Londres, New York et maintenant Melbourne. La résurgence de Novak Djokovic, sur une table d’opération il y a un an, n’en finit plus: le N.1 mondial s’est offert un septième sacre record à l’Open d’Australie, un quinzième en Grand Chelem, en surclassant Rafael Nadal hier.
L’Espagnol n’a tenu qu’à peine plus de deux heures — 2h04 min exactement, moins de temps que la finale dames la veille (2h27 min) — sur la Rod Laver Arena, concassé par l’infernale machine serbe 6-3, 6-2, 6-3. Jamais auparavant il n’avait sombré en trois sets en finale de Grand Chelem. «Je revois le chemin parcouru ces douze derniers mois… Il y a un an exactement, j’étais opéré (du coude droit). Etre debout devant vous aujourd’hui, et avoir réussi à gagner ce titre, trois titres du Grand Chelem de plus, c’est extraordinaire, a retracé «Djoko».
Je suis sans voix.» Un rapide retour en arrière permet de mesurer combien le redressement est colossal. Il y a un an, Djokovic (31 ans) était sur le point de se faire opérer du coude droit dans la foulée de son élimination en huitièmes de finale de l’Open d’Australie (par Chung) et avait le moral dans les chaussettes, entre crise de confiance et de motivation larvée. Fin juin, après avoir quitté Roland-Garros moribond, il était même éjecté du top 20, pour la première fois depuis près de douze ans.
Djokovic double Sampras
Il était pourtant sur le point de recouvrer ses esprits et sa plénitude physique, lui qui avait renoué au printemps avec l’entraîneur de tous ses succès, le Slovaque Marian Vajda, après un an de séparation: depuis l’été dernier, il s’est montré irrésistible dans les grandes occasions, triomphant successivement à Londres, New York, puis Melbourne. Resté bloqué deux ans, entre 2016 et 2018, son compteur de titres en Grand Chelem s’emballe depuis six mois. Avec une quinzième couronne, Djokovic dépasse l’Américain Pete Sampras (14) et s’installe seul au troisième rang des joueurs les plus titrés en Grand Chelem. Nadal, lui, en reste à dix-sept trophées majeurs, à trois unités du record détenu par Roger Federer.
Le Serbe devient aussi le premier à répéter trois fois une série d’au moins trois sacres d’affilée en tournois majeurs (déjà 3 de suite entre 2011 et 2012 et 4 de suite entre 2015 et 2016). Sur la Rod Laver Arena hier, même Nadal n’a pu que surnager. Breaké d’entrée, l’Espagnol de 32 ans n’avait marqué qu’un seul point après trois jeux. Jamais il n’est parvenu à installer un combat avec Djokovic. Etouffé par la régularité sans faille de son adversaire — seulement neuf fautes directes ! —, coupable aussi, face au mur serbe, de fautes beaucoup plus nombreuses qu’à l’accoutumée, en particulier sur son arme n°1, le coup droit.
Nadal positive
Illustration de la domination sans partage du n°1 mondial : Nadal a dû patienter 1h45 min pour obtenir, en vain, son unique balle de break du match ! «C’est un des meilleurs matchs, si ce n’est le meilleur, que j’ai joués en finale de Grand Chelem», a estimé «Djoko». Nadal avait pourtant impressionné tout au long de la quinzaine australienne, porté par un service remodelé. Pour la première fois à Melbourne, il avait même rallié la finale sans laisser échapper le moindre set. Malgré la sévérité de la défaite, le Majorquin, qui faisait à l’Open d’Australie son retour en compétition officielle après quatre mois hors circuit, la faute à une panoplie d’ennuis physiques, a préféré positiver.
«J’ai traversé des moments difficiles l’année dernière, j’ai dû abandonner ici (en quarts de finale contre Cilic), je n’ai plus joué un match après l’US Open (abandon en demi-finale)… Même si ce n’était pas mon soir, c’est très important pour moi d’en être où j’en suis alors que je reviens de blessures», a souligné «Rafa». Djokovic continue décidément de lui résister sur dur: il ne l’a plus battu sur cette surface depuis plus de cinq ans (US Open 2013). Et Melbourne s’entête dans le rôle du tournoi du Grand Chelem qui réussit le moins à Nadal. C’est le seul qu’il n’a apprivoisé qu’une fois, il y a dix ans.
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Certes, d’importants efforts ont été déployés dans le domaine des transports des personnes et des marchandises, transports routiers et ferroviaires inter-villes, inter-wilayas et entre l’espace urbain et l’espace rural.
Selon le rapport établi par la Direction des transports, le territoire de la wilaya de Aïn Defla est desservi par 220 lignes dont dont 57% à destination du monde rural, 26% assurent le transport intercommunal, 12% inter-wilaya et 5% dans l’espace urbain.
Le transport est assuré par 1 080 opérateurs au moyen de 1 205 véhicules tous types confondus, soit une offre de 31 479 sièges.
Selon la même source, sur instruction du chef de l’exécutif de la wilaya pour désenclaver les zones déshéritées, la Direction des transports a octroyé 106 nouvelles autorisations d’exploitation pour 45 lignes afin de desservir18 communes soit une capacité de transport globale de 2 754 places.
S’agissant du transport de personnes inter-wilaya, Aïn Defla dispose de 207 cars exploités par 163 opérateurs pour les liaisons avec les 5 wilayas environnantes, totalisant une capacité de transport de 6 175 places par rotation, et ce, en plus de 200 cars venant d’autres wilayas ou y allant et qui transitent par le chef-lieu de wilaya, Aïn-Defla.
En outre, indique la Direction des transports, on a assisté à un rajeunissement de l’âge des véhicules de 10 ans d’ancienneté à 7 ans.
En complément de ces moyens viennent s’ajouter, le transport public pour le transport scolaire et celui des personnels, ainsi que le transport collectif privé pour le transport universitaire et des personnels, l’ensemble avec 311 cars exploités par 112 opérateurs avec une offre de transport de 12 300 places.
On mentionnera aussi le réseau de transport par taxis. Pour ce type de transport, le nombre d’autorisations d’exploitation sur le territoire de la wilaya a atteint 3 408 unités après avoir été de 1 350 en 2015, soit une augmentation de 2 057 unités, et ce, après l’attribution de 1 467 nouvelles autorisations au bénéfice des anciens moudjahidine et leurs ayants droit sur autorisation du wali.
La wilaya de Aïn Defla est traversée par 92 km de voie ferrée dont 53 km en double voie (Oued Fodda-Khemis Miliana), le dédoublement de l’autre segment Khemis Miliana-El Affroun soit 55 km est en cours de réalisation avec un taux d’avancement de 85 % atteint à la fin du mois de novembre dernier
Cependant, malgré toutes ces dispositions, il n’en demeure pas moins que dans certains secteurs, les populations souffrent de l’isolement parce que les moyens de transport sont trop insuffisants voire inexistants.
