Le président de la JSK, Cherif Mellal a tenu à être présent hier matin aux entraînements afin d’encourager les joueurs pour le match d’aujourd’hui, à huis clos face à l’ASAM. Il a même accompagné le groupe dans son lieu de mise au vert pour s’assurer que toutes les conditions sont réunies pour réussir une autre belle opération ce soir et assurer définitivement le maintien. Contacté par nos soins dans l’après-midi d’hier, Mellal semblait satisfait et affirme : « L’équipe a bouclé son programme de préparation du match de l’ASAM ce matin (hier ; ndlr) dans une ambiance extraordinaire. J’ai constaté une grande détermination chez les joueurs pour gagner ce match et je pense que toutes les conditions sont réunies pour arracher les trois points. »
«Continuer sur notre belle série de victoires»
Les Canaris joueront ce soir face à l’ASAM avec l’unique objectif de gagner leur quatrième match de suite en cette phase retour. Le boss affirme que l’équipe jouera pour garder son invincibilité et confirmer ses intentions de jouer les premiers rôles : « On a repris le championnat après une bonne préparation hivernale effectuée au Maroc. L’élimination en coupe n’a pas eu d’impact négatif sur le groupe qui a su se relancer très vite en championnat. La preuve, on a réussi deux victoires à l’extérieur face à des équipes coriaces, la JSS et l’USMBA. Aujourd’hui, on affrontera l’ASAM avec l’objectif de continuer sur notre belle lancée. »
«On ne s’enflamme pas, le parcours est encore long»
La JSK qui a réduit l’écart à deux points du leader peut prétendre en cas de victoire ce soir, à jouer pour le titre. Le président Mellal ne veut pas s’enflammer et affirme : « Je ne veux pas parler du titre. Je préfère laisser ça pour plus tard. Tout ce qui nous intéresse aujourd’hui, c’est de battre l’ASAM et consolider notre classement en haut du tableau. Le parcours est encore long, je crois qu’il serait plus intelligent de gérer la suite du parcours match par match sans penser aux résultats des concurrents. »
« Beaucoup n’ont pas cru en cette équipe »
Visiblement très satisfait des résultats de l’équipe, Mellal ajoute : « Beaucoup ne croyaient pas en cette équipe. D’ailleurs, ils sont nombreux à dire que ce groupe n’a même pas les moyens d’assurer le maintien. Moi j’ai dit depuis le début qu’on va bâtir une équipe d’avenir et qui va réaliser d’excellentes performances cette saison et le temps m’a donné raison. Je ne manque pas l’occasion de féliciter les membres du staff technique pour tout le travail accompli et les joueurs pour les efforts et les acrifices consentis. »
«Une fois le maintien assuré, on parlera de nos nouveaux objectifs»
La JSK qui est à deux points seulement du maintien, ne ratera pas l’occasion de la venue de l’ASAM aujourd’hui pour sceller le maintien définitivement. Interrogé sur l’objectif de jouer le titre qui est, selon beaucoup d’observateurs, jouable, Mellal enchaîne : « On joue un match difficile face à l’ASAM et j’ai dit aux joueurs de se concentrer uniquement sur cette rencontre et l’objectif de garder les trois points à Tizi. Une fois le maintien assuré, on fixera de nouveaux objectifs, ça sera en fonction de nos moyens mais surtout rester dans l’esprit de notre projet qui est de rebâtir une grande équipe qui aura un bel avenir. »
«On n’a pas reçu de réponse pour avancer le match»
Par ailleurs et concernant la demande adressée à la LFP pour avancer l’heure du coup d’envoi de la rencontre, Mellal a rétorqué : « Effectivement on a saisi cette semaine la LFP pour lui demander d’avancer le match à 16h. Jusqu’à l’heure où je vous parle, nous n’avons pas reçu de réponse, donc je pense qu’il est maintenu pour 17h45. Je regrette toutefois l’absence du public en raison du huis clos, j’appelle les supporters à la prudence la prochaine fois pour qu’ils ne privent pas l’équipe de leur soutien à l’avenir.”
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Quelques jours avant la fermeture du marché hivernal, l’Atlético Madrid est toujours à la recherche de quelques belles affaires du mercato pour renforcer son effectif à court et à long terme. Après avoir assuré les services de l’attaquant de Chelsea, Morata, la direction du club madrilène continue de travailler sur un autre dossier. Il s’agit de celui du défenseur central algérien du Betis Séville, Aïssa Mandi. L’Ajax Amsterdam, qui a bénéficié d’une bonne entrée d’argent après la vente de sa pépite De Jong à plus de 90 millions d’euros, voudrait aussi s’attacher les services de l’ex-joueur du Stade de Reims.
Everton, un autre client sérieux
L’Algérien Aissa Mandi était, la saison dernière, l’une des grandes révélations en Europe dans son poste de défenseur central droit. Mis en confiance par son entraineur Quique Setién, Aissa est devenu l’un des meilleurs défenseurs centraux du continent. Très à l’aise dans la relance, Mandi est aussi d’une rigueur tactique exceptionnelle. En tête du classement des passes réussies en Liga espagnole devant de grands joueurs comme Piqué ou Rakitic, Aissa est devenu un élément incontournable dans l’échiquier du Betis. Ses bonnes performances n’ont pas échappé aux recruteurs de grands clubs européens, comme l’Atlético Madrid, Arsenal et l’AS Rome. Selon la presse anglaise de ce jeudi, Everton est aussi entrée en lice. Les Toffees, qui ont déjà approché l’entourage du joueur algérien, semblent concurrencer Arsenal sur ce dossier.
