Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales, et de l’Aménagement du Territoire, Noureddine Bedoui a affirmé, samedi à Alger, que plusieurs cas de migration clandestine n’étaient pas liés à des conditions socioéconomiques défavorables, mais plutôt à « la recherche du gain facile et d’une certaine classe sociale ».
« Il convient de préciser que plusieurs cas de harraga ne sont pas liés à des conditions socioéconomiques défavorables, vu les opportunités de travail et d’investissement offertes, mais plutôt à la recherche d’une certaine classe sociale et du gain facile, selon les résultats d’études spécialisées », a indiqué M. Bedoui dans une allocution prononcée à l’ouverture des travaux du Forum national sur le phénomène de « harga ».
Il a rappelé en outre que « ce phénomène a été pris au sérieux par les pouvoirs publics qui ont adopté une politique d’accompagnement des jeunes chômeurs en termes d’accès au monde du travail et de soutien à la création de start-up ou à travers les programmes de soutien aux projets d’investissement ayant permis la réalisation des aspirations de jeunes, en sus des actions de sensibilisation à la participation des pouvoirs publics et de la société civile ainsi que la présentation des efforts des autorités visant l’amélioration de la prise en charge de toutes les préoccupations, notamment le logement et l’emploi ».
« Il est procédé actuellement à une large campagne de sensibilisation aux mécanismes et programmes que prévoit le programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika et contenus dans l’action du gouvernement, et ce à travers l’exposition des modalités permettant de bénéficier des formules d’emploi consacrés aux jeunes et des différents programmes de logement, toutes formules confondus, en consacrant 40% de logements sociaux aux jeunes de moins de 35 ans », a ajouté le ministre.
Il a indiqué également que l’Etat avait pris une série de mesures visant « la création d’un climat propice à l’animation du marché d’emploi, telle que la réduction de l’apport personnel du bénéficiaire au titre de l’investissement (ramené à 1%) et la mise en place d’un système fiscal transitionnel s’étalant à 3 ans, en vertu duquel les micro-entreprises connaissent une transition graduelle de la fiscalité ainsi que la réduction des taux d’intérêt à 100% sur les crédits octroyés aux bénéficiaires à travers le dispositif du microcrédit ».
« Ces mesures incitatives et préventives ont abouti à des résultats positifs dans la lutte et la prévention contre ce phénomène », a affirmé le ministre de l’Intérieur, faisant état de « l’accompagnement des jeunes à travers différents programmes de développement du président de la République, à l’instar de la création de zones industrielles au niveau des wilayas, et de petites zones d’activités dans chaque commune, dynamisation devant être assurée par les jeunes entrepreneurs et les micro-entreprises ».
A ce propos, M. Bedoui a invité les jeunes à « saisir ces opportunités qui s’offrent à eux et bénéficier de tout soutien dans la réalisation des projets », un caractère souligné par le président de la République lors de la conférence Gouvernement-walis, a-t-il soutenu.
« Depuis l’apparition des prémisses du phénomène de migration clandestine, l’Algérie n’a eu de cesse d’oeuvrer à l’endiguer par une série de mesures, d’autant que ce phénomène est liée à la sécurité et à la stabilité de nos concitoyens », a précisé le ministre, mettant en avant l’impératif d' »endiguer ce phénomène dans le cadre d’une coordination gouvernementale constante aussi bien au niveau central que local ».
« L’apparition de nouveaux facteurs et d’autres enveniment, chaque année, le phénomène de harga, auxquels s’ajoutent les développements survenus sur la scène médiatique et le rôle des réseaux sociaux », a-t-il soutenu.
Aussi, M. Bedoui a indiqué que « les efforts déployés par les pouvoirs publics dans le traitement de ce phénomène social multidimensionnel sont à eux-seuls insuffisants et doivent être accompagnés d’une approche multidimensionnelle ».
Les travaux de ce forum, placé sous le thème « l’avenir de nos jeunes, une responsabilité partagée », se poursuivront sous forme de master-class et seront sanctionnés, dimanche, par plusieurs recommandations visant à endiguer ce phénomène.
The post La « harga » liée à la recherche du gain facile plutôt qu’à des conditions socioéconomiques défavorables appeared first on .
Le 19 janvier 1997, une heure après la rupture du jeûne, une voiture piégée explose rue Belouizdad (Alger). 54 citoyens sont tués et 89 autres sont blessés, selon un bilan officiel. Une jeune femme qui a échappé à la mort ce jour là, mais dont la grand-mère âgée de 68 ans a été tuée, nous livre un témoignage bouleversant.
« Ce soir de ramadan du 19 janvier 1997 est ancré à jamais dans ma mémoire, celle de ma famille, ainsi que dans la mémoire de tous les belcourtois.
C’est la première fois depuis 18 ans que j’ouvre mon cœur et que je partage ce douloureux souvenir. C’était un événement tragique. Belcourt a connu beaucoup de morts, presque 200. On a annoncé plus de 50 tués, mais parmi les nombreux blessés, certains succomberont à leurs blessures.
