Le Ministre de l’Intérieur, des Collectivités Locales et de l’Aménagement du Territoire, Noureddine Bedoui, a dépêché, jeudi, une commission interministérielle à la wilaya de Tébessa, suite aux dernières intempéries, afin de s’enquérir des dégâts et prendre les mesures nécessaires en coordination avec les autorités locales pour la prise en charge des victimes.
Suite aux dernières intempéries qu’a connues la wilaya de Tébessa, le Ministre de l’Intérieur des Collectivités Locales et de l’Aménagement du Territoire Monsieur Noureddine Bedoui, a dépêché une “commission interministérielle, en coordination avec les secteurs concernés, pour s’enquérir des dégâts et prendre les mesures nécessaires en coordination avec les autorités locales pour la prise en charge des victimes”, précise un communiqué du ministère.
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Le président de la Fédération algérienne des sports mécaniques (FASM), Chiheb Bahloul, est décédé vendredi à Timimoune (Adrar), suite à un malaise cardiaque, a-t-on appris auprès de la Protection civile.
Le défunt se détendait, après une journée de prospection dans la région en prévision de l’organisation d’un évènement sportif, à la piscine du complexe olympique de Timimoune au moment où il a eu son malaise vers 13 heures, a précisé la source, signalant que le corps a été évacué à l’établissement public hospitalier de Timimoune, en attendant son transfert à Blida, sa wilaya d’origine.
Chiheb Bahloul (47 ans) a contribué à l’organisation de diverses manifestations de sports mécaniques dans la région, dont le Rallye des Colombes en 2016, dans le cadre de la promotion de la destination touristique du Sud algérien, selon les milieux sportifs.
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16h45 Saudi Pro League Al Feiha – Al Shabab (Benlamri)
MBC Pro Sports
18h Ligue 1 Conforama Nice – Rennes (Atal – Bensebaini, Zeffane)
beIN Sports 4 (Arabe), beIN Sports 1 (France)
19h Domino’s Ligue 2 Nancy – Le Havre (Lekhal, Ferhat)
beIN Sports 2 (France)
19h Domino’s Ligue 2 Brest – Gazelec (Belkebla)
beIN Sports MAX 5 (France)
19h Domino’s Ligue 2 Clermont – Auxerre (Merdji)
beIN Sports MAX 6 (France)
19h Domino’s Ligue 2 Orleans – Chateauroux (Ziani)
beIN Sports MAX 8 (France)
19h Domino’s Ligue 2 Troyes – Niort (Kashi)
beIN Sports MAX 10 (France)
19h SüperLig Galatasaray – Kasimpasa (Feghouli)
beIN Sports 1 (Turquie)
20h30 Taça da Liga FC Porto – Chaves (Brahimi)
Sport TV1 (Portugal)
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Le Portugal a refusé de présenter une candidature conjointe avec le Maroc ayant décidé de s’allier avec les deux pays de la péninsule Ibérique, l’Espagne et le Portugal aux dépens de la Tunisie et l’Algérie pour l’organisation de la Coupe du Monde 2030.
En effet, selon les informations du quotidien portugais « A Bola », les dirigeants de ce pays ne seraient pas favorables à une candidature conjointe avec le Maroc et l’Espagne pour organiser la Coupe du monde de football 2030. Selon le même média, l’hypothèse de voir le Portugal co-organiser le Mondial 2030 avec l’Espagne et le Maroc est «dénuée de fondement».
La même source affirme que les responsables du football portugais ont totalement écarté l’idée d’une candidature de leur pays à l’organisation de cet événement international, précisant «qu’accueillir un grand événement lié au football ne ferait pas partie des plans du pays.» Un coup dur pour le royaume qui pourrait ainsi présenter une candidature individuelle d’autant plus que l’Espagne n’a pas encore exprimé sa volonté de déposer un dossier commun avec le pays maghrébin.
À noter que le président de l’UEFA, Aleksander Čeferin a refusé une candidature commune avec le Maroc. Le premier responsable du football européen souhaite voir une seule et unique candidature européenne au mondial 2030.
