La finance Islamique semble être un sujet qui tient beaucoup à cœur pour le ministre du Commerce et de la promotion des exportations, Kamel Rezig.
Après avoir donné un nouvel ultimatum aux spéculateurs, voilà que le ministre du Commerce, en pleine crise inflationniste qui fait flamber les prix de pratiquement tous les produits alimentaires, se penche sur la finance islamique.
Kamel Rezig veut aller très loin dans son projet de promouvoir cette finance basée principalement sur les principes de la religion islamique et sur les préceptes du coran. Pour Rezig, il y a deux sortes deux sortes de finances, « le traditionnel, dont on use aujourd’hui », a-t-il déclaré, et « il y a la finance islamique », a-t-il ajouté.
Rézig a assuré aujourd’hui, lors de l’ouverture de la journée d’information sur la banque islamique, que tous les mécanismes qui pourraient accorder à la Finance Islamique la place qu’elle méritait en Algérie sont réunis.
Alger, future capitale de la finance islamique ?Rézig a évoqué le cas de la grande Bretagne et de Dubaï, en disant qu’il s’agit de grands incubateurs de la finance islamique au niveau mondial. Le ministre a ensuite affirmé que le gouvernement ne manque pas de d’efforts pour donner une bonne impulsion à la finance islamique en Algérie.
Le ministre est allé encore plus loin, en affirmant son souhait de faire de la capitale Alger un incubateur Africain de la finance islamique. Rézig ne manque pas de rappeler que le programme du président de la République, consacre tout un volet pour la consolidation de la banque islamique en Algérie.
Pour Rézig tous les paramètres sont réunis pour réussir sur ce chemin en Algérie. Il a notamment évoqué le rôle joué par les universités, les enseignants et les étudiants, notamment l’université de Blida, ou un doctorat sur la finance islamique a vu le jour, fait savoir le ministre du Commerce.
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L’Omnium des Championnats du monde 2021 de cyclisme sur piste ont débuté ce mercredi, au vélodrome de Roubaix, dans le nord de la France.
À cet effet, l’Algérien Yacine Chalel a terminé la compétition en occupant la 24e place. Pour la première place, elle a été remportée par le Britannique Ethan Hayter avec un score 1 000 points, devançant ainsi le Néo-Zélandais Aaron Gate qui a eu pu obtenir 900 points, et l’Italien Elia Viviani avec 800 points.
Après les résultats, Yacine Chalel exprime sa déceptionPar ailleurs, le jeune Algérien de 26 ans avait terminé à la 20e place lors de l’épreuve du scratch. Ce dernier a publié un post sur sa page Facebook officielle, où il a exprimé à son public « son désespoir » et son « profond regret » pour son résultat modeste. Il a justifié son score par une erreur de positionnement qui a nui à son résultat final en cette course.
Il convient également de préciser que les 111e Championnats du monde de cyclisme sur piste se sont déroulés du 20 au 24 octobre 2021 sur le vélodrome couvert régional Jean-Stablinski, à Roubaix, en France.
Pour rappel, lors des précédents Mondiaux, qui se sont déroulés dans la ville allemande Berlin en 2020, Yacine Chalel s’était contenté d’une 17e place au scratch, avant de poursuivre la compétition avec la 22e place dans la course aux points. Un résultat qui n’a pas suffi à se qualifier pour les derniers Jeux Olympiques de Tokyo.
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Les chiffres des contaminations à la covid-19 en Algérie restent au-dessus de la barre symbolique des 100 cas quotidiens. Chose qui a permis à la population de souffler un peu, après un mois de juillet effrayant. Les spécialistes cependant, soutiennent que le danger d’une quatrième vague du coronavirus rode toujours.
Le bilan d’aujourd’hui, le 25 octobre 2021, affirme toutefois que l’Algérie n’a enregistré que 81 nouveaux cas de contamination à la Covid-19 ces dernières 24 heures. Une légère hausse donc par rapport au bilan d’hier, ou 72 cas ont été confirmés.
Les mêmes chiffres dévoilés aujourd’hui par le ministère de la Santé indique que le pays a également enregistré 4 nouveaux décès. Enfin, le communiqué a fait état de 69 nouvelles guérisons et de 16 nouveaux patients qui ont été admis aux soins intensifs.
Les dernières constatations du comité de suivi et de surveillance de l’évolution de la pandémie du coronavirus en Algérie font monter le nombre total des contaminés à plus de ….. L’Algérie, indique les mêmes chiffres a déploré …. décès liés au virus depuis mars 2020.
Les mises en gardes du ministre de la SantéBenbouzid s’est exprimé aujourd’hui en marge de la journée nationale du don de sang. Le ministre de la Santé a dressé un sombre tableau de la campagne de vaccination en Algérie, et appeler les citoyens à se rapprocher des centres de vaccination.
Le ministre a notamment dévoilé que le taux de vaccination chez les étudiants ne dépasse pas les 1 %, et que dans son propre secteurs, les vaccinés ne constituent pas plus de 20 % du total des employés.
Malgré cela, Benbouzid ne songe pas à rendre la vaccination obligatoire. Il estime toutefois qu’il est temps d’user du pass sanitaire comme d’un outil pour « pousser les citoyens à la vaccination ».
