je viens de recevoir un triste nouvelle de la part de l’artiste Safy Boutella, que le grand artiste algérien, l’un des maîtres de la chanson kabyle #Djamel Allam (71 ans) est décédé après une longue maladie, dans un hôpital Parisien.
Nos sincères condoléances à toute la famille. pic.twitter.com/4MU4RDirlX
— azzedine mihoubi (@azzedinemihoub3) September 15, 2018
« je viens de recevoir un triste nouvelle de la part de l’artiste Safy Boutella, que le grand artiste algérien, l’un des maîtres de la chanson kabyle #Djamel Allam (71 ans) est décédé après une longue maladie, dans un hôpital Parisien.
Nos sincères condoléances à toute la famille. », écrit le ministre de la culture sur Twitter.
Allah yerahmou
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Plusieurs ministres africains de l’agriculture et des représentants des secteurs public et privé ont réclamé davantage d’investissements dans l’agriculture lors d’un forum organisé par la Banque africaine de développement (BAD) à Kigali au Rwanda, indique l’institution financière sur son site web.
L’événement intitulé « Leadership4Agriculture » organisé dans le cadre du Forum de la révolution verte en Afrique (AGRF) « a facilité les partenariats entre les décideurs, les investisseurs privés et les institutions et a permis aux participants d’en apprendre davantage sur le programme du réseau Leadership4Agriculture pour des investissements orientés vers la croissance », affirme la BAD.
Plusieurs ministres présents à l’événement, ajoute la même source, ont critiqué ce qu’ils ont qualifié de culture de la parole sans action.
« Trop de déclarations sont faites mais ne sont jamais réalisées au niveau de l’Union africaine », a déclaré le ministre de l’Agriculture de la Côte d’Ivoire, Mamadou Coulibaly.
Le Programme détaillé de développement de l’agriculture africaine en 2003 de l’Union africaine a fixé un objectif pour les gouvernements africains d’allouer 10% des budgets nationaux à l’agriculture. Selon l’AGRF, seuls 13 pays africains ont atteint ou dépassé cet objectif.
La vice-présidente de la Banque africaine de développement pour l’agriculture, le développement social et humain, Jennifer Blanke et le directeur général de la Fondation Rockefeller pour l’Afrique, Mamadou Biteye, ont chargé leurs organisations de faire progresser la mission « Leadership4Agriculture ».
« Avec [la Banque] partenaire de la Fondation Rockefeller, nous avons maintenant des fonds pour un secrétariat pour « Leadership4Agriculture », ce qui nous permettra de suivre les progrès», a déclaré Mme Blanke. « Ensemble, faisons en sorte que l’Afrique brille», a-t-elle ajouté.
L’ancienne ministre rwandaise de l’Agriculture et des Ressources animales, actuellement président de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA), Agnès Kalibata, a déclaré que les ministres devaient faire davantage de campagnes pour accroître le financement budgétaire des petits exploitants.
« L’agriculture est l’industrie la plus importante du gouvernement», a déclaré la présidente de l’AGRA. « Personne ne va vous donner d’argent parce que vous êtes ministre de l’Agriculture. Il incombe à un [ministre de l’agriculture] de défendre la cause », a-t-elle poursuivi.
Les recherches de l’AGRF indiquent que l’agriculture reste une source essentielle de revenus pour 60 à 65% de la main-d’oeuvre en Afrique subsaharienne et qu’elle continuera d’être une source importante d’emplois pendant une décennie ou plus. Les participants à la session « Leadership4Agriculture » ont déclaré que la mentalité selon laquelle l’agriculture est davantage une carrière traditionnelle pour ceux qui n’ont pas d’autres options de travail doit changer.
Le directeur de la Division du développement de l’industrie agroalimentaire de la Banque africaine de développement, Edward Mabaya, a déclaré que les dirigeants et les agriculteurs devraient remplacer le mot « agriculture» par « agro-industrie».
La vice-présidente Mme. Blanke a annoncé que le prochain événement « Leadership4Agriculture » aura lieu lors du forum historique sur l’investissement en Afrique de la Banque africaine de développement, qui se tiendra du 7 au 9 novembre en Afrique du Sud.
A noter que Cinq (5) ministres africains de l’agriculture et des finances, la Fondation Rockefeller et la Commission de l’UA ont créé Leadership4Agriculture. La Banque africaine de développement a obtenu le soutien de la Fondation Rockefeller pour la création de la plateforme.