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L’exploitation commerciale du train rapide « Coradia » de la ligne Oran-Béchar sera lancée dimanche prochain, a-t-on appris jeudi des responsables de la gare ferroviaire d’Oran.
Le directeur commercial de cette gare, Mebarek Noureddine, a indiqué que le départ du train se fera à partir de la ville de Béchar aux environs de 05H40mn et l’arrivée sera à Oran à 13H21mn. Le retour est programmé le même jour à 13H45 mn et l’arrivée à Béchar aux alentours de 21H00.
Ce train à grande vitesse (120 km à l’heure) assurera sept voyages par semaine en aller retour sur cette ligne, a-t-on fait savoir.
La mise en service de ce train qui fournit aux passagers un voyage confortable s’inscrit dans le cadre de la modernisation du réseau de transport ferroviaire des voyageurs au niveau national, a-t-on souligné, signalant que le prix du voyage sur le train Coradia est fixé à 2.700 DA en première classe et 2.200 DA en 2e classe.
Le train est composé de six wagons offrant au total 257 places dont 62 en 1ere classe. Il dispose d’un espace pour handicapés moteurs.
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La ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, Imane Houda Faraoun, a procédé jeudi depuis Biskra le lancement du nouveau service de transferts financiers d’un compte courant à un autre à partir des bureaux de poste.La première opération de transfert de compte à compte a été ainsi exécutée avec succès au niveau de la recette principale de la ville de Biskra en présence de la ministre, des cadres du secteur et des autorités locales.
Ce nouveau service élargit la gamme des prestations financières postales, améliore la qualité des services offerts aux clients et modernise les moyens de financement par systèmes informatiques, selon les explications données à l’occasion.
Il permet également de sécuriser et faciliter les transferts, de généraliser l’utilisation de la carte magnétique et de réduire l’utilisation des liquidités monétaires.
Mme Faraoun a mis l’accent à l’occasion sur l’augmentation de la valeur des opérations réalisées au cours des huit premiers mois 2018 ayant atteint 2,5 milliards DA qui dépasse la valeur des opérations de toute l’année 2017 estimé à 1,6 milliard DA.
La ministre a inauguré, à l’occasion, une agence commerciale d’Algérie Télécom à la circonscription administration d’Ouled Djellal et procédé à la mise en service de trois raccordements en fibre optique (Biskra/El oued), (Biskra/M’sila) et (Lioua/Ouled Djellal).
Elle a aussi inauguré le bureau de poste Bentioss, dans la commune de Mekhadema, et la recette principale du chef-lieu de wilaya ayant connu des travaux d’aménagement.
La ministre poursuivra sa visite par la pose de la première pierre pour la réalisation d’un bureau de poste et d’un siège pour l’unité postale de wilaya, ainsi que deux logements d’astreinte dans la commune de Biskra.
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Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a affirmé, jeudi à Alger, que les Algériens gagneraient à préserver le précieux acquis de la paix et de la stabilité, préconisant la conjugaison des efforts de l’ensemble des institutions et acteurs, notamment des gens des médias qui ont, a-t-il estimé, « un rôle pivot dans la sensibilisation de la société et la vulgarisation des valeurs de fraternité, de solidarité et de tolérance ».
L’Algérie a acquis, à travers son expérience et au vu des perturbations et conflits qui secouent le monde, la conviction que la paix est le socle de tout édifice et la condition à toutes les relations, qu’elles soient entre individus ou entre Etats, à la différence de leurs orientations et de leurs niveaux », a déclaré M. Kaouane lors d’une rencontre sur « Le vivre ensemble en paix » organisée par la Radio du Coran, à l’occasion de son 28e anniversaire.
Partant de cette conviction, l’Algérie a eu l’honneur de présenter l’initiative du « Vivre ensemble en paix », instituée par le système des Nations unies Journée internationale du vivre-ensemble en paix, célébrée le 16 mai de chaque année, a rappelé le ministre, estimant que « c’est là une reconnaissance implicite du rôle de l’Algérie, sous la conduite du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans la consécration des valeurs de paix ».Rappelant également que son département a retenu « Le vivre ensemble en paix » comme thème de la prochaine édition du Prix du président de la République du journaliste professionnel, M. Kaouane a réitéré son invitation à tous les journalistes pour une participation en force « au service du professionnalisme et de la paix en tout lieu ».