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Alors que la France demeure la première destination des étudiants algériens, ses établissements scolaires en Algérie séduisent tout autant et attirent même nos responsables dans ces temps de crise diplomatique.
En effet, le lycée international français Alexandre Dumas (LIAD) reçoit des milliers de demandes d’inscription chaque année. Au delà de la qualité de l’enseignement indéniablement supérieure à celle disponible en Algérie, les études dans ce lycée représente une garantie pour poursuivre ses études à l’étranger notamment en France. C’est ce qui a dû séduire la longue liste de diplomates et de hauts responsables algériens souhaitant y inscrire leurs enfants.
Selon le journal français le monde, cette liste de diplomates et hauts responsables remise à l’ambassade de France à Alger par le ministère des Affaires étrangères ne date pas d’hier, le lycée la reçoit chaque années. Or, le LIAD qui dispose de 2000 places seulement ne peut répondre favorablement à toute ces demandes, cette année par exemple 2005 élèves, dont 906 français se sont inscrits.
Une affluence malgré la crise diplomatiqueCes derniers temps les deux pays ont connu beaucoup de désaccords qui ont donné naissance à une crise diplomatique, suscitant la colère et l’indignation de plusieurs responsables algériens et français.
Cela ne semble pas avoir dissuader les responsables algériens d’inscrire leurs enfants dans un lycée français pour qu’ils puissent passer et avoir un baccalauréat français et par extension ils pourront s’inscrire facilement et sans obstacles dans des universités étrangères notamment les universités françaises. Néanmoins, le lycée français ne pouvant pas répondre favorablement à cette forte demande, les responsables algériens ne peuvent qu’être mécontents.
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YouTube est un site de streaming avec de riches contenus, mais dont le téléchargement s’avère très compliqué. Cependant, il existe bien des méthodes pour y arriver. Comment télécharger une vidéo depuis YouTube en MP3 ? Découvrez ici l’essentiel à savoir à ce sujet.
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Pour le compte de la onzième journée de Ligue 1 Uber Eats, l’international algérien Youcef Atal a affronté avec son club de Nice, l’Olympique Lyonnais.
Auteur d’un très bon match face à l’équipe adverse, Youcef Atal a été élu meilleur joueur de la journée. Ce dernier a permis à son club de revenir dans le match grâce à un Fennec décisif sur les trois buts niçois.
L’entraineur français du club niçois, Christophe Galtier, a fait l’éloge de son arrière latéral droit, et ce, après sa très bonne entrée face à l’Olympique Lyonnais.
Christophe Galtier a également fait une confidence concernant son joueur algérien, qui a prouvé ses capacités et sa performance lors dudit match.
» Youcef est une vraie valeur ajoutée « , Christophe GaltierAtal a tout d’abord marqué un but d’une lourde frappe sous la barre après un petit numéro. En outre, il a provoqué un penalty après un petit pont sur Emerson, une passe qui déstabilise la défense sur la troisième réalisation, et ce, pour le plus grand bonheur de son coach, qui n’a pas hésité à le qualifier de valeur ajoutée.
» Nos entrants ont été presque parfaits. Youcef a dynamisé le dernier quart d’heure. Son but a redonné beaucoup d’espoir à l’équipe, puis a poussé l’OL à la faute. Evann (Guessand) a marqué pour la victoire son premier but en L1. Mes joueurs ont renversé Lyon « , a révélé Christophe Galtier, au micro de Prime Video.
» Je vais vous faire une confidence, j’avais prévu de voir Youcef lundi. Nous nous verrons car on attend beaucoup de lui. Avant, quand j’affrontais Nice, on avait toujours un plan anti-Atal. Il faut qu’il se libère sur le plan mental de son passé de blessures. Il doit être plus sur ses points forts. Car, comme on l’a vu dimanche, il est une vraie valeur ajoutée « , a conclu l’entraineur.
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Le gouvernement décide de mettre fin progressivement aux subventions directes de l’État sur les produits de première nécessité. Si la démarche s’avère déjà assez complexe au vu de la situation du marché, ses retombées risquent de peser lourd sur les ménages de la classe moyenne.
En effet, le projet de loi de finances (PLF) pour l’année 2022 prévoit la création d’un dispositif national de compensation au profit des ménages nécessiteux. Ce dernier sera mis en place suite à la suppression du système de subventions généralisées.
Lors de la présentation du projet de loi des finances hier devant les membres de l’APN, le Premier ministre affirme que le dispositif national de compensation monétaire au profit des ménages « sera concrétisé à travers un programme de transfert monétaire direct au profit des ménages qui y sont éligibles ».
Autrement dit, la réforme du système de subvention sociale se fera à travers le passage au virement au profit des familles nécessiteuses. Celles-ci bénéficieront donc d’un revenu supplémentaire comme indemnisation de la hausse des prix engendrée par la suppression des subventions directes.
Dans son argumentatif, le gouvernement explique que cette réforme vise un « meilleur ciblage » de la subvention publique « garantissant une justice sociale ». Selon la même source, la majorité des dispositifs généralisés sont « abusifs », du fait qu’ils « profitent essentiellement aux couches des populations aisées ».
