En Conseil des ministres, ce mercredi 28 novembre 2018, le gouvernement a, entre autres, procédé, sur proposition du Ministre à 07 nominations au ministère des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l'Emploi. Ces nominations se présentent comme suit :
Directeur de Cabinet :
Monsieur Edouard SEHLIN
Directeur adjoint de Cabinet
Monsieur Yaovi Bruno ANAGONOU
Secrétaire général du ministère
Monsieur Cocou César AKLOSSOU
Secrétaire général adjoint du ministère
Monsieur Sotima Michel YOTTO
Conseiller technique juridique
Madame Olga Nelly AGBO
Directeur de l'Informatique et du Préarchivage
Monsieur Mahouéna Bentsi JOHNSON
Directrice générale de la Promotion de l'Entreprenariat et de l'Emploi
Madame Nonvilé Elodie FAIZOUN
Akpédjé AYOSSO
Le ministre du travail et de la fonction publique, Adidjatou Mathys, a procédé au lancement des travaux de l'assemblée générale extraordinaire du Réseau africain des institutions et fonds de formation professionnelle (Rafpro) à Sun Beach Hôtel de Cotonou, ce mardi 26 novembre 2018.
Fier d'avoir retrouvé le Bénin, le président du Rafpro, Abdou Djerma Lawan, a témoigné sa gratitude aux autorités béninoises pour avoir facilité la tenue des assises. Cette assemblée générale extraordinaire, la 4ème du genre depuis sa création, a pour objectif, de passer en revue les points inscrits à l'ordre du jour et des questions diverses. Il sera également question au cours des travaux, de la signature de l'accord de siège. Abdou Djerma Lawan dit compter sur la disponibilité et la perspicacité des participants à travailler dans une parfaite ambiance et dans le consensus.
Le président du Comité d'organisation du Fodefca, Régis Facia, après avoir souhaité la bienvenue aux participants dit être heureux de la présence du ministre qui, selon lui, est un gage de crédibilité et de confiance par rapport aux membres du Rafpro de façon à ce qu'ils puissent faire de leurs différents fonds, un véritable vivier de formation pour la jeunesse.
Le ministre du travail et de la fonction publique a remercié les membres des différentes délégations du Rafpro pour l'organisation de la 4ème assemblée générale extraordinaire à Cotonou.
Le gouvernement du président Patrice Talon, souligne Adidjatou Mathys, a inscrit dans son programme d'actions, la transformation structurelle de l'économie à travers la valorisation du capital humain et l'intégration sous régionale pour promouvoir l'industrie et les services.
« Ce gouvernement ne peut que se réjouir de votre vision et surtout de votre volonté commune d'aller de l'avant », a-t-elle précisé. En seulement 12 années d'existence, vous avez fait des pas de géant, en consolidant votre base institutionnelle et en inscrivant votre marche dans la durée, a félicité Adidjatou Mathys. Enumérant quelques actes posés par le Réseau, le ministre a formulé le vœu de voir le Rafpro impacter davantage les dispositifs de formation continue dans tous les pays membres.
F. A. A.
« Les soins à l'enfant africain dans la perspective des Objectifs du développement durable (Odd) », c'est le thème d'une rencontre scientifique qui regroupe depuis, ce mardi 27 novembre 2018, à Abomey-Calavi, les pédiatres des pays de l'Afrique francophone.
Pendant 4 jours, ces pédiatres de la sous-région vont réfléchir à comment trouver des stratégies communes pour une meilleure protection sanitaire des enfants en vue de la réduction considérable du taux de décès des nouveaux nés et des enfants âgés de moins de 5 ans sur le continent.
Les travaux de ces assises s'inscrivent dans le cadre du 8ème congrès de l'Association des pédiatres de l'Afrique noire francophone (Apanf) et le 4ème de la Société béninoise de pédiatre (Sobeped).
Selon Dr Adélou Kakpossi, président du comité d'organisation, ce congrès conjoint des deux structures se justifie par le nombre élevé de décès d'enfants de moins de 5 ans. Des décès qui, selon lui, sont dans une large mesure évitables, donc inacceptables et posent le problème de la disponibilité des soins de qualité en Afrique.
Le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin dans son intervention, a rassuré que les causes directs de ces décès étant connues, ils pourront être évitables.
F. A. A.
Le Conseil des Ministres s'est réuni en sa seance habdomadaire ce mercredi 28 Novembre 2018 sous la présidence de Patrice Talon Chef de l'Etat, chef du gouvernement. Votre journal publie ici le compte rendu des travaux.
Compte rendu du conseil des MinistresLe Conseil des Ministres s'est réuni ce mercredi 28 novembre 2018, sous la présidence de Monsieur Patrice TALON, Président de la République, Chef de l'Etat, Chef du Gouvernement.
