Le taux de change de la monnaie nationale face à l’euro s’est stabilisé pour ce début de semaine dans les cotations de la Banque centrale. En revanche, il a enregistré une légère hausse au niveau du marché parallèle des devises.
Ce dimanche 26 septembre, le cours de l’euro à la Banque centrale d’Algérie a atteint 160,07 dinars à l’achat et 160,14 dinars à la vente, tandis qu’au marché noir, il a atteint 210,50 dinars à l’achat et 213,00 dinars à la vente.
Pour le dollar, le cours à la Banque d’Algérie s’est stabilisé à 136,59 dinars à l’achat et 136,60 dinars à la vente. Dans le marché parallèle des devises, il s’est établi à 180 dinars à l’achat et 182 dinars à la vente.
Le prix de la livre sterling dans les cotations officielles de la BA s’est établi à 186,62 dinars à l’achat et 186,69 dinars à la vente. Sur le marché parallèle, il est proposé à 246 dinars à l’achat et de 249 dinars à la vente.
Le taux de change de quelques monnaies de pays arabesLe riyal saoudien à la Banque d’Algérie est de 36,41 dinars à l’achat et de 36,42 dinars à la vente. Au niveau du marché parallèle, il s’est établi à 47,99 dinars à l’achat et 48,52 dinars à la vente.
Pour le dinar koweïtien, il s’échange au niveau de la Banque contre 453,34 dinars algériens à l’achat et de 454,29 dinars algériens à la vente. Sur le marché noir, il est proposé à 597,93 dinars à l’achat et 604,57 à la vente.
Quant au dirham des Émirats arabes unis, il s’échange contre37,18 dinars à l’achat et 37,19 dinars à la vente dans les cotations officielles. Et contre 49 dinars à l’achat et de 49,50 dinars à la vente sur le marché parallèle.
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La décrue se confirme de plus en plus. Le mois de septembre a été beaucoup moins difficile que celui de juillet et aout . Cette baisse importante du nombre d’infections constatée depuis le début de ce mois a coïncidé avec la rentrée scolaire et social.
De ce fait, les médecins et spécialistes reviennent sur les chaines de télé et de radio pour réitérer la nécessité ne pas abandonner les mesures de prévention anti-covid. C’est le cas par exemple de Dr Hamza Rouabhi, spécialiste en épidémiologie et médecine préventive à la Direction de la santé et de la population de Sétif.
Intervenu sur les ondes de la radio de Sétif, le spécialiste s’exprime à propos de la rentrée scolaire à l’ère du variant Delta. Outre le protocole sanitaire mis en place à l’intérieur des établissements scolaires, ce protocole doit être maintenu même en dehors de l’école.
Dr Hamza Rouabhi fait allusion en effet aux rassemblements des parents d’élèves devant les portes principales des établissements notamment les écoles primaires où ils viennent récupérer leurs enfants.
À ce sujet, l’invité de la radio régionale met en garde contre les conséquences de ce genre de rassemblements en appelants les parents à rester vigilants et rigoureux dans l’application de la distanciation physique. Afin d’éviter l’entassement devant les portes des écoles, l’interlocuteur suggère aux responsables de ces établissements de libérer les élèves par groupe selon des intervalles de temps.
Covid-19 et grippe saisonnière, quel rapport ?En évoquant les mesures préventives, Dr Rouabhi estime que le masque de protection ne doit être transformé en cause d’aggravation et de complication chez les jeunes enfants qui le portant trop longtemps, et ce, en comptant sur les enseignants et parents qui doivent orienter et aider les élèves.
Concernant la vaccination des enfants contre la covid-19, l’épidémiologiste indique que cette question fait encore l’objet d’étude et de recherche au niveau du Conseil scientifique du ministère de la Santé, tout en ajoutant que les parents doivent s’aligner sur le calendrier de vaccination établi en Algérie afin d’éviter la recrudescence des maladies. On ne cessera jamais de le dire, les citoyens doivent profiter de cette décrue en allant se vacciner dans l’espoir d’éviter une quatrième vague, a-t-il insisté.
Enfin, l’hôte de la radio Sétif conclu son intervention en précisant que les symptômes de la grippe saisonnière et de la covid-19 sont complètement similaires et exige tous les deux le respect des mêmes mesures, mais leurs vaccins sont différents. À cet effet, il rassure que le citoyen peut recevoir les deux vaccins, à savoir le vaccin anti-covid et le vaccin contre la grippe saisonnière, à 14 jours d’intervalle.
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C’est un énorme match qu’Andy Delort a fait ce samedi 25 septembre. Pour sa deuxième titularisation avec son nouveau club OGC Nice, l’attaquant de l’équipe d’Algérie de football a frappé fort.
L’international algérien Andy Delort a inscrit aujourd’hui son deuxieme but avec les niçois, qui se sont imposés 3 buts à 0 face à Saint-Etienne, dans le cadre de la septième journée de Ligue 1 française.