Tel est le cas de la daïra de Bathia avec ses 2 communes Belaâs et El Hassania, situées à l’extrême sud-ouest de la wilaya, distantes du chef-lieu de wilaya de 60 à 80 km. Selon des élus de ces 3 communes, le transport public est pratiquement inexistant en dehors de quelques cars pour le transport scolaire. Pour le directeur des transports, ce sont des segments boudés par les transporteurs privés parce que situés en zones désenclavées. C’est aussi le cas de la localité de Talaouine, située à l’extrême est de Boumedfaâ dans la zone limitrophe avec la wilaya de Médéa, une localité où le transport est rarissime pour ne pas dire inexistant.
Mais là où les conditions de transport sont les plus déficientes, c’est au niveau des gares routières. Celle qui est la plus repoussante et qui ternit l’image du chef-lieu de wilaya est celle de Aïn Defla. Sur le plan organisationnel, c’est l’anarchie, absence totale de signalisation, tant verticale qu’horizontale, chaussées dégradées et défoncées, les taxis qui stationnent sur l’esplanade, des toilettes payantes mais qu’il faut éviter de passer tout près à cause du manque d’entretien et d’hygiène avec des écoulements douteux qui ruissellent sur les trottoirs, des gargotes repoussantes de saleté autour desquelles bourdonnent des essaims de mouches surtout l’été, des tas d’immondices en permanence à l’arrière, des souvenirs de trottoirs devenus des pistes impraticables boueux en hiver et poussiéreux l’été.
En un mot, ce semblant de gare routière est indigne d’une ville encore plus d’un chef-lieu de wilaya.
Il faut dire qu’au niveau des gares routières d’El Attaf et de Khemis Miliana, l’image est identique.
Questionné au sujet de l’état dans lequel se trouvent ces espaces qui n’enchantent ni l’habitant ni le passager, le directeur des transports de la wilaya nous dira : «L’Etat se désengage de ces structures et n’en construit plus, désormais, la porte est ouverte à l’investissement privé à qui des facilités seront accordées» mais ces investisseurs ne se bousculent pas au portillon.
Pourtant, ces gares ont pour origine de propriété les communes, et les adjudicataires ont bien signé des contrats et un cahier des charges qu’ils doivent respecter, certes, mais qui assure le suivi et le contrôle de l’application des clauses contenues dans ces contrats et cahiers de charges ? Qui sont donc ces adjudicataires qui bénéficient du silence des instances concernées ? Des questions qui ne trouvent pas de réponses auprès des élus responsables.
Pour l’heure, cet état des lieux perdure et les citoyens en pâtissent.
Cependant, quand on voit les gares routières des wilayas voisines, Chlef ou Blida, où le voyageur bénéficie de tous les conforts, où il se sent respecté, il y a de quoi être jaloux.
Karim O.
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Après le sit-in observé, il y a quelques semaines devant le siège de la Wilaya, par les marchands ambulants interdits d’installer leurs étals au marché hebdomadaire qui se tient chaque lundi, à oued Tatareg, dans la périphérie de la ville de Boumerdès, les protestataires sont revenus en plus grand nombre.
Cette fois, ils désignent la source de leurs maux. «On nous a expulsés de ce terrain convoité par des puissants. Il est convoité par Madame Dalila et compagnie pour construire une clinique privée alors qu’il fait vivre plus de 1 500 familles. Comment se fait-il qu’après l’interdiction qui nous a été signifiée, notre marché a été occupé juste après par les bus de Tahkout», dira en colère M. M. la trentaine qui a été bruyamment approuvé par ses camarades. Selon ce dernier, l’administration leur a affecté un endroit à l’est de la ville, le long de la RN24, un terrain situé sur le territoire de la commune de Thénia, mais ce même terrain ne leur convient pas « et puis nous avons trouvé des citoyens porteurs d’autorisations pour s’installer sur les mêmes parcelles », précise M. M.
A cette occasion, les protestataires ont fustigé les autorités de la commune de Boumerdès qui affirment que ce marché ne leur rapporte que 2 000 dinars par semaine. C’est l’un des arguments avancé par la commune pour fermer le souk du lundi. «Nous payons chaque semaine entre 300 et 500 DA, selon l’ampleur de la superficie occupée par chacun de nous. Multipliez ces sommes par 1 500 marchands et vous aurez le montant que ce marché rapporte à la commune.
L’APC n’a qu’à enquêter auprès de ses employés puisque c’est elle qui le gère.» Au moment de notre entretien avec les manifestants, leurs représentants sont reçus par des responsables du cabinet du wali. A noter le déploiement de policiers en nombre, mais restés discrets. Quelques policiers s’occupaient à libérer le passage en usant de diplomatie.
Abachi L.
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Un bon nombre d’oiseaux d’eau migrateurs a été relevée en ce mois de janvier 2019 dans les zones humides de la région de Relizane, en dépit des conditions adéquates à la migration, a-t-on appris du conservateur des forêts de la wilaya.
Le nombre de ces oiseaux a atteint cette année 5 775, selon les responsables du recensement hivernal international qui expliquent ce fait par les conditions favorables au niveau de toutes les zones humides sur le parcours de migration permettant aux oiseaux d’eau de se stabiliser dans des zones avant d’arriver à celles de Relizane.
Dans le cadre de ce recensement, 14 familles d’oiseaux d’eau migrateurs ont été recensées représentant 45 espèces dont 17 d’oiseaux d’eau protégées en Algérie et d’autres provenant de la chasse, en plus de l’existence de certaines espèces figurant dans la liste rouge de l’Union internationale de préservation de la nature pour parer contre leur extinction, selon la Conservation des forêts.
A la faveur des conditions adéquates à la migration dans les zones humides de Relizane, l’équipe de recensement de la Conservation des forêts a enregistré la migration de quatorze nouvelles espèces d’oiseaux d’eau vers Sabkhet Ben Slimane, Merdjat Sidi Abed, située sur le territoire des communes de Merdjat Sidi Abed, Saada et Gargar.
Pour rappel, la wilaya de Relizane dispose de quatre zones humides que sont la grande Sebkha de Ben Slimane relevant de la commune d’Oued Djemaâ, Merdjat Sidi Abed dans la daïra d’Oued R’hiou, Saâda relevant de la compétence de Sidi M’hamed-Benaouda et Gargar de la commune de Lahlaf qui revête une importance nationale.
A. Rahmane
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Le projet de 400 logements AADL transféré en formule CNEP-IMMO dans le site de Mezghiten dans la commune de Jijel traîne toujours en dépit des engagements du ministre de l’Habitat et de la Ville Abdelwahid Temmar lors de sa visite à Jijel en décembre dernier.
Ce programme qui s’inscrit dans le cadre de l’AADL 1 dont les souscripteurs ont payé la première tranche en 2002 est un interminable feuilleton mexicain, qui n’a démarré qu’en 2008 soit un retard de 6 ans, signe d’une gestion hasardeuse des services concernés. L’un de souscripteurs nous a affirmé que ce projet a connu de multiples arrêts et des résiliations avec certaines entreprises chargées de la réalisation de certains blocs . Notre interlocuteur, qui en compagnie de 400 souscripteurs essentiellement des fonctionnaires, a ajouté que ce programme a été transféré vers la formule Cnep-immo en vue d’accélérer sa réalisation mais en vain en dépit des engagements des responsables locaux.
