Le flux de migrants sur le continent Africain est un phénomène qui a tendance à prendre de l’ampleur, notamment vers l’Algérie où, comparativement à l’année 2017, sa pression, même si elle est moins importante, n’en continue pas moins de perdurer.
S’exprimant, lundi, sur cette question, lundi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 Radio Algérienne, le coordonnateur du Centre opérationnel des migrations au ministère de l’Intérieur relève que si les pays Européens sont légitimement préoccupés par ce problème, il en va de même pour Alger qui, dit-il, tente de le prendre en charge et de le réguler.
Concernant l’accueil et la protection des populations de migrants, M. Hassan Kacimi signale que l’Algérie a, de tous temps, inscrit son action dans le respect des conventions internationales, relevant cependant que sur ce dossier, il n’existe pas de consensus entre les nations qui y sont confrontées.
Des appels pressant de pays Européens à l’Algérie d’accepter l’ouverture de « Plateformes migratoires » de rétention, qu’il identifie à des « marchés aux esclaves où on prend les meilleurs», le représentant du ministère de l’Intérieur considère que cette question doit être réglée « autrement et non en la déplaçant ailleurs ». Il pousse plus loin en observant que la politique de « migration choisie », adoptée par ces derniers est une démarche qui ne contribue en rien à solutionner cette épineuse question.
Du flux migratoire auquel fait face le pays, il note que celui-ci est en train d’évoluer différemment par rapport au passé. Alors qu’en Europe, dit-il, les voies migratoires sont en train de se fermer, il en va autrement pour ce qui concerne le continent où, signale-t-il, le nombre de migrants est en train d’augmenter en direction de l’Afrique du Nord, particulièrement vers l’Algérie, à partir du Mali, du Niger, le Tchad, et le Soudan, en particulier.
M. Kacimi estime que concilier les aspects humanitaires et sécuritaires du flux migratoire s’avère une problématique « difficile à mettre en œuvre », assurant que les autorités Algérienne tentent, malgré tout, de les appréhender au mieux.
Notant que la population des cinq pays du Sahel est constituée de 80 millions d’habitants et que dans 30 ans elle va pratiquement doubler, « qu’en sera-t-il, s’inquiète-t-il, s’il n’y existe pas d’assises économiques pour répondre à ses besoins. Pour lui, « nous allons assister à une migration qui va se diriger vers le Maghreb, l’Algérie, puis l’Europe », des enjeux auxquels il appelle à faire face par une démarche réfléchie au niveau mondial.
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La ministre de l’Education nationale interdit aux enseignants d’infliger des sanctions aux élèves lors des conseils de classe. Les mentions avertissement et blâme sont désormais à bannir sur les bulletins trimestriels des élèves, selon une instruction du ministère de l’Education nationale qui interdit des mentions outre que excellent, félicitation, encouragement et tableau d’honneur. Les enseignants doivent se contenter de décerner des observations pour les élèves n’ayant pas le profil pour ces mentions.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Les enseignants sont sommés de rester positifs dans leurs appréciations des élèves. L’instruction ministérielle numéro 68 publiée le 12 juillet 2018 relative aux conseils des classes dans les cycles moyen et secondaire interdit formellement aux enseignants de noter sur le bulletin d’un élève la mention avertissement ou blâme.
«Le conseil de classe peut décerner, au vu des résultats trimestriels obtenus, des récompenses aux élèves brillants en décernant des mentions : excellent, félicitation, encouragement et tableau d’honneur», stipule l’instruction.
Et de préciser que concernant les élèves n’ayant pas le profil d’obtenir les mentions citées, l’enseignant doit donner des appréciations ou des observations leur permettant d’améliorer leur niveau. Une énième aberration, selon les syndicats.
Boualem Ammourra, président du Satef, estime que c’est inacceptable. Selon lui, «nous ne vivons pas en Suisse, la majorité des élèves sont turbulents et on nous demande, avec cette instruction, de les gâter et de leur donner beaucoup plus de liberté en nous interdisant de leur donner des sanctions. Je suis d’accord pour le blâme, mais pour un avertissement c’est une alerte pour l’élève et ses parents».
Le président du Satef souligne que l’on ne peut pas prendre ce genre de décision derrière un bureau loin de la réalité du terrain.
Selon lui, actuellement, l’enseignant et l’administration n’ont aucun moyen ni pouvoir sur l’élève pour le pousser à travailler ni à être discipliné. «Ils ont interdit les châtiments corporels et nous avons été d’accord, mais nous ne comprenons pas pourquoi interdire aussi les avertissements, comment allons-nous pouvoir punir les élèves d’autant que même les parents sont démissionnaires, nous devons sanctionner car nous ne sommes pas dans un milieu favorable et calme, nous sommes devant des élèves qui manquent d’éducation et autant rentrer chez nous si nous n’avons pas les moyens de pression sur l’élève», s’insurge le syndicaliste qui dit que les élèves ont déjà le pouvoir sur beaucoup de choses actuellement. Il estime qu’«en désarmant l’enseignant des sanctions, l’élève sera plus indiscipliné et rentrera encore plus dans la provocation des enseignants».
Meziane Meriane, coordonnateur du Snapest, estime que l’élève doit être secoué et remis à sa place lorsqu’il ne respecte pas les lois établies par son établissement. Il explique que l’enseignant attribue un blâme lorsque l’élève obtient une moyenne inférieure à 5 et un avertissement lorsque la moyenne est inférieure à 8. C’est donc une manière, dit-il, de tirer la sonnette d’alarme pour que les parents sachent que leur enfant risque de redoubler ou d’être exclu. «Si le ministère de l’Education estime que donner un blâme c’est blessant, il doit trouver une autre formule mais nous ne pouvons pas le supprimer sans le remplacer, c’est une erreur, car nous devons avertir les parents et tirer la sonnette d’alarme sur les résultats de l’enfant et si cette mention porte préjudice à l’élève, nous devons, tout de même, trouver un moyen d’avertir les parents que leur enfant risque d’être exclu ou de redoubler», suggère M. Meriane.
