BOUIRA – Le président du Mouvement El-Islah El-Watani, Filali Ghouini, a appelé samedi l’élite politique et tous les partenaires sociaux à œuvrer pour l’unification des rangs afin de « relever les défis socio-économiques et sécuritaires auxquels fait face l’Algérie en cette conjoncture actuelle ».
« Il est temps pour l’élite politique du pays d’agir et d’œuvrer pour l’unification des rangs en cette conjoncture actuelle. C’est avec l’union que l’Algérie peut relever des défis socio-économiques et sécuritaires majeures », a souligné M. Ghouini lors d’une rencontre avec les cadres locaux du parti tenue au siège de l’Office des établissements de jeunes (ODEJ) de la ville de Bouira.
« Le parti El-Islah soutient toute initiative de l’Etat allant dans le sens du consensus et du dialogue national afin de débattre des différentes questions d’actualité et qui préoccupent nos jeunes », a-t-il dit Dans son discours, M. Ghouini a évoqué les élections pour le renouvèlement partiel des membres du Sénat, souhaitant que les élus choisiront des sénateurs conscients et capables de travailler pour l’amélioration de la situation sur le plan social et économique.
« Nous souhaitons que le choix des sénateurs réponde aux critères pouvant servir les intérêts suprêmes de la nation. Les futurs sénateurs doivent être aussi capables de représenter dignement le citoyen algérien », a insisté le patron d’El-Islah.
« Les élus doivent choisir les sénateurs de façon transparente sans qu’ils soient sous pression », a souligné l’orateur. Par ailleurs, M. Ghouini a saisi l’occasion pour réitérer son soutien à un cinquième mandat pour le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, jugeant qu’il « est le seul garant pour la poursuite du développement du pays et du processus de la réconciliation nationale ».
« Nous réitérons notre appel au Président de la République pour se présenter à un cinquième mandat afin de poursuivre ses efforts de réconciliation et les efforts du développement que connaît les différentes régions du pays », a-t-il ajouté, tout en reconnaissant qu’il existe des carences à combler afin de pourvoir répondre aux aspirations des jeunes algériens.
A propos de l’immigration clandestine (El-Harga), Filali Ghouini a qualifié de très dangereux ce phénomène, qui, a-t-il déploré, « fait des dizaines de victimes en mer ». « Nos jeunes prennent des embarcations de fortunes et traversent la mer à cause du chômage et des mauvaises conditions de vie », a estimé le président d’El-Islah, tout en appelant les hautes autorités du pays à répondre rapidement aux aspirations des jeunes avant que la situation ne se complique davantage.
The post El-Islah : Ghouini appelle à l’unification des rangs pour relever les défis socio-économiques et sécuritaires appeared first on .
Alors que le secteur du 7eme art en Algérie est éclaboussé par un énième scandale quant à la contestation par une partie de la profession, de la nomination par la tutelle du nouveau directeur de la cinémathèque algérienne, le ministre de la Culture vient de se distinguer par une nouvelle sortie médiatique bien que peu surprenante dans le fond car assez entendue ces derniers temps. Est- ce sa manière de faire diversion? De quoi s’agit-il? Lors d’une visite à Aïn Defla, à l’extérieur d’Alger, donc Azzedine Mihoubi a mis l’accent encore une fois sur l’importance du secteur privé d’investir dans le domaine du cinéma, indiquant par ailleurs que la gestion des salles de cinéma «ne doit plus faire partie des prérogatives de l’Etat.» et de rajouter: «Dès lors que la gestion d’une salle de cinéma est une entreprise purement commerciale génératrice d’argent, elle ne peut qu’être confiée au secteur privé.» S’adressant à toute personne susceptible d’investir dans ce domaine, il notera que la seule exigence est de «se conformer à la réglementation en vigueur», et ce au regard de l’économie moderne. Ceci s’applique aussi au théâtre. A-t-il fait savoir. Aussi, arguant que le cinéma relève du domaine culturel, a-t-il fait savoir, il relèvera que les prérogatives de son ministère et des services de l’APC et de la wilaya consistent en la rénovation des salles, mais ceci «ne peut durer éternellement», a-t-il estimé. «Dans la quasi-totalité des pays du monde, les salles de cinéma, voire les musées, sont gérés par des privés et dès lors que la culture est le produit de la société, il appartient à cette dernière de prendre en charge ce volet de la manière qu’elle juge la plus opportune», a-t-il argumenté.
Aussi, l’opération de réhabilitation des salles de cinéma coûterait une enveloppe financière de 40 millions de dinars. Un chiffre conséquent et surtout des arguments de relance du secteur et d’ouverture des parcs moribonds, des salles de cinéma qui datent depuis des années. Ce qui nous amène à dire: pourquoi toutes ces lenteurs?
The post GESTION DES SALLES DE CINÉMA SELON AZZEDINE MIHOUBI « Au privé d’investir! » appeared first on .
DJELFA – Cinq (5) membres d’une même famille sont décédés samedi à Djelfa, suite à une intoxication au monoxyde de carbone, a-t-on appris auprès des services de la Protection civile de la wilaya.
L’unité secondaire de la Protection civile de la daïra de Messaàd (75 km au Sud de Djelfa) est intervenue aux environs de 9H30 de la matinée au village Athmane ( à 3 km à l’Est de la ville) pour évacuer cinq membres d’une même famille décédés suite à une intoxication au monoxyde de carbone, a-t-on indiqué de même source.
Selon les premières informations communiquées à ce sujet, il s’agit du père âgé de 31ans, de la mère âgée de 29 ans, d’un enfant de 5 ans et deux jumeaux de 3 ans qui seraient morts intoxiqués par les émanations de monoxyde de carbone provenant du chauffage de leur domicile. Une enquête a été diligentée pour déterminer les causes exactes de cette tragédie familiale, est-il précisé de même source.
The post Intoxication au monoxyde de carbone : décès de cinq membres d’une même famille à Djelfa appeared first on .
ALGER – Les efforts diplomatiques menés en 2018 en vue de la résolution du conflit au Yémen ont été couronnés par la signature d’un accord sur le cessez-le-feu à Hodeida et l’échange de centaines de prisonniers entre les belligérants.
Après une guerre fratricide, durant toute l’année écoulée, entre les troupes du Mouvement Ansarullah (Houthis) et l’armée gouvernementale, soutenue par une « coalition arabe » sous conduite saoudienne, les observateurs entrevoient un possible règlement politique à la crise dans ce pays devant permettre d’alléger les souffrances endurées par la population touchée de plein fouet par les conséquences de la guerre notamment la famine et les épidémies mortelles.
