Global Motors Industries (GMI) a marqué sa présence à la Foire de la Production algérienne par un stand de 200m² situé au pavillon U et un deuxième de 500m² sur la place de l’Union africaine où ont été exposées ses différentes gammes de camions et de bus. L’occasion pour Gmia de présenter son nouveau Mighty EX8 et le Xcient 4*2.
Placé sous le thème «Réussir les exportations pour une croissance économique durable», cet évènement permettra aux producteurs nationaux algériens de promouvoir leurs produits auprès des partenaires étrangers et du grand public.
Durant tout le salon, les clients ont bénéficié d’une offre de trois vidanges gratuites pour toute commande passée sur le stand et dans tous le réseau agréé GMI, et pourront ainsi bénéficier de réparations gratuites dans les 18 points de maintenance que compte le réseau Hyundai Truck & Bus en Algérie.
Représentant officiel de la marque sud-coréenne Hyundai Truck & Bus, Gmia est, aujourd’hui, un acteur incontournable de la scène économique et industrielle en Algérie. En effet, sa contribution à la promotion du made in Algeria est devenue son objectif principal depuis la création de son usine d’assemblage à Batna en 2016.
Gmia peut compter aussi sur le partenaire Hyundai Motors Company (HMC) qui pilote le projet et l’assiste à travers le transfert technologique et la formation des collaborateurs sortant des centres de formations dédiés à la mécanique et aux métiers répondant aux besoins de l’industrie automobile.
A travers cette manifestation économique importante, Global Motors Industries est déterminé à prendre la place de leader dans le domaine de l’industrie automobile en Algérie pour répondre à une demande grandissante, tant en qualité qu’en quantité.
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C’est à travers un stand inédit que Renault a marqué sa présence à la foire de la production algérienne. En plus des modèles montés dans l’usine de Oued Tlelat, le groupe a consacré une bonne partie de l’espace à la mise en valeur de l’activité montage avec un véhicule dans son état de carrosserie nue tel que réceptionné en amont de la chaîne de production.
C’est le cas de podiums équipés de Renault Symbol à différentes étapes de montage : la caisse peinte intégrée en début de chaîne de montage, suivi d’un véhicule semi-assemblé, représentant 50 minutes d’opérations sur le véhicule, qui est désormais équipée, entre autres, d’isolants, du cockpit, des câblages, de la miroiterie, ainsi que de la sous-caisse comportant le moteur. La dernière étape correspond à la tombée de chaîne du véhicule après 120 minutes d’assemblage. Il lui restera à passer ensuite un test statique, un test dynamique et un test d’étanchéité avant qu’il soit expédié dans le réseau de Renault Algérie, riche de 59 distributeurs agréés.
Renault expose également les pièces produites localement par ses sous-traitants locaux. Il faut signaler que Renault Algérie Production est fortement impliquée dans le développement de la filière automobile algérienne naissante, avec 8 sous-traitants locaux nommés à fin 2018, fournisseurs de 8 technologies différentes. L’objectif pour 2019 est d’atteindre 12 technologies. Il y a lieu de rappeler que le Groupe Renault marque sa présence à cette manifestation pour la 5e année consécutive depuis l’inauguration de l’usine de Renault Algérie Production en novembre 2014. Le leader algérien de l’automobile y fait la promotion de son usine de Oued Tlelat, qui est le fruit d’un partenariat solide et durable entre le Groupe Renault, la SNVI et le FNI et qui a assemblé plus de 185 000 véhicules en 4 ans, intégré 3 modèles à sa chaîne de montage et créé près de 2 000 emplois directs et indirects.
L. S. A
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De la pâte feuilletée, un jaune d’œuf, 500 g de viande hachée, 5 c. à s. de chapelure, 3 œufs, 2 c. à c. d’ail en poudre, 2 c. à c. de cumin, 2 bonnes c. à s. de persil haché, sel, poivre, 3 œufs durs
Mettre la viande hachée dans un ravier, ajouter la chapelure, les 3 œufs, l’ail, le cumin et le persil haché, saler et poivrer puis bien mélanger. Façonner la viande en forme de pain, creuser le centre pour mettre les 3 œufs durs puis enfermer les œufs dans la farce de viande. Etaler la pâte feuilletée ; à l’aide d’un couteau, couper de fines lamelles et les disposer sur le pain de viande. Badigeonner le pain de jaune d’œuf puis mettre à cuire dans un four préchauffé à 180°C pendant environ 45 à 50 minutes (surveiller la cuisson). Laisser refroidir un peu et couper la pain de viande en tranches, servir avec une rondelle de citron.