«Contre toute attente, la Direction régionale de Immo-Cnep dont le siège se trouve dans la wilaya de Béjaïa envisage de changer encore une fois la formule de ce logement qui était en location-vente en formule logement promotionnel aidé (LPA) en demandant aux souscripteurs s’ils vont recourir au crédit ou ils vont payer cash leurs appartements », a souligné notre interlocuteur, enseignant de son état, qui attend désespérément son logement depuis belle lurette et faute de quoi, il est locataire chez un particulier au prix fort . Il y a lieu de rappeler que les souscripteurs ont mené une série de mouvements de protestation et des sit-in devant le siège de la wilaya et l’antenne locale de la Cnep pour réclamer leurs droits mais en vain.
Une situation qui pénalise lourdement les familles des souscripteurs qui se sont constitués en une association qui a entrepris des démarches auprès du ministère de l’Habitat sans suite. Rappelons que le ministre de l’Habitat et de la Ville Abdelwahid Temmar a annoncé l’octroi de 600 millions de dinars pour les travaux de viabilisation de ces logements dont l’achèvement n’est pas pour demain après 17 ans d’attente.
Bouhali Mohammed Cherif
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A la veille du match aller des quarts de finale de la Coupe Arabe des Clubs Champions qui opposera le Mouloudia Club d’Alger (MCA) au club d’Al Merreikh du Soudan, Ooredoo, sponsor officiel du Mouloudia Club d’Alger, adresse ses encouragements aux joueurs et au staff technique et administratif du Doyen, et leur réitère son soutien inconditionnel lors de cette compétition régionale.
Le Mouloudia Club d’Alger disputera son match aller des quarts de finale de la Coupe Arabe des Clubs Champions, ce jeudi 31 janvier 2019 au stade olympique du 5 juillet face au club soudanais d’Al Merreikh. Une rencontre sportive où règnera certainement le fair-play au vu des mêmes valeurs que partagent les deux peuples et les deux nations.
Dans son message d’encouragements aux joueurs, le Directeur général de Ooredoo, M. Abdullatif Hamad Dafallah, a déclaré : « En tant que partenaire du Mouloudia, Ooredoo est fière d’être à vos côtés et vous encourager dans ce grand match face au prestigieux club soudanais d’Al Merreikh dans le cadre de la Coupe Arabe des Clubs Champions. Nous sommes convaincus que cette rencontre se déroulera dans une ambiance de joie et de fair-play entre deux pays frères, qui ont des relations fraternelles et d’amitié ancestrales. Je réitère également le support de Ooredoo au Mouloudia Club d’Alger et leur souhaite une bonne chance dans ce grand rendez-vous footballistique et poursuivre son honorable parcours dans cette compétition. »
Pour rappel, Ooredoo a signé en octobre 2018 un contrat de partenariat avec le Doyen des équipes de football algériennes, le MCA, devenant ainsi le Sponsor Officiel du club et ce dans le cadre de la mise en œuvre de sa stratégie de soutien au football national.
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Le retour des déplacés dans leurs villes en Libye «nécessite un plan de développement et des financements importants pour la reconstruction» des villes dévastées par le conflit ou les combats entre milices, selon le gouvernement d’union nationale libyen (GNA).
«A maintes reprises, la communauté internationale a fait des promesses pour aider à la reconstruction des villes sinistrées mais rien n’a été concrétisé», déplore Youssef Jalala, ministre des Affaires des populations déplacées du GNA, cité par des médias. Selon le gouvernement d’union nationale libyen, reconnu par la communauté internationale, plus de 1 800 familles ont été déplacées par les combats entre milices rivales depuis août dernier. Les combats ont provoqué le déplacement de 1 825 familles qui se sont réfugiées dans les villes voisines ou dans d’autres quartiers plus sûrs, dans la capitale Tripoli, selon le ministère des affaires des déplacés.
Un tiers des familles coincées dans les combats ont refusé de quitter leurs maisons par crainte d’actes de pillage et de vols. Une grande partie de ces familles restées sur place avaient un besoin urgent de nourriture et d’eau, selon un rapport du ministère, qui faisait état d’attaques contre les secouristes et de «vol» d’ambulances, sans préciser les auteurs de ces agressions. Les combats opposaient des groupes venus de Tarhouna et Misrata (ouest) à des milices armées tripolitaines.
L’ONU, qui tente depuis des années d’arracher un accord entre les différents acteurs politiques en Libye, encourage sur le terrain à un travail de réconciliation au sein de population, prônant notamment un retour des déplacés chez eux. Dans ce cadre, un accord de réconciliation a été signé en 2015 entre les villes du Djebel Nefoussa, permettant ce retour, avec des promesses d’aide financière à la clé. Human Rights Watch (HRW) a tiré la sonnette d’alarme, jeudi, sur le sort des habitants déplacés de Taouarga (nord-est). Selon elle, la plupart des 48.000 habitants de cette ville n’ont pu revenir chez eux depuis sept ans. «Le GNA (…) est tenu de faciliter le retour volontaire, sûr et digne des personnes déplacées dans leurs foyers et de les aider à retrouver leurs maisons et leurs biens», a indiqué l’ONG dans un communiqué.
Pour le gouvernement, les difficultés financières sont les principales entraves à la reconstruction des villes comme al-Goualiche, perchée sur les hauteurs du Djebel Nefoussa, à 120 km à l’ouest de la capitale Tripoli, et qui compte moins de 10 000 habitants. Cette localité qui était alors la cible des «bombardements continus de l’Otan», présente un paysage de désolation : maisons calcinées balayées par le vent et la poussière, pas d’accès aux services de base, écoles détruites ou inutilisables depuis les évènements de 2011, ont rapporté des médias. «Les habitants attendent les indemnisations pour pouvoir réparer leurs maisons et les rendre salubres», explique Saïd Amer, le maire de la ville.
«Certaines familles sont obligées de vivre dans des maisons calcinées, ne réalisant pas le risque que cela représente pour leur santé et celle de leurs enfants», s’inquiète-t-il. Outre les infrastructures publiques, la mairie d’al-Goualiche a recensé, selon le maire, 1 600 dossiers d’indemnisations aux familles toujours en suspens.
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Le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini a indiqué dimanche qu’il rassemblait des preuves visant à poursuivre en justice l’équipage du bateau Sea Watch 3, battant pavillon néerlandais, tandis que des appels se multiplient pour que les 47 migrants se trouvant à son bord soient autorisés à débarquer.