S. A.
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D’après les informations du quotidien Ennahar, le cahier des charges de la formule Logement Promotionnel Aidé (LPA) a définitivement été finalisé. Ainsi, des logements de types F2 seront destinés aux célibataires.
En effet, les célibataires sont programmés dans tous les sites incluant des logements du programme LPA à travers le territoire national qui seront lancés dés l’année prochaine (2019).
Pour rappel, pas moins de 70 000 logements de cette formule ont été enregistrés. Le ministre de l’Habitat Abdelwahid Temmar, a indiqué que 50 000 nouveaux logements ont été inscrits à l’exercice 2019.
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Vainqueur de la précédente édition de la coupe d’Algérie, l’USMBA vit la période la plus délicate de son histoire ces dernières années. L’équipe, qui a terminé comme troisième relégable la phase aller, risque de connaitre une véritable saignée à l’occasion du mercato estival qui a officiellement débuté hier. En tout cas, certains joueurs de l’USMBA ne sont pas allés par le dos de la cuillère pour mettre en garde leurs dirigeants qu’ils allaient quitter le club dès la semaine prochaine si on ne venait pas de leur régulariser leur situation financière.
Ces propos ont été faits à l’issue du nul concédé à domicile avant-hier contre les Nigérians d’Unugo Rangers dans le cadre des 16es de finale retour de la Coupe de la Confédération. Un nul vierge qui n’arrange sûrement pas les affaires de la formation de la Mekerra en vue du match retour prévu pour le 23 de ce mois. D’ailleurs, parmi les causes de cette contre-performance, c’est cette situation d’ambiguïté régnant dans le club, étant donné que la préparation de ce rendez-vous continental s’est faite dans la difficulté, en raison de l’absence de plusieurs joueurs aux entrainements précédant le match, alors que d’autres, à l’image de Zouari, ont carrément quitté l’équipe en attendant qu’ils soient libérés par la CRL.
C’est ce qui explique du reste la satisfaction affichée par l’entraineur de l’USMBA, Youcef Bouzidi, à l’issue du match, car conscient que les conditions régnant depuis plusieurs semaines dans le club ne permettaient pas aux siens d’évaluer sur leur véritable valeur. «Je suis satisfait de mes joueurs qui, en dépit des nombreux problèmes auxquels ils font face, ont tout donné dans ce match, même si à l’arrivée on s’est contentés d’un nul qui n’arrange certes pas nos affaires mais qui ne nous élimine pas de la compétition car il reste encore une deuxième manche à jouer durant laquelle tout peut se passer », a déclaré d’emblée l’ex-coach de la JSK. Et d’ajouter : «Il faudrait savoir que j’étais dans l’obligation d’aligner des joueurs qui manquaient de préparation sachant que les entrainements ayant précédé la partie étaient sérieusement perturbés par tous les problèmes extra-sportifs que nous avons vécus».
Aux yeux de Bouzidi aussi, son équipe a été lésée par l’arbitrage qui lui a privés «d’au moins deux penalties», a-t-il tonné. Et même s’il est conscient de la difficulté de la tâche qui attend son équipe au Nigeria lors du match retour, le technicien algérois refuse de jeter les armes. «Un nul vierge reste tout de même un résultat piège. Le fait de n’avoir pas encaissé de but à domicile nous permet de garder nos chances intactes en vu du match retour, qui sera certes difficile mais cela ne nous empêche pas de nous donner à fond dans l’espoir de revenir avec le billet de qualification. Ce que je souhaite, en revanche, c’est que les responsables du club trouvent cette semaine des solutions aux problèmes des joueurs pour ne pas se rendre au Nigeria avec un effectif limité en nombre et en qualité», a-t-il conclu.
Hakim S.
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Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi, a appelé, hier lors de l’ouverture du 4eme Salon international des dattes de Biskra, en présence de 140 exposants nationaux et étrangers, à augmenter les quantités exportées de dattes pour répondre à la demande croissante sur ce fruit au niveau des marchés internationaux, rappelant ainsi les facilités offertes en la matière aux producteurs et exportateurs.
Bouazghi relève aussi dans son intervention que la branche » datte » reste l’un des systèmes de production les plus importants de nos régions désertiques, occupant maintenant une place importante dans la politique de développement agricole et rural, en raison de ses avantages différenciés et de son poids dans l’économie nationale, et aussi grâce à son développement et ses revenus à l’exportation, son rôle dans la nutrition et la consommation ainsi que ses multiples utilisations dans le domaine des industries agroalimentaires, des industries traditionnelles ou même dans l’alimentation de bétail.
Par ailleurs, il a estimé nécessaire de reconsolider la richesse des palmiers, dans le cadre de l’agriculture « Oasis » à travers de nouvelles implantations et l’expansion de leurs zones dans le appelant, dans ce sillage à la maîtrise et à l’amélioration des techniques de production et ce dans le but de valoriser ses composants et une meilleure utilisation des techniques de mécanisation et de modernisation. Plus concrètement, le ministre a insisté, en outre, sur l’amélioration du rendement et la qualité des dattes, en particulier celles ayant une valeur ajoutée dans l’économie nationale. évoquant l’exportation des dattes, Bouazghi est revenu sur la nécessité de promouvoir l’exportation de ce fruit en diversifiant les marchés et en fournissant un environnement économique aux producteurs et exportateurs grâce au soutien qui leur est destiné et en accompagnant les agriculteurs dans la réalisation de leurs activités de développement dans des conditions appropriées. Il a, par la même occasion, affirmé que l’Etat a apporté tout son soutien au développement de la culture du palmier-dattier.
