Grande frustration auprès des étrangers, notamment européens, qui ont manifesté de l’intérêt pour le Séminaire international sur les villes intelligentes (Smart Cities). Celui-ci a ouvert ses portes hier au CIC (Clubs des Pins) avec certaines interventions qui n’auraient pas eu lieu, selon nos sources, à cause des visas qui n’auraient pas été accordés à de nombreux participants et même à quelques speakers. Notre source parle même de panels qui ont été annulés, dont celui relatif à “Smart City strategies”, “Success stories and opportunities” ainsi que celui inhérent au “Developing sustainable and affordable cities”. Un paradoxe avec le discours officiel qui prône le concours de toutes les bonnes volontés pour le developpement des Smart Cities.
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L’Apij (Association pour la promotion et l’intégration de la jeunesse) de Annaba organisera, le 5 juillet prochain, un mariage collectif au stade Abdelkader-Chabou. Première du genre, cette cérémonie permettra à 200 couples de convoler en justes noces. Issus des 12 communes de la wilaya de Annaba, ces jeunes, dont certains attendent depuis 5 années pour pouvoir se marier, font partie des personnes démunies ou aux ressources limitées, affirment les initiateurs. Ces derniers ont déjà recueilli la confirmation des communes d’El-Eulma avec 35 couples, Seraïdi (5 couples), Tréat (25 couples), Chorfa (15 couples), Oued El-Aneb (10 couples), Annaba (40 couples) et Berrahal avec un couple.
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Quand Neymar a finalement marqué un but face au Costa Rica (2-0), vendredi dernier, le Brésil tout entier a laissé éclater sa joie, le joueur star a versé quelques larmes et sa sœur… s’est déboîté une épaule, a rapporté hier une télévision brésilienne. Selon SporTV, Rafaella Santos a célébré avec tant d’enthousiasme la réussite de son frère qu’elle s’est cognée contre une amie et s’est blessée à l’épaule.
La jeune femme a ensuite partagé sur les réseaux sociaux une photo d’elle avec le bras en écharpe. Neymar est entré dans l’histoire de la Coupe du monde avec le but le plus tardif, à la 7e minute du temps additionnel, vendredi, lors du deuxième match de la Seleçao au Mondial 2018.
Mais les larmes du joueur le plus cher du monde au coup de sifflet final ont soulevé une polémique au pays du football roi, tout comme sa simulation grossière dans la surface plus tôt dans le match, alors que sa performance dans le Mondial en Russie est vivement critiquée.
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La réunion de travail prévue, hier, entre le ministère de l’Éducation nationale et les syndicats du secteur et qui devait porter sur l’épineux dossier des œuvres sociales n’a pas eu lieu. Le report est justifié officiellement par la maladie de l’inspecteur général au MEN, qui devait présider les travaux de ce conclave. Les syndicats devraient donc patienter avant de reprendre langue avec la tutelle. L’attente risque d’être longue, puisque les vacances des personnels de l’éducation débutent dans une semaine.
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Le retrait d'agrément à la CAME continue de susciter de moult interrogations dans le rang des populations. Cette décision survenue après le ménage dans le rang des importateurs de faux médicaments. L'approvisionnement en médicaments des centres hospitaliers demeure une inquiétude. Face à cette situation le ministre de la santé et son homologue de la justice ont rassuré les populations sur l''avenir de ces centres qui s''approvisionnement au niveau de CAME.
Les doutes se sont estompés dans la matinée de ce jeudi sur ce qui concerne la disponibilité des médicaments et la situation administrative de la Centrale d'achat des Médicaments CAME. C'etait lors de l'Assemblée Générale extraordinaire de la CAME, tenue au siège de Sèmè City, ex-primature à Cotonou. Pour les autorités, " la CAME continuera d'approvisionner les officines et les hôpitaux en médicaments malgré la dénonciation du contrat et le retrait de son agrément".
Selon le ministre de la santé, " le Gouvernement travaille de commun accord avec toutes les parties pour une refonte des textes de la CAME et pour une sécurisation des circuits d'approvisionnement en médicaments et de tout le secteur pharmaceutique en général. Toutes choses indispensables à la garantie de qualité des médicaments mis à la disposition des populations."