En plus de cessez-le-feu observée par les deux parties, une mission militaire de l’ONU se trouve sur place pour surveiller le respect de l’accord sur l’arrêt de combats, ce qui permet l’acheminement des aides à la population.
L’accord, arraché sous les auspices de l’ONU, en Suède, a donné espoir à la communauté internationale qu’une possible solution basée sur un règlement politique à la guerre est possible, d’autant plus que des consultations sont d’ores et déjà fixées en début 2019.
Cette perspective, souhaitée et soutenue par la communauté internationale, est jugée indispensable pour mettre un terme ce conflit, qualifié de « dévastateur » et de « véritable tragédie ».
Avec son lot de victimes et de famine ayant touché plus de 20 millions de personnes, suite à la poursuite des combats, le conflit yéménite s’est davantage enlisé en 2018.
La paix a été compromise et les populations ont été lourdement éprouvées par cette guerre, qui aurait causé, selon les estimations de l’ONU, plus de 10 000 morts et 50 000 blessés depuis son éclatement en 2015, alors que plus de huit millions de personnes ont été atteintes par la famine.
Les quelques trêves, observées sous l’effet de la pression de la communauté internationale, n’ont pas permis pour autant d’atténuer un tant soit peu les souffrances endurées, aussi bien par les enfants, les femmes que les personnes âgées.
Chacune des deux parties campait sur ces positions et s’entêtait à défendre sa « suprématie » sur le terrain des combats.
Les combats s’intensifiaient, la communauté internationale impuissante
Devant cet état de fait, l’espoir de voir une paix durable aboutir relevait, selon les observateurs, presque de l’impossible, notamment après l’échec des derniers pourparlers de Genève, en septembre 2018, pour lesquels la communauté internationale s’était fortement mobilisée et impliquée.
Les conséquences de cette guerre dépassaient tout entendement, traduisant ainsi l’impuissance de la communauté internationale à trouver une solution à même d’atténuer les souffrances endurées par les populations yéménites.
Réclamant de nouvelles aides humanitaires, Mark Lowcock, haut responsable de l’ONU, affirmait que le Yémen restera « le théâtre de la plus large opération humanitaire au monde » et que celle-ci doit être encore plus importante en 2019, en raison de besoins de plus en plus croissants.
Près de 80% de la population du Yémen, soit approximativement 24 millions de personnes, avaient besoin d' »une forme ou autre de protection et d’une assistance humanitaire ».
Al Hodeida assiégée, la situation humanitaire détériorée
La situation humanitaire au Yémen s’est détériorée à cause de l’insécurité régnant à Hodeida, par où transitent 70% des importations du pays.
Cette ville a été visée durant l’année 2018 par une importante offensive menée par les forces gouvernementales soutenue par la coalition en vue de la reprendre aux troupes Houthis, malgré les mises en garde de la communauté internationale quant aux conséquences d’une telle opération.
En outre, le conflit yéménite a engendré des épidémies et des maladies, dont le choléra qui a fait, selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), plus de 2000 morts et près d’un million de personnes atteintes de diarrhée sévère dans les différentes provinces, alors que le pays était soumis à un blocus maritime, aérien et terrestre imposé par l’Arabie saoudite.
Au vu de cette réalité, des observateurs de la scène internationale ont estimé que le gouvernement yéménite et le mouvement « Ansar Allah » (Houthis) n’ont pas d’autre alternative au règlement politique du conflit, d’autant plus que les dernières démarches entreprises par l’émissaire de l’ONU, Martin Griffiths, ont donné de l’espoir que les deux parties pouvaient réellement surpasser les obstacles et s’inscrire dans la résolution pacifique de cette crise.
Ainsi, la conclusion d’un accord pour un cessez-le-feu à Hodeida et l’échange des centaines de prisonniers à l’issue des pourparlers de paix en Suède ont démontré que les belligérants pouvaient bien s’entendre et mettre fin à la tragédie.
Certes, le chemin vers la paix et la réconciliation reste long, mais il n’en demeure pas moins que le moment est « décisif » pour mettre fin à un conflit qui n’a que trop duré, dont l’option militaire a plutôt accentué le malaise et l’a rendu plus complexe.
« Il est temps de s’engager dans une solution politique définitive pour le Yémen », a affirmé, dans ce contexte, M. Griffiths, qui n’a montré aucun signe de désespoir depuis son engagement dans la médiation, malgré la complexité de sa mission.
The post 2018/Yémen: un conflit en attente d’un règlement, l’espoir d’un dénouement se dessine appeared first on .
GHAZA (Palestine) – Six Palestiniens dont un journaliste et une secouriste ont été blessés vendredi par des tirs de balles réelles de l’armée israélienne lors des manifestations pacifiques des « marches du Retour » à proximité de la barrière érigée par l’occupation dans la Bande de Ghaza, ont rapporté des médias, citant le ministère de la santé.
Selon un communiqué, le département palestinien de la santé, a également annoncé la mort du jeune Karam Mohammad Numan Fayyad, 26 ans, par des tirs de l’armée israélienne, à l’Est de la ville de Khan Younes, au sud de l’enclave.
L’agence de presse palestinienne, Wafa, a quant à elle, fait état samedi, de huit blessés dont un enfant et un journaliste lors d’une « série de frappes aériennes » par des avions de combat israéliens, ayant ciblé plusieurs sites de la ville de Deir Balah au centre de Ghaza, « endommageant les biens des Palestiniens ».
Selon l’agence, un jeune Palestinien de 22 ans, Hatem Al-Mohateseb du Tel Rumeida au centre d’Al-Khalil, a été « attaqué et battu par dix (10) colons ». D’après le témoignage du jeune, « les soldats de l’occupation se sont précipités dans la région pour assurer la protection aux colons agresseurs ».
Au moins 253 Palestiniens, dont 45 enfants, ont été tués par les forces de l’occupation israélienne depuis le début des manifestations de la « Grande marche de retour » en mars dernier, selon un rapport du centre « Abdallah Al-Horani pour les études et la documentation » de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP).
Lors de ces marches qui se poursuivent depuis huit mois, 25.477 Palestiniens ont été blessés dont 13.750 par des balles réelles, ajoute la même source, dont 4.379 enfants, 2.050 femmes, 460 membres des équipes de secours, et 263 journalistes.
The post Marches du Retour : 6 Palestiniens dont un journaliste et une secouriste blessés par l’armée israélienne appeared first on .
Genève – Le réchauffement climatique a un fort impact sur le territoire de certaines espèces animales, révèle un nouveau rapport publié par le fonds mondial pour la nature (WWF) qui dresse le bilan des animaux, « gagnants et perdants en 2018 ».
