Les personnes âgées de la wilaya de Aïn Témouchent ont célébré leur journée mondiale à l’instar du reste de la planète. À cette occasion, la Direction de l’action sociale a concocté un riche programme culturel et artistique dont la cérémonie s’est déroulée au complexe culturel avec une exposition de toutes les activités de cette catégorie effectuée au niveau de la maison des personnes âgées de haï Moulay Mustapha. Ce fut aussi une occasion pour rendre hommage et honorer certaines d’entre elles. La couverture sanitaire et sociale de cette catégorie vulnérable de la société a été au cœur des discussions lors de cet évènement. À cette occasion, le directeur de l’action sociale de la wilaya de Aïn Témouchent, M. Mohamed Bouzada, a révélé que son secteur accorde une pension annuelle de 3 000 DA au profit de 7 610 personnes âgées recensées au niveau de la wilaya pour un montant annuel estimé à 30 milliards. Il a indiqué que l’intérêt accordé par l’État à cette catégorie de la société a été concrétisé par la promulgation de la loi 10-12 en date du 29 décembre 2010 relative à la protection des personnes âgées qui s’est traduite sur le terrain à travers les programmes qui assurent la couverture médicale et sociale considérée à la faveur d’une politique d’une prise en charge exemplaire au profit de cette catégorie. Rappelons que le nombre de retraités dans la wilaya de Aïn Témouchent avoisine les 49 800 retraités pour lesquels une enveloppe financière de 128 milliards de DA par an leur est consacrée.
M. LARADJ
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Un homme a été blessé au niveau du boulevard Tripoli à Hussein Dey suite à l’effondrement d’un balcon d’une vielle bâtisse de 5étages durant la nuit du mercredi au jeudi, indique Dzair News.
Le média précise que la zone de l’accident a été quadrillée par les services de sécurité, et que la victime a été transportée à l’hôpital par la protection civile.
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Il a insisté, dans ce sens, sur l’impératif de « s’ouvrir aux élus et de traiter avec eux avec volonté, d’autant que l’intérêt du citoyen demeure au centre de la relation walis-élus« , soulignant que « les problèmes et difficultés souvent enregistrés dans la gestion locale exigent la conjugaison des efforts des walis avec leur entourage ». Les citoyens des différentes wilayas « ont grandement besoin de nouvelles opportunités de travail, de nouveaux produits et de structures modernes, l’État ne renoncera pas à son rôle d’acteur dans le processus de développement, n’envisage pas de limiter ses interventions et renforcera ses efforts de développement en termes de qualité et de quantité » a-t-il affirmé.
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Une rencontre-débat autour de la visibilité et de l’image des femmes dans les médias se tiendra aujourd’hui 4 octobre à l’hôtel Lamaraz, Alger. Il s’agit d’une initiative d’ONU-Femmes, l’organisation de l’ONU dédiée à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes dans le monde entier, avec la participation d’experts nationaux et internationaux autour de la question de la lutte contre les stéréotypes du genre dans les médias.
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Après avoir été sacrée première université algérienne, à la faveur d’un classement effectué le mois de juin 2018 sur le site de l’institution Scimago, l’université Abderrahmane-Mira de Béjaïa vient de conforter sa position de leader des universités algériennes. En effet, le classement mondial des universités “Times Higher Education 2019”, qui comprend plus de 1 250 universités, positionne l’université de la capitale des Hammadites au premier rang des universités algériennes. Fondé en 2004, le classement mondial des universités “Times Higher Education”, publie chaque année, la liste définitive des meilleures universités du monde, en se basant sur pas moins de 13 indicateurs de performance soigneusement choisis afin de parvenir à des résultats fiables, voire incontestables.