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Etant un des secteurs ayant le «plus pâti» de la longue nuit terroriste, le tourisme revient à pas sûrs au-devant de la scène une fois la paix et la sécurité retrouvées par la grâce de la politique judicieuse de la réconciliation nationale.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – C’est ce que le ministre du Tourisme et de l’Artisanat soutient.
Présentant, hier, le plan de développement du tourisme et de l’artisanat à l’horizon 2030 devant les membres de la commission culture, communication et tourisme de l’APN (Assemblée populaire nationale), Abdelkader Benmessaoud a étalé la stratégie des pouvoirs publics visant à faire retrouver à ce secteur «stratégique» son lustre d’antan, sinon plus.
Une stratégie contenue dans un «plan d’orientation» avec, a-t-il dit, «des objectifs, des priorités, des étapes et des mécanismes définis». Elle est étalée sur deux «étapes essentielles» dont la première consiste à «déblayer le terrain» à travers notamment «l’assainissement des cadres législatif et réglementaire» régissant le secteur.
Quant à la seconde phase, elle consiste principalement en la réduction du déficit en capacités d’accueil avec, selon le ministre, un saut quantitatif enregistré déjà puisque les capacités d’accueil sont passées à 140 000 lits alors que 110 000 lits sont en chantier.
Soit une évolution de 200%, avec l’objectif d’atteindre 250 000 lits en 2030 et celui d’attirer 15 millions de touristes dont 5 millions d’étrangers. Et comme le tourisme ne se suffit pas de l’aspect lié aux capacités d’accueil, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat a également mis l’accent sur la qualité des services avec son corollaire, la formation des différents intervenants ou encore la modernisation des méthodes promotionnelles de la destination Algérie.
Ou encore la tarification avec des réductions concédées en saison estivale et en saison touristique dans le Grand-Sud. Et comme le tourisme va de pair avec l’artisanat, Benmessaoud a fait état des énormes efforts consentis pour valoriser au mieux les énormes atouts dont dispose le pays en la matière.
Un créneau qui emploie à présent près d’un million de personnes avec la contribution au PIB national de l’ordre de 324 milliards de dinars.
Le ministre du secteur table sur le doublage de ces deux données avec deux millions d’emplois prévus à l’horizon 2030 et une contribution au PIB national de 760 milliards de dinars.
M. K.
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Sur les 720 189 logements sociaux-locatifs mis en service avant 2004 et proposés à la vente par les Offices de promotion et de gestion immobilière (OPGI), à peine 226 852 ont été cédés à leurs occupants.
Auditionné hier par la Commission de l’habitat, de l’équipement, de l’hydraulique et de l’aménagement du territoire de l’Assemblée populaire nationale (APN), le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar, a présenté un rapport qui récapitule la situation de son secteur, faisant, entre autres, le bilan de l’opération de vente des logements sociaux mis en service avant 2004, lancée, faut-il le rappeler, au temps du ministre Noureddine Moussa.
Abdelmadjid Tebboune s’était expliqué déjà – en mai 2016 devant le Conseil de la Nation – sur les lenteurs que connaît cette opération. Mais, la situation n’a pas vraiment évolué depuis.
En effet, selon les chiffres communiqués hier par Abdelwahid Temmar, à peine 226 852 logements sociaux-locatifs ont été cédés à leurs occupants sur les 720 189 mis en service avant 2004 et proposés à la vente par les Offices de promotion et de gestion immobilière (OPGI). Soit 31,5% des logements mis en vente et qui représentent près des deux tiers (63,94%) du parc géré par les OPGI et qui s’élève à 1,14 million de logements. L’opération a rapporté jusqu’ici 48,5 milliards DZD. Ainsi, près de 500 000 unités (493 337) n’ont pu être cédées et ce, pour de multiples raisons.
