ALGER – Le directeur général de la Caisse nationale de sécurité sociale des non-salariés (CASNOS), Achek Youcef Chawki, a estimé mardi que 20% des agriculteurs cotisent sur un nombre estimé à 800.000 à travers le pays, appelant les agriculteurs à s’affilier davantage à la sécurité sociale.
« La sécurité sociale a du mal à s’installer chez les agriculteurs », a-t-il indiqué à la Radio Chaine 3, relevant toutefois, une augmentation « palpable » des cotisants depuis ces quatre dernières années.
« Il y a 4 ans, seulement 3% des agriculteurs s’affiliaient à la CASNOS. Nous sommes actuellement aux alentours de 20% qui cotisent sur un nombre estimé à 800.000 agriculteurs à travers le pays », a-t-il ajouté.
Pour lui, cet intérêt des agriculteurs pour s’affilier à la sécurité sociale a été constaté après la mise en place de nouvelles mesures comme l’élargissement des cotisations aux aidants familiaux (enfants, frères et autres).
« L’élargissement à cette tranche de la population a fait que, non seulement le nombre de cotisants a augmenté, mais ces derniers sont en train de rester au niveau de la terre grâce à cette couverture sociale », a-t-il estimé.
Sur un autre plan, M. Chawki a révélé une opération pilote à Alger de régularisation de personnes activant de façon informelle dans les domaines notamment de la plomberie, de l’électricité et de la maçonnerie.
« Nous avons ciblé quelque 18.000 personnes à Alger qui travaillent de façon informelle dans des domaines variés. L’opération consiste à les encadrer à travers les chambres d’artisans où on leur délivre une attestation après un test, puis une carte d’artisan qui leur sera demandée pour être enfin couvert par la sécurité sociale », a-t-il expliqué.
Il a rappelé, par ailleurs, que le dernier délai pour le règlement des cotisations annuelles pour les agriculteurs a été fixé au 30 septembre prochain.
« Le 30 septembre est la date limite pour les agricultures de verser leur cotisations à la sécurité sociale », a-t-il dit, expliquant que ces agriculteurs « ont la possibilité de cotiser même pour les années précédentes ».
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ALGER – Trois cents quatre-vingt-douze (392) enfants sont décédés durant l’année scolaire 2017-2018, selon un bilan duCentre national de prévention et de sécurité routière(CNPSR), rendu public en marge d’une campagne de sensibilisation lancée, mardi, pour la protection des enfants scolarisés contre les accidents de la route.
392 enfants âgés de moins de 14 ans sont décédés et 5189 autres blessés durant la période allant de septembre 2017 à juin 2018, indique le CNPSR, ajoutant que « la plupart des victimes ont été déplorées sur les chemins des différents établissements éducatifs ».
A travers cette campagne de sensibilisation, organisée sous le slogan « pensez à vos enfants…réduisez la vitesse », le Centre vise « à préserver les enfants, notamment scolarisés, contre les accidents de la route ».
Le Centre a tracé un « programme varié » basé sur l’action de proximité sur le terrain pour la sensibilisation aux dangers des accidents de la route, avec la diffusion de spots publicitaires sur la protection des enfants scolarisés contre leurs risques, à travers les radios thématiques et locales et les chaines de télévision.
Des SMS contenant le slogan de la campagne seront également envoyés aux conducteurs, en sus d’affiches qui seront installées à travers les grands axes routiers.
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ALGER – L’Organe national de la protection et de la promotion de l’Enfance (ONPPE) a reçu, depuis avril dernier, plus de 530 signalements de cas d’atteinte aux droits de l’enfant via le numéro vert (11/11), a indiqué la Déléguée nationale de la promotion et de la protection de l’Enfance, Meriem Cherfi.
« L’Organe a reçu plus de 530 signalements de cas d’atteinte aux droits de l’enfant émanant de citoyens, voire d’enfants eux-mêmes, et ce via le numéro vert (11/11 lancé avril dernier) en sus de 2.000 à 5.000 appels téléphoniques par jour, portant pour la majorité sur des demandes d’orientations et des préoccupations liées à l’enfance ou aux missions de l’ONPPE », a indiqué Mme Cherfi dans une déclaration à la presse en marge de l’ouverture d’une session de formation au profit des juges des mineurs.