Abordant le thème de cette rencontre, le ministre a salué le staff de la Radio du Coran pour « la contribution à l’entreprise de recouvrement de la paix et la réalisation du développement à travers des programmes établissant un lien entre le citoyen et la réalité en s’appuyant à une référence religieuse de juste milieu dans le cadre d’une politique nationale basée sur la réconciliation et l’égalité dans les droits et les devoirs ».
A ce propos, le ministre a mis en avant les efforts consentis par l’Etat à travers la stratégie du secteur de la Communication qui vise « la modernisation du secteur afin de parfaire le niveau de prestation et de performance, notamment avec la prolifération des médias et des réseaux sociaux ».
M. Kaouane a tenu, à cette occasion, a souligner la grande importance qu’attachent les responsables du secteur à la mise oeuvre et à l’actualisation de cette stratégie en vue d’atteindre un niveau élevé de professionnalisme garantissant au citoyen son droit à l’information et au journaliste la liberté de travail et l’accès à la source d’information sans autres conditions que celles dictées par la déontologie et la préservation des intérêts suprêmes du pays ».
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Le coût du projet du Complexe de phosphate à l’Est du pays devant entrer en service en 2022 s’élève à près de 6 milliards de dollars, a indiqué, jeudi à Alger, le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi.
Intervenant lors ‘une séance de l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, le ministre a précisé que « le volume global de l’investissement de ce projet intégré s’élève à près de 6 milliards de dollars, répartie entre la mine de Bled El-Hadba à Tebessa (1,2 milliards de dollars), la plateforme de Hadjer Kebrit à Souk Ahras (2,2 milliards de dollars), la plateforme de Hadjar Essoud à Skikda (2,5 milliards de dollars) et le port de Annaba (0,2 milliards de dollars).
Ce projet porte sur l’exploitation du phosphate extrait du champs de Bled El-Hadba dans la wilaya de Tébessa, d’une capacité de 500 millions de tonnes et la valorisation de cette ressource naturelle à travers la production des engrais, de l’ammoniac, du silicium et autres matières utilisées dans les différentes activités économiques.
Le projet prévoit l’extraction de 6 millions de tonnes/an de phosphate de haute qualité de Bled El-Hadba (Tébessa), la production de 3 millions de tonnes d’acide phosphorique à Oued Kebrit (Skikda) et la réalisation d’une unité d’accompagnement pour la récupération des rejets fluorés à partir des unités de production de l’acide phosphorique, ce qui permettra de produire 60.000 tonnes d’Acide fluorhydrique anhydre (AHF) et 57.000 tonnes de SIO².
Il est question également de la production de 1,2 millions de tonnes/an d’ammoniac et 4 millions de tonnes d’engrais, selon les explications fournies par M. Yousfi.
Ce projet intégré sera réalisé en partenariat entre deux groupes algériens Sonatrach et ASMIDAL-MANAL et deux groupes chinois CITIC et WENGFU.
Soulignant que dans ce projet, la partie chinoise détient 49% contre 51% pour la partie algérienne, le ministre a fait état de la création d’une joint-venture entre les deux parties durant le dernier trimestre de l’année en cours, en attendant le lancement effectif de la production début 2022.
M. Yousfi a rappelé que ce projet et la nécessité d’accélérer sa réalisation ont été évoqué par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia et les responsables chinois, durant sa dernière visite à Pékin.
« Ce projet, qui aura un impact socioéconomique positif sur la région, permettra la création de près de 2.500 postes d’emplois directs permanents, dont 963 à Hadjer Essoud, 654 à Oued Kebrit et 880 à Bled El-Hadba, selon le ministre.
Le flux de production à acheminer par voie ferroviaire dans le cadre de ce projet atteindra 17 millions de tonnes/an, ce qui exige le dédoublement de la voie minière reliant Bled El-Hadba à Annaba avant 2022.