Si l’audition, hier, de Abdelwahid Temmar a été tenue à huis clos, Abdelmadjid Tebboune, lui, avait donné, dans sa réponse à une question orale au Conseil de la Nation en mai 2016, quelques explications qu’il est utile de rappeler.
Tebboune, qui avait rendu publics les résultats partiels de l’enquête réalisée par une commission installée au niveau de son département afin d’analyser les difficultés que connaît l’opération, a indiqué que «beaucoup d’occupants de ces logements à loyers modérés ne comptent pas parmi les bénéficiaires initiaux et n’ont pas le droit de jouir de ces logements». «Le nombre des indus occupants tourne autour de 250 000», avait-il déclaré. Dans ce contexte, il convient de souligner que même si la loi limite la cession du droit de jouissance des logements sociaux-locatifs aux seuls descendants du bénéficiaire, elle n’a pas empêché les bénéficiaires de la contourner et de vendre le «pas de porte» moyennant une reconnaissance de dette.
Un véritable marché parallèle où les logements sociaux changent de main comme s’ils étaient la propriété de leurs occupants s’était développé à l’ombre du mode de distribution de ces logements où le piston est érigé en règle. Cette situation a fortement déséquilibré les trésoreries des OPGI qui accumulent des milliers de milliards d’arriérés de loyers et trouvent énormément de difficultés à les recouvrer.
Or, la décision de vendre ceux mis en service avant 2004 à leurs occupants n’a pas réglé le problème. Et malgré les prix bas desquels seront déduits les montants des loyers versés jusque-là par l’acquéreur, l’opération, lancée en 2008, n’a pas abouti. La régularisation d’une partie des indus occupants en 2016, les membres de la famille du bénéficiaire initial notamment (ascendants, frères et sœurs, beaux-frères), n’a pas boosté la vente. A peine le tiers de ces logements a pu être cédé en dix ans.
L. H.
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Même si l’arboriculture n’occupe que 3% de la superficie utile à l’agriculture, la production de cette filière et sa valeur sont en courbe ascendante depuis quelques années. La preuve, la production a atteint dans ce domaine l’exportation.
Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Pour le ministre de l’Agriculture, la filière arboriculture occupe une place importante dans la politique de son secteur. Chiffres à l’appui, il rappelle que la superficie plantée en arbres fruitiers, tous fruits confondus, était de 154 000 ha en 2000 avant d’atteindre 262 000 ha en 2018 soit une hausse de 70%. «En 2018, les arbres occupent 3% de la superficie utile à l’agriculture», précisait-il, hier lors de la rencontre sur la filière arboriculture, tenue à Alger.
Abdelkader Bouazghi s’est attardé sur les différentes statistiques qui montrent qu’en 2018, la production arboricole a été de 16 892 480 quintaux contre 4 523 370 quintaux en 2000 soit une hausse de 273%. Il cite l’exemple des fruits à noyaux dont la production est de 6 110 640 quintaux et celle des fruits à pépins où leur production est de 8 095 581 quintaux.
Il souligne également la hausse de la valeur de la production fruitière nationale en 2018 pour atteindre 197,8 milliards de dinars contre 121,6 milliards en 2010, soit une augmentation de 63%. «Cette valeur représente 8% de la valeur de la production agricole globale en 2018», dit-il.
Quant aux exportations, le ministre affirme que l’Algérie a exporté en 2017, près de 409 tonnes de fruits à noyaux et à pépins vers essentiellement la Thaïlande, l’Espagne, le Viêtnam et la Russie.
Il souligne, par ailleurs, le rôle important que jouent les pépinières dans la filière de l’arboriculture puisqu’«elles constituent un centre de reproduction et de production des plants de hautes qualités».
De son côté, Mohamed Kheroubi, directeur central chargé de la régulation et de développement de la production agricole au ministère de l’Agriculture, fait remarquer une «nette expansion» des superficies arboricoles plantées. Selon lui, les agriculteurs manifestent de plus en plus d’engouement pour cette filière. «Nous avons tous constaté qu’il n’y a pas eu d’importation l’année dernière, notamment de pommes et de poires», note-t-il.