Les décisions ci-après ont été prises :
I- Mesures normatives.
Dissolution de l'Office de gestion du Programme alimentaire mondial et
désignation du liquidateur.
La revue de l'organisation et du fonctionnement dudit Office, créé en 2014, a révélé de graves dysfonctionnements et des contre-performances significatives. En effet, le cadre institutionnel de supervision de ses activités est apparu inefficace alors même que d'importantes ressources financières y sont consacrées.
C'est pour y remédier que le Gouvernement a mis en place depuis juillet 2017, un nouveau dispositif qui consiste en une délégation au bureau du PAM du Bénin, de la gestion des cantines dont le financement est assuré par le budget national. Le contrôle des opérations relève désormais de la compétence de la Cellule présidentielle de suivi du fonctionnement des établissements scolaires et universitaires.
L'office étant ainsi dépourvu de ses principales attributions, il s'avère nécessaire de procéder à sa dissolution et de nommer un liquidateur à cette fin.
Une Unité chargée du suivi et du contrôle des projets financés par le PAM et d'autres partenaires sera créée au sein du ministère du Plan et du Développement.
Le Conseil a, par ailleurs, adopté d'autres décrets portant :
- approbation des statuts de la Bibliothèque nationale ;
- nomination des membres de la Commission béninoise des Droits de l'Homme.
La phase pilote du projet ARCH prend en compte trois zones sanitaires géographiquement réparties, à savoir :
1- Abomey-Calavi, Sô-Ava ;
2- Dassa-Zoumè, Glazoué ; et
3- Djougou, Ouaké, Copargo.
Elle consiste en un paquet de prestations que sont : la mise aux normes des
équipements des formations sanitaires, le remboursement des prestations et l'extension du système d'information. Ce dernier volet comporte notamment le développement de solutions complémentaires, l'acquisition et le déploiement de matériels ainsi que l'accompagnement de sa mise en œuvre.
Le Conseil a approuvé ledit plan d'action et les Ministres concernés sont
instruits de prendre toutes les dispositions subséquentes.
Le bâtiment ayant précédemment abrité le ministère de l'Intérieur et de la Sécurité publique et le ministère de la Défense nationale a été construit dans les années 60, pour servir de logement. Sa transformation en bâtiment administratif a entraîné des modifications successives de la structure initiale allant de la suppression de murs intérieurs à la création de salles d'eau.
Les différents aménagements ainsi effectués au fil des années ont affaibli la structure de l'ouvrage déjà vétuste au point où, à ce jour, il menace ruine et a dû être évacué pour préserver la sécurité du personnel.
En raison du coût important que génèrerait la réhabilitation de cet immeuble qui ne répond pas aux normes d'un bâtiment administratif (faible hauteur sous plafond, dégradation de l'étanchéité de tous les planchers intermédiaires, etc.) il urge de le démolir.
Par ailleurs, l'Ordre des Avocats du Bénin a entamé depuis une vingtaine d'années, la construction d'un immeuble dans l'enceinte du Tribunal de Cotonou dénommé « Maison de l'Avocat ».
Au regard de la position et de l'état du bâtiment principal, tenant compte des aménagements imminents projetés sur l'axe Champs de Foire/Place de la Réconciliation, ainsi que de la nécessité d'intégrer une partie du site abritant ce projet au site de la Cité ministérielle, il est envisagé de procéder également à sa démolition en relation avec l'Ordre des Avocats qui y a marqué son accord.
En approuvant cette communication conjointe des Ministres chargés du Cadre de Vie et des Infrastructures, le Conseilles a instruits de mener les diligences nécessaires, en liaison avec les autres Ministres concernés, en vue du dédommagement de l'ordre des Avocats et de la réalisation des équipements prévus.
II-3. Octroi de la garantie de l'Etat à la Société béninoise d'Energie électrique (SBEE) dans le cadre d'un concours bancaire.La SBEE est confrontée, depuis plusieurs années, à des difficultés structurelles avec des conséquences néfastes sur sa trésorerie. De ce fait, la société ne parvient pas à honorer ses engagements financiers vis-à-vis de ses partenaires que sont la Communauté électrique du Bénin (CEB) et autres fournisseurs.
Dans la recherche d'une solution durable à cette situation qui affecte ses performances, la société a sollicité du Gouvernement, l'autorisation de réaliser un concours bancaire de 27 milliards de FCFA auprès de banques de la place.
Cette somme servira :
- à l'apurement total des dettes de la SBEE vis-à-vis de la CEB, pour un
montant de 16 milliards de FCFA ;
- au paiement intégral des dettes de la SBEE vis-à-vis de ses autres
fournisseurs, pour un montant de 11 milliards de FCFA.