Par ailleurs, l’Entreprise du port de Annaba a programmé une extension de 42 ha, destinée à l’exportation des produits finis et à l’importation du soufre (1,7 millions de tonnes/an).
Grâce à ce projet, l’Algérie aura l’opportunité de valoriser ses réserves en phosphate et en gaz naturel, à travers la création d’une industrie manufacturière structurante créatrice de richesse et deviendra ainsi l’un des plus grands pays exportateurs d’engrais, a ajouté le ministre.
Il a révélé, dans ce cadre, que ce complexe permettra d’exporter près de 2 milliards de dollars/an d’engrais, ce qui garantira des revenus en devises à hauteur de 1,5 à 2 milliards de dollars/an.
A une autre question sur le projet de la zone industrielle d’Aïn Ouessara à Djelfa, le ministre a précisé que les travaux de réalisation sont actuellement à l’arrêt en raison de l’opposition de certains citoyens à ce projet, ajoutant que ce dossier est en cours de traitement par les autorités concernées. M. Yousfi a indiqué, cependant, que le ministère veille à son parachèvement « dans les plus brefs délais ».
Une enveloppe de 10 milliards DA a été dégagée pour cette zone d’une superficie de 400 ha, a fait savoir le ministre.
Le programme national de réalisation des zones industrielles, qui intervient en application de la décision rendue public par le Conseil national de l’investissement le 24 mars 2016, prévoit la réalisation de 30 zones industrielles qui seront élargies en 50 zones, à la demande des walis pour une superficie globale de 12.000 ha répartis sur 39 wilayas.
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L’Algérienne Des Autoroutes (ADA) a annoncé jeudi le lancement des travaux de réalisation de la 1ère partie centrale de la Gare de péage en pleine voie (BPV) de Mouzaia (Blida) sur I’Autoroute Est-Ouest (Sens Alger vers Oran), ce qui nécessitera une déviation provisoire du trafic au niveau de cette commune.
Cette déviation d’un (1) kilomètre, avec une réduction de trois à deux voies de circulation dans le sens Alger vers Oran, sera mise en service à partir de la matinée de demain vendredi. Elle permettra de reporter le trafic des véhicules sur la partie nord (en cours de réalisation) de la gare de péage en pleine voie (BPV) de Mouzaia, indique l’ADA dans un communiqué.
Un dispositif de sécurité ad’ hoc, avec une signalisation temporaire de chantier, de nuit comme de jour, a été mis en place à cet effet, ajoute la même source.
La vitesse d’approche de la zone des travaux est limitée à 60 km/h pour les usagers en provenance d’Alger et à 40km/h pour ceux provenant d‘El Affroun (échangeur).
La hauteur limite des véhicules est quant à elle permise à un gabarit de 5 mètre.
Les travaux de réalisation de la 2ème partie centrale de la gare de péage en pleine voie (BPV) de Mouzaia (Sens Oran vers Alger) Seront, aussi, lancés, incessamment, informe l’ADA en soulignant que la réalisation de la 1ère partie de cette gare s’inscrivait dans le cadre de la poursuite des travaux de réalisation des installations et équipements d’exploitation de I’Autoroute Est/Ouest.
L’entreprise remercie enfin les usagers de leur compréhension et leur recommande la plus grande prudence et la modération de leur vitesse aux abords des chantiers pour leur propre sécurité et celle du personnel travaillant sur l’autoroute.
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Le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaalane a affirmé, jeudi à l’Assemblée populaire nationale (APN), qu’une proposition avait été soumise à l’effet d’affecter des fonds supplémentaires à son secteur pour le parachèvement de certains projets, et ce dans le cadre du Projet de loi de finances (PLF-2019).
« Des propositions ont été soumises, mais il faut attendre l’examen du PLF 2019 par plusieurs instances gouvernementales et parlementaires (Conseil de gouvernement, Conseil des ministres, puis Parlement), avant de les trancher », a indiqué M. Zaalane qui répondait à la presse concernant l’opération de réévaluation de certains projets du secteur au titre du PLF 2019.