Les classes moyennes sont-elles menacées d’appauvrissement ?Cependant, des spécialistes avancent déjà les difficultés de concrétisation d’une telle démarche, mais aussi des retombées qui pourront fortement nuire à des milliers de ménages. A priori, c’est les critères de sélection des ménages « éligibles » qui pourra poser problème.
Déjà dans la tourmente, du fait des augmentations massives des prix des produits alimentaires, des services, du loyer et de l’énergie, les classes moyennes sont plus que jamais menacées. Ainsi, force est de constater que les classes moyennes risquent d’être à nouveau confrontées à des difficultés semblables à celles des plus pauvres.
Interrogé par le quotidien Liberté, Mourad Ouchichi, enseignant d’économie à l’université de Bejaïa estime que « ce sont les classes moyennes à revenus fixes qui risquent, en effet, de supporter, à nouveau, l’essentiel des sacrifices exigés par la crise ». Pour ce qui est de la classe moyenne libérale, l’intervenant affirme qu’elle a « les moyens d’y faire face ».
Cette démarche « s’annonce aussi complexe que sensible »Abordant ce qui pourra se mettre comme entraves dans la concrétisation des réformes des subventions de l’État, l’économiste affirme que cette démarche « s’annonce aussi complexe que sensible ». À ce propos, il avance « le poids de l’informel dans l’économie et l’absence d’un système fiscal fiable ».
Outre cela, Mourad Ouchichi explique que la réforme des subventions « va entraîner naturellement une inflation qui, à son tour, viendrait aggraver les inégalités sociales et précipiter les classes moyennes dans les mêmes difficultés auxquelles se heurtent les plus pauvres ».
Et comme solution, « cette réforme doit se faire dans une conjoncture qui permet à l’État de mettre en place des systèmes de compensation aussi bien au bénéfice des pauvres qu’au profit des classes moyennes », préconise le spécialiste.
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La joie de la réouverture partielle des frontières aérienne n’efface pas le malheur des billets non-remboursés, ce sujet tourne encore alors que les personnes en question s’accrochent à un infime espoir de remboursement.
Le chargé de communication de la compagnie aérienne nationale Air Algérie s’est exprimé à ce sujet affirmant que les billets d’avion achetés avant la crise sanitaire du Covid-19 ne seront pas remboursés compte tenu de la crise financière que la compagnie subit actuellement. Il convient de noter que la compagnie devra rembourser près de 500 000 billets.
Cependant, selon nos confrères d’Echourouk, tous les billets vendus et non-utilisés avant la crise sanitaire seront remboursés. Cette opération de compensation sera entamée dès que la compagnie se relève de sa crise financière. Cette dernière pourra être résolue rapidement dans le cas où le nombre de vols sera augmenté.
La crise financière qu’a engendré le Covid-19En effet, la crise sanitaire a eu beaucoup de répercussions sur plusieurs domaines notamment celui des transports. Le monde entier s’est vu contraint de se fermer dans le but de lutter contre la propagation du virus et réussir à l’endiguer.
Raison pour laquelle la réouverture des frontières aériennes représente une bonne nouvelle pour les entreprises du domaine des transports qui pourront se relever avec cette reprise d’activité. Comme c’est le cas pour L’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (ENTMV) qui a perdu 14 milliards de dinars durant ces 1 an et demi d’inactivité à cause de la crise sanitaire. Une période durant laquelle les 1300 employés de l’ENTMV ont tout de même reçu leurs salaires.
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Grâce au recul considérable du Covid-19 qu’a connu l’Algérie ces derniers temps, on s’ouvre de plus en plus au monde. Reprise des traversées maritimes et réouverture partielle des frontières aériennes, il ne reste plus qu’à programmer son voyage. Cependant, un seul élément peut freiner tout cela : le prix des billets.
La cherté des billets est un véritable inconvénient qui se répand pour toucher aux billets de plusieurs destinations sur Air Algérie au point de susciter l’indignation de la classe politique.
Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP) Abderrezak Makri s’est exprimé à ce sujet, déplorant la situation que vit la diaspora algérienne, qualifiant les chiffres « d’énormes » en indiquant que sur ce rythme là » On travaille pour le compte des compagnies aériennes françaises ». Il a également pris l’exemple des prix des billets chez les pays voisins qui est loin de la cherté à laquelle notre diaspora fait face.
Ce n’est pas mieux chez les autres compagnies aériennesUn réel obstacle pour les algériens en France souhaitant revenir car la cherté ne se trouve pas uniquement chez Air Algérie, mais même chez les agences à l’étranger qui affichent les billets à des prix très chers comme l’agence Lidl voyage qui propose un billet aller – retour pour 1802 euros pour des vols programmés du 22 au 29 octobre.
Alors que le prix d’un billet aller simple sur le site d’Air Algérie est fixé à partir de 473 euros, chez Transavia il peut aller jusqu’à 590 euros et chez Air France à partir de 786 euros.
Cherté des billets : le rabat-joieRappelons que les prix des billets de trois destinations en particulier ont choqué la toile à savoir un billet aller simple de Dubaï qui coûte près de 1000 euros (997 euros), un billet aller simple de Londres fixé à partir de 525 livres sterling et un billet aller simple pour la ligne Montréal – Alger en classe économique est fixé à partir de 1222 dollars.