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Les souscripteurs au programme “Logement promotionnel public” (LPP), affectés au site Ahmed-Medeghri de Rouiba, sont montés au créneau hier. Les retards dans les chantiers les ont fait réagir. Ils se sont rassemblés devant la direction générale de l’ENPI (Entreprise nationale de promotion immobilière), en charge de l’exécution des programmes LPP. Les protestataires réclament l’accélération du rythme des travaux qui connaissent un retard de plusieurs mois. Les entreprises chinoises en charge du site Ahmed-Medeghri assurent le service minimum depuis plusieurs semaines déjà, en dépit du déplacement du ministre de l’Habitat sur le site et qui les avait pourtant sommés d’accélérer la cadence des travaux. Les souscripteurs en colère affirment avoir constaté le non-respect, par les entreprises chinoises, des clauses contractuelles aussi bien dans l’usage des matériaux de construction que dans le choix de la menuiserie PVC et de la quincaillerie.
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Un camion gros porteur a écrasé dans la journée de ce jeudi 04 octobre 2018, un apprenti mécanicien au carrefour appelé ‘'Carrefour la vie'', à Vèdoko. Selon les témoignages, le camion venait de la place de l'Etoile rouge pour le stade de l'amitié de Cotonou. Le conducteur de taxi-moto a quitté la rue de la station-service pour contourner le rond-point afin de prendre la direction de l'Etoile rouge. Mais le camion qui roulait à vive allure n'a pu ralentir au niveau du carrefour. Le motocycliste a pu l'éviter, mais la barre de fer portée par son passager, un jeune mécanicien, s'est accrochée au camion. Dans un choc violent, le jeune homme a culbuté et s'est retrouvé sous le camion. Traîné sur environ 20 mètres et rendit l'âme sur le champ.
Quant au conducteur du taxi-moto, il s'est retrouvé sur le terre-plein central. Après avoir retrouvé son souffle, il est conduit à l'hôpital par les sapeurs-pompiers. Les services de la voirie qui se sont occupés du corps en lambeaux de la victime. Aussitôt après le drame, le conducteur du camion a pris la fuite.
F. A. A.
À Blida, le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme a présidé hier une cérémonie de distribution de 1037 logements (AADL 1) et posé la première pierre pour le lancement d’un nouveau programme de logements du même type. La cérémonie avait, néanmoins, pris les couleurs d’une précampagne électorale en faveur de l’éventuelle candidature de Abdelaziz Bouteflika. En effet, lors de la remise des clés aux bénéficiaires, ces derniers ont été surpris de voir la photo du président Bouteflika collée à côté de la décision d’affectation rédigée au nom des bénéficiaires. À l’ouverture du porte-documents remis aux bénéficiaires, on peut voir sur sa partie droite la décision d’affectation et sur la partie gauche le poster de Abdelaziz Bouteflika, probablement candidat à sa propre succession à la présidentielle d’avril 2019.
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Dans le cadre de ses actions de sensibilisation, l’association scientifique Biloba vient d’organiser un sondage sur le don d’organes pour sauver des vies humaines. Les premiers résultats de cette enquête menée par des bénévoles de Biloba ont fait ressortir que près de 80% des personnes interrogées se sont montrés prêts à contribuer pour sauver la vie d’un malade souffrant en donnant un rein, une partie du foie, un poumon, des cellules de la moelle osseuse ou d’autres organes. L’enquête a touché, selon la présidente de l’association, un échantillon de 1000 Algériens. Rappelons qu’il existe deux types de donneurs d’organes, donneur vivant à des personnes apparentées et donneur décédé à toute personne en attente d’une greffe.
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La confirmation de l’option gaz et pétrole de schiste par le ministre de l’Énergie et le PDG de Sonatrach n’a pas laissé indifférents les militants écologistes. Une pétition pour dire non à l’exploitation du schiste a été lancée avant-hier sur le Net. Elle a déjà recueilli plusieurs signatures. Le refus de l’exploitation des énergies non conventionnelles s’est exprimé par le passé à travers, outre de nombreuses tribunes dans la presse, des protestations dans le sud du pays, notamment à In Salah, en janvier 2015.