Ce samedi soir, nous avons vu un Delort explosif. Titulaire, aux côtés de son coéquipier Youcef Atal, Delort n’a pas hésité à faire trembler les filets du gardien adverse, et ce, après un score ouvert par Gouiri (15′) et un deuxième de Stengs (54′)
En effet, l’attaquant algérien a fait monter son compteur avec les niçois à la 84e minutes de jeu. Du côté gauche de la surface, Da Cunha fait un superbe travail puis il lance un centre à Delort qui reçoit vite le ballon et s’illustre de son pied droit ne laissant aucune chance au gardien.
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Après l’ex-femme de Riyad Mahrez ayant tenu des propos critiques et hostiles à l’égard son ex-mari, aujourd’hui c’est la femme d’un autre footballeur algérien qui crée polémique. Mais, cette fois-ci les propos ne vise pas le footballeur en lui-même.
Il s’agit en effet de l’international Zinédine Ferhat dont la femme a publié une story sur ses réseaux sociaux dans laquelle on trouve l’image du club français accompagné d’une phrase de connotation péjorative. Myriam Ferhat a posté l’image du club francais dans lequel évolue son mari, à savoir Nîmes Olympique tout en écrivant : « une seule envie, c’est de quitter ce club ».
La story publiée sur Instagram n’a pas tardé à créer polémique. Évidemment les fans du club français se sont indigné contre la femme de l’ailier droit au Nîmes Olympique, qui ont considéré ses propos comme étant critique envers le club français. De ce fait, Myriam Ferhat a été victime d’une vague de haine sur les réseaux sociaux ce qui l’a poussé à réagir pour exprimer ses intentions et apporter un éclaircissement concernant ce malentendu.
Des explications s’imposentCette dernière a répondu encore une fois par story dans laquelle elle a expliqué que ses propos ont été mal interprété puisqu’elle ne visait nullement le club de son mari. En effet, la phrase qu’elle avait écrit visait plutôt le personnel du stade qui a adopté un comportement « déplacé et grossier » envers elle. À la fin, Myriam Ferhat a tenu à s’excuser tout affirmant que le club de son mari est « formidable ».
Rappelons que l’international algérien âgé de 28 ans, évolue au sein de Nîmes Olympique depuis 2019. Il a été l’un des meilleurs joueurs du club français pendant la saison passée en Ligue 1. Vu ses belles performances sur le terrain, Zinédine Ferhat attendait son départ de Nîmes pour de nouveaux défis.
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L’ancien footballeur de l’équipe nationale, Karim Ziani a récemment été désigné comme directeur sportif de la JS Kabylie. Première décision importante du nouveau président du club kabyle, Yazid Yarichane, qui a enfin pu entrer en fonction après le litige qui l’a opposé à son prédécesseur.
En effet, la nomination de Karim Ziani à la tête de la direction sportive de la JSK a sans doute pour but de gagner plus de titres comme il l’a affirmé jeudi dès son arrivée à l’aéroport Houari Boumediene.
L’ex-international âgé de 39 ans a rejoint l’Algérie afin de signer son contrat après avoir eu de longues discussions avec le président du club Yazid Yarichane. À ce sujet, des informations concernant le salaire colossal ainsi que les différents privilèges dont il va bénéficier ont créé polémique. Cependant, Karim Ziani n’a pas tardé à répondre
Karim Ziani démentSelon les informations ayant circulé concernant le contrat de l’ancien joueur de l’US Orléans avec la JSK, un salaire de 500 millions de centimes, une villa ainsi qu’une Mercedes lui auraient été proposé.
D’ailleurs, lors de la conférence de presse qu’il a accordé hier vendredi 24 septembre aux journalistes, Karim Ziani a profité de l’occasion pour démentir ces informations. Assis a coté de Yazid Yarichane, le nouveau directeur sportif de la JSK nie complètement l’existence de ce genre d’avantages, à savoir une villa et une voiture luxueuse.
« C’est complètement faux. J’ai occupé le siège arrière de la voiture pendant toute la journée, on est parti jusqu’à Béjaia et j’ai dormi à l’hôtel » a-t-il démenti.
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Le président Abdelmadjid Tebboune préside la nouvelle rencontre du gouvernement avec les walis. Cette dernière a eu lieu ce samedi 25 septembre au Palais des Nations au Club des Pins à Alger.
Cette année la rencontre a été placée sous le thème « Relance économique, équilibre régional, justice sociale ». Elle durera deux jours, à savoir samedi et dimanche. Elle verra la participation des membres du Gouvernement, des walis, des représentants des deux chambres du Parlement ainsi que des cadres centraux des différents secteurs ministériels.
Lors de la rencontre, le chef de l’Etat Abdelmadjid Tebboune a évoqué plusieurs dossiers, dont ceux de la pandémie du covid-19 et de la lutte contre la bureaucratie et la corruption.