Quant au ministre de la justice, il a mis en garde les auteurs des fausses informations relatives à l'indisponibilité supposée des médicaments et consommables médicaux dans les officines et les centres de santé. "Ce sont de fausses informations et les auteurs risquent des poursuites judiciaires", laisse-t-il croire.
Une manœuvre militaire se déroulera du 26 au 29 juin 2018, dans les départements du Zou et des Collines. Dénommée Dassa 2018, du nom de la ville qui accueille la phase finale de cet exercice de grande envergure.
C'est par un communiqué de l'Etat Major de l'Armée de terre qu'est rendu public Dassa 2018, une manœuvre de l'armée de terre. « A l'initiative du Chef d'Etat-major de l'Armée de Terre, le Colonel Fructueux C. A. Gbaguidi, avec le soutien du Chef d'Etat-major Général, le Général de Brigade Laurent Amoussou et du Ministre délégué auprès du Président de la République chargé de la Défense Nationale, Dr Alain Fortuné Nouatin, Dassa 2018 vient à la suite de Dan et de Baoura, organisées respectivement en août et décembre 2017 », renseigne le communiqué. Selon l'état major, Dassa 2018 se déroulera en deux phases. « Un Command Post Exercise (CPX) qui s'est déjà déroulé du 20 au 22 juin à Porto-Novo et le Field Training Exercise (FTX) du 26 au 29 juin dans le triangle Abomey-Dassa-Zangnanado ». C'est dans le cadre des activités opérationnelles de l'Armée de Terre suivant les directives du Chef d'Etat-major Général qu'a lieu cet exercice. Cette manœuvre selon l'etat major, vise à « permettre aux officiers de mettre en pratique leur savoir-faire en état-major mais aussi les techniques de combat en agglomération face aux menaces asymétriques ».
La situation que traverse le monde notamment les menaces terroristes, la guérilla, ne doivent laisser le Bénin insensible bien qu'il soit épargné. « En effet aujourd'hui, le monde est confronté à de nouvelles formes de menaces qui vont du terrorisme à la guérilla urbaine. Si dans un premier temps le Bénin semblait être épargné, les Forces armées béninoises doivent être préparées à opposer une riposte appropriée à une menace d'où qu'elle vienne », indique le communiqué. Ainsi l'Etat Major de l'armée de terre soutient que « les récentes attaques terroristes perpétrées dans certains pays du continent notamment ouest-africains démontrent à suffisance que la menace est dorénavant présente partout ». Aussi rappelle-t-elle que « pour certains spécialistes, la guerre ou la menace asymétrique est un conflit opposant une armée régulière à un mouvement de guérilla ou terroriste capable d'user de tous les moyens pour déstabiliser un pays ou une région ». Ce qui incite l'Etat Major à prendre les dispositions idoines en vue de ne pas se faire surprendre. « C'est pourquoi l'Etat-major de l'Armée de Terre, de concert avec le Haut Commandement Militaire, a décidé d'anticiper sur d'éventuelles menaces visant l'intégrité du territoire et l'intangibilité des frontières ». Cette édition sera renforcer par la présence de deux délégations. « A la phase finale de cet exercice : une délégation de l'armée togolaise conduite par le Colonel Sogoyou Kpatcha, Chef d'Etat-major de l'Armée de Terre du Togo et une délégation de l'Armée américaine conduite par le Lieutenant-Colonel Michael Stone » seront aux côtés de l'Armée béninoise. « Selon les autorités militaires béninoises, une armée qui ne s'entraîne pas est une armée sclérosée ».
Giscard AMOUSSOU
Une délégation du Bénin conduite par le Ministre du Cadre de Vie et du Développement Durable, José Tonato, participe du 24 au 28 juin 2018 à Da Nang (Vietnam) à la VIème Assemblée Générale du Fonds Mondial pour l'Environnement (FME).