Pour le remboursement à bonne date de ces dettes, la SBEE ouvrira un compte séquestre alimenté mensuellement à concurrence de 500 millions de FCFA. Sa capacité à supporter le poids de l'endettement ne sera donc pas affectée par le concours bancaire sollicité.
C'est pourquoi le Conseil a marqué son accord pour l'octroi de la garantie de l'Etat. Ce faisant, notre pays se met totalement à jour à l'égard de la CEB, conformément aux conclusions de la séance de travail tenue à Lomé, le 27 novembre 2018, où les Chefs d'Etat du Bénin et du Togo invitaient nos deux pays à mettre en place leurs garanties respectives au plus tard le 31 décembre 2018.
II-4. Fixation des pnx des produits pétroliers pour le mois de décembre 2018.En application du mécanisme d'ajustement mensuel, les prix se présentent comme suit au titre du mois de décembre 2018 :
Essence : 530 F/l ;
Pétrole : 590 F/l ;
Gasoil : 600 F/l ;
Mélange : 610 F/l ;
Gaz domestique : 535 F/kg.
Le Conseil a autorisé :
l'organisation, à Cotonou, du 29 au 30 novembre 2018, du séminaire de formation des hauts fonctionnaires de l'Etat sur le thème « Conception et mise en oeuvre des politiques basées sur des données probantes » ;
l'organisation, à Cotonou, du 29 au 30 novembre 2018, de la 8ème rencontre des chefs des services de sécurité et de renseignement et de la 4ème réunion des Ministres en charge de la sécurité des pays membres de l'initiative d'Accra ;
la participation du Bénin à la 34ème session du Comité permanent pour la coopération économique et commerciale de l'Organisation islamique (COMCEC/OCI), à Istanbul, en Turquie, du 26 au 29 novembre 2018 ;
la participation du Bénin à la 24ème Conférence des parties à la convention-cadre des ations Unies sur les changements climatiques (COP 24), à la 14ème conférence des parties au protocole de Kyoto et à la 3ème partie de la 1ère conférence des parties agissant comme réunion des parties à l'Accord de Paris, à Katowice en Pologne, du 03 au 14 décembre 2018 ;
la participation du Bénin au Forum mondial sur l'éducation à Londres, du 21 au 23 janvier 2019.
Sur proposition du Ministre des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l'Emploi, les nominations suivantes ont été prononcées :
Directeur de Cabinet : Monsieur Edouard SEHLI
Directeur adjoint de Cabinet : Monsieur Yaovi Bruno ANAGONOU
Secrétaire général du ministère : Monsieur Cocou César AKLOSSOU
Secrétaire général adjoint du ministère : Monsieur Sotima Michel YOTTO
Conseiller technique juridique : Madame Olga Nelly AGBO
Directeur de l'Informatique et du Préarchivage : Monsieur Mahouéna Bentsi JOHNSON
Directrice générale de la Promotion de l'Entreprenariat et de l'Emploi : Madame Nonvilé Elodie FAIZOUN.
Fait à Cotonou, le 28 novembre 2018.
Le Secretaire Général du Gouvernement,
Edouard OUIN-OURO.-
Certains individus impliqués dans le commerce de faux médicaments sont, depuis ce mardi 27 novembre 2018, dans les mailles de la Police Républicaine. Ceci suite à l'interpellation du nommé Zossou Eric Josée Koumalon, par la patrouille corridor du 2eme arrondissement d'Abomey-Calavi. L'étudiant âgé de 29 ans transportait un sac qui contenait une importante quantité de faux médicaments.
Se trouvant dans une position suspecte avec un gros sac, la patrouille corridor du 2eme arrondissement d'Abomey-Calavi, a interpellé le nommé Zossou Eric Josée Koumalon.
Après avoir procédé à une fouille, les éléments de la Police découvrent dans son sac une énorme quantité de médicaments d'origine douteuse tels que Paracétamol 500 mg, Wormzap 400 mg, calcium, vitamine C et Efferalgan sirop.
Interrogé sur la provenance des médicaments, Josée Koumalon a déclaré l'avoir reçu au domicile du sieur Rachad Chitou, ex gardien de buts des Ecureuils du Bénin, sis à Hounsa Assiogbossa.
Il a également confié que c'est la nommée Kaoussarath Mousatafa, épouse du sieur Rachad Chitou, qui lui livre ces médicaments. Ces derniers doivent être remis à dame Félicité Soké, épouse feu Emile Koumalon à Aïtchédji, arrondissement et commune d'Abomey-Calavi.
Une équipe dirigée par le Lieutenant Sosthène Doha, s'est rendue immédiatement au domicile du sieur Rachad Chitou. La perquisition effectuée en présence de ce dernier a permis de saisir une grande quantité de médicaments. Il a été conduit au commissariat ainsi que son fils Fadil Chitou, âgé de 20 ans qui avait remis le premier colis à Josée Koumalon.