Qualifiant la production nationale de «très bonne» qualité, il estime toutefois, qu’il reste encore des efforts à déployer pour le développement de cette filière. Pour ce faire, il insiste sur la mise en place de nouvelles plantations, la régénération des vieilles plantations et l’introduction de nouvelles variétés productrices et intensives afin de «garantir un bon revenu aux agriculteurs».
Mohamed Kheroubi évoque la dernière campagne de plantation de plus de 9 000 ha. Celles-ci, précise-t-il, «vont entrer en production crescendo». En 2022, poursuit-il, «nous comptons augmenter la production pour atteindre 22 millions de quintaux qui vont assurer les besoins de la population nationale, et ce, concernant les différentes espèces y compris le kiwi et la banane». Il précise, par ailleurs, que la filière arboriculture mobilise plus de 1,5 million d’emplois directs ainsi que des postes d’emploi générés à travers les transformations et les conditionnements.
Ry. N.
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Les services de la Direction générale des forêts ont relevé 797 foyers d’incendie cette année, s’étalant sur 2 312 ha, compris dans une superficie totale de 4,1 millions d’hectares de formations forestières, dont 3 millions de barrage vert.
Nedjma Merabet – Alger (Le Soir) – Le nombre d’interventions de la Protection civile concernant des incendies de forêt s’est élevé à 85 cette année, ce qui reste faible étant donné que le chiffre pouvait atteindre quelques centaines d’interventions les années précédentes.
Pour ce qui concerne les récoltes touchées par les incendies, le nombre s’est quant à lui accru : 4 000 ha contre 2 140 l’an dernier. Pour les palmeraies, ce sont 7 861 palmiers incendiés, contre 12 461 l’an dernier, donc une baisse importante que l’on note également pour les arbres fruitiers passant de 246 000 arbres l’an dernier à 100 000 en 2018. Par ailleurs, durant la réunion tenue hier au siège du ministère de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, en présence de divers corps coordonnés à la Direction des forêts, dressant le bilan des incendies et des efforts déployés pour lutter contre les incendies, les présents ont exposé une batterie de chiffres précis, quant au matériel acquis. Le nombre de colonnes mobiles a doublé depuis 2004, passant à 27, et 13 nouvelles colonnes sont prévues pour 2019. Cela comprend également l’acquisition de camions.
On apprend, par ailleurs, qu’un effort appréciable a été consenti pour la coordination intersectorielle, avec une participation active du ministère de l’Intérieur entre autres, qui a concédé à l’installation de 40 comités opérationnels.
Le feu de forêt étant un agent de renouvellement naturel, pas seulement de destruction, les chargés de la lutte contre les incendies se préoccupent également d’évaluer la régénération végétale, dépendant de la survivance des graines. Guelma a connu 90% de régénération, 71% à Taref, 78 % à Jijel, et un taux très faible à Sidi-Bel-Abbès, atteignant seulement les 25%. Le stress hydrique, qui touche principalement les wilayas de l’Ouest dans le nord du pays, est sans doute le facteur le plus important du déclenchement des feux de forêt, et de l’empêchement de la régénération végétale. Compte tenu du printemps pluvieux que nous avons connu cette année, l’on comprend mieux la baisse du nombre d’incendies, et la régénération végétale non négligeable qui a pu s’opérer, du moins dans certaines wilayas.
Dans le bassin méditerranéen, l’Algérie se place loin derrière la Turquie, le Portugal, la Grèce, l’Italie, l’Espagne et la France en superficie forestière touchée par les incendies.
Dans ces pays, ou encore aux USA, les incendies peuvent atteindre quelques centaines d’hectares, tandis qu’elle ne dépasse pas les 4 ou 5 ha dans le plus grand pays d’Afrique.
L’Algérie, depuis l’indépendance, a mis au point divers programmes pour lutter contre les incendies et la désertification : chantiers populaires de reboisement (CPR) dans les années 1960, barrage vert dans les années 1970, grands travaux forestiers dans les années 1990, plan national de reboisement (PNR) à partir de 2000, plan national de développement agricole et rural (Pndar) dans les années 2000 et le développement rural de 2009 à 2014. Aujourd’hui, c’est avec la FAO que les autorités nationales collaborent dans le cadre de la lutte contre les incendies de forêt.
