Par Sarah Raymouche
Être dans son confort habituel, à la maison ou au bureau, tout en apprenant lorsqu’on le veut et quand on le peut, c’est possible ! Soirmagazine vous propose le témoignage de ceux qui ont tenté le e-learning en Algérie. Ils nous expliquent leur motivation d’y recourir et les contraintes rencontrées.
Redouane S., commercial IT dans le privé : «Une nécessité pour allier boulot et études»
Responsable commercial dans le secteur des IT, Redouane S. est de cette génération que le langage nouveau classe parmi les milléniales, autrement une catégorie qui n’est pas née dans l’euphorie technologique, mais qui s’est vite mise dans le rythme par nécessité professionnelle. «Je travaille dans un domaine constamment en évolution et j’ai besoin d’être aussi vite que régulièrement à jour en matière de connaissance», commence par souligner ce cadre, la trentaine bien entamée. A cet effet, il s’est inscrit récemment dans un master en marketing digital. «C’est une formation à temps partiel qui colle avec mes contraintes professionnelles. Nous avons des cours en présentiel à raison de deux à trois jours par mois et le reste du cursus ce sont des modules en e-learning sur une plate-forme partenaire », explique Redouane qui, vite, tempère son enthousiasme en relevant quelques-unes des incohérences qu’il a constatées au fil des mois. «En fait, poursuit-il, le directeur de l’établissement a fait le choix d’organiser les séances de e-learning in situ tout à la fois en faisant fi de la flexibilité qui caractérise ce type de formation et du respect du rythme individuel d’évolution. Pis encore, l’infrastructure globale et la qualité de la connexion en particulier en Algérie fait que l’apprenant ne peut pas achever une séance de e-learning et la valider dans les délais impartis en raison des lenteurs et des coupures fréquentes. Je dois aussi relever que la partie e-learning, quand elle n’est pas en redondance avec des cours déjà donnés en présentiel, ne corrobore pas avec le contenu du cursus. En fait, ce sont des achats effectués sur des plates-formes étrangères qui mettent à disposition un certain nombre de modules standardisés sans aucune réadaptation ou contextualisation avec la réalité des marchés auxquels ils s’adressent.»
Lyes Z., chef d’entreprise : «Une véritable aubaine»
Lyes Z. est un e-learning addict. Trois week-ends par mois ou presque, Lyes, ingénieur en génie civil et propriétaire d’un cabinet d’études et de suivi dans le BTP, les consacre au elearning. «J’ai commencé à suivre des formations en e-learning deux ans après avoir lancé ma propre affaire. Le dilemme était le suivant : reléguer mes ambitions professionnelles pour retourner en formation puis lancer mon entreprise, me former sur le tas, sous-traiter tout en sachant le peu de moyens dont je disposais…Le e-learning m’a donné cette flexibilité dont j’avais besoin. J’ai fait des formations en management, en finances, en fiscalité, en informatique et logiciels spécialisés, en marketing et communication. Il y a aussi les mooc, ce sont des formations ouvertes en ligne et quiconque peut se former gratuitement. Il y a même des certifications et des diplômes aussi valables que ceux qu’on recevait en classe. Le tout est de savoir ce que nous voulons entre l’acquisition de nouvelles compétences pratiques à usage immédiat en entreprise ou l’accumulation de connaissances académiques. Je ne prétends pas avoir atteint les cimes du savoir, mais je suis entièrement satisfait de mes acquis dès lors qu’il m’est permis de savoir de quoi je parle lorsque je rencontre mon comptable, mon cabinet-conseil ou tout autre client. Outre la modularité, le e-learning permet une actualisation et un suivi de l’évolution des pratiques dans mon corps de métier. Je rencontre souvent des partenaires ravis de voir que nous sommes à la page. C’est un gage de confiance et les certifications crédibilisent notre démarche. Pour moi, le e-learning est un accélérateur de formation et une manière de réduire le gap avec les marchés matures. Être au même niveau de connaissance est une aubaine. Je me rappelle de l’époque où nous devions faire avec les rares ouvrages et revues dans les bibliothèques universitaires.»