C’était un événement tragique. Je m’en suis sortie miraculeusement. Ma tante aussi. Mais hélas, ma grand-mère, ma Mani adorée y est restée, elle y a laissé la vie. Elle été si belle, elle avait un cœur si bon, si grand… ils nous l’ont volé, oui volé, jeune et en bonne santé. Elle n’été pourtant ni politicienne, ni journaliste, elle aimait la vie et la joie de vivre…
Paix à leurs âmes, nous ne les oublierons jamais, même si personne ne parle de ces innocents…
Et si je partage ce témoignage, aujourd’hui, ce n’est certainement pas par hasard ! Non, pas par hasard. J’espère que les amnésiques qui ont soudainement oublié ce que l’Algérie a subi vont vite se réveiller. Nous n’allons certainement pas laisser l’histoire se répéter. Le mal qu’ils nous ont fait vivre ne se répétera jamais ! Nous sommes nombreux à avoir gardé notre mémoire saine, nous sommes nombreux à avoir pleuré nos morts et nos chers ! Aux noms des âmes perdus tragiquement et au nom de l’humanité, nous ne baisserons jamais les bras…
Paix à ton âme … on ne t’oubliera jamais, Rabi yerahmek ».
The post Attentat de Belouizdad: 22ème anniversaire de la mort de Mme AMOUR Fatma Zohra appeared first on .
La général-major à la retraite Ali Ghediri a annoncé samedi 19 janvier sa candidature à la présidentielle d’avril 2019.
« J’ai décidé de relever le défi en me portant candidat à l’élection présidentielle d’avril 2019 », annonce le militaire à la retraite dans une déclaration rendue publique ce samedi.
«L’Algérie traverse une phase décisive de son histoire. Au désespoir que vit notre peuple, notamment sa jeunesse, s’ajoute la déliquescence de l’Etat et de ses institutions. Le constat est amer : Etat de non-droit, vieillissement de sa composante humaine, injustice sociale, rente érigée en système de gouvernance, népotisme et corruption gangrènent notre société. L’insécurité qui menace quotidiennement les Algériens est aggravée par le trafic et la consommation de drogues de plus en plus dures. L’autoritarisme empêche l’émergence d’une réelle démocratie. Le clanisme et la prédation ont érigé le régime politique en oligarchie», relève-t-il d’emblée.
Et de poursuivre : «Face à cette situation qui menace l’existence et la cohésion nationales, la résignation n’est pas une fatalité en soi. Un sursaut salutaire est possible».
«La rupture sans reniement»
Ainsi donc, pour Ali Ghediri «ce défi majeur ne peut se réaliser sans l’adhésion et l’implication du peuple. Il consiste en une remise en cause, sans tabou, de l’ordre établi, tant les conditions actuelles sont des plus complexes et des plus périlleuses pour la nation. Il s’inscrit, pour sa réalisation, dans le cadre d’un projet novateur, qui s’articule autour d’un objectif : la rupture sans reniement».
Il ajoute à ce propos que «la rupture est certainement un mot fort, qui fait peur aussi bien à la minorité qui, s’accommodant de ce système – ou de ce qui en reste –, œuvre pour le perpétuer, qu’à l’écrasante majorité qui, tout en appelant le changement de tous ses vœux, en redoute les retombées».
A cette majorité, souligne-t-il, «je dis que, ce dont ils doivent avoir légitimement peur, ce sont les maux générés par ce système qui poussent nos enfants à fuir leur pays et qui empêchent ce peuple d’y vivre sereinement dans le confort et le bien-être et de profiter pleinement des richesses qu’il est potentiellement en mesure de leur offrir».
«Edifier la Deuxième république»
Le général à la retraire considère aussi que «la rupture s’impose à nous, si nous voulons aller de l’avant. La question se pose en termes existentiels pour la nation, pour renouveler le serment avec ceux de novembre et sauver l’Algérie pour laquelle tant de sacrifices ont été consentis».
Cette rupture, explique—t-il, «je la perçois comme démarche salvatrice. Je la scande comme voie, non pas pour choquer les esprits, mais parce que j’estime qu’elle est, au point où en est le pays, le seul remède contre les maux qui rongent notre nation, notre société et nos institutions entamant dangereusement notre base sociale et mettant en péril réel la République».
Toujours s’agissant de la rupture, Ali Ghediri l’envisage «sans reniement des valeurs de Novembre. De ces dernières, nous en sommes tous jaloux. Elles ont façonné la nation algérienne et l’Etat national naissant et donné sens à notre ‘’moi’’ national !
Il poursuit : «Non seulement, ensemble, nous les restaurerons, parce que la déviance de la trajectoire novembriste les a ternies, mais nous en ferons le socle éternel de la Deuxième République que nous nous promettons d’édifier, pour mettre définitivement l’Algérie en phase avec ce que je pense être sa destinée».
«Ma carrière a été une construction personnelle»
Dans sa déclaration, Ali Ghediri a également abordé sa carrière personnelle. «Général-major à la retraite sur ma demande depuis 2015, ma carrière a été une construction personnelle, sur la base de convictions personnelles profondes, ancrées dans mon subconscient par le milieu nationaliste et ouvrier qui a été celui de mon enfance et de ma jeunesse», note-t-il.
«Ces convictions ont, non seulement orienté mes choix fondamentaux, mais elles m’ont permis de trouver dans les rangs de l’Armée Nationale Populaire, que j’ai servie pendant quarante-deux ans, le terreau qui a raffermi, en mon for intérieur, l’amour de la Patrie et le sens du devoir envers la nation», ajoute-t-il, tout en précisant que «durant ma carrière militaire, j’ai vécu de mon salaire comme unique source de revenus, comme, présentement, je vis de ma seule pension de retraite et, j’en tire orgueil et satisfaction».
Enfin, et s’agissant de la Deuxième République, «qui représente le coeur de notre projet politique», Ali Ghediri assure que «nous la rebâtirons sur la base d’une réelle refondation démocratique et d’une totale reconfiguration institutionnelle dans le moule d’un projet de société moderniste, dont le peuple aurait participé à la définition de la philosophie autant qu’à la mise en œuvre».