« 2018 a été une piètre année pour le règne animal, même si certaines espèces ont pu élargir leurs habitats en raison du réchauffement climatique, à l’image du guêpier d’Europe, d’autres, comme le hareng de la Baltique ou le harfang des neiges, voient leur territoire rétrécir pour les mêmes raisons », explique le WWF, basé en Suisse.
Selon le même rapport, « le hareng de la Baltique est au nombre des grands perdants de l’année 2018″ ajoutant qu » alors qu’il fut un temps où sa population semblait inépuisable, ses effectifs se sont mis à faiblir ces dix dernières années ,de nombreux poissons connaissent un destin similaire: surpêches, leurs populations sont épuisées ou victimes du dérèglement climatique ».
Le WWF a fait savoir également que « l’orang-outan de Tapanuli fait également partie des moins chanceux, à peine découvert, le voilà déjà sévèrement menacé ».
« Le rorqual commun et la baleine grise sont porteurs d’espoir, les premiers effets des interdictions de pêche se faisant sentir. Au nombre d’un millier, les gorilles des montagnes sont nettement plus nombreux que ce que l’on pensait. Ces animaux sont cependant toujours considérés « en danger, car menacés par le braconnage et l’agriculture », explique le rapport.
« Ces exemples montrent que les mesures de protection des espèces fonctionnent. Cependant, il ne faut pas se leurrer, il nous reste un chemin difficile à parcourir si nous voulons préserver la diversité des espèces sur la planète », affirme Pierrette Rey, porte-parole au WWF Suisse, cité par le rapport.
En outre, le guêpier d’Europe, par exemple, a élargi son habitat. « Dans les années 1990, on ne comptait sous nos latitudes qu’une poignée d’individus. Aujourd’hui, 53 à 72 couples nichent en Europe, attirés par la hausse des températures », précise la même source.
« Cela ne fait pourtant pas du guêpier un réel gagnant du réchauffement climatique. Son lien étroit avec les écosystèmes menacés, comme les gravières, et la disparition en masse des insectes pourraient bien lui couper les ailes « , ajoute le fonds mondial pour la nature.
Parmi les autres espèces considérées comme gagnantes en 2018, selon le rapport, figurent le chat marsupial moucheté, le phoque gris de la Baltique, les gorilles des montagnes et la baleine grise du Pacifique.
The post Le réchauffement climatique a un fort impact sur le territoire des espèces animales appeared first on .
OUARGLA – Le tramway de Ouargla, en service depuis une dizaine de mois, est l’un des grands projets retenus en 2018 en faveur de cette wilaya pour renforcer le transport urbain et accompagner l’extension de cette ville du Sud du pays.
La mise en exploitation de ce moyen de transport moderne n’a pas manqué de renforcer les atouts d’attractivité de cette ville saharienne et l’embellissement du cadre urbain de Ouargla à travers les multiples opérations de reconfiguration et d’aménagement urbain l’ayant accompagné et ayant apporté une valeur ajoutée et une touche de modernité tout au long de son tracé, à l’instar de la partie jouxtant le musée saharien ou le flanc Ouest d’Ouargla, à la sortie de la ville, ou le tramway serpente de petites dunes de sable.
Bien qu’ils aient été réticents au lancement de ce projet structurant et contribuant à la modernisation de Ouargla et en dépit des désagréments en raison du retard accusé dans l’exécution des travaux du fait de la nature des reliefs sablonneux, de la perturbation du trafic routier et urbain, de la gêne causée aux commerces, et des dérangements fréquents causés par les coupures temporaires des réseaux d’électricité et de téléphonie, les habitants de la ville ont vite fini par l’adopter.
Après sa mise en service en mars dernier, les habitants de la ville se sont aussitôt habitués à emprunter le tramway qui leur a apporté diverses prestations de confort, dont la ponctualité, la rapidité, et son exploitation sur une bonne tranche horaire, jusqu’à 23 heures, notamment pour ceux de la cité En-Nasr (périphérie de Ouargla) et les étudiants.
Employant plus de 400 agents permanents, des différents services techniques et administratifs, le tramway de Ouargla, le 5ème à être mis en service dans le pays par l’entreprise du métro d’Alger (EMA), à impact écologique et ayant nécessité pour sa réalisation un investissement de 40 milliards DA, assure la couverture d’un réseau long de 9,7 km avec une capacité de transport de plus de 3.000 passagers/ heure.
Son tracé est jalonné de 16 stations, de la cité En-Nasr au centre-ville, via les pôles universitaires, la gare multimodale, diverses institutions, édifices publics, et entreprises.
Le tramway pour l’impulsion d’autres domaines d’activités
Le tramway d’Ouargla, dont la conception a été adaptée à la nature et au climat sahariens, constitue la concrétisation d’engagements faits par les pouvoirs publics pour l’amélioration du cadre de vie de la population locale, et la dynamisation des différentes secteurs et domaines d’activités économiques, a estimé Hadj Chetioui, un notable de la ville.
Pour le directeur du Tourisme et de l’artisanat (DTA), Abdallah Belaid, « toute relance des activités touristiques dans la région requiert la mise en forme de projets structurants, à l’instar du tramway, l’aménagement de structures aéroportuaires, susceptibles d’apporter un plus au tourisme dans la région ».
Approchée par l’APS, Mme Rabéa, quadragénaire, a énuméré divers avantages offerts par ce moyen de transport urbain, soulignant que « le tramway lui permet d’accompagner son fils (8 ans) aux besoins spécifiques, dans des conditions confortables au centre spécialisé existant au centre ville d’Ouargla ».
Abondant dans le même sens, Djamel, employé à l’université de Ouargla, a évoqué la propreté et la sécurité parmi les avantages offerts par le Tramway et faisant défaut chez les transporteurs privés, avant d’émettre le souhait de voir cette propreté perpétuée par l’implication de tout un chacun pour la préservation de cet acquis.
Près de 2.200 passagers empruntant le tramway se sont abonnés, au premier mois seulement de sa mise en service, selon les responsables de SETRAM, ajoutant que l’opération n’a cessé depuis de connaitre une tendance à la hausse de la part aussi les citoyens, notamment les étudiants et les travailleurs.
L’on a estimé alors que ce nombre était relativement important par rapport à la courte durée de lancement du tramway, traduisant ainsi l’efficacité de ce service public.
La nouvelle formule d’abonnement unique, entre SETRAM et l’entreprise publique de transport urbain et semi-urbain (ETUSU), portant sur un abonnement mensuel de 1.200 DA, lancée le 5 juillet dernier, permet aux passagers de circuler librement avec leurs moyens de transport.