Le message de Tebboune aux walisÉvoquant le dossier de la lutte contre la corruption ; le président Tebboune a lancé un appel aux Walis. En effet, le chef de l’Etat leur a demandé de se débarrasser du « spectre de la peur ».
« N’ayez pas peur. Vous êtes protégés par la loi (…) Tous les responsables en poste sont investis de toute la confiance nécessaire puisque leur nomination est intervenue suite à des enquêtes qui ont démontré leur intégrité. De ce fait, rien ne justifie la crainte de prendre des initiatives », a-t-il déclaré.
Pour barrer les routes aux « intermédiaires » ; le président Tebboune a appelé les walis à rencontrer personnellement les investisseurs afin de parvenir à l’objectif de création de la richesse et des emplois.
Ce qu’a dit Tebboune sur la hausse des prix alimentairesLe chef de l’Etat s’exprime enfin sur la flambée des prix de produits alimentaires. Dans son allocution, le président Tebboune n’a pas hésité à lancer un petit coup de pression sur le ministère du Commerce ; afin de trouver des solutions à cette flambée de prix qui persiste depuis plusieurs mois.
« Certains parasites et intrus du commerce ont misé sur la spéculation pour provoquer cette augmentation de prix (…) Des lois dissuasives ont été mises en place pour criminaliser la spéculation alimentaire. Le ministère du Commerce est tenu de trouver une solution à ce problème », a-t-il fait savoir sur ce sujet.
La vaccination, une priorité pour Tebboune« Le premier vaccin algérien (contre le covid-19) sortira le 29 septembre de l’usine saidal de Constantine (…) Les walis sont appelés à encourager l’opération de vaccination, car c’est la seule solution de vaincre le virus. Si on arrive à vacciner les deux tiers des Algériens, nous sortirons de la zone de danger », a-t-il expliqué.
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Ces derniers mois, l’Algérie a traversé une vague virulente de coronavirus avec des centaines de victimes par jour. Aujourd’hui, les contaminations de coronavirus poursuivent leur baisse importante ce samedi 25 septembre 2021.
Selon le dernier bilan du ministère de la Santé, l’Algérie a enregistré 125 nouvelles contaminations contre 166 cas confirmés recensés dans le bilan d’hier vendredi. Pour les guérisons, le bilan a fait état de 105 nouveaux cas rétablis de la maladie contre 131 hier.
Quant aux victimes de coronavirus, le bilan fait état de 9 nouveaux morts, contre les 10 décès recensés dans le bilan d’hier. Par ailleurs, 13 patients sont actuellement en soins intensifs, ajoute la même source. Le bilan total des contaminations de coronavirus s’élève ainsi à 202.408 cas confirmés ; Celui des décès à 5.757 morts.
L’Algérie produira le 29 septembre son premier vaccin anti-covidS’exprimant à l’ouverture des travaux de la rencontre du gouvernement avec les walis au Palais des Nations du Club des Pins d’Alger, le président Abdelmadjid Tebboune a annoncé le lancement de production du vaccin anti-covid en Algérie dès le 29 septembre, soit dans quatre jours.
« Dans quatre jours, le 29 septembre, nous allons produire le premier vaccin algérien contre le coronavirus. Il sera produit par l’usine Saidal de Constantine avec nos amis chinois », a déclaré le chef de l’État.
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Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décidé de mettre fin aux fonctions de Noureddine Aouam et Taos Haddadi-Djellouli, ambassadeurs de l’Algérie en Allemagne et en Roumanie respectivement.
Selon, le dernier numéro du journal officiel, les deux diplomates seront chargés d’accomplir d’autres missions diplomatiques afin de conduire l’action internationale de l’Algérie.
En effet, Noureddine Aouam a été désigné comme envoyé spécial du ministère des Affaires Étrangère, chargé de la question palestinienne, du Moyen-Orient et du conflit libyen. Quant à Taos Haddadi-Djellouli, elle a été nommée envoyé du ministère des Affaires étrangères, chargée de la communauté nationale établie à l’étranger.
Un mouvement dans le corps diplomatiqueIl convient de rappeler qu’un vaste mouvement dans le corps diplomatique avait été mené par le président de la république dans le sillage de l’adoption du plan d’action du gouvernement. À cet effet, sept envoyés spéciaux avaient été nommé afin de renfoncer l’appareille diplomatique de l’Algérie.
Citons par exemple, la nomination de Boudjemaa Delmi, chargé des questions africaines et en particulier de la géostratégie de l’espace sahélo-saharien. Abdelkrim Harchaoui, ancien ministre des Finances, a été nommé chargé de la diplomatie économique, ainsi que Leila Zerrougui ayant déjà exercé au sein des Nations Unies, a été nommé envoyée spéciale chargée des grands partenariats internationaux.