En effet, les autorités algériennes ont augmenté le nombre de vols autorisés en réponse à la forte demande, une augmentation que certains voyaient comme lueur d’espoir pour voir les prix des billets d’avion baisser notamment avec la reprise des traversées maritimes mais ce n’est pas le cas.
La cherté se répand de plus en plus et l’indignation ne change pas pour autant la situation. Les autorités algériennes vont-elle réagir face à cela ? seul l’avenir nous le dira.
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Le réseau téléphonique et internet (GSM et 3G), des trois opérateurs de la téléphonie mobile en Algérie fait encore parler de lui. Cette fois-ci, il s’agit de la couverture au niveau des axes routiers et autoroutiers.
Dans un communiqué rendu public sur son site web, l’Autorité de régulation de la Poste et des communications électroniques (ARPCE) a indiqué avoir relevé plusieurs irrégularités concernant les exigences des cahiers des charges des trois opérateurs s’activant en Algérie, à savoir Mobilis, Djezzy et Ooredoo.
En effet, l’autorité de régulation « a constaté que les trois (3) opérateurs n’ont pas satisfait à certaines des exigences contenues dans leurs cahiers des charges respectifs ». Cela concerne la couverture et la qualité du réseau sur les axes routiers et autoroutiers.
Ce constat a été fait « dans le cadre d’une opération de contrôle et d’évaluation de la couverture et de la qualité de service (QoS) des réseaux GSM et 3G des opérateurs de la téléphonie mobile au niveau des axes routiers et autoroutiers ».
Des mises en demeurent à l’encontre des trois opérateursSuite à ce constat, précise encore le communiqué, « l’Autorité de régulation a mis en demeure les opérateurs de la téléphonie mobile : ATM (Mobilis), OTA (Djezzy) et WTA (Ooredoo) ».
De par ces mises en demeure, l’ARPCE exige des opérateurs concernés « de se conformer aux exigences de couverture et de qualité de service des réseaux GSM et 3G au niveau des axes routiers et autoroutiers ».
Par ailleurs, l’ARPCE « informe également qu’une opération de contrôle et d’évaluation de la couverture et de la qualité de service concernant l’ensemble des réseaux GSM, 3G et 4G sur tout le territoire national, est en cours de finalisation ».
Selon le même communiqué, « l’Autorité de régulation communiquera sur les résultats de cette opération dès son achèvement ».
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L’Algérie traverse un calme épidémique qui fait oublier peu à peu les ravages commis par la troisième vague de la covid-19. Selon les spécialistes cependant, ce calme pourrait très bien faire le lit d’une quatrième vague qui risque d’être plus meurtrière.
Abderrahmane Benbouzid, le ministre de la Santé, n’est pas loin de partager les mêmes craintes. Aujourd’hui, à l’occasion de la journée nationale de don de sang, le premier homme au secteur de la santé a dressé un tableau sombre de la vaccination contre la covid-19 en Algérie.
Benbouzid a notamment dévoilé que le taux de vaccination chez les étudiants n’a pas dépassé les 1 %, tandis que seuls 20 % des médecins et des travailleurs de la santé sont vaccinés. Ces taux inquiétants sont dévoilés alors que l’Algérie possède plus de 13 millions de doses de vaccins contre le coronavirus.
Concernant sa position sur l’obligation de la vaccination, Benbouzid est indéboulonnable. Le ministre déclare que « l’on ne peut pas obliger le citoyen à se faire vacciner ». Le haut responsable indique toutefois que « l’on peut imposer le pass sanitaire dans plusieurs services pour pousser le citoyen à la vaccination ».
Benbouzid parle de la troisième doseSelon Benbouzid, la vaccination reste le seul moyen qui s’offre à nous pour espérer tourner un jour la page de la pandémie. Le ministre a notamment déclaré que « les portes sont ouvertes pour éviter la quatrième vague » et que le danger du coronavirus rode encore.
Le ministre a également invité les citoyens intéressés à se rapprocher des centres de vaccinations s’ils désirent recevoir une troisième dose du vaccin anti-covid. Il est à rappeler que l’Algérie a commencé à produire son propre vaccin en septembre dernier, et compte même l’exporter vers des pays africains.
Malgré la lenteur de la campagne de vaccination, Benbouzid ne désespère pas. Il indique notamment qu’on peut vacciner 6 millions de citoyens par mois, et qu’on peut atteindre un taux élevé à la fin de l’année. « On a gagné une bataille, mais pas la guerre », estime Benbouzid, qui invite encore tous les citoyens à aller se faire vacciner.
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Après les victoires remportées lors des quatre matchs des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, les Fennecs s’apprêtent désormais aux deux rencontres restantes, face à Djibouti et le Burkina Faso, prévues pour le mois de novembre prochain.
À cet effet, et selon nos confrères du quotidien Ennahar, la Fédération algérienne de football a proposé le 16 novembre comme date de réception de l’équipe nationale de son homologue Burkinabè au stade Mustafa Tchaker de Blida, au lieu du 15 novembre, et ce, pour le compte du sixième et dernier tour des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022.
La même source a ajouté que la demande de la FAF reflète la volonté du sélectionneur national Djamel Belmadi d’obtenir un certain délai pour récupérer ses joueurs, après la confrontation de Djibouti.