Le Betis fixe sa clause à 40 ME
Devant l’intérêt grandissant des grosses écuries du continent, la direction andalouse n’est pas restée les bras croisés. En effet, le Betis s’est mis au travail pour renouveler son contrat. L’équipe des Vert et Blanc a pour objectif de prolonger le contrat de l’ancien Rémois et revoir sa clause de résiliation à la hausse qui sera fixée entre 30 et 40 millions d’euros. Selon la presse andalouse, Aissa ne serait pas tenté de changer d’ait cet hiver et pourrait bien aller jusqu’au mois de juin avec bien entendu un bon de sortie dans son nouveau contrat.
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La ministre de l’Education nationale Nouria Benghabrit a affirmé, jeudi à Alger, que son département ministériel œuvrait en coordination avec les autres départements à encourager les activités extrascolaires (culturelles et sportives) en vue de renforcer les connaissances des élèves et les encourager à avoir confiance en eux-mêmes.
Intervenant à l’occasion de la célébration de la 1ère édition de la Journée internationale de l’Education (24 janvier), instituée le 3 décembre dernier par l’Organisation des Nations Unies (ONU), Mme Benghabrit a précisé que son secteur oeuvre en coordination avec les autres départements ministériels, à encourager les activités extrascolaires en vue de « développer les compétences des élèves et de renforcer leurs connaissances culturelles et leur savoir ».
Elle a estimé, dans ce sens, que la cérémonie organisée au Club culturel Aissa Messaoudi de la Radio nationale, en coordination avec le ministère de la Communication et la Chaine 1, permet d’initier les élèves à l’art du cinéma et du théâtre pour qu’ils acquièrent « des compétences devant développer la personnalité de l’enfant et lui permet de s’adapter à la lumière de l’évolution des moyens de technologie modernes ».
Rappelant que l’Algérie œuvre, depuis son indépendance, à « assurer la gratuité de l’enseignement aux enfants à partir de l’âge de six ans », la ministre a mis en avant que l’enseignement joue « un rôle important dans la réalisation du développement durable ».
L’institution par l’ONU d’une journée d’enseignement « inculquera les valeurs de paix et de développement d’autant qu’elle joue un rôle fondamental dans la construction des sociétés », a-t-elle dit.
La ministre de l’Education nationale a indiqué, à ce propos, que l’Algérie « assure un enseignement qualitatif et équitable pour tous les niveaux », saluant à cette occasion, le rôle des enseignants qui sont, a-t-elle dit, « le premier intervenant dans l’action éducative, outre celui des inspecteurs en termes de conseils et d’orientations qu’ils prodiguent aux enseignants ».
Elle a ajouté, par ailleurs, qu’elle « ne ménagera aucun effort » pour l’amélioration des conditions des enseignants à travers « la formation et la documentation nécessaires pour qu’ils accomplissent leurs tâches en faveur de l’école algérienne ».
« Depuis le recouvrement de la souveraineté nationale, l’Algérie a pris conscience de l’importance de l’Education en tant que vecteur d’édification, de changement et d’innovation, faisant de l’égalité et de la gratuité de l’enseignement des garanties susceptibles d’asseoir un système éducatif authentique et démocratique », a affirmé pour sa part, le ministre de la Communication, Djamel Kaouane.
Il a cité, dans ce sens, « les réformes audacieuses engagées par l’Algérie pour la promotion de l’éducation et la réduction de l’écart entre les deux sexes, sanctionnées par la hausse des moyennes de scolarisation et l’élargissement du réseau des établissements scolaires, tous cycles confondus, à travers l’ensemble du territoire national ».
Il a ajouté que « la réforme du système éducatif, grâce au président de la République, Abdelaziz Bouteflika a connu un bond qualitatif, consistant essentiellement en la garantie d’une éducation de qualité, notamment dans le cadre du partenariat avec les organisations régionales et internationales spécialisées, en sus d’une coopération et d’une coordination sectorielle régulière ».
Le ministre a cité, à cet effet, « l’apport du secteur de la communication dans l’accompagnement de cet effort nationale, à la faveur d’activités favorisant la satisfaction des besoins du citoyen en matière d’Education, de par son rôle dans la promotion de l’acte éducatif et la diffusion des valeurs de justice et de tolérance ».
M. Kaouane a souligné, en outre, l’attachement de son secteur « à faire aboutir cette orientation, en dotant les programmes éducatifs de contenus à même d’améliorer les performances des générations montantes, et adaptés aux développement technologique ».
Enfin, il a estimé que ce genre de partenariat « est de nature à garantir une éducation de qualité qui permet aux générations de s’adapter aux grandes orientations en matière de développement, et de concourir au développement durable », préconisant de « redoubler d’efforts pour la promotion du système éducatif, notamment à la lumière des défis imposés par les mutations mondiales auxquelles l’Algérie fait face ».
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Le ministre du Commerce, Saïd Djellab, a affirmé jeudi à Alger que son département ministériel s’attelait à réviser la réglementation actuelle régissant le commerce de troc afin de conférer davantage d’efficacité et de rendement à l’économie nationale.
Répondant aux questions orales lors d’une séance plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Djellab a affirmé que la révision de la réglementation actuelle régissant le commerce de troc passera par la modification de l’arrêté interministériel et l’introduction de nouveaux articles relatifs au commerce de troc et ce afin de répondre aux revendications des acteurs dans ce domaine.