Amar Belani, s’exprime sur la décision de fermeture de l’espace aérien au MarocQuant aux questions du grand Maghreb et plus précisément celle du Sahara Occidental, elles ont été confiées à Amar Belani, ancien ambassadeur de l’Algérie en Belgique et ex-porte-parole du ministère des Affaires étrangères. Amar Belani avait fait parler de lui hier dans la presse après avoir abordé le conflit algéro-marocain.
S’exprimant sur la récente fermeture de l’espace aérien aux avions marocains, le chargé de la question du Sahara Occidental a déclaré que l’Algérie a pris une décision « préventive » dictée par « des raisons impératives de sécurité nationale ». Ce dernier n’exclu pas de nouvelles mesures à l’encontre du Maroc qui pourraient être encore prises par l’Algérie.
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Présidant ce samedi 25 septembre la rencontre Gouvernement – Walis ; le président Abdelmadjid Tebboune s’est exprimé sur plusieurs dossiers, dont celui de la lutte contre la corruption.
Lors de la rencontre qu’a présidé au Palais des Nations au Club des Pins à Alger, le chef de l’Etat Abdelmadjid Tebboune s’est adressé aux walis ; en les appelant à se débarrasser du « spectre de la peur ».
« N’ayez pas peur ! Vous êtes protégés par la loi », a lancé le président Tebboune aux walis ; faisant référence à la lutte contre la corruption et la bureaucratie.
« Notre rencontre est une opportunité pour faire le point » (Tebboune)Dans son allocution, le président Tebboune a également tenu à rappeler les objectifs de cette rencontre qui, selon lui, est une opportunité pour faire le point sur « l’avancement des engagements pris devant le peuple ».
« Il s’agit notamment de procéder à l’évaluation, au redressement et à la prospective des efforts à prévoir en vue d’atteindre les objectifs tracés à court, moyen et long termes », a-t-il déclaré
« Tout ça dans le cadre du processus de concrétisation de l’Etat de droit, la mise en place des règles de la gouvernance, la garantie de l’équité sociale et le rééquilibrage régional », a ajouté le chef de l’État.
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L’Algérie est l’un des pays africains et maghrébins dont les terres agricoles sont les plus attractives avec un climat méditerranéen parfaitement propice pour l’agriculture. Cependant, tout le monde s’accorde que l’Algérie n’exploite pas suffisamment son potentiel naturel en matière de production agricole.
En effet, un nombre important de terre agricole ont été récupéré puis distribué dans le cadre d’encourager les jeunes investisseurs désireux d’intégrer ce domaine. C’est ce qu’a déclaré en tout cas Amra Hamidi, directrice régionale de la planification foncière au ministère de l’Agriculture.
Octroi de 650 mille hectares dans le but d’encourager les jeunes à l’investissement.Cette dernière qui est intervenue sur les ondes de la chaine 1 de la radio nationale a dévoilé le nombre exact de terre agricole tout en fournissant plus de détails. Il s’agit d’après la même interlocutrice de la récupération de 650 mille hectares sur 2 millions d’hectares, qui ont été redistribués par la suite à des jeunes dans le but de les encourager à investir.
L’invitée du « forum des jeunes », émission phare de la chaine 1, a précisé en outre que les terres agricoles qui viennent d’être récupéré ont été précédemment accorder à des récipiendaires qui n’ont pas tenu leurs engagements. Raison pour laquelle, le ministère de l’Agriculture a décidé de récupérer ces parcelles afin de les octroyer cette fois-ci à des jeunes investisseurs.
En ce qui concerne, les précédentes opérations d’octroi de terres agricoles et de terrains dans le cadre de concessions, Amra Hamidi a indiqué qu’il y avait 18920 dossiers de jeunes pour une surface de 191880 hectares.
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Bien que l’Algérie ne soit pas un pays touristique par excellence, les hautes autorités du pays gardent toujours un œil sur les voyageurs entrant ou sortant d’Algérie, et ce, pour des raisons purement sécuritaires et politiques.
Dans ce contexte, un nouveau dispositif de contrôle de passager a été récemment mis en place afin de renforcer les mesures de lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale. Il s’agit en effet, d’un dispositif national de traitement d’informations passagers, paru dans un décret présidentiel signé par le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et publié au journal officiel n°71 du 20 septembre 2021.
« Le dispositif, placé auprès du Premier ministre, comprend : un conseil d’orientation et de coordination ; une unité nationale d’informations passagers », lit-on dans le texte du décret. Outre le premier ministère, d’autres participeront également à la mise en œuvre du dispositif notamment le ministère de la Défense et celui de l’Intérieur.
En effet, on retrouve dans le conseil d’orientation et de coordination du dispositif un représentant du ministère de la Défense nationale ; un représentant du ministère chargé des Affaires étrangères ; un représentant du ministère chargé de la Justice ainsi que d’autres membres appartenons à divers secteurs.