«Ce projet ne saurait se réaliser sans l’indispensable jonction du peuple avec son élite. En cela, les ‘’Six immortels’’ nous ont montré le chemin. Ils ont rêvé d’une Algérie libérée et indépendante. Elle l’est. Nous rêvons d’une Algérie réellement démocratique, fière, prospère et moderne. Elle le sera. Tel est notre pari», conclut-t-il.
The post Ali Ghediri officiellement candidat aux élections présidentielles ! appeared first on .
The post Sonatrach : Vers l’augmentation des salaires de certains employés ! appeared first on .
The post Education: L’intersyndicale appelle à une grève nationale lundi ! appeared first on .
The post Bouguerra Soltani n’écarte pas sa candidature ! appeared first on .
The post 29 millions de dollars de pertes au port d’oran : 6 cadres et 2 syndicalistes devant la justice appeared first on .
The post ORAN : Plus de 23 quintaux de kif saisis en 2018 appeared first on .
L’incendie d’un oléoduc dans le centre du Mexique a fait 66 morts et 76 blessés, a indiqué samedi le gouverneur de l’Etat de Hidalgo ou s’est produite la catastrophe, Omar Fayad.
Un précédent bilan a fait état de 20 morts et de 71 blessés.
« Le bilan que nous avons obtenu il y a quelques minutes à peine est de 66 personnes mortes et 76 personnes blessées », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse à Mexico, ou il a rencontré le président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador.
Il s’agit d’une des plus meurtrières explosions d’oléoduc dans le monde depuis 25 ans.
L’incendie s’est produit dans la localité de Tlahuelilpan, à environ 100 km au nord de Mexico. Une fuite sur un oléoduc avait attiré des dizaines d’habitants venus récupérer du carburant munis de seaux et jerrycans.
Deux heures après la fuite « nous avons appris qu’il y avait eu une explosion », a expliqué le gouverneur. « Les flammes étaient en train de dévorer tout ce qui se trouvait aux alentours » de l’oléoduc.
Une enquete sera menée sous l’autorité du procureur général, a déclaré pour sa part Lopez Obrador, qui s’est rendu sur les lieux samedi matin. « On sait que c’était un prélèvement clandestin et que les autorités compétentes s’en occupaient déjà », a indiqué Omar Fayad, à la télévision locale Foro TV.
The post Incendie d’un oléoduc au Mexique: le bilan monte à 66 morts appeared first on .
Le président du mouvement El Islah, Fillali Ghouini, a estimé samedi, à Oran, que la convocation du corps électoral pour les prochaines s présidentielles constitue « un indice fort de la stabilité institutionnelle du pays et une preuve que le Président Bouteflika veille au déroulement des échéances électorales dans leurs délais ».
Intervenant lors d’une conférence des cadres de son parti, Filali Ghouini a ajouté que le mouvement El Islah considère la convocation du corps électoral comme « une preuve que le Président de la république veille à respecter les rendez-vous électoraux dans leurs délais fixés par la Constitution et dans un cadre ordinaire et général ».
Le Président Bouteflika a signé, vendredi, un décret présidentiel portant convocation du corps électoral en prévision des prochaines élections présidentielles prévues le 18 avril prochain.
Dans son intervention, Filali Ghouini a réitéré la position de son parti au sujet des prochaines présidentielles, en appelant, une nouvelle fois, le Président Bouteflika à se porter candidat, estimant que le nouveau mandat sera « une phase d’union et de force, celle du parachèvement des projets et une étape de renforcement et d’approfondissement des réformes politiques, économiques et sociales ».
Il a également souligné que sa formation défend la paix et la stabilité du pays et « oeuvre pour le parachèvement de la réconciliation nationale afin d’atteindre tous ses objectifs et instaurer une harmonie entre les acteurs sur la scène nationale pour relancer le pays et achever son développement dans tous les secteurs et dans toutes les régions du pays ».
Pour garantir la réussite du rendez-vous du 18 avril prochain, le président d’El Islah a appelé à une forte participation de la classe politique « afin que le pays franchisse cette période délicate marquée par des risques qui la menace et faire face aux défis multiformes ».
Dans ce contexte, Filali Ghouini a salué les réalisations accomplies dont le retour de la paix et de la stabilité.
Par ailleurs, le mouvement El Islah organise, prochainement, une conférence de ses cadres en préparation aux prochaines élections présidentielles, a annoncé son président dans son allocution.
The post Ghouini: la convocation du corps électoral est un indice fort de stabilité institutionnelle appeared first on .
Un orchestre symphonique amazigh sera créé « prochainement », a indiqué samedi à Tizi-Ouzou, le ministre de la culture, Azzedine Mihoubi.
« Nous avons décidé entre autres projets qui contribuent à la promotion de la culture amazigh de créer un orchestre symphonique qui se chargera de reprendre, sous forme philarmonique, les œuvres des grands artistes amazigh », a souligné, M. Mihoubi en inspectant certains projets de son secteur dans la wilaya.
Cet orchestre sera conduit par le maestro Amine Kouider, directeur de l’Orchestre symphonique national, et composé essentiellement de musiciens de la région qui connaissent déjà ces œuvres.
Citant plusieurs figures de la chanson amazigh ayant « une notoriété mondiale », à l’instar de Slimane Azem, Nouara, Akli Yahiatène, Matoub Lounes, Idir, Taleb Rabah et Lounis Ait Menguellet, le ministre a considéré que leurs œuvres gagneraient d’avantage à être « traduite en symphonies ».
En outre, et s’agissant des projets de création d’un conservatoire de musique et d’un Opéra dans la wilaya, le ministre a assuré que ces projets sont « gelés et non annulés ». « Il y a certains projets qui sont gelés mais non pas annulés et qui seront réalisés dès que les moyens financiers le permettent » a-t-il indiqué, à ce propos.
