar Tijani, Sous-Directeur général de la FAO, en charge du Département de l’agriculture et de la protection des consommateurs.

Et d’ajouter: « Nous devons faire preuve de vigilance et nous assurer d’avoir la capacité à agir rapidement si, pour quelque raison que ce soit, la maladie réapparaissait ».

« L’absence actuelle de la peste bovine sur le terrain signifie en réalité que les troupeaux d’élevage seraient extrêmement vulnérables si la maladie réapparaissait, perturbant et causant des dommages importants pour la sécurité sanitaire des aliments et la sécurité alimentaire à travers le monde », a déclaré Matthew Stone, Directeur général adjoint des Normes internationales et Science de l’OIE, créé en 1924 en grande partie pour éradiquer la Peste bovine.

Il est à noter que le Plan d’action mondial comprend cinq phases à savoir la préparation, la prévention, la détection, la riposte et le rétablissement. Dans mesure où la peste bovine a été éradiquée, ce plan d’action concentré sur le risque de réapparition de la maladie, se distingue d’autres plans ciblant des maladies animales transfrontalières.

Cela implique de tenir les acteurs de premier plan informés de cette maladie et de l’éventualité de sa réapparition.

Plusieurs actions ont déjà été entreprises afin d’atteindre cet objectif, comme la campagne de communication de l’OIE Plus jamais ! « Plus jamais ça » qui s’adresse aux personnels de laboratoire, aux vétérinaires et aux étudiants en médecine vétérinaire.

Ce PAM implique aussi l’amélioration maximale de la capacité à disposer d’outils diagnostiques et de vaccins en cas de besoin, la préparation d’un plan d’urgence coordonné qui puisse être mis en œuvre dès la confirmation du tout premier cas, pour garantir le retour dans les plus brefs délais à un statut indemne mondial ainsi que l’aide nécessaire aux moyens de subsistance affectés. Toutes ces phases doivent être observées au niveau national, régional et international.

L’une des raisons expliquant les faibles capacités en outils diagnostiques et en vaccins concernant la peste bovine est que la campagne d’éradication a imposé l’interdiction de l’utilisation du virus, sauf à l’occasion d’expériences extrêmement encadrées et supervisées par l’OIE et la FAO. Néanmoins, il existe encore des établissements dans le monde qui détiennent des matériels contenant le virus de la peste bovine, dont d’anciens vaccins.

Ces flacons doivent soit être détruits, soit être transportés dans des laboratoires sécurisés. A l’opposé, des échantillons de la variole, la seule autre maladie infectieuse à avoir été formellement éradiquée, existent seulement au sein de deux zones réservées au stockage sécurisé. Dans l’idéal, les pays choisiraient de détruire leurs MCVPB, et la FAO et l’OIE disposent d’un programme afin de les y aider.

Les deux organisations apportent également leur soutien aux établissements principaux au sein desquels les échantillons (qui pourraient être utilisés pour obtenir des vaccins en urgence) peuvent être entreposés sans risque.

Sinon, les pays pourraient moderniser leurs installations de détention en conformité avec les protocoles de surveillance de l’OIE et de la FAO. Jusqu’à maintenant, cependant, l’élimination des échantillons résiduels progresse lentement.

Seule l’Union africaine dispose d’un accord régional en ce sens pour séquestrer tous les échantillons du virus au sein d’une installation homologuée unique. La peste bovine, parfois appelée « peste des steppes » , a été un fléau pendant des millénaires et a tué des millions d’animaux, y compris parmi les espèces sauvages.

Elle fait partie d’un groupe de virus apparentés comprenant la maladie de Carré chez les chiens, la Peste des petits ruminants et le virus de la rougeole des humains. Après avoir ravagé l’Europe et l’Asie pendant des siècles, la maladie est arrivée en Afrique avec les invasions coloniales.

Elle y a provoqué de grands dégâts à la fin du 19e siècle, décimant les communautés d’éleveurs, modifiant les écosystèmes et facilitant souvent l’occupation des terres par les colons. Elle a notamment provoqué une situation critique qu’une communauté a nommé « la fin de tout ».

L’éradication de cette maladie permet au continent africain d’éviter des pertes financières de l’ordre de 920 millions de dollars par an, selon les calculs de la FAO.

La FAO et l’OIE utilisent actuellement le succès du programme d’éradication de la Peste bovine comme modèle dans le cadre d’une nouvelle campagne destinée à débarrasser le monde de la Peste des petits ruminants, un fléau apparenté à la peste bovine qui affecte les ovins et les caprins et cause des pertes à hauteur de 2,1 millions de dollars par an, dont la plupart est supportée par les petits éleveurs.

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