Egalement, le ministre a soutenu que cette initiative est devenue une tradition de la région pour déterminer ce qui a été réalisé dans le domaine de la mise à niveau et du développement de la richesse des dattes et des produits à base de dattes, aux niveaux local et national. Il est à noter, dans ce sillage, que ce salon a vu la participation de 140 exposants nationaux et étrangers, dont plus de 30 ambassadeurs et représentants de missions diplomatiques en Algérie (Hongrie, Venezuela, Vietnam, Corée du Sud, Indonésie, Tunisie et Sénégal) qui ont également assisté à l’ouverture.
M. I.
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Le Conseil national interprofessionnel de la filière phoenicicole a été installé samedi, à Biskra, en présence du ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi. Lors de la cérémonie tenue à l’amphithéâtre de l’université Mohamed Khider, le ministre a affirmé que la politique de développement de l’agriculture vise la sécurité alimentaire, la satisfaction des besoins alimentaires grandissant et l’accroissement de l’offre agricole nationale par la modernisation du système de production et la mise en valeur de nouvelles terres agricoles. Les évolutions palpables incitent à consentir davantage d’efforts pour diversifier l’économie nationale hors hydrocarbures et réduire les importations au travers de la mise en place d’approches participatives, a assuré M. Bouazghi, soulignant que dans ce contexte, 20 conseils nationaux et 525 conseils interprofessionnels ont été créés à l’échelle nationale.
Le conseil national interprofessionnel de la filière phoenicicole est composé de plusieurs intervenants dont des producteurs, exportateurs, des entreprises de transformation, de stockage et de commercialisation, en plus de représentants des structures de régulation et d’importation des intrants. Le conseil aura pour mission « de corriger les dysfonctionnements qui freinent le développement de la filière et de favoriser la concertation en vue de réaliser un bond qualitatif » surtout que la datte représente après les hydrocarbures le deuxième produit exporté ayant atteint, cette année, onze millions de quintaux, a-t-on appris au cours de la cérémonie. En marge de la cérémonie, des arrêtés de concession de terrains ont été remis à quatorze jeunes diplômés des établissements de formation professionnelle porteurs de projets de création d’entreprises d’aquaculture.
Dans l’exploitation agricole Tahraoui, dans la commune de Meziraâ, le ministre a donné le coup d’envoi du chargement de dix huit tonnes de légumes précoces destinés à l’exportation vers la France. Il a salué l’initiative et exprimé son encouragement. Auparavant, le ministre de l’Agriculture avait présidé l’ouverture du 4e salon international de la datte de Biskra en présence 140 opérateurs nationaux, de tunisiens, d’égyptiens et d’émiratis. Plus de 30 ambassadeurs et représentants de missions diplomatiques en Algérie (Hongrie, Venezuela, Vietnam, Corée du Sud, Indonésie, Tunisie et Sénégal, entre autres) ont assisté à l’ouverture de cette manifestation à l’école régionale des sports olympiques.
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L’AS Protection civile d’Alger chez les seniors dames et la wilaya de Sétif chez les hommes ont été sacrées à la 28e édition du Cross des Zibans, deuxième étape du Challenge national de cross-country, disputée samedi à Biskra.
L’AS Protection civile d’Alger a comme à l’accoutumée dominé le cross des seniors (dames), en plaçant notamment deux athlètes sur le deux premières marches du podium, Riham Senani et Bouadjaib Saâdia, tandis que la wilaya de Sétif s’est imposée chez les hommes grâce à Kamel Dali vainqueur de la course seniors . Les clubs de Chlef ont essentiellement dominé chez les juniors et les cadets, où ils ont également placé deux athlètes sur chaque podium. De leur côté, les athlètes de la sélection nationale militaire ont manifesté leur présence chez les seniors (messieurs), en prenant la troisième place, grâce à Hamza Yousfi, au moment où les formations représentant les wilayas de Tizi-Ouzou, Oum El-Bouaghi, M’Sila et Tissemsilet se sont distinguées dans d’autres catégories.
Au total, 977 athlètes, dont 201 féminines, représentant 16 wilayas ont participé à cette 28e édition du cross des Ziban, marquée également par la présence de plusieurs personnalités connues sur la scène de l’athlétisme national, à leur tête, le président de la FAA, Abdelhakim Dib. Des représentants du Comité olympique et sportif algériens, notamment Amar Brahmia et Rabah Chebah ont suivi cette compétition, ainsi que les techniciens de la FAA Abderrahmane Morceli (DTN), Abdelkrim Sadou (DEN) et Mourad Abdenouz (DOS), sans oublier le directeur des jeunes talents sportifs, Trek Kessaï, qui ont tous relevé « la bonne organisation » de ce cross. « Le niveau des juniors et des cadets a été particulièrement appréciable. Les vainqueurs ont vraiment réalisé de bonnes prestations », a estimé le directeur de l’organisation sportive de la FAA, Mourad Abdenouz.
De leur côté, et même s’ils étaient globalement satisfaits des conditions dans lesquelles a été disputé ce 28e cross des Zibans, certains athlètes ont souligné « la difficulté du parcours à certains endroits », surtout que cette situation a eu pour effet de compliquer leur course. « Le parcours était sablonneux par endroits, et très dur dans d’autres. Il y avait aussi ces fortes rafales de vent, qui soulevaient le sable et qui réduisaient donc la visibilité » ont indiqué certains crossmen. Il est à rappeler que la région de Biskra a enfanté des grands champions en athlétisme, à l’image des frères Hecini, Brahim Badi ou encore Abdelaziz Djabourabi, qui avaient dignement représenté les couleurs nationales.
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Le milieu offensif international algérien du Bétis Séville (Liga espagnole de football) Ryad Boudebouz a affirmé qu’il se sentait bien au sein du club andalou, infirmant les informations le donnant partant à l’OGC Nice (France), en dépit d’un faible volume de jeu. » Je ne suis pas dans l’optique d’un départ, les infos concernant Nice, Nantes ou le club de Taïder (Impact Montréal) ne sont que des rumeurs, je ne suis pas trop au courant. Je suis bien à Séville et je veux jouer. Je dois régler ma situation au club. J’ai envie de rejouer. Il y’ aura une discussion avec mon coach », a affirmé le joueur au micro de Mondial TV.