Pour ce qui est du montant global proposé par le secteur en vue de financer la réalisation de certains projets, le ministre a indiqué que ce montant « peut être revu à la baisse ou à la hausse. Ce sont des choses qui sont en phase d’accord de principe et les prochains programmes seront abordés dans le cadre des travaux d’arbitrage avec le ministère des Finances et la Direction générale du budget ».
Répondant aux questions des députés lors d’une séance plénière consacrée aux questions orales, présidée par le vice-président de l’Assemblée, le ministre a cité certains projets auxquels des enveloppes supplémentaires ont été proposées pour leur réalisation dans le cadre du PLF 2019. Il s’agit, poursuit le ministre, du parachèvement du projet de réalisation de la pénétrante autoroutière de Djen Djen et de la pénétrante qui reliera le port de Bejaïa à l’autoroute Est-Ouest.
En réponse à une question relative au retard accusé dans la réalisation de la pénétrante autoroutière de Djen Djen-El Eulma, aux mesures prises par les services du ministère des Travaux Publics et des Transports, en vue de remédier aux différents problèmes auxquels ce projet stratégique fait face, ainsi qu’aux délais de réception du 1er tronçon, le ministre a fait état d’une proposition d’affectation d’une enveloppe budgétaire supplémentaire à ce projet dont le coût s’élève à 8 milliards de DA, et ce, dans le cadre du PLF 2019.
Dans le même contexte, M. Zaalane a rappelé l’importance de cette pénétrante autoroutière longue de 110 km, qui est parmi 13 pénétrantes autoroutières vers l’autoroute et qui parcourent trois wilayas, Jijel, Mila et Sétif.
Dans ce cadre, le ministre a rappelé les différents obstacles liés à ce projet, dont ceux inhérents au relief accidenté de la région, au glissement de terrain, au recensement de plus de 300 obstacles liés aux réseaux d’alimentation en eaux et en gaz, l’opposition des habitants à l’ouverture d’un couloir en raison de l’existence de 460 maisons, la rareté des carrières répondant aux standards, ainsi que le problème du non-recouvrement à terme des créances des entreprises de réalisation en raison de la situation financière du pays pendant cette période.
Le ministre a également cité le problème de la rareté de l’acier en 2017, qui a empêché la réalisation des ouvrages d’art qui représentent 15% de la route.
S’agissant des mesures prises pour accélérer la cadence des travaux, M. Zaalane a rappelé sa visite fin juillet dans cette région, laquelle a permis d’examiner la situation, d’aplanir les obstacles et de démolir plus de 300 habitations, ce qui a permis de libérer 95% de l’espace de l’itinéraire, payer les redevances des entreprises et résoudre le problème de sécurité relatif à l’accompagnement des étrangers et autres mesures.
Il a également été procédé à la délimitation des tronçons prioritaires à livrer, précisant que le parachèvement du projet est prévu vers la fin du premier trimestre de 2020.
En réponse à une autre question relative au retard accusé dans certains projets entrepris à Bejaia, dont la rocade reliant le port de la ville à l’autoroute Est-ouest et l’extension du port, le ministre a apporté des précisions sur le déroulement des travaux.
A ce propos, M. Zaalane a précisé que la voie en question est considérée comme la seconde pénétrante autoroutière de par sa longueur atteignant les 100 km, et que l’état d’avancement de ses travaux était de 75%, sa livraison étant prévue vers la fin 2019.
Le ministre a indiqué que les deux parties de la route (52%) avaient été livrées l’année dernière, tandis que les travaux de le troisième tronçon qui s’étend de Sidi Aïch à Ighzer Amokrane et la pénétrante d’Amizour sur un 26km, avait atteint 75%. La réalisation de ce tronçon, a-t-il poursuivi, nécessite la réalisation de 18 infrastructures, car situé dans une zone montagneuse à relief accidenté requérant un tunnel de 166m de longueur et dont les travaux ont atteint 64%.
Le premier responsable du secteur a, par ailleurs, passé en revue les différents obstacles qui ont entravé l’avancement de la réalisation de ce tronçon notamment à la commune de Timezrit où « nombre de citoyens ont réclamé un remboursement alors qu’ils n’ouvrent pas droit », car n’étant pas concernés par l’expropriation dans le cadre de l’intérêt général.