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La Banque africaine de développement (BAD) a mis en place un nouvel outil d’évaluation de la résilience et la fragilité des pays, a indiqué cette institution sur son site web.
« Dans le cadre de son approche stratégique visant à remédier à la fragilité et à renforcer la résilience en Afrique, la Banque africaine de développement a mis au point un nouvel outil pour le diagnostic des situations de fragilité, qui tient compte des capacités dont disposent les pays concernés et des pressions de toutes sortes qu’ils peuvent subir », a précisé la même source.
Dénommé en anglais Country Resilience and Fragility Assessment (CRFA), cet outil préconise, de manière totalement inédite, d’évaluer la résilience et la fragilité des pays selon sept critères clefs : l’inclusivité politique , la sécurité , la justice , l’économie , la cohésion sociale , l’effet de contagion régionale et le changement climatique.
« La création du CRFA représente une avancée significative dans l’évaluation de la fragilité, qui est une réalité pas toujours facile à cerner ni à percevoir. En introduisant pour la première fois les notions de « capacités » et de « pressions », ce nouvel outil apporte plus de rigueur et d’efficacité dans l’évaluation de la résilience et de la fragilité, notamment parce qu’il prend davantage en compte le contexte national », a expliqué le directeur du Bureau de coordination des Etats en transition (RDTS), Sibry Tapsoba.
Avant d’obtenir le feu vert du Conseil d’administration de la Banque africaine de développement, mardi 11 septembre 2018 à Abidjan, le CRFA, qui s’appuie sur un solide travail de collecte de données, a fait l’objet de plusieurs tests de fiabilité et d’efficacité, menés sous l’égide du Bureau de coordination des Etats en transition, avec l’appui des départements de la Statistique et de la Mobilisation des ressources de la Banque, souligne la BAD.
Outre l’évaluation de la résilience et de la fragilité, le nouvel outil devrait s’avérer un levier efficace de plaidoyer et de communication, qui améliore et renforce le dialogue permanent entre la Banque et ses pays membres régionaux. Il permet également d’anticiper les crises, grâce à un mécanisme d’alerte précoce.
« Nous avons ici un outil d’évaluation d’un niveau de rigueur indiscutable. Il est facilement applicable, fiable, accessible à tous. Il apporte indiscutablement une valeur ajoutée aux techniques déjà existantes de l’évaluation de la résilience et la fragilité », a indiqué M.Riadh Ben Messaoud, du département de la Mobilisation des ressources de la Banque.
Pour l’ensemble de la communauté des partenaires au développement, la création d’un nouvel outil d’évaluation de la fragilité et de la résilience représente une contribution à l’effort de recherche d’une plus grande efficacité dans les interventions de la Banque, note la BAD.
Avec son approche intégrée et transversale, le CRFA permet de mieux appréhender toutes les dimensions de la fragilité, y compris les moins évidentes, et d’y apporter ainsi les réponses les mieux adaptées en matière de renforcement des capacités et de résilience des pays, explique la banque africaine de développement.
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(Par Roger Gbégnonvi)
‘‘Mon peuple périt, faute de connaissance'', a dit le prophète Osée. Il a raison. Mais le péril pour les gens de mon espèce, c'est la Rupture. Elle nous reproche l'aspect génération spontanée de nos fortunes. Mais si Dieu a choisi de me rendre riche par voie oblique, rapide et secrète, où est le crime ? Or la rupture nous culpabilise. Alors nous ramassons nos sous et allons les entasser en Suisse, à Monaco, aux Bahamas, etc. Le Bénin n'a pas de problème de connaissance puisque nous collons à l'humanisme captateur et limpide de nos bons ancêtres : ‘‘Tout en mangeant du mouton au sol, tu abats la tourterelle en vol'', car ‘‘Une personne repue n'est jamais repue de viande''. Nous entrons donc en colère quand Patrice Talon ose affirmer : ‘‘Je n'ai pas besoin de grand-chose pour vivre. J'ai ce qu'il faut pour assouvir mes caprices'', ‘‘Je suis à l'abri du besoin.'' Non ! Talon fait de la provocation. On n'a jamais assez de pognon. Et le Béninois ne collera jamais à Benjamin Franklin, modèle de Barack Obama : ‘‘Je préfère qu'on dise ‘Il a vécu utilement' plutôt que ‘Il est mort riche'.'' Pure sottise ! Il y a du bonheur, il y a honneur et gloire à mourir riche, quand la misère vous a épargné et s'en est allée étaler ses victimes autour de vous. Béni soit l'Eternel des Armées !