«Nous disposons d’éléments concrets pour dire que le capitaine et l’équipage du Sea Watch 3 ont mis en danger la vie des personnes à bord en désobéissant aux instructions précises qui leur avaient été données il y a plusieurs jours de les débarquer dans le port le plus proche, pas en Italie !», a écrit M. Salvini sur Twitter.
«Les preuves seront transmises aux autorités judiciaires», a-t-il ajouté, accusant le capitaine et l’équipage d’un «crime et du désir clair d’utiliser ces immigrants dans une bataille politique». M. Salvini, chef de file de l’extrême droite, a refusé d’ouvrir les ports de son pays à ces migrants, principalement originaires d’Afrique sub-saharienne, sauvés en Méditerranée il y a plus d’une semaine. Il a souligné que le bateau en question, qui a finalement jeté l’ancre à proximité de la Sicile, aurait pu débarquer auparavant en Libye, en Tunisie ou à Malte. «Le ministre de l’Intérieur rassemble des éléments pour évaluer s’il convient de porter plainte contre l’ensemble de l’équipage du Sea Watch pour aide à l’immigration illégale», a précisé son ministère.
Des parlementaires italiens ont réussi à se rendre à bord du bateau, malgré l’interdiction officielle. «Nous allons vérifier la situation à bord et continuons à demander que passagers et équipage soient autorisés à débarquer, conformément au droit international», a déclaré le député de gauche Nicola Fratoianni. Plusieurs ONG, dont «Save the Children», ont demandé à l’Italie de permettre au moins à 13 mineurs se trouvant à bord de débarquer. Matteo Salvini a insisté de son côté pour que les Pays-Bas et l’Allemagne prennent la responsabilité du bateau, qui est géré par l’ONG allemande Sea Watch.
Le ministre néerlandais chargé des migrations Mark Harbers a déclaré samedi que son pays n’était «pas obligé» de trouver une solution, car le Sea Watch 3 a agi «de sa propre initiative».
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En plus de leurs vertus incroyables pour la santé, les bananes s’utilisent aussi dans le cadre esthétique, c’est un hydratant naturel efficace pour la peau et les cheveux… La banane est vraiment un remède naturel pour beaucoup de maladies et ses vertus pour la santé ne sont plus à prouver.
Lorsque vous la comparez à une pomme, elle contient 4 fois plus de protéines, 2 fois la quantité d’hydrates de carbone, 3 fois plus de phosphore, 5 fois plus de vitamine A et de fer et 2 fois les autres vitamines et minéraux.
Elle est également riche en potassium et est l’un des aliments les plus nutritifs. Alors, il est peut-être temps de changer la célèbre phrase par ce qui suit : une banane par jour éloigne le médecin pour toujours. En plus de leurs vertus incroyables pour la santé, les bananes s’utilisent aussi dans le cadre esthétique, c’est un hydratant naturel efficace pour la peau et les cheveux…
I- Masque pour les cheveux fragiles
Pour renforcer vos cheveux fragiles, essayez un masque à base de bananes en en écrasant une et en la frottant sur vos cheveux encore mouillés.
Laisser le masque agir pendant une demi-heure avant de rincer.
II- Masque pour la peau sèche
– Écrasez une banane.
– Mélanger avec 3 cuillères de miel jusqu’à l’obtention d’un mélange homogène.
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Préparation : 30 min, pour 4 personnes, 4 blancs de poulet, 4 cuil. à café de moutarde, 4 tranches de gruyère, 4 tranches de pâté, 2 œufs entiers légèrement battus, 100 g de chapelure, 1 cuil. à café de zeste de citron râpé, 2 cuil. à soupe de persil haché, huile pour la friture, quartiers de citron pour servir.
Ouvrir les blancs de poulet en 2 et les aplatir. Tartiner un côté avec 1 cuil. à café de moutarde. Recouvrir un côté avec 1 tranche de fromage et de pâté, sans les faire dépasser des bords. Replier le blanc et fermer les bords avec deux cure-dents. Mettre les œufs battus dans un plat creux. Mélanger la chapelure, le zeste de citron et le persil sur une assiette plate. Plonger les blancs dans l’œuf, puis dans la chapelure. Faire chauffer l’huile dans une grande poêle et cuire les blancs 8 minutes, en les retournant une fois. Egoutter sur du papier absorbant et servir avec des quartiers de citron.
Conseil : Laisser en évidence dépasser le bout des cure-dents pour pouvoir les enlever facilement après la cuisson du poulet pané farci aux herbes.
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2 œufs, 1/2 petit verre à thé d’huile, 50 g de sucre en poudre, zeste d’un citron, 1 sachet de sucre vanillé, 1 sachet de levure pâtissière, la farine selon le mélange
Sirop: 500 g de sucre en poudre, le jus d’1/2 citron
Le sirop : Mettre dans une casserole le sucre, le jus de citron et couvrir d’eau, laisser cuire sur feu doux et vérifier la cuisson en posant une goutte de confiture sur une assiette, la goutte ne doit pas s’étaler.
La pâte : Battre les œufs et le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse et devienne mousseux, ajouter l’huile et le sucre vanillé, la levure, travailler énergiquement ce mélange, ajouter la farine tamisée peu à peu en travaillant sans cesse jusqu’à obtention d’une pâte homogène et souple.
Etaler la pâte au rouleau sur une épaisseur d’1 cm sur un plan de travail fariné. Découper la pâte en rondelles à l’aide d’un emporte-pièce rond, après, trouer ces rondelles à l’aide d’un autre emporte-pièce qui a la forme d’un dé à coudre.
Faire frire les beignets dans un bain d’huile chaud jusqu’à ce qu’ils soient dorés, les tremper dans le sirop chaud. Servir aussitôt.
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Zetchi : «On espère voir Mahrez à son meilleur niveau en Égypte»
L’attaquant international algérien de Manchester City, Riyad Mahrez, a été désigné meilleur sportif de l’année 2018 dans un sondage lancé par l’APS. L’ancien meilleur joueur de la Premier League anglaise 2016, auteur d’une fin d’année parfaite avec les Citizens, a surclassé par mal d’athlètes de haut niveau, dans les différentes disciplines. Mahrez a fini donc largement devant ses concurrents. Retenu par un match officiel de Coupe d’Angleterre, Riyad était absent à cette cérémonie organisée par COA avant-hier pour décerner aux meilleurs sportifs de l’année leurs trophées respectifs. Dans le classement féminin des meilleurs athlètes de l’année, la championne algérienne de Karaté-do, Lamya Matoub, a été élue meilleure sportive de l’année 2018.
Zetchi : «On espère voir Mahrez à son meilleur niveau en Égypte»
Le président de la Fédération algérienne de football, Kheireddine Zetchi, s’est exprimé concernant le trophée remporté par l’attaquant international algérien Riyad Mahrez, désigné meilleur sportif de l’année 2018 dans une soirée organisée par le COA avant-hier pour récompenser les meilleurs athlètes algériens. Zetchi affirme que la consécration de Mahrez est méritée et ne cache pas son enthousiasme de voir ce trophée encourager Riyad à hisser son niveau lors de la prochaine Coupe d’Afrique pour aider l’Équipe nationale à aller loin en Égypte. «Mahrez réalise de très belles choses en Angleterre, notamment en ce début de saison avec Manchester City.»