The post Ouargla : le tramway, un moyen de transport moderne venu accompagner l’extension urbaine appeared first on .
ALGER – La pièce de théâtre, « Tahcil El Haçel », une satire qui met en garde contre l’anéantissement de la Nation arabe, est, à son tour, entrée, vendredi à Alger, en compétition du 13e Festival national du théâtre professionnel (Fntp), dans une ambiance de grands soirs.
Le nombreux public du théâtre national, Mahieddine-Bachetarzi, a pu apprécier les évènements rocambolesques du spectacle « Tahcil El Haçel » (enfoncement du tourmenté dans davantage de problèmes), produit par le Théâtre régional d’Oum El Bouaghi et mis en scène par Lahcène Chiba (qui a expliqué le titre de la pièce), sur un texte de Ali Tamert.
Une simulation théâtrale, visant à montrer ce qui se passe dans l’imaginaire de tout un chacun, a donné lieu à un microcosme social, rendu par un jeune couple, qui va assister impuissant à une succession d’intrusions d’inconnus masqués dans leur maison, s’apparentant à différentes factions rivales, en guerre à plusieurs endroits dans les pays arabes.
S’autodétruisant les uns les autres, les auteurs de cette « violation de domicile caractérisée », enfants d’une même et grande nation, vont s’entretuer, symbolisant leur mort par le jet de leurs masques dans la corbeille à ordures, montrant ainsi, « à quoi ils en sont arrivés », explique Lahcène Chiba.
Dans une satire, puisant dans le registre des théâtres, grotesque et absurde, et s’inspirant dans la direction d’acteurs des méthodes biomécaniques de Meyerhold, le couple, image du peuple algérien dans leur maison, l’Algérie donc, bien qu’il essaye de discuter avec les parties en conflit, observe une neutralité affichée, à travers le gris des accoutrements qu’il portait.
La trame, au fil « fragile », a été nourrie par plusieurs situations distinctes qui prennent chaque fois fin avec l’intervention violente du personnage interprétant l’histoire, qui apparait déchirant les pages qu’il venait tout juste de consacrer à l’évènement qui venait de se terminer par la mort de son (ou ses) auteurs.
Dans le rôle des époux, frappés par l’urgence absolue du moment, Soumiya Bounab et Hichem Guergah, époustouflants d’énergie, ont tout fait sur scène, dans un jeu burlesque, précis et juste, appuyé par de belles acrobaties, occupant tous les espaces de la scène et tirant vers le haut, la dizaine de comédiens qui les ont accompagnés.
Amina Feriek, Rachid Maâmriya, Tarek Achba, Ferhat Abdel Aâli, Loucif Merzoug, Ramzi Achour, Hamid Mohamed Cherif, Seddam Sahraoui, Nadjib Zeroual, Imad Yahi, Djamel Belhocine et Ahmed Chafaï, ont brillamment servi le spectacle également, entretenant avec les deux jeunes premiers, des échanges intenses au rythme ascendant et soutenu.
La scénographie, une œuvre réussie de Abdelghani Taïbi, était faite de longs pantalon blancs que les comédiens ont utilisé suggérant des silhouettes de morts dans le cimetière, ainsi qu’un ensemble de chaises, faisant fonction d’une sorte de salle d’attente, où chacun attendait son tour pour commettre son intrusion dans le domicile du jeune couple.
La bande-son, œuvre de Abdelkrim Khomri, a été tout aussi concluante avec des lignes mélodique et quelques bruitages inspirant le doute et l’incertitude, « contexte de toutes ces révolutions dans les pays arabes », de l’avis de Ali Tamert, appuyée dans la création des atmosphères lugubres du cimetière, par un éclairage quelque peu assombri.
L’Histoire qui se donne la mort à la fin du spectacle, « Tahcil El Haçel », a su traduire le fort intérieur de chacun à travers les différents rôles distribués, dotés de codes judicieusement simplifiés par le metteur en scène, pour rendre la lecture des évènements plus accessible à l’assistance, lui permettant de saisir le péril qui frappe les pays arabes.
Le public, savourant chaque instant de la pièce dans l’allégresse et la volupté, a longtemps applaudi les artistes, dont certains étaient en pleurs, à l’issue de la représentation.
Ouvert le 22 décembre dernier, Le 13e Fntp se poursuit jusqu’au 31 du même mois, avec au programme de samedi, les spectacles, « Yalil, Ya Aïn » du TR de Constantine et « Baccalauréat » du TR de Mostaganem.
Au-delà des spectacles en compétitions au nombre de dix-huit, le Théâtre municipal d’Alger-Centre accueille huit autres spectacles en off.
The post 13e Fntp : Le spectacle, « Tahcil El Haçel », une satire qui met en garde contre l’anéantissement de la Nation arabe appeared first on .
ALGER – Six (6) personnes ont perdu la vie et 32 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation, survenus au cours des dernières 48 heures dans plusieurs régions du pays, indique samedi un bilan établi par les services de la Protection civile.
La wilaya de Médéa déplore le bilan le plus lourd avec le décès d’une personne suite à deux accidents de la circulation ayant causé des blessures à 12 autres personnes.
Durant la même période, les éléments de la Protection civile sont intervenus pour prodiguer les premiers soins à 3 personnes incommodées par le monoxyde de carbone émanant des appareils de chauffage et chauffe-bains, dont 02 personnes à la wilaya de Sétif et 01 autre personne à la wilaya de Bouira.
La Protection civile est intervenue également pour l’évacuation des corps sans vie de 03 personnes décédées par asphyxie suite à l’inhalation du monoxyde de carbone (CO) dont 02 personnes à la wilaya de Khenchela et 01 autre personne à la wilaya de Djelfa.
Les éléments de la protection civile sont intervenus, par ailleurs, pour l’extinction de 04 incendies dont 01 incendie à Constantine, 01 incendie à Oum El Bouaghi, 01 incendie à Tizi Ouzou et un autre à Bordj Bou Arreridj.
The post Accidents de la circulation : 6 morts et 32 blessés au cours des dernières 48 heures appeared first on .
KINSHASA – Il y aura bien des élections dimanche en République démocratique du Congo, a répété vendredi le président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) à l’issue d’une rencontre avec les trois principaux candidats et des observateurs africains.
Tous ont cependant prévu de se retrouver samedi à 13H00 (12H00 GMT) pour continuer les discussions.
Les discussions portent sur « un texte qui engage les candidats pour la paix » avant, pendant et après le scrutin, d’après les participants.