Il convient également d’indiquer que ledit match était initialement programmé par la CAF le 14 novembre prochain, date qui n’arrange pas les coéquipiers du capitaine Riyad Mahrez, faute de temps pour bien préparer un match décisif pour la qualification au troisième tour.
Selon la même source, certaines autres sources ont indiqué que la CAF avait déjà approuvé la demande de la FAF, tandis que d’autres ont confirmé que cette dernière est toujours à l’étude, mais qu’elle est plus susceptible d’être approuvée, tant que cela ne pose pas de problème pour le concurrent.
Le match retour des Fennecs contre le Djibouti en ÉgyptePar ailleurs, la Confédération Africaine de Football a fixé la date du 12 novembre, pour le match de Djibouti contre l’équipe nationale algérienne au stade d’Alexandrie en Égypte, à partir de deux heures de l’après-midi (heure locale).
Quant à la dernière confrontation pour le compte des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022, qui réunit les Verts avec l’équipe nationale du Burkina Faso, elle aura lieu au stade Mustapha Tchaker de Blida, le 15 novembre, à partir de cinq heures du soir (heure locale).
Pour rappel, la Fédération djiboutienne avait exigé de jouer au Maroc, après avoir préalablement accepté de recevoir les Verts en Égypte, tandis que la Fédération du Burkina Faso avait demandé à la FIFA de ne pas jouer au stade Mustapha Tchaker, sous prétexte de sa mauvaise pelouse.
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Au sein de son bâtiment qui fait face à une méditerranée agitée, l’APN se déchaine et accuse le parlement Français d’être derrière plusieurs « guerres par procuration » qui visent à « déstabiliser l’Algérie ». Les accusations de la chambre basse du parlement algérien sont graves. Elles pointent notamment le parlement français et le qualifient d’outil à la merci de « lobbys maitre-chanteurs ».
Une conférence intitulée « Parlement Français… cessez les guerres par procuration » a eu lieu aujourd’hui au bâtiment sis avenue Zighout Youcef. Présidée par le vice-président de la chambre basse du parlement algérien, Moundir bouden, cette conférence a donné lieu à de graves accusations à l’encontre du parlement français.
Lors de son discours d’ouverture, le vice-président de l’APN a indiqué que les « les harcèlements continus du parlement français visent à parasiter l’Algérie ». Selon Moundir Bouden, cela se fait dans le but de pousser l’Algérie « à abandonner les causes stratégiques et ses projets de développement ».
L’APN déclare la guerre au parlement français et ses lobbysLe vice-président de l’APN va encore plus loin. En effet, il déclare que « le parlement français fait des guerres par procuration et roule pour les intérêts de lobbys qui font du chantage ». Selon le même intervenant, « le parlement français ignore tout de la réalité politique algérienne et ses sorties visent à déstabiliser l’Algérie ».
L’APN est agité, son vice-président assure que les sorties de l’assemblée nationale française « dépassent le cadre de la diplomatie » et que, « sous couvert de démocratie, il est utilisé comme un outil de parasitage à un niveau local et régional ».
Le vice-président de l’APN a notamment déclaré que « après les déclarations hostiles faites par le président français à l’égard de l’Algérie, c’est au tour du parlement français de mener une guerre par procuration en fourrant son nez dans les affaires internes de l’Algérie avec une série de fausses allégations, qui sont toutes démenties par la réalité ».
Pour finir, Moundir Bouden n’avait pas manqué de souligner que « l’Algérie nouvelle possède tous les constituants d’un leadership géopolitique sous la houlette du président abdelmadjid Tebboune »
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Face au flux migratoire incontrôlable, l’Europe tente de mettre en place des mesures pour lutter contre ce phénomène croissant mais en vain, raison pour laquelle plusieurs pays du continent ont décidé de passer à la vitesse supérieure.
La prochaine mesure était un peu plus drastique que celle d’avant. En effet, douze pays européens à savoir l’Autriche, la Bulgarie, Chypre, la République Tchèque, le Danemark, l’Estonie, la Grèce, la Hongrie, la Lituanie, la Lettonie, la Pologne et la Slovaquie ont envisagé la construction de murs et barrières anti-migrants pour contrer le flux migratoire au sud de l’Europe notamment venant du pays des Maghreb. Récemment les chiffres ont connu une réelle explosion : 1200 harraga algériens arrivés en seulement 72h.
Une demande officielle a donc été adressée à la Commission européenne le 8 octobre pour financer ce projet qui ne sera pas concrétisé puisque la Présidente de la commission Ursula Von Der Leyen a refusé leur demande. Cette dernière a réitéré sa position « j’ai été très claire sur le fait qu’il y a une position commune de longue date de la commission et du parlement européen sur le fait qu’il n’y aura pas de financement de barbelés et de murs ».
L’Allemagne rejoint la vagueLe ministre de l’intérieur allemand, Horst Seehofer, a jugé ce projet de « légitime » puisque l’Europe tente de protéger ses frontières pour empêcher les migrants clandestins. Prenant l’exemple de la Pologne qui a également demandé 350 millions d’euros pour construire ces barrières anti-migrants, elle renforcera la surveillance sur ses frontières avec 800 policiers déployés.