Sur plus de 150 délégations d'États, le Bénin n'a pas fait piètre figure à la VI ème Assemblée Générale du FME. Il a eu honneur de présenter, sous la présidence de Mme Naoko Ishii, Président Directeur Général du FEM, l'exemple du projet Programme de Gestion du Littoral Ouest Africain (WACA). Il s'agit d'un cas d'école de projet transfrontalier intégré, multisectoriel et multi-bailleurs épousant à la fois investissement gris et gestion de l'environnement.
Le Gouvernement a bénéficié d'un accord de financement de plusieurs bailleurs pour un montant de 63 000 000 dollars US, dont 11 548 708 dollars US de don du FEM.
Un projet qui a fait objet de la présentation lors de cette Assemblée Générale au Vietnam. Plusieurs partenaires techniques et financiers tels que le Fonds Vert Climat, la Banque Européenne d'Investissement et le Fonds Nordique pour le Développement ont approuvé la vision du Bénin. La délégation béninoise a été reçue sur instruction de la Présidente Directrice Générale du FEM, par M. Claude Gascon, Manager de programme assisté du staff du Secrétariat du FEM. Ayant été le premier pays à réussir l'organisation du dialogue national dans la cadre de la mise en place des financements du FEM 7, le staff a félicité le Bénin pour son dynamisme et sa vision.
Mettant l'accent sur les axes stratégiques du PAG, les projets phares et prioritaires, leviers d'un développement durable pour l'amélioration du cadre de vie des populations, le ministre Tonato a fait découvrir le Programme Villes Durables, programme prioritaire du PAG, à travers ses différentes composantes.
Le représentant de la PDG du FEM a reconnu l'engagement du Gouvernement béninois notamment en matière de gestion durable des villes et a marqué la disponibilité du FEM pour apporter aussi son appui technique dans d'autres domaines de compétence (produits chimiques, gestion des déchets, gestion durable des terres, foresterie, etc.). Il a aussi salué le gouvernement béninois pour sa vision.
G. A.
Les personnes impliquées dans l'affaire de placement de fonds de la Caisse nationale de Sécurité sociale (Cnss) à la Banque internationale du Bénin (Bibe) étaient à nouveau devant le juge, ce mercredi 27 juin 2018. Au terme des comparutions, le président de céans, Rodolphe Azo a déclaré que l'affaire est mise en délibéré pour le 24 juillet prochain.
L'affaire de placement de fonds de la Cnss à la Bibe a connu d'avancement. Les deux témoins, auteurs de la plainte déposée contre les prévenus étaient invités à comparaître face au juge. L'inspecteur général des finances Edinson Fassinou, une fois à la barre, a présenté le rapport de la commission bancaire de l'Uemoa. Selon le document, les 71 millions FCFA ont été effectivement décaissés. Il indique aussi qu'« Aucune preuve de reversement des commissions aux apporteurs d'affaires n'a été apportée à la commission ». Edinson Fassinou reconnaît qu'au regard des documents obtenus de la comptabilité de la Bibe, il n'existe aucune preuve qui lie les 71 millions FCFA décaissés à Laurent Mètongnon et ses co-accusés. Il a aussi attesté que les placements en dépôt à terme et les commissions octroyées aux apporteurs d'affaires constituent des pratiques bancaires. Le témoin, lors de sa plainte, avait soutenu l'idée selon laquelle les placements seraient moins motivés par les intérêts de la Cnss que des intérêts individuels. Le second témoin, Claude Emmanuel Acakpo, actuel directeur général de la Bibe, n'a pu certifier que la Bibe était effectivement en difficulté au moment des placements.
La défense, appuyée par Me Robert Dossou a plaidé la relaxe pure et simple de ses clients ainsi que la restitution de leurs titres de propriété et biens saisis. Quant au ministère public, il a maintenu ses demandes notamment la condamnation à 05 ans d'emprisonnement des personnes soupçonnées à l'exception des agents de la Bibe.