Le contenu de ce texte n’a pas été dévoilé.
Le candidat d’opposition Martin Fayulu a insisté pour que cet engagement soit signé aussi bien par les candidats que par la Céni. Présents, les représentants du candidat de la majorité Emmanuel Ramazani Shadary ne se sont pas exprimés.
L’élection présidentielle à un tour de dimanche doit désigner le successeur du président Joseph Kabila dans un pays qui n’a jamais connu de transmission pacifique du pouvoir.
« Le 30, ce dimanche, nous allons tous voter. Ce dimanche il y aura élections, nous allons voter pour notre prochain président de la République, nous allons voter pour nos députés nationaux, et nous allons voter pour nos députés provinciaux », a déclaré le président de la Céni, Corneille Nangaa à la presse à l’issue de la rencontre.
M. Fayulu a refusé toute transmission électronique des résultats.
« Dans ces concertations, nous avons voulu faire dire à la Céni que les résultats des élections du 30 décembre doivent être des résultats qui proviendront du comptage manuel (ndlr: des bulletins), c’est ce que la Céni a reconnu », a-t-il indiqué.
« Ce sont les résultats des bureaux de vote comptés devant les témoins qui vont faire foi en cas de contradiction », a assuré Vital Kamerhe, représentant de l’autre opposant, Félix Tshisekedi.
La réunion a aussi « abordé la douloureuse question de l’exclusion » de trois zones de conflits qui ne pourront pas voter dimanche (Butembo, Beni et Yumbi), selon Vital Kamerhe.
M. Nangaa a évoqué « des problèmes qui peuvent se poser par ci, par là », essentiellement des « problèmes techniques ».
The post RDC: confirmation des élections dimanche précédées de discussions samedi appeared first on .
ALGER – L’opération de renouvellement de la moitié des membres du Conseil de la nation a été entamée samedi, à travers l’élection par les élus au niveau des Assemblées locales (APC et APW) de leurs représentants au sein de la Chambre haute du Parlement.
Ces élections, à travers lesquelles 48 sénateurs seront élus, interviennent conformément au décret présidentiel portant convocation du collège électoral et seront supervisées, pour la première fois, par des magistrats.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait signé, en novembre dernier, un décret présidentiel portant convocation du collège électoral, conformément à la Constitution, notamment ses articles 91-6 et 119 (alinéa 3) et à la loi organique 16-10 du 25 août 2016 relative au régime électoral, notamment ses articles 107, 108 et 109.
Le collège électoral est composé de l’ensemble des membres de l’Assemblée populaire de Wilaya (APW) et des membres des Assemblées populaires communales (APC) de chaque wilaya. La dernière élection pour le renouvellement partiel des membres de la Chambre haute du parlement s’est déroulée le 29 décembre 2015.
Elle avait été marquée par la victoire du parti du parti du Front de libération nationale (FLN) qui a remporté 23 sièges, suivi du Rassemblement national démocratique (RND) avec 18 sièges, les Indépendants avec 4 sièges, le Front des forces socialistes (FFS) avec 2 sièges et Fadjr Al Jadid avec un seul siège.
Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Tayeb Louh, avait indiqué que 23 partis se sont présentés à ces élections dont le FLN, seule formation politique à avoir réussi à couvrir l’ensemble des wilayas, suivi du RND avec 46 wilayas, alors que les autres partis ont réussi à couvrir entre 17 et 01 wilayas. Pour ce qui est des candidats indépendants, le nombre de dossiers de candidatures acceptés a atteint 41, selon M. Louh.
Le ministre avait indiqué aussi que ces élections seront supervisées, « pour la première fois », par le secteur de la justice, faisant savoir que 736 magistrats seront mobilisés à cet effet au niveau des 72 bureaux de vote, répartis à travers le territoire national, avec une moyenne de 8 magistrats pour chaque bureau, dont quatre (04) suppléants.
M. Louh a rappelé, à ce propos, que la régularité et la transparence des élections étaient « plus que nécessaires », d’où leur supervision par des magistrats, précisant que la commission électorale de wilaya, chargée de la réception des dossiers de candidature, est constituée de 3 magistrats.
Il a affirmé, dans ce contexte, que des instructions avaient été données à tous les parquets, polices judiciaires et administrations à l’effet de « veiller à la régularité et à la transparence de ces élections ».
Sur un autre registre, le Conseil constitutionnel avait rappelé aux candidates et candidats à cette élection « qu’en vertu des dispositions de l’article 130 de la loi organique relative au régime électoral, qu’ils ont le droit de contester les résultats du scrutin en introduisant un recours par simple requête déposée au greffe du Conseil constitutionnel suivant les conditions découlant des règles de forme et de fond contenues à l’article 130 susvisé, aux articles 49 et 50 du Règlement fixant les règles de fonctionnement du Conseil constitutionnel, ainsi qu’à l’article 28 du décret exécutif n 18-293 du 21 novembre 2018 relatif à l’élection des membres élus du Conseil de la nation ».
Concernant les conditions de forme, le Conseil constitutionnel avait précisé que « le requérant doit être candidat à l’élection portant renouvellement de la moitié des membres élus du Conseil de la Nation dans la wilaya concernée ».
Le recours doit être déposé par le candidat requérant directement auprès du greffe du Conseil constitutionnel dans les vingt-quatre (24) heures qui suivent la proclamation des résultats provisoires par le Conseil constitutionnel », selon le Conseil constitutionnel qui relève aussi que « dans le cas où le requérant délègue un représentant pour déposer le recours en son nom et place auprès du greffe du Conseil constitutionnel, il est impératif, sous peine de rejet du recours en la forme, que le dépositaire soit muni d’une délégation l’habilitant à cet effet ».
Le Conseil constitutionnel avait, en outre, rappelé que la requête doit être présentée en langue arabe et comporter le nom, prénom (s), profession, domicile et signature du requérant, la mention de l’APC ou de l’APW à laquelle appartient le requérant.
S’agissant des conditions de fond, le Conseil constitutionnel avait précisé que le requérant est tenu d’exposer dans sa requête, l’objet ainsi que les moyens et les motifs au soutien de son recours, de joindre les documents justificatifs à l’appui de son recours, signalant que le Conseil constitutionnel statue sur les recours dans un délai de trois (3) jours francs, conformément à l’article 131 alinéa 1er de la loi organique relative au régime électoral.
Le Conseil de la nation a été créé lors de la révision de la Constitution en 1996. Il est composé de 144 membres, dont 96 élus au scrutin indirect et secret (2 tiers) et 48 désignés par le président de le République dans le cadre du tiers présidentiel.