«L’Algérie attend beaucoup de lui, j’espère qu’il sera au top le mois de mai»
Kheireddine Zetchi trouve la consécration du joueur de Manchester City amplement méritée, tant Riyad Mahrez s’est distingué avec son club et espère que l’ex-joueur de Leicester City maintiendra son niveau le plus longtemps possible. «Franchement, on attend beaucoup de lui, à vrai dire toute l’Algérie espère le voir évoluer à son meilleur niveau le mois de mai prochain, afin qu’on puisse préparer ensemble la prochaine Coupe d’Afrique des nations en Égypte inch’Allah», dira Zetchi dans une déclaration accordées aux journalistes après la cérémonie du COA qui a eu lieu à l’hôtel Sheraton.
Auteur : Moumen A.
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Publié par Salima Akkouche
Un panel d’experts nationaux et internationaux s’est réuni samedi à Alger pour parler de l’urbanisme à Alger.
L’objectif n’est pas de changer ce qui existe actuellement, mais le débat se veut un espace d’échange d’idées sur comment bâtir le nouvel Alger au-delà de 2030. A l’initiative des architectes Sihem et Nacym Baghli, cette rencontre était l’occasion de présenter le projet Djisr El Djazaïr, dont l’idée est de relier les deux extrémités de la baie d’Alger.
L’idée est peut-être folle, utopique même pour certains, mais le projet de construire un pont reliant les deux extrémités de la Baie d’Alger, Tamentfoust à Kettani, à Bab-el-Oued, en passant par le Jardin d’Essai, est bel et bien réalisable pour les architectes présents samedi lors d’une conférence intitulée la Rencontre d’Alger. Nacym Baghli, l’un des deux initiateurs du projet, ne veut, d’ailleurs, pas que l’on associe son projet à simplement du béton mais bien au-delà.
L’idée est beaucoup plus large et complexe. Le projet Djisr El Djazaïr, dit-il, est un vecteur social et économique de bien vivre ensemble. Il imagine à travers son projet, la ville future d’Alger, une ville que l’on aimerait admirer, dit-il. Une ville qui ne doit pas non plus, selon lui, être en décalage avec le monde 2.0 que nous vivons. D’ailleurs, selon les estimations, d’ici 2050 la population en milieu urbain sera de 75% contre 55% actuellement. Il faut donc, suggèrent les architectes, conviés à cette rencontre, réfléchir à la manière dont il faudra gérer la ville. D’autant que, relèvent-ils, les instruments d’urbanisme utilisés actuellement ont été inventés dans les années 1960. L’ambition de ce panel d’architectes c’est de proposer de nouvelles idées urbaines innovatrices.
Selon l’un des architectes présents à cette conférence, lorsqu’on regarde Alger actuellement on aperçoit du désordre. «Il est impossible d’ordonner cet espace, mais il faut construire», suggère-t-il. Les pouvoirs publics ont-ils donné leur accord pour ce projet ?
Nacym Baghli avoue avoir eu le soutien moral de la Wilaya d’Alger. «C’est un projet de société qui est long et laborieux mais qui ne peut être porté que par l’Etat, c’est un projet de souveraineté nationale», a déclaré M. Baghli. En plus d’être complexe, le projet nécessite un financement important. Le couple initiateur n’a pas donné d’estimation. Ils ont souligné que le projet sera réalisé en plusieurs phases et proposent à ce qu’il y ait des partenariats publics-privés pour pouvoir mener à bout ce projet. Cependant, soulignent-ils, les retombées économiques du projet sont tout aussi importantes. «Nous nous ne voulons pas nous précipiter, nous voulons prendre notre temps, nous sommes encore au stade d’idées, nous voulons créer un débat, d’ailleurs nous avons lancé un concours d’idées pour des solutions innovantes où l’on peut se projeter dans le futur, où nous avons eu 400 inscrits de 55 nationalités», a souligné M. Baghli qui dit que son projet peut être réalisé en cinq ans. «La réalisation est très facile, le problème c’est la réflexion», dit-il.
Djisr El Djazaïr est un pont imaginé en Y dont le premier tronçon s’étale sur 10 km et le deuxième sur 7 km. L’accès est autorisé pour les véhicules légers, mi-lourds, deux-roues, tramway, véhicules de sécurité et de service. Il compte deux voies centrales et une voie d’urgence avec 4 passerelles piétonnières et des îles flottantes.
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Un panel d’experts nationaux et internationaux s’est réuni samedi à Alger pour parler de l’urbanisme à Alger. L’objectif n’est pas de changer ce qui existe actuellement, mais le débat se veut un espace d’échange d’idées sur comment bâtir le nouvel Alger au-delà de 2030. A l’initiative des architectes Sihem et Nacym Baghli, cette rencontre était l’occasion de présenter le projet Djisr El Djazaïr, dont l’idée est de relier les deux extrémités de la baie d’Alger.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – L’idée est peut-être folle, utopique même pour certains, mais le projet de construire un pont reliant les deux extrémités de la Baie d’Alger, Tamentfoust à Kettani, à Bab-el-Oued, en passant par le Jardin d’Essai, est bel et bien réalisable pour les architectes présents samedi lors d’une conférence intitulée la Rencontre d’Alger. Nacym Baghli, l’un des deux initiateurs du projet, ne veut, d’ailleurs, pas que l’on associe son projet à simplement du béton mais bien au-delà.
L’idée est beaucoup plus large et complexe. Le projet Djisr El Djazaïr, dit-il, est un vecteur social et économique de bien vivre ensemble. Il imagine à travers son projet, la ville future d’Alger, une ville que l’on aimerait admirer, dit-il. Une ville qui ne doit pas non plus, selon lui, être en décalage avec le monde 2.0 que nous vivons. D’ailleurs, selon les estimations, d’ici 2050 la population en milieu urbain sera de 75% contre 55% actuellement. Il faut donc, suggèrent les architectes conviés à cette rencontre, réfléchir à la manière dont il faudra gérer la ville. D’autant que, relèvent-ils, les instruments d’urbanisme utilisés actuellement ont été inventés dans les années 1960. L’ambition de ce panel d’architectes c’est de proposer de nouvelles idées urbaines innovatrices.
Selon l’un des architectes présents à cette conférence, lorsqu’on regarde Alger actuellement on aperçoit du désordre. «Il est impossible d’ordonner cet espace, mais il faut construire», suggère-t-il. Les pouvoirs publics ont-ils donné leur accord pour ce projet ? Nacym Baghli avoue avoir eu le soutien moral de la Wilaya d’Alger. «C’est un projet de société qui est long et laborieux mais qui ne peut être porté que par l’Etat, c’est un projet de souveraineté nationale», a déclaré M. Baghli. En plus d’être complexe, le projet nécessite un financement important. Le couple initiateur n’a pas donné d’estimation. Ils ont souligné que le projet sera réalisé en plusieurs phases et proposent à ce qu’il y ait des partenariats publics-privés pour pouvoir mener à bout ce projet.