Talon, Obama, Franklin et Cie pensent de travers, et nous devons les regarder de travers. On ne vit que pour soi. Prendre sur mon confort pour aider l'autre ? Non, merci ! Moi qui vous parle, j'ai à Cotonou trois immeubles loués à des Institutions qui payent très bien. Ma nouvelle maîtresse dispose du quatrième immeuble, à l'insu des habituelles : je ne veux pas des plaintes de jalousie idiote sur l'oreiller. Mon appartement sur les Champs-Elysées m'héberge à Paris pour mon check-up trimestriel. A Cotonou, je suis entre ma villa de la Patte-d'oie et celle de la Haie-Vive. Le bon Dieu m'a donné une grosse vie abondante. Je Le bénis chaque fois que ma télé fait défiler nos affamés, esclaves en Libye, ou engloutis par la mer et empêchés d'accomplir le vœu imbécile d'étalage de leurs guenilles en Europe. L'enfer ! C'est leur destin, je n'y peux rien. Ils soldent leur karma. Dans une vie future, Dieu leur montrera un bout de paradis. Moi je le remercie pour le vaste paradis qu'il m'a donné.
Oui, c'est exact ! Collés à nos ancêtres, nous collons aussi à tout ce qui vient d'ailleurs et qui éclaire la misère du monde mieux que les sociologies baveuses. Nous collons à la réincarnation, à la métempsychose, etc. Nous collons à la Rose-Croix, à la Franc-maçonnerie, aux Eglises, aux vaudous protecteurs, etc. Parlant d'église, l'autre dimanche, l'abbé a cité la boutade de Jésus : ‘‘Vous ne pouvez servir Dieu et l'Argent.'' C'est une erreur que d'opposer Argent et Dieu. Moi je les sers en couple, et ça me réussit. Le prêtre a commenté que, par Dieu, il fallait comprendre Beauté et Bonté, et que Dieu existe en intensité plus forte chaque fois qu'un homme se montre bon et pose des actes beaux. Tu parles ! Beauté et bonté, ça signifie quoi ? Ce type est fou ! Nos Seigneurs les Evêques devraient procéder à un meilleur tri des garçons qu'ils nous balancent comme gourous. Des hérésiarques ensoutanés pour des visions charabia et fumeuses ? Non, merci ! Grâce à Dieu, notre bon Vaudou dahoméen a les idées bien en place. A Ouidah, Aïzan, protecteur du marché Zobê, encourageait et bénissait la vente des esclaves pour que, par eux aussi, arrive le règne de Dieu Amour et Miséricorde.
L'humanisme béninois est sans équivoque et sans béninoiserie. La marmite-univers tient sur trois cônes : 1- Je ne suis responsable de rien, Dieu seul est responsable de tout. 2- Chacun s'assoit et Dieu le pousse, Dieu seul attise le feu sous la marmite-univers. 3- J'empêche Talon, Obama, Franklin et Cie de déranger Dieu en s'occupant de ce qui ne les regarde pas. Le sort de leurs concitoyens dans la marmite-univers regarde Dieu et Dieu seul.
A bon entendeur salut, et que Dieu le comble de vie et l'en comble en abondance.
L’Algérie est restée en 2017 dans la catégorie des pays ayant un niveau de développement humain élevé, consacré de nouveau champion du Maghreb en la matière, selon un nouveau rapport du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
Avec un indice de développement humain (IDH) de 0,754, l’Algérie est venue en 2017 à la 85ème place de ce classement des pays où il fait le mieux vivre.
En 2017, la valeur de l’IDH a été légèrement en hausse comparé au 0,752 obtenue en 2016 mais qui avait, alors, placé l’Algérie à la 83ème place de ce palmarès qui évalue les efforts de 189 pays et territoires en la matière.
Cependant, l’Algérie a amélioré sensiblement son classement au niveau africain et pointe ainsi à la deuxième place, juste après les Seychelles près avoir figuré cinquième dans l’édition précédente du classement.
L’IDH a une limite supérieure de 1,0 et plus il est élevé plus la population du pays jouit d’un bien être important.
Au plan maghrébin, l’Algérie demeure championne en développement humain, devançant de loin le Maroc (123ème place), la Tunisie (95ème place), la Libye (108ème place), la Mauritanie (159ème place).
L’IDH de l’Algérie en 2017 demeure supérieur à la moyenne de 0,699 obtenu par les pays arabes, selon la note explicative qui lui a été consacrée.