The post Renouvellement partiel du Conseil de la nation par les élus locaux appeared first on .
ALGER – L’ancien président du Conseil constitutionnel, le moudjahid, Abdemalek Benhabylès, est décédé dans la nuit du vendredi à Alger à l’âge de 98 ans, a-t-on appris auprès de son entourage.
Le défunt sera inhumé après la prière du Dohr au cimetière de Sid Naamane à Bouzaréah (Alger).
Né à Sétif, Abdelmalek Benhabylès avait occupé plusieurs postes de responsabilité après l’indépendance, notamment, ambassadeur en Tunisie et au Japon, avant d’être désigné secrétaire général du ministère des Affaires étrangères.
Il a aussi occupé le poste de ministre de la Justice, puis secrétaire général de la présidence sous le mandat du défunt président de la République, Chadli Bendjedid.
Le dernier poste occupé par le défunt était président du Conseil constitutionnel de 1989 à 1995.
The post Décès de l’ancien président du Conseil constitutionnel, Abdelmalek Benhabylès appeared first on .
Courant décembre, les experts du FMI qui n’ont rien de rois mages ont averti que «la situation est très inquiétante».
Pour tenter de calmer la colère et les manifestations, parties de Kasserine pour gagner plusieurs autres bourgades, le chef du gouvernement Youssef Chahed a rencontré jeudi soir, au palais de Dar Dhiafa, une délégation du bureau exécutif du syndicat national des journalistes tunisiens. Les parties se sont, à en croire certains sites, penchées sur la situation dans le secteur des médias et les revendications exprimées par les journalistes dont la situation a été reconnue «difficile». Il a également été question de mettre fin aux emplois précaires dans le milieu de la presse et, à l’issue de cette rencontre, une deuxième réunion est convenue dans les jours qui viennent pour tenter de cerner les solutions les plus rapides à apporter aux problèmes des journalistes.
Parallèlement à cette démarche, le ministre de l’Intérieur, Hichem Fourati, a indiqué qu’une «stratégie offensive exceptionnelle» va être incessamment appliquée pour combattre le terrorisme, et en premier lieu à Kasserine. Il a ainsi détaillé la méthode qui sera mise en oeuvre, parlant «d’anticipation, de prévention et de défense comme alternative au plan d’action en vigueur», tout en ajoutant que «cette stratégie tend à offrir les garanties d’accès aux lieux de retranchement des groupes terroristes». Très sommairement, l’objectif est de parvenir au renfort du contrôle à l’entrée et à la sortie des villes et d’appuyer les services de renseignement. Le plan stratégique devrait être ensuite étendu aux gouvernorats de Jendouba et du Kef.
Evoquant les mouvements de protestation qui sont partis de la ville de Kasserine où le journaliste Abderrezak Rezgui s’est immolé par le feu pour protester contre le chômage et l’absence de perspective pour toute la population et qui se sont ensuite propagés à plusieurs villes du pays, dont la capitale Tunis, Fourati a brandi l’enquête préliminaire selon laquelle «cinq individus à bord d’une voiture de location ont distribué de l’argent et des cartes de recharges téléphoniques aux manifestants pour attiser la situation dans la région et dans le pays en général».
Ces personnes, a-t-il dit, ont été interpellées comme ce fut le cas auparavant à Ben Guerdane. A Kasserine même, la situation est loin d’être stabilisée puisqu’hier, il y a eu de nouveaux heurts violents entre jeunes manifestants et forces de l’ordre, celles-ci faisant usage des gaz lacrymogènes pour riposter aux pierres et aux cocktails Molotov.
La Tunisie est plus que jamais à la croisée des chemins. Alors que le gouvernement jure la main sur le coeur qu’il y a de la manipulation et l’achat des contestataires, alors que le ministre de l’Intérieur n’hésite pas quant à lui à parler de bakchichs pour nourrir la division, ce que l’on appelle pudiquement les heurts traduisent, qu’on le veuille ou pas, la désespérance d’une Tunisie du sud extrêmement paupérisée. Courant décembre, les experts du FMI qui n’ont rien de rois mages ont averti que «la situation est très inquiétante».
Plus que Ben Guerdane, Jendouba ou d’autres contrées oubliées, Kasserine est devenue malgré elle le foyer des séismes et des coups de grisou qui menacent la société tunisienne. Ainsi, si le chômage est de 15,5% au plan national, il atteint les 25,5% dans les zones enclavées.
Aux députés, ministres et chefs de parti qui se jettent à la figue toute sorte de noms d’oiseaux, Youssef Chahed oppose vaille que vaille un taux de croissance qui a failli flirter avec les 3% en 2018. Mais c’est oublier un peu vite, que le taux de croissance n’a jamais suffi au bonheur des peuples!…
The post LES FOYERS DE TENSION PEINENT À S’APAISER EN TUNISIE Le sombre présage du FMI appeared first on .
TAMANRASSET – Le coup d’envoi de la 4e édition de la manifestation « l’Algérie au cœur de son Sahara » a été donné vendredi depuis Tamanrasset par le ministre de la Jeunesse et des sports, Mohamed Hattab en présence du ministre du Tourisme et de l’artisanat, Abdelkader Benmessaoud.
Organisée sous le slogan « Vivre ensemble en paix » avec la participation de 600 jeunes venus de toutes les wilayas, cette manifestation a connu une ambiance festive animée par de jeunes au niveau de la place du 1er novembre au chef lieu de la wilaya de Tamanrasset où des présentations artistiques et folkloriques reflétant la richesse du patrimoine culturel algérien ont été organisées par les wilayas participantes.
Accompagné du président du Comité olympique et sportif algérien (COA) et de l’Association des comités nationaux olympiques d’Afrique (ACNOA), Mustapha Berraf, le ministre de la Jeunesse et des sports a affirmé dans son allocution d’ouverture que « cette grande manifestation qui constitue une occasion pour la valorisation de l’héritage culturel de toute l’Algérie, contribue à la promotion de l’artisanat et des métiers des habitants de la région mais reflète également la richesse du patrimoine national et contribue à l’exploration des zones touristiques ».
A cette occasion, le ministre a appelé les jeunes à se solidariser dans le cadre de cette évènement qui « revête une grande importance d’autant qu’il a pu réunir tous les jeunes algériens ». « L’Algérie au cœur de son Sahara » vise, a-t-il ajouté, « l’approfondissement ainsi que la concrétisation des relations fraternelles entre les algériens ».
Il a exhorté les jeunes, également à « être à la hauteur des défis auxquels fait face l’Algérie » et à contribuer « à la préservation de la stabilité et des acquis réalisés tout en s’inspirant des sacrifices payés par les jeunes pendant la révolution nationale ».