Ayant rejoint le club andalou durant l’été 2017 en provenance de Montpellier (France) pour un contrat de quatre saisons, Boudebouz (28 ans) n’a pu exprimer pleinement son talent avec le Bétis. Il compte dix apparitions (612 minutes) depuis le début de la saison, toutes compétitions confondues. « Je ne suis pas là pour contester les choix de l’entraîneur, il faut accepter et travailler, je dois bosser et gagner ma place maintenant on verra ce qu’il y a plus tard », a-t-il ajouté. Interrogé sur la récente décision de la Confédération africaine (CAF) de retirer l’organisation de la CAN-2019 au Cameroun, l’ancien sochalien a réagi : « Nous les joueurs, on aime plutôt jouer dans un pays où il ne fait pas trop chaud, où on pourra pratiquer tout ça.
A nous de bien se préparer parce que on a une très bonne équipe avec le nouveau sélectionneur (Djamel Belmadi, NDLR) qui constitue une force, parce qu’il nous comprend bien, ça commence à être bien en place ». Boudebouz (25 sélections avec l’E.N/ 2 buts) avait quitté la France en 2017 après neuf saisons (301 matchs, 45 buts et 53 passes décisives) où il avait eu à porter également les couleurs de Bastia et Sochaux.
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Le strict respect des normes en vigueur par les producteurs oléicoles est une condition pour le développement de la filière, a souligné une experte en agronomie, au deuxième jour d’une rencontre dédiée à l’importance de l’accompagnement dans le cadre de la qualité et l’innovation des PME/PMI dans la wilaya d’El-Tarf.
Dans une intervention portant sur les perspectives de développement de la qualité au niveau des unités oléicoles, Nora Benrachou, du département des sciences agronomiques de l’Université Chadli Bendjedid est revenue sur les conditions nécessaires pour parvenir à une huile d’olive de «bonne qualité’’ en mesure de rivaliser avec la production de pays concurrents. «La filière huile d’olive accuse un retard en matière de développement en amont et en aval’’, a-t-elle ajouté, expliquant que les retards enregistrés sont dus, non seulement aux facteurs climatiques (sécheresse et les incendies de forêts), mais également à des conditions de production (culture de l’olivier, le savoir-faire, les structures d’appui), qui font actuellement défaut de façon criante, selon elle.
L’intervenante a ajouté que l’absence de laboratoires spécialisés et d’unités de conditionnement, notamment, font que «notre huile n’arrive pas encore à concurrencer les productions des autres pays’’, et d’assurer une offre concurrentielle sur le marché international dont l’exigence est le respect des «normes strictes’’ du Conseil oléicole international (COI). Elle a cité comme conditions préconisées pour garantir une production oléicole de qualité, le stockage des olives dans des cuves en inox, à l’abri de la lumière et des variations de température, le suivi rigoureux des différentes étapes d’extraction de l’huile d’olive, l’inutilisation de scourtin (filtre) qui est souvent source de contamination et le stockage des huiles au niveau des unités d’extraction.
De son côté, Kamel Fergani, représentant de l’Institut algérien de la normalisation (IANOR), sis à Alger, a évoqué les missions de cet institut qui a publié, selon lui, pas moins de 9 000 normes algériennes ciblant différents secteurs confondus, à ce jour. Il a également présenté aux participants, des représentants de divers services (Chambres de commerce et d’industrie, commerçants, artisans, association de protection des consommateurs, étudiants, enseignants), le système algérien de normalisation, les résultats des travaux de comités techniques sur la normalisation tout en insistant sur les rencontres de sensibilisation organisées dans ce contexte. Une exposition de produits artisanaux divers (huiles essentielles, savons, parfums, bijoux en corail et pierres précieuses…) a été organisée en marge de cette rencontre, tenue depuis mercredi, à l’Université Chadli Bendjedid.
Selon le directeur local de l’Industrie et des Mines, Abdelhak Meziani, cette rencontre, qui s’inscrit dans le cadre du programme du ministère de tutelle dédié à la normalisation et à la créativité, vise essentiellement la promotion du produit national.
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L’université Djillali Liabès de Sidi Bel- Abbès, qui souffle ses 40 ans d’existence, est en plein essor en termes d’infrastructures et de spécialités, devenant un pôle scientifique par excellence pour 30 000 étudiants issus de différentes wilayas et encadrés par 1400 enseignants.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a présidé, samedi dernier, en compagnie des ministres de la Formation et de l’Enseignement professionnels, de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, respectivement Mohamed Mebarki et Imene Houda Feraoun, les festivités marquant ce 40e anniversaire de la création de cette université, en organisant plusieurs manifestations scientifiques, sportives et artistiques.
Cet établissement d’enseignement supérieur a connu une évolution notable en quatre décennies, après sa promotion en université, le 1er janvier 1989, comptant six instituts pour atteindre, six années plus tard, 10 instituts de différentes spécialités. En 1998, avec la mise en place du système des facultés, l’université a abrité les facultés de lettres, des sciences économiques et de gestion, de droit, d’ingéniorat, de médecine et des sciences, a rappelé son recteur, Meghachou Mourad. Trois autres trois facultés ont été ajoutées à ce réseau, à savoir celles des sciences de la nature et de la vie, des technologiques et des sciences appliquées. Sa salle de conférences de 600 places, équipée de tous les moyens, a été ouverte pour l’organisation de manifestations scientifiques et culturelles.
Cette infrastructure a bénéficié d’un projet structurant visant la réalisation d’un pôle universitaire s’étendant sur une superficie de 90 ha. Ce qui a permis de la hisser au rang de grande université au niveau national, a souligné le recteur.