Ces pays ne s’arrêteront pas sur le refus de la Commission européenne notamment face à la croissance du fléau de
l’émigration clandestine. Les propos du ministre allemand pourront provoquer un réel « plot twist » étant donné que la parole de l’Allemagne a un poids considérable à l’Union européenne. Sa position inciterait d’autres pays membres à rejoindre la vague et exercer une pression sur la Commission pour financer ce projet.
Renforcement de la surveillance aux frontières, camps fermés ou murs anti-migrants, quelle sera la prochaine mesure pour contrer le flux migratoire ?
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L’arrivée de la saison froide, qui est souvent synonyme de grippes, intervient cette année au même moment avec la campagne de vaccination contre le Covid-19. La vaccination contre la grippe saisonnière et l’épidémie du coronavirus peut-elle se faire en même temps ?
Si les symptômes de ces deux pathologies affichent des ressemblances frappantes, le processus de vaccination contre l’une et l’autre suscite déjà des appréhensions et des interrogations auprès de la population. Ceci étant donné que la vaccination contre ces deux maladies est recommandée pour la population cible.
Pour le cas de la grippe saisonnière, qui est extrêmement contagieuse auprès de la population, elle peut être dangereuse, voire fatale notamment pour les personnes âgées, celles souffrant de certaines maladies chroniques et les femmes enceintes. D’où la nécessité de se faire vacciner.
Or, cette année, ce processus de vaccination contre la grippe saisonnière interfère avec la campagne de vaccination contre le coronavirus. De même, l’avènement de cette pathologie saisonnière pourra peser lourd sur le dépistage du Covid-19.
Par-delà tous ces facteurs, les interrogations sur l’administration simultanée des deux vaccins restent aux centres des préoccupations. D’un point de vue médical, les spécialistes en Algérie affirment que l’administration des deux vaccins simultanément pourra se faire sans aucun danger, mais à des conditions.
Les deux vaccins à la fois : les recommandations des spécialistesLe spécialiste en maladies infectieuses et membre du Comité scientifique de suivi de l’épidémie du coronavirus, le Dr Lyes Akhamouk rappelle que la grippe saisonnière est responsable chaque année des dizaines de décès en Algérie.
Dans une déclaration rapportée par le quotidien Le Soir d’Algérie, il souligne que « la campagne de vaccination antigrippale va commencer début novembre prochain et sera limitée uniquement à une certaine frange de la population ».
Pour ce qui est de la possibilité d’administrer le vaccin contre la grippe et celui contre le Covid-19 en même temps, « il n’y a aucun danger à se faire vacciner contre la grippe saisonnière et contre le Covid-19 simultanément ».
Or, le spécialiste ajoute que cela pourra se faire « à condition que les injections ne soient pas administrées au même bras ». Dr Akhamouk explique également « qu’aucun de ces deux vaccins ne doit être administré si la personne manifeste de la fièvre ou des symptômes respiratoires ».
Ainsi, le patient concerné « doit attendre sa guérison avant de se faire vacciner », recommande encore le spécialiste. Par ailleurs, il ajoute que le respect des mesures barrières pourra prémunir à la fois contre le Covid-19 et la grippe saisonnière.
L’article Covid-19 et grippe saisonnière : ce que recommande les spécialistes est apparu en premier sur .
Dans les quartiers huppés d’Alger, mais aussi dans d’autres wilayas du territoire national, poussent, de plus en plus, et ce, depuis plusieurs années, des promotions immobilières privées. Une chose qui n’est pas du gout du ministre de l’Intérieur, Kamel Beldjoud, en témoigne sa dernière note envoyée aux walis.
En effet, le ministère de l’Intérieur et des collectivités locales enquête sur les nouveaux immeubles d’habitation, construits dans le cadre de promotions immobilières. Ces constructions, faites en zones urbaines, poussent sur des terrains qui abritaient autrefois des maisons individuelles.
Les services du ministère de l’Intérieur ont notamment demandé aux walis de « suivre » ce qui a été qualifié de « phénomène d’expansion des promotions immobilières et leur impact sur l’urbanisation ». Les responsables des wilayas doivent, de ce fait, présenter au département de Beldjoud un bilan périodique mensuel.
Promotions immobilières et émergence de zones de l’ombreLe ministère de l’Intérieur vise à collecter les données concernant le nombre des constructions individuelles transformées en immeubles collectifs, ainsi que l’impact de ces derniers sur le paysage urbain. L’enquête lancée par Beldjoud vise également à recenser les zones dédiées aux promoteurs immobiliers ainsi que les moyens d’actualiser l’utilisation des recettes fiscales et des redevances pour renforcer les infrastructures et les équipements publics.
Les nombres des promotions immobilières, selon le département de Beldjoud, connaissent une courbe ascendante. Ces constructions qui étaient à l’origine des habitations individuelles, transforment des quartiers résidentiels huppés en des zones avec une dense présence démographique, estime le ministère de l’Intérieur.
Le département de Beldjoud estime notamment que la croissance du phénomène des promotions immobilières en zones urbaine favorise l’émergence de zones d’ombre et défigure le paysage de certains quartiers résidentiels. Le ministère de l’Intérieur indique également que cela entraînera la saturation des infrastructures et des équipements publics, ainsi que la détérioration de la qualité de vie.