De son côté, M. Benmessaoud s’est félicité du développement réalisé dans cette région grâce à la politique judicieuse du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, indiquant que cette manifestation juvénile qui constitue une tournée touristique et culturelle au profit des jeunes, contribue à la promotion du tourisme local.
Outre le renforcement des relations fraternelles et amicales entres les enfants de la patrie, cet évènement (28 décembre-2 janvier) constitue une occasion pour valoriser l’héritage culturel algérien.
Une variété d’activités sportives, culturelles, artistiques et éducatives a été programmée au profit des hôtes de la région de Hoggar. Cette manifestation sera également une occasion pour découvrir cette région à travers des excursions qui seront organisées à plusieurs régions, outre des soirées artistiques et culturelles, des expositions et des campagnes de boisement.
La délégation ministérielles a inauguré une piscine, un stade gazonné au complexe de proximité de Tafssit et un stade de proximité à la cité Serssouf. A cette occasion le ministre a appelé à l’utilisation des énergies renouvelables au niveau des structures sportives en vue préserver l’écosystème et rationnaliser les dépenses.
Après avoir inspecté le projet de réalisation d’un stade semi olympique à la cité Adriane et un parc de loisir au profit des enfants au square El-Istiklal, le ministre a exhorté les spécialistes à sélectionner les talents sportifs au niveau des régions du Sud qui constituent « un vivier en ces compétences dans les différentes disciplines ».
M. Hattab poursuivra sa visite à Tamanrasset samedi où il posera la première pierre d’un projet de réalisation d’un complexe sportif.
The post Tamanrasset : lancement de la 4e édition de « l’Algérie au cœur de son Sahara » appeared first on .
MADRID – L’Espagne a condamné, vendredi, la décision du haut comité de planification israélien d’approuver des plans de construction de plus de 2.000 nouveaux logements dans des colonies en Cisjordanie, appelant à cesser l’expansion des colonies.
Suite à l’adoption récemment par les autorités israéliennes de la décision de construire plus de 2.000 nouveaux logements dans des colonies en Cisjordanie, « le gouvernement d’Espagne réitère sa condamnation d’une politique qui porte gravement atteinte à la viabilité d’un futur Etat palestinien ».
Un communiqué du ministère espagnol des Affaires étrangères, de l’Union européenne et de la Coopération ajoute que cette politique « met en péril la solution à deux Etats ».
Le gouvernement espagnol a lancé, dans le même contexte, un appel à cesser la construction de nouvelles colonies, « une action illégale du point de vue du droit international ».
Des plans de construction d’environ 2.200 logements dans des colonies de Cisjordanie occupée avaient été approuvés récemment par une commission du ministère israélien de la Défense.
Plus de 1.150 logements ont obtenu un accord définitif en attendant que les permis de construire soient publiés, tandis que 1.032 ne sont qu’au premier stade des autorisations.
Les colonies, considérées comme illégales par la communauté internationale, constituent l’un des obstacles majeurs à la paix entre Palestiniens et Israéliens.
The post Cisjordanie : l’Espagne appelle à la cessation de l’expansion des colonies appeared first on .
ADRAR – Le coup d’envoi des festivités de la 12ème édition du festival national culturel d’Ahellil a été donné vendredi à Timimoun (220 km au nord d’Adrar) en hommage au défunt Moulay Slimane Seddik, connu sous le nom de « Moulay Timi ».
Cette initiative traduit une reconnaissance aux efforts déployés durant toute sa vie par le défunt au service du patrimoine de la région et son accompagnement de chercheurs dans leurs travaux, à l’instar de l’académicien Mouloud Mammeri et autres chercheurs et gens des médias.
Présidée par les autorités locales, la cérémonie d’ouverture qui s’est déroulée en présence du Secrétaire général du Haut commissariat à l’Amazighité (HCA), Si El-Hachemi Assad et de la présidente de la déléguée nationale de la promotion et de la protection de l’enfance (ONPPE), Meriem Chorfi, a été marquée par un défilé folklorique, haut en couleurs et sonorité, des troupes participantes à la satisfaction d’un public nombreux venu se délecter des exécutions de bonne facture artistique.
Ce rendez-vous culturel annuel (28-30 décembre) s’assigne, entre-autres objectifs, la préservation de ce legs culturel séculaire, classé patrimoine immatériel mondial par l’UNESO, sa promotion et l’encouragement des associations culturelles émergentes en ce genre au niveau de la région du Gourara, a indiqué le commissaire du festival.
Selon M. Djouli, cette manifestation culturelle verra l’organisation des soirées artistiques animées par 24 groupes activant dans des association d’Ahellil, outre des conférences intellectuelles qui seront encadrées par des enseignants intéressés par ce patrimoine.
Aussi, une autre conférence intellectuelle sera programmée en marge de ce festival qui sera animé par des académiciens et des chercheurs.
Cette conférence qui sera organisée au niveau de la bibliothèque publique à Timimoune évoquera plusieurs questions relatives aux différents aspects de ce patrimoine amazigh
The post Adrar : début de la 12e édition du Festival national culturel d’Ahellil à Timimoun appeared first on .
ALGER – La Banque africaine de développement (BAD) mobilisera plus de 7 milliards de dollars sur les marchés financiers pour investir dans les économies africaines en 2019, a indiqué la BAD, dans un communiqué publié sur son site web.
Le Conseil d’administration de la BAD a approuvé le programme d’emprunt de l’institution, pour 2019, à hauteur de 7,24 milliards de dollars sur les marchés financiers, a expliqué la banque panafricaine, en affirmant qu’elle continue de consolider son profil sur les marchés des capitaux afin de disposer de ressources rentables pour financer les projets et programmes dans ses pays membres.
« La Banque a accès à un large éventail de marchés financiers avec une majorité de ses emprunts en dollars américains et en euros, ainsi que des émissions sur d’autres marchés publics tels que le dollar australien et la Livre sterling », a-t-elle fait savoir.
« Première institution financière africaine de développement, la Banque maintient une présence active dans le domaine de l’investissement social, et continue d’être leader dans l’émission d’obligations vertes et sociales », a assuré la BAD.
Ces produits répondent, selon elle, à un besoin croissant d’investissements à impact, lui permettent également de mettre en avant son mandat de développement et de promouvoir une croissance « durable » et « inclusive ».
« La BAD continuera de promouvoir le développement des marchés de capitaux africains en émettant des titres de créance libellés en monnaie locale afin de faciliter le financement de ses opérations en monnaie locale, parallèlement à d’autres initiatives », lit-on dans le communiqué.