Narimène O., formatrice en entreprise : «Il faut se discipliner»
Si Lyes est très satisfait de son expérience en e-learning, Narimène O., formatrice en entreprise, attire l’attention sur un point primordial : la discipline. «Si vous voulez suivre et tirer plein profit d’une formation en e-learning, il faut au préalable s’armer d’un mental d’acier et d’une discipline de fer. La discipline c’est d’abord de ne pas se distraire en se disant que je vais évoluer à mon rythme, que cela soit lentement ou en accélérant la cadence. Le premier fait accuser un retard et un cumul des modules et le second conduit à la précipitation et donc le bâclage du travail demandé. L’un comme l’autre font perdre l’objet même de la formation. La discipline c’est aussi une gestion rigoureuse du temps», conseille notre formatrice.
Lynda K., consultante en développement d’affaires : «Le e-learning m’a redonné goût aux études»
Après une licence en droit, Lynda K. a entamé sa carrière dans un groupe industriel avant de se lancer à son compte en développement d’affaires. Consultante depuis 4 ans, elle a senti, néanmoins, la nécessité d’élargir ses connaissances et c’est ainsi qu’elle a commencé à s’intéresser au e-learning. «Grâce à une amie de l’université, j’ai découvert l’opportunité de faire des formations sans la contrainte de la présence. Seulement, après quelques cours en e-learning, j’ai repris goût aux études et aussi paradoxal que cela puisse paraître cela m’a redonné l’envie et la volonté de retourner sur les bancs de l’école. J’ai choisi une formation hybride et je peux vous dire que c’est complètement différent de ce que j’ai pu connaître lors de mon cursus de formation classique. C’est peut-être l’effet de l’expérience professionnelle alliée à une meilleure connaissance de mes besoins. Mais qu’à cela ne tienne, je sens les programmes plus légers, mieux adaptés à mon rythme et ma vie quotidienne d’autant que je suis également maman. Je recommande vivement.»
Saïd R., en recherche active d’emploi : «Je n’y crois pas» ou presque
Saïd R., en recherche active d’un nouvel emploi dans le secteur commercial, a fait un TS en commerce au niveau d’un CFPA. Il a cumulé plusieurs CDD en tant que commercial ou vendeur sans parvenir à décrocher un poste stable. Interrogé sur le e-learning, il reconnaît ignorer jusqu’à l’existence. Pour lui le Net c’est plus le loisir et les petites affaires, mais pas pour la formation. Même après explication, il n’y croit que vaguement avec une moue qui en dit long sur son désintérêt. Pourtant, Saïd R. est un féru des tuto et des démonstrations professionnelles sur Youtube. Sans le savoir, il est dans une forme, certes basique, mais une forme de e-learning quand même. C’est déjà un bon début
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N’ayez pas peur d’effectuer cet enchaînement le plus souvent possible. Il agit efficacement sur le bas du visage. Souriez !
Position de départ : Placez-vous face à un miroir.
Travail : Souriez de façon exagérée en serrant les mâchoires et maintenez 10 secondes. Revenez à la position de départ et recommencez pendant 2 minutes.
Bénéfice : Cet exercice sculpte et décontracte les muscles autour de la bouche. Il favorise un joli sourire et tonifie la poitrine en musclant le soutien-gorge naturel.
Conseil : regardez droit devant vous et gardez les épaules décontractées.
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1 aubergine, 250 g de bœuf haché, 1 oignon, sel, poivre, paprika, cumin, persil, 1 pomme de terre, 1 œuf
Faire cuire la pomme de terre à la vapeur. Eplucher l’aubergine et la couper en tranches dans le sens de la longueur. Faire griller les tranches d’aubergine des 2 côtés avec de l’huile d’olive. Faire revenir la viande avec l’oignon émincé, les épices, le persil, la pomme de terre et l’œuf. Former des boudins. Placer ces boudins sur les tranches d’aubergine. Les rouler. Les placer dans un plat à gratin. Verser un peu de béchamel et parsemer de fromage râpé. Passer au four pour faire gratiner le fromage.
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Commencez le maquillage des yeux par la pose du mascara. Ce dernier change le regard et c’est à partir de cette mise en beauté que l’on peut travailler la pose des fards.
* Passez une première couche de mascara avec la brosse presque sèche afin de ne pas coller les cils entre eux. Procédez à une seconde couche en insistant sur la pointe des cils pour mieux les recourber.