Cet amendement permettra d’instaurer un équilibre aux échanges commerciaux relatifs au troc de manière à les rendre plus rentables, a-t-il souligné.
M. Djellab a fait savoir qu’il a été procédé à la création d’un groupe de travail conjoint au niveau du ministère du Commerce comprenant plusieurs secteurs, à savoir le commerce, l’intérieur, l’agriculture, le tourisme, les douanes et la Banque d’Algérie, soulignant que plusieurs rencontres avaient été organisées au siège du ministère du Commerce pour la prise en charge des préoccupations des habitants des régions du sud, des régions frontalières et de leur autorités locales, ainsi que pour l’examen des propositions devant réactiver le commerce de troc dans les zones frontalières.
Parmi ces propositions, le ministre a cité la révision de la liste des produits concernés par le troc, l’intensification des entrées et sorties du territoire à travers les frontières, l’introduction de la Mauritanie dans la liste des pays limitrophes concernés par le commerce de troc, en plus du Niger et du Mali, et ce suite à l’ouverture du poste frontalier avec la Mauritanie.
Il a été suggéré, en outre, l’introduction d’un nouvel amendement de la loi régissant le déroulement des grandes manifestations économiques à l’image d' »Assihar » et d' »El Mouggar », a-t-il dit.
M. Djellab a fait savoir que son secteur s’attelait actuellement à l’examen des méthodes permettant un encadrement exemplaire des opérations d’octroi de registres de commerce pour la vente en gros dans les régions frontalières et ce afin de promouvoir le commerce de troc en particulier et les exportations hors hydrocarbures vers les pays limitrophes en général.
Il a révélé, par ailleurs, que son secteur s’attelait à l’organisation du séminaire d' »Assihar » dans la wilaya de Tamanrasset avec des opérateurs économiques algériens venus de l’ensemble des wilayas du sud et des opérateurs nigérians et maliens, lequel est prévue pour le début du mois de mars prochain.
A une question sur les résultats des analyses de laboratoires sur le complément alimentaire « RHB » non révélés par le ministère du Commerce, M. Djellab a expliqué que les compléments alimentaires ne requerraient aucune autorisation du ministère du Commerce pour leur fabrication, importation ou commercialisation. Ils sont soumis à une règlementation régissant l’activité commerciale des produits alimentaires, à savoir le contrôle et la protection du consommateur, a-t-il souligné.
Il a rappelé que le ministère de la Santé avait classé ce produit en tant que « complément alimentaire » et non « médicament pour les diabétiques », indiquant que son département avait retiré, temporairement, ce produit de la chaine de consommation afin de finaliser l’enquête.
Les résultats des analyses ont révélé qu’il était non conforme à la loi en vigueur concernant ce type de produits alimentaires, a souligné M. Djellab, précisant que sur le plan procédural, cette affaire a été présentée devant le Conseil d’Etat qui ne l’a toujours pas tranchée.
A une autre question sur l’éventuel transfert du registre de commerce d’une personne physique à une personne morale, le ministre a expliqué que le code de commerce algérien distinguait entre ces deux types, étant complètement indépendants l’un de l’autre, d’autant que chacune des personnes est soumise à ses propres procédures et conditions lors des transactions commerciales ou au moment de retirer l’extrait du registre de commerce.
Plus explicite, M. Djellab a fait savoir que « la personne physique n’est soumise, lors de l’exercice de son activité commerciale, à aucune condition spécifique, à l’instar du siège social, du capital et de la dénomination. Il suffit que la personne exprime sa volonté d’exercer un commerce et de présenter un dossier auprès des services du registre de commerce pour en bénéficier », a-t-il ajouté.
Quant à la personne morale, poursuit le ministre, il est impératif que le demandeur réunisse certaines conditions relatives à sa nature, en tant que société, en passant par la dénomination de son entreprise, l’élaboration des statuts et leur publication dans le Bulletin officiel des annonces légales. La personne morale poursuivra après les procédures d’inscription sur le registre de commerce, a-t-il ajouté.
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Le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi a mis en avant, jeudi à Alger, la nécessité de développer la sous-traitance en matière d’industrie automobile en Algérie afin de parvenir à une véritable industrie et créer des centaines d’entreprises qui génèreront des postes d’emploi.
En réponse à la question orale d’une députée de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Yousfi a affirmé que l’Algérie a œuvré au développement d’un tissu industriel, qui se renforce jour après jour, et s’oriente vers la création d’un climat propice au développement de la sous-traitance, pour parachever la première phase de l’industrie automobile, le montage et l’assemblage, avant de parvenir à une véritable industrie automobile.
Expliquant que cette opération impliquait la création, de façon graduelle, de centaines d’entreprises sous-traitantes, il a ajouté que sans des usines de montage, comme première phase, il ne saurait y avoir, à l’avenir, une véritable industrie automobile.
A ce propos, le ministre a évoqué 12 projets sidérurgiques qui contribueront à l’industrie automobile en Algérie, soulignant « le progrès enregistré » en matière de production qui commence à se concrétiser sur le terrain. Il a rappelé que pour assoir une véritable industrie automobile, il a été procédé à l’élaboration d’un cahier de charges fixant un ensemble d’obligations pour les constructeurs en contrepartie des avantages accordés.
L’objectif de ce cahier de charges, contenu dans le décret exécutif n 17-344 du 9 Rabie El Aouel 1439 correspondant au 28 novembre 2017, est de pallier aux insuffisances enregistrées (c’est-à-dire la nécessité de passer par la phase montage et assemblage afin de parvenir à la fabrication de parties puis de pièces de rechange, et partant, à une véritable industrie automobile), a-t-il ajouté.