Quelles données faut-il récoltés auprès des passagers entrant d’Algérie ?Quant aux informations des passagers cités dans le dispositif, il s’agit des données API (advanced passenger information) qui englobent l’ensemble des informations générales concernant le vol, l’enregistrement des passagers, ainsi que les informations contenues dans le passeport ou dans un autre document de voyage.
À cela s’ajoute, les données PNR (passenger name record) qui concernent le dossier de réservation. C’est l’autorité du directeur général de la sécurité intérieure (DGSI) qui est chargée de récolter ces informations à travers la création d’une unité opérationnelle.
Quel le rôle pour les compagnies aériennes ?Les compagnies de transports (aérienne, maritimes, chemins de fer…) ont logiquement un rôle important à assurer dans le cadre de ce dispositif puisqu’il s’agit de collecter les informations des passagers.
De ce fait, le décret présidentiel impose aux différentes compagnies de transport ainsi qu’aux agences de voyages de transmettre à l’unité « par voie électronique », lors » de la réservation, de l’enregistrement et au moment de l’embarquement des passagers, à destination, en transit ou quittant le territoire national, les informations et les données des passagers ainsi que les données des membres de l’équipage et les détails sur leurs moyens de transport. »
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Depuis plusieurs semaines, les prix des produits à larges consommations connaissent une hausse importante. Une situation qui intervient avec la rentrée sociale sous forme de barrière pour le simple salarié algérien.
Ce samedi 25 septembre, le président Abdelmadjid Tebboune s’est exprimé sur ce sujet ; lors du lancement des travaux de la rencontre du Gouvernement avec les Walis qu’a présidé au Palais des Nations au Club des Pins à Alger.
Évoquant le dossier de la flambée des prix de produits alimentaires en Algérie ; le président Tebboune a fait savoir que cette hausse était provoquée par des spéculateurs. « Certains parasites et intrus du commerce ont misé sur la spéculation pour provoquer cette augmentation de prix », a lancé le chef de l’Etat.
« Des lois dissuasives ont été mises en place pour criminaliser la spéculation alimentaire. Le ministère du Commerce est tenu de trouver une solution à ce problème », a ajouté le président Tebboune.
Ce qu’a dit Tebboune sur la crise de la farineLors de la même rencontre ; le chef de l’État a évoqué la crise de la farine ayant refait surface ces dernières semaines dans plusieurs régions du pays. « Ceux qui ont provoqué la crise de la semoule sont derrière cette pénurie de farine », a-t-il révélé.
Par ailleurs, le président Tebboune a indiqué que la nouvelle allocation de chômage entrera en vigueur ; à partir de 2022, et ce, après la révision des modalités et des conditions de cette dernière.
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Coup d’envoi de la nouvelle rencontre Gouvernement – Walis. Les travaux se sont ouverts, ce samedi 25 septembre, sous le président du président Abdelmadjid Tebboune au Palais des Nations au Club des Pins à Alger.
Placée cette année sous le thème « Relance économique, équilibre régional, justice sociale » ; la rencontre durera deux jours, à savoir samedi et dimanche. Elle verra la participation des membres du Gouvernement, des walis, des représentants des deux chambres du Parlement ainsi que des cadres centraux des différents secteurs ministériels.
Les quatre dossiers de la rencontreEn tout, quatre dossiers seront examinés lors cette rencontre. Le premier concerne l’évaluation de l’état d’application des instructions données par le président Tebboune durant les précédentes rencontres ». Rappelons lors de la rencontre de l’année dernière, le chef de l’État avait insisté sur l’application de ses directives.
Le deuxième dossier est celui de l’examen des voies et moyens de relancer une nouvelle dynamique dans le processus du développement local. Sur ce sujet, les participants à l’encontre devraient évoquer les axes liés à l’adaptation des programmes du développement local et ceux du développement régional équilibré.
L’autre dossier important de la rencontre est la gestion des crises au niveau local. Les modalités et outils de la gestion de cette dernière sera au Menu. La relance de l’investissement local sera également abordée.
Quant au quatrième et dernier dossier de la rencontre, il concerne la réforme des méthodes de gestion des services publics. Pour cette dernière ainsi que les autres dossiers ; une feuille de route pour la prochaine période sera mise en place à l’issue de la rencontre .
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Les changements climatiques ayant caractérisé ce mois de septembre se poursuivent en Algérie. Après quelques jours marqué par de fortes pluies et activités orageuses ayant engendré des inondations dans certaines wilayas comme Alger et Médéa, la chaleur est de retour pour ce wee-kend.
En effet, plusieurs wilayas de l’est du pays seront au rendez-vous ce samedi 25 septembre avec une forte chaleurs, selon un bulletin météo spécial (BMS), émis par Météo Algérie.