* Vos yeux manquent d’éclat ? Agrandissez-les à l’aide d’un trait de crayon marron ultra-fin placé à l’angle interne de la paupière inférieure et d’un trait de crayon noir au bord supérieur et au coin extérieur de la paupière supérieure.
* Posez enfin votre ou vos fards à paupières en suivant ces conseils. Si vos yeux sont très rapprochés, ne les chargez pas de fards au niveau des angles internes, la demi-lune où l’estompe à mi-paupière s’arrêtera au milieu de l’œil. Tirez vos fards vers l’extérieur de la paupière en suivant un mouvement vers le haut. Bien estomper. Pour un maquillage des yeux plus sophistiqué, dessinez la forme d’une banane sur la paupière à l’aide d’un fard de couleur intense et passez un fard plus léger, un beige rosé ou un rose nacré sur la partie haute de la paupière, en estompant vers l’extérieur.
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Des blessés graves et de nombreux dégâts matériels. C'est le bilan de l'accident qui s'est produit ce samedi matin entre bus de transport en commun et un véhicule léger devant l'Unafrica à Cotonou. Le bus était en route pour le Ghana. Les véhicules ont subi de gros dommages. Les bagages des passagers étaient dispersés sur les lieux de l'accident.
Le bus a également causé de nombreux dégâts au niveau de la station service Sonacop du carrefour Unafrica.
Les forces de sécurité et les sapeurs pompiers ainsi que le préfet du Littoral se sont rendus sur les lieux du drame.
D. M.
Le rapport final de l'Examen stratégique national <> à l'horizon 2030 au Bénin a été remis au président Patrice Talon et lancé par la même occasion, ce jeudi 4 octobre 2018. Suite à cette cérémonie, M. Abdou Amy Dieng, Directeur régional du Programme alimentaire mondial (Pam) pour l'Afrique de l'ouest et du centre assisté du représentant résident du Pam au Bénin et du coordonnateur du Système des Nations-Unies au Bénin ont livré aux journalistes la substance dudit rapport au cours de la même journée. C'était au bureau du Pam à Cotonou.
Le président Patrice Talon a reçu, ce jeudi 4 octobre 2018, au palais de la République, le rapport final de l'Examen stratégique national <> à l'horizon 2030 au Bénin. Financé et conduit par le Bénin sous la coupole du Programme alimentaire mondial (Pam), ce rapport met l'accent sur les diagnostics et opportunités à saisir en vue d'assurer l'atteinte des Odd notamment l'Odd2 (Éliminer la faim) d'ici à 2030.
D'après les résultats de l'analyse globale de la vulnérabilité et de la sécurité alimentaire, réalisée en 2017 avec l'appui du Pam, près d'un million de Béninois sont en insécurité alimentaire et environ 80.000 vivent en insécurité alimentaire sévère. Des chiffres effrayants qui interpellent gouvernants, partenaires et populations surtout dans un contexte, où l'agenda 2030 exige à tous les pays du monde à ne laisser personne de côté.
L'exemple des cantines scolaires
Pour ne pas manquer à ce grand rendez-vous, le gouvernement du Bénin fait de la question de la sécurité alimentaire une priorité en investissant dans le capital humain. Ce qui explique sa détermination à nourrir les écoliers en situation de vulnérabilité à travers son Programme national d'alimentation scolaire intégré (Pnasi). Un programme du gouvernement béninois mise en œuvre par le Pam du fait de son expertise en la matière.
M.Abdou Amy Dieng, Directeur régional du Programme alimentaire mondial (Pam) pour l'Afrique de l'ouest et du centre a fait observer au cours de la séance que ‘'l' exemple du Bénin est à suivre par d'autres pays qui souhaitent éradiquer la faim''
Selon les explications du partenaire, l'alimentation scolaire constitue un filet de protection sociale avec de multiples bénéfices qui contribue à l'amélioration de la sécurité alimentaire.
M.Guy Adoua, Représentant résident du Pam au Bénin abonde dans le même sens en soulignant qu'un enfant béninois sur deux a accès à un repas équilibré et sain dans les écoles depuis 2017, date de démarrage du Programme.
<>, a déclaré Guy Adoua au cours de la rencontre avec les professionnels des médias.