Le cahier de charges, a encore dit M. Yousfi, prévoit un ensemble d’engagements relatifs à la nécessité d’atteindre un taux d’intégration minimum de 15% après la troisième année d’activité, et de 40% à 60% après la cinquième année, outre le respect par le constructeur-partenaire de vendre les collections destinées au montage au même prix que celui de la sortie d’usine.
En outre, il a réitéré l’obligation, conformément aux dispositions du cahier de charges, de produire des véhicules compétitifs et de respecter l’engagement à exporter l’excédent de la production non écoulée sur le marché national.
Soulignant, que le ministère travaillait sur un programme de réhabilitation des sous-traitants locaux et d’accompagnement des investisseurs et nouveaux sous-traitants, M. Yousfi a fait état de l’installation d’un groupe de travail au niveau de son département pour se pencher sur ce dossier et dégager des solutions permettant d’atteindre l’objectif escompté.
Porter à 50 le nombre des zones industrielles pour dynamiser l’investissement productif
Répondant à la question d’un autre membre de l’APN, M. Yousfi a rappelé que pour dynamiser l’investissement productif et garantir le foncier industriel au niveau des nouvelles zones industrielles, le Conseil national de l’investissement (CNI) a adopté un programme national portant la création et l’aménagement de 30 zones industrielles, élargies à 50 zones.
S’étendant sur une superficie globale de 12.000 ha, ces 50 zones industrielles sont réparties à travers 39 wilayas couvrant 9 espaces, définis par le Plan national d’aménagement et de réhabilitation 2030.
Indiquant que l’objectif est de garantir un foncier industriel destiné à l’investissement au profit des opérateurs économiques algériens, le ministre a précisant que la réalisation du ce programme, financé par le Fonds national d’investissement (FNI), a été confiée à l’Agence nationale d’intermédiation et de régulation foncière (ANIREF).
Après le retard important accusé dans la réalisation de ce programme, les pouvoirs publics ont donné des instructions pour accélérer la cadence des travaux, a ajouté le ministre, rappelant que lors de sa 84e session, le CNI a adopté la décision N09 prévoyant le transfert, aux walis, de la réalisation des nouvelles zones industrielles.
Il a cité l’exemple de la wilaya de Mila, où une nouvelle zone industrielle a été réalisée à « Boukrama » (commune de Chelghoum el Aïd) sur une superficie de 247 ha. Plusieurs opérations de réhabilitation des zones industrielles et zones d’activité ont également été réalisées dans ladite wilaya, par le département ministériel pour un montant de plus de 550 millions de dinars.
Dans le cadre de la réhabilitation et du développement des zones d’activité, la wilaya a bénéficié d’une enveloppe de près de 151 millions de dinars, destinés aux zones d’activité à Mila et Chelghoum el Aïd et Grarem sur une superficie globale de 295 ha.
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Les clients du groupe Sonelgaz pourront prochainement recevoir les factures de consommation de l’électricité et du gaz par le biais de messages téléphoniques (SMS), a annoncé, jeudi à Oran, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni.
« Une opération est en cours pour permettre aux clients de Sonelgaz de recevoir, prochainement, leurs factures par SMS « , a déclaré le ministre lors de l’inauguration et la mise en service du centre national de contact (centre d’appel) relevant du groupe.
A ce titre, Mustapha Guitouni a assuré que le groupe Sonelgaz est en train de se numériser totalement, notamment pour le développement du service public et la modernisation de ses prestations.
Les clients pourront, désormais, connaître les montants de leurs factures en s’adressant à ces centres nationaux de contact par le numéro vert (3303), raccordant les quatre centres situés à Alger, Oran, Constantine et Annaba.
Ces centres permettront également aux clients de remettre leurs requêtes relatives aux prestations par un simple appel, à l’effet d’un traitement immédiat et interactif leur épargnant un déplacement vers les agences commerciales et techniques, a expliqué le ministre, insistant sur l’adoption de meilleurs modes de facturation, notamment par des dispositions aboutissant à la « fidélisation » davantage de clients.
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L’Algérie doit accélérer la diversification de son économie pour faire face à une conjoncture économique mondiale incertaine marquée notamment par l’instabilité du marché pétrolier, a souligné le cabinet de conseil Oxford Business Group (OBG) dans son dernier rapport annuel sur l’Algérie dévoilé mercredi soir à Alger.
« La volatilité des cours du pétrole observée en 2018 ainsi que la diminution des réserves de devises du pays rendent cette diversification d’autant plus incontournable pour garantir la stabilité de la croissance de l’économie nationale à moyen et long terme », note le rapport présenté en présence des ministres de l’Industrie et des Mines, du Commerce et de la Communication, respectivement, Youcef Yousfi, Said Djellab et Djamel Kaouane.
Selon OBG, promouvoir les investissements privés et attirer davantage les investissements étrangers sont des actions « essentielles » pour permettre le développement de secteurs stratégiques où l’Algérie peut compter sur des avantages compétitifs tels que les produits pharmaceutiques, les matériaux de construction, l’agriculture et le tourisme.
Dans ce sens, le rapport a salué le positionnement de l’Algérie vers de nouveaux partenaires, notamment la Chine -dont l’Algérie a rejoint son « initiative de la ceinture de la Route de la soie »- et la Turquie, et qui pourrait permettre de compenser la stagnation des investissements réalisés par les Européens.
Toutefois, « la population jeune et le secteur énergétique renaissant augurent pour l’Algérie des perspectives positives après plusieurs années de stagnation économiques », relève le rapport.