L’IDH est un indice composite qui se calcule grâce à la moyenne de trois autres indices fondamentaux du développement humain: l’espérance de vie à la naissance qui exprime la capacité à vivre longtemps et en bonne santé, la durée moyenne de scolarisation qui reflète la capacité à acquérir des connaissances ainsi que le revenu national brut par habitant (PNB) renseignant sur la capacité à avoir un niveau de vie décent.
Le rapport sur le développement humain présente également quatre autres indices. L’IDH ajusté aux inégalités, l’indice de développement de genre, l’indice d’inégalité de genre qui met en évidence l’autonomisation des femmes et l’indice de pauvreté multidimensionnelle mesurant les aspects de la pauvreté autres que le revenu.
Entre 1990 et 2017, l’IDH de l’Algérie est passée de 0,577 à 0,754, soit une augmentation de 30,6%, précise la même note. L’indice a maintenu une courbe ascendante progressant de 0,644 en 2000 à 0,749 en 2015 puis à 0,754 en 2017.
L’espérance de vie à la naissance en Algérie a enregistré une légère progression de 76,1 ans en 2016 à 76,3 ans en 2017, mais avec une légère différence de 77,6 ans pour les femmes et 75,1 ans pour les hommes.
Suivant la même tendance, la durée attendue de la scolarisation est passée de 14,3 ans à 14,4 ans, alors que la durée moyenne est restée la même pour ces deux années à 8 ans.
La scolarisation est un peu plus élevée chez les femmes que les hommes s’affichant l’année dernière à 14,6 ans contre 14,1 ans.
L’écart entre les deux sexes se creuse concernant l’indice PNB par habitant où les hommes cumulent 23.181 dollars contre seulement 4.232 pour les femmes. L’indice global pour le PNB par habitant s’est chiffré à 13.802 l’année dernière dollars contre 13.809 dollars en 2016.
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Les éléments de Police judiciaire du 4e arrondissement relevant de la sûreté de wilaya de Constantine ont réussi, dans la soirée de mercredi, à libérer une jeune fille des griffes de ses deux agresseurs, quelques moments seulement après son kidnapping sous la menace d’arme blanche prohibée.
L’alerte donnée par un citoyen, témoin de la scène du rapt au quartier de Sidi Mabrouk, à une patrouille de police, a permis aux limiers du 4e arrondissement d’intervenir avec célérité en enclenchant d’intenses recherches à la périphérie du lieu de l’enlèvement.
Le signalement donné par le témoin a été, aussi, décisif puisque les recherches et investigations allaient aboutir rapidement à l’arrestation des deux individus qui se sont avérés être des repris de justice, et à la libération de la jeune fille qui était enfermée dans la malle du véhicule, une Renault Express qui a servi au rapt.
La fouille du véhicule et des deux malfaiteurs a également permis de retrouver l’arme blanche utilisée lors de l’enlèvement pour obliger la victime à suivre ses ravisseurs. Une procédure judiciaire à l’encontre des deux kidnappeurs qui ont été présentés, jeudi devant le parquet, a été ouverte.
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Les députés du groupe parlementaire Adala-Bina-Nahda ont fait circuler, jeudi, en marge de la plénière consacrée aux questions orales, une pétition pour la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire sur les raisons de l’émergence de l’épidémie de choléra.
La requête sera transmise au bureau de l’Assemblée nationale, au cours de la semaine prochaine. Lakhdar Benkhlaf, chef du groupe parlementaire Adala-Bina-Nahda, impute le retard pris dans le lancement de cette initiative au fait que la législation en vigueur proscrit toute activité, durant l’intersession parlementaire. Anticipant sur un éventuel refus d’avaliser la constitution de cette commission d’enquête, sous prétexte que la commission permanente de la santé et des affaires sociales a déjà entrepris un travail de constat dans certains hôpitaux, Benkhlaf estime que la consistance, la finalité et la destination des rapports des deux commissions ne sont pas les mêmes. “La commission santé transmet son rapport uniquement au président de l’Assemblée, tandis que la commission d’enquête parlementaire le fait parvenir aussi au président de la République, au Premier ministre et l’expose en plénière”, explique le député. Lors de l’ouverture, le 3 septembre dernier, de la session législative 2018-2019, les députés FFS ont eux aussi appelé à l’ouverture d’une enquête parlementaire sur l’épidémie de choléra et les mesures prises, afin de prévenir et de protéger la santé des citoyens. Le groupe parlementaire FFS dénonce la “conduite catastrophique” de ce dossier et la contradiction entre les déclarations de divers responsables des ministères de la Santé, de l’Intérieur, de l’Environnement et de l’Agriculture. Pour les élus de ce parti, cette deuxième session de la huitième législature “s’inscrit dans une situation politique, économique et sociale caractérisée par une opacité et l’incertitude quant à l’avenir du pays”. Critiquant le fonctionnement de l’Assemblée nationale, le FFS estime que le travail de l’APN “se révèle être juste un comité de soutien aux politiques” de l’exécutif “qui ont échoué et hypothéqué l’avenir du pays”.