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Le secrétaire général du Haut-commissariat à l’amazighité (HCA), Si El Hachemi Assad, a, pour la énième fois, réitéré son appel au ministère de l’Education nationale pour mettre à jour la loi d’orientation de l’Education, notamment son article 10 qui a donné le caractère «facultatif» à l’enseignement de tamazight dans les établissements scolaires.
Intervenant mardi sur les ondes de la Radio nationale, M. Assad a manifesté son contentement quant à la poursuite de la généralisation de l’enseignement de tamazight, tout en regrettant sa «lente» progression. «Certes, tamazight est enseigné dans 44 wilayas, mais elle ne couvre pas toutes les communes des wilayas concernées», a-t-il fait remarquer. Le même responsable a, en outre, mis en garde contre «les tentatives de brouille», menées par certaines parties sur les acquis qui ont suivi l’officialisation de tamazight. «Tamazight est une langue officielle, et la loi suprême du pays doit être respectée», a-t-il insisté, appelant les autorités compétentes à recourir «à la force de la loi si besoin est» pour imposer le respect de cette langue nationale. A l’occasion, il n’a pas omis de saluer l’introduction du patrimoine matériel et immatériel amazigh dans les manuels scolaires de 2e génération. S’agissant du sort réservé au HCA après l’installation de l’académie de langue amazighe, M. Assad a, de nouveau, affirmé que l’institution qu’il dirige ne va pas disparaître. «Je dois expliquer que le HCA est une institution présidentielle et l’académie est une institution constitutionnelle. Ce qui fait que ces deux institutions sont condamnées à travailler de concert et en parallèle pour la promotion de tamazight», a-t-il dit, ajoutant que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a pris contact avec les recteurs d’université pour les charger de proposer des noms susceptibles de faire partie de l’académie. «Le personnel de l’académie est en train de se constituer. Le ministère va proposer des noms à la présidence qui va, à son tour, désigner les compétences par décret présidentiel», a expliqué le secrétaire général du HCA. Si El Hachemi Assad a, également, répondu à une question sur le débat fait autour de la transcription de tamazight pour le qualifier de «joute de caractères», considérant qu’«il y a une tentative de manipulation et d’instrumentalisation de la question du caractère». Face à cette situation, il a appelé à «ne pas se précipiter et prendre en compte la production littéraire faite essentiellement en caractère latin».
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Dans une déclaration à l’APS, le directeur de la protection des personnes âgées au ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, a affirmé que ses services ont distribué, jusqu’au mois de juin 2018, plus de 122 000 cartes de personne âgée.
Hocine Hakim a précisé que le nombre d’inscrits pour bénéficier de la carte de personne âgée à travers les directions de l’action sociale (DAS) a atteint 135 657, faisant état, à ce titre, de la distribution de 122 500 cartes durant la période allant du mois d’octobre 2017 à juin 2018, en vue de bénéficier des avantages sociaux, conformément au décret exécutif du 10 avril 2013 fixant les conditions et modalités d’octroi de la carte de personne âgée.
Cette carte est délivrée aux personnes âgées pour bénéficier de certains avantages sociaux tels la gratuité des soins au niveau des établissements publics de santé et la priorité aux premiers sièges dans les transports publics et établissements et lieux garantissant un service public, ainsi qu’au niveau des lieux et salles abritant des activités et manifestations culturelles, sportives et de divertissement, a expliqué M. Hakim
Une large campagne sera lancée, en décembre prochain, pour sensibiliser quant à l’importance et aux objectifs de cette carte, a indiqué ce responsable qui a rappelé que le réseau institutionnel public de prise en charge des personnes âgées relevant du ministère de la Solidarité nationale comprend 33 foyers, répartis sur 27 wilayas d’une capacité, d’accueil de 1 673 personnes âgées, démunies et/ou sans liens familiaux.