Notant que les signalements des cas d’atteinte aux droits de l’enfant ont trait, entre autres, à la maltraitance, certaines agressions ou à la mendicité outre des appels émanant des parents en besoin d’aide pour la prise en charge de leurs enfants, Mme Cherfi a fait savoir que « l’Organe intervient directement sur le terrain pour le traitement de ces cas ».
« Dès la réception d’un signalement, une démarche est engagée sur le terrain pour s’assurer de la véracité de l’information, qui est transmise, dans la majorité des cas, au Service du milieu ouvert relevant du ministère de la Solidarité nationale pour la prise en charge et le traitement », a-t-elle précisé ajoutant que « la mission de prise en charge et de protection de l’enfance incombe aux différentes parties et à la société dans son ensemble ».
A ce propos, la Déléguée nationale de la promotion et de la protection de l’Enfance a rappelé les mécanismes mises en place pour le signalement des cas d’atteinte aux droits de l’enfants, notamment le numéro vert (11/11) et un émail, et ce conformément à la loi n 12-15 du 15 juillet 2015 relative à la protection de l’enfant, notamment les dispositions relatives à la protection sociale de cette catégorie.
Par ailleurs, Mme Cherfi a révélé que l’ONPPE organisera la semaine prochaine une rencontre nationale sur « la consolidation de la participation en matière de protection des droits de l’enfant », regroupant environs 150 participants dont des représentants de différents secteurs, des départements ministériels et des acteurs concernés par les domaines de l’enfance, outre des associations activant dans le créneau.
Organisée en collaboration avec l’Organisation internationale de la réforme pénale (PRI), pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), cette rencontre visera à discuter et enrichir les mécanismes de renforcement des réalisations en relation avec le domaine, tout en évoquant les législations relatives aux domaines de l’enfance notamment la loi sur la protection de l’enfance.
S’agissant de la session de formation destinée aux juges des mineurs et organisée par l’ONPPE, Mme Cherfi a déclaré qu’elle portera sur le thème des « principes de la protection de l’enfance pendant la procédure judicaire », comportant plusieurs axes relatifs au domaine de l’enfance à la lumière des nouvelles procédures énoncées par la loi sur la protection de l’enfance ainsi que d’autres axes relatifs aux incidences psychologiques et sociales de l’enfant en détresse et de l’enfant délinquant, tout en abordant la médiation dans la loi, outre les mission des juges des mineurs et les missions de l’ONPPE.
Présidant la cérémonie d’ouverture de cette session, Mme Cherfi a affirmé que cette dernière s’inscrit dans le cadre d’une série de sessions de formation organisées par l’ONPPE au profit des différents acteurs concernés par le volet de la protection de l’enfance.
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ALGER – Vingt-trois (23) personnes ont trouvé la mort et 1.159 autres ont été blessées dans 956 accidents de la route survenu durant la période du 16 au 22 septembre, indique mardi un bilan de la Protection civile.
Le nombre le plus élevé de victimes a été enregistré dans la wilaya de Batna où 7 personnes sont décédées et 27 autres blessées dans 23 accidents de la circulation, précise-t-on de même source.
Par ailleurs, les unités de la Protection civile ont procédé au cours de la période précité à l’extinction de 984 incendies urbains, industriels et autres.
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La 26ème édition de la semaine mondiale de l'allaitement maternel a été lancée ce mardi 25 septembre 2018 à Dassa. Le thème retenu pour cette édition est, « L'allaitement : la base de la vie ». Ainsi, du 25 au 30 septembre prochain, les populations de Dassa comme celles des autres localités du Bénin, auront droit à des rencontres d'échanges, de projections de documentaires, des affiches et posters pour leur faire connaître l'importance de cette pratique pour l'avenir du nourrisson. Il s'agira également dans le cadre de cette édition, de corriger le faible taux et l'évolution lente qu'enregistre le Bénin en la matière, soit 41% en 2014 et 42% en 2017.