Il n’a pas été omis de souligner aussi l’impact négatif des promotions immobilières sur l’harmonie du plan architectural et son influence néfaste sur l’esthétique des villes.
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La harga étant déjà un sujet sensible, elle le devient encore plus lorsqu’il s’agit d’enfants car, effectivement, le dangereux phénomène d’émigration clandestine n’épargne pas cette catégorie innocente. Ces derniers se retrouvent souvent exploités comme c’est le cas cette-fois ci, sauf que les auteurs de cette exploitation ne sont autres que leurs compatriotes.
La police espagnole a réussi a démantelé un réseau de criminels algériens à Majorque dans un bâtiment abandonné de la rue Manacor de Palma. Un réseau qui exploitait et utilisait les harraga mineurs à des fins illégales à savoir au moins 150 délits. Selon le journal espagnol ABC, un quadragénaire d’origine algérienne est à la tête de ce réseau composé de 16 personnes dont 13 qui ont été arrêtées.
Le bâtiment dans lequel le « leader » de ce réseau vivait est connu sous le nom de « maison de la terreur », il représente est un véritable foyer de délinquance. Les 13 détenus ont été déférés à la justice, ils ont été libérés par la suite alors que leur « leader » est entré en prison.
Ces mineurs qui ont illégalement pris le largeCes derniers temps, la harga n’épargne personne. Prendre le large et partir vers l’autre coté de la méditerranée, un risque qui séduit toutes les tranches ; hommes, femmes et personnes âgés. Bien que tout cela soit une triste réalité, une autre plus grave est relevée, celle de la harga des enfants. Raison pour laquelle l’Espagne a apporté une modification pour protéger ces derniers.
le Conseil des ministres d’Espagne a approuvé un arrêté royal concernant la modification de la réglementation et du régime juridique des mineurs et des anciens placés sous tutelle des régions espagnoles pour favoriser leur intégration. Cette insertion des migrants mineurs en situation irrégulière intervient suite à la proposition du ministère de l’Inclusion, de la Sécurité sociale et des Migrations.
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La Cour de Blida a ouvert le procès de l’ancien Directeur de la sûreté nationale DGSN Abdelghani Hamel et l’ancien chef de sûreté de la wilaya d’Alger, Noureddine Berrachedi. Cette affaire est également liée à celle de trafic de cocaïne dans laquelle est impliqué Kamel Chikhi. Ce dernier a été présenté en tant que témoins.
Lors de l’audience tenue hier au niveau de la Cour de Blida, les deux principaux mis en cause ont nié les accusations portées à leur encontre tout en s’accusant mutuellement. En effet, les accusés et leur défense ont longtemps plaidé leur innocence devant la présidente de l’audience, l’exhortant à les acquitter.
Il convient de noter que cette affaire est liée à celle de trafic de cocaïne dans laquelle est impliqué Kamel Chikhi dit « El Bouchi ». Cela remonte à la poursuite par l’ancien chef de sûreté de la wilaya d’Alger, Berrachedi de l’enquête sur le dossier de Kamel Chikhi.
Il s’agit de l’affaire de blanchiment de fonds publics d’une valeur de 125 000 millions DA et le financement de groupes terroristes. Lors de l’audience, Berrachedi a indiqué qu’au vu de son poste, le DGSN de l’époque lui a demandé la liste des bénéficiaires des appartements de l’immeuble appartenant à Kamel Chikhi, situé à Hydra.
Par conséquent, ajoute l’accusé, le chef de la police judiciaire de la sûreté de wilaya a ordonné à ses services de fournir la liste par l’intermédiaire du chef de la brigade économique. Ce dernier s’est déplacé à la conservation foncière de Bir Mourad Rais pour demander la liste.
Et c’est les démarches qu’a considérées le parquet comme contraires à la loi en les qualifiant d’abus de fonction, précise encore le prévenu. Après avoir obtenu la liste, Berrachedi a contacté Hamel pour l’informer que la liste contenait « des noms lourds ».
Hamel fait porter le chapeau à BerrachediPour sa part, Abdelghani Hamel a nié avoir demandé cette liste à Berrachedi soulignant qu’il avait été pendant ce temps-là dans une mission officielle aux USA.
Ensuite, il ajoute qu’il avait informé l’ancien ministre de la Justice Tayeb Louh que le dossier de blanchiment d’argent sur lequel travaille la Police judiciaire de la DGSN est suspendu depuis environ huit mois.
Selon Hamel, l’enquête porte sur des soupçons de blanchiment d’argent d’une valeur de 125 millions de dinars sur Kamal Chikhi, et le financement d’un groupe terroriste.
De son côté, l’ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh a reconnu qu’il avait reçu un appel de Hamel pour se pencher sur le dossier précité, et qu’il a chargé le directeur des affaires pénales de le prendre en charge.
En revanche, il a nié son intervention personnelle pour transférer le dossier des services de la police à la Gendarmerie nationale. Pour ce qui est de Kamel Chikhi, présent à l’audience en tant que témoin, il a nié toute relation avec les accusés.