The post Création prochaine d’un orchestre symphonique amazigh appeared first on .
Plusieurs réserves émises par la Commission de visionnage du Centre national d’études et de recherches sur le mouvement national à propos du film « Ben M’hidi » de Bachir Derrais ont été levées, a fait savoir samedi à Tizi-Ouzou, le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi.
« Plusieurs réserves émises sont en train d’être prises en charge et le passage à l’étape d’exploitation du film est en bonne voie », a souligné M. Mihoubi.
Il a dans ce sens ajouté: « il est temps de mettre fin à cette polémique qui ne bénéficie ni au cinéma ni à Ben M’hidi que nous ne devons pas laisser otage de ces polémiques sans intérêt ».
S’exprimant lors d’un point de presse à l’occasion du premier coup de manivelle du film « Si Mohand Ou M’hand » à Djamaa N’Saridj, (25 Km à l’Est de Tizi-Ouzou), M. Mihoubi a expliqué que les ministères des Moudjahidines et de la Culture n’ont rien à avoir dans ce « différend artistique entre la commission de visionnage et le réalisateur ».
Les deux ministères qui financent le film, a-t-il précisé, « ont juste demandé au réalisateur qui a voulu imposer une vision particulière, le respect du scénario initial convenu entre les deux parties ».
Le Centre national d’études et de recherches sur le mouvement national qui a la charge de suivre les films et documentaires traitant de la guerre de libération nationale (1954-1962) avait émis des réserves sur le contenu du film et le traitement.
S’agissant du film sur Si Mohand Ou M’hand, du réalisateur Ali Mouzaoui, le ministre a indiqué que son département mettra tous les moyens nécessaires, logistiques et financiers pour la réalisation de ce projet qui, a-t-il dit, participe au travail de « sauvegarde de la culture et de la mémoire historique de l’Algérie ».
Dans le même sillage, Il a estimé que « le legs de Si Mohand Ou Mhand, qui a laissé son empreinte dans chaque coin du pays, mérite de bénéficier de l’intérêt des chercheurs et des historiens ».
Pour sa part, M. Mouzaoui a considéré que la réalisation de ce film « consacre le couronnement d’une volonté politique de promotion de la culture amazighe et d’une soif culturelle de production », soulignant que « Si Mohand Ou Mhand a été un communicateur qui a porté la voix et la détresse du peuple algérien ».
Le ministre qui a visité plusieurs projets relevant du secteur de la culture comme le cinéma Djurdjura et le théâtre de verdure qui seront livrés au courant de cette année, a relevé « le dynamisme culturel » qui caractérise la wilaya de Tizi-Ouzou, appelant les élus locaux à « accompagner cette dynamique qui rayonne au-delà de ses frontières et du pays ».
The post Tizi-Ouzou-Film sur Ben M’hidi: plusieurs réserves levées appeared first on .
Le président du parti Tadjamou Amel Al-Djazaïr (TAJ), Amar Ghoul a appelé, samedi à Alger, à la l’élaboration d’une charte de déontologie de la pratique politique pour « hisser le niveau de l’activité politique », à travers la présentation d’opinions et de programmes « loin de toute invective ».
Lors d’une conférence de presse animée au terme de l’inauguration du bureau communal de sa formation politique dans la commune de Bordj El Kiffan, Amar Ghoul a affirmé que son parti « demeure fidèle à ses principes nationaux et reste attaché à l’élaboration d’une charte de déontologie pour la pratique politique ».
Dans ce cadre, M. Ghoul a réitéré « l’attachement du parti à l’idée de la tenue d’une conférence de consensus national pour unifier les rangs des enfants de la patrie et dépasser tous les différends à travers l’appui au dialogue constructif et la mobilisation de tous pour relever les défis actuels ».
Ces enjeux exigent « le resserrement des rangs des enfants de la nation », a lancé le président de TAJ qui souhaite que cette conférence soit organisée juste après la présidentielle du 18 avril prochain pour construire l’Algérie et la rendre pionnière dans divers domaines ».
Par ailleurs, M. Ghoul a salué la convocation du corps électoral par le président de la République, réitérant le soutien constant et permanent de son parti au président de la République pour poursuivre la direction du pays de façon à préserver les acquis et les réalisations accomplies, notamment en ce qui concerne la réconciliation nationale et le rétablissement de la sécurité et de la stabilité et à poursuivre les réformes pour relancer le développement dans différents domaines ».
Par ailleurs, M. Ghoul a appelé les militants de son parti à « se rapprocher des citoyens, noter leurs préoccupations et les soulever aux autorités concernées ».
The post Ghoul appelle à l’élaboration d’une charte de déontologie pour une meilleure pratique politique appeared first on .
La justice a ouvert en 2018 près de 200 affaires relatives à l’émigration clandestine donnant lieu à la comparution de 344 individus et à 24 condamnation, a révélé samedi à Alger le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du Territoire, Noureddine Bedoui.
« Nous avons donné des instructions fermes aux services de sécurité d’intensifier les enquetes et de focaliser les efforts sur le démantèlement des réseaux de trafic et la lutte contre les passeurs, en donnant la priorité à ces actions dans leurs plans opérationnels », a indiqué M. Bedoui à l’ouverture des travaux du Forum national sur le phénomène de l’émigration clandestine par la mer (ou harga).
Il a affirmé, à ce propos, que « ces efforts ont permis, durant l’année 2018, le démantèlement de plusieurs réseaux, l’ouverture de près de 200 affaires par la justice, la comparution de 344 individus devant les juridictions compétentes, dont 24 ont été condamnés à des peines d’emprisonnements fermes pour plusieurs années ».