Selon le directeur de la santé de la mère et de l'enfant, Dr Robert Zannou, la semaine mondiale de l'allaitement maternel, est une initiative pour donner un nouvel élan à la mobilisation générale autour de la pratique de l'allaitement maternel exclusif. Elle permet de réduire le taux de morbidité et de mortalité infantiles.
Pour la directrice adjointe de cabinet du ministère de la santé, Armande Gandjèto, la mise précoce au sein est une assurance de vie pour l'enfant. Selon elle, le colostrum est le seul aliment qui assure à l'enfant, sa santé, sa croissance et son développement harmonieux dès sa naissance.
« L'allaitement maternel est aussi le premier vaccin du nouveau-né, qui lui apporte des anticorps vitaux et stimule son immunité », indique l'Organisation mondiale de la santé (Oms) dans son message officiel à l'occasion de l'édition de cette année. Elle recommande l'allaitement maternel exclusif dans l'heure qui suit la naissance et son maintien pendant les 6 premiers mois avant l'introduction d'autres éléments nutritifs complémentaires.
F. Aubin AHEHEHINNOU
ORAN – L’ancien international algérien des années 1960, Lahouari Beddiar, décédé lundi à Oran des suites d’une longue maladie à l’âge de 82 ans, a été inhumé mardi après la prière d’El-Dohr au cimetière d’Aïn El Beïda (Oran).
Une foule nombreuse a accompagné le défunt à sa dernière demeure, en présence des autorités locales ainsi que d’anciens joueurs des clubs oranais, dont le MC Oran, le club où il passé l’essentiel de sa carrière footballistique, de différentes générations.
Des anciens joueurs d’autres régions du pays, à l’image d’Ali Bencheikh et Omar Betrouni, deux anciennes vedettes du MC Alger, ont également fait le déplacement à El-Bahia pour assister à la cérémonie, marquée par une grande tristesse et affliction qui se lisaient sur les visages de tous les présents.
Mohamed, le fils ainé de Beddiar, très affecté par cette disparition, a souligné à l’APS que son défunt père restera la fierté de la famille. « Il a tout donné au football algérien à travers le MC Oran. Même lorsqu’il s’est retiré de club où il a entrainé des catégories jeunes puis l’a servi aussi comme dirigeant, il était resté attaché à ses couleurs. Figurez-vous, même lors des derniers jours précédant son décès, il se renseignait toujours sur les résultats du Mouloudia ».
Les anciens coéquipiers de Beddiar au sein de la formation des « Hamraoua », entre 1963 et 1971, ont tous mis en exergue les valeurs humaines de l’ancien libéro de charme du MCO.
« Il était notre grand frère, notre guide sans lequel on ne pouvait pas se débrouiller. Il faisait passer l’intérêt de ses camarades avant le sien, quand il était joueur ou même après. Il a tenté une expérience dans le domaine de l’entrainement en prenant en charge les équipes des jeunes du MCO, mais comme il a constaté que les dirigeants n’accordaient pas d’importance à ces catégories, il a préféré rentrer chez lui. Il va beaucoup nous manquer », regrette Karim H’mida, ancienne coqueluche du MCO.
Même impression de son autre ancien camarade sous le maillot « Rouge et Blanc », en l’occurrence le gardien de but, Louanes Mohamed « Il était très modeste, malgré son poids dans l’équipe. Il était notre grand frère. Il nous aidait énormément. Moi, j’ai joué avec lui pendant quatre ans. Je n’en garde que de bons souvenir ».
Même opinion chez Abdellah Kechra, qui faisait partie aussi de la génération dorée du défunt « Il était notre capitaine, mais aussi grand frère. Il ne nous privait pas de ses précieux conseils, aussi bien sur le terrain qu’en dehors. Il était très sociable », se souvient-il.
Même la génération des joueurs, venus après Beddiar, garde de lui son dévouement pour le football oranais et algérien en général. Redouane Guemri, l’ancien attaquant international de l’ASM Oran, l’atteste.