N. M.
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Les établissements de l’enseignement supérieur n’ont toujours pas mis en application le décret relatif à la prévention et la lutte contre le plagiat.
La commission nationale d’évaluation de la recherche scientifique et de développement technologique vient de lancer un appel au ministre de l’Enseignement supérieur afin de demander son application. La commission, qui demande aussi la mise en place d’une base de données de toutes les publications au niveau de chaque établissement de l’enseignement supérieur afin d’éviter le plagiat, estime qu’il y a une réticence au niveau de certains établissements vis-à-vis de l’application de ce décret.
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De nombreux médias marocains ont annoncé que la bâtisse de la famille Bouteflika, qui menaçait depuis quelques temps de tomber en ruine, a été démolie.
Le site Al Youm 24 affirme que la décision s’est faite après des discussions entre les autorités algériennes, via le Consulat d’Algérie à Oujda, et les autorités marocaines.
Cette information a été par la suite démentie par le média Yabiladi: « La maison appartenant à la famille du président algérien Abdelaziz Bouteflika n’a pas été démolie comme l’affirment certains médias. Les autorités viennent à peine de mettre en place une commission pour la préparation de cette procédure ».
Le président du conseil Communal de la ville d’Oujda Omar Hejira, explique : « Il y a une femme qui a été mandatée par la famille Bouteflika pour les représenter auprès des autorités de la ville d’Oujda. Nous sommes en contact avec elle pour préparer le dossier technique et le volet juridique, pour ainsi pouvoir procéder à la démolition de la maison ».
Par ailleurs, le maire de la ville d’Oujda a expliqué: « Nous allons accompagner cette proche de la famille de Bouteflika dans cette procédure, non pas parce qu’il s’agit d’une maison appartenant à des proches du président algérien, mais parce que la maison est située dans l’ancienne médina, ce qui nécessite un traitement spécial s’agissant des opérations de démolition ».
Ainsi, le président Bouteflika ne figure plus sur la liste des héritiers de la maison d’Oujda qui l’a vu naître et où il a passé une partie de son enfance. Selon une source bien informée au conseil de la ville, «le président algérien Abdelaziz Bouteflika ne figure plus parmi les héritiers et sur la liste des propriétaires de la maison. La propriété de la maison revient à ses autres frères. Le chef d’état algérien avait cédé ses parts dans la maison familiale quelques moins après son élection à la Présidence de la république », affirme H24 info.
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La direction de la formation du ministère de la Santé, qui a organisé sept sessions de formation au titre de l’année 2018 au profit des psychologues coordinateurs, vient d’adresser une note aux directeurs de la santé leur demandant d’instruire les directeurs d’établissements de santé à l’effet d’accompagner cette catégorie de personnel en vue d’accomplir les tâches qui leur sont assignées vis-à-vis de leurs collègues psychologues, de l’administration et des équipes médicales et paramédicales.
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Vesna Despotovic, entraîneur de la sélection serbe filles U18 vice-championne d’Europe 2017, et ancienne internationale serbe et yougoslave avec laquelle elle a remporté la médaille de bronze aux Jeux olympiques de 1980 à Moscou, a fait honneur aux Algériens, qui poursuivent un camp d’entraînement, avec une présentation théorique et pratique sur les fondamentaux de la discipline.
Organisé par Sport Élite management, que dirige l’Égyptien Ahmed Fawzy, en partenariat avec des Serbes, une vingtaine de jeunes basketteurs algériens, venus des quatre coins du pays Oran, Mascara, El-Eulma, Alger et Cherchell entre autres, accompagnés d’une dizaine d’entraîneurs de jeunes catégories, poursuivent un stage de perfectionnement des techniques de basket-ball d’une semaine dans la ville de Kragujevac, distante de près de 150 km de la capitale Belgrade. Un stage encadré par Abdelkader Chebab, DTS du MC Aïn El-Türck (MCAET) dans la wilaya d’Oran, assisté par Mimoun Youcef, ancien entraîneur des jeunes catégories de l’USM Alger, et M’hamed Belgaïd, ancien entraîneur des U16 filles de la Tunisie et actuel formateur de l’équipe de Boukadir dans la wilaya de Chlef. Les cours et les entraînements sont assurés par Nikola Despotovic Macak, ancien basketteur serbe et entraîneur de l’équipe Radnicki Kragujevac.