Dame Kaoussarath Mousatafan ne s'est pas présentée au commissariat et est restée injoignable. Une enquête est ouverte dans le but de situer la responsabilité de chacun dans cette affaire de ‘'faux médicaments''.
Akpédjé AYOSSO
La commune de Parakou accueille depuis, ce mardi 27 novembre 2018, la 6ème revue annuelle des activités de lutte contre les maladies tropicales négligées. Organisée par le ministère de la santé à travers le programme national de lutte contre les maladies transmissibles, cette revue qui rassemble les différents acteurs de la lutte contre les maladies tropicales négligées au Bénin vise à faire le bilan des actions menées en 2018 en matière de lutte contre les maladies tropicales négligées et faire des perspectives pour une lutte plus efficace pour l'élimination desdites maladies.
Pendant les 72 heures que durera la revue annuelle, les différents acteurs de la chaîne vont se pencher sur les progrès, difficultés de la lutte et définir des approches de solutions pour l'amélioration de la couverture dans les différentes communes. Au terme de ces assises, ils vont mettre l'accent sur le maintien des bonnes pratiques ou stratégies ayant permis d'avoir de bonnes couvertures épidémiologiques dans le traitement de masse.
L'année 2018 n'a pas été dépourvue d'actions. Les acteurs ont orienté les actions vers les traitements de masse en milieu communautaire contre les pathologies comme les Géo helminthiases ou parasitoses intestinales, les bilharzioses dans 10 communes.
Le représentant du coordonnateur du programme national de lutte contre les maladies tropicales négligées, Nékoua M'po, tout en reconnaissant l'engagement des acteurs de la lutte pour leur engagement se dit confiante en la réussite de la 6e revue annuelle de la lutte contre les maladies tropicales négligées.
Le représentant résident de RTI Bénin, Daré Aboudou, partenaire du PNLMT, a indiqué que le nouveau format de la revue permet de traiter les problèmes spécifiques des départements. Il a émis le vœu que le Bénin soit présent au rendez-vous bilan pour l'élimination de certaines endémies et le contrôle des autres.
Le directeur départemental de la santé n'a pas manqué de dire sa joie pour l'engagement des différents acteurs du programme pour l'élimination des maladies tropicales négligées. M. Karimou Imorou Yacoubou a fait remarquer que c'est du devoir des acteurs de la santé de travailler à assurer la santé des populations. Le représentant le ministre de la santé appelle les différents acteurs à redoubler d'ardeur dans leurs actions. Selon lui, la revue annuelle est une activité capitale qui permet de faire le point, la critique et l'autocritique des actions pour une meilleure planification des activités futures. Il souhaite plus de dynamisme pour l'atteinte des objectifs du programme.
Le programme national de lutte contre les maladies transmissibles vise l'élimination des maladies telles que la Filariose Lymphatique ou éléphantiasis, les Géo-Helminthiases ou parasitoses intestinales, les schistosomiases ou bilharzioses et le Trachome.
G.A.
Selon les résultats d'un audit commandité par le directeur général du port autonome de Cotonou (Pac), Joris Albert Thys et transmis à Johannes Dagnon, représentant le chef de l'Etat en juillet dernier, de nombreux manquements ont été enregistrés dans la gestion du Port autonome de Cotonou (PAC). Au nombre de ceux-ci, la présence dans les effectifs de tous anciens directeurs généraux émargeant encore au budget du port. Le même rapport révèle l'existence de primes fantaisistes, le non-respect des normes simples de gestion ainsi que l'existence de faux employés percevant un salaire. Des dysfonctionnements qui compromettent dangereusement la viabilité et la performance du port.
La mise en oeuvre de ces réformes est sous l'impulsion des experts belges du Port of Antwerp International (Pai), attributaire d'un contrat d'audit et de gestion du PAC depuis janvier. Il est prévu le licenciement de plus de trois quart des effectifs du port selon un plan directeur validé mi-novembre par le comité de suivi des réformes piloté par Johannes Dagnon.
Dans le cadre desdites réformes, un budget de 300 milliards de francs CFA (457 millions d'euros) d'investissement sur trois ans a été validé et concerne les travaux de prolongement des quais nord et sud, le dragage du bassin portuaire ainsi que la construction d'un second quai hydrocarbure.
Cette affaire éclate dans un contexte où le secrétaire général du Syndicat national des travailleurs du port autonome de Cotonou (Syntrapac) annonce une assemblée générale extraordinaire, ce mercredi 28 novembre 2018, au sujet du licenciement collectif engagé par la direction générale dans le cadre des réformes au PAC.