« Malgré la rivalité depuis tout le temps entre nos deux clubs, Beddiar nous vouait beaucoup d’amitié, nous les joueurs de l’ASMO, à l’époque où on commençait à émerger du lot. Personnellement, il m’a beaucoup aidé par ses précieux conseils », affirme Guemri.
Le défunt Lahouari Beddiar a fait un bref passage à l’ASMO avant d’atterrir au MCO, où il a passé les meilleurs moments de sa carrière avant de raccrocher les crampons, avec à la clé un titre de champion d’Algérie en 1971, soit le premier dans le palmarès du club-phare de la capitale de l’Ouest du pays.
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Personne n'est resté insensible à la décision du chef de l'Etat sur l'abrogation du décret sur la taxation Internet. Dans l'ensemble, les citoyens qualifient cette mesure de salutaire et soulignent que le Président Patrice Talon est à l'écoute du peuple.
« Le Chef de l'Etat a fait montre de sagesse » Karl A. (Enseignant)
« Je pourrai dire que le gouvernement a voulu essayer quelque chose de façon brutale. Comme on le dit, seuls les imbéciles ne se trompent pas. Il a compris en abrogeant le décret. Le chef de l'État a pris la mesure réelle de la situation. Il n'a pas voulu en ajouter par rapport à la situation socio-politique et économique difficile. En bon père de famille, Il a fait montre de sagesse ».
« Le gouvernement est à l'écoute du peuple » Chérif A. (Agent d'opérations)
« C'est une bonne chose. Cela témoigne une fois que le gouvernement est à l'écoute du peuple. C'est pour moi un sentiment de joie ».
« L'abrogation ou l'annulation du décret est vraiment salutaire » Ange Dossa
« L'abrogation ou l'annulation du décret sur les taxations des réseaux sociaux est vraiment salutaire, vu l'ampleur que cela a voulu prendre. Ne pas rapporter un tel acte administratif peut être source de beaucoup de maux mais que nos dirigeants ont su captiver très tôt. C'est la preuve que si nos dirigeants disciplinent leur égoïsme, combattent la torpeur et l'individualisme qui les caractérisent et s'ils pensent un peu plus aux générations futures, les Béninois peuvent peser sur les décisions des gouvernants et les orienter le cas échéant dans le sens du bien commun.
Il est vrai que l'accès à l'internet et aux réseaux sociaux est une garantie de la jouissance de plusieurs droits fondamentaux et dont la violation ne saurait être tolérée en démocratie, mais il faut dire que pour beaucoup de nos compatriotes, leurs réactions sont simplement mues par le caractère ruineux et dispendieux de la mesure de taxation qui n'a épargné personne. En dehors des élites et de ceux qu'on peut considérer comme les éclairés de la société, beaucoup de nos compatriotes ne savaient pas qu'en réagissant, ils défendaient des droits que la mesure de taxation compromettrait. Si la majorité de nos compatriotes pensaient vraiment beaucoup plus à ce pays plutôt qu'à eux-mêmes, s'ils étaient bien informés et comprenaient bien le sens et les conséquences de certaines dispositions des lois et mesures initiées par le législatif ou l'Exécutif, ils auraient eu cette attitude quasi unanime exemplaire à plusieurs reprises déjà. Les autorités publiques auraient revu l'orientation de leurs actes et actions dans l'intérêt de nous tous et surtout des générations futures ».
« Le chef de l'Etat a écouté les cris de coeur de son peuple » Philémon A. (étudiant)
« C'est une décision salutaire puisqu'il le fallait car cette mesure de taxation dès les tout premiers jours, avait meurtri le peuple. Le gouvernement ne s'attendait pas à des conséquences graves d'une telle mesure. Moi personnellement, j'en ai souffert pendant ces trois jours par rapport à cette mesure. Le chef de l'Etat a une fois pris sa posture de Père de la Nation, écouté les cris de coeur de son peuple et c'est ce genre d'homme d'Etat que le peuple veut. C'est un sentiment de joie qui m'a animé quand j'ai reçu l'information qu'il venait d'avoir une réunion avec les acteurs concernés et qu'il a demandé l'annulation dudit décret ».