Pendant une semaine, les participants à ce camp d’entraînement travaillent leur technique et corrigent, chacun, ses lacunes avec des séances biquotidiennes à l’issue duquel chacun repart avec un diplôme. Ce n’est, d’ailleurs, pas le premier stage qu’organise Sport Elite Management, nous explique Ahmed Fawzy, puisque deux autres camps d’entraînement se sont déjà déroulés auparavant dans d’autres régions serbes en faveur des Algériens. «Si nous avons opté pour la Serbie, que la sélection égyptienne choisit aussi pour ses préparations, c’est parce que c’est un pays qui offre toutes les bonnes conditions de travail et de préparation. La Serbie est une grande nation de basket-ball», souligne Ahmed Fawzy, entraîneur de formation, qui affirme que la Fédération algérienne de basket-ball (FABB) l’avait chargé de programmer un stage pour la sélection nationale avant d’être annulé à la dernière minute.
Ahmed Ammour
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Mercato agité au sein du club Doyen. L’arrivée de deux attaquants, Benaldjia et Frioui, devrait être suivie par d’autres recrues mais aussi des séparations.
Parmi les priorités de la direction du MCA, le transfert de l’un des deux Africains, des milieux de terrain, en l’occurrence Amada et Dieng, afin de pouvoir s’attacher les services d’un attaquant étranger. Si Amada, sollicité par nombre de clubs du Golfe, ne veut quitter les Vert et Rouge qu’en juin prochain, date de fin de son contrat, les responsables mouloudéens espèrent toujours tirer profit d’un éventuel transfert de leur malgache. Pour le Malien, les «pressions» se font plus nombreuses aussi bien de la part des clubs d’Arabie que ceux d’Europe.
Parmi ces derniers, les Helléniques de l’AEK Athènes qui ont fait savoir qu’ils sont intéressés par le profil de ce milieu de terrain récupérateur de 21 ans. Aliou Dieng, ramené par Casoni lors du dernier mercato hivernal, a déjà plu à des clubs français dont Bordeaux et Toulouse dont les offres n’ont pas convenu au club algérien. Le jeune Malien qui aurait demandé une revalorisation de son salaire est sous contrat jusqu’en janvier 2020.
Que d’absents face à Village-Moussa
Le déplacement à Jijel où le MCA affrontera le 1er janvier le CRB Village-Moussa pour le compte des seizièmes de finale de la coupe d’Algérie risque de se faire sans plusieurs des éléments-cadres d’Adel Amrouche. Ce dernier qui pourrait compter sur la nouvelle recrue offensive, Samy Frioui, ne pourra probablement pas bénéficier des services de quelques-uns de ses artificiers, Nekkache et Derrardja en l’occurrence, en sus du malgache Amada, pas encore remis de sa blessure contractée au sein de sa sélection début décembre dernier.
M. B.
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Le club de handball algérien, la JSE Skikda affrontera ce soir (19h) la formation qatarie d’Al-Arabi pour le compte des quarts de finale de la Coupe arabe des clubs seniors-messieurs qui se déroule à Sfax (Tunisie). Le seul représentant algérien encore en lice dans ces joutes arabes aura un match difficile face à la formation qatarie d’Al Arabi, drivée par le technicien algérien Omar Azeb qui connaît parfaitement l’équipe algérienne.
La JSE Skikda, vice-championne d’Algérie, avait remporté un seul match durant le tour préliminaire face à Al-Khaleej d’Arabie Saoudite (30-24) contre deux défaites face au club organisateur du CS Sakiet Ezzit (23-24) et aux Koweïtiens d’Al-Salimiya (19-20). Elle s’est qualifiée aux quarts de finale de la compétition arabe avec 2 points au classement (3e du groupe A). De son côté, l’IC Ouargla, autre représentant algérien, a été éliminé dès le tour préliminaire avec quatre défaites en autant de matchs et une dernière place dans le groupe B. La 34e édition de la Coupe arabe des clubs de handball, qui se poursuit jusqu’au 29 décembre, enregistre la participation de 9 équipes, après le forfait de dernière minute d’Al Ittihad (Libye).