F. A. A.
MASCARA- L’’enseignant d’histoire des écoles islamiques à l’université de Bursa (Turquie), Mohamed Chalenc a estimé, mardi à Mascara, que le monde arabo-musulman gagnerait à s’inspirer de la pensée modérée de l’Emir Abdelkader prônant la paix et la coexistence.
Chalenc a souligné, en marge du premier colloque international sur « l’Emir Abdelkader El Djazairi entre deux rives », que l’émir Abdelkader qui a consacré sa vie à la lutte pour son pays et pour la paix est un grand maître qui guide à la bonne voie, notamment en cette conjoncture que vit le monde arabo-musulman.
Cet académicien a soutenu que la personnalité de l’Emir Abdelkader est riche nécessite davantage d’étude de ses aspects politique, diplomatique, militaire, savant et théologien et ses principes basés sur le droit, la justice, l’équité et le respect de l’humanité qui peuvent inspirer les arabes et les musulmans traversant aujourd’hui une situation difficile marquée par les guerres, les conflits et autres.
Le monde reconnaît à l’Emir Abdelkader une grandeur d’esprit et des qualités faisant de lui un leader des Algériens et des Musulmans, a-t-il affirmé, rappelant qu’il était poète guerrier, pacifiste, soufi et
philosophe. Un modèle de la foi, un homme d’Etat, un chef militaire et un messager de la paix. Un homme complet.
Au passage, Mohamed Chalenc a déploré le manque d’écrits sur l’Emir Abdelkader en Turquie en dépit de certaines tentatives d’universitaires pour comprendre sa personnalité, tout en appelant à réfléchir sur un réseau d’études consacrées à l’Emir Abdelkader et mobilisant des équipes pluridisciplinaires nationales et internationales.
Les citoyens de Bursa en Turquie retiennent toujours en mémoire le séjour de l’Emir de deux années dans leur ville avant son exil à Damas
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Trois (3) éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés mardi à Mila par un détachement combiné de l’Armée nationale populaire (ANP), indique mercredi le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce à l’exploitation de renseignements, un détachement combiné de l’Armée nationale populaire a arrêté, le 27 novembre 2018 à Mila (5e Région militaire), trois (3) éléments de soutien aux groupes terroristes », précise la même source.
Dans le même contexte, un autre détachement de l’ANP « a découvert et détruit, lors d’une opération de fouille et de ratissage menée dans la localité de Taghda, commune de Larbaa, wilaya de Batna (5e RM), dix (10) casemates pour terroristes et un atelier de préparation d’explosifs contenant (36) bombes de confection artisanale, deux (2) grenades, (465) capsules, (20) kg de produits chimiques explosifs, (800) grammes de TNT, (4) kg de poudre noire, ainsi que différents outils de confection d’explosifs, des médicaments et divers objets ».
Par ailleurs et dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, des éléments de la Gendarmerie nationale « ont arrêté un narcotrafiquant à bord d’un véhicule touristique chargé de (99,1) kg de kif traité à Mascara (2e RM), tandis que (2.764) comprimés psychotropes, détenus par deux narcotrafiquants, ont été saisis à Béchar (3e RM) ».
En outre, des éléments de la Gendarmerie nationale « ont appréhendé à M’sila (1e RM), Sétif et Souk Ahras (5e RM), quatre individus en possession de (3) fusils de chasse sans papiers, alors que (4) immigrants clandestins de nationalité africaine ont été interceptés à In Amenas (4e RM) », rapporte le communiqué .
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L’Organisation mondiale du travail (OIT) a publié, lundi soir, son rapport annuel 2018-2019 sur les salaires. L’Organisation note une croissance faible des revenus dans le monde, alors que le chômage et la croissance se sont améliorés sur le dernier exercice. Les Algériens ne sont pas non plus bien lotis en termes de revenus ; la croissance et la productivité ne suivent pas, alors que le chômage risque de rebondir sous l’effet de la baisse des budgets dédiés à l’investissement.
En termes réels, c’est-à-dire corrigée par l’inflation, la croissance salariale en Algérie a ralenti de 1,0% 2015 et de 4,4% en 2016. Sur la période 2017-2018, elle a bondi de 1,7%, meilleure performance en Afrique du Nord, mais loin derrière la performance constatée en Egypte, où les salaires ont progressé de 3,3% sur la même période. Au Maroc, la progression du salaire réel nominal était de 1,6% en glissement annuel 2017-2018, alors qu’en Tunisie, pays ravagé par le chômage, l’évolution était d’à peine 1,4%. Dans ces pays, la croissance réelle des salaires était très faible, selon l’OIT.