« Il fallait l'abroger » Fayçal (Technicien des Travaux publics)
« Il fallait l'abroger pour mieux étudier les contours de la question car mettre le taux à 5f par Mo est excessif. De plus, il semble que cette mesure soit du domaine de la loi ».
« C'est un ouf de soulagement ! » Gloria H. (Etudiante)
« C'est un ouf de soulagement ! C'était un peu exagéré. La mesure était trop radicale à mon avis ».
« Les réseaux GSM ont voulu piéger le gouvernement » Germain (Clerc Office notarial)
« C'est simplement une bonne chose. Je pense personnellement que les réseaux GSM ont voulu piéger le gouvernement. Je m'explique, vous avez voulu qu'on paie des taxes ou bien on va le faire payer par vos concitoyens et vous verrez ».
« Il compatit à la souffrance de la population » Sylvanus S. (agent d'opération)
« Je pense que c'est une bonne chose que le gouvernement annule cette loi. Cette décision du chef de l'État est la preuve qu'il compatit à la souffrance de la population et il fera de son mieux pour le bien de tous. Néanmoins, il est important de noter que cette loi visant la taxation des frais d'Internet est une bonne chose (…) sans oublier les effets néfastes produit par ces réseaux sur la population (enfants, adultes, ménages) ».
« C'est un acte responsable digne d'un bon manager » Romaric (Etudiante)
*« J'espère qu'il ne reviendra pas sur sa décision » Nicole (Enseignante)*
« Je crois qu'il a bien fait d'annuler la taxe sur les réseaux sociaux parce que bon nombre de la population gagne leur vie grâce aux réseaux sociaux. Et j'espère qu'il ne reviendra pas sur sa décision ».
« Cette abrogation est à saluer » Grâce Jeannette (enseignante)
« Pour moi, cette abrogation est à saluer vu qu'il nous redonne notre liberté d'expression. Je pense bien que le gouvernement pouvait mesurer la portée de son acte avant d'agir entre temps ».
« Cela prouve qu'il est à l'écoute » Hervice Koffi (Agent comptable)
« C'est avec beaucoup de joie que j'ai accueilli l'abrogation du décret relatif aux taxations des réseaux sociaux. Aujourd'hui, nous ne pouvons plus nous passer des réseaux sociaux car ils constituent un levier de développement dans presque tous les secteurs d'activités, d'autant plus qu'ils favorisent une visibilité plus large en un temps record partout et en tout temps des biens et services. Les taxer revient à réduire ou ralentir ceux à quoi on s'en sert notamment le développement des divers secteurs d'activité dans notre pays. Cet acte du chef de l'État béninois est à vivement saluer. Cela prouve qu'il suit non seulement ce qui se passe dans son pays mais aussi qu'il est à l'écoute de certaines plaintes de sa population. Cette décision prise et qui ne favorisait pas les 3/4 de la population béninoise devrait être bien mûrie ou peut être faire l'objet d'un sondage préalable avant sa mise en application. Que chacun y tire une bonne leçon ».
G. A.
ALGER – Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui participera à une réunion de haut niveau consacrée à la lutte contre la tuberculose, qui se tiendra mercredi à New York (Etats-Unis), a indiqué mardi un communiqué du ministère.
« Le professeur Mokhtar Hasbellaoui, ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, participera à une réunion de haut niveau consacrée à la lutte contre la tuberculose, qui se tiendra mercredi 26 septembre 2018 à New York (Etats-Unis) en marge de la 73e session de l’Assemblée générale des Nations unies », a précisé la même source.
Il est à signaler que la lutte contre la tuberculose compte parmi les principales priorités de l’ensemble des systèmes de santé dans le monde, a ajouté la même source, relevant que l’Algérie, un des pays leaders en matière d’exécution des consignes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans la lutte contre cette maladie a réalisé, grâce à son programme national de lutte contre la tuberculose, de « remarquables progrès en matière de diagnostic et de traitement de plus de 90% ».