Le coordonnateur du Système des Nations-Unies au Bénin, M.Siaka Coulibaly, a pour sa part remercié, au nom de tout le système la détermination du gouvernement du Bénin à respecter son engagement d'assurer les Objectifs de développement durable (Odd) en particulier l'Odd2 pris à la face du monde en septembre 2017.
Juliette MITONHOUN
(Par Roger Gbégnonvi)
Avalé d'un coup sec dans le plus petit verre. Il illumine le gosier et descend réjouir les entrailles. Tu renfrognes la mine pour dissuader tes enfants de croire qu'il y a du bonheur à cet exercice répétitif. Capricieux et curieux, ils pourraient s'y essayer dans ton dos. L'on doit à Pierre Metinhoue le récit du premier envol du sodabi. Les deux frères Sodabi, dahoméens quoique ‘‘tirailleurs sénégalais'', n'ont pas été broyés par la première sauvagerie mondiale. Sortis des trous de fange et de sang, ils n'ont pas rapporté au Dahomey le feu sacré des dieux, mais l'alambic du massacre de nos palmiers à huile. Et depuis les années de grâce 1918-1919, nous nous appliquons à exterminer nos palmeraies pour l'amour du tord-boyau. Le colonisateur destinait l'huile de palme à quelque chose de moins caustique, tel le ‘‘savon de Marseille''. Or nous avions opté pour les paradis éthyliques. Il décida donc de punir les distillateurs. Interpellé alors qu'il transportait des bidons de sodabi, Gansso leva les bras au ciel : ‘‘Mon frère garde-cercle, grand chef, mes ennemis veulent me voir en prison. Ils m'ont envouté pour que je fasse le commerce interdit par le Blanc !'' Ruses de Sioux, achat du silence des gardes forestiers, etc., ont envoyé nos palmeraies sombrer dans les alambics.
Et le liquide à la blancheur douteuse coule à flot. Abondant, bon marché, pourvoyeur d'un monde nouveau quand son manteau se déploie à l'intérieur de vous, le sodabi a conquis jusqu'à nos hôtes d'outre-mer. Invités à votre table, ils boudent whisky, vodka, Saint-James, et demandent discrètement si vous n'avez pas ‘‘l'autre''. Surpris par cette préférence ‘‘indigène'', vous sortez de son coin secret votre fiole et la déposez en bout de table. Et vos hôtes se laissent offrir son contenu à l'apéritif, en redemandent au digestif, et vous prient, une semaine avant de quitter le Bénin, de leur en trouver une bonne bouteille à emporter. C'est ainsi que le sodabi s'est mis à prendre l'avion. Et c'est son deuxième envol. Fasciné par les ci-devant whisky et Saint-James, vous avez entrepris, par moult ingrédients que vous y laissez macérer, de donner couleurs, saveurs et vertus nouvelles au sodabi. Résultats heureux. Jusque-là, vos hôtes vous observaient. Ils viennent de franchir le pas de la récupération, le pas de l'industrialisation du sodabi pour leur compte personnel.
Troisième envol du sodabi. Voici la bouteille. Charmante. Belle. Vêtue en courtisane qui ne demande qu'à être soulevée. Transparence dorée. Verbe apprêté. En français et un peu en anglais. ‘‘45% Alc. * 75 cl. A consommer avec modération.'' Etc. Notre sodabi artisanal nous coûte 1.000 f au plus pour 100 cl. Le sodabi transfiguré coûte un peu moins de 15.000 f pour 75 cl. Pour l'instant, il est produit à Cotonou. Mais demain, à n'en pas douter, il débarquera à Cotonou en provenance des alambics de France et de Navarre.
Les aléas du sodabi au Dahomey-Bénin, c'est le reflet exact de notre histoire au sens où nous lâchons tout. Nous avons lâché hommes et femmes pour qu'ils aillent cultiver coton et canne à sucre en Alabama et dans les Antilles. Nous lâchons le cacao et ne consommons pas le chocolat, trop cher pour notre pouvoir d'achat. Nous lâchons le coton afin qu'il aille créer des emplois pour les garçons et les filles de France et de Navarre. Nous venons de lâcher le sodabi qui, revisité, est hors de notre portée. Mais pas de panique, puisque nous palabrons, faisons du tam-tam, chantons et dansons. ‘‘Ils nous disent les hommes du coton du café de l'huile / Ils nous disent les hommes de la mort. / Nous sommes les hommes de la danse, dont les pieds reprennent vigueur en frappant le sol dur.'' Ô Senghor ! Ô Président-Poète ! ‘‘Que m'accompagnent koras et balafong - woï pour trois kôras et un balafong.'' Et la bamboula règne. Et les palmiers dahoméens sombrent dans les alambics. Et les Nègres senghoriens sombrent dans la danse. Serions-nous vraiment ‘‘les hommes de la mort'' ?