Dans notre pays, il s’agit néanmoins d’un retour au vert après deux exercices difficiles où les salaires réels sont passés carrément dans le rouge, soit à un niveau au-dessous de 0%. Ce recul constaté durant les deux années 2015 et 2016 s’explique en partie par l’aggravation des signaux de crise née de la dépression du marché pétrolier dès le second semestre de 2014. Le moral des investisseurs décrochait, la productivité était presque nulle, l’investissement accusait le coup avec, au tableau des budgets, une contraction importante des dépenses d’équipements dès 2016.
Cette faible évolution des salaires dans le pays, classé dans la catégorie des Etats à revenus intermédiaires, tient à la faible progression du PIB sur les années 2015-2016-2017 et 2018, alors que le chômage évoluait en dents de scie sur la même période avec, comme perspective, une hausse attendue pour 2019 sous l’effet du retour à la politique des coupes budgétaires dans l’investissement. Le ralentissement de la productivité sur la période 2015 à 2018, qui tient aux difficultés constatées dans de nombreux secteurs d’activité, affectés par les restrictions à l’importation, était en partie à l’origine de cette faible progression des salaires. Au plan des négociations salariales, l’Organisation internationale du travail dit constater un affaiblissement au niveau mondial du pouvoir de négociation des salariés.
Au plan national, toujours, la question ne figure même plus dans les différentes rencontres gouvernement-partenaires sociaux ; la dernière augmentation du Salaire national minimum garanti (SNMG) en date a été acquise lors de la tripartite de 2011. Depuis, elle n’a plus figuré dans le menu des différentes tripartites organisées les années suivantes. Pis, le gouvernement a décidé même de geler les recrutements et l’évolution des carrières dans la fonction publique sur la période 2017-2019 ; une décision contenu dans sa codification budgétaire des années 2017, 2018 et 2019. La situation n’a pas évolué d’un iota au plan des finances publiques et la décision pourrait être reconduite dès 2020. D’autant plus que, dans son dernier rapport pour la région Moanap (Moyen-Orient, Afrique du Nord, Afghanistan et Pakistan), présenté récemment à Dubaï, le Fonds monétaire international (FMI) prévoit un « retour à un rééquilibrage budgétaire rigoureux prévu à partir de 2019 », ce qui signifie que le gouvernement pourrait recourir davantage à des mesures d’austérité.
Dans le même rapport, les experts du « Fonds» estiment que « la contraction budgétaire prévue pour les années à venir va probablement se traduire par un ralentissement marqué de la croissance non pétrolière sur le moyen terme », ce qui se traduirait par l’aggravation du coût social de la crise avec, comme éléments palpables, la hausse du chômage, la baisse des embauches et la stagnation des salaires.
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BATNA- Une conférence internationale sur le genévrier thurifère et les conifères menacés d’extinction en Méditerranée, la première à traiter de ce sujet, s’est ouverte mardi à l’université Batna-1.
La sixième édition de cette manifestation du Sud de la méditerranée s’articulant autour de ces arbres menacés et connus pour leur longévité, réunit des experts et chercheurs de France, de Tunisie, du Maroc et de diverses universités du territoire national.
Pour le Pr. Yacine Baghami, président de la conférence et doyen de la faculté des sciences vétérinaires et des sciences agronomiques, cette conférence de trois jours vise à rassembler et actualiser les informations sur cet arbre et certains conifères menacés d’extinction dont le pin noir, le cyprès du Tassili et l’if et déterminer leur répartition géographique, les mesures de préservation et leur importance sociale.
La conférence de Batna intervient après deux rencontres similaires tenues à partir de 1997 en France, en Espagne et au Maroc et ce, tous les 4 ans dans les pays qui disposent de cet arbre qu’on retrouve dans la région Sud de la Méditerranée notamment dans les Aurès, dans les Alpes (France) et en Espagne, a souligné le même universitaire.
Selon le directeur de l’Ecole nationale des forêts, Othmane Briki, le genévrier thurifère a été classé par l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN) comme espèce à valeur patrimoniale à protéger.
La wilaya de Batna compte environ 10.000 hectares de genévriers thurifère ou genévrier à encens localement appelé « Hezenzana » ou « Aywal », répartis dans les localités de Theniet El Abed, T’kout, Arris et Ichemoul, a indiqué M. Briki qui relève qu’une auto-régénération de cette espèce en Algérie et qui existe uniquement dans les Aurès, a été observée au cours de ces derrières années, laissant paraître une lueur d’espoir d’une extension de ce patrimoine naturel à d’autres régions.
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PARIS- Les savoirs et savoir-faire des mesureurs d’eau des foggaras ou aiguadiers (kiyaline el-ma) du Touat et du Tidikelt ont été inscrits, sur demande de l’Algérie, sur la Liste du patrimoine immatériel nécessitant une sauvegarde urgente, a-t-on appris mercredi auprès de l’Unesco.