Ce pôle universitaire compte trois facultés : celles des lettres, des langues et des arts, la faculté du génie électrique et la faculté des sciences humaines et sociales, outre un bloc administratif, composé de cinq étages abritant le rectorat , une bibliothèque, une maison de l’entreprenariat, un siège des œuvres sociales et des infrastructures sportives. L’université dispose aussi de laboratoires de recherche de pointe.
Leur nombre a atteint les 49 laboratoires versés dans différentes filières. Ils sont encadrés par 90 équipes et 370 enseignants en plus de
2 000 étudiants post-graduation pour les diplômes d’études supérieures. Les efforts déployés dans le domaine de la recherche scientifique ont permis à cette université de décrocher, en 2016, selon le classement du site web « Metric Ranking », la première place au niveau national et maghrébin, et la 27e place au niveau africain et enfin la 1 725eplace parmi 27 000 universités au niveau mondial.
L’université de Sidi Bel-Abbès a été baptisée, en 1996, du nom du professeur Djillali Liabès, natif de Sidi Bel-Abbès et docteur en sciences humaines. Il occupa plusieurs postes dont celui de ministre des universités (1991) puis ministre de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique (1992) avant d’être nommé directeur de l’institut des études stratégiques globales. Djillali Liabès a été assassiné le 16 mars 1993 à Alger.
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La ville de Hodeida, port stratégique de l’ouest du Yémen et principal front du conflit, reste le théâtre de violents combats et raids aériens qui mettent en péril la trêve conclue en Suède sous l’égide de l’ONU entre forces loyalistes et rebelles Houthis.
Hier, des échanges de tirs sporadiques étaient rapportés par des habitants de cette cité des rives de la mer Rouge qui constitue le point d’entrée des opérations humanitaires au Yémen, pays pauvre ravagé par des années de guerre. «On entend les bruits de raids et d’échanges de tirs sans pouvoir les localiser», a dit un des habitants joints par téléphone, sous le couvert de l’anonymat. Mais ce sont surtout les affrontements et raids aériens de la nuit, les plus violents depuis l’annonce du cessez-le-feu jeudi, qui inquiètent, les belligérants s’accusant d’en porter la responsabilité. Au moins 29 combattants, dont 22 rebelles Houthis, ont été tués dans ces combats, a affirmé à l’AFP un responsable pro-gouvernemental. Ce bilan n’a pu être confirmé de source indépendante jusqu’à présent. Sept rebelles ont en outre été capturés lors d’une offensive des Houthis contre la localité d’Al-Douraihimi, à environ 20 km au sud de Hodeida, a ajouté la même source. L’agence de presse Saba contrôlée par les Houthis a de son côté affirmé que l’aviation de la coalition menée par l’Arabie saoudite continuait de procéder à des raids aériens dimanche dans la province de Hodeida. Elle a accusé les forces pro-gouvernementales d’avoir bombardé samedi soir des quartiers résidentiels de la ville. Tout en notant que les combats avaient baissé d’intensité à l’aube, un habitant de Hodeida a confirmé le caractère «violent» des affrontements de la nuit. Il a noté que le bruit d’avions survolant la ville avait été entendu toute la nuit.
«Réussite»?
Des combats sporadiques avaient été signalés dès vendredi soir dans les quartiers est et sud de Hodeida, au lendemain même de l’annonce du cessez-le-feu conclu en Suède entre les rebelles et les forces loyales au président Abd Rabbo Mansour Hadi. Selon les termes de cet accord, le cessez-le-feu devait pourtant entrer «immédiatement» en vigueur à Hodeida, ville tenue par la rébellion et qui constitue le principal point de fixation du conflit depuis des mois. Le retrait des combattants est lui prévu dans les «prochains jours». Même si la fragilité du processus est connu de tous, les rebelles Houthis avaient qualifié samedi de «réussite» l’accord conclu en Suède au terme des premiers pourparlers depuis 2016. Outre une trêve à Hodeida, cet accord prévoit un échange de quelque 15.000 combattants faits prisonniers ainsi que des mesures pour faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire à Taëz (sud-ouest), ville aux mains des loyalistes et assiégée par la rébellion.
«Premier pas vital»
Les pourparlers inter-yéménites doivent par ailleurs reprendre fin janvier pour tenter de définir un cadre de négociation en vue d’un règlement global. Depuis 2014, la guerre au Yémen a fait au moins 10.000 morts et des millions de personnes sont menacées de famine dans ce pays où sévit «la pire crise humanitaire du monde», selon l’ONU. La guerre oppose les partisans du gouvernement soutenus depuis 2015 par une coalition militaire dirigée par l’Arabie saoudite aux rebelles Houthis soutenus par l’Iran, le grand rival chiite de Ryad. Conscient de la fragilité de l’accord, l’émissaire de l’ONU au Yémen, Martin Griffiths, a réclamé dès vendredi le déploiement au plus vite d’observateurs internationaux à Hodeida et dans des ports de la province. «Permettre à l’ONU d’avoir un rôle dirigeant dans les ports est un premier pas vital. Nous devons voir cela arriver dans les jours qui viennent», a argué M. Griffiths lors d’une liaison vidéo avec le Conseil de sécurité depuis ses bureaux établis en Jordanie. Selon des diplomates, quelque 30 à 40 observateurs pourraient être déployés à Hodeida, ville d’environ 600.000 habitants. Dans le conflit yéménite, d’autres points de blocage persistent, notamment celui concernant l’aéroport de Sanaa. La capitale elle-même est entre les mains des rebelles Houthis depuis 2014. Lors des pourparlers de Suède, aucun accord n’a été trouvé sur cet aéroport international dont l’ouverture est réclamée avec insistance par les rebelles et qui est soumis à un embargo de fait de la coalition.
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Les démocrates américains ont promis samedi de contester en justice et au Congrès la décision d’un magistrat fédéral qui a déclaré inconstitutionnelle la couverture santé de Barack Obama, un jugement applaudi par Donald Trump, féroce détracteur de ce système ayant permis d’assurer des millions d’Américains.