Le rapport de ce cabinet britannique d’intelligence économique comprend des analyses globales sur les différents secteurs économiques permettant de « replacer l’Algérie dans un contexte mondial et de comparer leur évolution et leurs opportunités », selon ses auteurs.
Dans le secteur de l’Energie, le rapport a consacré un chapitre au groupe Sonatrach qui a lancé en 2018 sa stratégie SH 2030 soutenue d’un plan d’investissement de 55 milliards de dollars à l’horizon 2023.
« La nouvelle loi sur les hydrocarbures, prévue pour l’année 2019, doit permettre d’accompagner la transformation déjà enclenchée du secteur énergétique algérien et assurer la maximisation du potentiel national dans ce secteur », explique le document.
Concernant le secteur de l’Industrie et des mines, OBG estime que le mégaprojet de phosphates à l’Est du pays pour une valeur totale de 6 milliards de dollars représentait l’un des plus importants projets lancés ces dernières années en Algérie.
D’autres segments ont connu également le lancement de projets importants à l’instar de l’industrie pharmaceutique, le ciment -dont l’Algérie est devenu exportatrice- et l’agroalimentaire.
Quant au secteur financier, le rapport a mis en exergue « les nombreux développements enregistrés en 2018, notamment la nouvelle politique de la Banque d’Algérie, la mise en place du paiement électronique, l’inclusion financière et le potentiel des autres modes de financement dont la finance islamique, le leasing ».
Par ailleurs, le secteur de l’agriculture a une nouvelle fois été le principal facteur de croissance du PIB hors-hydrocarbures en 2018, observe OBG. Commentant le rapport annuel sur l’Algérie d’OBG, M. Yousfi a affiché sa « satisfaction quant aux grands progrès réalisés dans certains secteurs », et qui ont été permis grâce à la stabilité du pays.
Toutefois, de nombreux défis restent à relever, ajoute le ministre citant en particulier la fluctuation des prix de pétrole et l’environnement géopolitique « de moins en moins prévisible ». De son coté, M. Djellab a souligné que « nous sommes en Algérie totalement conscients que notre sort est dans la diversification de nos activités économiques, de nos ressources mais aussi de nos partenaires ».
« C’est par l’économie de la connaissance, l’innovation, l’excellence, et la croissance intensive que nous allons puiser de nos ressources et répondre aux défis économiques de demain », a-t-il indiqué.
Intervenant lors des débats ayant suivi la présentation du rapport, le représentant de la Banque mondiale (BM) en Algérie, Demba Da, a appelé à la libération des initiatives économiques en encourageant davantage l’entreprise, seul moyen pour générer des postes d’emplois stables.
La conférence a été également l’occasion de présenter la 2eme édition du « Baromètre des entreprises OBG », une enquête menée en 2018 auprès de 90 chefs d’entreprises afin d’évaluer la confiance de ces dirigeants quant à la situation économiques et les perspectives de développement aux cours de la prochaine année.
Les résultats de ce sondage, recueillis lors d’entretiens en tête à tête, montrent que 73% des chefs d’entreprises interrogés entrevoient positivement ou très positivement l’évolution des conditions du marché local aux cours des 12 prochains mois, contre 61% lors de la première édition de l’enquête.
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Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, a relevé, jeudi à Alger, une « convergence de vues » entre l’Algérie et la Russie sur plusieurs questions régionales et internationales, dont la lutte contre le terrorisme.
M. Messahel, qui s’exprimait dans une conférence de presse conjointe avec le ministre des Affaires étrangères russe, Seguei Lavrov, a précisé que les entretiens ont porté sur plusieurs questions régionales et internationales d’intérêt commun.
« Cette rencontre nous a permis d’évoquer le phénomène de lutte contre le terrorisme et la concertation entre les deux pays dans ce domaine dans le cadre de nos stratégies respectives de lutte contre ce fléau, mais également de la stratégie de l’ONU en la matière », a-t-il précisé.
Il a indiqué avoir procédé également avec son homologue russe à un échange de vues et des analyses respectives sur les situations de crises et de conflits, notamment en Syrie, en Libye, au Mali et au Sahel, au Sahara occidental, au Yémen ainsi que sur la question palestinienne.
Abdelkader Messahel s’est félicité, à ce titre, de la « convergence de vues » entre l’Algérie et la Russie quant à la nécessité de promouvoir des solutions politiques et de règlements pacifiques à ces crises, dans le cadre du respect de la légalité internationale et des principes énoncés dans la Charte des Nations Unies, notamment le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, sans ingérence extérieure.
« Nous avons relevé une convergence de vues sur le principe du respect de la souveraineté des peuples, le respect de l’intégrité territoriale, le respect des décisions des Nations Unies et leur mises en œuvre, notamment en ce qui concerne la Palestine et le Sahara Occidental », a-t-il détaillé.
Le chef de la diplomatie algérienne a relevé également une « convergence de vues » entre l’Algérie et la Russie sur la situation en Syrie et en Palestine, assurant qu’il « n’y a pas d’alternatives que la solution basée sur le respect de la volonté des peuples et sur le respect du droit international ».
Le chef de la diplomatie russe est arrivé mercredi soir à Alger pour une visite de deux jours, à l’invitation de son homologue algérien, Abdelkader Messahel. Cette visite s’inscrit dans le cadre du dialogue politique régulier et de la concertation permanente entre les deux pays instaurés depuis la signature de la déclaration commune sur le Partenariat stratégique entre l’Algérie et la Russie en 2001.