L’Algérie a également procédé à la création des centres et services de lutte et traitement de la tuberculose ainsi que les maladies respiratoires dans l’ensemble du territoire national, a noté la même source, ajoutant qu’au cours de cette réunion de haut niveau, l’Algérie affirmera son engagement à soutenir la stratégie mondiale visant à l’éradication de cette maladie.
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TIZI-OUZOU – La Fédération de chasse de Tizi Ouzou (FCTO) interpelle les chasseurs de la wilaya sur la nécessité de se conformer au tableau de chasse, a-t-on appris mardi auprès de cette association.
« Il y a urgence à faire respecter l’éthique et la déontologie de la chasse pour préserver la faune locale qui est déjà assez malmenée », a indiqué à l’APS Arezki Aider, président de cette association.
La faune locale, a-t-il alerté, a subi une perte « importante » dans ses effectifs suite aux nombreux feux de forêts qui ont ravagé les lieux de repos et de nidification des gibiers, aux chutes de neige, aux maladies qui ont décimé un nombre considérable de sujets ainsi qu’à la chasse illégale pratiquée par certains braconniers.
Par le biais d’un communiqué rendu public, la FCTO invite l’ensemble des chasseurs de la wilaya à « contribuer à la préservation du gibier » en se conformant au tableau de chasse établi par ses soins en collaboration avec les services de la Conservation des forêts.
Ce tableau autorise les chasseurs à « un lièvre et trois perdrix pour chaque sortie (week-end et jours fériés) et pas plus de quatre sangliers par battue ».
Cette démarche écologique permettra, selon la FCTO, la préservation et la régulation de la faune dans la région.
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L'atelier de validation du nouveau code de la route du Bénin se déroule depuis ce lundi 24 septembre 2018 à l'hôtel Bel Azur de Grand Popo. Cet atelier vise à conformer le l'avant-projet aux nouvelles exigences de l'heure avant sa transmission à l'Assemblée nationale.
L'avant-projet du nouveau code de la route au Bénin en étude depuis ce lundi à Grand-Popo sous le contrôle des spécialistes du secteur. Cette rencontre marque le début du processus d'actualisation des textes règlementant l'usage des voies routières ouvertes à la circulation publique au Bénin. Il s'agit d'une initiative du Centre National de Sécurité Routière (CNSR), en partenariat avec l'Ong de solidarité internationale Handicap International. Plusieurs acteurs de la route sont conviés pour étudier de fond en comble l'avant projet du nouveau code de la route du Bénin. Il s'agit des acteurs du CNSR, de la direction des transports terrestres, de l'ANaTT, de la police républicaine, des assureurs, des organisations non gouvernementales travaillant dans le domaine de la sécurité routière et du réseau des partenaires de la sécurité routière.
Plusieurs ateliers seront constitués pour statuer et amender le document avant sa transmission aux politiques.
Le Directeur Général du CNSR invite les participants à cet atelier à plus d'assiduité et de précision dans la transcription des idées. Aubin Adoukonou leur suggère de tenir compte de l'évolution technologique, des réalités sociologiques et du contexte actuel où le gouvernement est dans la phase active de construction et de modernisation de ses infrastructures routières. Il appelle à ce que les objectifs visés au cours de cet atelier soient atteints tout en insistant sur la gestion rationnelle du temps. M. Adoukonou souhaite que l'avant-projet soit validé et transmis au ministre de la Justice et celui des Transports afin que l'Assemblée Nationale joue sa partition.
Les travaux de cet atelier de validation du nouveau code de la route du Bénin vont durer trois jours.
G.A.
Lancé ce mardi 25 septembre 2018, l'atelier de renforcement des capacités des femmes du commerce transfrontalier corridor Abidjan-Lagos s'est ouvert à la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin. Une rencontre qui permettra aux participantes de maîtriser les normes en matière administrative.