Nissa H
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Pour marquer sa rentrée politique, le RCD choisit de centrer ses activités sur des conférences thématiques. Après avoir consacré une journée au monde du travail, le parti de Mohcine Belabbas organise, aujourd’hui, une journée d’études consacrée aux droits des femmes.
Selon un communiqué de ce parti, l’objectif de cette rencontre est de mettre en débat “la question de la femme et la recherche de synergies des luttes pour l’égalité, en associant des femmes connues pour leur combat et militantisme, en Algérie et dans les pays d’Afrique du Nord”.
Une problématique imposée par la situation des femmes dans le pays. Le RCD rappelle dans ce sens que “des acquis ont été arrachés en termes de droits et d’accès, à égalité avec l’homme, à des espaces économiques et publics, mais ils restent fragiles et à consolider”. Cela suppose, selon le RCD, de travailler davantage pour arracher d’autres acquis. “Une véritable égalité en droits impose aux femmes et à tous les militants de la démocratie et de la modernité la poursuite du combat des fondateurs d’une revendication citoyenne”, note le document élaboré par le parti républicain.
Si le RCD admet que la Constitution algérienne reconnaît des droits aux femmes, la réalité du terrain est parfois plus amère. Car, les principes consacrés par la loi fondamentale se heurtent “aux dérives patrimoniales et népotiques des institutions”. Seulement “un rassemblement le plus large” et des “luttes pacifiques” “viendront à bout de cet anachronisme qui fait honte à la glorieuse Révolution de libération nationale”, poursuit le document du RCD.
Des personnalités du combat féministe sont invitées pour débattre de la question des “femmes progressistes en lutte pour l’égalité”. On y retrouve notamment l’inévitable juriste Nadia Aït Zaï, l’universitaire Louisa Dris Aït Hamadouche, la juriste marocaine Najia Tazrout, la militante algérienne Dalila Djerbal et d’autres personnalités universitaires et militantes.
Ali B.
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Ils ont dû prolonger leurs vacances en attendant une solution miracle de la directrice de l’éducation qui se démène dans l’urgence pour trouver une issue à cette problématique signalée bien avant la rentrée.
Officiellement annoncée depuis plus de deux semaines, la rentrée scolaire dans nombre d’établissements de la wilaya de Tamanrasset n’a toujours pas eu lieu. En effet, la rentrée des classes est officieuse en raison d’une myriade de problèmes et de facteurs révélateurs de l’échec des réformes entreprises par le ministère de tutelle. Il ne s’agit pas là du sureffectif ou encore des classes dortoirs montrant le mal profond qui affecte ce secteur à l’échelle nationale, mais d’un problème plus sérieux et plus grave. Plusieurs centaines d’élèves ont été renvoyés de leurs écoles à cause du manque de salles des cours.
Ils ont dû prolonger leurs vacances en attendant une solution miracle de la directrice locale de l’éducation qui se démène dans l’urgence pour trouver une issue à cette problématique déjà signalée dans plusieurs établissements bien avant la rentrée. C’est ce que nous avons confirmé auprès d’une source au CEM Abdelouahab-Amraoui de Tahaggart Ouest qui, pour ne citer que cet exemple, compte 19 groupes pédagogiques, alors que l’école ne dispose que de 13 salles. Six classes de 60 élèves chacune sont en attente d’une solution depuis 15 jours. Ainsi, 360 élèves sont pris en tenailles entre le manque de salles pédagogiques et la nonchalance des responsables concernés. “Au terme des inscriptions scolaires 2018-2019, un rapport détaillé a été adressé aux responsables hiérarchiques, afin de les avertir et de les tenir informés du problème que pourrait générer le manque de salles de cours dans cet établissement scolaire ; cependant, on ne nous a pas entendus”, se lamente-t-on.