Soulignant que « ces efforts se poursuivent pour identifier davantage de passeurs », le ministre a expliqué que « de tels actes ne sont pas fortuits mais soigneusement et minutieusement planifiés par des individus, qui font, malheureusement, dans cette odieuse activité ». »Les investigations des services compétents montrent que parmi les facteurs de la montée de ce phénomène, l’existence d’individus qui organisent minutieusement ces voyages en effacant toutes traces de leurs actes criminels », a-t-il précisant ajoutant qu’il s’agit d’individus « qui ont vendu leur conscience pour le profit au point ou la vie de ces jeunes ne compte plus pour eux ».
Le ministre a évoqué, en outre, la découverte de « choses honteuses et révélatrices du caractère abject de ces trafiquants et à quel point ils sont dénués de toute notion d’humanisme » en poussant vers la mort des jeunes innocents et inconscients du danger à bord d’embarcations hasardeuses et un matériel non conformes aux normes de sécurité.
Dans ce contexte, M. Bedoui a appelé tous les corps de sécurité à « consentir davantage de sacrifice et d’efforts afin de mettre en échec les plans ourdis ici et là pour faire miroiter aux jeunes ce rêve illusoire et fatal, dont les héros sont des criminels en quete de profit au détriment de la vie de nos jeunes fourvoyés », promettant à ces individus que leurs méfaits ne resteront pas sans sanctions et que la justice ne les toléra jamais.
Les travaux de ce Forum de deux jours est une occasion pour étudier ce phénomène dans tous ses aspects, ambitionne d’etre un espace de débat, de concertation et d’échange sur une approche objective et scientifique concernant le phénomène de la harraga.
Ce forum sera également rehaussé par quatre ateliers sur les thèmes de « Sensibilisation, communication et cyberespace : pour une action préventive commune », « Intégration économique des jeunes : de la jeunesse dans le domaine économique : réalités, contraintes et enjeux », « Programmes de jeunesse, de culture et de loisir : entre réalité et aspirations pour une attractivité meilleure », et « Role des organisations de la société civile dans la prise en charge de la jeunesse : travail de proximité, médiation et réseautage ».
The post Emigration clandestine: quelque 200 affaires devant la justice en 2018 appeared first on .
Les assises nationales du tourisme, prévues lundi et mardi au Palais des nations (Alger), constituent une occasion idoine pour évaluer et enrichir le Schéma directeur d’aménagement touristique (SDAT), approuvé en 2008, et dégager une vision prospective à l’horizon 2030, a indiqué un responsable du secteur.
Organisées par le ministère du Tourisme et de l’artisanat, en coordination avec l’Agence nationale de développement du tourisme (ANDT), sous le haut patronage du président de la République, les assises nationales du tourisme constituent « une occasion idoine pour mettre en avant, en toute objectivité, les points positifs et négatifs du SDAT, afin de palier les lacunes et adopter des plans et des programmes susceptibles de promouvoir le tourisme en Algérie, dans le cadre d’une vision prospective basée sur la réalisation des objectifs du développement intégré », a déclaré à l’APS, le directeur général de l’ANDT, Noureddine Nedri.
Larencontre qui verra la participation de quelque 1000 représentants de différents partenaires, professionnels et acteurs permettra également de rechercher les moyens d’adapter ce schéma aux nouveautés enregistrées dans le domaine du tourisme, afin d’asseoir une destination Algérie singulière, diversifiée, durable et attractive ».
Ces assises seront sanctionnées de recommandations « susceptibles de relancer les différentes formules touristiques pour aboutir à une vision future qui tienne compte des importants atouts naturels, civilisationnels, culturels, religieux, historiques et archéologiques que recèle l’Algérie, a-t-il poursuivi.
Rappelant que les assises régionales organisées précédemment au sud, à l’est et au centre du pays, M. Nedri a souligné l’importance des assises nationales pour « la promotion et la diversification de l’activité touristique, en oeuvrant à assurer la qualité, à respecter l’environnement et à construire une destination touristique capable de capter des marchés internationaux, couvrir la demande interne et offrir des prestations de qualité à la hauteur des attentes du client ».
Il a estimé, en outre, que le schéma soumis au débat et à l’actualisation « est un cadre référentiel pour développer le tourisme, élaborer des visions prospectives en la matière et arrêter des mécanismes opérationnelles pour la concrétisation des objectifs de construction de cette destination, à travers la diversification de l’offre touristique nationale et l’élaboration de programmes promotionnels en vue de faire connaître les potentialités touristiques de l’Algérie et encourager l’investissement ».
Les participants à ces travaux devront mettre l’accent, selon M. Nedri, sur l’impératif de « généraliser la numérisation du secteur en termes de gestion de dossiers et de programmes sectoriels pour faciliter les procédures administratives relatives à l’investissement et sur l’importance de consolider l’action commune avec les secteurs concernés, en l’occurrence l’environnement, les transports, la santé, les collectivités locales, la formation et la recherche scientifique ».
L’importance de renforcer la décentralisation de la gestion et de la prise de décision et de veiller à l’application des différents programmes de développement, seront également mis en avant, a-t-il ajouté. Ils devront débattre également des moyens à même de « dynamiser et parfaire l’offre touristique et proposer un cadre juridique et réglementaire le régissant », « la modernisation des établissements de formation relevant du secteur et l’actualisation des programmes pédagogiques » outre « la promotion de la culture touristique dans la société ».