Les wilayas concernées sont notamment : Guelma, Mila, Constantine, El Tarf, Annaba, Skikda. La vague de chaleur devra frapper ces wilayas placées en vigilance jaune (niveau 1), en début de matinée jusqu’à 16 h de la journée de ce samedi.
Quant aux températures attendues, le centre national des prévisions météorologiques a émis une alerte à la canicule ou les températures peuvent atteindre jusqu’à 42 degrés.
La chaleur est de retourRappelons que le retour de la chaleur a été annoncé depuis hier vendredi 24 septembre ou les services météorologiques avaient prévu une vague de chaleur caniculaire dans les wilayas suivantes : Tizi-Ouzou, Guelma, Jijel, Bejaia, Skikda, Annaba et El Tarf.
Concernant les températures attendues, ils avaient atteint les 40 degrés dans certaines régions, raisons pour laquelle les wilayas susmentionnées ont été placées en vigilance jaune (niveau 1). Pour aujourd’hui, la vague de chaleur se poursuit selon les prévisions météorologiques. Cependant, elle concernera, contrairement à hier que les wilayas de l’est du pays, à savoir : Guelma, Mila, Constantine, El Tarf, Annaba, Skikda.
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Depuis le début du mois d’aout, l’Algérie a été violemment frappée par des incendies ravageurs et meurtriers. La Kabylie notamment la wilaya de Tizi-Ouzou a été la plus touchée sur le plan matériel et humain. D’autres régions du pays notamment celle de l’Est ont également connu une série d’incendies catastrophiques.
Malgré le fait que l’été touche à sa fin, l’Algérie ne semble pas en finir avec ces feux de forets. En effet, la protection civile a enregistré ce vendredi 24 septembre, cinq incendies au niveau de plusieurs communes de la wilaya de Skikda, a rapporté le quotidien El Khabar.
Il s’agit du massif de Collo, de la commune de Ain Charchar, de Ouled Hbaba, de El Hadaiek et de sidi Ahmed dans la commune de Skikda. Selon la protection civile, les flammes ont causé uniquement de dégâts matériels tels que la destruction des oliviers et de couverts végétaux.
Le quotidien arabophone a indiqué par ailleurs que ces incendies dont l’origine est inconnue pour le moment, ont provoqué une forte vague de chaleur, poussant les habitants de la wilaya de Skikda d’affluer sur les plages.
18 incendies déclenchés à JijelDans la même journée, la wilaya de Jijel a, à son tour été témoins de 18 feux de forets dispersés dans différents endroits de la wilaya, a indiqué le média susmentionné. Selon le communiqué de la protection civile, 7 incendies ont été maitrisés à 17 h. Cependant, aucune victime n’a été signalé jusqu’à maintenant.
En parlant de victimes d’incendies, il convient de rappeler que les brulés ayant été hospitalisés à l’hôpital de Douera sont arrivée aujourd’hui 24 septembre en Turquie pour une prise en charge médicale, suite aux promesses du président de la République.
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L’Algérie va renforcer sa flotte de drones. L’armée de l’air Algérienne aurait déjà passé une commande à un constructeur chinois. Il s’agit de 24 appareils chasseurs de tanks WingLoong II, qui vont s’ajouter à six autres drones dont quatre d’attaque que l’Algérie possède déjà.
L’armée de l’Air veut se mettre dans l’air du temps. En effet, l’Algérie aurait passé commande pour l’acquisition de 24 drones chasseurs de tanks WingLoong II. La commande aurait été passée auprès du constructeur chinois AVIC, rapporte le média spécialisé MENADEFENSE.
Le WingLoong, un drone ayant fait ses preuvesCe drone dont l’Algérie s’apprête à recevoir 24 exemplaires avant la fin de l’année 2022, coute approximativement 5 millions dollar l’unité. Un prix cher certes, mais qui est 7 fois plus bas que celui affiché par les drones américains. Cet achat affirme encore une fois que la Chine s’impose de plus en plus comme le fournisseur de l’Armée Algérienne. L’ANP rappelons le a déjà commandé 6 corvettes chinoises.
La même source indique que Le WingLoong est un drone qui a fait ses preuves dans de nombreux pays. Il s’agit notamment d’opérations militaires qui dont le théâtre était le Yémen ou encore l’Égypte. L’appareil chasseur est de la classe intermédiaire entre le CH-4 et le MQ-9 Predator.
Le WingLoong peut transporter 150 Kg d’armement en plus que le CH-4 qui est déjà utilisé en Algérie. Les 24 drones commandés par l’Algérie peuvent également bénéficier de boules optroniques plus grandes et plus lourdes, mais aussi fusionner leur charge d’attaque avec des charges passives. En ce qui concerne la vitesse, le WinLoong surpasse largement le CH-4.