Le président républicain a vivement salué cette décision de justice qu’il a qualifiée de «bonne nouvelle pour l’Amérique!». «Comme je l’ai toujours prédit, l’Obamacare a été démoli comme étant un désastre inconstitutionnel, », a écrit Donald Trump sur Twitter vendredi soir, peu après la décision du juge. «Nous allons avoir un bon système de santé», a-t-il encore promis samedi, devant des journalistes. «Nous allons devoir négocier avec les démocrates pour cela mais je suis sûr qu’ils veulent aussi le faire», a ajouté le président républicain, alors que l’opposition va prendre le contrôle de la Chambre des représentants au Congrès en janvier. La Maison Blanche a toutefois souligné que la loi de Barack Obama restait en vigueur puisque l’affaire sera certainement portée en appel jusque devant la Cour suprême. L’incertitude pèse sur ce que pourraient décider les neuf juges de la Cour suprême.
Cinq des neuf magistrats avaient décidé en 2012, dans une affaire distincte, de maintenir l’Obamacare («Affordable Care Act», ACA, de son nom officiel). Ils siègent encore. Cette loi emblématique de la présidence de Barack Obama, promulguée en 2010 et qui a permis à quelque 20 millions d’Américains de s’assurer, est la bête noire des républicains. Depuis son arrivée à la Maison Blanche, Donald Trump n’a eu de cesse de tenter de démanteler l’Obamacare. Mais il avait essuyé en 2017 un échec cuisant au Congrès, lorsque la tentative d’abroger Obamacare avait échoué de justesse, malgré une majorité républicaine. Son camp tente depuis de saper cette couverture, à coups de mesures fiscales et recours en justice. La décision vendredi d’un juge fédéral conservateur du Texas est le fruit de ces efforts.
Le magistrat, Reed O’Connor, avait été saisi par les procureurs généraux de plusieurs Etats et un gouverneur, tous républicains. Dans son jugement, il estime la loi inconstitutionnelle dans son intégralité en raison de l’élimination par le Congrès, à l’occasion d’une réforme fiscale républicaine l’an dernier, d’une amende infligée aux personnes non-assurées qui ne s’inscriraient pas à ce programme. Or cette pénalité constitue «la clef de voûte» de la loi qui doit donc être déclarée inconstitutionnelle, selon le juge. Le jugement est tombé juste avant l’expiration du délai, samedi, pour souscrire à cette assurance santé pour 2019. Craignant que la nouvelle ne décourage les Américains retardataires, qui se retrouveraient donc sans aucune couverture santé, les démocrates ont multiplié les messages appelant à s’inscrire samedi. «Il n’y a aucun impact» pour l’instant, a également souligné l’administratrice des assurances pour les plus pauvres et les personnes âgées, Seema Verma, pourtant nommée par Donald Trump.
«Jugement cruel»
Les démocrates ont dénoncé «l’offensive» des républicains contre un système de santé «abordable» et annoncé qu’ils feraient «immédiatement appel». «Les républicains sont totalement responsables de ce jugement cruel», a écrit Nancy Pelosi, future présidente de la Chambre des représentants. C’est justement avec un message fortement axé sur la protection de cette couverture santé et des personnes souffrant d’antécédents médicaux que les démocrates ont remporté une solide victoire en novembre à la chambre basse du Congrès. Les républicains, eux, ont renforcé leur majorité au Sénat. «La Chambre des représentants agira rapidement pour intervenir formellement dans le processus d’appel», a promis Nancy Pelosi.
Pour le chef des sénateurs démocrates, Chuck Schumer, «si ce jugement affreux était maintenu par les cours supérieures, cela serait un désastre pour des dizaines de millions de familles américaines». Des procureurs généraux démocrates de 17 Etats, menés par celui de la Californie, ont affirmé que les modifications fiscales n’impliquaient pas qu’Obamacare était inconstitutionnelle et ont promis de défendre le système. «Notre combat pour sauver l’Obamacare est loin d’être fini», a affirmé Xavier Becerra, chef des autorités judiciaires de la Californie. Samedi, l’indignation ne retombait pas chez les démocrates. «Les Américains veulent que l’on protège leur système de santé, pas qu’on l’attaque», a tweeté le sénateur démocrate Sheldon Whitehouse.
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PARIS – Le gouvernement français espérait dimanche que la forte baisse de la mobilisation des « gilets jaunes » la veille constituera une occasion d’en finir avec les manifestations qui ont secoué le pays depuis près d’un mois, ont rapporté des médias locaux.
La cinquième journée de manifestations a réuni samedi moitié moins de personnes dans les rues françaises que les semaines précédentes, marquant, selon les médias locaux, « la fin d’un cycle de mobilisation ».
« Une étape est derrière nous, certainement, et je pense que c’est l’intérêt de tout le monde qu’il en soit ainsi, y compris des +gilets jaunes+ », a déclaré dimanche le ministre français de l’Education, Jean-Michel Blanquer.
« Le temps du dialogue est venu », a souligné de son côté le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, alors que le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a affirmé que « les ronds-points doivent être libérés et la sécurité de tous redevenir la règle ». Depuis le 17 novembre, les « gilets jaunes » – ces Français modestes se plaignant d’une fiscalité excessive et d’un pouvoir d’achat insuffisant – bloquent rond-points et axes routiers à travers la France.
Plusieurs zones de péages du sud du pays ont été touchées par des incendies et dégradations dans la nuit de samedi à dimanche. Après quatre samedis de manifestations à Paris et en régions, dont trois émaillés de scènes de violences et de dégradations.
Après la contestation de la taxe carbone, les revendications des « gilets jaunes » se sont rapidement élargies à la question globale du pouvoir d’achat avant de déborder sur d’autres thèmes. Samedi, les manifestants étaient nombreux à réclamer l’organisation d’un référendum d’initiative citoyenne, comme en Italie ou en Suisse.