Les travaux se poursuivront au niveau de quatre ateliers consacrés à « l’examen de la révision du schéma en mettant en relief les insuffisances dont souffre le secteur, notamment, la formation à adapter au volume des investissements en cours de réalisation et les moyens de transport à améliorer. L’apport du secteur au PIB a été estimé l’année écoulée à 3%.
Outre le tourisme côtier et thermal, ces ateliers se pencheront, en particulier, sur le tourisme saharien qui intéresse désormais beaucoup de touristes, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, a encore précisé M. Nedri qui évoqué, par ailleurs, le développement des zones frontalières et la généralisation des TIC et leur exploitation au service du tourisme.
Il sera question également de « l’amélioration des prestations touristiques à travers la révision du système de formation spécialisée et sa modernisation pour être au diapason des nouveaux enjeux et de l’adaptation de la législation aux derniers développement et de l’accompagnement des opérateurs afin de hisser ces prestations au niveau des standards internationaux outre la nécessaire réhabilitation des structures hôtelières publiques ».
S’étalant jusqu’au 2030, le SDAT se déroule en deux phases principales, la première étant le lancement effectif du processus de développement du tourisme et la consécration de l’acte de développement à travers la valorisation de la destination touristique, le renforcement du parc d’accueil, la promotion de la qualité, le soutien des maillons de la chaine touristique et l’appui du partenariat avec l’ensemble des secteurs concernés ».
Ce schéma a fixé les grands choix pour asseoir une véritable industrie touristique dans le cadre de la concrétisation de la nouvelle politique du développement touristique visant aménager des espaces d’investissement, promouvoir la destination Algérie, consolider les activités touristiques dans différentes régions du pays en vue de créer un équilibre régional, réaliser le développement et préserver le patrimoine naturel, culturel, civilisationnel et historique et permettre au tourisme de contribuer au développement en tant qu’alternative aux hydrocarbures.
Le SDAT repose sur cinq (05) dynamiques essentielles visant la promotion de l’activité touristique, la valorisation de la destination Algérie, la création d’une sorte de compétitivité, le développement de pôles et villages d’excellence à travers tous le territoire national, la rationalisation de l’investissement, le développement d’un label qualité et le concrétisé sur le terrain en vue de l’amélioration des prestations et le soutien à la formation conformément aux standards internationaux, outre l’appui au partenariat avec tous les secteurs concernés pour promouvoir le tourisme et assurer, de même, le financement permettant la réalisation des projets d’investissement.
The post Assises nationales du tourisme: évaluer et enrichir le SDAT appeared first on .
Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, a indiqué samedi à Alger que 119 corps ont été repêchés et 96 autres personnes sont portées disparues suite à des tentatives d’émigration clandestine (harga) durant l’année 2018.
Dans une allocution prononcée à l’ouverture des travaux du Forum national sur le phénomène de la « harga » (émigration clandestine), le ministre a fait savoir que « durant 2018, les commissions de wilayas en charge du dossier ont enregistré le repêchage de 119 corps, dont la plupart n’avaient pas embarqué à partir des côtes algériennes », déplorant « des cas tristes et douloureux de jeunes, partis discrètement et qui n’ont donné aucun signe de vie depuis ».
Le nombre de ces disparus s’élève à 96 jeunes, a-t-il ajouté, soulignant que « les autorités compétentes œuvrent, sans cesse, à la recherche de ces disparus dans le but de connaitre leur sort et apaiser leurs familles », M. Bedoui a fait état « de dizaines de personnes sauvées en haute mer et empêchées ainsi de mettre leur vie en péril ».
Pour le ministre de l’Intérieur, « ces données qui traduisent l’ampleur et la gravité de la tragédie, devraient mobiliser toutes les forces et volontés pour se pencher sur ce phénomène et les facteurs de son évolution ».
Saluant, dans ce sens, « les énormes efforts déployés par les forces maritimes, les gardes côtes et l’ensemble des corps de sécurité pour « la protection et le sauvetage des jeunes » ainsi que tout le travail fourni pour lutter contre ceux qui sont derrière « les voyages de la mort, le ministre a appelé ces mêmes services à « davantage de sacrifice pour mettre en échec les plans des criminels dont la seule quête est l’argent au détriment de la vie des jeunes fourvoyés ».
Cette rencontre de deux jours, qui constitue une occasion pour étudier ce phénomène « dans tous ses aspects », ambitionne d’être un espace de débat, de concertation et d’échange entre tous les acteurs concernés dans le but d’analyser la situation à travers quatre ateliers sur les thèmes de « Sensibilisation, communication et cyberespace: pour une action préventive commune », « Intégration économique des jeunes: réalités, contraintes et enjeux », « Programmes de jeunesse, de culture et de loisir: entre réalité et aspirations pour une attractivité meilleure », et « Rôle des organisations de la société civile dans la prise en charge de la jeunesse: travail de proximité, médiation et résautage ».
Les participants à ce forum auront, également, à formuler plusieurs recommandations pour la mise en place d’un plan d’action global visant à endiguer ce phénomène.
The post Emigration clandestine : 119 corps repêchés et 96 disparus en 2018 appeared first on .
Le projet hydraulique d’envergure de transfert des eaux albiennes du champ de captage de la région de Béni-Ounif vers cinq commune de la wilaya a savoir Bechar, Kenadza, Abadla, Mechraa Houari-Boumediene et Erg Farradj, sera réceptionné et mis en service dès la fin du mois d’avril prochain, a annoncé vendredi à Bechar, le ministre des eaux Necib Hocine.