" Les formalités administratives (police et douane) de la traversée des frontières terrestres : cas de Kraké ". Tel est le thème qui a réuni les commerçantes du corridor Abidjan-Lagos. Les échanges au cours de cette rencontre visent à expliquer aux femmes spécialisées dans le commerce transfrontalier de ce corridor l'importance des formalités administratives. Il s'agit en réalité des formalités administratives nécessaires auxquelles elles doivent se conformer et les droits qui sont les leurs dans le cadre de l'exercice de leur commerce en Afrique de l'Ouest.
Cet atelier se déroule en présence du Ministre de l'industrie et du commerce, Serge Mahouwèdo Ahissou, du Secrétaire Exécutif de l'Alliance Borderless, Justin B. Bayili et du Premier Vice-président de la Ccib, Souley Maman Yacoubou.
Cette rencontre est bien salutaire au regard des difficultés auxquelles sont confrontées au quotidien les commerçantes. Il s'agit entre autres, de la méconnaissance des règles régissant le commerce transfrontalier.
Ce cadre d'intégration permettra aux femmes de jouer leur partition selon les exigences relatives à cette thématique sur les normes Cedeao.
G.A.
Le rythme le plus important pour l’enfant est, sans conteste, le circadien, veille-sommeil, qui dure 24 heures. Pour connaître les besoins spécifiques en sommeil de votre enfant, notez l’heure de son réveil spontané le matin, pendant les vacances. En calculant combien de temps il a dormi, vous connaîtrez son temps idéal de sommeil. L’état de veille est le meilleur reflet de la qualité du sommeil. Si votre enfant n’est pas fatigué, pas somnolent durant la journée, s’il ne présente pas de troubles comportementaux ou scolaires inexpliqués, c’est que son sommeil est suffisant en qualité et en quantité.
D’une façon générale, jusqu’à 12 ans, un enfant a impérativement besoin de dormir 10 à 12 heures, pour sa croissance et son équilibre. L’en priver l’expose à des troubles sérieux : instabilité, agitation, anxiété, problèmes d’acquisition des connaissances. Le sommeil permet à l’enfant de se construire et de grandir. Non seulement l’hormone de croissance est sécrétée au cours du sommeil, mais elle favorise aussi la mise en ordre et le classement des informations ainsi que le renforcement des circuits réflexes. L’enfant doit sortir du sommeil comme «nettoyé» et «refait à neuf».
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200 g de sucre semoule, 1 œuf, 1 jaune d’œuf, 1 c. à soupe de zeste de citron, 3 c. à soupe de jus de citron, 425 g de farine, 1/2 c. à café de levure en poudre, 150 g de beurre, 1/2 c. à café de sel
Préchauffez le four à th.6 (180° C). Battez le beurre ramolli avec le sucre puis, lorsqu’il est fondu, avec l’œuf entier et le jaune, le zeste et le jus de citron. Lorsque la préparation est bien amalgamée et légère, incorporez-y la farine tamisée avec le sel et la levure. Prélevez de petits morceaux de pâte et roulez-les entre les paumes des mains en petites boules de 2,5 cm de diamètre environ. Disposez-les sur une tôle beurrée, à 6 cm d’intervalle. Trempez la base d’un gobelet dans du beurre fondu puis dans du sucre semoule et pressez sur chacune des boules pour les aplatir en petites galettes de 1 cm d’épaisseur. Enfournez pendant 12 à 15 minutes.
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La réalisation de la nouvelle aérogare d’Alger est presque achevée. « À l’intérieur de l’aérogare, les travaux sont terminés », informe la direction de l’aéroport. « Nous allons entamer la simulation de vols dans dix à 15 jours pour tester l’aérogare dans les conditions réelles d’exploitation », explique la même source, qui ajoute, « Les tests techniques concernant les équipements de l’aérogare ont été menés avec succès ».
La date de l’inauguration officielle de la nouvelle aérogare internationale n’est pas encore officiellement fixée. « Nous travaillons pour finir les travaux et effectuer les essais nécessaires. Pour la date d’inauguration, c’est aux pouvoirs publics de la fixer », précise la direction de l’aéroport.
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