Pour des experts français, l’exécutif a vraiment intérêt à tenir ses promesses concernant le soutien au pouvoir d’achat, car le risque de reprise de la mobilisation est toujours « important ». L’essoufflement du mouvement est vécu aujourd’hui comme un soulagement pour l’économie française et notamment pour les petits commerces, qui, à l’approche des fêtes, ont fortement souffert de la mobilisation des « Gilets jaunes ».
Le président de la Confédération des commerçants de France a estimé samedi que le mouvement représentait « une véritable catastrophe » pour eux, avec une baisse du chiffre d’affaires comprise entre « 40% et 70% ».
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Dans une déclaration à l’APS, M. Hammouche a indiqué que « l’Algérie a été élue, vendredi dernier, au poste de vice-président de la Commission générale des Pêches pour la Méditerranée (CGPM) », qualifiant cette élection « de preuve de la récupération du secteur de la pêche en Algérie de sa place au sein des institutions internationales ».
L’élection de l’Algérie à ce poste est intervenue suite à la tenue de la Conférence sur l’initiative pour le développement durable de l’économie bleue en Méditerranée occidentale, à Alger les 3 et 4 décembre courant, qui a été co-présidée par l’Algérie et la France et a vu la participation de 400 experts, dont 100 experts étrangers et durant laquelle 31 importants projets conjoints pour le développement de l’économie bleue dans la région ont été élaborés, a-t-il ajouté.
« L’Algérie a récupéré son quota habituelle de thon et l’a même doublé pour atteindre 1.650 tonnes en 2020 après avoir baissé à 100 tonnes au cours des dernières années' », a fait savoir le même responsable.
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Une convention tripartite a été signée, dimanche à Alger, par la wilaya d’Alger, la région d’Ile-de-France et les ateliers de Jean-Nouvel en vue de revitaliser la vieille Casbah au plan patrimonial, urbanistique, culturel et touristique.
Le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, pour la partie algéroise, la présidente de la région Ile-de France, Valérie Pécresse, représentant la partie francilienne et l’expert architecte Jean-Nouvel, pour les ateliers éponymes, ont signé cette convention au siège de l’Armée des Janissaires à la haute Casbah au terme d’une visite sur le terrain.
Les études préliminaires prévues au terme de cette convention consistent en accompagnement technique à intervenir dans les prochains jours, a précisé à l’APS, le directeur de l’urbanisme, de l’architecture et de la construction à la wilaya d’Alger, Mohamed-Yazid Gaouaoui.
Intervenant à l’occasion de cette signature, Mme Pécresse a valorisé le Plan stratégique d’aménagement et d’urbanisme de la wilaya d’Alger, qualifiant de « défi et aventure » à la fois le projet d’aménagement et d’embellissement de la baie d’Alger, dont les travaux ont atteint 25%.
Dans le cadre de l’accompagnement technique prévu en vertu de cette convention, il sera fait appel à l’expérience et à l’expertise d’un éminent expert en architecture, en l’occurrence Jean-Nouvel, qui s’attélera avec son staff à restituer son lustre à la Casbah, classée patrimoine mondial par l’Unesco, a ajouté Mme. Pécresse.
Pour la présidente de la région Ile-de-France, il ne s’agit pas simplement d’un projet d’architecture mais de la revitalisation de la Casbah au plan patrimonial, culturel, urbanistique et touristique.
De son côté, M. Zoukh s’est félicité de cet accompagnement technique et de la contribution des Ateliers du grand architecte de renommée internationale Jean-Nouvel, annonçant, à cette occasion, la tenue lundi (demain) d’une rencontre entre les Ateliers de Jean-Nouvel et un groupe d’architectes algériens afin d’expliquer « comment la wilaya d’Alger souhaite voir sa baie ».
L’architecte Jean-Nouvel a mis en valeur, pour sa part, les chefs-d’œuvre architecturaux que recèle la vieille Casbah, relevant, ainsi, la nécessité de la réhabiliter pour lui restituer son lustre.
Lors de cette sortie, Mme Valérie Pécresse a visité Dar El Hamra (Basse Casbah), un palais inscrit au programme d’experts français et algériens en vue de la conception d’un plan architectural global et son équipement.
Auparavant, la présidente de la région Ile-de France s’était rendue au siège de la Direction générale de l’entreprise du Métro d’Alger (EMA) dont la gestion est assurée par l’entreprise RATP DEV où elle a reçu des explications détaillées sur l’activité de cette entreprise.
A cet effet, le Directeur général de la RATP DEV, Olivier Badard a indiqué que le Métro d’Alger qui compte 19 stations enregistre plus de 160.000 voyageurs/jour en attendant la réception de l’extension de la ligne s’étendant jusqu’à l’Aéroport international Houari Boumediene d’ici 2023 et dont la gestion sera assurée par l’EMA.
Mme Valérie Pécresse et la délégation l’accompagnant ont visité également le siège de l’entreprise SETRAM (tramway d’Alger).
Le Président directeur général de SETRAM, Pierrick Poivrier a déclaré que l’entreprise exploite six lignes de tramways à savoir Alger, Oran, Sidi Bel Abbès, Ouargla, Sétif et Constantine, soulignant que le tramway d’Alger enregistre plus de 100.000 voyageurs/jour.
Une nouvelle extension du tramway de Constantine est prévue durant le mois de mars prochain, a-t-il ajouté sans en préciser la ligne. Il a fait état en outre du lancement des travaux du tramway de Mostaganem en 2019.
Le nombre des employés des entreprises SETRAM et EMA s’élève à plus de 4000, a fait savoir M. Olivier Badard.