Réquisitoire et date du verdictÀ l’issue des audiences, le parquet général près la Cour de Blida a rendu son réquisitoire dans l’affaire d’abus de fonction dans laquelle sont impliqués l’ancien directeur général de la sûreté nationale, Abdelghani Hamel et l’ancien chef de sûreté de la wilaya d’Alger, Noureddine Berrachedi,
Le procureur a, en effet a requis une peine de 7 ans de prison ferme contre les deux accusés, assortie d’une amende de 500 000 DA et subsidiairement la confirmation de la précédente peine en appel les condamnant à une peine de 4 ans de prison ferme assortie d’une amende de 100 000 DA chacun. Le verdict sera rendu le 7 novembre prochain.
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Les représentants du football algériens continuent toujours à remporter des victoire, et ce, dans le cadre des compétitions de Ligue des Champions d’Afrique ainsi que de la Coupe de la CAF.
À cet effet, les deux clubs algériens, à savoir l’ES Sétif et CR Belouizdad ont confronté la soirée d’hier, respectivement, Nouadhibou et ASEC Mimosa, dans le cadre d’un match retour du deuxième tour préliminaire de la Ligue des Champions.
Ce dimanche soir, l’ES Sétif a pu remporter la victoire contre son invité, le club Mauritanien Nouadhibou. La rencontre s’est déroulée au stade 08 mai 1945 de Sétif, où l’Aigle Noir a fait trembler deux fois les filets de l’équipe adverse, en inscrivant deux buts.
Le premier but a été marqué à la 44e minute par le milieu offensif Abderrahim Deghmoum, tandis que le second a été inscrit par l’attaquant Oussama Darfalou, à quelques minutes seulement avant la fin du match retour, précisément à la 84 minute.
Pour rappel, le match aller du deuxième tour préliminaire en Mauritanie s’est terminé par la victoire des locaux par trois buts à un.
La CRB Belouizdad remporte la victoirePar ailleurs, et lors de la même journée, le CR Belouizdad a atteint la phase de groupes de la compétition de la Ligue africaine des champions.
En effet, la qualification dudit club est intervenue après avoir remporté le match retour du deuxième tour préliminaire avec un doublé sans réplique au stade Omar Hamadi de Bologhine à Alger, contre le club ivoirien ASEC Mimosa.
Le doublé des jeunes footballeurs a été signé par Chouaib Keddad, au début de la confrontation (2e minute) et l’attaquant Khaled Bousseliou à la 48e minute. Sachant que le match aller en Côte d’Ivoire a été marqué par la victoire de l’ASEC Mimosa (3-0).
Les Canaris encore vainqueursDe son côté, la JS Kabylie a atteint, hier soir, la phase de pré-groupes de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF).
Les Canaris ont remporté la victoire du match retour du deuxième tour préliminaire, après avoir inscrit deux buts à un, contre l’adversaire marocain, au stade 01 novembre 1954 de Tizi-Ouzou.
Ali Haroun a ouvert le score pour les Canaris à la 55e minute, avant que Lambert Araina ne s’ajuste pour les FAR à la 58e minute. Mais Haroun a rajouté un autre but à la dernière minute, qui a permis de remporter la victoire à son équipe, à la 90+2. Notant que le match aller, qui s’est déroulé au Maroc, a été également remporté par la JS Kabylie avec un but sans réplique.
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Le gouvernement décide de ne plus puiser dans les revenus des sociétés étatiques, dont Sonatrach et Sonelgaz. Une décision annoncée hier dimanche par le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane.
Lors de la présentation du projet de loi des finances 2021 devant la commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN), Benabderrahmane a annoncé la décision de l’État de renoncer au bénéfice des groupes Sonatrach et Sonelgaz et d’autres Entreprises publiques
Cette démarche a pour objectif, selon le même responsable, de permettre à ces groupes publics de réinvestir la totalité de leurs revenus dans l’extension de leurs activités respectives.
En réponse aux questions des députés concernant les origines du déficit budgétaire, le Premier ministre a expliqué que le gouvernement s’attend à une baisse des revenus exceptionnels, notamment des bénéfices des entreprises publiques à l’effigie de la Sonatrach ou la Sonelgaz.
Dans ce sillage, le Benabderrahmane a indiqué que l’État a décidé de ne plus puiser dans les revenus de Sonatrach et Sonelgaz afin de leur permettre d’investir leurs bénéfices dans leurs domaines de travail respectifs et d’étendre leurs activités.
Les prévisions du gouvernement pour 2022Dans sa présentation du PLF 2022, le premier responsable au gouvernement et aux finances a indiqué que : « l’économie nationale, bien que fortement touchée par le double choc de la crise sanitaire et financière, a fait preuve d’une certaine souplesse face à ces tensions ».
Selon les prévisions du Premier ministre, les revenus des hydrocarbures baisseront en 2022 à 27,9 milliards de dollars (contre 32,4 milliards de dollars en 2021), tandis que les importations des marchandises devraient baisser de 5,4% en 2022 pour atteindre 31,8 milliards de dollars.
La balance commerciale devrait réaliser son équilibre en 2022 enregistrant un excédent de 1,3 milliard de dollars en 2023 et de 0,7 milliard de dollars en 2024 grâce à la hausse progressive des exportations et la baisse des importations.
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