Achille Kangni et ses partisans font officiellement leur adhésion à la coalition UND, l'une des grandes formations politiques autour du chef de l'État. C'était ce vendredi 5 octobre 2018, au siège de l'UND, à Cotonou.
Constituée des communes de Grand-Popo, Comé et Athiémé, la 17ème circonscription électorale chante officiellement l'hymne de la Rupture avec l'adhésion du mouvement "Amehouga" à l'Union Nationale Démocrate (UND).
Ainsi, le mouvement politique "Amehouga" fait bloc avec la coalition UND déjà membre actif de la mouvance présidentielle. Cette adhésion a été officielle avec la cérémonie de signature du protocole d'adhésion dans l'après-midi de ce vendredi sous le regard du Professeur Auguste Vidégla.
Le mouvement "Amehouga" est une formation politique de la 17 ème circonscription électorale qui porte le flambeau de la jeunesse. Ayant déjà fait ses preuves aux cours des dernières élections, cette formation dirigée par Achille Kangni s'impose dès lors, comme précurseur de la majorité présidentielle dans ladite circonscription.
C'est donc un soutien indispensable pour le Président Patrice Talon dans la 17ème. Avec la coalition UND, le mouvement "Amehouga" entend rafler large à Comé, à Athiémé, comme à Grand-popo aux prochaines élections. Facilitateur de l'UND, Auguste Vidégla a énuméré, les principes et la vision du parti.
La coalition UND s'unira bientôt avec l'un des deux grands blocs en formation dans la mouvance présidentielle. Il s'agit d'une coalition dont la vision est de défendre les principes de la démocratie et le bien-être de la jeunesse. Des valeurs prônées par le mouvement Amèhouga qui incitent leur adhésion à ladite coalition pour constituer le porte-voix de la mouvance présidentielle dans les trois communes.
G.A.
Mardi, le FC Nantes communiquait officiellement la nouvelle. Vahid Halilhodzic succédait ainsi à Miguel Cardoso, jugé incapable de redresser la barre après un début de saison manqué (1 seule victoire en 8 journées). En nommant le Bosnien âgé de 66 ans, le président Waldermar Kita a voulu trancher avec la fugace ère Cardoso, tout en jouant la carte sentimentale puisque Halilhodzic avait enchanté la Beaujoire entre 1981 et 1986. « Je suis heureux, très content de faire revenir un ancien joueur ici, pour qu’on puisse travailler ? J’aimerais bien qu’on l’applaudisse », a lancé Kita pour introduire son nouvel entraîneur face à la presse.
«C’est un grand plaisir pour moi de retourner au point de départ. J’ai gardé beaucoup de bons souvenirs avec ce club. J’ai beaucoup d’attachement. J’y ai gardé des amis, qui sont restés fidèles. Depuis l’annonce de mon retour, j’ai reçu beaucoup de messages très amicaux. Je viens avec grand plaisir, j’ai toujours gardé ce club dans mon coeur », a débuté l’ancien entraîneur de Lille, Rennes ou encore du PSG. Puis il a évoqué de multiples sujets au cours d’un monologue de près de 20 minutes. Sur son premier contact avec ses joueurs : « le premier contact s’est merveilleusement passé avec tout le monde. Même sur le terrain, avec les gestes. Franchement, ils font certaines choses à la perfection. Je ne pense pas que l’équipe mérite ça. Il y a du boulot. On va essayer de faire les choses le plus vite possible. On va retrouver le plaisir sur le terrain.»