Face à la gravité de situation, la direction de l’éducation a, comme il fallait s’y attendre, opté pour des solutions faciles, afin de remédier à ce déficit. Elle a, selon notre source, instruit le directeur de l’établissement en question d’exploiter chaque toise de l’école pour parvenir à caser tous les inscrits, quitte à transformer les deux laboratoires, la bibliothèque, la salle des enseignants et une partie de la cantine en salles de cours. La directrice de l’éducation, indique notre source, a aussi suggéré au responsable concerné de solliciter l’aide du directeur du lycée mitoyen pour dégager deux classes, comme c’était le cas l’année dernière. Le CEM Abdelouahab-Amraoui n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, ajoute notre source, en citant le cas d’une école primaire à la cité Matnatalat qui se trouve dans un piteux état, ou encore de lycées dépourvus de toutes les commodités nécessaires.
La sonnette d’alarme a été tirée par certains parents qui se disent sérieusement préoccupés par le sort de leurs enfants. Le manque d’encadrement et d’enseignants — certains ayant décidé de prolonger leur congé — a également été soulevé. Cependant, les problèmes liés à l’installation des nouvelles recrues donnent du fil à retordre à la direction de l’éducation eu égard à l’anarchie qui règne au sein de son service des personnels, lequel est quotidiennement pris d’assaut par les candidats inscrits sur la liste d’attente qui nourrissent l’espoir d’être embauchés dans le cas d’un éventuel désistement. Pour avoir plus d’informations sur la rentrée, nous avons contacté la directrice de l’éducation de la wilaya de Tamanrasset, Sektou Bousbéat. Cependant, aucune suite n’a été donnée à nos appels, comme pour nous signifier que la presse ne doit être informée que des efforts consentis par l’État, notamment la distribution souvent tardive des trousseaux scolaires et des indemnités attribuées aux élèves issus de familles démunies. Alors que, là encore, la réalité du terrain montre que le volet solidarité est pris en charge par des associations qui se sont davantage impliquées à Tamanrasset pour combler le vide béant laissé par l’État, à l’exemple de l’association Nour Elyatim pour la protection des orphelins. D’après son président, Ramdane Chinoune, plus de 600 tabliers et 12 000 trousseaux scolaires d’une valeur de 3 500 DA chacun ont été distribués cette année.
La même chose pour l’association Green Tea pour la promotion de la santé et des aides humanitaires, qui a réussi à distribuer de nomreux trousseaux scolaires grâce à l’élan de solidarité impliquant les bienfaiteurs et aux recettes générées lors du dernier tournoi de football organisé par l’association.
RABAH KARECHE
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La construction d’une nouvelle station de compression pour augmenter la capacité du Medgaz, le gazoduc reliant Beni Saf à Almeria en Espagne, de 8 milliards de mètres cubes/an actuellement à 10 milliards de mètres cubes/an, ne constitue qu’une première étape dans l’extension de l’ouvrage. En effet, Sonatrach a pour objectif de doubler ses capacités, soit atteindre le niveau de 16 milliards de mètres cubes/an à moyen terme, a indiqué à Liberté Farid Ghezali, le vice-président chargé de la stratégie à Sonatrach. Il s’agit de répondre à une demande croissante de l’Espagne et, dans une étape ultérieure, de l’Europe. En effet, Sonatrach regarde de près l’évolution des discussions entre la France et l’Espagne pour l’extension du réseau de transport espagnol au-delà des Pyrénées, a ajouté un responsable de la compagnie. Sonatrach pourrait alimenter via le Medgaz à travers une connexion avec ce réseau de transport d’autres pays européens grâce à un hub gazier situé en France. Mais tout cela demande au préalable des accords politiques entre les trois pays. Les projets d’extension des capacités du Medgaz ont donc une portée stratégique, à savoir consolider la position de Sonatrach comme l’un des principaux fournisseurs de l’Europe. Le lancement officiel mercredi dernier des travaux du gazoduc entre El-Aricha, à la frontière algéro marocaine, et Beni Saf d’une durée de 24 mois, permettra une connexion entre le gazoduc Pedro-Duran Farell (GPDF) reliant l’Algérie à l’Espagne via le Maroc et le Medgaz et donnera plus de flexibilité à Sonatrach dans l’approvisionnement en gaz de l’Espagne et du Portugal. En cas d’interruption des livraisons du Medgaz pour des problèmes techniques ou autres, Sonatrach pourrait faire parvenir des quantités devant être livrées par Medgaz au GPDF qui les acheminera vers l’Espagne et inversement et, partant, sécuriser les fournitures de gaz à l’Europe.