‘‘Cet important projet dont les travaux ont été lance au mois de juillet dernier dont le but de la sécurisation de l’alimentation en eau potable des habitants des mêmes collectivités, et qui s’inscrit au titre du programme du président de la république et de la stratégie nationale de mobilisation des eaux souterraines dans l’unique souci de la diversification des ressources d’alimentation en eau potable des populations de ces communes, vise aussi a mettre un terme a la dépendance de leur alimentation en eau du barrage de ‘‘Djorf Ettorba’’, sujet a des réduction de son volume a cause de sécheresses périodique’’, a précisé Necib Hocine en marge de sa visite du site de ce projet.
‘‘Cet important projet, qui vise à assurer une alimentation régulière en eau potable des mêmes communes a été précédé par la concrétisation d’une étude hydrogéologique réalisée par l’Agence nationale des ressources hydriques (ANRH), au titre d’un programme de mobilisation des ressources hydriques souterraines de la wilaya pour répondre aux besoins des populations de la région en eau potable’’, a souligne le membre du gouvernement.
‘‘A ce titre, une enveloppe financière d’urgence de 9,5 milliards DA a été allouée a réalisation afin de permettre le transfert quotidiennement de 30.000 m3 d’eau à partir de dix (10) forages d’une profondeur variante en 400 a 500 mètres, et qui sont tous localisés dans la région de Béni-Ounif, a expliqué le directeur général de l’agence nationale des barrages et des transferts hydrauliques (ANBT)’’.
‘‘Les travaux en cours de cette importante réalisation, confiée à des entreprises nationales, permettra la réalisation a la fin d’avril prochain de 190 km de conduites, de trois (3) stations de pompage et de deux grands réservoirs de 15.000 et 20.000 m3, qui seront alimentés à partir des forages précités’’, ajoute Arezki Beraki, dont l’agence pilote ce même projet.
‘‘Ce projet, qui est scindé en neuf (9) lots pour permettre une intervention plus soutenue des entreprises réalisatrices dans la perspective de sa réception a l’échéance annoncée par le ministre des ressources en eau des moyens humains et matériels très importants ont été déployés dans son site de concrétisation et dans le souci de répondre aux préoccupations des habitants des mêmes communes’’, a indiqué à l’APS, le même responsable de l’ANBT.
Ce projet hydraulique d’envergure qui a été accueillit favorablement par les populations de la région, vient aussi en application des mesures prises en mars 2018 par le ministre des ressources en eau, Hocine Necib, qui a insisté, lors de sa visite de travail dans la wilaya, sur la diversification des ressources hydriques pour l’AEP et ne pas dépendre exclusivement des eaux du barrage de ‘‘Djorf Torba’‘ qui restent une ressource aléatoire, dépendante de la pluviométrie.
‘‘C’est sous le sceau de l’urgence, et suite a la baisse aggravante des eaux du même barrage qu’une dizaine de grandes entreprises ont été consultées par l’ANBT, qui est chargée du pilotage et la gestion de ce projet pris en charge actuellement par huit (8) d’entre elles qui ont été choisies en étant les ‘‘moins-disantes’’ sur leur offre financière, et aussi en fonction de leur expérience dans le domaine de l’hydraulique et pour l’importance de leurs moyens humains et matériels à mettre à contribution pour la concrétisation du projet’’, ont tenu a souligne des responsables nationaux et locaux du secteur des ressources en eau.
Hocine Necib et au cours de sa visite d’inspection de ce projet a en outre décidé le renforcement de sa station de pompage pour permettre le transfert de 45.000 M3 d’eau par jour au lieu et place des 40.000 M3 prévus inégalement et ce dans le seul souci de la satisfaction davantage des habitants en AEP et aussi en prévision de l’extension urbaine de la ville de Bechar ou il est prévu la distribution de plus de 11.000 lots a bâtir au titre de l’auro-construction.
Coup d’envoi des travaux de réalisation d’une station de traitement et épuration des eaux usées.
Le ministre des ressources en eau et à l’occasion de sa visite de travail d’une journée à Bechar a aussi donne le coup d’envoi officiel des travaux de réalisation d’une station de traitement et épuration des eaux usées, (STEP), localisée au sud de cette ville.
Cette STEP destinée à la prise en charge des rejets d’une population de 386.000 habitants, dispose d’une capacité de traitement de 55.584 M3 d’eaux usées par procédé d’épuration boue activée a faible charge, selon la fiche technique du projet dont le cout de réalisation pour un délai de 30 mois est de plus de 5 milliards de DA, dégagé par le secteur des ressources en eau.
L’inscription et la réalisation de cette STEP a pour objectifs la protection de l’oued de Bechar des rejets des eaux de même qualité, les réutilisation des eaux épurées pour les besoins de l’irrigation agricole soit une superficie de 1.250 hectares ,la valorisation de la boue et la lutte contre les maladies a transmission hydrique (MTH), selon des responsables du secteur.
Une partie des eaux épurées sera à l’avenir rejeter dans le même oued, qui ferra a l’avenir l’objet d’un projet de réhabilitation pour en faire un véritable espace de détente et de loisirs des habitants de la ville de Bechar.
Sur le site de ce chantier, le ministre des ressources en eau a pris la mesure d’allouer un montant de 100 millions de DA pour la poursuite des travaux en cours de confortement et réhabilitation de cet espace naturel qui longe sur plus de 17 km la ville du même patronyme.
Le ministre des ressources qui a achevé sa visite de travail d’une journée dans la wilaya par une visite a la station de traitement des eaux du barrage de ‘‘Djorf Ettorba’’,qui a fait l’objet de rénovation pour lui permettre d’augmenter sa production de 40.000 a 45.000 M3 d’eaux destine a l’AEP des villes de Bechar, Kenadza et Abadla, a inspecte auparavant le projet finalise de rénovation de la conduite d’adduction d’eau potable sur 20 km d’Ouakda a Bechar, qui a nécessité un investissement public de plus de 400 millions de DA.