Mais il y a un sujet qui le contrarie toujours autant, à savoir les a priori à son sujet. « Les joueurs, je les trouve un peu inquiets, car ils ont entendu beaucoup de choses sur Vahid, mais il y a beaucoup de conneries qui sortent sur Vahid », a-t-il lâché, de lui-même, avant de revenir là-dessus suite à une question sur les fameuses bêtises le concernant. « Les plus grandes, c’est sur le côté humain, dur intransigeant, tout ça, c’est tout le contraire. Je suis très humain. Sur le terrain, je ne connais personne. Dans ma carrière, j’ai coaché parmi les meilleurs, Pauleta, Drogba, Yaya Touré. Je n’ai jamais eu de problème avec qui que ce soit. Bien sûr que les relations sont différentes selon les joueurs. Je ne lis plus les journaux. » Cependant, Halilhodzic reconnaît que sa méthode ne passe pas toujours. « Tu ne peux pas faire l’unanimité et faire plaisir à tout le monde. »
Autre analyse qui l’embête, le fait d’être catégorisé comme un entraîneur défensif. « Vous voyez, ça, c’est aussi des conneries. L’Algérie par exemple à la Coupe du Monde, est l’équipe africaine qui a le plus marqué dans l’histoire. Mais je suis un entraîneur défensif… Mais ça vous plaît. Je vais dire qu’on va jouer attaque et possession et à la fin je vois quoi ? Si j’avais fait ça avec Lille, on n’aurait jamais fait ce qu’on a fait. Ça dépend de l’équipe que tu as. Je ne peux pas tomber dans ce piège. Si tu me donnes Barcelone ou Manchester City, je peux parler comme Guardiola. Il faut jouer sur les qualités que tu as. Sur l’efficacité, je n’ai jamais été ridicule. On va me dire jeu à la nantaise. J’ai joué 5 ans ici. Il faut avoir les joueurs pour faire ça. Est-ce que cette équipe a ça ? On verra. Bien sûr que je suis attaché au jeu à la nantaise. Mais quand on n’a pas le ballon il faut tous défendre ! », a-t-il expliqué. On n’en saura pas plus sur les premiers changements auxquels s’attendre dimanche à 15 heures pour la réception de Bordeaux, puisque la conférence de presse de présentation a tourné à la passe d’armes entre Waldermar Kita et un journaliste au sujet du défilé des entraîneurs sous sa présidence. Une chose est certaine, coach Vahid n’a pas changé et il est prêt à en découdre rapporte FootMercato.
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Des dessinateurs et des scénaristes algériens et arabes présentent, lors du 11e Festival international de la bande dessinée d’Alger (Fibda) organisé à Alger, un ouvrage collectif de bande dessinée sur la migration dans les pays africains et arabes.
Paru en Tunisie en 2017, cet ouvrage aborde les conditions de vie difficiles dans lesquelles vivent les migrants et les déplacés des pays subsahariens et des pays arabes en dehors de leur pays d’origine ainsi que les différentes formes de racisme qu’ils subissent.
En dépit de leur style accessible et expressif, ces bandes dessinées inspirent tristesse et douleur. La majorité des dessinateurs ont incarné les personnages des migrants dans une image de corps sans âmes tout en utilisant le noire et blanc reflétant ainsi l’affliction et la colère qu’ils éprouvent face à cette réalité.
Parmi les titres présentés, « une vie en suspens » du dessinateur et scénariste libanais Berag Rima portant sur la violence et le racisme exercés contre les migrants subsahariens dans les pays maghrébins.
Le dessinateur algérien Kamel Zakour et la scénariste Abir El Kasmi présentent, pour leur part, une histoire dramatique sur le destin tragique d’une famille nigérienne qui migre vers le Nord et qui meurt de soif dans le désert.
Le dessinateur et scénariste égyptien « Migo », critique, quant à lui, la réalité socio-économique de son pays à travers l’histoire d’une famille égyptienne qui migre clandestinement vers l’Europe à bord d’une barque.
Les textes de publication sont présentés dans une prose poétique en langue arabe. Certains écrivains ont adopté des dialectes locaux comme choix personnel pour faire parvenir leurs messages artistiques.
Le livre est paru aux éditions du Laboratoire 619 « Lab619 » relevant de l’organisation européenne non gouvernementale « Rosa Luxemburg » dans le cadre d’une résidence en Tunisie dont l’objectif est la sensibilisation aux problèmes des migrants et réfugiés en se référant à des histoires et témoignages vivants.