La présidente de la Région Ile-de-France, Valérie Pécresse effectue une visite de deux jours en Algérie dans le cadre de l’accord de coopération avec la wilaya d’Alger et conduit une importante délégation dont Jérôme Chartier, 1er vice- président chargé de la Stratégie institutionnelle et des Relations internationales, Agnès Evren, vice-présidente chargée de la Culture, du Patrimoine et de la Création, Hamida Rezeg, vice- présidente chargée du Tourisme et Béatrice Lecouturier, déléguée spéciale à l’Orientation, a-t-on rappelé. APS
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Les guichets automatiques de billets, pour lesquels des sommes importantes ont été dépensées par la direction d’Algérie Poste de la wilaya de Tamanrasset, ne servent, vraisemblablement, que de décor de façade. La plupart du temps, ils sont hors service.
C’est le cas de ceux placés à l’entrée de la recette principale au centre-ville ou encore dans les bureaux de poste de Sersouf et de Guettaâ El-Oued. Les usagers sont ainsi contraints de subir le calvaire des longues files d’attente qui se forment à l’intérieur des centres payeurs, où l’on joue quotidiennement des coudes pour effectuer une simple transaction monétaire, particulièrement en période des virements des salaires de la fonction publique. Il est temps qu’Algérie Poste accélère la restauration des GAB défectueux ainsi que l’installation de nouveaux. La direction locale d’AP fait part d’un programme de 10 nouveaux GAB dans dix communes de la wilaya.
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Une semaine après le limogeage du directeur général du Centre hospitalier universitaire de Béjaïa pour mauvaise gestion, le ministère de la Santé lui a trouvé un remplaçant.
Il s’agit de Djamel Merad, un enfant de la région, diplômé de l’École nationale d’administration, qui avait poursuivi des études en France, à l’École supérieure de gestion (ESG) de Paris. Sur le plan professionnel, il a débuté sa carrière en 2009 au CHU de Tizi Ouzou, où il était chargé des marchés publics, du contentieux et des affaires juridiques.
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Une page électronique, dans un scoop aussi fantaisiste qu’imaginaire, a cru bon d’annoncer contre toute attente la disparition imminente de notre média, Berbère Télévision (BRTV).
Mohamed Saadi, président de la chaîne amazighe, apporte un démenti formel et ferme à cette fausse information qui relève soit du souhait dudit journal électronique amateur ou de son intention mal assumée de nuire à BRTV qui travaille sans relâche au développement et à l’épanouissement de la culture amazighe en Afrique du Nord et dans le monde. BRTV, par sa large diffusion, la qualité de ses émissions thématiques et sa détermination, a ainsi contribué sans nul doute à l’instauration de la paix linguistique et de la paix culturelle ambiante dans les pays de la région et particulièrement en Algérie en restaurant la langue et la culture amazighes dans leurs droits imprescriptibles.
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« Un athlète, ce n’est pas uniquement un bloc de muscles. C’est avant tout une personne, avec une conscience et un esprit. A partir de là, on ne peut pas déclarer qu’un sportif est bon pour le service, en se basant uniquement sur son aptitude physique. Il peut souffrir d’un autre type de mal, qui ne saute pas forcément aux yeux dès le premier regard, mais c’est quand même une grave blessure, qu’il faut soigner aussi », a indiqué à l’APS le Docteur Chouiter Feriel, présidente de la Commission médicale du Comité olympique et sportif algérien (COA), à l’occasion du 6e Cours de médecine du sport.
Les sportifs professionnels subissent souvent des pressions liées au besoin de performance et ont tendance à ne pas accepter l’échec, car il est souvent suivi de critiques et d’attaques médiatiques qui nuisent à leur image de marque. Une situation qui a pour effet de développer chez eux une forme de dépression, ou même parfois de sérieux troubles psychologiques.
« Les athlètes non professionnels sont également sujets à ce genre de troubles », a tenu à faire savoir Chouiter, « particulièrement les plus jeunes, car encore fragiles » moralement.
La présidente de la Commission médicale du COA a insisté sur « l’importance de la communication, entre les entraîneurs et leurs athlètes », pour essayer de déceler ces blessures psychologiques pour pouvoir ensuite les traiter.
« Cette deuxième phase, qui est la phase de traitement ne peut avoir lieu sans un diagnostic préalable, qui met les acteurs sur la bonne piste », a-t-elle encore expliqué, ajoutant qu’un « athlète affecté moralement ne sera jamais à 100% de ses capacités, faisant qu’il ne pourra jamais réaliser les performances » qu’on attend de lui.
La même source a profité de l’occasion pour attirer l’attention sur d’autres aspects, qui méritent tout autant d’être pris en considération, comme la récupération et le régime alimentaire chez les athlètes.
« Dans certaines disciplines sportives, comme la boxe et le judo, j’ai vu des athlètes survivre avec une orange par jour, juste pour perdre quelques kilos et rester ainsi dans leur catégorie de poids. Ce qui représente un réel danger pour leur santé, car le sport est une activité physique qui nécessite beaucoup d’efforts, faisant qu’un corps mal nourri ne sera jamais à la hauteur », a-t-elle encore averti.
Les organisateurs de ce 6e Cours de médecine du sport se sont dit majoritairement « satisfaits du nombre important de médecins et techniciens » qui ont répondu à l’appel, « preuve qu’ils prennent vraiment ce sujet au sérieux ».
Outre la protection mentale de l’athlète, les thématiques de ce Cours de médecine du sport ont concerné les volets de la préparation, de la récupération et celui de la lutte antidopage.
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Un laboratoire d’analyses médicales, situé dans la banlieue ouest d’Alger, a trouvé la formule qui lui évite de débourser de l’argent pour s’équiper.
À ses clients qui viennent pour des analyses de sang pour traiter des allergies alimentaires, il exige le paiement de la totalité des frais de la prestation, arguant que les échantillons de sang prélevés sont envoyés à un laboratoire à l’étranger. La raison ? L’indisponibilité des appareils adéquats pour réaliser le type d’analyses demandées. Ce qui est pour le moins surprenant, puisque les autres tests et analyses comme celles des hormones, du cholestérol et même de l’ADN se font en Algérie !
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