« Nous continuons d’améliorer notre visibilité sur les marchés des capitaux afin de fournir des ressources rentables pour financer des projets et des programmes sur le continent africain », a déclaré la trésorière de la Banque, Mme Hassatou N’Sele, assurant que la BAD disposait de solides antécédents, un profil de financement diversifié, des investisseurs à travers le monde, ainsi que les avantages d’une notation AAA pour soutenir fermement le mandat de la Banque.
« La Banque africaine de développement est notée triple-A par toutes les grandes agences de notation internationales et bénéficie de plusieurs solides notations en matière environnementale, sociale et de gouvernance », a affirmé le communiqué, rappelant qu’en 2017, l’institution a déboursé 7,51 milliards de dollars pour financer des projets et programmes dans ses pays membres régionaux, dépassant de 56% l’objectif qu’elle s’était fixée pour les opérations non souverainesarge
The post BAD: mobilisation de plus de 7 milliards de dollars pour investir dans les économies africaines appeared first on .
LE CAIRE – Le NA Husseïn-dey affrontera la formation libyenne du Ahli Benghazi en seizièmes de finale « bis » de la Coupe de la Confédération de football, à l’issue du tirage au sort effectué vendredi dans la capitale égyptienne Le Caire.
Le représentant algérien se déplacera à Benghazi pour jouer le match aller prévu entre le 11 et le 13 janvier 2019 avant d’accueillir son adversaire au stade 5-Juillet (Alger) entre le 18 et le 20 du même mois.
Le NAHD s’est qualifié pour les seizièmes de finale « bis » de la Coupe de la Confédération au détriment des Zambiens de Green Eagles (0-0, 2-1), alors que le Ahli Benghazi avait été éliminé en 16es de finale de la Ligue des champions par les Sud-africains de Mamelodi Sundowns (0-0, 4-0).
Résultats du tirage au sort des seizièmes de finale « bis » de la Coupe de la Confédération de football
Gor Mahia (Kenya) – New Stars Douala (Cameroun)
Al-Ahli Benghazi (Libye) – NA Husseïn-dey (Algérie)
Al Hilal (Soudan) – Mukura Victory (Rwanda)
Nkana FC (Zambie) – FC San Pedro (Côte d’Ivoire)
Coton Sport (Cameroun) – Asante Kotoko (Ghana)
Zesco United (Zambie) – Kaizer Chief (Afrique du Sud)
Stade Malien (Mali) – Petro Atletico Luanda (Angola)
Raja Casablanca (Maroc) – African Stars (Namibie)
Renaissance Berkane (Maroc) – ASC Diaraf (Sénégal)
CS Sfaxien (Tunisie) – Vipers SC (Ouganda)
Zamalek (Egypte) – IR Tanger (Maroc)
Kampala City (Ouganda) – AS Otôho (Congo)
Bantu FC (Lesotho) – Enugu Rangers (Nigeria)
Al-Nasr (Libye) – Faso Salitas (Burkina Faso)
Jimma Aba Jifar (Ethiopie) – Hassania Agadir (Maroc)
Aller : 11 au 13 janvier
Retour : 18 au 20 janvier.
The post Coupe de la CAF: Ahli Benghazi (Libye)-NA Husseïn-dey en 16es de finale « bis » appeared first on .
ALGER – Les brigades de la Police judiciaire (PJ) ont élucidé grâce au Système d’identification et de recherche criminelle (SIRC), 31 affaires criminelles à travers plusieurs wilayas du pays qui se sont soldées par l’arrestation des auteurs de ces crimes, a indiqué vendredi un communiqué des services de Sûreté nationale.
Parmi les affaires traitées, 7 affaires relatives au vol ont été élucidées par les services d’identification de la wilaya de Batna, suivies de 4 affaires de vol, de coup et de blessure volontaires sous la menace d’arme blanche, dans la wilaya de Khenchla, a précisé la source.
Les services d’identification relevant de la Sûreté de Bordj Bou Arreridj et de Chlef ont élucidé, pour leur part, 6 affaires de vol et de trafic de drogues, a ajouté le communiqué.
A ce propos, les éléments des services d’identification de Blida, Tindouf, Sétif, Boumerdès, Alger, Tissemssilt, Tipaza, Oum El Bouaghi, Skikda et Adrar ont pu également résoudre 14 affaires de vol, d’escroquerie et de trafic de drogues.
The post Les services de la Police judiciaire élucident 31 affaires à travers le SIRC appeared first on .
ALGER – Les imams à travers le territoire national ont consacré une partie de leur prêche de vendredi à la sensibilisation des jeunes au phénomène de la migration clandestine, appelant ces derniers à ne pas céder à cette « tentation funeste ».
A cet effet, plusieurs imams ont mis l’accent sur l’importance de faire répandre les valeurs religieuses et morales auprès des jeunes et de les inciter à « se préserver ».
Certains imams ont évoqué ce phénomène étranger à notre religion musulmane qui, ont-ils dit, « bannit de telles pratiques ».
Les imams ont appelé à faire face à ce phénomène, qui entraîne même des femmes et des enfants et endeuille de nombreuses familles algériennes suite à la disparition de leurs enfants au large de la mer.
Le référent religieux avec ses dimensions nationales doit être pris en compte pour « lutter contre les idées extrémistes et apaiser les esprits de la jeunesse algérienne », ont martelé les imams.
Ils ont également appelé les citoyens, particulièrement les jeunes, à ne pas céder aux rumeurs visant à semer la fitna ».
Dans leurs prêches, les imams ont insisté sur l’impératif de « la cohésion et de la compassion », appelant à bannir la division entre les membres de la société ». La situation actuelle « impose à tout un chacun de placer l’intérêt du pays au dessus de toute considération », ont-ils souligné.
Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohammed Aissa avait appelé les imams à travers le territoire national à consacrer une partie de leur prêche de vendredi à la sensibilisation au phénomène de la migration clandestine, tout en prodiguant des conseils aux jeunes pour qu’ils ne « cèdent pas à cette tentation funeste ».
« Cet élan national vise à prodiguer des conseils aux jeunes dans les prêches de vendredi et les halakates organisées dans les mosquées pour qu’ils ne cèdent pas à cette tentation funeste », a indiqué le ministre.
« Les barques de la mort ravissent des enfants à leurs familles pour les jeter à la mer ou leur offrir une vie humiliante dans des centres de rétention à l’étranger », avait-il ajouté se disant ouvert à toute initiative à même d' »éveiller la conscience de la société ».
The post Le prêche de vendredi consacré au phénomène de la migration clandestine appeared first on .