Cependant, soulignent-ils, les retombées économiques du projet sont tout aussi importantes. «Nous nous ne voulons pas nous précipiter, nous voulons prendre notre temps, nous sommes encore au stade d’idées, nous voulons créer un débat, d’ailleurs nous avons lancé un concours d’idées pour des solutions innovantes où l’on peut se projeter dans le futur, où nous avons eu 400 inscrits de 55 nationalités», a souligné M. Baghli qui dit que son projet peut être réalisé en cinq ans. «La réalisation est très facile, le problème c’est la réflexion», dit-il.
Djisr El Djazaïr est un pont imaginé en Y dont le premier tronçon s’étale sur 10 km et le deuxième sur 7 km. L’accès est autorisé pour les véhicules légers, mi-lourds, deux-roues, tramway, véhicules de sécurité et de service. Il compte deux voies centrales et une voie d’urgence avec 4 passerelles piétonnières et des îles flottantes.
S. A.
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Exception faite du FFS qui a déjà arrêté l’option, le boycott de la prochaine élection présidentielle demeure encore en attente d’autres adeptes.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – A moins de trois mois de l’élection présidentielle du 18 avril prochain, la décantation se fait encore au compte-gouttes concernant les partants, les «non-participationnistes» et les boycotteurs. Car même parmi les candidats à la candidature, il y a certains qui conditionnent encore le maintien de leur participation à «l’aune de nouvelles donnes» à même de clarifier davantage la situation «floue» et «incertaine».
A l’image de Louisa Hanoune qui, par souci de se faire prendre au dépourvu avec d’éventuels nouveaux éléments, a pris le minutieux soin de «réunir les conditions techniques et juridiques» liées au scrutin, entendre par là qu’elle retirera les formulaires de candidature dans l’attente que le comité central du parti tranche définitivement la question de la participation ou pas à ce scrutin. Ceci tout en tenant, une première, à partager publiquement sa conviction que le parti ne doit pas prendre part, cette fois-ci, à cette élection présidentielle.
Mais à côté de tout ce beau monde réservé et attentiste, il est des partis qui ont d’ores et déjà tranché pour le boycott dans l’attente que d’autres en fassent de même.
Il s’agit du FFS qui a été le premier à adopter ce mot d’ordre. Le conseil national du parti, réuni vendredi dernier, a considéré à l’issue de sa réunion que les «conditions d’une élection démocratique, libre, honnête et transparente, à trois mois de la tenue du prochain scrutin présidentiel, ne sont pas réunies». Les membres de cette instance délibérant entre deux congrès affirment, par ailleurs, «ne soutenir aucun candidat dont la participation «ne servirait qu’à donner une façade faussement démocratique à un scrutin fermé d’avance au profit du candidat du régime». Ceci avant d’appeler la population— qui sait déjà que son vote ne comptera pour rien dans les résultats du scrutin et que les résultats officiels ne refléteront en rien le niveau réel de participation — «à boycotter activement, massivement et pacifiquement un scrutin qui ne viserait qu’à pérenniser un régime autoritaire et liberticide».
Ceci dit, le doyen des partis de l’opposition ne risque pas d’être «sans fratrie» dans cette option de boycott du rendez-vous du 18 avril prochain. Le RCD lui emboîtera à coup sûr le pas, le conseil national du parti devant entériner cette option lors de la troisième session ordinaire prévue vendredi prochain. Le même jour, le conseil consultatif national du FJD que préside Abdallah Djaballah devra, lui aussi, faire sienne cette position qui pourra même être adoptée par le mouvement Mouatana, eux qui invitent les candidats au retrait de la course si le président de la République venait à candidater de nouveau.
M. K.
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Par Hocine NEFFAH
On ne peut pas trouver des échappatoires qui n’ont pas un socle qui justifie cette volte-face en cours desdits partis qui faisaient partie de ce processus électoral et démocratique depuis deux décades.
Le pays s’apprête à vivre un événement politique majeur. Le rendez-vous en question est intimement lié à l’avenir des générations futures et aussi aux institutions de l’Etat et de sa pérennité, il s’agit bel et bien de la joute de la présidentielle du mois d’avril prochain de l’année en cours.
Les décantations se font petit à petit quant à cet événement crucial sur le plan politique. La valse des candidats et aussi les débats autour du thème de l’heure qui est l’élection présidentielle prochaine, font ressortir des nuances et des lectures qui sont tantôt en synergie avec la dynamique enclenchée après la mise en oeuvre de l’arsenal électoral suite à l’annonce de la convocation du corps électoral. Mais il y a aussi certains partis qui ornent la mosaïque de la classe politique nationale, qui étaient des abonnés de ce rendez-vous politique le plus important de par ses objectifs et l’ambition qu’il offre aux hommes politiques et présidents de partis pour se hisser à ce haut rang de la magistrature politique, à savoir la présidence de la République, une institution suprême de l’Etat.
On fait présenter la joute présidentielle prochaine comme une espèce d’ «hécatombe» qui risque de provoquer un scénario «catastrophique», voire un cataclysme même. Qu’est-ce qui a changé pour ces partis qui ont accompagné le long du processus de ce rendez-vous déterminant sur la scène nationale? Est-ce que la situation politique du pays est quasiment différente par rapport à ce qu’elle prévalait en 2014? Les mêmes partis politiques qui présentaient l’événement dans ce cadre vital en termes institutionnel, qui a trait à l’approfondissement du processus électoral et la consolidation du processus démocratique, ce sont eux, qui, aujourd’hui brandissent l’ «étendard» d’un «péril» qui s’annonce en perspective!
La situation institutionnelle, voire constitutionnelle du pays est ordinaire, le processus électoral et démocratique semble maintenir leur interaction et synergie politiques. On ne peut pas trouver des échappatoires qui n’ont pas un socle qui justifie cette volte-face en cours desdits partis qui faisaient partie de ce processus électoral et démocratique depuis deux décades.Certaines formations ont fait du boycott une position politique de «principe», elles sont libres de le faire, il y va de la pluralité politique même qui est le cadre qui structure le multipartisme et le débat politique dans le pays.
Le changement dans le discours et même dans des approches politiques alors que la donne est la même, le système est le même avec tout ce qu’il véhicule comme contradictions que ce soit en 2014 ou aujourd’hui. On ne peut pas cautionner un processus électoral pendant plusieurs mandats présidentiels et après on se découvre en porte-à-faux par rapport à ce processus. Certains partis de l’opposition adoptent une démarche qui est quelque part biscornue du point de vue de la cohérence politique qu’exige la pratique politique de par le monde. Une partie de cette opposition participe dans le processus politique en entier, mais elle récuse les règles du jeu qu’elle a elle-même acquiescées.