Ces contestations, poursuit le ministre, ont fini par entraver l’opération d’approvisionnement en graviers, faisant savoir que le projet en question nécessite 150.000 tonnes/mois alors qu’on en livre 20.000 tonnes, mais rassurant que des mesures ont été prises afin de lever tous ces obstacles.
M. Zaalane a souligné, également, le lancement des travaux de réalisation du quatrième tronçon au niveau d’Amizour (Port de Bejaia) sur une distance de 120 km à partir du quatrième trimestre de 2018, précisant « qu’une enveloppe financière supplémentaire a été proposée dans le cadre du PLF-2019, estimée à 10 milliards de dinars pour réévaluer le projet ».
S’agissant des travaux d’extension au niveau du port, le ministre des Travaux publics et des transports a fait savoir que « l’étude de ce projet est prête depuis afin d’aboutir à une meilleure conception avec un coût de 70 milliards de dinars, insistant sur la nécessité d’inculquer la culture du financement par les recettes des ports et ne pas compter sur le trésor de l’Etat ».
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Le politologue Français Bertrand Badie a auguré jeudi à Alger un rôle déterminant des pays du Sud dans le jeu international, marqué actuellement par la disqualification des grandes puissances et leurs échecs répétés à travers le monde.
« La puissance est disqualifiée, elle est devenue négative », a estimé ce spécialiste en relations internationales lors d’une conférence qu’il a animée à l’Institut national des études stratégique globales (INESG), citant les exemples des Etats-Unis au Vietnam, en Irak et en Afghanistan, de la France en Libye et au Sahel et de la Russie en Afghanistan et en Syrie.
La nature de l’ordre international est aujourd’hui dépassée, mais les grandes puissances ne veulent pas reconnaitre les faits, a-t-il avancé, soulignant que « la puissance négative continue toujours à s’affirmer malgré les échecs répétés ».
Pour M. Badie, le monde post-Guerre froide s’est profondément transformé, à l’instar du déplacement du champ de bataille de l’Europe vers les pays du Sud, le changement de la nature de la guerre de l’interétatique à l’intra-étatique et enfin les belligérants ne sont plus les Etats mais des seigneurs de guerre et les milices.
C’est dans ce contexte que le conférencier a présagé un rôle déterminant pour les Pays du Sud sur la scène internationale, d’où le thème de la conférence « Quand le Sud réinvente le monde, l’impuissance de la puissance » et qui est également le titre d’un livre qui devrait apparaitre aujourd’hui en France.
Il a expliqué que le passage de la guerre interétatique à la guerre intra-étatique implique que la guerre est l’effet de la décomposition des sociétés et que la puissance n’est plus à l’origine du jeu international, notant au passage que le concept de « société guerrière » est malheureusement d’actualité (entre 250.000 à 400.000 enfants soldats en Afrique).
Dans cet ordre d’idées, le conférencier à estimé que les grandes puissances ne peuvent rien faire contre ce nouveau type de conflictualité, malgré qu’elles pensent toujours le contraire en intervenant militairement, en Somalie, en Libye, en Irak, en Afghanistan, au Mali…etc.
« Y a-t-il un seul exemple où la puissance a pu arrêter ces formes nouvelles de conflictualité? Y a-t-il un seul exemple où la puissance a pu remplacer le désordre, causé par la conflictualité nouvelle, par l’ordre? s’est-il interrogé dans un ton ironique.
Sur cette base, M. Badie a jugé que la puissance est aujourd’hui « négative », et qu’on a passé de la « power politics à la witnesse politics » (de la puissance politique à la faiblesse politique). C’est pourquoi les pays du Sud sont plus que jamais appelés à retourner cette situation à leur avantage.
Il a expliqué que « si la violence des faibles est si efficace aujourd’hui, leur capacité constructrice le sera encore plus, d’où l’importance des demandes de l’Afrique et de l’Asie relatives à de la redéfinition de la gouvernance globale ».
« Le Sud qui n’a jamais été en situation de puissance, donc n’a pas gouté à son amertume et bien échappé à sa pesanteur, peut définir une nouvelle grammaire des relations internationales », a-t-il affirmé.