Mme Nadia Dahab, dessinatrice franco-tunisienne et membre du Lab619 a rappelé que ce-dernier a été créé en 2013 dans le but de faire connaître et promouvoir le 9e art en Tunisie.
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Les Nations-Unies ont souligné le rôle « actif » de l’Algérie dans la lutte contre le terrorisme international, mettant en exergue les initiatives et les mesures prises pour contrer ce fléau aussi bien au niveau national qu’international.
L’Algérie a « activement participé à un certain nombre d’initiatives de lutte contre le terrorisme aux niveaux mondial, régional et bilatéral », relève le secrétaire général Antonio Gueterres, dans son rapport sur les mesures visant à éliminer le terrorisme international, publié à New York à l’occasion d’une réunion sur la prévention du terrorisme international organisée par la sixième commission de l’ONU chargée des questions juridiques.
Parmi ces initiatives, le rapport cite en particulier celles menées avec l’Espagne, la Russie, l’Indonésie, l’Italie, le Royaume-Uni, l’Irlande du Nord et les Etats-Unis.
Le rapport, se basant sur des données recueillies auprès des pays sur des aspects liés à la lutte antiterroriste, rappelle que l’Algérie a ratifié les 19 instruments universels de lutte contre le terrorisme, ainsi que la Convention arabe relative à la répression du terrorisme, la Convention de l’Organisation de l’Unité africaine sur la prévention et la lutte contre le terrorisme et la Convention de l’Organisation de la Conférence islamique pour combattre le terrorisme international.
L’Algérie a également adapté son propre cadre juridique pour le rendre conforme aux instruments internationaux en vigueur, notamment sur la question des terroristes étrangers, souligne le document.
Aussi, un dispositif de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme a été institué en application des traités internationaux et des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité.
En outre, plusieurs dispositions relatives au gel et à la saisie des avoirs ont été mises en place dans le cadre du décret exécutif N.15-113 de 2015 et l’Algérie a rejoint le Groupe Egmont des cellules de renseignements financiers.
Le pays a également lancé d’ »importantes initiatives en matière de prévention de la radicalisation et de lutte contre les idéologies extrémistes », note le secrétaire général.
Dans les informations communiquées à l’organisation onusienne, l’Algérie a exposé dans le détail les nombreuses mesures législatives et institutionnelles prises au fil des ans en matière d’enquêtes et de poursuites relatives aux activités terroristes, relève l’ONU.
Elle a attiré l’attention, parmi les mesures les plus récentes, sur certaines modifications apportées au code pénal et au code de procédure pénale, qui ont donné aux autorités compétentes de nouveaux moyens.
Le document met en exergue « les nombreuses initiatives lancées par l’Algérie pour mieux assurer la sécurité intérieure ainsi que les réformes constitutionnelles de 2016 qui ont conduit au renforcement de l’Etat de droit, des institutions démocratiques et des droits de l’homme ».
Intervenant lors de la séance plénière, l’ambassadeur et représentant permanent de l’Algérie auprès de l’ONU, Sabri Boukadoum, a indiqué que la lutte contre ce fléau exigeait une mobilisation et une coopération multidimensionnelle aux niveaux national, régional et international.
« Ayant souffert des effets dévastateurs du terrorisme au cours des années 1990, l’Algérie a émergé comme un pays stable et sûr dans une région propice à l’instabilité et à la menace terroriste », a-t-il déclaré.
Les efforts du gouvernement pour s’attaquer aux racines du terrorisme s’étendent aussi à la coopération bilatérale avec les pays voisins, notamment en ce qui concerne le partage des pratiques optimales, a expliqué l’ambassadeur.
Dans la région du Sahel, l’Algérie continue de redoubler d’efforts, notamment dans le cadre du Comité d’état-major opérationnel conjoint (Cemoc) et de l’Unité de centralisation du renseignement et de liaison du Sahel.
Au niveau africain, l’Algérie accueille le Mécanisme de coopération policière africaine (Afripol) ainsi que le Centre africain d’études et de recherches sur le terrorisme (Caert), un organisme de l’Union africaine qui propose un niveau élevé d’expertise dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, rappelle à ce propos M. Boukadoum.
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