La visite du ministre russe des Affaires étrangères se situe dans un contexte de développement continu du dialogue politique et de la coopération en les deux pays, et intervient également à la veille de la 9ème session de la Commission mixte économique algéro-russe.
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Le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaalane a présidé jeudi, une réunion de coordination avec plusieurs intervenants, durant laquelle, il a appelé à redoubler les efforts pour la réussite de la mise en service de la nouvelle aérogare d’Alger, indique un communiqué du ministère.
« En prévision de la mise en exploitation imminente de la nouvelle aérogare d’Alger, le ministre des Travaux Publics et des Transports a présidé, le 24 janvier 2019, une réunion de coordination en présence des cadres du ministère, du P-dg de la Société de gestion des services aéroportuaires (SGSIA), des représentants de la direction générale de la sûreté nationale, des Douanes et de la Protection civile, des P-dg des compagnies aériennes Air Algérie, Tassili Airlines et Aigle Azur, des responsables de Swissport et des directeurs généraux de l’Etablissement national de la navigation aérienne, de l’Agence nationale d’études et de suivi des investissements ferroviaires et de la Société nationale des transports ferroviaires et Naftal », a précisé la même source.
Cette réunion qui intervient après l’achèvement des travaux de la nouvelle aérogare et des essais techniques avait pour objet « de faire un point de situation avec l’ensemble des intervenants sur les dispositions engagées pour sa mise en service dans les meilleures conditions possibles », a ajouté le communiqué.
A cette occasion, M. Zaalane a mis l’accent sur la nécessité de veiller à l’attractivité de cette nouvelle aérogare à travers la fluidité du traitement des passagers et des facilitations à accorder notamment en matière de transit tout en appelant à redoubler les efforts pour la réussite de sa mise en service.
Le ministre a également réaffirmé l’importance de cette réalisation inscrite dans le cadre de programme du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika. La nouvelle aérogare qui assurera un trafic de 10 millions de passagers/an et gérera 1.800 bagages/heure a pour objectif accéder au marché du transit qui constitue actuellement un marché important en matière de transport aérien.
La construction de cette nouvelle aérogare coïncide avec l’opération de renouvellement de la flotte d’Air Algérie. Pas moins de 25 nouveaux avions devraient être acquis entre 2019 et 2024, en application du programme du président de la République.
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Une délégation du Croissant-Rouge Algérien (CRA), à sa tête sa présidente Saida Benhabiles, est allée jeudi au secours de 100 familles nécessiteuses enclavées par la neige sur les hauteurs du Djurdjura, dans la wilaya de Tizi Ouzou.
Arrivée dans la matinée dans la ville des Genêts, avec des aides aux démunis des villages reculés de la wilaya, la présidente du CRA et la délégation qui l’accompagne ont entamé leur route vers le village Bounaâmane, dans la commune de Zekri, à environ 1000 mètres d’altitude, sous de fortes averses de pluies et un vent violent menaçant de faire déraper les véhicule qui composent le cortège.
Arrivée dans la région de Yakourène, le cortège a été surpris par une forte tempête, le véhicule qui transportait les journalistes tanguait dangereusement sous l’effet de vents forts menaçant de le balancer dans le vide, a-t-on appris de journalistes et de Mme Benhabiles. Impossible d’avancer, la route est bloquée par la neige. Décision a été prise de rentrer à Tizi-Ouzou, laissant sur place les membres du CRA.
L’intervention de l’Armée nationale populaire, qui était en opération de déneigement dans la région, a permis d’ouvrir la route au convoi humanitaire qui a pu ainsi atteindre sa destination, le village Bounaâmane.
Au total 50 familles nécessiteuses de ce hameau ont bénéficié de kits alimentaires d’une valeur de 10.000 DA chacun et d’une consistance de 70 kilos par colis qui compte des denrées alimentaires de première nécessité, a-t-on appris de la présidente du CRA qui a relevé que « le geste de solidarité a plus de valeur lorsqu’il intervient pendant les moments de difficulté et ou les gens en ont le plus besoin ».
Les dons sont composés entre autres, de semoule, d’huile, de sucre, de lait en poudre, de farine, de pâtes alimentaires, de légumes secs, de tomate en conserve, de thé, de café et de confiture. En plus des denrées alimentaires, chaque colis comporte trois couvertures, deux matelas et un kit de cuisine (ustensile, détergents).
Du village Bounaâmane, le CRA s’est rendu dans la daïra de Ouacifs où 50 autres familles ont bénéficié de dons similaires, a ajouté Mme Benhabiles.
Un programme national au profit de plus de 2000 familles
Cette opération, dont le coup d’envoi a été donné jeudi partir du village Bounaâmane, se poursuivra pour toucher plus de 2 000 familles démunies dans des régions reculées du pays, tel que la commune de Taleb Laarbi, à l’extrême sud-est de la wilaya d’El Oued, aux frontières algéro-tunisienne, les villages situés sur les hauteurs de la wilaya d’Oum El Bouaghi, la région d’Arris dans les Aurès, et dans les Haut-plateaux tel que Nâama, a-t-on appris de la même responsable.
« Cette opération de solidarité humanitaire rentre dans le cadre du programme nationale du CRA et vise à apporter un peu de chaleur humaine, surtout pendant la période des intempéries et les vagues de froid », a ajouté Mme Benhabiles, soulignant que le CRA cible les populations des régions enclavées et éloignées, tel les points les plus culminants, les Hauts plateaux, les zones frontalières et l’extrême sud.