À noter que le gazoduc Pedro-Duran Farell a acheminé 9 milliards de mètres cubes de gaz algérien vers l’Espagne, le Portugal et le Maroc en 2017 avec des quantités respectivement de près de 6 milliards de mètres cubes, 2,5 milliards de mètres cubes et près de 689 millions de mètres cubes, indique la direction du GPDF. Les quantités prévues pour être exportées en 2018 via le GPDF se situent à 12,7 milliards de mètres cubes (inclus les livraisons vers le Maroc et le Portugal), a indiqué le directeur du GPDF. Les quantités livrées au 31 août 2018 se sont élevées à 8,3 milliards de mètres cubes et sont en hausse par rapport aux prévisions, a-t-il ajouté. Ce qui montre que les exportations algériennes de gaz vers l’Espagne sont en augmentation. Le vice-président stratégie de Sonatrach a précisé en ce sens que les exportations de gaz vers l’Espagne via le Medgaz et le GDPF ont atteint 18 milliards de mètres cubes en 2017. Les deux pipes ont été donc remplis au total à près de 100%. Les compagnies clientes (livrées grâce au GPDF) sont Sagane (ex-Enagas) pour l’Espagne, Galp Gas Natural pour le Portugal et l’ONE pour le Maroc. “Il y a une demande croissante de l’Europe en gaz naturel algérien, notamment en Espagne”, nous a expliqué Farid Ghezali. L’enjeu reste donc la consolidation de la position de Sonatrach comme l’un des principaux fournisseurs de gaz de l’Europe.
K. Remouche
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Le showroom inauguré, jeudi, à Hydra, est le premier d’une série de 20 autres, répartis sur le territoire national et prévus sur une durée d’une année.
Comme annoncé à l’IFA de Berlin 2018, lors de la participation de Condor et Nardi à la plus grande foire de l’électronique et de l’électroménager, le premier showroom de la marque Nardi a été inauguré jeudi à Hydra en guise de lancement officiel de la marque italienne en Algérie. Acquise par le groupe Condor depuis l’année dernière, Nardi signe ainsi son relancement en passant par Alger et prévoit une vingtaine d’autres sites semblables répartis équitablement sur les quatre points cardinaux de l’Algérie sur une durée d’une année. Condor a procédé, également à l’inauguration du 144e showroom de Condor Electronics, abritant toutes les nouveautés de Condor à travers des espaces d’exposition (produits blancs, bruns, TV, IT, Mobile). Le consommateur peut trouver et acquérir, au même endroit, des produits de marque Condor ou Nardi spécialisée dans les produits ménagers encastrables. Le tout “à des prix raisonnables”, promettent les responsables de Condor. Ces derniers comptent, d’ailleurs, entamer la production locale de certains éléments dès l’année prochaine, à Bordj Bou-Arréridj. “Nous comptons dès le deuxième semestre 2019 produire 500 000 unités/an, entre fours et plaques”, nous a déclaré Massinissa Aït Saâdi, Managing Director de Nardi. “Plus qu’une cuisine, nous voulons offrir au consommateur algérien un espace de confort à travers des solutions complètes de cuisine.” Il laissera le soin à Marco Nardi, co-fondateur de la marque, et à présent son directeur à l’export, de décrire la nouvelle acquisition de Condor. “L’électroménager Nardi, avec ses design, efficacité, tradition et technologie, raconte une belle histoire d’amour pour la maison et le plaisir de partager des moments spéciaux, en toute convivialité, à travers le goût de la vie. C’est l’italian feeling”, explique M. Nardi. Ceci passe par des produits robustes, dotés de technologie et simples à utiliser. On citera, entre autres, des hottes cheminées ou hottes intelligentes, des réfrigérateurs-congélateurs à 3 portes (No Frost Digital) ou cambi double (également No Frost), des micro-ondes à 3 combinaisons, des lave-linge (laveuse-sécheuse électronique entièrement intégrable), des lave-vaisselle entièrement intégrables avec système numérique de contrôle mais aussi et surtout une très riche gamme de cuisson en passant par des fours à gaz, des fours électriques numériques avec commande tactile, des fours électriques digitaux avec programmeur automatique, des plaques de cuisson TH réversibles et cerise sur le gâteau… des plaques à induction. Un produit présenté, pour rappel, à l’IFA de Berlin 2018 et pour lequel Abderrahmane Benhamadi, président du CA de Condor, présent sur les lieux, nous a confié : “Condor compte produire les plaques à induction à BBA dès 2019. On aura droit ainsi à des fours électriques intelligents (connectés) avec, entre autres, des notions de préchauffage.” Et de poursuivre : “Notre client aura droit aussi à des hottes intelligentes avec détecteur de pollution intégré qui gère 16 paramètres, dont la possibilité d’alerte à même d’éviter l’asphyxie par gaz carbonique. C’est ce qu’on compte intégrer aussi dans les fours.” Au chapitre exportation, il précisera : “Nous commencerons l’exportation en décembre prochain sous le label Nardi via la plateforme d’Italie, notamment pour la plaque à induction, en direction du marché russe, pour enchaîner, par la suite, avec l’Europe et le Moyen-Orient.”