Programme des quarts de finale
(12h) : Al Khaleej (Arabie Saoudite)-ES Tunis (Tunisie)
(14h) : Al-Salmya (Koweït)-SC Moknine (Tunisie)
(16h30) : CS Sakiet Ezzit (Tunisie)-Koweït Al Koweïti (Koweït)
(19h): JSE Skikda (Algérie)-Al Arabi (Qatar).
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Le procès ICC-Services a repris avec les dépositions ce lundi 26 décembre 2018. L'ancien ministre de l'intérieur Armand Zinzindohoué et l'ex Dgpn Anki Dosso Maïga se sont confrontés par rapport au permis de port d'arme délivré à Émile Tégbénou.
Les dépositions ont continué ce lundi à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), à Porto-Novo. Les deux confrontations ont permis de faire la lumière sur la situation relative à la délivrance du permis de port d'arme. L'ancien ministre Armand Zinzindohoué a été confondu sur sa signature par son ex collaborateur qui a fourni les documents du permis de port d'arme délivré à Émile Tégbénou.
L'ex Dgpn souligne avoir reçu des pressions sur le dossier qu'il a simplement liquidé. Il fait part à la Cour des irrégularités constatées dans la procédure de délivrance du permis de port d'arme. Armand Zinzindohoué déclare n'avoir connu Émile Tégbénou qu'en 2010. Bien que le ministère a régulièrement reçu les rapports faisant état de l'existence de ICC-Services depuis 2006, l'ex ministre de l'intérieur réfute avoir eu connaissance de ce fameux dossier. "Je persiste et je signe que le Ministre Armand Zinzindohoué était bel et bien au courant de l'existence de Icc Services bien avant la date de mai 2010 qu'il a donné. En témoignent les documents que j'ai mis à votre disposition. C'est au cours de la l'année 2009 que j'ai eu connaissance des problèmes que rencontraient Icc-Services et c'est suite à l'alerte de la BCEAO qui a demandé une enquête à la BEF. La BEF nous faisait le point de ces enquêtes et je faisais automatiquement point à mon ministre Armand Zinzindohoué", a déclaré Anki Dosso Maïga.
L'ex Dgpn explique à la Cour qu'il y a eu ce dossier de demande d'importation d'armes de la part de Émile Tégbénou qui a mentionné qu'il était directeur départemental de Icc-services et cela date de 2008. Il ajoute qu'ils ont entrepris des démarches et c'est en 2009 qu'il a reçu le permis de port d'arme. Si le dossier devrait suivre le circuit normal, la DGPN serait la première personne à le recevoir d'abord et prendrait ses responsabilités pour étude. Mais c'est venu directement du ministre Armand Zinzindohoué qui a instruit au finish de faire diligence.
Les pièces essentielles dans ce dossier sont le casier judiciaire et le rapport d'enquête de moralité que nous avions eus. ''J'ai reçu pression de la part du ministre Armand Zinzindohoué pour l'octroi de l'autorisation du permis de port d'arme à Émile Tégbénou. Je le dis parce que le dossier a été transmis main à main par le ministre, ce qui est anormal'', a-t-il déclaré.
" Je reconnais ma signature qui est posée sur le permis de port d'arme et sur l'autorisation d'achat d'armes. Un dossier de demande de permis de port d'arme m'est parvenu du préfet de l'Ouémé et je l'ai affecté au service compétent", a avoué Armand Zinzindohoué.
G.A.
Selon une décision en date de ce mercredi 26 décembre 2018, le maire de la commune de Kalalé, Orou Sé Guéné vient de perdre son fauteuil. Outre la mairie de Kalalé, Orou Sé Guéné perd aussi son titre de conseiller communal. Le mis en cause apprend-on, perd également son éligibilité à toute élection en République du Bénin.
Le préfet du Borgou, Djibril Mama Cissé, suivant les règles de la décentralisation, va convoquer une session extraordinaire dans un délai de 15 jours pour l'élection de son remplaçant.
F. Aubin AHEHEHINNOU