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Un chiffre hallucinant a été publié il y a quelques jours par la presse nationale concernant le nombre de docteurs chômeurs en Algérie. Il s’agit en effet de 22 000 docteurs qui se sont retrouvé sans emploi malgré huit ans d’études supérieurs.
Après avoir médiatisé ce constat alarmant, les journaux algériens notamment le quotidien arabophone Echorouk rapporte aujourd’hui, vendredi 24 septembre que certaines universités font appel ces dernières années à des enseignants qui détiennent uniquement un diplôme de licence ou de master. Ces derniers sont chargés de dispenser des cours relevant de certaines spécialités qui connaissent un manque cruel d’enseignant universitaire et d’encadrants.
De ce fait, des diplômés en licence et en masters se retrouvent entrain d’enseigner des modules à des centaines d’étudiants, censé être formés par des docteurs et des professeurs. À cet effet et à l’approche de la rentrée universitaire 2021/2022, le ministère de l’Enseignement supérieur a indiqué dans une note destinée aux directeurs des établissements de l’enseignement supérieur qu’il est strictement interdit de faire appel aux détenteurs de licences et masters uniquement.
Les directives du ministère de l’Enseignement supérieurCependant, le département de Abdelbaki Benziane a ajouté que si un manque d’enseignant-chercheur et d’encadrant a été constaté, il serait exceptionnellement permit de recourir aux diplômés en licence et master, mais à une condition. En effet, la même source réitère l’importance et l’obligation pour ces derniers d’avoir les compétences scientifiques requises ainsi qu’une expérience professionnelle conformément aux normes et critères fixés dans le décret exécutif n 01-293 du 1er octobre 2001.
Ainsi, les directeurs des établissements universitaires sont appelé à prioriser ceux qui détiennent un diplôme de magistère ou les doctorants non salariés qui sont autorisés à enseigner les étudiants de première année licence, dans le cadre des TD et TP. Enfin, Ces doctorants doivent évidemment appartenir à l’établissement universitaire en question, dans lequel ils préparent leurs thèses de doctorats, et ce, en bénéficiant d’une récompense financière selon l’article 6 du décret exécutif 10-231 du 2 octobre 2010.
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Les Algériens, dès le début de la campagne de vaccination contre la covid-19 se sont montrés particulièrement réticents. Ceci dit, les derniers chiffres avancés par le ministre de la Santé ont fait réfléchir plus d’un : les Algériens ont-ils finalement appris la leçon, suite à la dernière vague de la Covid-19 ?
Abderahmane Benbouzid, le ministre de l’Éducation, a fait savoir, il y a quelques jours, que la moitié de la population concernée par la vaccination contre la covid-19 a déjà reçu, au moins, la première dose. Plus de 10 millions d’Algériens sont donc vaccinés.
À ses débuts, la campagne vaccinale était loin de faire l’unanimité au sein de la population. Outre les problèmes de disponibilité, beaucoup de citoyens étaient victimes de désinformation. Les réseaux sociaux étaient d’ailleurs un vecteur à effet très négatif.
Ce sont ces mêmes réseaux sociaux qui ont ensuite montré, au mois de juillet dernier, les ravages dont le virus est capable. Outre les campagnes de solidarité et d’entre-aide, les réseaux ont pu également dévoiler l’efficacité des vaccins. Les statistiques montraient clairement que le taux d’hospitalisation est minime parmi les vaccinés, et que le taux de décès était presque inexistants.
Une leçon chèrement payéeLes hôpitaux débordaient de malades contaminés à la covid-19. Certains parmi eux, nécessitant une admission en services de réanimation, gisaient dans les couloirs des établissements de santé. Une situation catastrophique, qui a fait l’effet d’une véritable gifle aux corps soignant, aux autorités, mais aussi à l’ensemble des citoyens, qui vivaient dans un relâchement total vis-à-vis des mesures préventives.
Outre le manque des lits, la pénurie d’oxygène et de concentrateurs a semé la panique au sein de la population. Peu à peu, heureusement, le nombre des cas de contamination, qui a atteint le pic des 1927 cas, commençait à redescendre. Une aubaine, estimaient tous les spécialistes qui invitent encore les citoyens à profiter de la décrue pour aller se faire vacciner.
La 3ᵉ vague avait ceci de positif qu’elle a convaincu plus d’un réticent de se rapprocher des centres de vaccination. Cependant, certains se pose déjà la question concernant la 4ᵉ vague. L’Algérie, suite à la campagne de vaccination, est-elle à l’abri ?
Immunité collective : on y est ?Selon les spécialistes, on est encore loin de l’immunité collective. Les chiffres avancés par le ministre de la Santé sont positifs, cependant insuffisants pour nous mettre à l’abri d’une quatrième vague du virus. Le ministère de la Santé misait, rappelons le, sur un taux supérieur à 70 %.