Faire dans l’alarmisme et le défaitisme sans que cela reflète réellement la cohérence dans le discours et la pratique politiques, ne favorise pas la cristallisation d’une opposition politique conséquente avec ses choix et ses objectifs. Ne pas participer à la joute présidentielle prochaine pour des raisons liées à la situation politique, économique et sociale du pays. Or, la crise financière a bel et bien commencé en 2014 et l’élection présidentielle a été émaillée par une participation active de ladite variante de l’opposition quand bien même celle-ci en appelle aujourd’hui à ne pas adhérer dans ce processus sous les arguties fallacieuses d’une crise politique majeure qui menacerait l’Etat et la souveraineté du pays. Ces arguties cachent mal l’immobilisme politique de cette dernière qui se voit laminée par ses propres contradictions internes en sa qualité de structure traversée par une crise interne qui ne lui permet pas de mobiliser et ratisser large dans des joutes de cette ampleur politique et d’importance nationale.
La classe politique ne provoque pas les situations via ses instruments, à savoir sa base militante et l’espace partisan qui est fait pour la circonstance. Appeler à d’autres formes d’alternatives politiques alors que la démarche qui a été adoptée est à l’opposé, cela ne crédibilise pas la pratique politique, bien au contraire, cela la rend plus opaque et plus complexe.
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Par Ikram GHIOUA
«Ces résultats confirment la permanente vigilance et la ferme détermination de nos forces déployées le long des frontières.»
Agissant sur la base de renseignements, un détachement de l’Armée nationale populaire a arrêté, le 26 janvier dernier, deux éléments de soutien aux groupes terroristes à Constantine. Ces deux arrestations interviennent quelques jours après une opération similaire où l’ANP a réussi à mettre fin aux activités de cinq éléments de soutien aux groupes terroristes dans deux opérations distinctes.
L’exploitation efficace du renseignement a ainsi permis l’arrestation de ces éléments au niveau des wilayas de Khenchela et Tébessa avait annoncé un communiqué du ministère de la Défense nationale. Toujours dans le même cadre, deux terroristes se sont rendus la même journée à Tamanrasset. Il s’agit du dénommé Ben Taleb Ferrah, dit El-Chaâmbi, qui avait rallié les groupes terroristes en 2011 a précisé un communiqué du MDN. Le terroriste était en possession d’un pistolet-mitrailleur de type Kalachnikov et d’un chargeur garni. Un criminel répondant au nom de Dichili Dammi, dit El-Nacer, qui a pris les armes en 2011 s’était rendu la veille aux forces de l’ANP.
Une reddition qui intervient grâce aux efforts fournis par les Forces de l’Armée nationale populaire, le MDN précise que le terroriste était en possession d’une mitrailleuse de type Dictariov et une quantité de munition. D’autre part, et grâce à l’exploitation de renseignements, un autre détachement de l’ANP relevant de la même Région, à découvert une cache d’armes contenant un pistolet-mitrailleur de type Kalachnikov et un chargeur de munition.
Par ailleurs toujours dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce aux efforts des forces de l’Armée nationale populaire, deux terroristes se sont rendus, le 22 janvier dernier, aux autorités militaires à Tamanrasset au niveau de la 6ème Région militaire. Il s’agit selon le MDN de Chemnmass Mahma dit El-Zerkaoui, et Moussa Hassini dit Abou-Abdelkarim, qui avaient rallié les groupes terroristes respectivement en 2009 et en 2015. Selon le MDN. Les deux terroristes étaient en possession d’un lance-roquette de type RPG-7, une mitrailleuse lourde de calibre 14.5 mm, un pistolet-mitrailleur de type Kalachnikov et trois chargeurs garnis, une roquette et une charge propulsive pour lance-roquette RPG-7, ainsi qu’une quantité de munitions s’élevant à 13160 balles de différents calibres.
A ne pas en douter commente le MDN «ces résultats réalisés sur le terrain par les différentes unités de l’Armée nationale populaire confirment la permanente vigilance et la ferme détermination de nos forces déployées le long des frontières, à déjouer toute tentative d’atteinte à la sécurité du pays et à sa stabilité». Toujours au niveau de la même Région, un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert, lors d’une opération de fouille et de ratissage, une cache d’armes et de munitions contenant, un canon antichar de calibre 82 mm, un missile de type GRAD BM-21 de calibre 122 mm, une mitrailleuse lourde de type Kpvt de calibre 14,5 mm, huit obus de mortiers de calibre 82 mm, six grenades ainsi que deux caisses, deux chaînes de munitions et 600 balles de calibre 14,5 mm.
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Macir Vie et SantéDom annoncent le lancement de leur service de prestations médicales à domicile.
Présent sur quatre wilayas d’Algérie, à savoir Alger, Blida, Tipaza et Boumerdès, l’objectif est de devenir, à terme, le premier service de soins à domicile dans le pays. Macir Vie assurera la commercialisation du produit « santé à domicile » dans une sélection d’agences et sur son site web marchand.
Ainsi, grâce à ce partenariat local, 100% algérien, les clients de Macir Vie et SantéDom auront la possibilité de faire appel à des médecins généralistes et spécialistes 24h/24 et 7 jours sur 7, dans la zone de couverture actuelle de SantéDom, tout en bénéficiant de l’option du paiement en ligne à travers le site de Macir Vie. Le service offre aussi la mise à disposition d’infirmiers pour tous les soins paramédicaux des patients, et ce dans le confort de leur domicile.
En marge de cette annonce, M. Mohamed Hakim SOUFI, Président du Conseil d’Administration de Macir Vie, a déclaré : « L’accès aux services de SantéDom au niveau de notre site web et les différentes agences Macir Vie, permet de pousser toujours plus loin notre quête d’innovation et nous rapprocher davantage de nos clients ». « Notre objectif premier est de répondre à la demande croissante de notre clientèle et de l’accompagner au quotidien. Ce nouveau produit vise à répondre aux réels besoins en couverture de soins tout en apportant le personnel soignant à domicile, à travers SantéDom, car l’humain est au cœur de notre vision. Il est également important pour nous de digitaliser l’accès à nos produits, toujours dans le cadre de notre politique visant une meilleure flexibilité́ et un gain de temps pour nos clients. Ainsi, nous répondons aussi à l’appel de notre Ministère des Finances qui avait demandé à développer les services et les infrastructures de soins locales, ce qui, aujourd’hui, va être le cas avec ce nouveau service ».
Dr. Merouane CHIKHI, Directeur Général de SantéDom, précise : « C’est une fierté pour nous de proposer ce service innovant et unique en son genre aux Algériens. La santé étant notre cœur de métier et l’assurance de personnes étant celui de Macir Vie, il était pour nous évident de collaborer afin de fournir aux Algériens le meilleur service possible à domicile, tout en donnant accès au plus grand nombre de patients, à travers le réseau de distribution de Macir Vie, qui offre également les facilités du
paiement en ligne ».