De nombreuses contradictions
Dans cette affaire, il y existe de nombreuses contradictions qui doivent être élucidées. Le plaignant n'est même pas certain que ceux qu'ils accusent ont reçu les 71 millions FCFA. Dans ces propos à la barre, il a déclaré que « Les fonds auraient été reversés aux responsables de la Cnss ». Un emploi du conditionnel qui vient contredire, le contenu de sa plainte dans laquelle, il a clairement affirmé que les commissions leur ont été reversées. Face à toutes ces contradictions, Me Robert Dossou a rappelé qu'en droit pénal : « Il n'y a pas d'interprétation hasardeuse en matière pénale et l'on ne saurait s'appesantir sur des incertitudes d'un témoin unique qui se contredit ».
Dans le relevé du Conseil des ministres du 02 novembre 2017, il était mentionné que les fonds ont été reversés au sieur Laurent Mètongnon et consorts. Cependant, le rapport de la commission de l'Uemo ne révèle aucune preuve du reversement des fonds aux mis en cause. Même celui qui est censé transmettre les fonds à Laurent Mètongnon, a déclaré qu'il ne l'a jamais fait.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
La deuxième audience de la Cour constitutionnelle a démarré dans la matinée de ce jeudi 28 juin 2018 à Cotonou sous la présidence Joseph Djogbénou. Au total, 14 recours ont été reçus, et 12 seront examinés ce jour par les sept sages. Il s'agit des requêtes relatives au retrait du droit de grève à certains agents de l'Etat, à la violation des libertés religieuses et à la détention du député Mohamed Atao Hinnouho.
Au sujet de la requête ayant trait au retrait du droit de grève, Mme Cécile Marie José de Dravo, membre de la Cour, a expliqué que ce n'était pas contraire à la constitution d'encadrer le droit de grève au Bénin. Pour elle, à défaut de retirer ce droit, le juge constitutionnel pourrait l'encadrer ce droit à travers une décision.
Pour cette deuxième audience, il y avait peu de monde au siège de la Cour constitutionnelle.
F. A. A.
Les députés du bloc de la majorité parlementaire (Bmp) ont transmis au président de l'Assemblée nationale, Me Adrien Houngbédji, une proposition de loi portant révision de la constitution du 11 décembre 1990, ce jeudi 28 juin 2018. Aussitôt reçu, le président de l'Assemblée nationale en a informé les députés lors de la plénière qui a cours actuellement au parlement. Cette proposition de loi apprend-on, vise essentiellement la suppression de la peine de mort, l'amélioration de la représentation des femmes, le couplage des élections et la création de la Cour des comptes.
F. A. A.
Proposition d'amendement à la constitution de la République du Bénin
Cette proposition vise à :
1- Consacrer dans la constitution, la suppression de la peine de mort adopté par la loi N0 2018-16 du 4 juin 2018 portant code pénal. Cette consécration implique un amendement de l'article 15
2- Promouvoir la représentation des femmes au sein de l'Assemblée Nationale grâce à un amendement de l'article 81 de la constitution. La loi électorale pourra prescrite des dispositions particulières en faveur de cette couche importante de notre société.
3- Aligner les mandats et regrouper les élections pour aboutir à l'organisation d'élections générales, présidentielles, législatives et communales afin d'éviter à notre pays d'être constamment en période de campagnes électorales et d'élections et lui permettre ainsi de s'atteler davantage aux tâches de développement. Cet objectif implique que la durée du mandat des députés soit portée à cinq ans à compter de la prochaine mandature. Elle implique également que les élections législatives aient lieux au plus tard, 90 jours après l'élection du président de la République. Cet objectif est atteint par un amendement de l'article 80.
4- conformer notre constitution aux dispositions du traité de l'Uemoa du 29 Janvier 2003, en créant la Cour des comptes qui assure une gestion transparente et efficiente des finances publiques. Cet objectif est atteint par la création de ladite Cour dans les articles 138 bis 1, 138 bis 2, 138 bis 3 et 138 bis 4. En conséquence, la proposition sépare les attributions de la Cour des comptes de celles de la Cour suprême.
Ont signé
1-Bruno AMOUSSOU
2-Kolawolé A. IDJI
3-GBIAN Robert
4-NAGO Mathurin
5-André Okounlola BIAOU
6-Kassa Barthélémy
7-AKOTEGNON Raphael
8- BAKO Arifari