Le choix du village Bounaâmane, dans la commune de Zekri, pour le lancement de cette opération « n’est pas fortuit, c’est une expression de reconnaissance quant aux sacrifices des populations de cette région, un gage de solidarité et d’engagement pour poursuivre nos actions humanitaires envers ce village qui compte une population vulnérable et qui était un des postes de commandement du Colonel Amirouche, qui avait subi les affres du colonialisme et, plus tard, du terrorisme et qui mérite donc d’être soutenu ».
Cette action, comme toutes les autres menées par le Croissant-Rouge, vise la vulgarisation de la culture de la solidarité, a-t-elle souligné, avant de relever que ces opérations ont pu être concrétisées grâce à des donateurs et à la crédibilité du CRA.
« Il est nécessaire que nous nous réapproprions nos valeurs ancestrales de solidarité », a-t-elle ajouté, tout en lançant un appel aux grandes entreprises économiques algériennes à contribuer à cet effort car « jusque-là tous les dons parviennent de petites et moyennes entreprises, des citoyens et des partenaires étrangers investisseurs en Algérie ».
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L’alimentation en eau potable sera suspendue mardi 29 janvier dans des communes de l’Est d’Alger, a indiqué vendredi un communiqué de la Société des eaux et de l’assainissement d’Alger (SEAAL).
Dans le cadre du projet de renforcement de l’alimentation en eau potable, en vue d’améliorer la desserte en eau des communes situées à l’Est d’Alger, la direction de l’hydraulique de la wilaya d’Alger procédera mardi 29 janvier, de 08h à 20h, à des travaux localisés dans la commune de Réghaïa, et ce, dans le cadre du raccordement d’une nouvelle conduite d’adduction, précise le communiqué.
Ces travaux entraîneront une suspension de l’alimentation en eau potable dans les communes de Réghaïa, Heraoua, Bordj El Bahri, El Marsa et Ain Taya. La SEAAL précise que la situation se rétablira progressivement durant la nuit de mardi 29 janvier. Un dispositif de citernage sera mis en place afin d’assurer les usages prioritaires (établissements publics et hospitaliers), fait savoir la même source.
Par ailleurs, la SEAAL indique que les travaux de réhabilitation qui étaient programmés dans la station de traitement d’eau potable de la commune de Sidi Amar (wilaya de Tipasa) pour la journée du lundi 28 janvier avaient été finalement reportés.
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Des chutes de neige continueront d’affecter les reliefs de l’Est dépassant les 800 mètres d’altitude jusqu’à vendredi soir, indique un bulletin météorologique spécial (BMS) émis par les services de l’Office national de météorologie.
Les wilayas concernées sont : Sétif, Mila, Constantine, Guelma, Souk Ahras, Batna, Oum El Bouaghi, Khenchela, Tebessa, Skikda, Jijel, Bejaia et Bordj Bou Arreridj où l’épaisseur de la neige dépassera localement 10 cm durant la validité de ce BMS qui court jusqu’à vendredi à 21h00, précise la même source.
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Le parti du Front des forces socialistes (FFS) tient vendredi à Alger une réunion de son Conseil national pour se prononcer sur les élections présidentielles de 2019, a indiqué un responsable de cette formation politique.
« Nous allons tenir une réunion du Conseil national à huit clos, consacrée à l’élection présidentielle et à la situation organique du parti », a déclaré à l’APS le chargé de communication du FFS, Jugurta Abbou.
Il a ajouté que les membres du Conseil national « auront à débattre en toute liberté de cette importante échéance politique pour se prononcer sur la participation ou non du parti », précisant que cette réunion « sera sanctionnée par une résolution politique annonçant la position du parti par rapport à cette question ».
La réunion « se penchera également sur la situation interne du parti qui fera l’objet d’un rapport d’évaluation présenté par le Premier secrétaire », a-t-il ajouté.
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Le ministre béninois des mines, Samou Séïdou Adambi et son homologue nigérien en charge du pétrole, Foumakoye Gado, ont procédé à la signature, le 23 janvier 2019, à Niamey (Niger), d'un accord de construction d'un oléoduc entre les deux pays. L'objectif de ce projet est de pouvoir exporter le pétrole nigérien via le Port autonome de Cotonou.
A cette occasion, le ministre nigérien du pétrole, Foumakoye Gado, après avoir émis le vœu que les travaux de construction des infrastructures de surface et du pipeline commencent effectivement en 2019, a souhaité que l'approbation de l'étude de faisabilité et la mise en place d'une société de transport suivent assez rapidement pour accélérer le chantier de l'oléoduc.
La zone pétrolière située dans la région de Diffa (sud-est), rappelle-t-on, est victime depuis 2015 d'incursions très meurtrières des jihadistes de Boko Haram, basés au Nigéria voisin.
En novembre dernier, huit (08) civils d'une équipe de foreurs et techniciens de la société française Foraco ont été massacrés dans cette zone lors d'une attaque attribuée à Boko Haram.
L'or noir est jusqu'ici acheminé par oléoducs jusqu'à Zinder (centre-sud nigérien) pour être raffiné. En vue d'augmenter sa production de pétrole, qui n'est actuellement que de 20.000 barils par jour, le Niger a signé en 2018 un accord d'exploitation d'un second puits pétrolier avec la CNPC, ce qui lui permet d'atteindre une production globale de 110.000 barils par jour, a souligné Foumakoye Gado.