M. Hocine a, d’autre part, révélé que le ministère s’emploie à l’élaboration d’un fichier national des personnes âgées en Algérie en vue de déterminer et classer les différentes catégories de personnes âgées, dont les démunies et personnes nécessiteuses, lesquelles bénéficieront d’aides fournies par la Solidarité nationale, et de s’enquérir des différents détails inhérents à toutes les personnes âgées, à l’instar des retraités et des personnes atteintes de maladies
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Celui qui a écrit son dernier livre « Nedroma petite ville, grands noms » à la double loupe (personnelle et celle du PC) vue défaillante oblige, nous quitta un jour du Ramadhan 1432 (août 2011) à l’âge de 93 ans, après 46 années entièrement consacrées au service de l’éducation et de la culture en Algérie, au Maroc et en France.
Cheïkh Mohammed Benamar Djebbari est né le 21 janvier 1918 à Nédroma, où il a fait ses études primaires à la fois chez le «fkih» et à l’école française. Il a fréquenté ensuite l’Ecole primaire supérieure d’El Qala’ de Tlemcen de 1932 à 1937. Il a été admis à l’Ecole normale d’instituteurs de Bouzaréah (ENIB) en juin 1937, comme major de la promotion indigène. La troisième année, il se retrouve, non à Bouzaréah mais à la caserne du 19e régiment du Génie à Hussein-Dey et à Douéra. De retour à la vie civile en novembre 1940, il est affecté à l’école de garçons de Nédroma. Titularisé sur son poste, il s’est marié le 24 octobre 1942, mais dès le débarquement américain en Afrique du Nord, le 8 novembre 1942, il est rappelé comme sous-officier au 45e bataillon des transmissions à Maison-Carré (El Harrach). Démobilisé en septembre 1945, il rejoint son poste à l’école puis au Collège d’enseignement général de Nédroma, enseignant les disciplines littéraires (français, histoire-géographie, dessin) puis les sciences naturelles et physiques, pour se fixer enfin en maths. Il mène alors dans sa ville natale, en pleine «commune mixte», avec le risque de perdre son gagne-pain, une activité intense à la fois pédagogique et nationaliste, en 1945‚ il milite activement à l’UDMA et à l’Association des oulémas, jusqu’en mars 1956.
Pédagogue et nationaliste
La guerre d’indépendance de l’Algérie le contraint à se déplacer avec sa famille à Rabat (Maroc) ; il enseigne tout en militant à l’OCFLN, d’octobre 1956 à juin 1959 les maths, au collège de premier cycle de Settat, puis d’octobre 59 à juin 62 au lycée Moulay-Youcef à Rabat. A l’indépendance, il retourne en Algérie. Il n’est nullement tenté par des situations importantes et préfère rester dans l’enseignement. Dans un pays dévasté et déserté, il faut tout improviser et refaire «à partir de zéro», surtout dans le domaine de la scolarisation et de l’éducation. Un travail colossal mais enthousiasmant lui échoit. Différentes fonctions, souvent cumulées, lui sont confiées. Il les accepte sans rien refuser, sans rien demander en retour. D’octobre 1962 à juin 1969, il est inspecteur de l’enseignement élémentaire et moyen bilingue à Tlemcen (4e circonscription comprenant la zone frontière et la ligne Morice, encore truffée de mines), en recréant et en réorganisant les œuvres complémentaires de l’école (FOCET), assisté des Harchaoui, Tabet Aoul, Medjadi, Addou, Baghli, Lallout, Bouayed, Bendahmane entre autres… Sans compter une activité constante de recherches, d’amélioration et de diffusion de méthodes et de techniques pédagogiques innovantes, au niveau local, national et international (techniques Freinet, méthode de découverte en mathématiques, membre du bureau de la Fédération internationale des mouvements de l’Ecole moderne (FIMEM), chargé de la confection de la «Gerbe internationale, participation à plusieurs RIDEF et congrès en France, en Europe, organisateur de la RIDEF de Tlemcen en 1975. De 1968 à 1971, il est directeur du CEG, CET et école de garçons de Nédroma (poste d’origine obtenu en 1956).