Il a expliqué que le Sud pourra définir les concepts des relations internationales différemment des vieilles puissances en termes de souveraineté, de territorialité, de nation, de construction régionale…etc. « Il y a là une façon neutre de regarder le monde ».
Il a cité, dans ce sens, l’approche chinoise pour jouer un rôle dans le système international, le qualifiant d' »efficace ». Le modèle chinois est une « autre façon de gérer le monde et ça peut être la base d’un redémarrage de quelque chose de nouveau », a-t-il conclu.
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Le 10e Festival international de la calligraphie arabe, des miniatures et des arts décoratifs s’est ouvert jeudi à Alger avec la participation de créateurs algériens et étrangers.
« L’Algérie est une école en matière de calligraphie et de miniature, arts portés haut par de grands noms comme Mohamed Racim et Mohamed Temam » (Oulebsir
La manifestation qui est une fusion du festival de la calligraphie arabe et de l’enluminure et celui des miniatures des arts décoratifs, se poursuit jusqu’au 18 septembre au Palais de la culture Moufdi-Zakaria avec la participation de calligraphes et miniaturistes de 12 pays.
En ce premier jour, des œuvres d’une quarantaine d’artistes algériens, tunisiens, égyptiens, iraniens, turcs et syriens, entre autres, sont exposées devant un public nombreux venu découvrir les dernières créations de cet art.
Les miniatures de l’artiste et chanteur Rabah Dariassa, ont suscité un grand intérêt chez les visiteurs qui ont eu, également, à apprécier des ouvres de Khaled Sbaa, Abbas Mohamed, Djemai Réda, Ahmed Khalili, Khassef Abdelkrim ou encore Farida Saisse.
Dans ses miniatures, Rabah Dariassa, emmène le visiteur dans le passé de l’Algérie, dévoilée à travers son « navire de guerre » ou des costumes féminins traditionnels, (kabyle, algérois…).
D’autres artistes algériens à l’image de Ayache Mohamed, Kerkab Aissa et Kour Nourredine ont exploré la calligraphie, art dans lequel ils ont fait montre de leur talent à travers des calligraphies de versets coraniques.
En petits et grands formats, des artistes à l’image de l’égyptien Ihab Ghrib Athmane, le pakistanais Achraf Mohamed et le turc Zaki Sid Oglo, ont alterné entre la calligraphie et la miniature, dans des traits expressifs très spirituels.
Présent à la cérémonie d’ouverture, le secrétaire général du ministère de la Culture, Smail Oulebsir, a déclaré que ce festival était un « espace permettant aux artistes algériens de rencontrer et d’échanger leurs expériences avec des artistes étrangers ».
Ce festival est « très important » car, a-t-il dit, est un « rendez-vous qui représente, à travers différentes formes d’art, l »appartenance identitaire » de l’Algérie et sa civilisation.
Parallèlement à l’exposition, des conférences sur l’histoire de la calligraphie arabe, la miniature et les arts plastiques, seront animées par des artistes et spécialistes algériens et étrangers.
Des ateliers d’initiation aux techniques picturales sont également au menu de l’édition 2018 de ce festival, financé sur un reliquat de « 20 » millions de dinars des précédentes éditions.
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L’épisode de l’intriguant assassinat d’Algériens établis à Marseille se poursuit sans pouvoir être élucidé par les autorités françaises.
Un gang criminel cagoulés, a procédé dans a nuit du mardi au mercredi et dans le 15e arrondissement de la ville de Marseille, à l’élimination par balle d’un ressortissant algérien.
Il s’agit de Bernouk Lahcen, âgé de 45 ans et issu de la commune de Marouana, dans la wilaya de Batna.
La victime a été tuée d’une rafale de Kalachnikov par un gang criminel cagoulé, avant que les auteurs du crime prennent la fuite à bord d’un véhicule de type « BM W » capturé par des caméras de surveillance.
Atteinte de 20 balles, la victime, est décédée vraisemblablement sur le coup.