Le ministre nigérien du pétrole n'a pas précisé au cours de la cérémonie de signature de cet accord, les coûts et les caractéristiques techniques de l'oléoduc qui acheminerait du brut au port de Cotonou à partir des champs d'Agadem (sud-est nigérien) où la China national Petroleum corporation (CNPC) extrait le pétrole depuis 2011.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Une mission de contrôle de l'Agence nationale d'approvisionnement en eau potable en milieu rural (ANAEPMR) est allée constater, du 23 au 24 janvier 2019, la qualité des infrastructures réalisées au profit des populations de Darnon Gbégourou, dans la commune de N'dali. C'était du 23 au 24 janvier 2019.
Les populations de Darnon Gbégourou, dans la commune de N'dali, n'ont pas été délaissées. Après la commune de Tchaourou, leur souci vient d'être réglé. Ils retrouvent désormais le sourire d'avoir de l'eau potable à proximité.
Désormais, à Darnon Gbégourou, l'eau potable n'est plus un luxe pour les populations. Il a été réalisé pour ces populations trois forages positifs afin de soulager leurs peines. Cette réalisation s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet d'amélioration des systèmes d'approvisionnement en eau potable dans 24 villages du Bénin. Lesdits forages serviront à la construction d'une adduction d'eau potable multi-villages (AEPmV) capable de desservir tous les hameaux de cette localité de N'dali.
Le Chef de la mission de contrôle de l'Agence nationale d'approvisionnement en eau potable en milieu rural (ANAEPMR), Philibert Jean-Marie Marcos, heureux de ce résultat indique que les fruits ont tenu la promesse des fleurs. Il indique que le débit projeté pour desservir convenablement les populations de Darnon Gbégourou à l'horizon 2037 est de 25m³/h. L'AEPmV sera va bénéficier à une population estimée à 13.391 habitants. Aussi souligne-t-il qu'en dehors de ces trois forages, il sera réalisé dans un délai raisonnable un château d'eau de 75m³ sur une hauteur de 12 mètres sous cuve. Une pose de conduite de plus de 22 km est aussi prévue dans le but de servir tous les hameaux.
Les efforts du gouvernement reconnus
Les populations ont remercié le gouvernement et son chef pour avoir pensé à eux. Le Chef de l'arrondissement de Gbégourou, Wouré Orou Bio, n'a pas manqué d'exprimer le ressenti de sa population. Il souligne qu'au-delà de tout, ces forages permettront de régler des problèmes sociaux dans sa communauté. « Les femmes ne risqueront plus leur foyer en se réveillant très tôt pour aller à la recherche de l'eau pour les travaux ménagers », a-t-il déclaré. Wouré Orou Bio a fait cas du calvaire qui est celui de ses administrés dans la recherche de ce liquide précieux depuis des lustres. « Au moins avec ces forages, ma population est sûre de ne plus consommer de l'eau de qualité douteuse, a-t-il indiqué avant de remercier le chef de l'Etat qui honore sa promesse de donner de l'eau potable à tous les Béninois d'ici 2021 ».
La mission de contrôle se rendra prochainement dans la commune de Nikki pour le même exercice.
Giscard A.
La Cour constitutionnelle organise depuis, ce jeudi 24 janvier 2019, un séminaire d'appropriation des différentes lois électorales. L'objectif de ce séminaire est de faciliter une compréhension harmonisée de ces textes de lois. Il s'agit surtout de la loi 2018-23 portant Charte des partis politiques et la loi 2018-31 portant Code électoral, en raison des innovations qu'elles apportent. Deux lois qui méritent d'être mieux élucidées pour faciliter leur appréhension par les acteurs politiques. Dans sa présentation générale, le président de la Cour constitutionnelle, Joseph Djogbénou a souligné qu'il faut entendre par lois électorales, « l'ensemble des dispositions législatives et réglementaires présidant, quant aux élections nationales ou locales, à la participation, à l'organisation, à la répression des infractions, à la proclamation des résultats et au contentieux ».
Parmi toutes les lois électorales, c'est en l'occurrence la loi 2018-31 portant Code électoral en République du Bénin qui a fait l'objet des débats. Celle-ci en son article 44 alinéa 2 dispose que « Les alliances électorales ne sont pas autorisées à présenter des listes de candidats ». Elle modifie par ailleurs les pièces à fournir et la procédure de dépôt de candidatures.
La Cena (Commission électorale nationale autonome) a aussi connu des adaptations dans ses attributions et dans son fonctionnement. Elle centralise désormais et compile les résultats ; la procédure de révocation des commissaires pour faute grave et la dénomination de ses démembrements centraux ont été modifiés.
Le déroulement du scrutin (nombre de membres de bureaux de vote…) et son dénouement, l'article 242 relatif à l'attribution des sièges notamment, ont également connu des réajustements.
La loi 2018-23 portant Charte des partis politiques quant à elle, semble moins équivoque. Elle fixe les principes généraux qui fondent l'animation des partis politiques ; dispose de la création, de l'organisation et du fonctionnement des partis politiques ; établit les outils d'animation politique tels que les médias et les écoles des partis ; prescrit des sanctions en cas de violation de ces règles. « On retiendra pour l'essentiel qu'elle instaure un contentieux administratif de la création, vise à renforcer les partis d'envergure nationale et pose les règles de leur financement public ou privé », a précisé Joseph
Djogbénou dans sa communication.
Ce séminaire de réflexion connaît la participation des sages et des assistants juridiques de la Cour constitutionnelle, des conseillers de la Cour suprême, des membres de la Cena, des représentants de l'Agence nationale de traitement (Ant), des experts et spécialistes de questions électorale et autres.
F. A. A.