Malgré une rentrée sociale et scolaire qui se déroule alors que les cas de contamination quotidiens ne dépassent pas les 200 cas, cela risque de changer en quelques jours, comme cela a été le cas pour la troisième vague.
Les chiffres positifs de la vaccination en Algérie ne doivent pas nous faire oublier que des réticents, il n’en reste que ça au sein de la société Algérienne. Même dans le corps soignant, certains travailleurs ne sont pas encore vaccinés, sans parler des autres secteurs sensibles, notamment celui de l’éducation.
Les vaccins sont désormais disponibles, mais le problème demeure dans les campagnes de sensibilisation. Certains spécialistes ont vivement critiqué les autorités et les médias qui se concentrent sur des événements sportifs plus que sur la santé des citoyens.
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La pandémie de covid-19 a fragilisé plusieurs secteurs notamment l’économie et la santé. D’autres ont été complètement paralysé pendant presque un an. C’est le cas notamment du secteur de transport aérien qui vient tout juste de reprendre ses activités.
Suite à la reprise des dessertes commerciales et au renforcement des vols internationaux effectués par la compagnie nationale, l’espoir du retour à la vie normale se concrétise. En effet, le centre de traitement des demandes de visas vers la France, en l’occurrence VFS Global d’Alger a repris ses activités, selon le site Djalia Dz.
Ce dernier, a publié mercredi 22 septembre sur sa page Facebook que les centres VFS Global qui se trouvent au niveau de la capitale Alger reprennent leurs activités après une fermeture qui a duré plus d’un an et demi. Cette fermeture qui a privé de nombreux algériens de déposer leurs dossiers de visa, a coïncidé avec la suspension des vols.
Ainsi, les Algériens résidents ici en Algérie peuvent désormais délivrer des demandes de visa notamment le visa Schengen afin de rejoindre l’Hexagone et retrouver leurs proches installés à l’étranger.
Le vaccin Sinovac enfin reconnu par la FranceAprès avoir placé l’Algérie sur la liste rouge, La France avait imposé une série de mesures contraignantes aux voyageurs en provenance de l’Algérie. Seuls ceux qui sont vacciné avec un des vaccins reconnu par l’Agence européenne des médicaments sont exemptés de ces mesures, ce qui n’était pas évident vu que la majorité des Algériens ont reçu le vaccin Sinovac.
Cependant, depuis deux jours l’Hexagone a décidé de reconnaitre le vaccin chinois suite à un décret paru mercredi 22 septembre sur le Journal officiel français. De ce fait, les démarches administratives nécessaires pour rejoindre la France sont désormais beaucoup moins compliqué.
Les voyageurs algériens sont confrontés à une seule condition en revanche. Il s’agit de l’administration d’une troisième dose complémentaire de Pfizer ou Moderna afin de disposer d’un pass sanitaire devenu obligatoire pour circuler en Hexagone.
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Énième escalade diplomatique entre l’Algérie et le Maroc. À l’issue d’une réunion du Haut Conseil de Sécurité, Alger a décidé, mercredi dernier, de fermer son espace aérien aux avions Marocains. Une décision jugée sévère par certains, et nécessaire par d’autres. Amar Belani, l’envoyé spécial de l’Algérie au Sahara occidental, n’a pas manqué de commenter ce dernier revirement.
Belani, dans une déclaration à l’agence Reuters, a tenu à apporter quelques détails. Il indique que la décision d’Alger est tout à fait compréhensible au vu des « provocations et des actes hostiles », dont le Maroc, et notamment ses diplomates, ont fait preuves ces derniers mois à l’égard de l’Algérie. Pour Belani, il n’y a nul doute que la décision du HCS soit une décision « souveraine » et « conforme aux conventions internationales« .
« Une décision préventive »Selon Belani, la fermeture de l’espace aérien de l’Algérie aux avions marocains est « une décision préventive » dictée par « des raisons impératives de sécurité nationale ». L’envoyé spécial d’Alger au Sahara occidental ne rate pas une occasion pour fustiger le Maroc. Il a notamment dévoilé l’existence « d’indices concordants et d’éléments probants sur la conception ainsi que sur la poursuite d’actions hostiles dirigées contre notre pays ».
Belani ne s’arrête pas en si bon chemin, il indique que de nouvelles mesures à l’encontre du Maroc pourraient être encore prises par l’Algérie. Selon le diplomate Algérien, on vit « contexte particulier où l’animosité et les desseins malveillants sont irrécusables ». C’est d’ailleurs pour cette raison que, selon lui, « l’adoption de mesures supplémentaires n’est pas à exclure ».
L’Algérie, ajoute l’envoyé de Lamamra, fera toutefois « preuve d’une extrême vigilance et d’une fermeté absolue pour la protection et la sanctuarisation de son territoire national ». Ces dernières déclarations de Belani témoignent du degré de détérioration auquel les relations entre l’Algérie et le Maroc, deux pays frères et voisin, sont arrivées.
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