Cette série de meurtre suscite toujours l’indignation de la communauté algérienne établie en France qui a reproché au consulat d’Algérie et des parlementaires issus de l’émigration leur inaction contre les agressions, et les meurtres dont sont victimes les ressortissants de cette ville.
La police française a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances et les causes de ce nouveau drame. La dépouille de la victime a été transférée à l’hôpital.
Pour rappel, la presse française pense que ces assassinats ont un lien avec le trafic de drogue qui ravage les cités du nord de la ville, mais le bilan ne cesse de s’alourdir et ce, en dépit des promesses du ministre de l’intérieur français, lors de sa visite à Alger.
Tarek.M / version française: Rachel Hamdi
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Les localités situées dans les environs du fleuve Mono sont menacées par la montée des eaux. La Communauté électrique du Bénin (CEB) a donné l'alerte sur les risques d'inondation du fleuve à travers un communiqué en date du lundi 10 septembre 2018.
Dans la commune d'Athièmé, les eaux du fleuve Mono ont débordé, ce mercredi 12 septembre 2018 septembre, jusqu'à 6,5 mètres. Suite à cela une délégation de l'Agence nationale de la protection civile (Anpc) a rencontré d'urgence les partenaires techniques et financiers de la mairie et les acteurs locaux de la réduction des risques de catastrophe.
Le niveau élevé des eaux du fleuve et l'évacuation des crues à partir du barrage de Nangbéto, peut aggraver à tout moment la situation.
La CEB informe que « Le barrage de Nangbeto vient d'atteindre la moitié de la capacité de réservoir malgré que les deux groupes soient en marche continue depuis le 16 juillet dernier ».
Le niveau d'eau va encore monter dans les mois de septembre, octobre et novembre 2018.
La commune d'Athiémé étant en alerte maximale, une délégation de l'Anpc, des acteurs locaux de la réduction des risques de catastrophe et la mairie ont élaboré des actions prioritaires de riposte contre les inondations imminentes.
Pour faire face à la catastrophe, les parties ont décidé entre autres de l'aménagement de deux sites d'accueil des sinistrés installés respectivement à Athiémé-centre et dans l'arrondissement d'Adohoun, la prise en charge sanitaire et le traitement des eaux de boisson. Des campagnes de sensibilisation sont initiées à l'endroit des populations.
Aussi, des secouristes et pairs éducateurs, des responsables des services déconcentrés de l'Etat, des conseillers communaux, la police fluviale et maritime ainsi que des acteurs de la Société civile et des enseignants sont-ils mobilisés.
« L'alerte est maximale, il faut maintenir la veille », a signalé le secrétaire général de la mairie Nicéphore Agossa. Il invite la population à la vigilance afin qu'aucune perte en vie humaine ne soit enregistrée cette année.
Un phénomène cyclique
La crue du fleuve Mono est un phénomène cyclique qui occasionne d'importants dégâts matériels et des pertes en vies humaines. Les villages que traverse le fleuve Mono dans les communes de Dogbo, Djakotomey, Lokossa, Athiémé et Grand-Popo et autres ne sont pas épargnés. En septembre 2017, la crue du fleuve a tué plusieurs personnes à Grand-Popo, surtout dans les arrondissements d'Adjaha, Avlo, Grand-Popo Centre, Djanglanmè et Sazué.
La montée des eaux du Mono a aussi engendré aussi des morts à Athiémé. Dans cette commune, les arrondissements les plus touchés sont Ahoho, Adohoun, Atchannou et Athiémé-centre. La catastrophe a aussi détruit des hectares de cultures vivrières et des centaines d'habitations.
Au cours de la même période en 2016, 21 villages qui longent le fleuve Mono sur plus de 40 Km dans la commune d'Athiémé ont été inondés.
Dans les années 2009 et 2010, les pertes de cultures, d'élevage et d'habitations ont été aussi enregistrées.
Face à cela des mesures préventives doivent être prises le plus tôt dans ces localités riveraines du fleuve Mono.
Le fleuve Mono, sert de frontière naturelle entre le Bénin et le Togo. Prenant sa source au Togo, le Mono est long d'environ 467km.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)