The post Mise en service du projet hydraulique de transfert des eaux de Beni-Ounif vers 5 communes en avril appeared first on .
Une révision exceptionnelles des listes électorales sera ouverte du 23 janvier au 6 février 2019, en prévision de l’élection présidentielle du 18 avril 2019, indique samedi le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire dans un communiqué.
Suite à la signature du Décret présidentiel fixant la date de la convocation du corps électoral au jeudi18 avril 2019, pour l’élection à la présidence de la République, le ministère « informe les citoyens et citoyennes qu’un période de quinze (15) jours de révision exceptionnelle des listes électorales sera ouverte du mercredi 23 janvier au mercredi 6 février 2019, en application de l’article de la loi organique n16-10 sur 25 aout 2016, relative au régime électoral », précise la meme source.
« A cette effet , tous les citoyens et citoyennes non-inscrits sur les listes électorales agés de dix-huit (18) ans révolus le jour du scrutin, soit le 18 avril 2019, sont invités à demander leur inscription sur la liste électorale de la commune de résidence », ajoute le communiqué, précisant que « les électrices et électeurs ayant changé de résidence doivent se rapprocher de leur nouvelle commune de résidence qui prendra en charge la procédure de radiation et d’inscription ».
La demande d’inscription doit etre appuyée par la présentation de deux documents, l’un justifiant l’identité et l’autre justifiant la résidence, souligne la meme source.
Les bureaux de vote chargés des élections au niveau des communes, « sont ouverts tous les jours de la semaine, de 9H 00 à 16h30, précise le communiqué du ministère.
The post Révision exceptionnelle des listes électorales du 23 janvier au 6 février 2019 appeared first on .
La campagne de dénombrement des oiseaux migrateurs, menée par la Conservation des forêts au niveau des zones humides de la wilaya d’Oran, a permis de constater un rejet massif des déchets industriels au niveau du lac Télamine, une zone humide classée Ramsar, a déploré le chef du réseau d’ornithologie régional, relevant de la Conservation des forêts.
‘‘Il nous a été très difficile de rester longtemps sur les lieux, tellement que les odeurs émanant du lac sont fortes. Dans certains endroits, l’odeur suffocante des produits chimiques était difficile à supporter’‘, a indiqué Mohamed Chami, président du réseau pour le dénombrement et de l’observation des oiseaux migrateurs au niveau des wilayas d’Oran, Relizane et Mascara.
Une chimiste, membre du réseau, a été chargée de faire des prélèvements suite à ce constat pour déterminer la nature des produits rejetés dans le lac, a précisé le responsable, ajoutant que les autorités sécuritaires seront saisies pour désigner les responsables de ‘‘cette catastrophe écologique’‘.
Pour sa part, l’ornithologue Ali Mahadji, associé pour la troisième année consécutive aux campagnes de dénombrement, a indiqué, à l’APS, qu’il a été témoin d’une scène où un camion-citerne était venu, il y a quelques jours, au lac pour déverser des produits dont l’odeur et la couleur laissent penser qu’il s’agit de déchets chimiques.
‘‘La situation est beaucoup plus critique cette année’‘, s’est-il alarmé, ajoutant qu’il est insoutenable de rester près du lac, tellement que les odeurs sont fortes.
La sonnette d’alarme sur l’état extrêmement pollué du lac, vers lequel se déversent quelque 80.000 m3 d’eau usées par jour, a été tirée depuis des années. Le projet pour la construction d’une station d’épuration à proximité de ce site naturel a été gelé. Il a été remplacé par une proposition de construire des bassins de décantation.
Beaucoup moins couteuse, la solution des bassins de décantation serait en mesure de dépolluer le lac. Le wali D’Oran, Mouloud Cherifi, avait validé le projet, lors d’une réunion avec les élus de l’APW, mais le projet peine toujours à voir le jour, a-t-on déploré.
The post Les déchets industriels menacent le la biodiversité au lac de Télamine appeared first on .
Cinq (5) narcotrafiquants ont été arretés à Tlemcen et Tissemsilt par des détachements de l’Armée nationale el populaire (ANP) et des éléments de la Gendarmerie nationale, indique samedi le ministère de la Défense nationale (MDN), dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée et, suite à l’opération qui a permis, le 17 janvier 2019, de neutraliser un narcotrafiquant et de saisir (309) kilogrammes de kif traité à Hassi Khabi (3e Région militaire), un détachement de l’Armée nationale populaire a arrêté deux (2) narcotrafiquants, dans la meme zone, tandis que des Garde-frontières et des éléments de la Gendarmerie nationale ont appréhendé, à Tlemcen et Tissemsilt (2e RM), trois (3) narcotrafiquants et aisi (34,5) kilogrammes de kif traité », précise la meme source.
Par ailleurs et à In Guezzam (6e RM), un détachement de l’Armée nationale populaire « a arreté dix-huit (18) orpailleurs et saisi un véhicule tout-terrain, (4) groupes électrogènes, (4) marteaux piqueurs et divers outils d’orpaillage, alors que quinze (15) immigrants clandestins de différentes nationalités ont été interceptés à Adrar (3e RM) et Djanet (4e RM) ».
En outre, et suite à une opération de recherche et de sauvetage, des Garde-cotes « ont réussi à sauver trois (3) personnes coincées près de la plage de Oued Saboun à Skikda (5e RM) ».
The post Cinq narcotrafiquants arretés dans l’Ouest du pays (MDN) appeared first on .