Cette décision a été prise au cours des travaux, à Port-Louis (Maurice), de la treizième session du Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, qui ont débuté lundi et devront être clos samedi prochain.
Le dossier algérien figurait parmi les sept demandes d’inscription sur la Liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente qui recense les éléments du patrimoine vivant dont la pérennité est menacée.
Elle compte, avant le rajout d’autres patrimoines, 52 éléments inscrits et permet aux Etats parties à la Convention de mobiliser la coopération et l’assistance internationales nécessaires pour renforcer la transmission de ces pratiques culturelles en accord avec les communautés concernées.
Avec cette inscription, l’Algérie devra soumettre régulièrement un rapport de suivi sur la sauvegarde de ce métier ancestral.
Le système des mesureurs d’eau (kiyaline el-ma), répandu dans les wilaya d’Adrar et de Tamanrasset, date de plusieurs siècles montre aujourd’hui des signes de recul dû essentiellement à l’abaissement du niveau de la nappe obligeant à recourir à des sondages et pompages profonds.
Dans une correspondance datée du 31 mars 2016, adressée au DG du Centre nationale de recherches préhistoriques, anthropologiques et historiques d’Alger (CNRPAH), le directeur de la culture de la wilaya d’Adrar a indiqué que ce système « ingénieux et pluriséculaire » qui fait partie de l’identité des populations sahariennes en général et de celles de la wilaya d’Adrar en particulier, est composé de « savoirs, de savoir-faire et de rituels enfermant de nombreux éléments du patrimoine immatériel transmis de génération en génération et allant dans le sens d’une gestion écologique des ressources de la nature et d’une exploitation rationnelle de la rareté de l’eau ».
Il est recommandé, à cet effet, de sauvegarder, protéger et revivifier ce système qui comprend le creusement des foggara avec des puits et des galeries les reliant, le partage de l’eau selon des modes de calculs connus et maîtrisés par la corporation des mesureurs d’eau (kiyalin el-ma) et l’irrigation des multiples jardins des palmeraies du sud de l’Algérie.
Actuellement, un manque de communication entre les jeunes et leurs aînés est observé. Ce qui laisse supposer que la disparition de ce métier est illustrée par l’âge avancé des mesureurs d’eau qui met en évidence une absence de renouvellement des praticiens.
Plusieurs autres facteurs sont venus ont contribué à la nécessité urgente de sauvegarde de ce savoir-faire, dont notamment ceux qui ont modifié le bon fonctionnement des foggaras, (nouveaux rapports de propriété), les effets de l’urbanisation et de la modernisation et une absence de prise en considération des mesures à mettre en oeuvre pour assurer la transmission du savoir.
Le Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco est composé des représentants de 24 Etats parties à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (2003).
Il se réunit une fois par an et assure le suivi de la mise en oeuvre de cet instrument juridique ratifié par 178 Etats.
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ALGER- La diversification des domaines de coopération entre l’Algérie et l’UE a été, mardi au centre d’une rencontre au siège de l’Assemblée populaire nationale (APN), entre le président de la Commission des affaires étrangères, de la coopération et de la communauté nationale à l’étranger, Abdelhamid Si Afif, et une délégation du groupe de travail (est-ouest) au Conseil de l’Union européenne (UE), a indiqué un communiqué de l’APN.
M.Si Afif a évoqué lors des entretiens avec la délégation européenne le « rôle de l’APN et les étapes de son évolution », mettant en exergue son apport au processus démocratique parachevé par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, par une série de réformes sanctionnées par le dernier amendement constitutionnel qui a consacré davantage de droits et de libertés.
Sur le plan de la coopération, M. Si Afif a salué les relation privilégiées qui unissent l’Algérie et l’UE dans différents domaines », soulignant la nécessité de « diversifier ces domaines dans le cadre d’un partenariat gagnant-gagnant ».
S’agissant de la migration clandestine, le président de la commission a mis l’accent sur l’importance de coordonner les efforts pour faire face à ce phénomène », appelant à l’adoption d’une « approche globale qui repose sur le développement des pays exportateurs de migrants ». Il a dans ce cadre réitéré le « rejet de l’Algérie à devenir un centre de rassemblement pour migrants ».
Pour ce qui est de la situation dans la région, M. Si Afif a souligné que « l’espace maghrébin représentait une option stratégique pour l’Algérie qui estime que l’activation de l’UMA doit se faire sur des fondements objectifs qui prennent en charge les intérêts de tous ».
Par ailleurs, le responsable a préconisé la recherche d’une solution juste au conflit sahraoui, déplorant le fait que certains pays européens n’aient pas respecté les décision de la Cours de justice européenne (CJUE) portant sur « l’exploitation illégale des richesses du Sahara Occidental ».