Ecrivain et des livres d’une grande valeur
De 1971 à 1975, il ouvre et prend la direction du nouveau CEM d’Agadir, baptisé aujourd’hui du nom du chahid Djellad, à Tlemcen, où nous avions eu le privilège de collaborer avec lui en qualité de surveillant dit maître d’externat ou communément «pion». A ce titre, voici le mot de dédicace qu’il a bien voulu écrire à notre intention : «C’est avec plaisir que je dédie ce troisième tome à Monsieur Bekkaï Allal en espérant qu’il y trouvera beaucoup de souvenirs de son passage au CEM Agadir.» De 1975 à 1980, il procède à l’ouverture et assure la direction du CEM Abou-Hamou-Moussa II et du CEM Abdelmoumen, tous les deux nouvellement construits, ainsi que le lycée, par la suite, grâce à ses démarches de président de la commission des affaires culturelles et sociales de l’APW de Tlemcen, l’un en tant que titulaire, le second appartenant à l’enseignement religieux, à titre bénévole, pour son intégration à l’Education nationale. Il faut savoir que la haute technicité de cet éducateur, converti par nécessité et aussi par amour du travail bien accompli en véritable entrepreneur, l’a conduit à initier et réaliser plusieurs ouvrages d’art, sans jamais demander «un seul sou» à l’Administration, dans les établissements scolaires qu’il a ouverts, réaménagés ou refaits à neuf. C’est en date du 1er octobre 1980, soit à la veille de la célébration de la Journée mondiale de l’enseignant, qu’il prend sa retraite après 43 ans d’ancienneté jour pour jour, depuis l’admission, à l’ENIB. Abstraction faite des 3 années passées (1981 à 1984) comme inspecteur de l’enseignement fondamental, contractuel. Le riche parcours du regretté Mohammed Benamar Djebbari est également jalonné de livres d’une grande valeur, tels «Un parcours rude, et bien rempli. Mémoires d’un enseignant de la vieille génération» (3 tomes), une trilogie qui lui valut deux lettres de félicitations du président de la République Abdelaziz Bouteflika, dont il décrira le CV, entre autres «ridjel el bled» à travers son dernier livre «Nedroma, petite ville, grands noms».
Il a formé des centaines de cadres de haut niveau
A ce propos, ce condisciple de Abdellatif Rahal (ex-conseiller du président de la République), jouit de l’insigne mérite d’avoir formé des centaines de cadres de haut niveau, de toutes nationalités et confessions religieuses se trouvant actuellement en Algérie, au Maroc, en France, au Canada, en Amérique et ailleurs, à l’exemple de Baghdadi Mohammed, ex-directeur général des domaines, Baghdadi Djilali, magistrat réputé, Sid Ahmed Ghozali, ex-Premier ministre, le général Rahal Yahia, Keddar Ahmed, docteur en sciences nucléaires en Autriche, Benzaghou Benali, ex-recteur de l’université Bab Ezzouar, Medelci Mourad, l’actuel président du Conseil constitutionnel, ainsi que Driss El Basri, l’ancien ministre de l’Intérieur du roi Hassan II, et bien d’autres notoriétés. Il entretenait des relations éditoriales avec Gilbert Grandguillaume, Djilali Sari, Bouamrane Cheïkh, Nadir Marouf, Mahmoud Bouayed, Mahmoud Sari… Lors de la cérémonie «Recueillement» (40e jour) en juillet 2009 dédiée par l’Ecolymet à notre regretté confrère Sid Ahmed Cheloufi, par ailleurs ancien cadre de l’Education, c’est lui qui étrennera cet hommage en faisant écouter un enregistrement audio (sur cassette) réalisé en 1998 à l’occasion d’une émission culturelle dans laquelle le défunt journaliste faisait la «promotion» de la trilogie de son aîné comme il évoquera le rôle de ce dernier en matière d’animation lors du colloque didactique international «RIDEF» en 1975. Pour sa part, le Pr Fouad Ghomari du département de génie civil de la faculté de technologie de Chetouane, avait tenu à nous transmettre ce message nécrologique : «Notre professeur et maître Djebbari Mohammed Benamar nous a quitté aujourd’hui en ce premier jour du mois de Ramadan en l’an 1432 de l’Hégire. Dans ces moments difficiles, nous nous inclinons devant le chagrin de ses proches, enfants et frères ainsi que devant toute la famille de l’Education de la wilaya de Tlemcen qui l’a connu. Il est difficile d’évaluer le sens de la vie d’une personne ; certains vous diront qu’elle se mesure par ce qui reste, d’autres qu’elle est directement liée à la foi ou à l’amour et d’autres vous diront que la vie n’a tout simplement aucun sens. Moi, je crois que la valeur d’une personne se mesure à l’estime qu’elle a suscitée chez les autres et pour cela le défunt a suscité l’estime de tous. Le défunt a été un véritable modèle de rigueur et de sérieux. Engagé, il était toujours présent quand il fallait se battre pour les valeurs et les principes. S’il me tenait à faire une chek-list de tout ce qu’il a accompli, je mets la mention «Excellent» sur toutes les cases.