Nabila Saïdoun
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La récente flambée des prix durant la période d’avant et après la fête de l’Aïd semble ne pas être du goût du ministre qui a aussitôt accéléré la structuration et la réorganisation de la filière avicole.
La hausse des prix du poulet qui a caractérisé le marché ces derniers mois risque de perdurer. Cette augmentation continue des tarifs est la conséquence du déséquilibre entre l’offre et la demande. L’on s’attend, en effet, à une indisponibilité de poulet dans les quelques jours à venir sur les marchés de gros et de détail. Car, les éleveurs ont décidé de suspendre leur activité à cause de la hausse excessive des prix du poussin, considéré comme matière première entrant dans leur production. Pour les aviculteurs, il s’agit d’une véritable flambée, puisque les tarifs sont passés de 50 DA à 130 DA. D’où leur décision de boycotter l’achat de ces poussins et d’abandonner leur métier jusqu’à ce que les pouvoirs publics interviennent. Les acteurs de ce marché parlent d’un “monopole” qui aura des conséquences négatives sur le pouvoir d’achat du consommateur.
Les producteurs vont en toute légitimité répercuter cette augmentation qui dépasse les 80 DA sur le prix de vente final du kilogramme de poulet.
Les viandes blanches, qui étaient l’ultime alternative pour les citoyens aux revenus moyens, compte tenu des tarifs exorbitants pratiqués pour le poisson et les viandes rouges, deviendront, de ce fait, inaccessibles. À vrai dire, ces aviculteurs boycotteurs ont emboîté le pas aux adhérents de l’Association de la protection des consommateurs (Apoce) qui ont lancé récemment une campagne de boycott du poulet. L’objectif recherché à travers leur action, c’est d’arriver à réduire le coût de leur production et de proposer des prix raisonnables de leur produit au client final. Les autorités concernées doivent, par conséquent, intervenir urgemment pour trouver des solutions à cette problématique. Une régulation du marché est souhaitée. Quand ce genre de problèmes se pose, les organismes régulateurs recourent à l’importation des œufs fécondés pour réguler le marché. Or, depuis, rien n’a été fait et la situation persiste encore. Le bras de fer entre les producteurs de poussins qui ne veulent pas baisser les prix du poussin et les aviculteurs continue toujours. La récente flambée des prix durant la période d’avant et après la fête de l’Aïd semble ne pas être au goût du ministre qui a aussitôt accéléré la structuration et la réorganisation de la filière avicole. D’où l’installation récemment du Conseil national interprofessionnel de la filière avicole (Cnifa). Cette structure aura à trouver ainsi les solutions aux différents problèmes soulevés par les producteurs et les divers écueils qui bloquent l’essor de la filière.
Pour M. Bouazghi, des efforts supplémentaires doivent être consentis afin d’améliorer la productivité en termes d’élevage par l’acquisition des équipements et du matériel nécessaires. Outre la régulation du marché, il est attendu de la part des responsables de la filière de renforcer le système Syrpalac et d’assurer le contrôle sanitaire et la protection du consommateur.
Il est également question de mettre un terme aux tueries clandestines et de construire des abattoirs spécialisés contrôlés par les autorités compétentes. L’autre contrainte soulevée a trait aux prix volatiles des matières premières à l’international dont 90% sont importées par les aviculteurs. Ces derniers demandent aussi une meilleure disponibilité des vaccins contre les pathologies qui ciblent leur produit et une exonération de la TVA sur toutes les matières entrant dans la production de la volaille.
B. K.
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VRAI
Ces hallucinations sont liées à une dilatation des vaisseaux dans l’aire cérébrale de la vision (rien à voir avec une tumeur). La crise de migraine est précédée ou accompagnée d’auras, des sensations visuelles anormales, qui disparaissent, heureusement, sans séquelles.
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