Pour sa part, la délégation du groupe de travail (est-ouest) au Conseil de l’UE s’est dite satisfaite d’être en Algérie, saluant les efforts de l’Algérie dans la promotion de ses relations avec l’UE.
La délégation européenne a saisi cette occasion pour exprimer son souhait de voir la « coopération bilatérale se renforcer davantage », soulignant que l’UE était « disposée à dialoguer avec l’Algérie en toute transparence pour sortir avec des décision fructueuses concernant la coopération commune ».
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La salle de conférence de l'Agence de Promotion des Investissements et des Exportations (APIEX) a servi de cadre d'anglais s la soirée du mardi 27 novembre 2018, pour la signature du protocole d'accord entre le "Groupement de sociétés chinoises spécialisé dans la production d'équipements pour la pêche au Bénin" et l'APIEX. Avant la signature de ce protocole d'accord, les deux parties ont donné une conférence de presse face aux hommes des médias.
Pour le Directeur Général de APIEX, Monsieur Laurent GANGBES, « les différentes réformes du gouvernement ont vraiment un effet d'accélération des installations d'entreprises », car elles commencent par porter des fruits aujourd'hui. Après le protocole d'accord signé entre l'APIEX et la société française ENGIE FENIX BÉNIN la semaine dernière, « aujourd'hui, nous en avons une nouvelle illustration avec ce protocole que l'APIEX signe avec ce groupement de sociétés chinoises spécialisé dans la production d'équipements pour la pêche qui opère dans le domaine des équipements de pêche avec à la clé, la création de près de 500 emplois directs et 200 emplois environ liés à la sous-traitance », s'est-il exprimé. Ce qui a conduit le Directeur Général de APIEX à dire « qu'il est évident que sans les réformes du Gouvernement aucune de ces entreprises ne seraient venue au Bénin ».
Le porte-parole du groupement de sociétés chinoises, Monsieur Zhong Yi CHENG s'est réjoui de l'accueil qui leur a été réservé au Bénin et aussi à l'APIEX. À l'origine, ils étaient venus en mission de prospection dans certains pays d'Afrique pour l'installation de leurs usines. « Mais, nous avons trouvé que le Bénin est différent en terme de réformes, en terme de loi d'investissement, d'environnement pour les investisseurs. Notre idée initiale a été de voir les conditions d'investissement ici au Bénin et la possibilité de construire une usine de production et d'équipements » a-t-il laissé entendre. Ils se sont réjouis de la signature du protocole d'accord avec APIEX et la construction de l'usine de production et d'équipements pour la pêche va démarrer dans les semaines à venir.
Il faut noter que ce groupement de sociétés chinoises est composé de 11 entreprises chinoises opérant dans le même secteur qui ont décidé de se mettre ensemble et investir plus de 20 millions de dollars US pour construire une usine et implanter une unité de commercialisation. Tout ceci a été rendu possible grâce aux conditions avantageuses que le Gouvernement a mis en place pour attirer ces entreprises.
« C'est une opportunité pour les jeunes que j'invite à se porter candidat lorsque le groupe engagera son processus de recrutement » a dit le Directeur Général de APIEX, Monsieur Laurent GANGBES pour finir.
Direction de la Communication / Présidence de la République du Bénin
ALGER- Le secrétaire général du Conseil national économique et social (CNES), Lakhdar Guenoune, qui se trouve actuellement à Tunis pour participer à la cérémonie d’installation du Conseil national tunisien du dialogue social, a appelé « à la création d’une union maghrébine des Conseils économiques et sociaux et des instances similaires », a indiqué mardi un communiqué du CNES.
Sur invitation du ministre tunisien des affaires sociales, Mohamed Trabelsi, une délégation du CNES, conduite par son Secrétaire général, Lakhdar Guenoune, participe à la cérémonie d’installation du Conseil national tunisien du dialogue social qui a été présidée par le Chef du Gouvernement tunisien Youssef Chahad.
Reçu en marge de cette cérémonie par le ministre tunisien des Affaires Sociales qui a été élu président du Conseil tunisien du Dialogue social lors d’une séance qui s’est déroulée à huis clos, M. Guenoune a exprimé « sa satisfaction » quant à cette élection et s’est félicité de la création de cette instance semblable et similaire au Conseil économique et social algérien. Il s’est dit disposé à soutenir le Conseil tunisien, a ajouté la même source.
Il a affirmé, en outre, la disponibilité du CNES à échanger les vues sur les questions d’intérêt commun notamment dans les domaines économique et social.
De son côté, le ministre tunisien a manifesté un intérêt pour les propositions algériennes, exprimant son souhait de les évoquer de manière plus approfondie lors des prochaines rencontres.
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