Un modèle de rigueur et de sérieux
Enseignant, il le fut par vocation parce qu’il croyait en l’adage «A celui qui t’enseigne un mot, tu restes son débiteur pour toute la vie». Combien alors d’êtres humains sont à tout jamais débiteurs du regretté Djebbari ? Après une vie bien remplie, Que Dieu ait son âme et l’accueille dans son vaste paradis.» Quant à nous, la dernière fois que nous l’avons rencontré, c’était au mois de mai 2011 au Palais de la culture, à l’occasion du colloque international sur l’œuvre de Mohammed Dib. Auparavant, nous l’avions côtoyé lors du 6e colloque en mars 2011 sur l’histoire de Nedroma au cours duquel il piqua une colère contre sa permanente et gratuite marginalisation. Le dernier geste de mépris en date à son égard sera enregistré dans le scénario du film documentaire sur Cheïkh Kaddour Benachour Zerhouni Ennedroumi, où on se passa allègrement de ses précieux témoignages à ce sujet. Le département de Benblidia oublia de rendre hommage à ce pilier de la culture à la faveur de 2011. Idem pour celui de Benbouzid à l’époque, atteint lui aussi d’amnésie. Le défunt fut inhumé après la prière de l’Asr au cimetière de Nedroma en ce premier jour du Ramadhan (1er août) en présence d’une foule nombreuse composée de parents, d’amis et du gotha de la cité de Abdelmoumen Ben Ali dont Hadj Ghaffour entre autres. Le cortège funèbre pédestre «na’ch» est passé par les différents repères chers au défunt Cheïkh Ennadroumi.
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Les problématiques liées aux énergies renouvelables et au développement local seront au cœur des débats qui marqueront la quatrième édition de l’université d’été du Forum des chefs d’entreprises (FCE), dont le coup d’envoi officiel des travaux est prévu vendredi dans la wilaya d’El Oued.
Écrit par Nazim BrahimiThe post Prévue ce week-end à El Oued : Energies renouvelables et développement local au cœur de l’université d’été du FCE appeared first on .
A l’issue de la réunion, tenue hier, par les chefs des groupes parlementaires avec les vice-présidents et les présidents des commissions permanentes à l’Assemblée, certains députés n’ont pas écarté un recours « à la violence »
pour pousser le président de l’institution au départ. Ainsi, ils estiment que « d’ici dimanche, si Bouhadja ne dépose pas sa démission, il sera empêché d’accéder à son bureau ». Une menace que plusieurs députés comptent mettre en pratique si ce bras de fer continue pour la deuxième semaine. Ces députés considèrent que la décision de poursuivre le gel des activités « est une façon de donner une porte de sortie honorable au président ». Néanmoins, ils comptent passer à d’autres procédés pour mettre encore un peu plus de pression sur Bouhadja afin d’obtenir son départ.
Écrit par Hichem L.The post Les députés menacent d’empêcher Bouhadja d’accéder à son bureau appeared first on .