Les équipes de médecins et d’infirmiers de SantéDom sont à disposition 24H/24 et 7Jours/7, pour intervenir chez vous pour des consultations médicales et actes infirmiers. Le service de soins à domicile privé est disponible via une simple souscription, soit en ligne, soit en agence, à raison de 1000 dinars par mois, pour une souscription de 12 000 dinars par an.
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Par Mohamed BENHAMLA
Dans l’oeil du cyclone après l’élimination de son équipe en coupe d’Algérie face à l’ES Sétif (3-1), l’entraîneur de l’USM Alger, Thierry Froger, peut tirer un grand ouf de soulagement.
Avant-hier, pour le compte de la 19e journée du championnat de Ligue 1, son équipe a renoué avec les victoires en prenant le meilleur sur la JS Saoura (2-0), grâce à Farouk Chafai (32′) et Abdelkrim Zouari (42′). Un succès qui permet aux Rouge et Noir de consolider leur position en tête de classement, avec 40 points, portant ainsi leur avance à quatre longueurs sur leur poursuivant immédiat, la JS Kabylie, tenue vendredi en échec sur son terrain par l’AS Ain M’lila (1-1). Cette victoire vient, surtout, de voir le coach Froger s’accorder un nouveau sursis, lui qui était sur un siège éjectable et surtout dans le collimateur des supporters et de la direction.
Des supporters qui, faut-il le rappeler, n’ont pu partager la joie de cette victoire avec leurs joueurs, en raison de la sanction du huis clos prononcée par la commission de discipline de la LFP. Au coup de sifflet final du match, Froger a salué la réaction de ses protégés qui, selon lui, ont su réagir au moment opportun.
«La JSS est une redoutable équipe, qui ne nous a pas rendu la mission facile. Mes joueurs ont évolué, aussi, sous pression face à l’obligation de résultat après cette amère élimination en coupe d’Algérie.
Le plus important, c’est qu’ils ont su réagir au moment opportun pour remporter une précieuse victoire qui va certainement nous faire du bien avant d’entamer les prochaines rencontres», a-t-il dit. Et la prochaine sortie sera pour mardi prochain avec un déplacement périlleux chez le MO Béjaïa. Un adversaire qui ne va, sans nul doute, pas se présenter pour faire de la figuration, d’autant plus qu’il se positionne parmi les menacés par le spectre de la relégation.
Et dans cette rencontre, Froger sera contraint de faire l’impasse sur les services de son attaquant congolais, Prince Ibara, après le carton rouge dont il a écopé samedi. Dans les autres matchs de cette journée, le Paradou AC l’a emporté à Médéa devant l’OM local (1-0) alors que le match au sommet de la 19e journée, qui devait opposer à Sétif, l’ESS au MC Alger, n’a pas eu lieu en raison du terrain rendu impraticable par la neige. La veille, le MCO a été contraint au match nul par l’USM Bel Abbes (2-2), au même titre que la JS Kabylie, tenue en échec par l’AS Aïn M’lila (1-1).
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Dénonçant une «mise en scène», Moscou a réclamé dans un communiqué «la fin» d’«une ingérence cynique et non-dissimulée dans les affaires d’un état souverain».
Les Etats-Unis et les Européens ont affiché samedi à l’ONU un clair soutien au président autoproclamé vénézuélien Juan Guaido, la Russie continuant de défendre Nicolas Maduro qui a rejeté tout ultimatum pour convoquer de nouvelles élections. En réclamant à tous les pays d’»être aux côtés des forces de liberté», le secrétaire d’état américain Mike Pompeo a averti le président vénézuélien – que Washington ne reconnaît plus – de ne pas s’en prendre aux diplomates américains dont l’expulsion a été ordonnée.
Parallèlement à cette session à l’ONU, Madrid, Paris, Berlin, Londres, Bruxelles et Lisbonne ont lancé un ultimatum à Nicolas Maduro, exigeant dans les huit jours la convocation d’élections, à défaut de quoi ces capitales reconnaîtraient l’opposant Juan Guaido comme «président». «Pourquoi pas sept ou 30?», a ironisé la Russie, tandis que Caracas rejetait catégoriquement tout ultimatum. «Personne ne va nous donner des délais, ni nous dire si des élections doivent être convoquées ou non», a asséné Jorge Arreaza. L’Union européenne a annoncé qu’elle «prendra des mesures» si des élections ne sont pas convoquées «dans les prochains jours» mais certains de ses membres, comme la Grèce, continuent à soutenir Nicolas Maduro. Dénonçant une «mise en scène», Moscou a réclamé dans un communiqué «la fin» d’»une ingérence cynique et non-dissimulée dans les affaires d’un état souverain».
A New York, la Russie et la Chine ont bloqué un projet américain de déclaration du Conseil de sécurité visant à apporter «un plein soutien» à Juan Guaido. Moscou a cependant échoué à empêcher la tenue de la réunion du Conseil de sécurité, ne recueillant lors d’un vote de procédure que le soutien de la Chine, de l’Afrique du Sud et de la Guinée équatoriale alors qu’il lui fallait neuf voix sur ses 15 membres pour atteindre son objectif.
L’ambassadeur russe à l’ONU, Vassily Nebenzia, a accusé «les états-Unis et leurs alliés de vouloir renverser le président» du Venezuela. Parlant de «coup d’état», le diplomate a fait valoir que la crise relevait d’une «situation interne» au Venezuela. Dans sa réponse, le secrétaire d’état américain Mike Pompeo a souligné que des milliers de Vénézuéliens avaient fui leur pays, déstabilisant la région. Sur trois millions de réfugiés depuis 2015, «le Pérou (en) a accueilli 700.000», a rappelé Lima, membre non permanent du Conseil.
La menace de déstabilisation de la région «est évidente», a relevé la Belgique. Autre membre non permanent, la Guinée équatoriale a demandé au secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, d’endosser un rôle de médiateur au Venezuela, tandis que la Chine recommandait à «toutes les parties le calme». Un échange aigre-doux a opposé
Vassily Nebenzia à son homologue allemand, Christoph Heusgen, pour qui discuter du Venezuela relève de la «diplomatie préventive». «Que penseriez-vous si la Russie demandait de discuter au Conseil de sécurité de la France (…) et des gilets jaunes?», a rétorqué le diplomate russe, en précisant qu’il n’en avait pas l’intention.
Les États-Unis sont le seul des cinq membres permanents du Conseil de sécurité à avoir formellement reconnu jusqu’à présent Juan Guaido comme «président». à Caracas, le bras de fer se poursuit entre Juan Guaido, 35 ans, président du Parlement, qui s’est autoproclamé «président» par intérim, et Nicolas Maduro, investi le 10 janvier pour un second mandat considéré comme illégitime par les états-Unis, l’Union européenne et la plupart des pays d’Amérique latine. Nicolas Maduro, qui peut compter sur le soutien de l’armée, a lui appelé à «la rébellion populaire contre le coup d’Etat». «Le peuple dans la rue!», a-t-il lancé.
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